OS Et si...[What if...]
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: OS Et si...[What if...]
miliibnb a écrit:nan mais islem c'est bien parce que poupi c'est une feignasse (et puis les conversations jusqu'à 1h du mat et pendant toute la journée au boulot n'aide pas non plus)... donc faut lui donner un coup de pied au cul (et c'est toi qui me l'a dit poupi j'invente rien je fais que répéter pour qu'on te harcèle!!)
comment tu m'as bien cerné !!
islemme, c'est vrai, c'est bien que tu me relances, faut me mettre des coups de pied au cul
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:miliibnb a écrit:nan mais islem c'est bien parce que poupi c'est une feignasse (et puis les conversations jusqu'à 1h du mat et pendant toute la journée au boulot n'aide pas non plus)... donc faut lui donner un coup de pied au cul (et c'est toi qui me l'a dit poupi j'invente rien je fais que répéter pour qu'on te harcèle!!)
comment tu m'as bien cerné !!
islemme, c'est vrai, c'est bien que tu me relances, faut me mettre des coups de pied au cul
puré t'es une rapide ce soir poupi... t'es au taqué ou quoi... tu réponds surper vite et moi je suis deux de tens !!!! il est l'heure je crois bien...
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:
islemme, c'est vrai, c'est bien que tu me relances, faut me mettre des coups de pied au cul
non je ne me permettrais pas, nous somme pas assez cyber-amicalement-intime pour ca lol.
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:
islemme, c'est vrai, c'est bien que tu me relances, faut me mettre des coups de pied au cul
non je ne me permettrais pas, nous somme pas assez cyber-amicalement-intime pour ca lol.
bon bin moi je le fais parce que poupi j'estime qu'on est cyber amicalement très proches (des fois tu entre même dans ma tête!!) donc hop :
*smiley qui fout un coup de pied au cul à poupi*
Re: OS Et si...[What if...]
Alors j'ai tenté une nouvelle approche du sort de Sara, qu'en serait-il si elle n'avait pas échappé à Kellerman... j'ai poireauté jusqu'à 3 heures du mat, pour pondre et poffiner ce truc la...alors j'attends vos avis avec impatience...En tout cas j'espère que cela aura un quelconque sens...
Sara, assise de force sur cette chaise, pieds et poings liées face l’homme qui quelques jours plus tôt, prétendait être son ami. Elle y croyait dur comme fer, faut dire aussi qu’elle en avait tellement besoin. Au départ, elle eu peine à croire que cette homme l’avait trompé délibérément, puis elle repensait à Michael, alors tout avait un sens. Après tout le désastre qui avait dévasté sa vie, et qui dans un certain sens continuait a la perturbait intérieurement comme la plus vil des tempêtes jamais annoncées, c’était logique. Elle était de tout façon devenue vulnérable alors !
Elle avait les informations que l’autre voulait, du moins elle pensait qu’il ne pouvait s’agir que de cette clef. Une seule question vint titiller sa curiosité, pourquoi ? Et puis non, ce n’est pas cette question-ci qui l’agacer le plus, non la vraie question quelle se posait en boucle c’était plutôt : Suis-je entrain de rêver ? _car c’était vraiment invraisemblable, tout juste comme dans un film_ Et puis ce fût une avalanche de question qui déferlait dans son esprit lui provoquant une insoutenable migraine, amplifiait par ces mots incessants « où est-ce? » que l’autre répétait, à laquelle elle rétorquait « je ne sais pas. »
L’autre qu’elle croyait connaître et à qui elle avait offert une partie de son passé, oui, parce qu’il disait être comme elle, faut dire aussi, qu’il avait été très convainquant, un vrai junkie de sur croix. Sara n’était pas dupe, non, juste un peu perdue et fragile, ces derniers temps. N’importe qui aurait pu abuser de son état. Et puis, l’autre continuait à poser cette même et agaçante question à laquelle elle refusait catégoriquement de répondre, et cela, à ses risques et péril, elle le savait. Et l’autre, devenait de moins en moins coopérative, elle découvrait alors, une nouvelle facette de cet homme qu’elle côtoyait comme un ami, un nouvel ami, tu parles. Il se leva et sans dire mot, prépara sont kit mortuaire. Après tout, elle avait bien chercher, elle refuser de collaborer. Tout était fin prêt, mais en souvenir de leurs bons moments passés ensemble, si on peut appeler ça comme ça, il décida de lui laisser une dernière chance. « Où est-ce ? » lui demanda-t-il à nouveau. Mais non, elle répondait toujours et inlassablement la même réponse « Je ne sais pas. »
L’autre « Vous n’avez pas l’air de comprendre Sara, je vais vous tuer. » lui cria-t-il à la figure.
Sara : « C’est bien ce qui m’attend de tout manière, et je ne sais toujours pas de quoi vous parlez »
L’autre « Ne jouez pas à ça avec moi, vous êtes bien trop impliquée et en savait beaucoup trop »
Sara : « Tuez moi ! Qu’on en finisse. »
Un sourire machiavélique naissait à présent sur le visage de l’autre tandis qu’elle était pétrifiée. Elle le savait, il allait la tuer, elle était bien obligée de se l’admettre. Mais elle ne pouvait pas partir comme ça, sans se battre. Physiquement, elle ne pouvait pas, c’était incontestable, et puis c’était un homme, on ne pouvait tout de même pas lui demander d’arracher la lune. Il fallait qu’elle soit beaucoup plus subtile que ça.
Sara : « Très bien, vous avez gagnez, je vais vous donner ce que vous voulez. »
L’autre : « Ah ben voila Sara, là je vous retrouve. Alors où est-ce ?
Sara : « je ne l’ai pas sur moi, j’ai jugé qu’il était plus prudent de m’en séparer. »
L’autre : « ouais »
Sara « De toute évidence j’avais raison. »
L’autre : « Trêve de plaisanterie, allons la chercher ! »
Il détacha avec vivacité les cordes qui liait Sara, l’empoigna par le bras tout aussi vivement que précédemment et l’incita de sa force à avancer. Il prit naturellement le soin de l’avertir qu’au moindre coup bas, elle ne serait plus comptée parmi les vivants. Elle acquiesça d’un signe positif de la tête, le regard farouche. Bien qu’elle ne pouvait pas anticiper les gestes de l’autre, elle savait exactement ce qu’elle entreprenait. Et même si cela faisait facilement grandir en elle un sentiment de quiétude, elle devait tenter le tout pour le tout. Et entre nous, me direz vous, elle n’avait rien à perdre, alors la seule chose qu’elle pouvait encore garder, c’était bien sa dignité.
Les voila partit à la quête de cette chose, cette clef, chose qu’elle n’aurait d’ailleurs jamais dû trouver, pensait-elle. Tout était de la faute de cette clef, cette satanée clef. Mais quelle clef, se demanda t’elle au final, celle qui à présent, la sépara de Michael ou celle qui avait condamné son père à trépasser ? Les deux peut-être. Quoiqu’il en soit, elle allait réagir et le plus tôt serait le mieux. Elle prévint l’autre que la clef était dans son appartement. Un endroit qu’il n’allait guerre le dépaysait puisqu’il y avait déjà mit les pieds, même si désormais la tension serait à son comble.
Sara ouvrit toute tremblotante la porte de son appartement, elle y entra suivit de l’autre pointant son arme dans son dos. Il est clair qu’elle ne devait pas faire de faux pas, cela lui coûterait cher, Et pourtant son idée, cette chose qu’elle s’apprêtait à faire, n’avait traversée son esprit qu’une milli fraction de seconde, même pas le temps de peser le pour, le contre, non elle fonça tout bonnement dans le tas de merde sous ses pas. Avec un peu de chance, ce tas qui ne datait pas d’hier serait assez sec et lui éviterait la chute fatale. Ou encore, son esprit vif de lucidité, lui permettrait peut-être de le contourner… ce tas. Oui, je vous rassure, elle arrivait à avoir encore un peu de bon sens. Et puis finalement, elle se dit, qu’elle devait à tous prix gagner sa confiance ou la tromper comme il l’avait fait avec elle. Cette fameuse milli fraction de seconde, n’était pas son seul moment de réflexion, non il y avait bien sûr le trajet aussi et d’ailleurs tous les moments encore et toujours après cette fameuse milli fraction de seconde. Il était clair, qu'elle chercherait à gagner du temps.
Le moment était enfin venu, avait-elle réussit à gagner sa confiance ? C’était fort probable, car l’autre avait baissé la garde. Pouvait-elle vraiment atteindre l’arme qu’il avait posée sur la table de la cuisine ? Non impossible, il en était encore trop prés. Bon je vous rassure, ce n’était guerre cela son idée. Croyais moi, elle aurait eu une chance sur un million, de s’accaparer de ce flingue sans se prendre elle-même, une balle, certainement logée à un endroit ou son corps l’aurait traîtreusement abandonné.
Ne sachant pas vraiment comment mettre en pratique son idée qu’elle jugeait à présent suicidaire, elle faisait mine de chercher. Et en faite non, c’est vrai, elle cherchait. Le mal être qui la contrôlait à présent, lui faisait perdre tous ses moyens, mais dans sa panique, elle avait tout de même réussit à glisser une petite pensée dans son génie, « serais-je capable d’accomplir ce geste ? N’y aurait-t-il pas une autre alternative ? » Son esprit commençait sérieusement à saturer de pensées, mais que voulez vous, elle ne pouvait pas faire autrement. De tout façon, elle devait le faire. Elle ouvrit plusieurs tiroirs de suite et d’une rapidité ahurissante, c’était à se demandait quelle était cette façon de chercher. Mais bon l’autre n’y prêta même pas attention. Je vous l’ai dit, il avait baissé sa garde, et pourquoi, sûrement parce qu’il la jugeait faiblarde ; attendez, c’est pas parce c’était une femme ou peut-être que si. Enfin, quelque part, il s’en fichait, l’essentiel, c’était qu’il allait remplir ça part du marché sans trop s’échiner, pour une fois. Ben oui, la dernière fois, qu’il avait tenté d’extirper quelque chose à quelqu’un, on retrouva quelques temps plus tard son adversaire à la morgue. Très joyeux tous ça. Et Sara dans tous ça me direz vous, elle était fin prête, muni de la clef d’une main, d’un couteau à viande parfaitement bien affûté de l’autre en toute discretion bien sûr, elle s’approcha de lui, le regarda d’un air dépité, ben oui, fallait bien qu’elle joue le jeu jusqu'à la fin, il devait absolument croire qu’elle ne tenterai rien pas même de vouloir s’emparer de son arme. C’est ce que l’autre croyait d'ailleurs, vu la manière dont il regardait et tenait son joujou. Elle lui tendit donc lentement mais sûrement la clef et avant même de la déposer, dans sa main elle lui dit :
Sara : « qu’allez vous faire après ça, me tuer ? »
L’autre : « Ah Sara, Sara, vous êtes trop... vous le savez ça... »
Elle ne le laissa, même pas continuait, s’assurant tout de même qu’il n’envisageait pas d’utiliser son arme contre elle et planta énergiquement son couteau en plein cœur. Par tout les événements passaient, elle savait que pour sauver une personne, une autre devait mourir. Et elle, elle était encore vivante, elle avait bien retenue la leçon, ça c’est sûr!
******************************WHAT IF************************************
Et si Sara n’avait pas échappé à Kellerman…
Et si Sara n’avait pas échappé à Kellerman…
Sara, assise de force sur cette chaise, pieds et poings liées face l’homme qui quelques jours plus tôt, prétendait être son ami. Elle y croyait dur comme fer, faut dire aussi qu’elle en avait tellement besoin. Au départ, elle eu peine à croire que cette homme l’avait trompé délibérément, puis elle repensait à Michael, alors tout avait un sens. Après tout le désastre qui avait dévasté sa vie, et qui dans un certain sens continuait a la perturbait intérieurement comme la plus vil des tempêtes jamais annoncées, c’était logique. Elle était de tout façon devenue vulnérable alors !
Elle avait les informations que l’autre voulait, du moins elle pensait qu’il ne pouvait s’agir que de cette clef. Une seule question vint titiller sa curiosité, pourquoi ? Et puis non, ce n’est pas cette question-ci qui l’agacer le plus, non la vraie question quelle se posait en boucle c’était plutôt : Suis-je entrain de rêver ? _car c’était vraiment invraisemblable, tout juste comme dans un film_ Et puis ce fût une avalanche de question qui déferlait dans son esprit lui provoquant une insoutenable migraine, amplifiait par ces mots incessants « où est-ce? » que l’autre répétait, à laquelle elle rétorquait « je ne sais pas. »
L’autre qu’elle croyait connaître et à qui elle avait offert une partie de son passé, oui, parce qu’il disait être comme elle, faut dire aussi, qu’il avait été très convainquant, un vrai junkie de sur croix. Sara n’était pas dupe, non, juste un peu perdue et fragile, ces derniers temps. N’importe qui aurait pu abuser de son état. Et puis, l’autre continuait à poser cette même et agaçante question à laquelle elle refusait catégoriquement de répondre, et cela, à ses risques et péril, elle le savait. Et l’autre, devenait de moins en moins coopérative, elle découvrait alors, une nouvelle facette de cet homme qu’elle côtoyait comme un ami, un nouvel ami, tu parles. Il se leva et sans dire mot, prépara sont kit mortuaire. Après tout, elle avait bien chercher, elle refuser de collaborer. Tout était fin prêt, mais en souvenir de leurs bons moments passés ensemble, si on peut appeler ça comme ça, il décida de lui laisser une dernière chance. « Où est-ce ? » lui demanda-t-il à nouveau. Mais non, elle répondait toujours et inlassablement la même réponse « Je ne sais pas. »
L’autre « Vous n’avez pas l’air de comprendre Sara, je vais vous tuer. » lui cria-t-il à la figure.
Sara : « C’est bien ce qui m’attend de tout manière, et je ne sais toujours pas de quoi vous parlez »
L’autre « Ne jouez pas à ça avec moi, vous êtes bien trop impliquée et en savait beaucoup trop »
Sara : « Tuez moi ! Qu’on en finisse. »
Un sourire machiavélique naissait à présent sur le visage de l’autre tandis qu’elle était pétrifiée. Elle le savait, il allait la tuer, elle était bien obligée de se l’admettre. Mais elle ne pouvait pas partir comme ça, sans se battre. Physiquement, elle ne pouvait pas, c’était incontestable, et puis c’était un homme, on ne pouvait tout de même pas lui demander d’arracher la lune. Il fallait qu’elle soit beaucoup plus subtile que ça.
Sara : « Très bien, vous avez gagnez, je vais vous donner ce que vous voulez. »
L’autre : « Ah ben voila Sara, là je vous retrouve. Alors où est-ce ?
Sara : « je ne l’ai pas sur moi, j’ai jugé qu’il était plus prudent de m’en séparer. »
L’autre : « ouais »
Sara « De toute évidence j’avais raison. »
L’autre : « Trêve de plaisanterie, allons la chercher ! »
Il détacha avec vivacité les cordes qui liait Sara, l’empoigna par le bras tout aussi vivement que précédemment et l’incita de sa force à avancer. Il prit naturellement le soin de l’avertir qu’au moindre coup bas, elle ne serait plus comptée parmi les vivants. Elle acquiesça d’un signe positif de la tête, le regard farouche. Bien qu’elle ne pouvait pas anticiper les gestes de l’autre, elle savait exactement ce qu’elle entreprenait. Et même si cela faisait facilement grandir en elle un sentiment de quiétude, elle devait tenter le tout pour le tout. Et entre nous, me direz vous, elle n’avait rien à perdre, alors la seule chose qu’elle pouvait encore garder, c’était bien sa dignité.
Les voila partit à la quête de cette chose, cette clef, chose qu’elle n’aurait d’ailleurs jamais dû trouver, pensait-elle. Tout était de la faute de cette clef, cette satanée clef. Mais quelle clef, se demanda t’elle au final, celle qui à présent, la sépara de Michael ou celle qui avait condamné son père à trépasser ? Les deux peut-être. Quoiqu’il en soit, elle allait réagir et le plus tôt serait le mieux. Elle prévint l’autre que la clef était dans son appartement. Un endroit qu’il n’allait guerre le dépaysait puisqu’il y avait déjà mit les pieds, même si désormais la tension serait à son comble.
Sara ouvrit toute tremblotante la porte de son appartement, elle y entra suivit de l’autre pointant son arme dans son dos. Il est clair qu’elle ne devait pas faire de faux pas, cela lui coûterait cher, Et pourtant son idée, cette chose qu’elle s’apprêtait à faire, n’avait traversée son esprit qu’une milli fraction de seconde, même pas le temps de peser le pour, le contre, non elle fonça tout bonnement dans le tas de merde sous ses pas. Avec un peu de chance, ce tas qui ne datait pas d’hier serait assez sec et lui éviterait la chute fatale. Ou encore, son esprit vif de lucidité, lui permettrait peut-être de le contourner… ce tas. Oui, je vous rassure, elle arrivait à avoir encore un peu de bon sens. Et puis finalement, elle se dit, qu’elle devait à tous prix gagner sa confiance ou la tromper comme il l’avait fait avec elle. Cette fameuse milli fraction de seconde, n’était pas son seul moment de réflexion, non il y avait bien sûr le trajet aussi et d’ailleurs tous les moments encore et toujours après cette fameuse milli fraction de seconde. Il était clair, qu'elle chercherait à gagner du temps.
Le moment était enfin venu, avait-elle réussit à gagner sa confiance ? C’était fort probable, car l’autre avait baissé la garde. Pouvait-elle vraiment atteindre l’arme qu’il avait posée sur la table de la cuisine ? Non impossible, il en était encore trop prés. Bon je vous rassure, ce n’était guerre cela son idée. Croyais moi, elle aurait eu une chance sur un million, de s’accaparer de ce flingue sans se prendre elle-même, une balle, certainement logée à un endroit ou son corps l’aurait traîtreusement abandonné.
Ne sachant pas vraiment comment mettre en pratique son idée qu’elle jugeait à présent suicidaire, elle faisait mine de chercher. Et en faite non, c’est vrai, elle cherchait. Le mal être qui la contrôlait à présent, lui faisait perdre tous ses moyens, mais dans sa panique, elle avait tout de même réussit à glisser une petite pensée dans son génie, « serais-je capable d’accomplir ce geste ? N’y aurait-t-il pas une autre alternative ? » Son esprit commençait sérieusement à saturer de pensées, mais que voulez vous, elle ne pouvait pas faire autrement. De tout façon, elle devait le faire. Elle ouvrit plusieurs tiroirs de suite et d’une rapidité ahurissante, c’était à se demandait quelle était cette façon de chercher. Mais bon l’autre n’y prêta même pas attention. Je vous l’ai dit, il avait baissé sa garde, et pourquoi, sûrement parce qu’il la jugeait faiblarde ; attendez, c’est pas parce c’était une femme ou peut-être que si. Enfin, quelque part, il s’en fichait, l’essentiel, c’était qu’il allait remplir ça part du marché sans trop s’échiner, pour une fois. Ben oui, la dernière fois, qu’il avait tenté d’extirper quelque chose à quelqu’un, on retrouva quelques temps plus tard son adversaire à la morgue. Très joyeux tous ça. Et Sara dans tous ça me direz vous, elle était fin prête, muni de la clef d’une main, d’un couteau à viande parfaitement bien affûté de l’autre en toute discretion bien sûr, elle s’approcha de lui, le regarda d’un air dépité, ben oui, fallait bien qu’elle joue le jeu jusqu'à la fin, il devait absolument croire qu’elle ne tenterai rien pas même de vouloir s’emparer de son arme. C’est ce que l’autre croyait d'ailleurs, vu la manière dont il regardait et tenait son joujou. Elle lui tendit donc lentement mais sûrement la clef et avant même de la déposer, dans sa main elle lui dit :
Sara : « qu’allez vous faire après ça, me tuer ? »
L’autre : « Ah Sara, Sara, vous êtes trop... vous le savez ça... »
Elle ne le laissa, même pas continuait, s’assurant tout de même qu’il n’envisageait pas d’utiliser son arme contre elle et planta énergiquement son couteau en plein cœur. Par tout les événements passaient, elle savait que pour sauver une personne, une autre devait mourir. Et elle, elle était encore vivante, elle avait bien retenue la leçon, ça c’est sûr!
************************************FIN***********************************
Re: OS Et si...[What if...]
Waou, jusqu'à la dernière phrase, j'ai cru que Sara allait y passer
Toujours aussi bien écrit (mais où est Michaël, ok , )
j'ai bien aimé ce côté de Sara, maligne et forte
encore un autre
Toujours aussi bien écrit (mais où est Michaël, ok , )
j'ai bien aimé ce côté de Sara, maligne et forte
encore un autre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: OS Et si...[What if...]
tinkerbel a écrit:Waou, jusqu'à la dernière phrase, j'ai cru que Sara allait y passer
Toujours aussi bien écrit (mais où est Michaël, ok , )
j'ai bien aimé ce côté de Sara, maligne et forte
encore un autre
merci TinK mais Mike il n'était pas captive avec elle lol. j'essayerai un truc avec les 2, si j'arrive. Je ne sais pas pourquoi mais le MiSa ne m'inspire pas de What if.
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:Waou, jusqu'à la dernière phrase, j'ai cru que Sara allait y passer
Toujours aussi bien écrit (mais où est Michaël, ok , )
j'ai bien aimé ce côté de Sara, maligne et forte
encore un autre
merci TinK mais Mike il n'était pas captive avec elle lol. j'essayerai un truc avec les 2, si j'arrive. Je ne sais pas pourquoi mais le MiSa ne m'inspire pas de What if.
je sais qu'il était pas là , mais après tout il pourrait la retrouver quand elle a finit avec Paul et comme ça elle pourrait se défouler sur lui
je rigole en ce moment mon esprit fonctionne trop
en tout cas, fait nous vite un autre os et une suite à ta fic
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: OS Et si...[What if...]
tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:Waou, jusqu'à la dernière phrase, j'ai cru que Sara allait y passer
Toujours aussi bien écrit (mais où est Michaël, ok , )
j'ai bien aimé ce côté de Sara, maligne et forte
encore un autre
merci TinK mais Mike il n'était pas captive avec elle lol. j'essayerai un truc avec les 2, si j'arrive. Je ne sais pas pourquoi mais le MiSa ne m'inspire pas de What if.
je sais qu'il était pas là , mais après tout il pourrait la retrouver quand elle a finit avec Paul et comme ça elle pourrait se défouler sur lui
je rigole en ce moment mon esprit fonctionne trop
en tout cas, fait nous vite un autre os et une suite à ta fic
Ahh tu as lu la partie 11 alors, bon je vais essayer lol mais autant de prévenir que j'ai un gros beugue la...je crois que je les ai coincé sur le toit pour une éternité loool.
Re: OS Et si...[What if...]
Ahh tu as lu la partie 11 alors, bon je vais essayer lol mais autant de prévenir que j'ai un gros beugue la...je crois que je les ai coincé sur le toit pour une éternité loool.
j'espère que tu vas pas beuguer trop longtemps, je vais m'évanouir sinon
sinon, coince les ailleurs que sur le toit, je sais pas.............. un môtel si tu veux
c'est hs, vu que c'est pas le bon topic, mais tu vas le lire quand même
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: OS Et si...[What if...]
Coucou!!!
Bon tout d'abord je tiens à vous féliciter pour vos magnifiques OS ! Ils sont tous splendides et très bien écrits!! Ce forum regorge de talents décidément!!!
Tout ça pour dire qu'après de nombreuses hésitations je me décide enfin à poster un OS.... Mais c'est mon tout premier, je n'en n'avait jamais écrit avant, j'écris juste ma fic c'est tout...
Donc évidemment par rapport aux vôtres c'est pabeaucoup moins bien...
Mais bon je me décide quand même à le poster je dois être un peu sado... J'espère que ca vous plaira quand même... N'hésitez pas à me dire si vous aimez pas, toutes les critiques sont bonnes!!!
Bon assez bavardé, le voilà!!
Ca se passe à la fin de la saison 2, dans l'épisode 22 au moment où Bill Kim débarque..
Il se déroulera en 2 parties, voilà déjà la première...
Bonne lecture!
Sur un bateau, près de Panama City…
M : « On l’a fait Linc… On a réussi… »
K : « Non… vous y étiez presque… »
Stupéfaits, les deux frères se retournèrent brusquement et se retrouvèrent face à une arme pontée sur eux par Bill Kim.
Affolé, l’aîné des Burrows se précipita à l’intérieur du bateau et attrapa le sac contenant les 5 millions de Westmorland qu’il jeta sans ménagements sur le ponton.
L : « Vous voulez l’argent ? Prenez-le… Allez-y… »
Mais l’asiatique eut un rire sarcastique et rapprocha son arme des deux hommes.
K : « Vous croyez que c’est l’argent que je veux ? »
Et sans les quitter des yeux, il balança violemment le sac d’un coup de pied dans l’eau.
K : « De la monnaie ? Sur 5 millions ? »
Ne comprenant plus rien, Michael sentit son cœur se serrer et se mit à réfléchir à toute vitesse. Il fallait trouver un plan, et vite…
Mais il ne voyait pas comment se sortir de cette situation…Cet agent semblait prêt à les tuer, et le jeune homme savait qu’il en était tout à fait capable. Pendant quelques minutes il avait cru qu’ils étaient libres, que tout était fini et qu’ils allaient enfin pouvoir reprendre une vie normale… Mais en cet instant il comprit que jamais le Cartel ne les laisserait en paix, ils en savaient trop et ils ne pouvaient pas se permettre de les laisser en vie. C’était un combat perdu d’avance… Le jeune homme sentit le désespoir le gagner et la panique l’envahir lorsqu’il songea à Sara, toujours à l’intérieur du bateau… Il ne fallait surtout pas que Bill Kim s’aperçoive de sa présence sinon il la tuerait elle aussi.
Tentant de calmer sa terreur grandissante, il s’adressa à leur ravisseur en le fixant avec haine.
M : « Alors vous voulez quoi ? Mon frère a été disculpé. La présidente s’est retirée. Nous ne sommes plus une menace. C’est terminé…»
K : « Vous en avez peut-être fini avec nous, mais nous, nous n’en avons pas fini avec vous… La police arrive…»
Bouleversé, Lincoln sentit à son tour la peur le gagner… C’était tellement injuste… Ils étaient si près du but…
Michael avait tout sacrifié pour lui, son travail, ses amis, sa vie entière, et ils allaient échouer au moment où il avait presque retrouvé sa liberté et surtout la femme qu’il aimait…
L : « Il n’y avait que moi au départ, laissez partir mon frère. »
K : « Comme c’est touchant, vraiment…Ce n’est plus d’usage, cette fidélité qui unit les familles ! Deux frères qui iraient au bout du monde l’un pour l’autre… Dommage qu’un seul d’entre vous ne survivra…»
Puis soudain il se retourna, pointa son arme vers Lincoln et s’apprêta à tirer.
Mais brusquement, Michael se précipita devant son frère au moment où la balle partait en hurlant: « Non !! »
Et il s’écroula, sous le regard horrifié de son aîné, une large tâche rouge s’élargissant sur son sweat-shirt à capuche.
Puis tout s’enchaîna.
Une dizaine de voitures de polices débouchèrent en trombe toutes sirènes hurlantes.
Lincoln se releva péniblement et constata avec effroi que son frère gisait inanimé près de lui.
Terrifié, il aperçut son torse ensanglanté et se mit à hurler désespérément.
L : « Non ! Michael ! Non ! »
A ce moment-là, Sara sortit du bateau en courant et se précipita vers le jeune homme toujours inconscient. Terrorisée, elle commença à lui prendre son pouls. D’abord, elle crut qu’il ne respirait plus et crut qu’elle allait mourir.
Mais soudain, alors que les larmes lui montaient aux yeux, elle sentit sous ses doigts une légère palpitation. Et un immense soulagement l’envahit. Retrouvant ses réflexes de médecin, elle enleva son sweat-shirt au blessé et commença à l’examiner.
Pendant ce temps, l’aîné des Burrows sanglotait aux côtés de son frère, complètement anéanti.
Après avoir déposé un léger baiser sur les lèvres de Michael, Sara leva les yeux et appela Lincoln.
S : « Il respire, Lincoln ! Faiblement mais il est en vie ! La… La balle a dû éviter le cœur de justesse ! Il faut l’emmener à l’hôpital il doit être opéré d’urgence…»
Mais avant qu’il ne puisse réagir, ils furent tous les deux plaqués violemment à terre par une dizaine de policiers panaméens qui leur passèrent les menottes.
P : « On ne bouge plus ! Vous êtes en état d’arrestation pour meurtre ! »
L : « Quoi ? Mais vous êtes dingues ! Mon frère s’est fait tirer dessus par cet agent asiatique ! »
P : « Quel asiatique ? »
Affolé, Lincoln regarda autour de lui et constata avec effroi que Kim avait disparu.
L : « Il était là il y a quelques instants ! Bill Kim ! Cette ordure a dû profiter de la confusion pour s’échapper ! Attrapez-le bon sang ! Il a tiré sur mon frère…. Et occupez vous de lui, il perd tout son sang ! »
P : « Monsieur, du calme. Une ambulance est en route pour votre frère et je vais envoyer mes hommes à la recherche de ce Kim…. Si il existe ! »
L : « Mais bien sûr qu’il existe ! Il travaille pour le Cartel ! »
P : « Le Cartel ? »
L : « Une organisation secrète et ultra-puissante qui nous traque mon frère et moi et m’a fait accuser à tort d’un meurtre. »
Sara, qui jusque là était trop terrifiée pour prononcer le moindre mot, se décida enfin à intervenir devant l’air perplexe du policier.
S : « Cet homme dit la vérité, Mr l’agent… J’étais sur le bateau et j’ai vu cet homme tirer sur Michael. »
P : « Cette histoire me semble bien compliquée. Je vais vous emmener au poste pour tirer ça au clair »
Pendant ce temps, l’ambulance arriva en trombe et une dizaine d’infirmiers en sortirent puis se précipitèrent au chevet de Michael. Lincoln et Sara assistaient impuissants aux différentes tentatives pour réanimer le jeune homme, solidement menottés et encadrés par une dizaine de policiers en armes.
L : « S’il vous plaît… dites-moi comment il va… je vous en supplie… »
Le chef policier hésita un instant puis voyant la détresse des deux suspects, il les confia à ses hommes et alla prendre des nouvelles du blessé.
Il revint cinq minutes plus tard et s’approcha des deux jeunes gens terrifiés.
P : « Votre frère est dans le coma. Ils vont l’emmener à l’hôpital le plus proche. »
L : « Mais… »
P : « Je vais vous demander de me suivre s’il vous plaît »
Mais Sara, bouleversée, échappa brusquement à l’emprise du policier et se précipita vers le brancard sur lequel gisait le jeune homme tout en hurlant désespérément :
S : « Michael ! Michael ! Michael ! »
La vue brouillée par les larmes, elle perdit l’équilibre et trébucha la tête dans la poussière.
Elle fut vite rattrapée par les policiers qui la ramenèrent sans ménagements auprès du chef.
P : « Nous vous donnerons des nouvelles de votre ami dès que possible… Mais pour l’instant vous allez être placés en garde à vue. Suivez-moi je vous prie »
Mais alors que le brigadier emmenait les deux prisonniers menottés vers la voiture, un de ses hommes se précipita vers lui aux côtés d’un jeune adolescent d’une quinzaine d’années.
H : « Chef, j’ai trouvé un témoin de la scène. Ce jeune garçon, Chaco, était en train de remonter vers la ville lorsqu’il a aperçu la scène. Il affirme que c’est un asiatique qui a menacé les deux frères et a tiré sur le plus jeune qui s’était précipité pour prendre la balle à la place de l’aîné. »
Songeur, le chef de la police réfléchit un instant puis interrogea le jeune témoin.
P : « C’est vraiment ce que tu as vu mon garçon ? »
G : « Oui, Monsieur l’agent. »
P : « Et tu serais prêt à témoigner par écrit au commissariat ? »
G : « Oui, bien sûr ! »
P : « Eh bien voilà qui change tout et qui confirme ce que vous disiez monsieur… ? »
L : « Burrows, Lincoln Burrows »
P : « Toutes mes excuses pour ce malentendu Monsieur Burrows. Je suis désolé »
Puis s’adressant à ses hommes :
P : « Détachez-les et emmenez les à l’hôpital ! Nous verrons les formalités plus tard ! »
Quelques instants plus tard, ils étaient libres, et Lincoln serra avec reconnaissance la main du chef policier.
L : « Merci »
P : « De rien, j’espère que votre frère s’en sortira… et encore désolé pour cette regrettable erreur. »
L : « Ca va, vous avez fait votre boulot… Retrouvez cette ordure de Kim s’il vous plaît… »
P : « Nous allons tout faire pour, Mr Burrows, je vous le promets. »
L : « Merci… à bientôt alors »
P : « Oui, je vous recontacterai pour votre déposition »
Lincoln rejoignit de Sara et les deux agents chargés de les emmener auprès de Michael.
Dès qu’ils furent dans la voiture, Lincoln s’aperçut avec tristesse que les yeux de Sara étaient rougis par les larmes, et il sentit son cœur se serrer.
Il posa une main sur le bras de la jeune femme et murmura doucement :
L : « Il va s’en sortir… Michael est quelqu’un de fort… et il t’aime trop pour te laisser… »
S : « Je… J’ai tellement peur Lincoln… »
L : « Tout va bien se passer, ne t’inquiète pas… »
Mais en réalité, même s’il ne voulait pas le montrer à la jeune femme, lui aussi était terrorisé à l’idée que Michael ne se réveille jamais.
Son frère s’était une nouvelle fois sacrifié pour qu’il vive, il avait préféré se jeter devant lui pour prendre la balle à sa place…
Lincoln soupira et sentit les larmes lui monter aux yeux. Il s’en voulait tellement de tout ce que le jeune ingénieur avait dû subir par sa faute. Les familles d’accueil, les coups, son emprisonnement à Fox River, la fuite et maintenant cette balle qui le laissait entre la vie et la mort…
Si jamais il mourrait, Lincoln ne s’en remettrait jamais, et Sara non plus…
Il ne pourrait pas vivre avec le poids de la mort de Michael sur la conscience…
Bon tout d'abord je tiens à vous féliciter pour vos magnifiques OS ! Ils sont tous splendides et très bien écrits!! Ce forum regorge de talents décidément!!!
Tout ça pour dire qu'après de nombreuses hésitations je me décide enfin à poster un OS.... Mais c'est mon tout premier, je n'en n'avait jamais écrit avant, j'écris juste ma fic c'est tout...
Donc évidemment par rapport aux vôtres c'est pabeaucoup moins bien...
Mais bon je me décide quand même à le poster je dois être un peu sado... J'espère que ca vous plaira quand même... N'hésitez pas à me dire si vous aimez pas, toutes les critiques sont bonnes!!!
Bon assez bavardé, le voilà!!
Ca se passe à la fin de la saison 2, dans l'épisode 22 au moment où Bill Kim débarque..
Il se déroulera en 2 parties, voilà déjà la première...
Bonne lecture!
Et si Sara n’avait pas tiré sur Bill Kim ?
Partie 1
Sur un bateau, près de Panama City…
M : « On l’a fait Linc… On a réussi… »
K : « Non… vous y étiez presque… »
Stupéfaits, les deux frères se retournèrent brusquement et se retrouvèrent face à une arme pontée sur eux par Bill Kim.
Affolé, l’aîné des Burrows se précipita à l’intérieur du bateau et attrapa le sac contenant les 5 millions de Westmorland qu’il jeta sans ménagements sur le ponton.
L : « Vous voulez l’argent ? Prenez-le… Allez-y… »
Mais l’asiatique eut un rire sarcastique et rapprocha son arme des deux hommes.
K : « Vous croyez que c’est l’argent que je veux ? »
Et sans les quitter des yeux, il balança violemment le sac d’un coup de pied dans l’eau.
K : « De la monnaie ? Sur 5 millions ? »
Ne comprenant plus rien, Michael sentit son cœur se serrer et se mit à réfléchir à toute vitesse. Il fallait trouver un plan, et vite…
Mais il ne voyait pas comment se sortir de cette situation…Cet agent semblait prêt à les tuer, et le jeune homme savait qu’il en était tout à fait capable. Pendant quelques minutes il avait cru qu’ils étaient libres, que tout était fini et qu’ils allaient enfin pouvoir reprendre une vie normale… Mais en cet instant il comprit que jamais le Cartel ne les laisserait en paix, ils en savaient trop et ils ne pouvaient pas se permettre de les laisser en vie. C’était un combat perdu d’avance… Le jeune homme sentit le désespoir le gagner et la panique l’envahir lorsqu’il songea à Sara, toujours à l’intérieur du bateau… Il ne fallait surtout pas que Bill Kim s’aperçoive de sa présence sinon il la tuerait elle aussi.
Tentant de calmer sa terreur grandissante, il s’adressa à leur ravisseur en le fixant avec haine.
M : « Alors vous voulez quoi ? Mon frère a été disculpé. La présidente s’est retirée. Nous ne sommes plus une menace. C’est terminé…»
K : « Vous en avez peut-être fini avec nous, mais nous, nous n’en avons pas fini avec vous… La police arrive…»
Bouleversé, Lincoln sentit à son tour la peur le gagner… C’était tellement injuste… Ils étaient si près du but…
Michael avait tout sacrifié pour lui, son travail, ses amis, sa vie entière, et ils allaient échouer au moment où il avait presque retrouvé sa liberté et surtout la femme qu’il aimait…
L : « Il n’y avait que moi au départ, laissez partir mon frère. »
K : « Comme c’est touchant, vraiment…Ce n’est plus d’usage, cette fidélité qui unit les familles ! Deux frères qui iraient au bout du monde l’un pour l’autre… Dommage qu’un seul d’entre vous ne survivra…»
Puis soudain il se retourna, pointa son arme vers Lincoln et s’apprêta à tirer.
Mais brusquement, Michael se précipita devant son frère au moment où la balle partait en hurlant: « Non !! »
Et il s’écroula, sous le regard horrifié de son aîné, une large tâche rouge s’élargissant sur son sweat-shirt à capuche.
Puis tout s’enchaîna.
Une dizaine de voitures de polices débouchèrent en trombe toutes sirènes hurlantes.
Lincoln se releva péniblement et constata avec effroi que son frère gisait inanimé près de lui.
Terrifié, il aperçut son torse ensanglanté et se mit à hurler désespérément.
L : « Non ! Michael ! Non ! »
A ce moment-là, Sara sortit du bateau en courant et se précipita vers le jeune homme toujours inconscient. Terrorisée, elle commença à lui prendre son pouls. D’abord, elle crut qu’il ne respirait plus et crut qu’elle allait mourir.
Mais soudain, alors que les larmes lui montaient aux yeux, elle sentit sous ses doigts une légère palpitation. Et un immense soulagement l’envahit. Retrouvant ses réflexes de médecin, elle enleva son sweat-shirt au blessé et commença à l’examiner.
Pendant ce temps, l’aîné des Burrows sanglotait aux côtés de son frère, complètement anéanti.
Après avoir déposé un léger baiser sur les lèvres de Michael, Sara leva les yeux et appela Lincoln.
S : « Il respire, Lincoln ! Faiblement mais il est en vie ! La… La balle a dû éviter le cœur de justesse ! Il faut l’emmener à l’hôpital il doit être opéré d’urgence…»
Mais avant qu’il ne puisse réagir, ils furent tous les deux plaqués violemment à terre par une dizaine de policiers panaméens qui leur passèrent les menottes.
P : « On ne bouge plus ! Vous êtes en état d’arrestation pour meurtre ! »
L : « Quoi ? Mais vous êtes dingues ! Mon frère s’est fait tirer dessus par cet agent asiatique ! »
P : « Quel asiatique ? »
Affolé, Lincoln regarda autour de lui et constata avec effroi que Kim avait disparu.
L : « Il était là il y a quelques instants ! Bill Kim ! Cette ordure a dû profiter de la confusion pour s’échapper ! Attrapez-le bon sang ! Il a tiré sur mon frère…. Et occupez vous de lui, il perd tout son sang ! »
P : « Monsieur, du calme. Une ambulance est en route pour votre frère et je vais envoyer mes hommes à la recherche de ce Kim…. Si il existe ! »
L : « Mais bien sûr qu’il existe ! Il travaille pour le Cartel ! »
P : « Le Cartel ? »
L : « Une organisation secrète et ultra-puissante qui nous traque mon frère et moi et m’a fait accuser à tort d’un meurtre. »
Sara, qui jusque là était trop terrifiée pour prononcer le moindre mot, se décida enfin à intervenir devant l’air perplexe du policier.
S : « Cet homme dit la vérité, Mr l’agent… J’étais sur le bateau et j’ai vu cet homme tirer sur Michael. »
P : « Cette histoire me semble bien compliquée. Je vais vous emmener au poste pour tirer ça au clair »
Pendant ce temps, l’ambulance arriva en trombe et une dizaine d’infirmiers en sortirent puis se précipitèrent au chevet de Michael. Lincoln et Sara assistaient impuissants aux différentes tentatives pour réanimer le jeune homme, solidement menottés et encadrés par une dizaine de policiers en armes.
L : « S’il vous plaît… dites-moi comment il va… je vous en supplie… »
Le chef policier hésita un instant puis voyant la détresse des deux suspects, il les confia à ses hommes et alla prendre des nouvelles du blessé.
Il revint cinq minutes plus tard et s’approcha des deux jeunes gens terrifiés.
P : « Votre frère est dans le coma. Ils vont l’emmener à l’hôpital le plus proche. »
L : « Mais… »
P : « Je vais vous demander de me suivre s’il vous plaît »
Mais Sara, bouleversée, échappa brusquement à l’emprise du policier et se précipita vers le brancard sur lequel gisait le jeune homme tout en hurlant désespérément :
S : « Michael ! Michael ! Michael ! »
La vue brouillée par les larmes, elle perdit l’équilibre et trébucha la tête dans la poussière.
Elle fut vite rattrapée par les policiers qui la ramenèrent sans ménagements auprès du chef.
P : « Nous vous donnerons des nouvelles de votre ami dès que possible… Mais pour l’instant vous allez être placés en garde à vue. Suivez-moi je vous prie »
Mais alors que le brigadier emmenait les deux prisonniers menottés vers la voiture, un de ses hommes se précipita vers lui aux côtés d’un jeune adolescent d’une quinzaine d’années.
H : « Chef, j’ai trouvé un témoin de la scène. Ce jeune garçon, Chaco, était en train de remonter vers la ville lorsqu’il a aperçu la scène. Il affirme que c’est un asiatique qui a menacé les deux frères et a tiré sur le plus jeune qui s’était précipité pour prendre la balle à la place de l’aîné. »
Songeur, le chef de la police réfléchit un instant puis interrogea le jeune témoin.
P : « C’est vraiment ce que tu as vu mon garçon ? »
G : « Oui, Monsieur l’agent. »
P : « Et tu serais prêt à témoigner par écrit au commissariat ? »
G : « Oui, bien sûr ! »
P : « Eh bien voilà qui change tout et qui confirme ce que vous disiez monsieur… ? »
L : « Burrows, Lincoln Burrows »
P : « Toutes mes excuses pour ce malentendu Monsieur Burrows. Je suis désolé »
Puis s’adressant à ses hommes :
P : « Détachez-les et emmenez les à l’hôpital ! Nous verrons les formalités plus tard ! »
Quelques instants plus tard, ils étaient libres, et Lincoln serra avec reconnaissance la main du chef policier.
L : « Merci »
P : « De rien, j’espère que votre frère s’en sortira… et encore désolé pour cette regrettable erreur. »
L : « Ca va, vous avez fait votre boulot… Retrouvez cette ordure de Kim s’il vous plaît… »
P : « Nous allons tout faire pour, Mr Burrows, je vous le promets. »
L : « Merci… à bientôt alors »
P : « Oui, je vous recontacterai pour votre déposition »
Lincoln rejoignit de Sara et les deux agents chargés de les emmener auprès de Michael.
Dès qu’ils furent dans la voiture, Lincoln s’aperçut avec tristesse que les yeux de Sara étaient rougis par les larmes, et il sentit son cœur se serrer.
Il posa une main sur le bras de la jeune femme et murmura doucement :
L : « Il va s’en sortir… Michael est quelqu’un de fort… et il t’aime trop pour te laisser… »
S : « Je… J’ai tellement peur Lincoln… »
L : « Tout va bien se passer, ne t’inquiète pas… »
Mais en réalité, même s’il ne voulait pas le montrer à la jeune femme, lui aussi était terrorisé à l’idée que Michael ne se réveille jamais.
Son frère s’était une nouvelle fois sacrifié pour qu’il vive, il avait préféré se jeter devant lui pour prendre la balle à sa place…
Lincoln soupira et sentit les larmes lui monter aux yeux. Il s’en voulait tellement de tout ce que le jeune ingénieur avait dû subir par sa faute. Les familles d’accueil, les coups, son emprisonnement à Fox River, la fuite et maintenant cette balle qui le laissait entre la vie et la mort…
Si jamais il mourrait, Lincoln ne s’en remettrait jamais, et Sara non plus…
Il ne pourrait pas vivre avec le poids de la mort de Michael sur la conscience…
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Re: OS Et si...[What if...]
magnifique What if fanancic, j'ai trop aimé, trop bien ecrit est l'idéee est trés bien trouvée, bravo à toi, clair que je veux la suite moi.
Re: OS Et si...[What if...]
il est super ton OS fanancic, quel suspense, je me demandais ce que tu allais changer par rapport à la série et cette ordure de kim a tiré sur Michaël et les policiers qui ne ménagent pas Linc et Sara et évidemment l'état plus qu'inquiétant de Michaël
Vite la suite et
Vite la suite et
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
je sais, faut que je me magne !!! Mais j'ai plein de trucs à faire à côté... au pire je la mets lundi!!
bon ben nous somme lundi... aurons nous droit à ta suite....
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
je sais, faut que je me magne !!! Mais j'ai plein de trucs à faire à côté... au pire je la mets lundi!!
bon ben nous somme lundi... aurons nous droit à ta suite....
oulalala, je suis pistée
oui je vais essayer, mais au pire ce sera demain parce que mon chef est pas là donc je pourrais faire en sorte de l'écrire au boulot
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:si c'est clair et j'aime bien l'idée que ça se finisse en queue de poisson : on sait pas ce qui va se passer et on peut à la fois penser qu'elle va le faire ou pas !!
c'était intéressant de le traiter avec le rêve, c'est original et puis sinon c'est compliqué de continuer après (j'en sais qqch ).
A ce propos, elle es ou ta suite ??
je sais, faut que je me magne !!! Mais j'ai plein de trucs à faire à côté... au pire je la mets lundi!!
bon ben nous somme lundi... aurons nous droit à ta suite....
oulalala, je suis pistée
oui je vais essayer, mais au pire ce sera demain parce que mon chef est pas là donc je pourrais faire en sorte de l'écrire au boulot
désolée de te pister de la sorte mais c'est un peu ta faute lol, parce j'ai hate de savoir si tu vas te planter ou si tu as l'idée du siècle, cela dit je pense qu'il a une issue assez probable, radicale et peut être complexe mais probable...
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:
désolée de te pister de la sorte mais c'est un peu ta faute lol, parce j'ai hate de savoir si tu vas te planter ou si tu as l'idée du siècle, cela dit je pense qu'il a une issue assez probable, radicale et peut être complexe mais probable...
mais si on me fout la pression, j'arrête tout de suite moi !! Et puis pourquoi il faudrait avoir l'idée du siècle... je décris des évènements qui auraient pu se passer si sara n'avait pas laissé la porte ouverte mais je vois pas pourquoi ce serait extraordinaire ??
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:
désolée de te pister de la sorte mais c'est un peu ta faute lol, parce j'ai hate de savoir si tu vas te planter ou si tu as l'idée du siècle, cela dit je pense qu'il a une issue assez probable, radicale et peut être complexe mais probable...
mais si on me fout la pression, j'arrête tout de suite moi !! Et puis pourquoi il faudrait avoir l'idée du siècle... je décris des évènements qui auraient pu se passer si sara n'avait pas laissé la porte ouverte mais je vois pas pourquoi ce serait extraordinaire ??
oh si tu le prends comme ca, je suis désolée, fais comme si j'avais rien dit, ya juste le fait que je trouvais le sujet délicat c'est tout, mais jt'embeterais plus.
Re: OS Et si...[What if...]
Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:
désolée de te pister de la sorte mais c'est un peu ta faute lol, parce j'ai hate de savoir si tu vas te planter ou si tu as l'idée du siècle, cela dit je pense qu'il a une issue assez probable, radicale et peut être complexe mais probable...
mais si on me fout la pression, j'arrête tout de suite moi !! Et puis pourquoi il faudrait avoir l'idée du siècle... je décris des évènements qui auraient pu se passer si sara n'avait pas laissé la porte ouverte mais je vois pas pourquoi ce serait extraordinaire ??
oh si tu le prends comme ca, je suis désolée, fais comme si j'avais rien dit, ya juste le fait que je trouvais le sujet délicat c'est tout, mais jt'embeterais plus.
oups pardon, mon com a l'air un peu sec, mais je dis ça en rigolant (la première phrase), je t'assure... et la deuxième je la dis plutôt étonnée... ce qui a de chiant à l'écrit, c'est que t'as pas l'intonation... mais j'ai rien pris mal
quoique, tu me fous un peu la pression quand même...
Invité- Invité
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:poupinette444 a écrit:Islemmedemars a écrit:
désolée de te pister de la sorte mais c'est un peu ta faute lol, parce j'ai hate de savoir si tu vas te planter ou si tu as l'idée du siècle, cela dit je pense qu'il a une issue assez probable, radicale et peut être complexe mais probable...
mais si on me fout la pression, j'arrête tout de suite moi !! Et puis pourquoi il faudrait avoir l'idée du siècle... je décris des évènements qui auraient pu se passer si sara n'avait pas laissé la porte ouverte mais je vois pas pourquoi ce serait extraordinaire ??
oh si tu le prends comme ca, je suis désolée, fais comme si j'avais rien dit, ya juste le fait que je trouvais le sujet délicat c'est tout, mais jt'embeterais plus.
c'est vrai que poupi ton com peut porter à confusion !!!
mais moi j'ai pas peur je sais que ça sera bien. au fait finalement tu le fais en 2 ou 3 partie alors ???
oups pardon, mon com a l'air un peu sec, mais je dis ça en rigolant (la première phrase), je t'assure... et la deuxième je la dis plutôt étonnée... ce qui a de chiant à l'écrit, c'est que t'as pas l'intonation... mais j'ai rien pris mal
quoique, tu me fous un peu la pression quand même...
edit : bon voilà j'écris quelque chose dans mon post que j'avais maladroitement envoyé vide, alors qu'est ce que je disais déjà, faut que je relise les post.... ah oui je disais que en effet ton post pouvais porter à confusion poupi mais c'ets vrai que t'as eu un coup de pression, déjà j'ai eu l'impression que la dernière fois t'avais l'impression que je t'en foutais un sur msn, mais pas du tout !!! bon je suppose que ça sera pour ce soir vu que tu es en grande conversation ultra sérieuse avec les filles !!!
Dernière édition par miliibnb le Lun 19 Mai - 23:29, édité 1 fois
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:heuuuuuuuuuuuuu, merci mili pour ce com très instructif...
oups ya eu un bug je crois je vas l'éditer et le refaire !!! mdr !!!
edit : ayé j'ai édite !!!
Re: OS Et si...[What if...]
poupinette444 a écrit:
c'est qui cette bombasse ??? tu m'étonnes qu'elle soit dégoûtée Sara !!! Petit aparté : elle serait super sexy avec ces chaussures ( ) et une coiffure comme ça Sara... en y pensant c'est vrai que dans la série, on l'a jamais vu habillée un peu sex (oui je sais, elle est médecin dans une prison !! )
j'ai l'impression que t'es un peu une auteur sadique sosam, parce qu'entre Isabella pour Michael et le camion pour Sara !!!! mama mia, tu nous épargnes pas !!
la voix V, c'est pour Veronica ??
Et bien les filles je sais que j'ai été cruelle et je n'ai pas fini de l'être désolé quand à la voix V c"est pas Véronica c'est Michael parce qu'il lui laisse un messege sur le répondeur.
Sinon Paz Vega est très belle je sais je l'ai choisit pour plus de peur j'aurai choisit une fille moche vous auriez pas flippé même Sara aurait pas flippé
Fin voilà je vous poste la suite bientôt.
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: OS Et si...[What if...]
Voici la suite et fin
La voiture de Sara est violemment percutée par un camion, celle ci se réveille dans sa voiture la tête en bas, elle ne réalise pas ce qui lui arrive. Perturbé elle s'évanouit.
A l'hôpital: Les ambulanciers la transportent en salle d'opération, elle a perdu beaucoup de sang et elle a des plaies sérieuses.
Michael est au restaurant, il l'attend mais son mauvais préssentiment ne fait que s'intensifier. Dans le restaurant la TV est allumée, dans celle-ci une annonce interpelle Michael.
Reportage: Il y a maintenant 3 heures la voiture de Sara Tancredi qui est la fille du gouverneur à été percuté de plein fouet par un camion, un poid lourd de 25 tonnes.
Il semblerait que Sara Tancredi soit dans un état critique.
Michael se lève brusquement et court dans sa voiture il démarre en trombe et se dirige vers l'hôpital.
A l'hôpital
Les docteurs désespérent, ils ne savent pas comment la sauver. Elle n'a plus d'activité cérébrale. Le choc était très puissant, son cerveau ne l'a pas supporté.
Ils attendent 6 heures avant de déclarer la mort cérébrale.
Michael arrive enfin et il demande à voir Sara Tancredi. La femme qui s'occupe de la réception lui dit d'aller à la chambre 202C.
Il accoure en pleine panique, l'hôpital lui semble immense a cet instant et la, puis une minute de course plus tard il voit la chambre 202C. Il entre et il l'a voit allongée sur le lit, les yeux fermés et le corps livide.
Il s'approche d'elle et lui prend la main, il pourrait mourir pour qu'elle se réveille. Il s'assoit à son chevet et lui caresse le visage.
M: Tu sais, je.... je regrette tout ce qui s'est passé, je sais que j'ai été stupide. Tu es vraiment la seule personne qui compte vraiment pour moi. Pour qui je serai prêt à tout sacrifier. Isabella n'est qu'une femme que j'ai utilisé pour venir aux Etats-Unis, il ne s'est jamais rien passé avec elle je te le jure Sara.
Le docteur entre dans la pièce
M: Comment va t-elle?
D: Je suis désolé mais Sara est quasiment morte, elle n'a plus d'activité cérébrale. Même si son coeur bat son cerveau ne fonctionne plus.
M: Ne me dites pas cela!
D: Je suis désolé mais on a fait tout ce qu'on a put, la loi nous oblige a attendre six heures après la mort cérébrale avant de pouvoir déclarer officiellement la mort.
M: Combien de temps reste t-il?
D: 5h30, si son état ne s'améliore pas je tiens à vous présenter mes condoléances.
M: Je......je..................il pleure et son coeur bat à toute vitesse, ses oreilles bourdonnent et il devient pâle.
D: Je vous laisse avec elle, profitez en et faites vos adieux.
Michael se lève furieux, sa n'aidera personne si vous êtes pessimiste, elle survivra et ne me faites pas baisser les bras d'avance. Elle n'est pas encore morte son coeur bat, l'espoir bat lui aussi. Je refuse de la perdre, et vous allez m'aider à la sauver.
D: Monsieur calmez-vous, je comprend votre peine mais je ne peux rien faire, je regrette. Son cerveau est grâvement atteint, il est mort. De ce fait Sara l'est aussi, maintenant je vais vous demander de garder votre sans froid sinon je devrai vous faire sortir.
Michael s'açoit près d'elle et il pleur, il lui prend la main et lui raconte tous ce qu'il aime chez elle. C'est première impressions lorsqu'il lui a parlé la première.
Le temps passe et le docteur revient: C'est l'heure.
Michael: Je t'aime Sara, je t'aimerai toujours
Il commence a lui retiré la sonde et il débranche le moniteur. Son coeur s'affole et il cesse de battre. Heure du déces 02h16 du matin.
Michael pleure encore.
FIN
Alors????? Ne me tuez pas SVP!!!
La voiture de Sara est violemment percutée par un camion, celle ci se réveille dans sa voiture la tête en bas, elle ne réalise pas ce qui lui arrive. Perturbé elle s'évanouit.
A l'hôpital: Les ambulanciers la transportent en salle d'opération, elle a perdu beaucoup de sang et elle a des plaies sérieuses.
Michael est au restaurant, il l'attend mais son mauvais préssentiment ne fait que s'intensifier. Dans le restaurant la TV est allumée, dans celle-ci une annonce interpelle Michael.
Reportage: Il y a maintenant 3 heures la voiture de Sara Tancredi qui est la fille du gouverneur à été percuté de plein fouet par un camion, un poid lourd de 25 tonnes.
Il semblerait que Sara Tancredi soit dans un état critique.
Michael se lève brusquement et court dans sa voiture il démarre en trombe et se dirige vers l'hôpital.
A l'hôpital
Les docteurs désespérent, ils ne savent pas comment la sauver. Elle n'a plus d'activité cérébrale. Le choc était très puissant, son cerveau ne l'a pas supporté.
Ils attendent 6 heures avant de déclarer la mort cérébrale.
Michael arrive enfin et il demande à voir Sara Tancredi. La femme qui s'occupe de la réception lui dit d'aller à la chambre 202C.
Il accoure en pleine panique, l'hôpital lui semble immense a cet instant et la, puis une minute de course plus tard il voit la chambre 202C. Il entre et il l'a voit allongée sur le lit, les yeux fermés et le corps livide.
Il s'approche d'elle et lui prend la main, il pourrait mourir pour qu'elle se réveille. Il s'assoit à son chevet et lui caresse le visage.
M: Tu sais, je.... je regrette tout ce qui s'est passé, je sais que j'ai été stupide. Tu es vraiment la seule personne qui compte vraiment pour moi. Pour qui je serai prêt à tout sacrifier. Isabella n'est qu'une femme que j'ai utilisé pour venir aux Etats-Unis, il ne s'est jamais rien passé avec elle je te le jure Sara.
Le docteur entre dans la pièce
M: Comment va t-elle?
D: Je suis désolé mais Sara est quasiment morte, elle n'a plus d'activité cérébrale. Même si son coeur bat son cerveau ne fonctionne plus.
M: Ne me dites pas cela!
D: Je suis désolé mais on a fait tout ce qu'on a put, la loi nous oblige a attendre six heures après la mort cérébrale avant de pouvoir déclarer officiellement la mort.
M: Combien de temps reste t-il?
D: 5h30, si son état ne s'améliore pas je tiens à vous présenter mes condoléances.
M: Je......je..................il pleure et son coeur bat à toute vitesse, ses oreilles bourdonnent et il devient pâle.
D: Je vous laisse avec elle, profitez en et faites vos adieux.
Michael se lève furieux, sa n'aidera personne si vous êtes pessimiste, elle survivra et ne me faites pas baisser les bras d'avance. Elle n'est pas encore morte son coeur bat, l'espoir bat lui aussi. Je refuse de la perdre, et vous allez m'aider à la sauver.
D: Monsieur calmez-vous, je comprend votre peine mais je ne peux rien faire, je regrette. Son cerveau est grâvement atteint, il est mort. De ce fait Sara l'est aussi, maintenant je vais vous demander de garder votre sans froid sinon je devrai vous faire sortir.
Michael s'açoit près d'elle et il pleur, il lui prend la main et lui raconte tous ce qu'il aime chez elle. C'est première impressions lorsqu'il lui a parlé la première.
Le temps passe et le docteur revient: C'est l'heure.
Michael: Je t'aime Sara, je t'aimerai toujours
Il commence a lui retiré la sonde et il débranche le moniteur. Son coeur s'affole et il cesse de battre. Heure du déces 02h16 du matin.
Michael pleure encore.
FIN
Alors????? Ne me tuez pas SVP!!!
sosam66- Kellerman my friend!
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