OS Et si...[What if...]
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: OS Et si...[What if...]
¨Possible mais je doute qu'on ait eu la meme idée, du moins j'espère, surtout que la mienne elle ressemble un peu a nawak...poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:pour ce qui est de la photo je kiff le petit chat qui se ballade de partout lol
quans a ta suite
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
mais qu'est tu lui a fait A Sara sniffffffffff, na c'est juste.
Une suite correte s'impose a présent.
quant à moi je vais posté un OS aussi et si Sara n'avait pas ouvert la porte...
Oh putain merde Islemme... va y avoir 2 OS sur le même sujet je crois
Re: OS Et si...[What if...]
ben moi y'aura 2 ou 3 parties et j'ai bientôt fini la première... je vais poster dans pas longtemps je penseIslemmedemars a écrit:¨Possible mais je doute qu'on ait eu la meme idée, du moins j'espère, surtout que la mienne elle ressemble un peu a nawak...poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:pour ce qui est de la photo je kiff le petit chat qui se ballade de partout lol
quans a ta suite
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
mais qu'est tu lui a fait A Sara sniffffffffff, na c'est juste.
Une suite correte s'impose a présent.
quant à moi je vais posté un OS aussi et si Sara n'avait pas ouvert la porte...
Oh putain merde Islemme... va y avoir 2 OS sur le même sujet je crois
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
Donc comme je viens de le dire (à la base je voulais le préciser après, mais c'est pas grave), mon WHAT IF est "et si Sara n'avait pas laissé la porte ouverte"... a priori l'OS comporte 2 (ou 3?) parties dont voici la première... évidemment, ce qui m'intéresse dans le sujet, c'est la confrontation Michael/Sara, mais ça c'est pour le prochain épisode
EN tout cas Islemme, ça va être marrant de voir le même sujet traité de 2 façons différentes !!
Partie 1 :
A 100 mètres... ils se trouvaient tous à maximum 100 mètres du mur. Derrière cette porte, derrière cette salle, derrière cette fenêtre, après ce câble, il y avait tout : l’espoir, la liberté, la vie sauve de Lincoln mais aussi le danger, la fuite, la peur.
Michael n’avait jamais eu le cœur qui battait aussi vite, les paumes si moites, l’esprit si confus et tourmenté. C’était la première fois que l’angoisse le tenaillait autant depuis le début de son projet fou. Rien avant, ne lui avait fait cet effet : ni la violence des gardiens, ni les provocations perverses de T-bag, ni l’amputation d’Abruzzi, ni les yeux d’aliéné de Patoshik, pas même la crainte que son plan soit découvert… Alors, qu’est-ce qui pouvait autant l’émouvoir devant cette porte, à quelques minutes de son évasion. Etait-ce le risque de se faire descendre par un garde ? Etait-ce la peur d’échouer si prêt du but ? Etait-ce la culpabilité d’emmener avec lui la moitié des psychopathes du pays ? Ou bien était-ce le fait que ce soit Sara qui permette ou interdise tout ça ?
-Sucre : Hé papi, tu l’ouvres cette porte ou on est tous bons pour la chaise électrique ?
Michael respira un grand coup pour se donner le courage d’ouvrir. La bouffée d’oxygène lui fit reprendre espoir, il croyait en Sara, il avait lu ses sentiments dans ses yeux, il y avait vu son trouble et son attachement pour lui… il posa sa main tremblante sur la poignée, pria intérieurement Sara de leur laisser cette chance et tourna d’un coup sec…
-C-Note : quoi, qu’est-ce qui se passe ? La porte est bloquée ???
-Michael : non je ne sais pas, elle est coincée, ça n’est possible…
-Lincoln : Michael, comment cette porte peut-elle être coincée ?
Sucre poussa Michael et essaya à son tour.
-Sucre : elle n’est pas coincée, elle est fermée papi… oh non, madre de dios, on est dans la mierda jusqu’au cou…
-Michael : non, non, ça n’est pas possible, elle n’aurait pas fait ça, elle n’aurait pas fermé. J’étais sûr qu’elle laisserait la porte ouverte, elle ne peut pas vouloir la mort de Lincoln, elle ne peut pas vouloir ma perte, elle ne peut pas…
Avant que Michael ne finisse sa phrase, T-bag se rua sur lui et lui assena un coup de poing en plein visage immédiatement suivi de deux coups encore plus violents dans l’estomac… Michael fut projeté contre le mur, suffoquant…
-T-bag : tu te fous de nous, le bleu ? On n’a pas signé pour une évasion ratée, si tu ne me fais pas sortir immédiatement de ce trou, c’est toi qui sortira demain les deux pieds devant…
Abruzzi intervint et pour la première fois depuis des semaines, sourit à T-bag…
-Abruzzi : on est foutu là, alors pourquoi attendre demain pour le descendre ?
S’ensuivit alors une bagarre générale ou Sucre et Lincoln tentèrent de protéger Michael des poings et des pieds des deux hommes déchaînés.
Westmorland s’était affalé contre une cloison, la main sur sa plaie saignante, le regard perdu, l’esprit probablement occupé par sa fille. Il avait une maigre consolation, celle qu’ils vivaient leurs dernières heures simultanément… c’était son ultime façon d’être avec elle.
Tweener avait reculé, il était nerveux, il n’avait jamais vraiment voulu d’une évasion, alors une évasion ratée cela lui convenait encore moins… ils allaient tous se faire prendre et leur peine serait sûrement doubler. C’en était trop pour ses épaules de gamin paumé, trop pour avoir volé une seule et misérable carte de base-ball, une vie en l’air pour un bout de papier insignifiant ! Quelle ironie… Il regarda le cousin de Sucre qui semblait aussi perdu et affolé que lui… Au moins il n’était pas le seul à avoir la trouille.
Patoshik était probablement le seul à n’être ni déçu, ni furieux, ni inquiet de la tournure des évènements. Tout ce remue-ménage était pour lui un divertissement et s’il était amené à retourner en cellule psychiatrique dans les jours à venir, il ne s’apercevrait sûrement pas que c’était le lieu même, que ce soir, il avait tenté de fuir.
C-Note avait déserté la bagarre. Il ressentait suffisamment de rage pour faire payer à Michael tous les faux espoirs qu’il avait créé mais il savait - en homme intelligent - que l’enjeu du moment n’était pas de savoir qui le premier réussirait à faire la peau à Scofield mais bien de quelle manière retourner le plus discrètement possible dans leur cellule respective.
-C-Note : les mecs, je ne sais pas vous, mais moi je rebrousse chemin, il y a encore une chance de refaire le trajet à l’envers et d’effacer nos traces.
A l’entente de ces mots, T-bag lâcha Michael et pesta :
-T-bag : dès que je peux, je te bute Scofield, après m’être un peu amusé avec toi, si tu vois ce que je veux dire.
T-bag fit un clin d’œil complice à Lincoln, qui se retint de le lui faire payer.
-Abruzzi : allez le bleu, tu nous ramènes tous dans nos cellules et tu nous bordes ou t’es un homme mort…
Anéanti, Michael tenta de se surpasser pour se relever et clarifier ses pensées. C-Note avait raison, la seule échappatoire était de repartir TOUS en arrière, de retourner chacun dans sa cellule.
-Lincoln : vite, on a peu de temps…
Les hommes reprirent le chemin en sens inverse, Michael en tête du cortège et Westmorland soutenu par Lincoln et Sucre. Il leur restait 20 minutes pour revenir sur leur pas, supprimer d’éventuelles preuves compromettantes et réintégrer leur cellule. Le cerveau de Michael bouillonnait mais ne parvenait pas à des solutions claires : comment tout arranger ? Que faire de Bellick, Pope... et Sara ?
Au même moment, en plein cœur de Chicago ( ), l’appartement n°236 du 1616 Vanleer Drive était plongé dans le noir, une silhouette à la fenêtre… Ni bruit, ni lumière… seul le clair de lune faisait briller des traînées de larmes sur le visage d’une jeune femme...
(on se demande bien qui c’est )
EN tout cas Islemme, ça va être marrant de voir le même sujet traité de 2 façons différentes !!
Partie 1 :
A 100 mètres... ils se trouvaient tous à maximum 100 mètres du mur. Derrière cette porte, derrière cette salle, derrière cette fenêtre, après ce câble, il y avait tout : l’espoir, la liberté, la vie sauve de Lincoln mais aussi le danger, la fuite, la peur.
Michael n’avait jamais eu le cœur qui battait aussi vite, les paumes si moites, l’esprit si confus et tourmenté. C’était la première fois que l’angoisse le tenaillait autant depuis le début de son projet fou. Rien avant, ne lui avait fait cet effet : ni la violence des gardiens, ni les provocations perverses de T-bag, ni l’amputation d’Abruzzi, ni les yeux d’aliéné de Patoshik, pas même la crainte que son plan soit découvert… Alors, qu’est-ce qui pouvait autant l’émouvoir devant cette porte, à quelques minutes de son évasion. Etait-ce le risque de se faire descendre par un garde ? Etait-ce la peur d’échouer si prêt du but ? Etait-ce la culpabilité d’emmener avec lui la moitié des psychopathes du pays ? Ou bien était-ce le fait que ce soit Sara qui permette ou interdise tout ça ?
-Sucre : Hé papi, tu l’ouvres cette porte ou on est tous bons pour la chaise électrique ?
Michael respira un grand coup pour se donner le courage d’ouvrir. La bouffée d’oxygène lui fit reprendre espoir, il croyait en Sara, il avait lu ses sentiments dans ses yeux, il y avait vu son trouble et son attachement pour lui… il posa sa main tremblante sur la poignée, pria intérieurement Sara de leur laisser cette chance et tourna d’un coup sec…
-C-Note : quoi, qu’est-ce qui se passe ? La porte est bloquée ???
-Michael : non je ne sais pas, elle est coincée, ça n’est possible…
-Lincoln : Michael, comment cette porte peut-elle être coincée ?
Sucre poussa Michael et essaya à son tour.
-Sucre : elle n’est pas coincée, elle est fermée papi… oh non, madre de dios, on est dans la mierda jusqu’au cou…
-Michael : non, non, ça n’est pas possible, elle n’aurait pas fait ça, elle n’aurait pas fermé. J’étais sûr qu’elle laisserait la porte ouverte, elle ne peut pas vouloir la mort de Lincoln, elle ne peut pas vouloir ma perte, elle ne peut pas…
Avant que Michael ne finisse sa phrase, T-bag se rua sur lui et lui assena un coup de poing en plein visage immédiatement suivi de deux coups encore plus violents dans l’estomac… Michael fut projeté contre le mur, suffoquant…
-T-bag : tu te fous de nous, le bleu ? On n’a pas signé pour une évasion ratée, si tu ne me fais pas sortir immédiatement de ce trou, c’est toi qui sortira demain les deux pieds devant…
Abruzzi intervint et pour la première fois depuis des semaines, sourit à T-bag…
-Abruzzi : on est foutu là, alors pourquoi attendre demain pour le descendre ?
S’ensuivit alors une bagarre générale ou Sucre et Lincoln tentèrent de protéger Michael des poings et des pieds des deux hommes déchaînés.
Westmorland s’était affalé contre une cloison, la main sur sa plaie saignante, le regard perdu, l’esprit probablement occupé par sa fille. Il avait une maigre consolation, celle qu’ils vivaient leurs dernières heures simultanément… c’était son ultime façon d’être avec elle.
Tweener avait reculé, il était nerveux, il n’avait jamais vraiment voulu d’une évasion, alors une évasion ratée cela lui convenait encore moins… ils allaient tous se faire prendre et leur peine serait sûrement doubler. C’en était trop pour ses épaules de gamin paumé, trop pour avoir volé une seule et misérable carte de base-ball, une vie en l’air pour un bout de papier insignifiant ! Quelle ironie… Il regarda le cousin de Sucre qui semblait aussi perdu et affolé que lui… Au moins il n’était pas le seul à avoir la trouille.
Patoshik était probablement le seul à n’être ni déçu, ni furieux, ni inquiet de la tournure des évènements. Tout ce remue-ménage était pour lui un divertissement et s’il était amené à retourner en cellule psychiatrique dans les jours à venir, il ne s’apercevrait sûrement pas que c’était le lieu même, que ce soir, il avait tenté de fuir.
C-Note avait déserté la bagarre. Il ressentait suffisamment de rage pour faire payer à Michael tous les faux espoirs qu’il avait créé mais il savait - en homme intelligent - que l’enjeu du moment n’était pas de savoir qui le premier réussirait à faire la peau à Scofield mais bien de quelle manière retourner le plus discrètement possible dans leur cellule respective.
-C-Note : les mecs, je ne sais pas vous, mais moi je rebrousse chemin, il y a encore une chance de refaire le trajet à l’envers et d’effacer nos traces.
A l’entente de ces mots, T-bag lâcha Michael et pesta :
-T-bag : dès que je peux, je te bute Scofield, après m’être un peu amusé avec toi, si tu vois ce que je veux dire.
T-bag fit un clin d’œil complice à Lincoln, qui se retint de le lui faire payer.
-Abruzzi : allez le bleu, tu nous ramènes tous dans nos cellules et tu nous bordes ou t’es un homme mort…
Anéanti, Michael tenta de se surpasser pour se relever et clarifier ses pensées. C-Note avait raison, la seule échappatoire était de repartir TOUS en arrière, de retourner chacun dans sa cellule.
-Lincoln : vite, on a peu de temps…
Les hommes reprirent le chemin en sens inverse, Michael en tête du cortège et Westmorland soutenu par Lincoln et Sucre. Il leur restait 20 minutes pour revenir sur leur pas, supprimer d’éventuelles preuves compromettantes et réintégrer leur cellule. Le cerveau de Michael bouillonnait mais ne parvenait pas à des solutions claires : comment tout arranger ? Que faire de Bellick, Pope... et Sara ?
Au même moment, en plein cœur de Chicago ( ), l’appartement n°236 du 1616 Vanleer Drive était plongé dans le noir, une silhouette à la fenêtre… Ni bruit, ni lumière… seul le clair de lune faisait briller des traînées de larmes sur le visage d’une jeune femme...
(on se demande bien qui c’est )
Dernière édition par poupinette444 le Mer 21 Mai - 15:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
Aller, je me lance, pas trop fort quand même... je poste aprés je sors promis.
Michael : Sara ? Je vais m’évader… ce soir, et… j’emmène mon frère avec moi.
Sara : (surprise) Quoi ? Et...et … pourquoi me le dit vous ?
Michael : J’ai besoin de votre aide…
Sara (interloquée, la bouche ouverte et les yeux écarquilles) je… je ne vois pas en quoi je pourrais vous aider… et je ne comprends pas, pourquoi moi ?
Michael : c’est par l’infirmerie que nous partirons, je vous demande juste de ne pas fermer la porte en partant.
Sara : (levant la voix fortement et d’un air choqué) L’infirmerie ? Etes vous conscient de ce que vous me demandez ?
Michael : Oui, je le suis, mais je dois faire sortir mon frère d’ici où ils le tueront pour un crime qu’il n’a pas commis.
Sara : Michael vous ne devez pas faire et ça et encore moins me le dire ?
Michael : Il le faut, je ne peux les laisser faire sans réagir...
Sara : Si je comprends bien, vous voulez que je me risque moi, pour sauver votre frère, avez-vous une idée de ce qui m’attend ? C’est une faute grave que de…
Michael : je vous demande juste de commettre une erreur…
Sara : Une erreur, vous n’avez pas l’air de comprendre… je suis consciente pour votre frère et… et j’ai fait tout… tout ce que j’ai pu auprès de mon père, mais ne m’en demandez pas plus, surtout pas ça, j’en serais incapable et vous le savez.
Michael : Vous êtes ma dernière chance…Sara
Sara : Fallait y penser avant… et un conseil, taisez vous maintenant…car je vous garantie pas mon silence.
Michael se retourna l’air dépité, et frappa un grand coup sur le mur, puis plusieurs fois de suite au point de se blesser. On pouvait lire à présent une colère immense dans l’expression de son visage tout en distinguant le désespoir qui s’emparait de lui. Sara inquiète, s’approcha de lui, tendit sa main pour attraper la sienne, mais dans un élan incontrôlé et une force presque surhumaine, il poussa la main de Sara et plus encore, ce qui la fit chavirer et tomber à terre.
Sara : Oh !
Michael : (choqué par son acte, il se jeta par terre) Pardon Sara, pardon, je… je ne voulais pas faire…
Sara : (Eberluée par le comportement de Michael) Docteur Tancredi
Michael : Comment ?
Sara : (Elle répéta ce qu’il a dit d’un ton austère) Pardon (Et ajouta) Docteur Tancredi
Il lui tendit la main pour l’aider à se relever, elle le regarda d’un air hautain puis s’appuya sur le bureau posté derrière elle pour se remettre debout seule. Le silence qui s’était imposé alors, marqua d’avantage la tension qui pesait entre eux.
Michael : Sara…. Je suis dé…
Sara : Non ! Michael…
Elle s’empara du combiné du téléphone accroché sur le mur au dessus de son bureau, pressa une première touche, quand Michael posa sa main sur la sienne.
Michael : Que faite vous ?
Sara : J’appelle la sécurité…éloignez vous de moi…
Michael : Sara je… euh, Docteur Tancredi, je vous en prie, ne faite pas ça…
Sara : Je refuse de faire partie de cette machination
Michael : non, ça n’en est pas une...
Sara : Oui bien sur, comme tout ce qui s’est passé entre nous…
Michael : J’étais sincère Sara…
Sara : Mais bien sur, tout comme je le suis, et vous ne m’empêcherez pas d’avertir la sécurité.
Michael : Ok, ne m’aidez pas, mais ne faite pas ça, donnez moi juste votre clef, ce n’est pas une faute que de perdre votre trousseau de clefs.
Sara : Je… Je viens juste de la faire changer et des qu’ils s’apercevront de votre évasion, je serais la première suspectée, alors non !
Michael : Je vous implore Sara…ne faite pas ça.
Sous l’air dépité de Michael, Sara prit conscience de ce qu’elle s’apprêter à faire, elle resta penaude un instant puis posa le combiné et quitta expressément la pièce. Michael ne la quitta pas des yeux jusqu’à que cette dernière disparaisse de son champ de vision.
Une heure plus tard…
Sara était toujours indécise quant à la requête de Michael, elle essaya tant bien que mal de peser le pour et le contre. Elle était désormais persuadée que Lincoln était innocent, après la conversation qu’elle avait partagé avec son père quelques heures auparavant. Elle ne connaissait pas très bien Lincoln, ni Michael d’ailleurs, particulièrement depuis ce drôle d’entretien qui l’avait mis dans cet état, mais ses doutes les concernant la pesait moins que ceux qu’elle éprouvait à l’égard de son propre père. Elle se demandait tout de même comment Michael avait pu lever la main sur elle de cette façon. Pendant ce temps Michael s’assurait que son plan se déroulait comme prévu. Jusqu'à présent c’était le cas, Pope le demanda à son bureau afin qu’il répare le cadeau prévu pour sa femme. Il lui expliqua le problème mais comprit aussitôt que Michael se jouait de lui depuis le début quand il vit dans les mais de ce dernier, une pièce maître du Tajmahal. Il était subjuguait par le comportement de Michael et la révélation que ce dernier lui fit concernant son évasion. A ce moment, le téléphone du directeur retentit, cet appel lui faisait état de la disparition d’un des gardes, Bellick. Michael lui intima l’ordre, muni d’un couteau acéré, de rassurer l’interlocuteur au bout du fil concernant le garde et qu’il le retrouverait ligoté sous la salle de pause dans un trou qu’il avait creusé. Il lui ordonna également de faire descendre son frère à l’infirmerie. Le directeur l’averti qu’il ne s’en sortirait pas comme ça et qu’ils le retrouveront lui et son frère, et ce jour là il ne sera pas clément avec eux. Michael ligota le directeur sur sa chaise, un bandeau de scotch sur la bouche. Et partit après avoir laissé un message à la secrétaire, celui de déranger le directeur, sous aucun prétexte. Sara avait prit sa décision, elle allée refuser. Elle n’ouvrirait pas cette porte. Elle se dirigea vers la sortie et glissa un bout de papier au bureau d’accueil et quitta fox River sans se retourner. Les compagnons du TP étaient enfin prés à quitter cette prison. Michael était prés de l’infirmerie tandis que les autre membres du TP se cachaient derrière un mur attendant le signe de ce dernier. Au moment où il posa sa main incertaine sur le loquet de la porte, les traits de son visage se resserrèrent exprimant son désarroi total constatant que la porte était laissée fermé, quand le pire arriva, l’alarme de la prison retentit, les prisonniers étaient en état de choc, ils rebroussèrent chemin, tandis Michael était prit au piège par deux des gardes de nuit. Ils attrapèrent Michael de part et d’autre, puis le jetèrent au sol comme un mal propre. Il comprit aussitôt que Sara avait tenu parole. Il hurlait sans cesse les deux seuls mots qui voulaient bien sortir de sa bouche « SARA POURQUOI ? » Comme il n’arrêtait pas de s’agiter, l’infirmière qui était encore sur place lui administra un calment. A cet instant le directeur qui avait été libéré par sa secrétaire, s’approcha de Michael et dans un rire sarcastique ordonna qu’on lui mette la camisole et qu’on l’enferme des jours durant au cachot.
Michael : NOOOOOOOOOONNNNNNNNNN
Sara : Michael, Calmez vous… Michael, je suis là, ne vous inquiétez pas, ça va aller.
Michael : SARA POURQUOI ?
Quelques minutes plus tard…
Sara : (lui injectant une dose de calment) voila, c’est ça, calmez vous.
A cet instant Michael était serin, le sourire de Sara illumina son visage et éteignit l’inquiétude qu’il avait à son sujet quand il se rendit compte que ce n’était qu’un mauvais rêve et que les médicaments qu’on lui avait administré pour sa brûlure lui avait fait perdre la raison. Cependant, un doute subsistait encore en lui, avait-elle entendu ce qu’il disait, si toute fois les mots lui avaient échappé, c’était bien la dernière chose qu’il espérait. Au bout de quelques minutes, il avait enfin les yeux grand ouvert posait sur la silhouette de cette femme qui faisait complètement chavirer son cœur. Elle se retourna vers lui.
Sara : Ah je vois que vous commencez à aller mieux
Michael : C'estjuste l’impression que je donne parce que la réalité est tout autre.
Sara : (Un large sourire aux lèvres) Ah oui, je vois. Alors comme ça, on voudrait s’évader Monsieur Scofield ?
Et si Sara n’avait pas laissé la porte ouverte…
Michael : Sara ? Je vais m’évader… ce soir, et… j’emmène mon frère avec moi.
Sara : (surprise) Quoi ? Et...et … pourquoi me le dit vous ?
Michael : J’ai besoin de votre aide…
Sara (interloquée, la bouche ouverte et les yeux écarquilles) je… je ne vois pas en quoi je pourrais vous aider… et je ne comprends pas, pourquoi moi ?
Michael : c’est par l’infirmerie que nous partirons, je vous demande juste de ne pas fermer la porte en partant.
Sara : (levant la voix fortement et d’un air choqué) L’infirmerie ? Etes vous conscient de ce que vous me demandez ?
Michael : Oui, je le suis, mais je dois faire sortir mon frère d’ici où ils le tueront pour un crime qu’il n’a pas commis.
Sara : Michael vous ne devez pas faire et ça et encore moins me le dire ?
Michael : Il le faut, je ne peux les laisser faire sans réagir...
Sara : Si je comprends bien, vous voulez que je me risque moi, pour sauver votre frère, avez-vous une idée de ce qui m’attend ? C’est une faute grave que de…
Michael : je vous demande juste de commettre une erreur…
Sara : Une erreur, vous n’avez pas l’air de comprendre… je suis consciente pour votre frère et… et j’ai fait tout… tout ce que j’ai pu auprès de mon père, mais ne m’en demandez pas plus, surtout pas ça, j’en serais incapable et vous le savez.
Michael : Vous êtes ma dernière chance…Sara
Sara : Fallait y penser avant… et un conseil, taisez vous maintenant…car je vous garantie pas mon silence.
Michael se retourna l’air dépité, et frappa un grand coup sur le mur, puis plusieurs fois de suite au point de se blesser. On pouvait lire à présent une colère immense dans l’expression de son visage tout en distinguant le désespoir qui s’emparait de lui. Sara inquiète, s’approcha de lui, tendit sa main pour attraper la sienne, mais dans un élan incontrôlé et une force presque surhumaine, il poussa la main de Sara et plus encore, ce qui la fit chavirer et tomber à terre.
Sara : Oh !
Michael : (choqué par son acte, il se jeta par terre) Pardon Sara, pardon, je… je ne voulais pas faire…
Sara : (Eberluée par le comportement de Michael) Docteur Tancredi
Michael : Comment ?
Sara : (Elle répéta ce qu’il a dit d’un ton austère) Pardon (Et ajouta) Docteur Tancredi
Il lui tendit la main pour l’aider à se relever, elle le regarda d’un air hautain puis s’appuya sur le bureau posté derrière elle pour se remettre debout seule. Le silence qui s’était imposé alors, marqua d’avantage la tension qui pesait entre eux.
Michael : Sara…. Je suis dé…
Sara : Non ! Michael…
Elle s’empara du combiné du téléphone accroché sur le mur au dessus de son bureau, pressa une première touche, quand Michael posa sa main sur la sienne.
Michael : Que faite vous ?
Sara : J’appelle la sécurité…éloignez vous de moi…
Michael : Sara je… euh, Docteur Tancredi, je vous en prie, ne faite pas ça…
Sara : Je refuse de faire partie de cette machination
Michael : non, ça n’en est pas une...
Sara : Oui bien sur, comme tout ce qui s’est passé entre nous…
Michael : J’étais sincère Sara…
Sara : Mais bien sur, tout comme je le suis, et vous ne m’empêcherez pas d’avertir la sécurité.
Michael : Ok, ne m’aidez pas, mais ne faite pas ça, donnez moi juste votre clef, ce n’est pas une faute que de perdre votre trousseau de clefs.
Sara : Je… Je viens juste de la faire changer et des qu’ils s’apercevront de votre évasion, je serais la première suspectée, alors non !
Michael : Je vous implore Sara…ne faite pas ça.
Sous l’air dépité de Michael, Sara prit conscience de ce qu’elle s’apprêter à faire, elle resta penaude un instant puis posa le combiné et quitta expressément la pièce. Michael ne la quitta pas des yeux jusqu’à que cette dernière disparaisse de son champ de vision.
Une heure plus tard…
Sara était toujours indécise quant à la requête de Michael, elle essaya tant bien que mal de peser le pour et le contre. Elle était désormais persuadée que Lincoln était innocent, après la conversation qu’elle avait partagé avec son père quelques heures auparavant. Elle ne connaissait pas très bien Lincoln, ni Michael d’ailleurs, particulièrement depuis ce drôle d’entretien qui l’avait mis dans cet état, mais ses doutes les concernant la pesait moins que ceux qu’elle éprouvait à l’égard de son propre père. Elle se demandait tout de même comment Michael avait pu lever la main sur elle de cette façon. Pendant ce temps Michael s’assurait que son plan se déroulait comme prévu. Jusqu'à présent c’était le cas, Pope le demanda à son bureau afin qu’il répare le cadeau prévu pour sa femme. Il lui expliqua le problème mais comprit aussitôt que Michael se jouait de lui depuis le début quand il vit dans les mais de ce dernier, une pièce maître du Tajmahal. Il était subjuguait par le comportement de Michael et la révélation que ce dernier lui fit concernant son évasion. A ce moment, le téléphone du directeur retentit, cet appel lui faisait état de la disparition d’un des gardes, Bellick. Michael lui intima l’ordre, muni d’un couteau acéré, de rassurer l’interlocuteur au bout du fil concernant le garde et qu’il le retrouverait ligoté sous la salle de pause dans un trou qu’il avait creusé. Il lui ordonna également de faire descendre son frère à l’infirmerie. Le directeur l’averti qu’il ne s’en sortirait pas comme ça et qu’ils le retrouveront lui et son frère, et ce jour là il ne sera pas clément avec eux. Michael ligota le directeur sur sa chaise, un bandeau de scotch sur la bouche. Et partit après avoir laissé un message à la secrétaire, celui de déranger le directeur, sous aucun prétexte. Sara avait prit sa décision, elle allée refuser. Elle n’ouvrirait pas cette porte. Elle se dirigea vers la sortie et glissa un bout de papier au bureau d’accueil et quitta fox River sans se retourner. Les compagnons du TP étaient enfin prés à quitter cette prison. Michael était prés de l’infirmerie tandis que les autre membres du TP se cachaient derrière un mur attendant le signe de ce dernier. Au moment où il posa sa main incertaine sur le loquet de la porte, les traits de son visage se resserrèrent exprimant son désarroi total constatant que la porte était laissée fermé, quand le pire arriva, l’alarme de la prison retentit, les prisonniers étaient en état de choc, ils rebroussèrent chemin, tandis Michael était prit au piège par deux des gardes de nuit. Ils attrapèrent Michael de part et d’autre, puis le jetèrent au sol comme un mal propre. Il comprit aussitôt que Sara avait tenu parole. Il hurlait sans cesse les deux seuls mots qui voulaient bien sortir de sa bouche « SARA POURQUOI ? » Comme il n’arrêtait pas de s’agiter, l’infirmière qui était encore sur place lui administra un calment. A cet instant le directeur qui avait été libéré par sa secrétaire, s’approcha de Michael et dans un rire sarcastique ordonna qu’on lui mette la camisole et qu’on l’enferme des jours durant au cachot.
Michael : NOOOOOOOOOONNNNNNNNNN
Sara : Michael, Calmez vous… Michael, je suis là, ne vous inquiétez pas, ça va aller.
Michael : SARA POURQUOI ?
Quelques minutes plus tard…
Sara : (lui injectant une dose de calment) voila, c’est ça, calmez vous.
A cet instant Michael était serin, le sourire de Sara illumina son visage et éteignit l’inquiétude qu’il avait à son sujet quand il se rendit compte que ce n’était qu’un mauvais rêve et que les médicaments qu’on lui avait administré pour sa brûlure lui avait fait perdre la raison. Cependant, un doute subsistait encore en lui, avait-elle entendu ce qu’il disait, si toute fois les mots lui avaient échappé, c’était bien la dernière chose qu’il espérait. Au bout de quelques minutes, il avait enfin les yeux grand ouvert posait sur la silhouette de cette femme qui faisait complètement chavirer son cœur. Elle se retourna vers lui.
Sara : Ah je vois que vous commencez à aller mieux
Michael : C'estjuste l’impression que je donne parce que la réalité est tout autre.
Sara : (Un large sourire aux lèvres) Ah oui, je vois. Alors comme ça, on voudrait s’évader Monsieur Scofield ?
***FIN***
Re: OS Et si...[What if...]
putain poupi je suis deg je viens de perdre tout mon com faut que je recommence bon c'est reparti...
Re: OS Et si...[What if...]
wouawwwwwwwww bravo mam'zelle poupi (si je puis dire comme cela)
Ton "et si" est trés prenant, on s'y croirait.
Ton "et si" est trés prenant, on s'y croirait.
Re: OS Et si...[What if...]
c'est qui cette bombasse ??? tu m'étonnes qu'elle soit dégoûtée Sara !!! Petit aparté : elle serait super sexy avec ces chaussures ( ) et une coiffure comme ça Sara... en y pensant c'est vrai que dans la série, on l'a jamais vu habillée un peu sex (oui je sais, elle est médecin dans une prison !! )
j'ai l'impression que t'es un peu une auteur sadique sosam, parce qu'entre Isabella pour Michael et le camion pour Sara !!!! mama mia, tu nous épargnes pas !!
la voix V, c'est pour Veronica ??
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Re: OS Et si...[What if...]
je peux attendre demain, je suis pas pressée et il est tard pour toi, faut que tu dodotes... alors tu commenteras DEMAIN (c'est un ordre de maman poupi )miliibnb a écrit:putain poupi je suis deg je viens de perdre tout mon com faut que je recommence bon c'est reparti...
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Re: OS Et si...[What if...]
alors com poupi deuxième (grrr putain d'ordi!!!)
donc... je disais un mot : BRILLANT !!!
tu manies à la fois aussi bien l'OS à la première personne (je fais référence au précédent) que la narration comme ici.
bon déjà j'adore le début où l'on voit tout ce à quoi michael est confronté... tout ce qui se trouve derrière ce mur, tout ce pourquoi il s'est battu et tout ce contre quoi il va devoir lutter pour obtenir sa liberté et celle de lincoln.
ensuite forcément j'adore le passage où on se demande pourquoi mike n'a jamais eu aussi peur et bien sure tout cela parce qu'il se demande si sara aura laissée la porte ouverte ou non. en fait je pense que pour lui ça sera la révélation des sentiments de sara d'une certaine manière. si la porte est fermé, il croira qu'elle ne l'aime pas et inverssement.... parce que même si au fond de lui il essait de se le cacher je suis sure qu'il veut savoir si sara l'aime autant que lui peut l'aimer (puré je suis deg c'était beaucoup mieux formulé dans mon précédent com)
ensuite, comme si mike n'avait pas assez de choses à gérer (le rejet de sara, s'appercevoir qu'il s'était trompé, avoir le coeur brisé et au passage trouver comment s'en sortir) abruzzi et t-bag lui tombent dessus... mais heureusement linc et sucre sont là et c-note les ramène tous à la raison... ils doivent repartir...
bon par contre là je vois pas comment ils pourraient faire ils ont laissé trop de preuves derrière eux avec pope et bellick c'ets foutu...
autre chose qui me tourmente... t'as parlé d'une confrontation sara / mike, et donc de ce faite je m'attendais à ce qu'elle soit toujours dans le prison.... mais non...
et enfin je fini par ce que j'ai trouve de plus beau, de plus magnifique dans ton OS , la description de sara à sa fenêtre...
sinon petite question, l'adresse tu la prise d'un de tes morceaux de papier de quand t'es allée à chicago visiter les lieux misa lol
vraiment félicitation pour ton OS poupi...
alors mon com est il aussi digne des tiens ???
donc... je disais un mot : BRILLANT !!!
tu manies à la fois aussi bien l'OS à la première personne (je fais référence au précédent) que la narration comme ici.
bon déjà j'adore le début où l'on voit tout ce à quoi michael est confronté... tout ce qui se trouve derrière ce mur, tout ce pourquoi il s'est battu et tout ce contre quoi il va devoir lutter pour obtenir sa liberté et celle de lincoln.
ensuite forcément j'adore le passage où on se demande pourquoi mike n'a jamais eu aussi peur et bien sure tout cela parce qu'il se demande si sara aura laissée la porte ouverte ou non. en fait je pense que pour lui ça sera la révélation des sentiments de sara d'une certaine manière. si la porte est fermé, il croira qu'elle ne l'aime pas et inverssement.... parce que même si au fond de lui il essait de se le cacher je suis sure qu'il veut savoir si sara l'aime autant que lui peut l'aimer (puré je suis deg c'était beaucoup mieux formulé dans mon précédent com)
ensuite, comme si mike n'avait pas assez de choses à gérer (le rejet de sara, s'appercevoir qu'il s'était trompé, avoir le coeur brisé et au passage trouver comment s'en sortir) abruzzi et t-bag lui tombent dessus... mais heureusement linc et sucre sont là et c-note les ramène tous à la raison... ils doivent repartir...
bon par contre là je vois pas comment ils pourraient faire ils ont laissé trop de preuves derrière eux avec pope et bellick c'ets foutu...
autre chose qui me tourmente... t'as parlé d'une confrontation sara / mike, et donc de ce faite je m'attendais à ce qu'elle soit toujours dans le prison.... mais non...
et enfin je fini par ce que j'ai trouve de plus beau, de plus magnifique dans ton OS , la description de sara à sa fenêtre...
magnifique avec le clair de lune, ses larmes.... sublimissime !!!!Au même moment, en plein cœur de Chicago ( ), l’appartement n°236 du 1616 Vanleer Drive était plongé dans le noir, une silhouette à la fenêtre… Ni bruit, ni lumière… seul le clair de lune faisait briller des traînées de larmes sur le visage d’une jeune femme...
sinon petite question, l'adresse tu la prise d'un de tes morceaux de papier de quand t'es allée à chicago visiter les lieux misa lol
vraiment félicitation pour ton OS poupi...
alors mon com est il aussi digne des tiens ???
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:wouawwwwwwwww bravo mam'zelle poupi (si je puis dire comme cela)
Ton "et si" est trés prenant, on s'y croirait.
le tien aussi est super prenant, avec pas mal de retournement !!! La fin est vraiment bien parce qu'on sait plus vraiment quoi penser ? Il a vraiment rêvé ou pas ? Il a vécu la scène ou il a juste parlé pendant son sommeil ????
EN tout cas, Michael violent et Sara intransigeante, ça change des persos habituels !!
J'ai bien rigolé pour cette réplique :
ça fait un peu "j'étais sincère sara", "ah oui mon chou mais ça m'empêche pas de te faire boucler"Michael : J’étais sincère Sara…
Sara : Mais bien sur, tout comme je le suis, et vous ne m’empêcherez pas d’avertir la sécurité.
Dernière édition par poupinette444 le Mer 14 Mai - 1:27, édité 1 fois
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Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:je peux attendre demain, je suis pas pressée et il est tard pour toi, faut que tu dodotes... alors tu commenteras DEMAIN (c'est un ordre de maman poupi )miliibnb a écrit:putain poupi je suis deg je viens de perdre tout mon com faut que je recommence bon c'est reparti...
trop tard !!! lol
Re: OS Et si...[What if...]
miliibnb a écrit:
alors mon com est il aussi digne des tiens ???
ah bah je sais pas, je suis bien incapable de juger mes coms
en tout cas t'as TOUT compris ... sauf comment ils vont s'en sortir...
(mais l'ai-je compris moi-même ? )
c'est tout à fait ça... la porte ouverte, ça lui garantie les sentiments de Sara... la porte fermée, hé hé il y a de quoi se remettre en question !!!
parce que même si au fond de lui il essait de se le cacher je suis sure qu'il veut savoir si sara l'aime autant que lui peut l'aimer
oui, c'est ça, il est légèrement sur-sollicité mon ptit Mike là... et ce que je pense qui l'aurait affecté à ce moment-là (si ça avait été ça dans la série), plus encore que la déception de ne pas voir Lincoln dehors, c'est justement comme tu l'as dit, d'avoir "le coeur brisé"ensuite, comme si mike n'avait pas assez de choses à gérer (le rejet de sara, s'appercevoir qu'il s'était trompé, avoir le coeur brisé et au passage trouver comment s'en sortir) abruzzi et t-bag lui tombent dessus... mais heureusement linc et sucre sont là et c-note les ramène tous à la raison... ils doivent repartir...
hé oui ! (mais cette rue n'existe pas dans chicago...grrrr)
sinon petite question, l'adresse tu la prise d'un de tes morceaux de papier de quand t'es allée à chicago visiter les lieux misa lol
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Re: OS Et si...[What if...]
islem ton OS est vraiment très bien aussi, très prenant et à un moemnt tout s'enchaine à une telle intensité... mais j'adore particulièrement la fin. quand on comprend que sara a tout entendu et que contrairement à la sara du rêve de michale, je crois qu'elle l'aidera (vu son sourire)... j'aime beaucoup la fin !!!!
Re: OS Et si...[What if...]
mdr poupi pour la rue je m'en douais !!
sinon ça me fais plaisir d'avoir tout compris parce que moi j'adore quand toi, micko ou nut vous comprenez tout aussi de ma fic... ça me donne un sentiment de satisfaction que j'espère tu as ressenti... bref je suis toute fière comme une crotte là !!!!
sinon ça me fais plaisir d'avoir tout compris parce que moi j'adore quand toi, micko ou nut vous comprenez tout aussi de ma fic... ça me donne un sentiment de satisfaction que j'espère tu as ressenti... bref je suis toute fière comme une crotte là !!!!
Re: OS Et si...[What if...]
miliibnb a écrit:islem ton OS est vraiment très bien aussi, très prenant et à un moemnt tout s'enchaine à une telle intensité... mais j'adore particulièrement la fin. quand on comprend que sara a tout entendu et que contrairement à la sara du rêve de michale, je crois qu'elle l'aidera (vu son sourire)... j'aime beaucoup la fin !!!!
c'est marrant parce que moi à la fin, j'ai l'impression de voir une Sara un peu machiavélique justement. Avec un petit sourire à la Susan... je pense que t'as raison mili, celle qui n'est pas du rêve va l'aider, mais moi j'ai imaginé que ça "recommençait" comme dans le rêve... un peu comme dans les films ou série où tu vis un truc, c'est un rêve, tu te réveilles, tu croyais y avoir échappé et finalement tu revis quand même le truc!! Tu vois, parce que je suis pas très claire là
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
miliibnb a écrit:bref je suis toute fière comme une crotte là !!!!
j'adore l'expression !!
demain je vous raconterai dans le topic des pollueuses la honte intégrale que je me suis auto-infligée à moi-même (presque personne d'autre pour la constater) à cause de la rue de Michael Scofield...
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:miliibnb a écrit:islem ton OS est vraiment très bien aussi, très prenant et à un moemnt tout s'enchaine à une telle intensité... mais j'adore particulièrement la fin. quand on comprend que sara a tout entendu et que contrairement à la sara du rêve de michale, je crois qu'elle l'aidera (vu son sourire)... j'aime beaucoup la fin !!!!
c'est marrant parce que moi à la fin, j'ai l'impression de voir une Sara un peu machiavélique justement. Avec un petit sourire à la Susan... je pense que t'as raison mili, celle qui n'est pas du rêve va l'aider, mais moi j'ai imaginé que ça "recommençait" comme dans le rêve... un peu comme dans les films ou série où tu vis un truc, c'est un rêve, tu te réveilles, tu croyais y avoir échappé et finalement tu revis quand même le truc!! Tu vois, parce que je suis pas très claire là
humm j'avais pas vu ça comme ça... oui pourqoi pas, bon là seule islem pourra nous donner une réponse... alors petit sourire genre elle va l'aider, ou sourire genre elle va faire sa susan???
mais en même temps, elle à l'air affolée de le voir comme ça pendant son rêve, elle est contente de le voir se réveiller, elle lui parle avec douceur donc moi j'en conclue que... j'ai raison... mais bon après j'ai peut être trod !!!
bon je vais faire dodo bisous !!
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:miliibnb a écrit:bref je suis toute fière comme une crotte là !!!!
j'adore l'expression !!
demain je vous raconterai dans le topic des pollueuses la honte intégrale que je me suis auto-infligée à moi-même (presque personne d'autre pour la constater) à cause de la rue de Michael Scofield...
ah j'ai hâte !!!! je suis sure que c'est même pas grave je suis tellement fan que je serai admiratrice plutôt qu'en train de me foutre de ta gueule.... quoique un bon foutage de gueule de poupi ça fait toujours plaisir !!!
sinon l'expression je l'a doit à ma collègue (mon ancienne collègue) qui disait toujours ça !!! lol
bon j'arrête de pourrir le topic et cette fois je file !!! bye
Re: OS Et si...[What if...]
WAOU les filles
Sosam, quelle horreur, comment t'as pu faire ça à Sara
LA SUITE, je veux pas qu'elle meurt moi, il faut qu'elle parle à Michaël (qui a mal à la poitrine quand Sara a son accident )
Poupi si Sara n'avait pas laissée ouverte cette porte et bah, Michaël va vraiment avoir besoin de soins perso après son altercation avec ses "collègues", mais j'ai hâte surtout de voir la confrontation Sara/Michaël et VITE LA SUITE
et islemmedemars la fin est comique , le même sujet que Poupi sauf qu'il hallucine et Sara qui lui dit alors comme ça Mr Scofield on veut s'évader
j'ai adoré vos OS les filles et pour celles qui doivent mettre une suite VITE C'EST INSOUTENABLE (l'accident de Sara dans un et michaël qui va avoir des soucis dans l'autre)
gros à toutes
Sosam, quelle horreur, comment t'as pu faire ça à Sara
LA SUITE, je veux pas qu'elle meurt moi, il faut qu'elle parle à Michaël (qui a mal à la poitrine quand Sara a son accident )
Poupi si Sara n'avait pas laissée ouverte cette porte et bah, Michaël va vraiment avoir besoin de soins perso après son altercation avec ses "collègues", mais j'ai hâte surtout de voir la confrontation Sara/Michaël et VITE LA SUITE
et islemmedemars la fin est comique , le même sujet que Poupi sauf qu'il hallucine et Sara qui lui dit alors comme ça Mr Scofield on veut s'évader
j'ai adoré vos OS les filles et pour celles qui doivent mettre une suite VITE C'EST INSOUTENABLE (l'accident de Sara dans un et michaël qui va avoir des soucis dans l'autre)
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tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: OS Et si...[What if...]
Il serait plus crédible de penser que vous avez raison toutes les deux. Je m'explique, ce sujet était plutôt délicat à traiter parce qu'imaginer d'une part que Sara n'ouvre pas la porte courait inévitablement à la perte de Michael, son plan, linc et tous les autres. Rien que le fait que Bellick était captif décrédibilisait cette suite. D'autre part, le fait que Michael est demandé à Sara à la dernière minute de lui faire cette faveur, c'était terriblement risqué car il jouait sa vie et celles des autres au pile ou face. Et personnellement je n'ai trouvé aucune histoire assez crédible pour laisser cette porte fermée si ce n'est le rêve. Donc dans mon OS, il s'agit bien d'un rêve (ou plutôt un chauchemar) à la fois presque prémonitoire (comme l'a supposé poupinette..) puisque le moment ou je le fait rêver c'est un peu avant son réveil aprés sa brûlure (un moment qui se passe bien avant le soir prévu pour son évasion) sans oublier que partir par l'infirmerie fait partie de son plan depuis le début, et en même temps, j'ai jouait avec une certaine réalité car comme tu l'as souligné Miliibnb, Sara entend tout, bien qu'à la fin elle ne lui dit que l'essentiel. Et disont que jouait avec la réalité des faits et ce rêve cauchemardesque pour Michael était une façon d'imaginer le pire concernant les doutes qu'il avait lui même en lui faisant cette requête car au finale rien de pouvait lui affirmer qu'elle ouvrirait ou non cette porte.miliibnb a écrit:poupinette444 a écrit:miliibnb a écrit:islem ton OS est vraiment très bien aussi, très prenant et à un moemnt tout s'enchaine à une telle intensité... mais j'adore particulièrement la fin. quand on comprend que sara a tout entendu et que contrairement à la sara du rêve de michale, je crois qu'elle l'aidera (vu son sourire)... j'aime beaucoup la fin !!!!
c'est marrant parce que moi à la fin, j'ai l'impression de voir une Sara un peu machiavélique justement. Avec un petit sourire à la Susan... je pense que t'as raison mili, celle qui n'est pas du rêve va l'aider, mais moi j'ai imaginé que ça "recommençait" comme dans le rêve... un peu comme dans les films ou série où tu vis un truc, c'est un rêve, tu te réveilles, tu croyais y avoir échappé et finalement tu revis quand même le truc!! Tu vois, parce que je suis pas très claire là
humm j'avais pas vu ça comme ça... oui pourqoi pas, bon là seule islem pourra nous donner une réponse... alors petit sourire genre elle va l'aider, ou sourire genre elle va faire sa susan???
mais en même temps, elle à l'air affolée de le voir comme ça pendant son rêve, elle est contente de le voir se réveiller, elle lui parle avec douceur donc moi j'en conclue que... j'ai raison... mais bon après j'ai peut être trod !!!
bon je vais faire dodo bisous !!
Je ne sais pas si ce que je dit est clair mais j'ai fait de mon mieux lol.
Re: OS Et si...[What if...]
si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
je sais, faut que je me magne !!! Mais j'ai plein de trucs à faire à côté... au pire je la mets lundi!!
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
je sais, faut que je me magne !!! Mais j'ai plein de trucs à faire à côté... au pire je la mets lundi!!
Ok non soucis, j'étais juste pressée de voir comment tu vas faire tourner tout ca...
Re: OS Et si...[What if...]
nan mais islem c'est bien parce que poupi c'est une feignasse (et puis les conversations jusqu'à 1h du mat et pendant toute la journée au boulot n'aide pas non plus)... donc faut lui donner un coup de pied au cul (et c'est toi qui me l'a dit poupi j'invente rien je fais que répéter pour qu'on te harcèle!!)
et puis moi aussi je veux savoir....
et puis moi aussi je veux savoir....
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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