confrontation...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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continue ou pas ?
Re: confrontation...
La pauvre elle c'est tant de mal pour rien, c'est compréhensible tous les signes étaient là.
Très intense ce dernier chapitre, qu'est- ce j'aurais voulu qu'il y en ai un autre.
Moi aussi je trouve ça craquant.
Merci merci pour ce magnifique OS en trois beaux chapitres
Très intense ce dernier chapitre, qu'est- ce j'aurais voulu qu'il y en ai un autre.
Savannah Scofield a écrit:tongue Ah oui et j'adore l'idée du coup de la chemise appropriée, surtout qu'elle ne semble porter que cela, j'ai toujours trouvé cela très sexy! j'adore!
Moi aussi je trouve ça craquant.
Merci merci pour ce magnifique OS en trois beaux chapitres
priscou- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Age : 37
Date d'inscription : 14/10/2006
Re: confrontation...
au début, j'ai eus peur, Véro dans le lit de Michaël, et Sara qui débarque, olala le big quiproquo
Finalement une bonne explication, après une grosse dispute dans la rue, sous la pluie et tout finit bien
encore d'autre STP
Finalement une bonne explication, après une grosse dispute dans la rue, sous la pluie et tout finit bien
encore d'autre STP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: confrontation...
whaou merci beaucoup pour vos com's c'est trés gentille !!!!!
eh oui moi c'est pareil le coup de la chemise j'adore trop ! c'est pourquoi je l'ai intégrer !!!!
et encore merci !!!!!!!!!!!!
eh oui moi c'est pareil le coup de la chemise j'adore trop ! c'est pourquoi je l'ai intégrer !!!!
et encore merci !!!!!!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
sarascofield, j'ai beaucoup aimé la fin de ton OS. j'adore quand on a affaire à une Sara fragile comme ça. ça contraste avec son personnage fort dans la série, et j'aime que ça soit différent.
sinon voilà moi aussi j'ai écris mon OS avec ma petite confrontation à moi. donc j'en avais déjà parlé, c'est inspiré d'une chanson qui passait à la radio quand je rentrais du boulot : u-turn (lili) aaron!!! magnifique chanson. et sinon je me suis inspirée d'une scène de grey's anatomy... bon j'espère que vous aimerez...
edit : j'édite mon post pour rajouter une musique (parce que je trouve que ça fait vide mais je savais pas quoi mettre et puis j'ai eu une révélation avec l'OS magnifique de dacbc qui m'avait fait chialer à mort sur cette musique. j'espère que tu m'en voudras pas pour la musique si je copie sur toi...)
http://fr.youtube.com/watch?v=QujJlmGxges
Under water
Voilà plus de deux heures que je suis assise dans cette baignoire. Recroquevillée sur moi-même, mes bras viennent encercler mes genoux. L’eau est froide à présent. Mon esprit est clair. Mon corps frissonne légèrement, mais je ne ressens plus rien. Les larmes ont fini par cesser, laissant place à des yeux bouffis et un visage blafard. C’était la fois de trop et je le savais très bien.
Mon regard est fixe mais je ne vois plus rien si ce n’est une triste vision de moi-même. Je me dégoute. Après tout ce qu’il a fait pour moi, je ne peux pas croire que nous soyons revenus au point de départ. Mon esprit divague complètement, et dans un mouvement second, ma main s’approche du robinet. Je le mets en marche et je regarde l’eau couler. Mon visage ne laisse transparaître aucune émotion comme si il n’y avait plus rien en moi, comme si j’étais vide. Rongée par la culpabilité et le désespoir, mes dernières forces ont fuies lorsqu’il est parti en claquant la porte derrière lui.
Mon corps s’étire et je viens m’allonger doucement dans la baignoire. L’eau coule toujours. Le niveau est de plus en plus haut. Petit à petit je glisse jusqu’à ce qu’elle vienne recouvrir mon visage complètement. Les yeux grands ouverts, je fixe le plafond. Il est trouble, légèrement bleuté par le filtre du liquide qui s’écoule sur moi. Je m’apprête à rejoindre cet autre monde dans lequel je me suis enfoncé depuis bien longtemps. Un monde de ténèbres qui sera mien pour l’éternité. Je n’ai plus peur. Je veux en finir plus que tout. En finir pour moi, mais surtout pour lui. Je ne veux plus qu’il ait ce lourd fardeau à supporter.
L’air commence à manquer. J’ai de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts. Mon esprit s’égare…
Flash back :
J’entre dans l’appartement les mains tremblantes. J’ai des suées et des nausées. Une sensation de manque envahi tout mon corps. Je me dirige du mieux que je peux jusqu’à la salle de bain, et par un mouvement habituel, j’extrais la seringue de son sachet. J’y glisse l’aiguille et en moins d’une seconde, je l’introduis dans le flacon sur lequel on peut lire « morphine ». L’instant qui suit, mon cœur s’emballe. L’aiguille est plantée dans mon bras et je sens le liquide se propager en moi.
Ma tête devient lourde mais une immense sensation s’empare de tout mon corps, une sensation de bien être absolu. Je suis apaisée. Un calme plat s’installe en moi. Enfin. Ma respiration est lente et posée. Je sens mon pout battre à vitesse réduite contre ma carotide. Je ne perçois plus rien autour de moi, je suis bien.
Dans un état second je retire l’aiguille de mon bras. Un sourire béat se glisse se glisse sur mon visage. Mes yeux sont à demi-clos. Je me prépare à jeter tous les éléments de preuves qui pourraient lui indiquer que j’ai recommencé.
Une fois l’effet de la drogue passé, je me retrouve confrontée à mon propre reflet dans le miroir. Un sentiment de colère s’empare de moi. Je me rends compte de ce que je viens de faire et je me dégoute. Je ne peux plus supporter cette vision un instant de plus. Sans réfléchir, j’évacue toute la haine que j’ai en moi en frappant violemment contre le miroir. Je ne vois plus que des morceaux de mon visage comme dans un tableau de Picasso. Comme ces personnages je suis brisée, défragmentée. J’ai le sentiment de voir se refléter l’état d’esprit dans lequel je suis. J’ai l’impression que ma souffrance transparait devant moi.
Soudain, je ressens une forte douleur à la main. Elle est couverte de sang. Je me dirige alors de mes jambes vacillantes vers le salon pour récupérer de quoi me soigner dans ma trousse médicale. Au même moment, je lève la tête attirée par un bruit qui provient de la porte. Michael vient de rentrer, il dépose sa veste et expire lourdement. Il a l’air éreinté. Son regard se porte sur moi avec un léger sourire, avant de descendre inquiet vers la plait béante que j’ai à la main.
Il accourt jusqu’à moi aussi vite qu’il peut. Je me sens défaillir dans ses bras, mais je dois garder le contrôle de moi-même, prendre sur moi. Il ne doit pas savoir. Il ne doit jamais savoir. Il m’aide à m’asseoir sur le canapé avant d’aller chercher ma trousse. Il me parle mais je ne saisis pas un traitre mot de ce qu’il dit. Je vois ses lèvres bouger face à moi sans pouvoir comprendre réellement le sens des phrases qu’il emploi.
Je sens ses mains agir délicatement contre la mienne. Mais son regard passe de l’inquiétude à la méfiance en moins d’une seconde. Il me dévisage avec froideur. Je détourne mon regard du sien. Ses gestes se font plus secs et brutaux que précédemment et je comprends enfin ce qu’il me dit alors qu’il me lance une réflexion d’une voix lourde et pleine de déception.
M : Ca fait combien de temps ?
S (ayant du mal à articuler convenablement) : Que… quoi ? Je… je ne… je ne vois pas… de quoi tu parles.
M (plus sèchement) : Ca fait combien de temps que tu as recommencé à te droguer Sara ?
S : Je… je ne me drogue plus… et tu le sais très bien.
Je tente de m’enfuir de cet interrogatoire. Je ne peux pas rester là à le laisser me regarder, il voit trop bien en moi. Il ne comprendrait pas. Je me lève alors brutalement mais il me retient en me maintenant avec force par le poignet.
S (se débâtant) : Lâche moi Michael… Tu… tu me fais mal.
M : Regarde-toi, c’est à peine si tu arrives à articuler deux mots correctement. Je ne suis pas dupe alors arrête de me mentir. Je vois bien que tu en as repris, ne me prends pas pour un con Sara !
S : Lâche-moi !
J’essai de m’extirper mais il m’en empêche. Je sens alors les premières larmes qui commencent à envahir mes yeux et qui sont bientôt prête à couler sur mes joues. En voyant ça, il fini par me lâcher le bras, mais je me mets à vaciller et je suis sur le point de tomber quand il vient me rattraper.
M : Tu ne tiens même pas sur tes jambes.
S : Ce n’est pas ce que tu crois Michael… (baissant la tête) J’ai perdu beaucoup… beaucoup de sang en me blessant et j’ai… j’ai juste un peu la tête qui… qui tourne c’est tout.
M : Ta blessure est superficielle et tu es médecin. Tu n’es pas du genre à t’évanouir pour si peux de chose alors arrête de me mentir.
S (évitant toujours son regard) : Je ne te mens pas !
M : Ah oui ? Alors regarde moi dans les yeux et dis moi que tu n’as rien pris.
S (le regardant avec défis mais restant muette) : …
Je peux lire une rage immense dans ses yeux mêlée à une très grande déception. Je lui avais promis que je ne prendrais plus rien et il m’avait dit qu’il m’aiderait dans cette épreuve mais j’ai failli à ma promesse. Je suis dévastée. Je vois bien que je ne peux pas lui mentir plus longtemps. J’ai honte, tellement honte de ce que j’ai fait. Je vois bien qu’il sait ce qu’il s’est passé, mais comme pour ôter les derniers espoirs qu’il avait en moi, il s’empare à nouveau de mon bras et vient relever la manche de mon tee-shirt pour exposer au grand jour les traces de piqures qui se trouvent sur ma peau.
Son regard reste immobile sur cette partie de mon corps, et sans prononcer le moindre mot, ses yeux viennent confronter les miens. Cette fois-ci, les larmes se mettent réellement à couler le long de mes joues. Le poids de sa déception est énorme et je vois un sentiment d’abandon et de fatigue traverser ses yeux. Je comprends alors l’erreur que j’ai commise et les conséquences que je devrai supporter lorsqu’il s’écarte de moi.
S (essayant de le retenir) : Michael non… je t’en pris.
Sans un mot, je le vois se diriger vers la porte. Il prend sa veste. Sous mes cris et mes implorations il marque un temps d’arrêt tout en enserrant la poignée dans sa main il me regarde avec mépris.
S : Michael ?
M : …
S (ne pouvant supporter son silence) : Michael dit quelque chose, je t’en supplie.
M : …
S (s’effondrant sur le sol) : Michael je t’en pris. Ne pars pas, j’ai besoin de toi. Je te promets que je ne recommencerai plus, mais je t’en pris j’ai besoin de toi.
M : Je te faisais confiance et encore une fois tu as tout gâché. Il est trop tard pour promettre, tu as déjà rompu celle que tu m’avais faite il y a deux moi de ça. J’en peux plus de tout ça. Je voulais t’aider, mais je ne peux rien faire pour toi si tu n’y mets pas du tiens. Je suis désolé Sara.
Il détourne la tête et ouvre la porte pour s’engouffrer aussi rapidement que possible dans le couloir où il disparait de ma vue en claquant brutalement la porte. Je me mets alors à crier son nom de désespoir.
S : Michael ! Michael !
…
S : Michael je t’en pris reviens…
…
S : Reviens…
…
S (rattraper par ses sanglots) : Mic…
Fin du flash back.
Je me retrouve immobile face à cette porte, la porte de notre appartement. Je ne pensais pas revenir, mais je me rends compte que je l’aime trop pour ça. Je suis épuisé d’avoir tant lutté à ses côtés depuis tellement de temps, mais je n’arrive pas à partir. Et pourtant je reste paralysé devant cette porte, incapable de l’ouvrir et de me confronter à Sara à nouveau.
Je ne sais pas dans quel état je la retrouverai. Je l’ai entendu crier mon nom à de nombreuses reprises lorsque je suis parti, la voix pleine de désespoir et prise dans les sanglots. J’avais le cœur en miette mais je ne pouvais pas me retourner à ce moment là. Oui elle m’a déçu. Je lui faisais confiance, mais j’ai ma part de responsabilité dans cette histoire. Epuisé par ce combat permanant, je l’ai laissé de côté ces derniers temps privilégiant davantage mon travail à ses dépends. Je croyais que tout était fini, mais j’avais tord.
Je me décide alors à ouvrir la porte. Je trouve l’appartement complètement vide. Des restes de bandages et du désinfectant sont encore éparpillés sur la table basse du salon. Je regarde tout autour de moi, mais je ne vois rien. Pourtant un son parvient jusqu’à mes oreilles. Un bruit d’eau qui coule provenant de la salle de bain.
Mon cœur se met à battre plus rapidement. Sans savoir pourquoi, un mauvais pressentiment envahi mon esprit. Je cours en direction de cette petite pièce. A première vue, je ne vois rien que la baignoire remplie d’eau, mais en faisant quelques pas de plus, j’aperçois le corps inerte et bleuté de Sara au fond de la baignoire. Je me précipite alors pour la sortir de là. Elle tousse, s’étouffe en essayant de recracher l’eau qui commençait à envahir ses poumons. Elle ouvre les yeux, mais mon esprit ne se calme pas pour autant quand je la vois trembler. Son corps est complètement glacé. Je la rapproche de moi et je viens enserrer une serviette propre autour de son corps dénudé. Mes mains frottent vivement ses bras pour essayer de la réchauffer mais en vain.
Elle tremble encore. J’ai l’impression que cela ne fait aucun effet. Sans plus me poser de questions, je retire aussi rapidement que possible ma chemise et j’enlève la serviette que j’avais posé sur elle pour poser son corps contre le mien en espérant que la chaleur de mon corps puisse faire augmenter sa température. Petit à petit, ses tremblements diminuent et je vois ses lèvres rosir. Mon cœur bat à vive allure et je sens le sien reprendre un rythme normal après quelques minutes collés ainsi l’un contre l’autre.
S (grelottant) : Michael je… je suis désolée.
M : Ce n’est rien. On va s’en sortir. On va y arriver ensemble. Je ferai tout pour ça. J’ai eu tellement peur Sara. Plus jamais je ne te laisserai, plus jamais je ne t’abandonnerai.
alors ???
sinon voilà moi aussi j'ai écris mon OS avec ma petite confrontation à moi. donc j'en avais déjà parlé, c'est inspiré d'une chanson qui passait à la radio quand je rentrais du boulot : u-turn (lili) aaron!!! magnifique chanson. et sinon je me suis inspirée d'une scène de grey's anatomy... bon j'espère que vous aimerez...
edit : j'édite mon post pour rajouter une musique (parce que je trouve que ça fait vide mais je savais pas quoi mettre et puis j'ai eu une révélation avec l'OS magnifique de dacbc qui m'avait fait chialer à mort sur cette musique. j'espère que tu m'en voudras pas pour la musique si je copie sur toi...)
http://fr.youtube.com/watch?v=QujJlmGxges
Under water
Voilà plus de deux heures que je suis assise dans cette baignoire. Recroquevillée sur moi-même, mes bras viennent encercler mes genoux. L’eau est froide à présent. Mon esprit est clair. Mon corps frissonne légèrement, mais je ne ressens plus rien. Les larmes ont fini par cesser, laissant place à des yeux bouffis et un visage blafard. C’était la fois de trop et je le savais très bien.
Mon regard est fixe mais je ne vois plus rien si ce n’est une triste vision de moi-même. Je me dégoute. Après tout ce qu’il a fait pour moi, je ne peux pas croire que nous soyons revenus au point de départ. Mon esprit divague complètement, et dans un mouvement second, ma main s’approche du robinet. Je le mets en marche et je regarde l’eau couler. Mon visage ne laisse transparaître aucune émotion comme si il n’y avait plus rien en moi, comme si j’étais vide. Rongée par la culpabilité et le désespoir, mes dernières forces ont fuies lorsqu’il est parti en claquant la porte derrière lui.
Mon corps s’étire et je viens m’allonger doucement dans la baignoire. L’eau coule toujours. Le niveau est de plus en plus haut. Petit à petit je glisse jusqu’à ce qu’elle vienne recouvrir mon visage complètement. Les yeux grands ouverts, je fixe le plafond. Il est trouble, légèrement bleuté par le filtre du liquide qui s’écoule sur moi. Je m’apprête à rejoindre cet autre monde dans lequel je me suis enfoncé depuis bien longtemps. Un monde de ténèbres qui sera mien pour l’éternité. Je n’ai plus peur. Je veux en finir plus que tout. En finir pour moi, mais surtout pour lui. Je ne veux plus qu’il ait ce lourd fardeau à supporter.
L’air commence à manquer. J’ai de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts. Mon esprit s’égare…
Flash back :
J’entre dans l’appartement les mains tremblantes. J’ai des suées et des nausées. Une sensation de manque envahi tout mon corps. Je me dirige du mieux que je peux jusqu’à la salle de bain, et par un mouvement habituel, j’extrais la seringue de son sachet. J’y glisse l’aiguille et en moins d’une seconde, je l’introduis dans le flacon sur lequel on peut lire « morphine ». L’instant qui suit, mon cœur s’emballe. L’aiguille est plantée dans mon bras et je sens le liquide se propager en moi.
Ma tête devient lourde mais une immense sensation s’empare de tout mon corps, une sensation de bien être absolu. Je suis apaisée. Un calme plat s’installe en moi. Enfin. Ma respiration est lente et posée. Je sens mon pout battre à vitesse réduite contre ma carotide. Je ne perçois plus rien autour de moi, je suis bien.
Dans un état second je retire l’aiguille de mon bras. Un sourire béat se glisse se glisse sur mon visage. Mes yeux sont à demi-clos. Je me prépare à jeter tous les éléments de preuves qui pourraient lui indiquer que j’ai recommencé.
Une fois l’effet de la drogue passé, je me retrouve confrontée à mon propre reflet dans le miroir. Un sentiment de colère s’empare de moi. Je me rends compte de ce que je viens de faire et je me dégoute. Je ne peux plus supporter cette vision un instant de plus. Sans réfléchir, j’évacue toute la haine que j’ai en moi en frappant violemment contre le miroir. Je ne vois plus que des morceaux de mon visage comme dans un tableau de Picasso. Comme ces personnages je suis brisée, défragmentée. J’ai le sentiment de voir se refléter l’état d’esprit dans lequel je suis. J’ai l’impression que ma souffrance transparait devant moi.
Soudain, je ressens une forte douleur à la main. Elle est couverte de sang. Je me dirige alors de mes jambes vacillantes vers le salon pour récupérer de quoi me soigner dans ma trousse médicale. Au même moment, je lève la tête attirée par un bruit qui provient de la porte. Michael vient de rentrer, il dépose sa veste et expire lourdement. Il a l’air éreinté. Son regard se porte sur moi avec un léger sourire, avant de descendre inquiet vers la plait béante que j’ai à la main.
Il accourt jusqu’à moi aussi vite qu’il peut. Je me sens défaillir dans ses bras, mais je dois garder le contrôle de moi-même, prendre sur moi. Il ne doit pas savoir. Il ne doit jamais savoir. Il m’aide à m’asseoir sur le canapé avant d’aller chercher ma trousse. Il me parle mais je ne saisis pas un traitre mot de ce qu’il dit. Je vois ses lèvres bouger face à moi sans pouvoir comprendre réellement le sens des phrases qu’il emploi.
Je sens ses mains agir délicatement contre la mienne. Mais son regard passe de l’inquiétude à la méfiance en moins d’une seconde. Il me dévisage avec froideur. Je détourne mon regard du sien. Ses gestes se font plus secs et brutaux que précédemment et je comprends enfin ce qu’il me dit alors qu’il me lance une réflexion d’une voix lourde et pleine de déception.
M : Ca fait combien de temps ?
S (ayant du mal à articuler convenablement) : Que… quoi ? Je… je ne… je ne vois pas… de quoi tu parles.
M (plus sèchement) : Ca fait combien de temps que tu as recommencé à te droguer Sara ?
S : Je… je ne me drogue plus… et tu le sais très bien.
Je tente de m’enfuir de cet interrogatoire. Je ne peux pas rester là à le laisser me regarder, il voit trop bien en moi. Il ne comprendrait pas. Je me lève alors brutalement mais il me retient en me maintenant avec force par le poignet.
S (se débâtant) : Lâche moi Michael… Tu… tu me fais mal.
M : Regarde-toi, c’est à peine si tu arrives à articuler deux mots correctement. Je ne suis pas dupe alors arrête de me mentir. Je vois bien que tu en as repris, ne me prends pas pour un con Sara !
S : Lâche-moi !
J’essai de m’extirper mais il m’en empêche. Je sens alors les premières larmes qui commencent à envahir mes yeux et qui sont bientôt prête à couler sur mes joues. En voyant ça, il fini par me lâcher le bras, mais je me mets à vaciller et je suis sur le point de tomber quand il vient me rattraper.
M : Tu ne tiens même pas sur tes jambes.
S : Ce n’est pas ce que tu crois Michael… (baissant la tête) J’ai perdu beaucoup… beaucoup de sang en me blessant et j’ai… j’ai juste un peu la tête qui… qui tourne c’est tout.
M : Ta blessure est superficielle et tu es médecin. Tu n’es pas du genre à t’évanouir pour si peux de chose alors arrête de me mentir.
S (évitant toujours son regard) : Je ne te mens pas !
M : Ah oui ? Alors regarde moi dans les yeux et dis moi que tu n’as rien pris.
S (le regardant avec défis mais restant muette) : …
Je peux lire une rage immense dans ses yeux mêlée à une très grande déception. Je lui avais promis que je ne prendrais plus rien et il m’avait dit qu’il m’aiderait dans cette épreuve mais j’ai failli à ma promesse. Je suis dévastée. Je vois bien que je ne peux pas lui mentir plus longtemps. J’ai honte, tellement honte de ce que j’ai fait. Je vois bien qu’il sait ce qu’il s’est passé, mais comme pour ôter les derniers espoirs qu’il avait en moi, il s’empare à nouveau de mon bras et vient relever la manche de mon tee-shirt pour exposer au grand jour les traces de piqures qui se trouvent sur ma peau.
Son regard reste immobile sur cette partie de mon corps, et sans prononcer le moindre mot, ses yeux viennent confronter les miens. Cette fois-ci, les larmes se mettent réellement à couler le long de mes joues. Le poids de sa déception est énorme et je vois un sentiment d’abandon et de fatigue traverser ses yeux. Je comprends alors l’erreur que j’ai commise et les conséquences que je devrai supporter lorsqu’il s’écarte de moi.
S (essayant de le retenir) : Michael non… je t’en pris.
Sans un mot, je le vois se diriger vers la porte. Il prend sa veste. Sous mes cris et mes implorations il marque un temps d’arrêt tout en enserrant la poignée dans sa main il me regarde avec mépris.
S : Michael ?
M : …
S (ne pouvant supporter son silence) : Michael dit quelque chose, je t’en supplie.
M : …
S (s’effondrant sur le sol) : Michael je t’en pris. Ne pars pas, j’ai besoin de toi. Je te promets que je ne recommencerai plus, mais je t’en pris j’ai besoin de toi.
M : Je te faisais confiance et encore une fois tu as tout gâché. Il est trop tard pour promettre, tu as déjà rompu celle que tu m’avais faite il y a deux moi de ça. J’en peux plus de tout ça. Je voulais t’aider, mais je ne peux rien faire pour toi si tu n’y mets pas du tiens. Je suis désolé Sara.
Il détourne la tête et ouvre la porte pour s’engouffrer aussi rapidement que possible dans le couloir où il disparait de ma vue en claquant brutalement la porte. Je me mets alors à crier son nom de désespoir.
S : Michael ! Michael !
…
S : Michael je t’en pris reviens…
…
S : Reviens…
…
S (rattraper par ses sanglots) : Mic…
Fin du flash back.
Je me retrouve immobile face à cette porte, la porte de notre appartement. Je ne pensais pas revenir, mais je me rends compte que je l’aime trop pour ça. Je suis épuisé d’avoir tant lutté à ses côtés depuis tellement de temps, mais je n’arrive pas à partir. Et pourtant je reste paralysé devant cette porte, incapable de l’ouvrir et de me confronter à Sara à nouveau.
Je ne sais pas dans quel état je la retrouverai. Je l’ai entendu crier mon nom à de nombreuses reprises lorsque je suis parti, la voix pleine de désespoir et prise dans les sanglots. J’avais le cœur en miette mais je ne pouvais pas me retourner à ce moment là. Oui elle m’a déçu. Je lui faisais confiance, mais j’ai ma part de responsabilité dans cette histoire. Epuisé par ce combat permanant, je l’ai laissé de côté ces derniers temps privilégiant davantage mon travail à ses dépends. Je croyais que tout était fini, mais j’avais tord.
Je me décide alors à ouvrir la porte. Je trouve l’appartement complètement vide. Des restes de bandages et du désinfectant sont encore éparpillés sur la table basse du salon. Je regarde tout autour de moi, mais je ne vois rien. Pourtant un son parvient jusqu’à mes oreilles. Un bruit d’eau qui coule provenant de la salle de bain.
Mon cœur se met à battre plus rapidement. Sans savoir pourquoi, un mauvais pressentiment envahi mon esprit. Je cours en direction de cette petite pièce. A première vue, je ne vois rien que la baignoire remplie d’eau, mais en faisant quelques pas de plus, j’aperçois le corps inerte et bleuté de Sara au fond de la baignoire. Je me précipite alors pour la sortir de là. Elle tousse, s’étouffe en essayant de recracher l’eau qui commençait à envahir ses poumons. Elle ouvre les yeux, mais mon esprit ne se calme pas pour autant quand je la vois trembler. Son corps est complètement glacé. Je la rapproche de moi et je viens enserrer une serviette propre autour de son corps dénudé. Mes mains frottent vivement ses bras pour essayer de la réchauffer mais en vain.
Elle tremble encore. J’ai l’impression que cela ne fait aucun effet. Sans plus me poser de questions, je retire aussi rapidement que possible ma chemise et j’enlève la serviette que j’avais posé sur elle pour poser son corps contre le mien en espérant que la chaleur de mon corps puisse faire augmenter sa température. Petit à petit, ses tremblements diminuent et je vois ses lèvres rosir. Mon cœur bat à vive allure et je sens le sien reprendre un rythme normal après quelques minutes collés ainsi l’un contre l’autre.
S (grelottant) : Michael je… je suis désolée.
M : Ce n’est rien. On va s’en sortir. On va y arriver ensemble. Je ferai tout pour ça. J’ai eu tellement peur Sara. Plus jamais je ne te laisserai, plus jamais je ne t’abandonnerai.
alors ???
Dernière édition par miliibnb le Lun 5 Mai - 11:10, édité 2 fois
Re: confrontation...
bravo
magniquement bien ecrit milii!!!!!
magniquement bien ecrit milii!!!!!
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 26/12/2007
Re: confrontation...
Waouh Sara qui replonge dans la drogue et Michael qui s'énerve contre elle, je te fais plus confiance et sara qui tente de se tuer, c'est riche en action super je veux une grandeeeeeeeeeeeeeeee suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee et s'il te plait avant mardi parce que je suis en stage pendant 2 mois dans un camping loin de chez moi.
S'il te plait pense à moi et met moi une suite!!
Gros Kissoux
S'il te plait pense à moi et met moi une suite!!
Gros Kissoux
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: confrontation...
sosam66 a écrit:Waouh Sara qui replonge dans la drogue et Michael qui s'énerve contre elle, je te fais plus confiance et sara qui tente de se tuer, c'est riche en action super je veux une grandeeeeeeeeeeeeeeee suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee et s'il te plait avant mardi parce que je suis en stage pendant 2 mois dans un camping loin de chez moi.
S'il te plait pense à moi et met moi une suite!!
Gros Kissoux
c'est très gentil merci mais c'est un OS, ya donc pas de suite dsl...
Re: confrontation...
miliibnb a écrit:sosam66 a écrit:Waouh Sara qui replonge dans la drogue et Michael qui s'énerve contre elle, je te fais plus confiance et sara qui tente de se tuer, c'est riche en action super je veux une grandeeeeeeeeeeeeeeee suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee et s'il te plait avant mardi parce que je suis en stage pendant 2 mois dans un camping loin de chez moi.
S'il te plait pense à moi et met moi une suite!!
Gros Kissoux
c'est très gentil merci mais c'est un OS, ya donc pas de suite dsl...
comme tout ce que tu fais, c'est super méga génial
j'en avais les larmes aux yeux pour ce chapitre, car ce n'est pas possible de ne pas faire une suite
encore bravo mili
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: confrontation...
Ca fait froid dans le dos,dis donc. J'ai vu cette scène de grey's anatomy, mais la tienne, j'ignore si c'est parce que c'est du misa , mais elle est plus angoissante encore. Jsuis épatée du résultat. Tiens et elle me fait aussi pensé au clip de Britney Spears "Everytime", celle où elle met en scène son suicide. Ce sont des scènes qui me touchent énormément. Bravo en tout cas pour le réalisme et la fin dans laquelle, bien que peu illusionné, on garde quand même un peu d'espoir pour Sara et l'avenir du couple. Encore bravo et merci pour cette intense, courte et néanmoins poignante confrontation, miliibnb.
Savannah Scofield- Membre de la thérapie avec Sara
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Re: confrontation...
merci à toutes !! c'est vrai que j'avais pas pensé au clip de britney... et t'as raison ça y ressemble.
sinon j'espère qu'avec toutes les scènes du genre que j'écris vous allez pas vous mettre à croire que je suis suicidaire ou quoi hein (genre mon premier OS, mike se tire une balle, dans le début de fic que j'avais fait, il est sur le point de le faire, là c'est sara), c'est juste que ce couple est un couple qui s'aime intensément, passionnément un peu à la roméo et juliette et selon moi ça peut être tellement intense que ça peut en arriver aux limites de la mort... et puis bon faut avouer que c'est sympa à exploiter comme situation avec toutes les émotions qu'on y trouve. ce genre de scène où un personnage est brisé sont mes préférés à écrire. bref c'était pour le commentaire pour dire, non non je ne suis pas pour le suicide!!! lol
sinon encore merci pour les commentaires.
sinon j'espère qu'avec toutes les scènes du genre que j'écris vous allez pas vous mettre à croire que je suis suicidaire ou quoi hein (genre mon premier OS, mike se tire une balle, dans le début de fic que j'avais fait, il est sur le point de le faire, là c'est sara), c'est juste que ce couple est un couple qui s'aime intensément, passionnément un peu à la roméo et juliette et selon moi ça peut être tellement intense que ça peut en arriver aux limites de la mort... et puis bon faut avouer que c'est sympa à exploiter comme situation avec toutes les émotions qu'on y trouve. ce genre de scène où un personnage est brisé sont mes préférés à écrire. bref c'était pour le commentaire pour dire, non non je ne suis pas pour le suicide!!! lol
sinon encore merci pour les commentaires.
Re: confrontation...
Vraiment génial !! J'ai cru que Mike ne reviendrait pas et que Sara mourrait c'était trop horrible j'était a deux doigt de chialé comme une madeleine !!! ^^
Enfin j'ai adoré BRAVo et moi aussi j'ai pensé au cip de BRitney Spears !!!!
C'est dommage que ce ne soit qu'un OS !!! T'es sur que t'a rien en stock ????
Encore une fois BRAVO BRAVO
Enfin j'ai adoré BRAVo et moi aussi j'ai pensé au cip de BRitney Spears !!!!
C'est dommage que ce ne soit qu'un OS !!! T'es sur que t'a rien en stock ????
Encore une fois BRAVO BRAVO
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 10/02/2008
Re: confrontation...
alors tout d'abord la chanson de aaron j'adore trop elle est vraiment trop belle
oui la scène de grey's quand mérédith et dans la baignoire je vois trés bien et que dérek la sort !
waa frenchement trop beau OS là aussi on a affaire à une Sara trés fragile elle se drogue mais tout de suite après elle s'en veut j'ai adoré la description quand elle frappe le miroir et quand Michael rentre enfin et qu'il comprend ! Il en a marre, il est desespérer et préfère fuir...Et puis Sara dépité qui tente de mettre fin à ses jours en ce noyant mais Michael arrive et un passage qui m'a fait craquer c'est quand il enlève sa chemise et qu'il la pose contre son corps
Bref trop beau OS trés émouvant bravo !
oui la scène de grey's quand mérédith et dans la baignoire je vois trés bien et que dérek la sort !
waa frenchement trop beau OS là aussi on a affaire à une Sara trés fragile elle se drogue mais tout de suite après elle s'en veut j'ai adoré la description quand elle frappe le miroir et quand Michael rentre enfin et qu'il comprend ! Il en a marre, il est desespérer et préfère fuir...Et puis Sara dépité qui tente de mettre fin à ses jours en ce noyant mais Michael arrive et un passage qui m'a fait craquer c'est quand il enlève sa chemise et qu'il la pose contre son corps
Bref trop beau OS trés émouvant bravo !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
les filles j'ai enfin trouvé le tps de lire vos OS et tous aussi génial les uns que les autres
sarascofield j'ai adoré, c'était vraiment très bien écrit, surtout le fait que sara n'ait pas confiance en elle
fan de brucas démasquée
savannah tjr aussi talentueuse
jdr l'OS en entier, mais le "je t'aime" à la fin
milii milii
très émouvant ton OS
c triste que sara est replongée après tte cette histoire , et en même temps c'est compréhensible, mais heureusement, michael revient pour elle
et pr la musik tkt, je l'ecoute tt le tps dc un peu plus ou un peu moins lol et elle colle parfaitement à ton os dc
gros a toutes pr vos OS
je posterais mon deuxième OS confrontation dans la soirée, et il sera en 3 parties
sarascofield j'ai adoré, c'était vraiment très bien écrit, surtout le fait que sara n'ait pas confiance en elle
fan de brucas démasquée
savannah tjr aussi talentueuse
jdr l'OS en entier, mais le "je t'aime" à la fin
milii milii
très émouvant ton OS
c triste que sara est replongée après tte cette histoire , et en même temps c'est compréhensible, mais heureusement, michael revient pour elle
et pr la musik tkt, je l'ecoute tt le tps dc un peu plus ou un peu moins lol et elle colle parfaitement à ton os dc
gros a toutes pr vos OS
je posterais mon deuxième OS confrontation dans la soirée, et il sera en 3 parties
Re: confrontation...
dacbc un OS en 3 parties
j'ai hâte de les lire
j'ai hâte de les lire
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: confrontation...
Bon j'ai déjà lu tous vos OS et méme pour certains relu!
Mais je crois que le temps est venu de laisser un ptit com non?
J'ai aimé tous vos OS! Ils sont très bien écrit et les idées sont au rendez vous! Ce thème qu'est la confrontation a été très bien choisit et très bien exploité!
Que ce soit le superbe de Savannah où je comprend tout à fait les raisons de Sara..
où celui de Sarascofield avec l'absence de confiance en soi de Sara et les liens fraternels entre Veronica et Michael tout est super!
Et un qui m'a scotché (même si je le répète vous êtes toutes talentueuses!) c'est celui de Miliibnb... La détresse de Sara est tellement bien retranscrite. Elle a rechuté mais elle n'est plus toute seule. Malgrès ses sentiments au début de ton OS, Michael va l'aider, ne va pas la laisser tomber...par amour...
Pour lire aussi toute ta fic je peux dire que tu es une auteur très talentueuse qui trouve toujours les mots justes! Vraiment bravo!
Pour ce qui est de ton OS en trois parties Dacbc c'est aussi très hâte de voir ce que tu vas nous proposer... mais je m'inquiète pas je sais que ça sera forcement de qualité!
Mais je crois que le temps est venu de laisser un ptit com non?
J'ai aimé tous vos OS! Ils sont très bien écrit et les idées sont au rendez vous! Ce thème qu'est la confrontation a été très bien choisit et très bien exploité!
Que ce soit le superbe de Savannah où je comprend tout à fait les raisons de Sara..
où celui de Sarascofield avec l'absence de confiance en soi de Sara et les liens fraternels entre Veronica et Michael tout est super!
Et un qui m'a scotché (même si je le répète vous êtes toutes talentueuses!) c'est celui de Miliibnb... La détresse de Sara est tellement bien retranscrite. Elle a rechuté mais elle n'est plus toute seule. Malgrès ses sentiments au début de ton OS, Michael va l'aider, ne va pas la laisser tomber...par amour...
Pour lire aussi toute ta fic je peux dire que tu es une auteur très talentueuse qui trouve toujours les mots justes! Vraiment bravo!
Pour ce qui est de ton OS en trois parties Dacbc c'est aussi très hâte de voir ce que tu vas nous proposer... mais je m'inquiète pas je sais que ça sera forcement de qualité!
aventurine- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 13/02/2008
Re: confrontation...
voila c'est partie pour la première partie
l'histoire n'a aucun lien avec pb, sauf pr les persos lol
j'avais eu cette idée en entendant une chanson (je vous dirais laquelle à la fin ), et puis je l'ai un peu modifié
http://fr.youtube.com/watch?v=6NTOuDsRFhw
?- Allô?
?- Allô, Mademoiselle Tancredi?
S- Oui, c’est moi.
?- Je travaille au laboratoire d’analyse, et nous venons de recevoir vos résultats.
S- Et… quel est-il?
L- C’est positif.
S- Vous êtes certain?
L- Oui, nous faisons toujours deux analyses pour être sûr de ne pas faire d’erreurs.
S- D’accord.
L- Il faudrait que vous contactiez votre médecin.
S- Bien sûr. Merci, au revoir.
L- Au revoir.
Positif… Comment est-ce que je vais lui dire ça? Comment est-ce qu’il va réagir? Je ne veut pas qu’il me quitte, mais je ne peut pas lui cacher cela, c’est certain. Dire que ce soir nous fêtons nos deux mois ensemble…
Cette lettre… Cela fait une heure que je la fixe, et la relie sans cesse. Les mots se sont imprimés devant mes yeux à force. Je ne voulais pas avoir à faire ce choix, mais je devais m’y attendre. D’ailleurs ce choix est évident, même si cela va causer beaucoup de souffrance. Dire que ce soir je dîne avec Sara.
Dans une heure il vient me chercher, mais contrairement à d’habitude, je ne suis pas du tout dans un état d’esprit joyeux. Il faut que je lui dise le plus rapidement possible, autrement dit, dès qu’il arrivera, mais je ne veut pas gâcher notre soirée.
Je viens de sortir de l’ascenseur, et traverse maintenant le couloir. Je dois lui faire part de mon choix… ce soir, ou plutôt dans quelques minutes. Je frappe doucement à sa porte. Elle vient m’ouvrir…Mon dieu qu’elle est belle.
?- Bonsoir Sara.
S- Bonsoir Michael.
Il s’approche de moi et m’embrasse tendrement. S’il me fixe comme ça, je ne pourrais jamais lui dire.
M- Tu es magnifique.
S- Merci… Michael tu pourrais entrer deux minutes… Il faut que je te dise quelque chose.
M- Bien sûr… et moi aussi il faut que je te parle.
Elle me fait signe d’entrer, et je la suit jusqu’au salon.
S- Tu veux boire un verre?
M- Heu oui, je veut bien un scotch si tu as ça.
S- Un scotch?
M- Oui… j’en ai besoin.
S- D’accord.
Qu’est-ce qu’il va m’annoncer pour boire un scotch avant?… Oh, et puis après tout moi aussi je crois que je vais en avoir besoin. Je nous sers deux verres et reviens m’asseoir à côté de lui.
S- Je…
M- Je…
Nous nous regardons, gênez. Je peut pas lui laisser la parole, alors je boit d’un trait le scotch.
M- Je dois te quitter.
S- Quoi!
Je ne viens pas de rêver là. Il me quitte! Pourquoi? Est-ce qu’il sait? Comment?
M- Sara ça n’a rien à voir avec toi, mais nous deux… ça ne pas continuer.
S- Pourquoi Michael? Pourquoi tu me quittes?
M- Je… Je…
Je ne peut pas lui dire, je ne peut pas la faire souffrir à cause de ça. Je vois déjà ses yeux s’embuer.
S- Réponds-moi Michael!
M- Je…
Il soupire fortement et lève les yeux vers moi.
M- Je suis marié Sara.
Mon souffle est coupé. Il ne peut pas avoir dit ça, c’est impossible… Marié! Je ne peut pas le croire. Cela fait deux mois que nous sommes ensemble, je suis même allé chez lui. Il me ment j’en suis certaine.
M- Je suis désolé Sara, mais… Nika, ma femme, a découvert pour nous, et elle m’a demandé de choisir… Je ne peut pas la quitter.
S- Michael, arrêtes s’il te plait.
M- Nous avons deux enfants, je ne peut pas la quitter, même si je t’aime.
S- Arrêtes de me mentir! Si tu le sais dis-le moi!
Je ne voulais pas faire ça, mais elle m’y oblige. Je sors mon portefeuille et lui montre une photo de moi avec Nika, et nos enfants, Eléa et Armand.
M- C’est ma famille… Je suis désolé.
Mes yeux ont à peine le temps d’apercevoir le visage de ses enfants qui rient, que déjà les larmes les inondent. Il est marié. Il m’a menti, notre histoire est un mensonge. Je n’étais que sa maîtresse pour lui. Tout s’écroule autour de moi. C’est la pire journée de ma vie.
Je viens seulement de réaliser se qu’elle m’a dit « si tu le sais dis-le moi », et qu’est-ce qu’elle voulait me dire?
M- Qu’est-ce que je devrais savoir?
svp ne me pas
l'histoire n'a aucun lien avec pb, sauf pr les persos lol
j'avais eu cette idée en entendant une chanson (je vous dirais laquelle à la fin ), et puis je l'ai un peu modifié
Something to tell
http://fr.youtube.com/watch?v=6NTOuDsRFhw
?- Allô?
?- Allô, Mademoiselle Tancredi?
S- Oui, c’est moi.
?- Je travaille au laboratoire d’analyse, et nous venons de recevoir vos résultats.
S- Et… quel est-il?
L- C’est positif.
S- Vous êtes certain?
L- Oui, nous faisons toujours deux analyses pour être sûr de ne pas faire d’erreurs.
S- D’accord.
L- Il faudrait que vous contactiez votre médecin.
S- Bien sûr. Merci, au revoir.
L- Au revoir.
Positif… Comment est-ce que je vais lui dire ça? Comment est-ce qu’il va réagir? Je ne veut pas qu’il me quitte, mais je ne peut pas lui cacher cela, c’est certain. Dire que ce soir nous fêtons nos deux mois ensemble…
Cette lettre… Cela fait une heure que je la fixe, et la relie sans cesse. Les mots se sont imprimés devant mes yeux à force. Je ne voulais pas avoir à faire ce choix, mais je devais m’y attendre. D’ailleurs ce choix est évident, même si cela va causer beaucoup de souffrance. Dire que ce soir je dîne avec Sara.
Dans une heure il vient me chercher, mais contrairement à d’habitude, je ne suis pas du tout dans un état d’esprit joyeux. Il faut que je lui dise le plus rapidement possible, autrement dit, dès qu’il arrivera, mais je ne veut pas gâcher notre soirée.
Je viens de sortir de l’ascenseur, et traverse maintenant le couloir. Je dois lui faire part de mon choix… ce soir, ou plutôt dans quelques minutes. Je frappe doucement à sa porte. Elle vient m’ouvrir…Mon dieu qu’elle est belle.
?- Bonsoir Sara.
S- Bonsoir Michael.
Il s’approche de moi et m’embrasse tendrement. S’il me fixe comme ça, je ne pourrais jamais lui dire.
M- Tu es magnifique.
S- Merci… Michael tu pourrais entrer deux minutes… Il faut que je te dise quelque chose.
M- Bien sûr… et moi aussi il faut que je te parle.
Elle me fait signe d’entrer, et je la suit jusqu’au salon.
S- Tu veux boire un verre?
M- Heu oui, je veut bien un scotch si tu as ça.
S- Un scotch?
M- Oui… j’en ai besoin.
S- D’accord.
Qu’est-ce qu’il va m’annoncer pour boire un scotch avant?… Oh, et puis après tout moi aussi je crois que je vais en avoir besoin. Je nous sers deux verres et reviens m’asseoir à côté de lui.
S- Je…
M- Je…
Nous nous regardons, gênez. Je peut pas lui laisser la parole, alors je boit d’un trait le scotch.
M- Je dois te quitter.
S- Quoi!
Je ne viens pas de rêver là. Il me quitte! Pourquoi? Est-ce qu’il sait? Comment?
M- Sara ça n’a rien à voir avec toi, mais nous deux… ça ne pas continuer.
S- Pourquoi Michael? Pourquoi tu me quittes?
M- Je… Je…
Je ne peut pas lui dire, je ne peut pas la faire souffrir à cause de ça. Je vois déjà ses yeux s’embuer.
S- Réponds-moi Michael!
M- Je…
Il soupire fortement et lève les yeux vers moi.
M- Je suis marié Sara.
Mon souffle est coupé. Il ne peut pas avoir dit ça, c’est impossible… Marié! Je ne peut pas le croire. Cela fait deux mois que nous sommes ensemble, je suis même allé chez lui. Il me ment j’en suis certaine.
M- Je suis désolé Sara, mais… Nika, ma femme, a découvert pour nous, et elle m’a demandé de choisir… Je ne peut pas la quitter.
S- Michael, arrêtes s’il te plait.
M- Nous avons deux enfants, je ne peut pas la quitter, même si je t’aime.
S- Arrêtes de me mentir! Si tu le sais dis-le moi!
Je ne voulais pas faire ça, mais elle m’y oblige. Je sors mon portefeuille et lui montre une photo de moi avec Nika, et nos enfants, Eléa et Armand.
M- C’est ma famille… Je suis désolé.
Mes yeux ont à peine le temps d’apercevoir le visage de ses enfants qui rient, que déjà les larmes les inondent. Il est marié. Il m’a menti, notre histoire est un mensonge. Je n’étais que sa maîtresse pour lui. Tout s’écroule autour de moi. C’est la pire journée de ma vie.
Je viens seulement de réaliser se qu’elle m’a dit « si tu le sais dis-le moi », et qu’est-ce qu’elle voulait me dire?
M- Qu’est-ce que je devrais savoir?
svp ne me pas
Re: confrontation...
comment tu peux me faire ça
je vais te tuer ça c'est sur je boude
en tout cas c'est super comme tous tes écrits
dit Sara elle est enceinte ???????????
en tout cas il a déjà une famille donc
je sais pas si je vais continuer à te parler
un tout petit
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: confrontation...
bon déjà merci à toi dacbc pour ton com et aussi a aventurine... ça me touche beaucoup tout ce que tu dis autant pour ma fic que pour cet OS... merci...
et sinon pour ton OS dacbc... putain michale j'ai le droit de lui foutre une baffe ???? nan parce que là ça me démange bien comme il faut... mais quel enc*** !!!! hum pardon je m'emporte... j'ai hâte de voir la suite et la façon dont il va réagir à la nouvelle de sara... on est sencé pas avoir trouvé ce que c'était? parce que c'ets un peu évident!!!
très bon OS... je suis en attente de la confrontation et de sa réaction !!
et sinon pour ton OS dacbc... putain michale j'ai le droit de lui foutre une baffe ???? nan parce que là ça me démange bien comme il faut... mais quel enc*** !!!! hum pardon je m'emporte... j'ai hâte de voir la suite et la façon dont il va réagir à la nouvelle de sara... on est sencé pas avoir trouvé ce que c'était? parce que c'ets un peu évident!!!
très bon OS... je suis en attente de la confrontation et de sa réaction !!
Re: confrontation...
svp ne me pas
Comment veux tu qu'on ne te t'as vu ce que tu fais.
un Michael devenu un vrai salopiooooooo pas d'accord moi
UNE SUITE POTABLE EST EXIGEE LA...
Re: confrontation...
bon c'est encore moi oups'
alors j'avais cherchais un sujet de confrantation entre Mike et Sara mais impossible. De ce côté la, on ne peut pas dire que l'inspiration soit trop copine avec moi. Du coup j'ai abandonné l'idée. Et puis Tinkerbel m'a fait remarqué que dans ma fic (boulet, la fille qui n'avait même pas remarqué toute seule lol) il y avait une petite confrontation entre Mike et son père. Alors je la poste la, en espérant que c'est possible. TiNk à bien réagit à cette confrontation alors j'éspère que vous aussi lol.
Extrait de ma fic sur prison break (qui n'a même pas de titre, quelle honte)
...
Lincoln : Michael je… je suis vraiment désolé pour… pour Sara… je…je n’avais pas vu qu’elle…
Michael : Ca va…
Lincoln : Tu sais… je ne serais pas parti si…
Michael : C’est bon, j’ai dit « ça va »… (Quelques secondes plus tard et après une inspiration sèche) Elle va bien.
Lincoln : (soulagé) Dieu merci.
Michael : Je vais aller la chercher Linc…
Lincoln : (choqué par la détermination du ton qu’il avait prit en disant cette phrase) Mais tu ne peux pas faire ça Michael, avec l’accusation qui pèse sur elle, ils l’ont sûrement déjà arrêtée…
Michael : Je ne partirais sans elle Linc…
Lincoln : Mais c’est du suicide Michael…
Michael : (il éleva la voix) Il est hors de question que je la laisse toute seule.
Lincoln : Mais enfin Mike, tu réalises ce que t’es entrain de dire ?
Michael : Je vais la chercher, point final.
(...)
Le visage de Michael était tendu, les traits marquant sa quiétude, ne cessaient de s’accroître à mesure qu’ils approchaient de l’endroit où pour la première fois depuis son départ, il allait revoir son père. Il appréhendait ce moment car il n’avait toujours pas digéré le fait que cet homme les avait abandonné son frère et lui, et ce malgré le fait que Lincoln l’avait éclairé sur les intentions de ce dernier. Lincoln lui-même, ne savait pas exactement de quoi il était question, mais cette seule phrase : « nous avons le moyen de les arrêter, vous n’avez plus besoin de fuir » que son père lui avait dit au téléphone, raisonnait inlassablement dans sa tête et suffisait amplement à le convaincre de le retrouver et par la même occasion revoir son fils. Quant à Michael, son esprit étant régenté par les seules pensées de Sara à L’hôpital, l’empêchait de trouver la force de s’insurger contre ça. Il la revoyait allongée sur ce lit, inerte, s’approchant d’elle doucement, tendant sa main jusqu’à son doux visage, caressant sa joue tout en pressant délicatement son pouce contre ses lèvres. Il voulut lui prendre la main, mais la voyant enchaînée, il comprit que c’était sans elle, qu’il partirait. Mais il était décidé, il retournerait la chercher, et plutôt qu’il ne l’imaginait. Le moteur à présent arrêté, sortit Michael de ses pensées l’obligeant à faire face à la réalité que Lincoln venait de lui rappeler «On y ait Michael, il nous attend ». Ils sortirent de la voiture pour se diriger vers la maison. En plus de l’appréhension de cette rencontre qui régnait en lui, Michael sentit comme une tension lui glacer le sang, comme s’il allait se passer quelque chose d’inattendu. Toutes les épreuves qu’il avait traversé jusque là, l’avait naturellement poussé à être méfiant quelque soit la situation dans laquelle il se trouvait même s’il avait un plan tout tracé pour tout. Le voila à présent face à face avec l’homme qu’il redoutait de revoir. Le simple fait de l’avoir devant lui prodiguait en lui des sensations craintives. Aldo S’approcha d’un pas certain vers Michael comme si de rien n’était, ses traits expressifs d’une joie immense dont le sourire ne trompait pas, n’arrivaient pas à convaincre Michael, il fit quelques pas oppressés en arrière comme s’il ne pouvait pas faire autrement. C’était trop facile, cela ne pouvait pas se passer comme ça, il avait besoin d’explications même s’il savait que ce n’était pas le moment.
Aldo : Michael, je comprends ce que tu ressens, mais je ne…
Michael : Oh non, je ne crois pas.
Aldo : …mais je ne pouvais pas faire autrement.
Michael : le choix était pourtant simple : Ta famille ou ton travail.
Aldo : C’est beaucoup plus compliqué que ça.
Michael : C’est compliqué, parce que tu as décidé que ça devait l’être.
Lincoln : Ecoute Michael, Au point où on en est, cela ne sert à rien de réagir de la sorte, écoutons plutôt ce qu’il a à nous dire.
Michael : Rien de ce qu’il dira ou entreprendra ne viendra entraver mes plans.
Lincoln : Mais Mike…
Michael : C’est dit, et je ne reviendrais pas là dessus.
Michael avait du mal à garder son sang froid face à lui, il encaissait chacun de ses mots comme une attaque le visant personnellement. Mais Aldo n’avait pas fait tout ce chemin pour repartir bredouille, il décida donc face au comportement réticent de son fils de commencer par ce qu’il croyais être la fin de ses révélations.
Aldo : J’ai cru comprendre, au vu des évènements, que tu attachais une certaine importance au docteur Tancredi… mais sais tu qu’a l’heure où l’on parle, un danger imminent la guète ?
Lincoln : Oui ça on le sait déjà, et d’ailleurs j’ai bien peur qu’elle soit déjà entre les mains des autorités.
Michael (A bout) Laissez Sara où elle est, c’est déjà assez, tout ce qu’elle a dû subir par ma faute.
Aldo : Tu ne sembles pas entendre ce que je dis, je comprends ce que tu ressens vis-à-vis de moi et je savais qu’entre nous, il y aurait de l’électricité dans l’air, mais tu dois savoir ce qu’il en est.
Michael : J’en sais suffisamment et je n’ai guerre besoin de ton aide, jusqu’à présent je m’en suis toujours sortit impeccablement.
Aldo : Ecoute Michael, ce n’est pas un hasard, si elle se retrouve mêlée à tout ça, crois moi, son père y a bien contribué, alors même si tu ne l’avait jamais rencontrer…
Michael : (criant) Son père est mort à présent, encore une grossière erreur commise par ma faute et mon incessante envi de tout contrôler.
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
Aldo : (criant à son tour) Michael ! Son père avait des contacts avec la compagnie et quand il s’est rendu compte comme moi que les profits dont-il usé librement avait un prix fort élevé, il voulut se rétracter mais c’était trop tard. Comment crois tu qu’il est devenu gouverneur, hein ?
Cette révélation avait sidéré les deux frères au point qu’aucun mot de parvenait à s’échapper de leurs bouches et laissant ainsi le silence maître de la situation. Puis Aldo repris.
Aldo : (D’un ton bien plus calme) La compagnie s’est débarrassée de lui parce qu’il était devenu gênant à force de fourrer son nez partout et non à cause de toi. Il avait une preuve irréfutable pour la faire tomber au grand jour, et vu l’acharnement qui se propage sur elle, je suis prêt à mettre ma main à couper qu’elle est en sa possession.
Michael : (forcé d’admettre que son père avait peut - être raison) De quoi s’agit-il exactement ?
Aldo : Une conversation entre la présidente Reynolds et son cher frère, plusieurs jours après l’annonce de sa mort.
Michael et Lincoln n’en revenaient pas de ce qu’ils venaient d’entendre. Il était à présent clair qu’ils devaient tout faire pour récupérer cet enregistrement afin d’innocenter Lincoln. Après ça Michael espérait que Sara trouve l’oiseau de papier mais aussi la force de croire encore en lui et le contacter. Mais une vague d’angoisse traversa tout son corps, il ne pouvait attendre que les choses se passe. Il demanda les clefs de la voiture à Lincoln que ce dernier lui remit, s’empara de l’arme qui était posé sur la petite table à côté d’eux et quitta la pièce d’un d’air décidé, il allait la chercher.
Aldo et Lincoln : (ensemble) Michael, reviens…
alors j'avais cherchais un sujet de confrantation entre Mike et Sara mais impossible. De ce côté la, on ne peut pas dire que l'inspiration soit trop copine avec moi. Du coup j'ai abandonné l'idée. Et puis Tinkerbel m'a fait remarqué que dans ma fic (boulet, la fille qui n'avait même pas remarqué toute seule lol) il y avait une petite confrontation entre Mike et son père. Alors je la poste la, en espérant que c'est possible. TiNk à bien réagit à cette confrontation alors j'éspère que vous aussi lol.
Extrait de ma fic sur prison break (qui n'a même pas de titre, quelle honte)
...
Lincoln : Michael je… je suis vraiment désolé pour… pour Sara… je…je n’avais pas vu qu’elle…
Michael : Ca va…
Lincoln : Tu sais… je ne serais pas parti si…
Michael : C’est bon, j’ai dit « ça va »… (Quelques secondes plus tard et après une inspiration sèche) Elle va bien.
Lincoln : (soulagé) Dieu merci.
Michael : Je vais aller la chercher Linc…
Lincoln : (choqué par la détermination du ton qu’il avait prit en disant cette phrase) Mais tu ne peux pas faire ça Michael, avec l’accusation qui pèse sur elle, ils l’ont sûrement déjà arrêtée…
Michael : Je ne partirais sans elle Linc…
Lincoln : Mais c’est du suicide Michael…
Michael : (il éleva la voix) Il est hors de question que je la laisse toute seule.
Lincoln : Mais enfin Mike, tu réalises ce que t’es entrain de dire ?
Michael : Je vais la chercher, point final.
(...)
Le visage de Michael était tendu, les traits marquant sa quiétude, ne cessaient de s’accroître à mesure qu’ils approchaient de l’endroit où pour la première fois depuis son départ, il allait revoir son père. Il appréhendait ce moment car il n’avait toujours pas digéré le fait que cet homme les avait abandonné son frère et lui, et ce malgré le fait que Lincoln l’avait éclairé sur les intentions de ce dernier. Lincoln lui-même, ne savait pas exactement de quoi il était question, mais cette seule phrase : « nous avons le moyen de les arrêter, vous n’avez plus besoin de fuir » que son père lui avait dit au téléphone, raisonnait inlassablement dans sa tête et suffisait amplement à le convaincre de le retrouver et par la même occasion revoir son fils. Quant à Michael, son esprit étant régenté par les seules pensées de Sara à L’hôpital, l’empêchait de trouver la force de s’insurger contre ça. Il la revoyait allongée sur ce lit, inerte, s’approchant d’elle doucement, tendant sa main jusqu’à son doux visage, caressant sa joue tout en pressant délicatement son pouce contre ses lèvres. Il voulut lui prendre la main, mais la voyant enchaînée, il comprit que c’était sans elle, qu’il partirait. Mais il était décidé, il retournerait la chercher, et plutôt qu’il ne l’imaginait. Le moteur à présent arrêté, sortit Michael de ses pensées l’obligeant à faire face à la réalité que Lincoln venait de lui rappeler «On y ait Michael, il nous attend ». Ils sortirent de la voiture pour se diriger vers la maison. En plus de l’appréhension de cette rencontre qui régnait en lui, Michael sentit comme une tension lui glacer le sang, comme s’il allait se passer quelque chose d’inattendu. Toutes les épreuves qu’il avait traversé jusque là, l’avait naturellement poussé à être méfiant quelque soit la situation dans laquelle il se trouvait même s’il avait un plan tout tracé pour tout. Le voila à présent face à face avec l’homme qu’il redoutait de revoir. Le simple fait de l’avoir devant lui prodiguait en lui des sensations craintives. Aldo S’approcha d’un pas certain vers Michael comme si de rien n’était, ses traits expressifs d’une joie immense dont le sourire ne trompait pas, n’arrivaient pas à convaincre Michael, il fit quelques pas oppressés en arrière comme s’il ne pouvait pas faire autrement. C’était trop facile, cela ne pouvait pas se passer comme ça, il avait besoin d’explications même s’il savait que ce n’était pas le moment.
Aldo : Michael, je comprends ce que tu ressens, mais je ne…
Michael : Oh non, je ne crois pas.
Aldo : …mais je ne pouvais pas faire autrement.
Michael : le choix était pourtant simple : Ta famille ou ton travail.
Aldo : C’est beaucoup plus compliqué que ça.
Michael : C’est compliqué, parce que tu as décidé que ça devait l’être.
Lincoln : Ecoute Michael, Au point où on en est, cela ne sert à rien de réagir de la sorte, écoutons plutôt ce qu’il a à nous dire.
Michael : Rien de ce qu’il dira ou entreprendra ne viendra entraver mes plans.
Lincoln : Mais Mike…
Michael : C’est dit, et je ne reviendrais pas là dessus.
Michael avait du mal à garder son sang froid face à lui, il encaissait chacun de ses mots comme une attaque le visant personnellement. Mais Aldo n’avait pas fait tout ce chemin pour repartir bredouille, il décida donc face au comportement réticent de son fils de commencer par ce qu’il croyais être la fin de ses révélations.
Aldo : J’ai cru comprendre, au vu des évènements, que tu attachais une certaine importance au docteur Tancredi… mais sais tu qu’a l’heure où l’on parle, un danger imminent la guète ?
Lincoln : Oui ça on le sait déjà, et d’ailleurs j’ai bien peur qu’elle soit déjà entre les mains des autorités.
Michael (A bout) Laissez Sara où elle est, c’est déjà assez, tout ce qu’elle a dû subir par ma faute.
Aldo : Tu ne sembles pas entendre ce que je dis, je comprends ce que tu ressens vis-à-vis de moi et je savais qu’entre nous, il y aurait de l’électricité dans l’air, mais tu dois savoir ce qu’il en est.
Michael : J’en sais suffisamment et je n’ai guerre besoin de ton aide, jusqu’à présent je m’en suis toujours sortit impeccablement.
Aldo : Ecoute Michael, ce n’est pas un hasard, si elle se retrouve mêlée à tout ça, crois moi, son père y a bien contribué, alors même si tu ne l’avait jamais rencontrer…
Michael : (criant) Son père est mort à présent, encore une grossière erreur commise par ma faute et mon incessante envi de tout contrôler.
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
Aldo : (criant à son tour) Michael ! Son père avait des contacts avec la compagnie et quand il s’est rendu compte comme moi que les profits dont-il usé librement avait un prix fort élevé, il voulut se rétracter mais c’était trop tard. Comment crois tu qu’il est devenu gouverneur, hein ?
Cette révélation avait sidéré les deux frères au point qu’aucun mot de parvenait à s’échapper de leurs bouches et laissant ainsi le silence maître de la situation. Puis Aldo repris.
Aldo : (D’un ton bien plus calme) La compagnie s’est débarrassée de lui parce qu’il était devenu gênant à force de fourrer son nez partout et non à cause de toi. Il avait une preuve irréfutable pour la faire tomber au grand jour, et vu l’acharnement qui se propage sur elle, je suis prêt à mettre ma main à couper qu’elle est en sa possession.
Michael : (forcé d’admettre que son père avait peut - être raison) De quoi s’agit-il exactement ?
Aldo : Une conversation entre la présidente Reynolds et son cher frère, plusieurs jours après l’annonce de sa mort.
Michael et Lincoln n’en revenaient pas de ce qu’ils venaient d’entendre. Il était à présent clair qu’ils devaient tout faire pour récupérer cet enregistrement afin d’innocenter Lincoln. Après ça Michael espérait que Sara trouve l’oiseau de papier mais aussi la force de croire encore en lui et le contacter. Mais une vague d’angoisse traversa tout son corps, il ne pouvait attendre que les choses se passe. Il demanda les clefs de la voiture à Lincoln que ce dernier lui remit, s’empara de l’arme qui était posé sur la petite table à côté d’eux et quitta la pièce d’un d’air décidé, il allait la chercher.
Aldo et Lincoln : (ensemble) Michael, reviens…
Re: confrontation...
dacbc77 waouuuuu quel suspence!!!!!Mais pov' Sara!!
Et Islemmedemars bahhh moi jlavaisdéja lu mais je les relu et j'adore tjr autant!!!!
Et Islemmedemars bahhh moi jlavaisdéja lu mais je les relu et j'adore tjr autant!!!!
Re: confrontation...
islemmedemars une fois encore
heureuse de voir que je sert à quelque chose
c'est super j'ai adoré (encore ), LA SUITE est obligatoire (dans ta fic )
et dacbc tu sais pourquoi
heureuse de voir que je sert à quelque chose
c'est super j'ai adoré (encore ), LA SUITE est obligatoire (dans ta fic )
et dacbc tu sais pourquoi
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: confrontation...
Merci beaucoup avanturine et dacbc contente que sa vous ait plus^^
et oui tu m'as démasquée je n'ai qu'une chose à dire a bat leyton vive brucas
commençons par le OS de dacbc :
Bon pas besoin de lire plus bas pour comprendre que miss tancredi est enceinte ! C'est bien mais...
2 mois qu'ils sont ensemble et elle est déjà enceinte...dur, dur...
Et bam il lui annonce qu'il veut un scoth et lui balance sa "M- Je dois te quitter." en pleine figure quel bouffon !
et pire : il est marié et à des enfants ! OMG ! t'es tomber sur la tête ou quoi !!!!
met vite la suite stp !
Islemmedemars :
tout d'abord :
j'ai bien aimer la dispute entre Michael et son père, surtout ce moment là,
J'adore ta façon décrire, bref trés beau OS
fan de brucas démasquée
et oui tu m'as démasquée je n'ai qu'une chose à dire a bat leyton vive brucas
commençons par le OS de dacbc :
S- Et… quel est-il?
L- C’est positif.
Bon pas besoin de lire plus bas pour comprendre que miss tancredi est enceinte ! C'est bien mais...
Dire que ce soir nous fêtons nos deux mois ensemble…
2 mois qu'ils sont ensemble et elle est déjà enceinte...dur, dur...
Et bam il lui annonce qu'il veut un scoth et lui balance sa "M- Je dois te quitter." en pleine figure quel bouffon !
et pire : il est marié et à des enfants ! OMG ! t'es tomber sur la tête ou quoi !!!!
met vite la suite stp !
Islemmedemars :
tout d'abord :
j'ai bien aimer la dispute entre Michael et son père, surtout ce moment là,
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
J'adore ta façon décrire, bref trés beau OS
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
tinkerbel a écrit:islemmedemars une fois encore
heureuse de voir que je sert à quelque chose
c'est super j'ai adoré (encore ), LA SUITE est obligatoire (dans ta fic )
et dacbc tu sais pourquoi
J'ai déja posté la suite lool, a moins que tu l'ai déja vu...
Islemmedemars :
tout d'abord :
j'ai bien aimer la dispute entre Michael et son père, surtout ce moment là,
Citation:
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
J'adore ta façon décrire, bref trés beau OS
Merci beaucoup.
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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