When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
rire, oui je sais rire aussi promis, pour la tête, si tu empruntais celle de Sara, je suis sure qu'elle ne t'en voudrait pas... Et pour l'autre fic tu m'excuseras mais je ne la lit pas, c'est pas que je m'en fou (trop longue pour moi)mais, je suis comme tink moi je veux des suites tout de suite lol...miliibnb a écrit:Islemmedemars a écrit:ca va pas non, tu te debrouille comme tu veux, tu prends des cours de maths s'il le faut (que tu me filera pas la suite si possible lol) mais tu n'arrêtes pas la...
A ce propos c'est pour quand la suite ??
c'était pour rire lol !!!
sinon bin là faut que j'avance sur mon autre fic d'abord donc je sais pas. ça dépend de mon état physique (aujourd'hui j'ai bien la tête dans le cul). si j'arrive à faire une suite aujourd'hui alors demain ou après demain ici mais bon je suis pas trop sure...
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Islemmedemars a écrit:rire, oui je sais rire aussi promis, pour la tête, si tu empruntais celle de Sara, je suis sure qu'elle ne t'en voudrait pas... Et pour l'autre fic tu m'excuseras mais je ne la lit pas, c'est pas que je m'en fou (trop longue pour moi)mais, je suis comme tink moi je veux des suites tout de suite lol...miliibnb a écrit:Islemmedemars a écrit:ca va pas non, tu te debrouille comme tu veux, tu prends des cours de maths s'il le faut (que tu me filera pas la suite si possible lol) mais tu n'arrêtes pas la...
A ce propos c'est pour quand la suite ??
c'était pour rire lol !!!
sinon bin là faut que j'avance sur mon autre fic d'abord donc je sais pas. ça dépend de mon état physique (aujourd'hui j'ai bien la tête dans le cul). si j'arrive à faire une suite aujourd'hui alors demain ou après demain ici mais bon je suis pas trop sure...
mdr pour l'histoire de la tête !!!
sinon tinkiet je comprends parfaitement pour l'autre fic on en a déjà parlé et ya aucun problème. moi non plus je la lirai pas si j'étais toi... ya trop à ratrraper t j'ai pas le courage de la reposter du début sur le fofo de séli par exemple !!!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
attends le pire c'est que j'avais commençait, d'ailleurs c'est la tienne la première que j'ai lu. mais aprés la 1ere coupure( les 67 pages) j'ai paumé la page ou j'en était à cause de votre polluage lol. Depuis je n'ai effectivement pas eu le courage de recommencer lol.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Miliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Tu viens de gagner une nouvelle fan complétement histérique de ta fic !!
J'ai tout lu d'un coup, jusqu'à en oublier de lancer la vidéo que j'avais mise à charger avant de lire. C'est vraiment génial, j'adore cette idée, elle est trés originale. Les deux premiers chapitres sont splendides, vraiment. Je suis sans voix, c'est trés beau. On peut vraiment ressentir le désespoir de Sara, la haine et la déception envers elle même, sans parler de Michael...
C'est génial, je suis fan, j'adore j'adore j'adore j'adore j'adore !!
Tu viens de gagner une nouvelle fan complétement histérique de ta fic !!
J'ai tout lu d'un coup, jusqu'à en oublier de lancer la vidéo que j'avais mise à charger avant de lire. C'est vraiment génial, j'adore cette idée, elle est trés originale. Les deux premiers chapitres sont splendides, vraiment. Je suis sans voix, c'est trés beau. On peut vraiment ressentir le désespoir de Sara, la haine et la déception envers elle même, sans parler de Michael...
C'est génial, je suis fan, j'adore j'adore j'adore j'adore j'adore !!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Mélina a écrit:Miliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Tu viens de gagner une nouvelle fan complétement histérique de ta fic !!
J'ai tout lu d'un coup, jusqu'à en oublier de lancer la vidéo que j'avais mise à charger avant de lire. C'est vraiment génial, j'adore cette idée, elle est trés originale. Les deux premiers chapitres sont splendides, vraiment. Je suis sans voix, c'est trés beau. On peut vraiment ressentir le désespoir de Sara, la haine et la déception envers elle même, sans parler de Michael...
C'est génial, je suis fan, j'adore j'adore j'adore j'adore j'adore !!
merci !!!
tu me fais rire avec le "j'ai tout lu d'un coup" ya que deux chapitres lol !!!!
ton com me fais très plaisir merci beaucoup.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
miliibnb a écrit:Mélina a écrit:Miliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Tu viens de gagner une nouvelle fan complétement histérique de ta fic !!
J'ai tout lu d'un coup, jusqu'à en oublier de lancer la vidéo que j'avais mise à charger avant de lire. C'est vraiment génial, j'adore cette idée, elle est trés originale. Les deux premiers chapitres sont splendides, vraiment. Je suis sans voix, c'est trés beau. On peut vraiment ressentir le désespoir de Sara, la haine et la déception envers elle même, sans parler de Michael...
C'est génial, je suis fan, j'adore j'adore j'adore j'adore j'adore !!
merci !!!
tu me fais rire avec le "j'ai tout lu d'un coup" ya que deux chapitres lol !!!!
ton com me fais très plaisir merci beaucoup.
Sympa, ce que je voulais c'est que j'ai tout lu d'une traite, voilà.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Mélina a écrit:miliibnb a écrit:Mélina a écrit:Miliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Tu viens de gagner une nouvelle fan complétement histérique de ta fic !!
J'ai tout lu d'un coup, jusqu'à en oublier de lancer la vidéo que j'avais mise à charger avant de lire. C'est vraiment génial, j'adore cette idée, elle est trés originale. Les deux premiers chapitres sont splendides, vraiment. Je suis sans voix, c'est trés beau. On peut vraiment ressentir le désespoir de Sara, la haine et la déception envers elle même, sans parler de Michael...
C'est génial, je suis fan, j'adore j'adore j'adore j'adore j'adore !!
merci !!!
tu me fais rire avec le "j'ai tout lu d'un coup" ya que deux chapitres lol !!!!
ton com me fais très plaisir merci beaucoup.
Sympa, ce que je voulais c'est que j'ai tout lu d'une traite, voilà.
tinkiet j'avais compris
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bon j'arrive pas à écrire pour strong and alive... panne d'inspiration
mais bon ici j'étais inspirée et donc je peux dire qu'il y aura au moins un chapitre de plus que ce que j'avais prévu vu que celui là je l'ai commencé et puis finalement j'ai dérrivée vers carrément autre chose (vous comprendrez quoi en lisant) et donc je reprendrai la suite de ça dans le prochain chapitre. j'espère que vous apprécierez.
edit : j'ai oublié d'ajouter que pour quelques mots du monologue de sucre, ça vient d'une réflexion de SWC sur michael et sara. (mais le reste c'est moi, je trouvais qu'elle exprimais juste très bien la chose).
attention pour ceux que ça pourrait choquer, c'est une scène à caractère sexuel.
Chapitre 3 : Talk to her
2 mois plus tard, le 20 septembre 2004.
… : Mike tu m’écoutes ?
Encore une fois perdu dans mes pensées, je me suis complètement fermé au monde qui m’entoure et j’étais totalement ailleurs, quelque part entre ici et là bas avec elle, alors que Sucre me parlait.
Su (lui tendant une bière) : Vous avez besoin de parler tous les deux.
M (après en avoir bu une gorgée) : On se parle.
Su : Non vous ne parlez pas. Vous parlez de la pluie et du beau temps, de ce qu’il y a à manger ce soir, mais vous ne parlez pas vraiment. Ce que je veux dire c’est que vous n’avez jamais eu vraiment besoin d’exprimer des mots pour comprendre ce que l’autre ressentait. Un seul regard et (claquant des doigts) tout était dit… Vous vous ressemblez tellement. Les situations inconfortables, vous les évitez par l’humour et celles beaucoup plus délicates, vous vous en détachez complètement. Seulement (buvant une gorgée de bière), aujourd’hui c’est plus compliqué que ça. Vous vous êtes enfermés dans une situation difficile, liée au problème de drogue de Sara, et je pense vraiment Mike que si vous voulez vous retrouvez, vous allez devoir parler du fond du problème qui vous touche, arrêter de l’éviter ou de tourner autour du pot. Alors rentre chez toi et parles lui.
M : Mais je…
Su : Parles-lui !
M (riant légèrement) : Depuis quand tu as appris à être aussi fin psychologue ?
Su : Ok je te le dis mais rappelle toi que c’est peut être grâce à moi que ton couple se remettra sur pied et donc je t’interdis de réutiliser cette information contre moi.
M (levant la main droite où se trouve sa bière, mais déjà prêt à rire) : Promis.
Su (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
M (se retenant de rire) : Hum… oui je vois.
Su : Mike tu as promis !
M : Oui j’arrête je… je vais rentrer et je vais aller lui parler.
Nous finissons rapidement nos bières en silence puis je prends mes affaires pour me diriger vers la sortie de son appartement. La main sur la poignée, je m’arrête alors pour me retourner vers lui, sérieux et reconnaissant.
M : Sucre ?
Su : Hum ?
M : Merci.
Su (souriant) : Vas-la retrouver Mike.
****
J’arrête le moteur de la voiture une fois garée sur la place de parking qui m’est attribuée. Je tourne la tête sur ma gauche pour voir le véhicule de Sara juste à côté de moi. Il est 23h54, elle doit être rentrée depuis un moment maintenant de sa réunion AA. Les soirs où elle va à ces réunions j’ai pris l’habitude d’aller chez Linc ou Sucre. L’ambiance est toujours un peu tendue à cette période là parce que le fais qu’elle aille là bas régulièrement nous fais constamment penser au fait qu’il y a bien un problème sous-jacent mais que nous refusons d’aborder. Sucre a bien raison, on se voile la face et il est temps d’y remédier.
Mes mains tapotent nerveusement le volant de la voiture avant de s’arrêter brusquement. Mes yeux fixent un point invisible sans vraiment s’attacher à quelque chose de particulier. Je soupire fortement puis j’ouvre la portière pour me diriger face à l’entrée de l’immeuble.
Une fois arrivé dans l’ascenseur mon regard est attiré par le miroir qui se trouve dans le fond. Mes yeux sont cernés et légèrement rougis, j’ai le teint pâle. Mes doigts se tournent vers le cadran pour appuyer sur l’étage numéro 11. Je m’adosse au miroir de manière à éviter mon triste reflet, prenant la rambarde qu’y si trouve accrochée dans mes mains et cette fois-ci, c’est ma tête qui vient se contrer au miroir par de légers à-coups.
Le temps d’arriver jusqu’à mon étage me parait extrêmes long et en même temps pas suffisant, la peur de devoir me confronter à Sara mais surtout à nos problèmes m’angoissant grandement. Des sortes de flash des moments que j’ai passé avec elle dans cet ascenseur me reviennent en mémoire.
Flash back, un an et demi plus tôt le 11 mars 2003
https://www.youtube.com/watch?v=eLnrXNXO1FE&feature=related
M : Tu n’es décemment pas une gentille fille Tancredi.
S : Depuis le temps tu devrais le savoir Scofield.
Rapidement elle repose ses lèvres contre les miennes avec passion. Elle a un goût de jus de pomme. Nos langues se rencontrent entre deux gémissements. Alors que je lèche le coin de sa bouche très légèrement avant d’y engouffrer ma langue à nouveau, une légère plainte de plaisir s’extirpe de sa gorge sans qu’elle ne puisse la contrôler. Je rapproche nos deux corps par une petite pression entre ses reins, nos hanches se frôlant de manière suggestive l’une contre l’autre. Je peux sentir la chaleur qui émane de son corps et qui peut pratiquement brûler ma peau à travers mes vêtements.
La surface dure et froide du miroir de l’ascenseur contre mon dos ne me dérange aucunement. En fait, cela m’excite peut être encore davantage de savoir que je suis là pressé contre ce mur par le corps délicat et sensuel de Sara toute en extase. Tout à coup, je sens sa main défaire les boutons de ma chemise un part un, lentement, délicatement, dans une danse très sensuelle et du bout de ses doigts.
M (s’écartant pour pouvoir parler) : Madame Jenckins risque d’avoir une attaque si elle nous voit faire ça ici.
S (amusée) : Premièrement, je suis médecin et deuxièmement (appuyant sur le bouton stop de l’ascenseur), c’est pour ce genre de raison qu’ils ont créé ce genre de bouton.
M : Ah oui vraiment ?
S (hochant la tête en se pinçant la lèvre) : Hu huh.
Elle se rapproche à nouveau. Ses dents éraflent doucement ma lèvre inférieure. Dans un souffle bruyant nous gémissons tous les deux. Je commence à perdre pied alors que sa main achève la tâche à laquelle elle s’affairait quelques minutes plus tôt. Une fois ma chemise ouverte, je sens ses doigts parcourir mon torse dans une caresse des plus sensuelles sans qu’elle ne se détache de ma bouche.
Happés par un besoin vital de respirer, nos lèvres se séparent bruyamment. Nos respirations sont fortes et accélérés. Nos yeux se figent l’un en l’autre avec une telle intensité qu’elle me fait chavirer et je sens déjà un frisson parcourir mon dos tout entier. Nos regards sont noirs de désirs, et bientôt je la vois m’observer d’un air espiègle. Elle passe l’une de ses mains derrière ma nuque, la caresse tendrement avant d’y faire une pression pour ramener mon visage jusque dans son cou. C’est elle qui mène la dance ce soir et ça n’est pas pour me déplaire.
Du bout de la langue, par un léger frottement, je m’attarde au niveau de sa clavicule pour remonter jusqu’au dessous de son oreille. Je sens ses muscles se contracter au fur et à mesure de ma progression, alors que de légers sons de plaisir s’évadent de sa bouche. Ma main droite englobe sa fesse pour la rapprocher et la sentir littéralement encore plus près de moi. Nos corps s’associent parfaitement. Nos hanches sont construites comme si elles étaient faites pour s’unir l’une en l’autre.
Tout à coup je sens sa main coincée entre nos deux corps descendre dangereusement de mon torse vers le haut de mon pantalon. Je suis alors incapable de continuer l’action que j’étais en train de faire et surpris par l’émotion qui me submerge, ma tête vient frapper lourdement le miroir derrière moi lorsque je me redresse. Mes yeux sont clos et je relâche un énorme gémissement quand je sens sa main s’insinuer entre mon pantalon et le tissu de mon boxer. Elle s’y attarde quelques instants, frôlant cet endroit de mon intimité qu’elle est la seule à contrôler, avant de passer à l’étape supérieure et de franchir les dernières limites qui me sépare du plaisir.
Alors qu’elle caresse divinement et subtilement cette partie de mon anatomie gonflée de désir, sa bouche se dirige vers mon torse et elle vient mordiller délicatement mes tétons. Je sens mon cœur battre à tout rompre contre ma poitrine, le sang y affluant à une vitesse incroyable. Je suis en transe. Je sens quelques frissons me parcourir le corps et une bouffée de chaleur me submerger. Mais je ne veux pas. Non je ne veux pas atteindre cet univers quasi irréel et orgasmique du plaisir sans elle. J’essai de me contrôler mais je suis comme paralysé par les sensations qu’elle me procure. Dans un mouvement second et rassemblant toute ma force, je parviens, sous un râle profond qui s’extirpe de ma bouche comme s’il provenait tout droit de mon bas ventre, à poser ma main contre son poignet pour stopper son geste. Délicatement elle s’approche de mon oreille alors que je sens son souffle brulant contre ma peau déjà en feu.
M : Sara…
S (murmurant sensuellement) : Laisse-moi faire ça Michael. Laisse-moi faire ça pour toi. Je veux le faire pour toi.
Nos yeux se rencontrent à nouveau, pleins d’amour et de confiance l’un pour l’autre alors que je desserre l’emprise que j’exerçais sur son poignet pour venir poser ma main contre sa taille. Elle reprend ma bouche contre la sienne dans un baiser bien plus profond quand je sens cette chaleur m’envahir de part en part, perdant le total control de mon corps.
Petit à petit, je sens le baiser se ralentir à mesure que je ne suis plus capable d’effectuer de gestes un temps soit peu cohérents. Elle vient alors poser sa joue conte la mienne. Je peux sentir une fois de plus sa respiration, forte et saccadée, près de mon oreille me procurant encore davantage de sensations. Il ne m’en fallait pas plus pour que mon sang se mette à bouillir et se propage à l’intérieur de mes veines. C’est dans une pure et simple torture que j’ai pu sentir, bien trop vite, tinter le triangle situé au bas de ma colonne vertébral me provocant milles sensations dans un rush exprimé par un ultime gémissement de son prénom.
M : Ooooh Saraaaa !!
Fin du flash back
Le tintement de la sonnette annonçant le onzième étage m’aide à recouvrer mes esprits. La redécouverte de ses souvenirs affiche un sourire sur mon visage bien trop vite remplacé par des traits tendus, la réalité de la situation me submergeant rapidement. Sortant de l’ascenseur je me dirige droit vers la porte de notre appartement. J’y entre avec une certaine appréhension. Tout est noir, on y voit que les lumières de la ville provenant de la magnifique baie-vitrée qui s’étire devant moi. Sans faire le moindre bruit, je m’avance jusqu’à notre chambre où je trouve finalement Sara endormie, la lumière extérieur venant éclairer son visage épuisé.
voilà !! alors ça va personne n'a été choqué ? parce que je me suis bien marrée à écrire le flash back !!
mais bon ici j'étais inspirée et donc je peux dire qu'il y aura au moins un chapitre de plus que ce que j'avais prévu vu que celui là je l'ai commencé et puis finalement j'ai dérrivée vers carrément autre chose (vous comprendrez quoi en lisant) et donc je reprendrai la suite de ça dans le prochain chapitre. j'espère que vous apprécierez.
edit : j'ai oublié d'ajouter que pour quelques mots du monologue de sucre, ça vient d'une réflexion de SWC sur michael et sara. (mais le reste c'est moi, je trouvais qu'elle exprimais juste très bien la chose).
attention pour ceux que ça pourrait choquer, c'est une scène à caractère sexuel.
Chapitre 3 : Talk to her
2 mois plus tard, le 20 septembre 2004.
… : Mike tu m’écoutes ?
Encore une fois perdu dans mes pensées, je me suis complètement fermé au monde qui m’entoure et j’étais totalement ailleurs, quelque part entre ici et là bas avec elle, alors que Sucre me parlait.
Su (lui tendant une bière) : Vous avez besoin de parler tous les deux.
M (après en avoir bu une gorgée) : On se parle.
Su : Non vous ne parlez pas. Vous parlez de la pluie et du beau temps, de ce qu’il y a à manger ce soir, mais vous ne parlez pas vraiment. Ce que je veux dire c’est que vous n’avez jamais eu vraiment besoin d’exprimer des mots pour comprendre ce que l’autre ressentait. Un seul regard et (claquant des doigts) tout était dit… Vous vous ressemblez tellement. Les situations inconfortables, vous les évitez par l’humour et celles beaucoup plus délicates, vous vous en détachez complètement. Seulement (buvant une gorgée de bière), aujourd’hui c’est plus compliqué que ça. Vous vous êtes enfermés dans une situation difficile, liée au problème de drogue de Sara, et je pense vraiment Mike que si vous voulez vous retrouvez, vous allez devoir parler du fond du problème qui vous touche, arrêter de l’éviter ou de tourner autour du pot. Alors rentre chez toi et parles lui.
M : Mais je…
Su : Parles-lui !
M (riant légèrement) : Depuis quand tu as appris à être aussi fin psychologue ?
Su : Ok je te le dis mais rappelle toi que c’est peut être grâce à moi que ton couple se remettra sur pied et donc je t’interdis de réutiliser cette information contre moi.
M (levant la main droite où se trouve sa bière, mais déjà prêt à rire) : Promis.
Su (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
M (se retenant de rire) : Hum… oui je vois.
Su : Mike tu as promis !
M : Oui j’arrête je… je vais rentrer et je vais aller lui parler.
Nous finissons rapidement nos bières en silence puis je prends mes affaires pour me diriger vers la sortie de son appartement. La main sur la poignée, je m’arrête alors pour me retourner vers lui, sérieux et reconnaissant.
M : Sucre ?
Su : Hum ?
M : Merci.
Su (souriant) : Vas-la retrouver Mike.
****
J’arrête le moteur de la voiture une fois garée sur la place de parking qui m’est attribuée. Je tourne la tête sur ma gauche pour voir le véhicule de Sara juste à côté de moi. Il est 23h54, elle doit être rentrée depuis un moment maintenant de sa réunion AA. Les soirs où elle va à ces réunions j’ai pris l’habitude d’aller chez Linc ou Sucre. L’ambiance est toujours un peu tendue à cette période là parce que le fais qu’elle aille là bas régulièrement nous fais constamment penser au fait qu’il y a bien un problème sous-jacent mais que nous refusons d’aborder. Sucre a bien raison, on se voile la face et il est temps d’y remédier.
Mes mains tapotent nerveusement le volant de la voiture avant de s’arrêter brusquement. Mes yeux fixent un point invisible sans vraiment s’attacher à quelque chose de particulier. Je soupire fortement puis j’ouvre la portière pour me diriger face à l’entrée de l’immeuble.
Une fois arrivé dans l’ascenseur mon regard est attiré par le miroir qui se trouve dans le fond. Mes yeux sont cernés et légèrement rougis, j’ai le teint pâle. Mes doigts se tournent vers le cadran pour appuyer sur l’étage numéro 11. Je m’adosse au miroir de manière à éviter mon triste reflet, prenant la rambarde qu’y si trouve accrochée dans mes mains et cette fois-ci, c’est ma tête qui vient se contrer au miroir par de légers à-coups.
Le temps d’arriver jusqu’à mon étage me parait extrêmes long et en même temps pas suffisant, la peur de devoir me confronter à Sara mais surtout à nos problèmes m’angoissant grandement. Des sortes de flash des moments que j’ai passé avec elle dans cet ascenseur me reviennent en mémoire.
Flash back, un an et demi plus tôt le 11 mars 2003
https://www.youtube.com/watch?v=eLnrXNXO1FE&feature=related
M : Tu n’es décemment pas une gentille fille Tancredi.
S : Depuis le temps tu devrais le savoir Scofield.
Rapidement elle repose ses lèvres contre les miennes avec passion. Elle a un goût de jus de pomme. Nos langues se rencontrent entre deux gémissements. Alors que je lèche le coin de sa bouche très légèrement avant d’y engouffrer ma langue à nouveau, une légère plainte de plaisir s’extirpe de sa gorge sans qu’elle ne puisse la contrôler. Je rapproche nos deux corps par une petite pression entre ses reins, nos hanches se frôlant de manière suggestive l’une contre l’autre. Je peux sentir la chaleur qui émane de son corps et qui peut pratiquement brûler ma peau à travers mes vêtements.
La surface dure et froide du miroir de l’ascenseur contre mon dos ne me dérange aucunement. En fait, cela m’excite peut être encore davantage de savoir que je suis là pressé contre ce mur par le corps délicat et sensuel de Sara toute en extase. Tout à coup, je sens sa main défaire les boutons de ma chemise un part un, lentement, délicatement, dans une danse très sensuelle et du bout de ses doigts.
M (s’écartant pour pouvoir parler) : Madame Jenckins risque d’avoir une attaque si elle nous voit faire ça ici.
S (amusée) : Premièrement, je suis médecin et deuxièmement (appuyant sur le bouton stop de l’ascenseur), c’est pour ce genre de raison qu’ils ont créé ce genre de bouton.
M : Ah oui vraiment ?
S (hochant la tête en se pinçant la lèvre) : Hu huh.
Elle se rapproche à nouveau. Ses dents éraflent doucement ma lèvre inférieure. Dans un souffle bruyant nous gémissons tous les deux. Je commence à perdre pied alors que sa main achève la tâche à laquelle elle s’affairait quelques minutes plus tôt. Une fois ma chemise ouverte, je sens ses doigts parcourir mon torse dans une caresse des plus sensuelles sans qu’elle ne se détache de ma bouche.
Happés par un besoin vital de respirer, nos lèvres se séparent bruyamment. Nos respirations sont fortes et accélérés. Nos yeux se figent l’un en l’autre avec une telle intensité qu’elle me fait chavirer et je sens déjà un frisson parcourir mon dos tout entier. Nos regards sont noirs de désirs, et bientôt je la vois m’observer d’un air espiègle. Elle passe l’une de ses mains derrière ma nuque, la caresse tendrement avant d’y faire une pression pour ramener mon visage jusque dans son cou. C’est elle qui mène la dance ce soir et ça n’est pas pour me déplaire.
Du bout de la langue, par un léger frottement, je m’attarde au niveau de sa clavicule pour remonter jusqu’au dessous de son oreille. Je sens ses muscles se contracter au fur et à mesure de ma progression, alors que de légers sons de plaisir s’évadent de sa bouche. Ma main droite englobe sa fesse pour la rapprocher et la sentir littéralement encore plus près de moi. Nos corps s’associent parfaitement. Nos hanches sont construites comme si elles étaient faites pour s’unir l’une en l’autre.
Tout à coup je sens sa main coincée entre nos deux corps descendre dangereusement de mon torse vers le haut de mon pantalon. Je suis alors incapable de continuer l’action que j’étais en train de faire et surpris par l’émotion qui me submerge, ma tête vient frapper lourdement le miroir derrière moi lorsque je me redresse. Mes yeux sont clos et je relâche un énorme gémissement quand je sens sa main s’insinuer entre mon pantalon et le tissu de mon boxer. Elle s’y attarde quelques instants, frôlant cet endroit de mon intimité qu’elle est la seule à contrôler, avant de passer à l’étape supérieure et de franchir les dernières limites qui me sépare du plaisir.
Alors qu’elle caresse divinement et subtilement cette partie de mon anatomie gonflée de désir, sa bouche se dirige vers mon torse et elle vient mordiller délicatement mes tétons. Je sens mon cœur battre à tout rompre contre ma poitrine, le sang y affluant à une vitesse incroyable. Je suis en transe. Je sens quelques frissons me parcourir le corps et une bouffée de chaleur me submerger. Mais je ne veux pas. Non je ne veux pas atteindre cet univers quasi irréel et orgasmique du plaisir sans elle. J’essai de me contrôler mais je suis comme paralysé par les sensations qu’elle me procure. Dans un mouvement second et rassemblant toute ma force, je parviens, sous un râle profond qui s’extirpe de ma bouche comme s’il provenait tout droit de mon bas ventre, à poser ma main contre son poignet pour stopper son geste. Délicatement elle s’approche de mon oreille alors que je sens son souffle brulant contre ma peau déjà en feu.
M : Sara…
S (murmurant sensuellement) : Laisse-moi faire ça Michael. Laisse-moi faire ça pour toi. Je veux le faire pour toi.
Nos yeux se rencontrent à nouveau, pleins d’amour et de confiance l’un pour l’autre alors que je desserre l’emprise que j’exerçais sur son poignet pour venir poser ma main contre sa taille. Elle reprend ma bouche contre la sienne dans un baiser bien plus profond quand je sens cette chaleur m’envahir de part en part, perdant le total control de mon corps.
Petit à petit, je sens le baiser se ralentir à mesure que je ne suis plus capable d’effectuer de gestes un temps soit peu cohérents. Elle vient alors poser sa joue conte la mienne. Je peux sentir une fois de plus sa respiration, forte et saccadée, près de mon oreille me procurant encore davantage de sensations. Il ne m’en fallait pas plus pour que mon sang se mette à bouillir et se propage à l’intérieur de mes veines. C’est dans une pure et simple torture que j’ai pu sentir, bien trop vite, tinter le triangle situé au bas de ma colonne vertébral me provocant milles sensations dans un rush exprimé par un ultime gémissement de son prénom.
M : Ooooh Saraaaa !!
Fin du flash back
Le tintement de la sonnette annonçant le onzième étage m’aide à recouvrer mes esprits. La redécouverte de ses souvenirs affiche un sourire sur mon visage bien trop vite remplacé par des traits tendus, la réalité de la situation me submergeant rapidement. Sortant de l’ascenseur je me dirige droit vers la porte de notre appartement. J’y entre avec une certaine appréhension. Tout est noir, on y voit que les lumières de la ville provenant de la magnifique baie-vitrée qui s’étire devant moi. Sans faire le moindre bruit, je m’avance jusqu’à notre chambre où je trouve finalement Sara endormie, la lumière extérieur venant éclairer son visage épuisé.
voilà !! alors ça va personne n'a été choqué ? parce que je me suis bien marrée à écrire le flash back !!
Dernière édition par miliibnb le Sam 26 Juil - 0:43, édité 1 fois
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
ca me convient trés bien, désolée pour tes autres lectrices loolbon j'arrive pas à écrire pour strong and alive... panne d'inspiration
Ah bon, il y que si peu de suites...j'étais inspirée et donc je peux dire qu'il y aura au moins un chapitre de plus que ce que j'avais prévu vu que celui là je l'ai commencé et puis finalement j'ai dérrivée vers carrément autre chose
Oh oui j'ai beaucoup apprécié...j'espère que vous apprécierez.
la fic maintenant
C'est bien dommage qu'il se contente de la voir uniquement dans ses pensées...quelque part entre ici et là bas avec elle, alors que Sucre me parlait.
ca c'est bien vrai, bonne initiative Sucre.Su (lui tendant une bière) : Vous avez besoin de parler tous les deux.
j'ai trouvé ce monologue trés bien dit, je ne saivais pas moi non plus que Sucre pouvait être ausin fin psy lool.. et en même temps c'est trés bien, car on sent bien que ca semble arriver aux oreilles de Mike et qu'il en prend bonne note par la suite.Su : Non vous ne parlez pas. Vous parlez de la pluie et du beau temps, de ce qu’il y a à manger ce soir, mais vous ne parlez pas vraiment. Ce que je veux dire c’est que vous n’avez jamais eu vraiment besoin d’exprimer des mots pour comprendre ce que l’autre ressentait. Un seul regard et (claquant des doigts) tout était dit… Vous vous ressemblez tellement. Les situations inconfortables, vous les évitez par l’humour et celles beaucoup plus délicates, vous vous en détachez complètement. Seulement (buvant une gorgée de bière), aujourd’hui c’est plus compliqué que ça. Vous vous êtes enfermés dans une situation difficile, liée au problème de drogue de Sara, et je pense vraiment Mike que si vous voulez vous retrouvez, vous allez devoir parler du fond du problème qui vous touche, arrêter de l’éviter ou de tourner autour du pot. Alors rentre chez toi et parles lui.
J'ai trouvé cette phrase trés drôle, non seulement sucre le persuade de parler avec Sara mais en plus il parvient à le faire rire, on peut dire que lui est un excellent ami lolM (riant légèrement) : Depuis quand tu as appris à être aussi fin psychologue ?
Celle la pas pu m'empêcher de la dire, alors comme ca Sucre s'instruit mdrrrSu (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
cette phrase est pour moi, la plus importante, elle exprime d'aprés moi, l'envie qu'il à de la retrouver rapidement mais en même temps un certain côté d'appréhension quant à lui parler. Et si c'est ca, je trouve cette comparaison excellente.Le temps d’arriver jusqu’à mon étage me parait extrêmes long et en même temps pas suffisant
alors pour le flach back une seule chose à dire c'était muy caliente... t'en as d'autre des comme ca mdrrrr
pour terminer j'ai trouvé cette suite superbe, j'attends les suivantes avec impatience. Et la musique se confondait trés bien avec le flash back que j'ai beaucoup aimé et pour lequel je ne vois pas pourquoi on serait choqué..
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Ho un ascenseur... hum hum...
J'ai adoré, trés beau passage... Je crois que Sucre existe dans n'importe quelle "réalité" que nous, fans, nous créons... Et il est évidemment adorable et de trés bons conseils Sans oublier qu'il vise juste dans ses observations, j'ai adoré le coup des magazines féminins ! En plus, il est parfait, il attend sa chérie quand elle va chez le médecin !
La scéne flash back... Hé ben hé ben hé ben, moi je suis choquée , quand je dis que tu es une obsédée ! Non, vraiment géniale, trés bien écrite et la musique trés bien choisis !
Tu laisses du suspens là ! La suite !!
J'ai adoré, trés beau passage... Je crois que Sucre existe dans n'importe quelle "réalité" que nous, fans, nous créons... Et il est évidemment adorable et de trés bons conseils Sans oublier qu'il vise juste dans ses observations, j'ai adoré le coup des magazines féminins ! En plus, il est parfait, il attend sa chérie quand elle va chez le médecin !
La scéne flash back... Hé ben hé ben hé ben, moi je suis choquée , quand je dis que tu es une obsédée ! Non, vraiment géniale, trés bien écrite et la musique trés bien choisis !
Tu laisses du suspens là ! La suite !!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
merci beaucoup les filles !!!
j'ai ajouté un edit dans ma suite pour dire que quelques mots du monologue de sucre viennent en fait de SWC parce que je trouvais c'est mots parfait pour qualifier la relation de michael et sara à savoir :
sinon @ islem : oui c'est une petite fic, j'ai refais mon calcul et à moins que j'ai de l'inspiration en cours de route comme aujorud'hui j'aurai encore 7 chapitres je crois. (mais bon mes chapitres font quand même 4 pages hein!!!)
pour le flash back un peu hot je sais mais bon j'étais d'humeur lol !!!! (ça faisait un bail que j'en avais pas écris...) je me doute bien que ça choque personne ici mais on s'est jamais alors je préfère prévenir au cas où.
et mélina, je dois avouer que pour la scène de l'ascenceur je suis toujours convaincue que la tienne est la plus chaude. la mienne yen a que pour michale et la très réssente de sarascofield que j'ai adoré mais au final ça n'est qu'un rêve alors que la tienne c'était chaud de chez chaud avec leur grève du sexe. je me souviens d'un truc en particulier le fait que genre sara s'appuie sur ça jambe pour je sais pas se gratter, remettre sa jupe en place un truc du genre et c'est bon rien qu'avec ça michael était tout chamboulé le pauvre !!!!
j'ai ajouté un edit dans ma suite pour dire que quelques mots du monologue de sucre viennent en fait de SWC parce que je trouvais c'est mots parfait pour qualifier la relation de michael et sara à savoir :
Les situations inconfortables, ils les évitent par l’humour. Les situations délicates, ils s’en détachent complètement.
sinon @ islem : oui c'est une petite fic, j'ai refais mon calcul et à moins que j'ai de l'inspiration en cours de route comme aujorud'hui j'aurai encore 7 chapitres je crois. (mais bon mes chapitres font quand même 4 pages hein!!!)
c'est tout à fait ça.cette phrase est pour moi, la plus importante, elle exprime d'aprés moi, l'envie qu'il à de la retrouver rapidement mais en même temps un certain côté d'appréhension quant à lui parler. Et si c'est ca, je trouve cette comparaison excellente.
pour le flash back un peu hot je sais mais bon j'étais d'humeur lol !!!! (ça faisait un bail que j'en avais pas écris...) je me doute bien que ça choque personne ici mais on s'est jamais alors je préfère prévenir au cas où.
et mélina, je dois avouer que pour la scène de l'ascenceur je suis toujours convaincue que la tienne est la plus chaude. la mienne yen a que pour michale et la très réssente de sarascofield que j'ai adoré mais au final ça n'est qu'un rêve alors que la tienne c'était chaud de chez chaud avec leur grève du sexe. je me souviens d'un truc en particulier le fait que genre sara s'appuie sur ça jambe pour je sais pas se gratter, remettre sa jupe en place un truc du genre et c'est bon rien qu'avec ça michael était tout chamboulé le pauvre !!!!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
lol Mili, mais n'oublie que, malheureusement, ce n'est pas moi qui ait écrit la scéne de l'ascenseur... Mais une copine et c'est vrai qu'elle s'est surpassée. Et elle ne se gratte pas non... (m...d...r) Mais elle change juste de jambe d'appuie
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Mélina a écrit:lol Mili, mais n'oublie que, malheureusement, ce n'est pas moi qui ait écrit la scéne de l'ascenseur... Mais une copine et c'est vrai qu'elle s'est surpassée. Et elle ne se gratte pas non... (m...d...r) Mais elle change juste de jambe d'appuie
oui bin bref elle fait un truc avec ça jambe qui a rendu michale tout fou !!!!
et bin elle a un sacrée talent parce que cette scène c'était whaaaaa !!! elle écrit encore pour toi ???
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
miliibnb a écrit:Mélina a écrit:lol Mili, mais n'oublie que, malheureusement, ce n'est pas moi qui ait écrit la scéne de l'ascenseur... Mais une copine et c'est vrai qu'elle s'est surpassée. Et elle ne se gratte pas non... (m...d...r) Mais elle change juste de jambe d'appuie
oui bin bref elle fait un truc avec ça jambe qui a rendu michale tout fou !!!!
et bin elle a un sacrée talent parce que cette scène c'était whaaaaa !!! elle écrit encore pour toi ???
Malheureusement non car je n'ai plus de nouvelles d'elle, elle était sur Prison Break fan et ca fait un moment qu'elle ne vient plus...
Elle est vraiment douée car moi qui déteste les Wentstory, ou les Wesa je sais plus quoi, je suis fan de sa fic qui est une wentstory...
Et elle m'a également écrit la premiére scéne HOT entre Michael et Sara (logique, ce n'est pas entre Sucre et Lincln, gné)
Je m'inquiéte un peu beaucoup mais bon...
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
tu t'inquiète pour quoi? pour elle? en même temps je trouve que depuis la saison 3 ya eu un changement de public enorme dans le sens où tous les anciens sont parties et plein de nouveaux sont arrivés. regarde ceux qui étaient là avant ne le sont plus ya que des nouveaux (et je me considère parmis les nouveaux lol).
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Elle n'est pas vraiment une fan du MiSa, et sa fic n'est pas finit!
De toute facon, je trouve que la saison 3, elle a servit à rien !! Tout ça pour introduire le personnage de Whistler !
De toute facon, je trouve que la saison 3, elle a servit à rien !! Tout ça pour introduire le personnage de Whistler !
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Su (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
du sucré tout craché j'adore !
Et puis j'ai adoré le passage de l'ascenseur décidement tu adores les ascenceurs.. ( je sais maintenant que faire l'amour avec Wenty dans un ascenseur est ton fantasme n°1 !!!!! loool)
(appuyant sur le bouton stop de l’ascenseur), c’est pour ce genre de raison qu’ils ont créé ce genre de bouton.
M : Ah oui vraiment ?
S (hochant la tête en se pinçant la lèvre) : Hu huh.
Mais bien sûr Sara on te crois tous
Elle cacher bien son jeu de petite cochonne cette Sara mais en tout cas c'est pas pour déplaire à Michael qui en a bien profité !!!
Bravo pour cette superbe scène !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
merci !!!
mais à la base cette scène était pas prévu, il devait juste rentrer chez lui et puis comment dire mon imagination a dérapée...Et puis j'ai adoré le passage de l'ascenseur décidement tu adores les ascenceurs.. ( je sais maintenant que faire l'amour avec Wenty dans un ascenseur est ton fantasme n°1 !!!!! loool)
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Il y avait longtemps que je n'avais pas été faire un tour sur le forum!
Et là je me suis régalée en lisant la suite de ta fic!
Très bien écrit comme toujours! Tellement réaliste aussi...
J'aime beaucoup le sujet que tu as choisi de traiter, il est différent. Et tu as très bien su l'exploiter...
Ce fossé qui les sépare et qui grandit de jour en jour.... Sa grossesse qui n'a pas pu être menée à terme et son problème de drogue qui a ressurgit... Le fait que tout cela les ai séparé et ai contribué à ce froid entre eux...
Sucre est de bon conseil!! J'ai beaucoup aimé l'aveu sur les magazine féminin!! mdr
Maintenant il faut qu'il arrive à se parler, à parler de ce qui c'est passé....
Sara doit être épaulée même si c'est dur pour Michael.
Et la scène de l'ascenseur... mamamia!! Chaud chaud chaud tout ça!
Super bonne idée ce mélange de moments récents et de flash back. Ca donne une autre dimension à ton texte!
J'espère qu'ils vont réussir à communiquer et arrêter ces discussions policées qui n'ont rien à voir avec l'amour....
Je me languis de la suite!!!!! Quel talent comme toujours!!
Et là je me suis régalée en lisant la suite de ta fic!
Très bien écrit comme toujours! Tellement réaliste aussi...
J'aime beaucoup le sujet que tu as choisi de traiter, il est différent. Et tu as très bien su l'exploiter...
Ce fossé qui les sépare et qui grandit de jour en jour.... Sa grossesse qui n'a pas pu être menée à terme et son problème de drogue qui a ressurgit... Le fait que tout cela les ai séparé et ai contribué à ce froid entre eux...
Sucre est de bon conseil!! J'ai beaucoup aimé l'aveu sur les magazine féminin!! mdr
Maintenant il faut qu'il arrive à se parler, à parler de ce qui c'est passé....
Sara doit être épaulée même si c'est dur pour Michael.
Et la scène de l'ascenseur... mamamia!! Chaud chaud chaud tout ça!
Super bonne idée ce mélange de moments récents et de flash back. Ca donne une autre dimension à ton texte!
J'espère qu'ils vont réussir à communiquer et arrêter ces discussions policées qui n'ont rien à voir avec l'amour....
Je me languis de la suite!!!!! Quel talent comme toujours!!
aventurine- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 13/02/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
je viens de rattraper mon chapitre de retard (j'ai des problèmes d'ordi ) et WAOU c'est hot, et je suis choquée
j'ai bien aimé les conseils de sucre
le flash de Michael
alors il reste trois chapitres c'est ça moi qui croyait que t'allait en faire une très longuue fic
allez vite la suite
j'ai bien aimé les conseils de sucre
le flash de Michael
alors il reste trois chapitres c'est ça moi qui croyait que t'allait en faire une très longuue fic
allez vite la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
merci beaucoup !!!
tink t'es choquée ??? non je te crois pas !!! pas possible !!!
sinon nan je dirai qu'il en reste 7 de chapitre je pense. je vais voir si j'arrive à trouver des idées pour plus. j'ai déjà rajouter cette scène qui devait pas figurer dans la fic alors on sait jamais.
tink t'es choquée ??? non je te crois pas !!! pas possible !!!
sinon nan je dirai qu'il en reste 7 de chapitre je pense. je vais voir si j'arrive à trouver des idées pour plus. j'ai déjà rajouter cette scène qui devait pas figurer dans la fic alors on sait jamais.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bah oui je suis choquéemiliibnb a écrit:merci beaucoup !!!
tink t'es choquée ??? non je te crois pas !!! pas possible !!!
sinon nan je dirai qu'il en reste 7 de chapitre je pense. je vais voir si j'arrive à trouver des idées pour plus. j'ai déjà rajouter cette scène qui devait pas figurer dans la fic alors on sait jamais.
je suis très contente de savoir que je vais encore avoir des suites pour cette fic
allez Mili
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bon comme le troisième chapitre à disparu avec les petits bug de bans, je le reposte pour ceux qui souhaiterai lire, et juste après je mets une suite, une très longue suite puisque ça sera l plus grande que j'ai jamais écrite !!!
bon je vous poste ma dernière suite et après faudra attendre quelques jours. Une des phrases prononcés par sucre vient directement de SWC qui définissait parfaitement la relation sara/michael.
ATTENTION : pour les esprits sensibles (des fois je me demande si ça existe sur les forums mais bon je préfère prévenir), scène à caractère sexuel !!
Chapitre 3 : Talk to her
2 mois plus tard, le 20 septembre 2004.
… : Mike tu m’écoutes ?
Encore une fois perdu dans mes pensées, je me suis complètement fermé au monde qui m’entoure et j’étais totalement ailleurs, quelque part entre ici et là bas avec elle, alors que Sucre me parlait.
Su (lui tendant une bière) : Vous avez besoin de parler tous les deux.
M (après en avoir bu une gorgée) : On se parle.
Su : Non vous ne parlez pas. Vous parlez de la pluie et du beau temps, de ce qu’il y a à manger ce soir, mais vous ne parlez pas vraiment. Ce que je veux dire c’est que vous n’avez jamais eu vraiment besoin d’exprimer des mots pour comprendre ce que l’autre ressentait. Un seul regard et (claquant des doigts) tout était dit… Vous vous ressemblez tellement. Les situations inconfortables, vous les évitez par l’humour et celles beaucoup plus délicates, vous vous en détachez complètement. Seulement (buvant une gorgée de bière), aujourd’hui c’est plus compliqué que ça. Vous vous êtes enfermés dans une situation difficile, liée au problème de drogue de Sara, et je pense vraiment Mike que si vous voulez vous retrouvez, vous allez devoir parler du fond du problème qui vous touche, arrêter de l’éviter ou de tourner autour du pot. Alors rentre chez toi et parles-lui.
M : Mais je…
Su : Parles-lui !
M (riant légèrement) : Depuis quand tu as appris à être aussi fin psychologue ?
Su : Ok je te le dis mais rappelle toi que c’est peut être grâce à moi que ton couple se remettra sur pied et donc je t’interdis de réutiliser cette information contre moi.
M (levant la main droite où se trouve sa bière, mais déjà prêt à rire) : Promis.
Su (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
M (se retenant de rire) : Hum… oui je vois.
Su : Mike tu as promis !
M : Oui j’arrête je… je vais rentrer et je vais aller lui parler.
Nous finissons rapidement nos bières en silence puis je prends mes affaires pour me diriger vers la sortie de son appartement. La main sur la poignée, je m’arrête alors pour me retourner vers lui, sérieux et reconnaissant.
M : Sucre ?
Su : Hum ?
M : Merci.
Su (souriant) : Vas-la retrouver Mike.
****
J’arrête le moteur de la voiture une fois garée sur la place de parking qui m’est attribuée. Je tourne la tête sur ma gauche pour voir le véhicule de Sara juste à côté de moi. Il est 23h54, elle doit être rentrée depuis un moment maintenant de sa réunion AA. Les soirs où elle va à ces réunions j’ai pris l’habitude d’aller chez Linc ou Sucre. L’ambiance est toujours un peu tendue à cette période là parce que le fais qu’elle aille là bas régulièrement nous fais constamment penser au fait qu’il y a bien un problème sous-jacent mais que nous refusons d’aborder. Sucre a bien raison, on se voile la face et il est temps d’y remédier.
Mes mains tapotent nerveusement le volant de la voiture avant de s’arrêter brusquement. Mes yeux fixent un point invisible sans vraiment s’attacher à quelque chose de particulier. Je soupire fortement puis j’ouvre la portière pour me diriger face à l’entrée de l’immeuble.
Une fois arrivé dans l’ascenseur mon regard est attiré par le miroir qui se trouve dans le fond. Mes yeux sont cernés et légèrement rougis, j’ai le teint pâle. Mes doigts se tournent vers le cadran pour appuyer sur l’étage numéro 11. Je m’adosse au miroir de manière à éviter mon triste reflet, prenant la rambarde qu’y si trouve accrochée dans mes mains et cette fois-ci, c’est ma tête qui vient se contrer au miroir par de légers à-coups.
Le temps d’arriver jusqu’à mon étage me parait extrêmement long et en même temps pas suffisant, la peur de devoir me confronter à Sara mais surtout à nos problèmes m’angoissant grandement. Des sortes de flash des moments que j’ai passés avec elle dans cet ascenseur me reviennent en mémoire.
Flash back, un an et demi plus tôt le 11 mars 2003
https://www.youtube.com/watch?v=eLnrXNXO1FE
M : Tu n’es décemment pas une gentille fille Tancredi.
S : Depuis le temps tu devrais le savoir Scofield.
Rapidement elle repose ses lèvres contre les miennes avec passion. Elle a un goût de jus de pomme. Nos langues se rencontrent entre deux gémissements. Alors que je lèche le coin de sa bouche très légèrement avant d’y engouffrer ma langue à nouveau, une légère plainte de plaisir s’extirpe de sa gorge sans qu’elle ne puisse la contrôler. Je rapproche nos deux corps par une petite pression entre ses reins, nos hanches se frôlant de manière suggestive l’une contre l’autre. Je peux sentir la chaleur qui émane de son corps et qui peut pratiquement brûler ma peau à travers mes vêtements.
La surface dure et froide du miroir de l’ascenseur contre mon dos ne me dérange aucunement. En fait, cela m’excite peut être encore davantage de savoir que je suis là pressé contre ce mur par le corps délicat et sensuel de Sara toute en extase. Tout à coup, je sens sa main défaire les boutons de ma chemise un part un, lentement, délicatement, dans une danse très sensuelle et du bout de ses doigts.
M (s’écartant pour pouvoir parler) : Madame Jenckins risque d’avoir une attaque si elle nous voit faire ça ici.
S (amusée) : Premièrement, je suis médecin et deuxièmement (appuyant sur le bouton stop de l’ascenseur), c’est pour ce genre de raison qu’ils ont créé ce genre de bouton.
M : Ah oui vraiment ?
S (hochant la tête en se pinçant la lèvre) : Hu huh.
Elle se rapproche à nouveau. Ses dents éraflent doucement ma lèvre inférieure. Dans un souffle bruyant nous gémissons tous les deux. Je commence à perdre pied alors que sa main achève la tâche à laquelle elle s’affairait quelques minutes plus tôt. Une fois ma chemise ouverte, je sens ses doigts parcourir mon torse dans une caresse des plus sensuelles sans qu’elle ne se détache de ma bouche.
Happés par un besoin vital de respirer, nos lèvres se séparent bruyamment. Nos respirations sont fortes et accélérés. Nos yeux se figent l’un en l’autre avec une telle intensité qu’elle me fait chavirer et je sens déjà un frisson parcourir mon dos tout entier. Nos regards sont noirs de désirs, et bientôt je la vois m’observer d’un air espiègle. Elle passe l’une de ses mains derrière ma nuque, la caresse tendrement avant d’y faire une pression pour ramener mon visage jusque dans son cou. C’est elle qui mène la dance ce soir et ça n’est pas pour me déplaire.
Du bout de la langue, par un léger frottement, je m’attarde au niveau de sa clavicule pour remonter jusqu’au dessous de son oreille. Je sens ses muscles se contracter au fur et à mesure de ma progression, alors que de légers sons de plaisir s’évadent de sa bouche. Ma main droite englobe sa fesse pour la rapprocher et la sentir littéralement encore plus près de moi. Nos corps s’associent parfaitement. Nos hanches sont construites comme si elles étaient faites pour s’unir l’une en l’autre.
Tout à coup je sens sa main coincée entre nos deux corps descendre dangereusement de mon torse vers le haut de mon pantalon. Je suis alors incapable de continuer l’action que j’étais en train de faire et surpris par l’émotion qui me submerge, ma tête vient frapper lourdement le miroir derrière moi lorsque je me redresse. Mes yeux sont clos et je relâche un énorme gémissement quand je sens sa main s’insinuer entre mon pantalon et le tissu de mon boxer. Elle s’y attarde quelques instants, frôlant cet endroit de mon intimité qu’elle est la seule à contrôler, avant de passer à l’étape supérieure et de franchir les dernières limites qui me sépare du plaisir.
Alors qu’elle caresse divinement et subtilement cette partie de mon anatomie gonflée de désir, sa bouche se dirige vers mon torse et elle vient mordiller délicatement mes tétons. Je sens mon cœur battre à tout rompre contre ma poitrine, le sang y affluant à une vitesse incroyable. Je suis en transe. Je sens quelques frissons me parcourir le corps et une bouffée de chaleur me submerger. Mais je ne veux pas. Non je ne veux pas atteindre cet univers quasi irréel et orgasmique du plaisir sans elle. J’essai de me contrôler mais je suis comme paralysé par les sensations qu’elle me procure. Dans un mouvement second et rassemblant toute ma force, je parviens, sous un râle profond qui s’extirpe de ma bouche comme s’il provenait tout droit de mon bas ventre, à poser ma main contre son poignet pour stopper son geste. Délicatement elle s’approche de mon oreille alors que je sens son souffle brulant contre ma peau déjà en feu.
M : Sara…
S (murmurant sensuellement) : Laisse-moi faire ça Michael. Laisse-moi faire ça pour toi. Je veux le faire pour toi.
Nos yeux se rencontrent à nouveau, pleins d’amour et de confiance l’un pour l’autre alors que je desserre l’emprise que j’exerçais sur son poignet pour venir poser ma main contre sa taille. Elle reprend ma bouche contre la sienne dans un baiser bien plus profond quand je sens cette chaleur m’envahir de part en part, perdant le total control de mon corps.
Petit à petit, je sens le baiser se ralentir à mesure que je ne suis plus capable d’effectuer de gestes un temps soit peu cohérents. Elle vient alors poser sa joue conte la mienne. Je peux sentir une fois de plus sa respiration, forte et saccadée, près de mon oreille me procurant encore davantage de sensations. Il ne m’en fallait pas plus pour que mon sang se mette à bouillir et se propage à l’intérieur de mes veines. C’est dans une pure et simple torture que j’ai pu sentir, bien trop vite, tinter le triangle situé au bas de ma colonne vertébral me provocant milles sensations dans un rush exprimé par un ultime gémissement de son prénom.
M : Ooooh Saraaaa !!
Fin du flash back
Le tintement de la sonnette annonçant le onzième étage m’aide à recouvrer mes esprits. La redécouverte de ses souvenirs affiche un sourire sur mon visage bien trop vite remplacé par des traits tendus, la réalité de la situation me submergeant rapidement. Sortant de l’ascenseur je me dirige droit vers la porte de notre appartement. J’y entre avec une certaine appréhension. Tout est noir, on y voit que les lumières de la ville provenant de la magnifique baie-vitrée qui s’étire devant moi. Sans faire le moindre bruit, je m’avance jusqu’à notre chambre où je trouve finalement Sara endormie, la lumière extérieur venant éclairer son visage épuisé.
bon je vous poste ma dernière suite et après faudra attendre quelques jours. Une des phrases prononcés par sucre vient directement de SWC qui définissait parfaitement la relation sara/michael.
ATTENTION : pour les esprits sensibles (des fois je me demande si ça existe sur les forums mais bon je préfère prévenir), scène à caractère sexuel !!
Chapitre 3 : Talk to her
2 mois plus tard, le 20 septembre 2004.
… : Mike tu m’écoutes ?
Encore une fois perdu dans mes pensées, je me suis complètement fermé au monde qui m’entoure et j’étais totalement ailleurs, quelque part entre ici et là bas avec elle, alors que Sucre me parlait.
Su (lui tendant une bière) : Vous avez besoin de parler tous les deux.
M (après en avoir bu une gorgée) : On se parle.
Su : Non vous ne parlez pas. Vous parlez de la pluie et du beau temps, de ce qu’il y a à manger ce soir, mais vous ne parlez pas vraiment. Ce que je veux dire c’est que vous n’avez jamais eu vraiment besoin d’exprimer des mots pour comprendre ce que l’autre ressentait. Un seul regard et (claquant des doigts) tout était dit… Vous vous ressemblez tellement. Les situations inconfortables, vous les évitez par l’humour et celles beaucoup plus délicates, vous vous en détachez complètement. Seulement (buvant une gorgée de bière), aujourd’hui c’est plus compliqué que ça. Vous vous êtes enfermés dans une situation difficile, liée au problème de drogue de Sara, et je pense vraiment Mike que si vous voulez vous retrouvez, vous allez devoir parler du fond du problème qui vous touche, arrêter de l’éviter ou de tourner autour du pot. Alors rentre chez toi et parles-lui.
M : Mais je…
Su : Parles-lui !
M (riant légèrement) : Depuis quand tu as appris à être aussi fin psychologue ?
Su : Ok je te le dis mais rappelle toi que c’est peut être grâce à moi que ton couple se remettra sur pied et donc je t’interdis de réutiliser cette information contre moi.
M (levant la main droite où se trouve sa bière, mais déjà prêt à rire) : Promis.
Su (hésitant) : Disons que… hum, quand j’accompagne Mari chez le médecin je passe pas mal de temps à lire (baissant la voix) les magazines féminins de la salle d’attente.
M (se retenant de rire) : Hum… oui je vois.
Su : Mike tu as promis !
M : Oui j’arrête je… je vais rentrer et je vais aller lui parler.
Nous finissons rapidement nos bières en silence puis je prends mes affaires pour me diriger vers la sortie de son appartement. La main sur la poignée, je m’arrête alors pour me retourner vers lui, sérieux et reconnaissant.
M : Sucre ?
Su : Hum ?
M : Merci.
Su (souriant) : Vas-la retrouver Mike.
****
J’arrête le moteur de la voiture une fois garée sur la place de parking qui m’est attribuée. Je tourne la tête sur ma gauche pour voir le véhicule de Sara juste à côté de moi. Il est 23h54, elle doit être rentrée depuis un moment maintenant de sa réunion AA. Les soirs où elle va à ces réunions j’ai pris l’habitude d’aller chez Linc ou Sucre. L’ambiance est toujours un peu tendue à cette période là parce que le fais qu’elle aille là bas régulièrement nous fais constamment penser au fait qu’il y a bien un problème sous-jacent mais que nous refusons d’aborder. Sucre a bien raison, on se voile la face et il est temps d’y remédier.
Mes mains tapotent nerveusement le volant de la voiture avant de s’arrêter brusquement. Mes yeux fixent un point invisible sans vraiment s’attacher à quelque chose de particulier. Je soupire fortement puis j’ouvre la portière pour me diriger face à l’entrée de l’immeuble.
Une fois arrivé dans l’ascenseur mon regard est attiré par le miroir qui se trouve dans le fond. Mes yeux sont cernés et légèrement rougis, j’ai le teint pâle. Mes doigts se tournent vers le cadran pour appuyer sur l’étage numéro 11. Je m’adosse au miroir de manière à éviter mon triste reflet, prenant la rambarde qu’y si trouve accrochée dans mes mains et cette fois-ci, c’est ma tête qui vient se contrer au miroir par de légers à-coups.
Le temps d’arriver jusqu’à mon étage me parait extrêmement long et en même temps pas suffisant, la peur de devoir me confronter à Sara mais surtout à nos problèmes m’angoissant grandement. Des sortes de flash des moments que j’ai passés avec elle dans cet ascenseur me reviennent en mémoire.
Flash back, un an et demi plus tôt le 11 mars 2003
https://www.youtube.com/watch?v=eLnrXNXO1FE
M : Tu n’es décemment pas une gentille fille Tancredi.
S : Depuis le temps tu devrais le savoir Scofield.
Rapidement elle repose ses lèvres contre les miennes avec passion. Elle a un goût de jus de pomme. Nos langues se rencontrent entre deux gémissements. Alors que je lèche le coin de sa bouche très légèrement avant d’y engouffrer ma langue à nouveau, une légère plainte de plaisir s’extirpe de sa gorge sans qu’elle ne puisse la contrôler. Je rapproche nos deux corps par une petite pression entre ses reins, nos hanches se frôlant de manière suggestive l’une contre l’autre. Je peux sentir la chaleur qui émane de son corps et qui peut pratiquement brûler ma peau à travers mes vêtements.
La surface dure et froide du miroir de l’ascenseur contre mon dos ne me dérange aucunement. En fait, cela m’excite peut être encore davantage de savoir que je suis là pressé contre ce mur par le corps délicat et sensuel de Sara toute en extase. Tout à coup, je sens sa main défaire les boutons de ma chemise un part un, lentement, délicatement, dans une danse très sensuelle et du bout de ses doigts.
M (s’écartant pour pouvoir parler) : Madame Jenckins risque d’avoir une attaque si elle nous voit faire ça ici.
S (amusée) : Premièrement, je suis médecin et deuxièmement (appuyant sur le bouton stop de l’ascenseur), c’est pour ce genre de raison qu’ils ont créé ce genre de bouton.
M : Ah oui vraiment ?
S (hochant la tête en se pinçant la lèvre) : Hu huh.
Elle se rapproche à nouveau. Ses dents éraflent doucement ma lèvre inférieure. Dans un souffle bruyant nous gémissons tous les deux. Je commence à perdre pied alors que sa main achève la tâche à laquelle elle s’affairait quelques minutes plus tôt. Une fois ma chemise ouverte, je sens ses doigts parcourir mon torse dans une caresse des plus sensuelles sans qu’elle ne se détache de ma bouche.
Happés par un besoin vital de respirer, nos lèvres se séparent bruyamment. Nos respirations sont fortes et accélérés. Nos yeux se figent l’un en l’autre avec une telle intensité qu’elle me fait chavirer et je sens déjà un frisson parcourir mon dos tout entier. Nos regards sont noirs de désirs, et bientôt je la vois m’observer d’un air espiègle. Elle passe l’une de ses mains derrière ma nuque, la caresse tendrement avant d’y faire une pression pour ramener mon visage jusque dans son cou. C’est elle qui mène la dance ce soir et ça n’est pas pour me déplaire.
Du bout de la langue, par un léger frottement, je m’attarde au niveau de sa clavicule pour remonter jusqu’au dessous de son oreille. Je sens ses muscles se contracter au fur et à mesure de ma progression, alors que de légers sons de plaisir s’évadent de sa bouche. Ma main droite englobe sa fesse pour la rapprocher et la sentir littéralement encore plus près de moi. Nos corps s’associent parfaitement. Nos hanches sont construites comme si elles étaient faites pour s’unir l’une en l’autre.
Tout à coup je sens sa main coincée entre nos deux corps descendre dangereusement de mon torse vers le haut de mon pantalon. Je suis alors incapable de continuer l’action que j’étais en train de faire et surpris par l’émotion qui me submerge, ma tête vient frapper lourdement le miroir derrière moi lorsque je me redresse. Mes yeux sont clos et je relâche un énorme gémissement quand je sens sa main s’insinuer entre mon pantalon et le tissu de mon boxer. Elle s’y attarde quelques instants, frôlant cet endroit de mon intimité qu’elle est la seule à contrôler, avant de passer à l’étape supérieure et de franchir les dernières limites qui me sépare du plaisir.
Alors qu’elle caresse divinement et subtilement cette partie de mon anatomie gonflée de désir, sa bouche se dirige vers mon torse et elle vient mordiller délicatement mes tétons. Je sens mon cœur battre à tout rompre contre ma poitrine, le sang y affluant à une vitesse incroyable. Je suis en transe. Je sens quelques frissons me parcourir le corps et une bouffée de chaleur me submerger. Mais je ne veux pas. Non je ne veux pas atteindre cet univers quasi irréel et orgasmique du plaisir sans elle. J’essai de me contrôler mais je suis comme paralysé par les sensations qu’elle me procure. Dans un mouvement second et rassemblant toute ma force, je parviens, sous un râle profond qui s’extirpe de ma bouche comme s’il provenait tout droit de mon bas ventre, à poser ma main contre son poignet pour stopper son geste. Délicatement elle s’approche de mon oreille alors que je sens son souffle brulant contre ma peau déjà en feu.
M : Sara…
S (murmurant sensuellement) : Laisse-moi faire ça Michael. Laisse-moi faire ça pour toi. Je veux le faire pour toi.
Nos yeux se rencontrent à nouveau, pleins d’amour et de confiance l’un pour l’autre alors que je desserre l’emprise que j’exerçais sur son poignet pour venir poser ma main contre sa taille. Elle reprend ma bouche contre la sienne dans un baiser bien plus profond quand je sens cette chaleur m’envahir de part en part, perdant le total control de mon corps.
Petit à petit, je sens le baiser se ralentir à mesure que je ne suis plus capable d’effectuer de gestes un temps soit peu cohérents. Elle vient alors poser sa joue conte la mienne. Je peux sentir une fois de plus sa respiration, forte et saccadée, près de mon oreille me procurant encore davantage de sensations. Il ne m’en fallait pas plus pour que mon sang se mette à bouillir et se propage à l’intérieur de mes veines. C’est dans une pure et simple torture que j’ai pu sentir, bien trop vite, tinter le triangle situé au bas de ma colonne vertébral me provocant milles sensations dans un rush exprimé par un ultime gémissement de son prénom.
M : Ooooh Saraaaa !!
Fin du flash back
Le tintement de la sonnette annonçant le onzième étage m’aide à recouvrer mes esprits. La redécouverte de ses souvenirs affiche un sourire sur mon visage bien trop vite remplacé par des traits tendus, la réalité de la situation me submergeant rapidement. Sortant de l’ascenseur je me dirige droit vers la porte de notre appartement. J’y entre avec une certaine appréhension. Tout est noir, on y voit que les lumières de la ville provenant de la magnifique baie-vitrée qui s’étire devant moi. Sans faire le moindre bruit, je m’avance jusqu’à notre chambre où je trouve finalement Sara endormie, la lumière extérieur venant éclairer son visage épuisé.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
voilà le 4ème chapitre !! bon sinon j'ai encore dans ma tête rallongé la fic de deux chapitres !!! donc pour l'instant yen aura 12 !!!! bonne lecture et commentez s'il vous plait, j'ai passer la journée dessus merci. n'oubliez pas que dans ma fic, ils sont légèrement différents, donc par là j'entends qu'ils ont pas de barrière genre fox river et moins de barrières émotionnels. bref...
Chapitre 4 : Hold me, kiss me.
https://www.youtube.com/watch?v=FHona6a__eo
Alors que j’entends la porte s’ouvrir délicatement, mon cœur se met à battre plus intensément mais mes yeux se ferment presque automatiquement. Il reste ainsi, debout dans l’embrasure de la porte pendant quelques secondes et je devine son regard posé sur moi. Ma respiration se fait plus intense. J’ai peur qu’il me sache éveillée. Mais la lumière provenant du couloir m’éclaire parfaitement le visage et mes traits sont tendus. Il doit savoir. Il doit probablement savoir, mais il ne fait rien.
Finalement, le noir complet se fait autour de nous et il vient s’assoir de son côté du lit. Immobile encore une fois, je l’entends soupirer fortement. Un soupire qui exprime probablement toute sa frustration et qui emplit mon cœur d’un sentiment de culpabilité alors que j’aimerais me retourner, lui parler mais surtout, j’aimerais qu’il me prenne dans ses bras. Mais je reste là, sans bouger ne serais-ce que d’un millimètre, ayant trop peur de venir encore une fois tout gâcher.
Je l’entends se déshabiller rapidement posant ses vêtements sur un fauteuil à l’autre bout de la chambre. Lorsqu’il lève enfin les draps pour se glisser dans le lit, un léger frisson me parcourt le corps et je ne saurais dire s’il est dû au fait qu’il y laisse entrer un peu de fraicheur ou tout simplement parce que son corps est allongé à côté du mien.
Un vrai fossé s’est creusé entre nous. La distance qui nous sépare n’est que de quelques centimètres et pourtant j’ai l’impression qu’il est à des années lumières de moi. Je lui tourne le dos mais je peux sentir son visage braqué dans ma direction alors que je sens son souffle chaud et hésitant contre ma nuque.
Pendant l’espace d’un instant je jurais qu’il s’apprêtait à parler en l’entendant déglutir difficilement avant qu’un léger soupire ne s’évade de son corps comme s’il cherchait la bonne intonation de voix à emprunter. Intérieurement j’espère qu’il le fera. Je n’attends qu’un geste de sa part pour plonger dans ses bras, trop lâche pour oser le faire moi-même. Mais cette sensation s’évanouie bien vite quand le silence se fait à nouveau autour de nous.
Je ferme les yeux un instant, fâchée de ne pas avoir su profiter de l’occasion pour l’encourager à me parler et je retiens un soupire de frustration. J’aurais du me retourner, lui faire face et prendre sa main dans la mienne pour l’influencer à continuer. Mais encore une fois je suis bien trop lâche pour oser faire le premier pas. Si a une époque que j’estime maintenant avoir dépassée grâce à Michael, j’aurai directement replongé dans la morphine pour ne pas avoir à confronter son regard, aujourd’hui je me suis enfermée dans un profond mutisme qui nous détruit à petit feu.
Mes yeux s’ouvrent à nouveau simplement pour laisser s’échapper quelques larmes qui viennent se reposer sur mes joues alors qu’il se met à pleuvoir à l’extérieur. C’est une petite pluie d’été très fine au début mais qui s’intensifient peu à peu pour laisser s’évacuer la pression trop lourde d’une intense journée d’été. Le reflet de la pluie vient se mêler aux gouttes salées qui inondent maintenant mon visage.
Comment en sommes nous arriver à ce stade ? Pourquoi traversons nous tout ça, nous qui étions si proche autrefois ? Nous qui n’avions pas besoin de mot. Un regard, un geste et l’on se comprenait.
Incapable de le regarder, incapable de le toucher, je lutte maintenant en moi-même pour que ma bouche prononce une simple phrase qu’autrefois je n’avais aucune difficulté à mentionner : prends moi dans tes bras. Et puis tout à coup, c’est comme s’il avait compris ce que je souhaitais quand je sens un bras passer autour de ma taille pour venir se poser contre mon ventre. De son thorax pressé fortement contre mon dos, il ressert l’étreinte qui nous unie. Sa respiration posée et chaleureuse me chatouille le cou et le bas du menton. Sa main vient caresser délicatement mes cheveux pour apaiser le sentiment en moi alors que je sens les larmes couler plus abondamment encore contre mes joues et que mes mains agrippent son bras fortement comme pour me maintenir en vie auprès de lui. Mes larmes sont salvatrices. Elles nettoient toutes la souffrance que je contenais à l’intérieur de moi par ses simples attentions.
Puis tout à coup, j’ouvre les yeux. Je me sens de nouveau bien seule dans cette partie du lit, j’en ai presque froid malgré l’air suffoquant dans la pièce et je constate avec horreur que je m’étais assoupie un instant. Terrassée par la fatigue de lutter chaque jour entre deux sentiments bien distincts qui font rage au plus profond de moi, j’ai laissé le sommeil m’emporter un instant dans un rivage bien plus doux où Michael me prenait finalement dans ses bras. Mais tout n’était que mensonge et mon cœur se trouve encore plus meurtrit en constatant que la distance qui nous sépare est toujours la même. Michael ne s’est pas rapproché. Michael n’a pas passé sa main autour de moi. Il n’est pas venu m’enlacer et ses doigts ne se sont pas faufilés délicatement entre mes cheveux.
Mais mes larmes elles ont fini par cesser. La souffrance qui me ravage est un abîme dans lequel je me noie désespérément entrainant inexorablement Michael dans ma chute. Mais l’amour que j’éprouve toujours pour lui est vivace et je donnerai tout pour retrouver la passion qui nous a habités le premier jour où l’on s’est rencontré.
Flash back (4 ans auparavant, Chicago le 21 Juin 2000).
La chaleur est étouffante dans cette pièce bien qu’en plein mois de Juin la pluie inonde le tout Chicago. Mes talons me font un mal de chien et ma robe, bien trop échancrée à mon goût, ne me met pas du tout à l’aise. Je contrebalance mon poids sur l’un de mes deux pieds pour essayer de me détendre un peu alors que je sens la sentence approcher.
Ce discours est de plus en plus long, je ne tiens plus ne place et je m’aperçois rapidement que mon esprit divague pour admirer les alentours de la grande salle dans laquelle environ deux cents invités et moi-même nous trouvons. Elle est à l’image de la ville. Un mélange parfait de moderne et d’ancien. Le parquet d’époque, mais renouvelé, se confondant avec le plafond voutés décorés de grosses poutres de bois pleine de caractère et le mobilier tout à fait récent qui nous entoure.
Soudain, alors que je scrute la foule, un regard capte mon attention probablement parce qu’il est le seul à ne pas être concentré sur la personne devant nous sur l’estrade mais sur moi. Un jeune homme du même âge que moi je dirais, 25 ans, peut être 26 tout au plus. Assez grand et séduisant je dois l’avouer, mais surtout avec un regard pénétrant qui m’empêche de détourner mon attention de sa personne.
Mari Cruz : Regarde comme il te dévore des yeux celui-là.
La voix de Mari Cruz me fait sursauter. Gênée, je sens mes joues s’empourprer alors que je détourne finalement les yeux du jeune homme pour me retrouver dans ceux de Mari Cruz, un sourire timide aux lèvres.
S : C’est un autre candidat voilà tout. Il regarde juste la concurrence autour de lui pour voir qui pourrait avoir ce prix à part lui.
MC : Sara, je peux t’assurer qu’il ne te regarde pas de cette façon là. Je ne vois absolument aucune jalousie dans ses yeux, juste de l’envie et je peux t’assurer que cette envie n’a absolument rien à voir avec le fait de vouloir un pris mais elle a tout de sexuel.
S (murmurant) : Hé ! Mon père n’est pas si loin je te le rappel, il pourrait t’entendre et n’importe qui autour de nous le pourrait d’ailleurs.
MC : Et alors Sara ? Tu as 25 ans, ça n’est pas parce que tu reviens d’un voyage humanitaire en Inde de plus de 6 mois que tu es devenus mère Thereza.
S (soupirant à sa réflexion) : Non ce que je veux dire c’est que…
… : Mademoiselle Sara Tancredi !
Mon nom résonne dans le micro est tout à coup, tous les regards sont tournés vers moi. Je me tais instantanément. La foule se met à applaudir. Je sens le regard insistant de mon père m’ordonner d’avancer en direction de l’estrade et la légère pression de la main de Mari Cruz contre mon coude qui m’encourage à en faire autant. Prenant une grande inspiration et recevant un encouragement dans les yeux de mon amie, je me frais un chemin afin de rejoindre la présidente du comité des associations de la ville.
Elle m’accueille chaleureusement avec le plus tendre des sourires pour finalement me donner mon prix. Une vulgaire plaque en verre, assez hideuse et bien trop lourde, où se trouve mon nom suivit des mentions « pour ses actions envers la communauté ». J’ai à peine le temps de sourire en guise de gratitude qu’elle s’empresse de faire monter mon père pour nous rejoindre sur l’estrade.
P : Je n’ai besoin de préciser à personne que Sara est la fille du Gouverneur Tancredi. Gouverneur nous feriez-vous l’honneur ?
Et voilà, c’est reparti. Mon père sans attendre plus d’encouragement nous rejoints rapidement sur scène, m’embrassant sur le front le plus froidement du monde et s’emparant des quelques secondes de ma notoriété pour se l’attribuer. Sous un humour déguisé, il se vante alors d’être le père de la fille parfaite, de m’avoir encouragé à partir pour cette mission humanitaire et en profite au passage pour faire un peu de propagande déguisée pour son partie.
Tous les yeux sont braqués sur lui à présents, riant faussement à son humour constant, tous les yeux sauf deux, ceux du jeune homme de tout à l’heure qui ne regarde que moi. Cette fois, je ne peux m’attarder plus longtemps et je baisse le visage focalisant mon regard sur mes pieds dans mes chaussures qui me font souffrir atrocement.
****
De longues minutes se sont écoulés à devoir écouter le discours rébarbatif de mon père suivit duquel, une fois descendue de l’estrade, j’ai dû me prêter au jeu des remerciements de tous ces gens venus me féliciter pour le prix que j’ai gagné mais n’y voyant là que le moyen d’attirer les faveurs de mon père. Alors que celui-ci monopolise la parole à nouveau et que Mari Cruz, devant rentrée, m’a laissée seule, je réussis à m’échapper pour me diriger jusqu’au balcon et admirer la ville assombrie par la nuit. La pluie a cessée de tomber et l’air s’est rafraichit après la journée étouffante que nous venons de passer, une très légère fumée blanche s’évadant même de ma bouche à chaque bouffée que j’expire.
… : Il fait meilleur ici.
Soudain mes bras nus se mettent à frissonner à l’entente de cette voix que j’entends pour la première fois. Je me retourne et l’aperçois automatiquement devant moi, arrivant d’un pas nonchalant, les mains dans les poches, incroyablement sexy dans son costume noir.
S : Oui c’est étouffant à l’intérieur, je meurs de chaud.
M (ne la quittant pas des yeux) : Oui moi aussi.
Si j’étais venu ici pour m’éloigner de la chaleur qui régnait à l’intérieur, je sais maintenant que c’est peine perdue. Depuis qu’il est apparut ici, je sens mon cœur battre rapidement et une chaleur envahir mon corps tout entier et encore d’avantage lorsqu’il vient se placer à mes côtés contre la rambarde à tel point que nos bras et nos hanches se frôlent.
M (tournant la tête vers elle en lui souriant) : Au fait, je m’appelle Michael…
S : Scofield, je sais. J’ai lu ton article pour ton inscription au concours.
M : Donc tu me connais.
S : Oui enfin te connaître c’est beaucoup dire. Je sais que tu as été le mentor de pas mal d’enfants en ville, que tu as participé à pas mal d’action contre la faim, que tu as fait tes études juste en face de moi à Loyola…
M : Tu étais à Northwestern ?
S (hochant la tête) : Huh hu.
M : On s’est peut être croisés bourrés à la sortie d’un bar ou quelque chose du genre ?
S : Je m’en souviendrais.
M : C’est un compliment ?
S : Non.
Chapitre 4 : Hold me, kiss me.
https://www.youtube.com/watch?v=FHona6a__eo
Alors que j’entends la porte s’ouvrir délicatement, mon cœur se met à battre plus intensément mais mes yeux se ferment presque automatiquement. Il reste ainsi, debout dans l’embrasure de la porte pendant quelques secondes et je devine son regard posé sur moi. Ma respiration se fait plus intense. J’ai peur qu’il me sache éveillée. Mais la lumière provenant du couloir m’éclaire parfaitement le visage et mes traits sont tendus. Il doit savoir. Il doit probablement savoir, mais il ne fait rien.
Finalement, le noir complet se fait autour de nous et il vient s’assoir de son côté du lit. Immobile encore une fois, je l’entends soupirer fortement. Un soupire qui exprime probablement toute sa frustration et qui emplit mon cœur d’un sentiment de culpabilité alors que j’aimerais me retourner, lui parler mais surtout, j’aimerais qu’il me prenne dans ses bras. Mais je reste là, sans bouger ne serais-ce que d’un millimètre, ayant trop peur de venir encore une fois tout gâcher.
Je l’entends se déshabiller rapidement posant ses vêtements sur un fauteuil à l’autre bout de la chambre. Lorsqu’il lève enfin les draps pour se glisser dans le lit, un léger frisson me parcourt le corps et je ne saurais dire s’il est dû au fait qu’il y laisse entrer un peu de fraicheur ou tout simplement parce que son corps est allongé à côté du mien.
Un vrai fossé s’est creusé entre nous. La distance qui nous sépare n’est que de quelques centimètres et pourtant j’ai l’impression qu’il est à des années lumières de moi. Je lui tourne le dos mais je peux sentir son visage braqué dans ma direction alors que je sens son souffle chaud et hésitant contre ma nuque.
Pendant l’espace d’un instant je jurais qu’il s’apprêtait à parler en l’entendant déglutir difficilement avant qu’un léger soupire ne s’évade de son corps comme s’il cherchait la bonne intonation de voix à emprunter. Intérieurement j’espère qu’il le fera. Je n’attends qu’un geste de sa part pour plonger dans ses bras, trop lâche pour oser le faire moi-même. Mais cette sensation s’évanouie bien vite quand le silence se fait à nouveau autour de nous.
Je ferme les yeux un instant, fâchée de ne pas avoir su profiter de l’occasion pour l’encourager à me parler et je retiens un soupire de frustration. J’aurais du me retourner, lui faire face et prendre sa main dans la mienne pour l’influencer à continuer. Mais encore une fois je suis bien trop lâche pour oser faire le premier pas. Si a une époque que j’estime maintenant avoir dépassée grâce à Michael, j’aurai directement replongé dans la morphine pour ne pas avoir à confronter son regard, aujourd’hui je me suis enfermée dans un profond mutisme qui nous détruit à petit feu.
Mes yeux s’ouvrent à nouveau simplement pour laisser s’échapper quelques larmes qui viennent se reposer sur mes joues alors qu’il se met à pleuvoir à l’extérieur. C’est une petite pluie d’été très fine au début mais qui s’intensifient peu à peu pour laisser s’évacuer la pression trop lourde d’une intense journée d’été. Le reflet de la pluie vient se mêler aux gouttes salées qui inondent maintenant mon visage.
Comment en sommes nous arriver à ce stade ? Pourquoi traversons nous tout ça, nous qui étions si proche autrefois ? Nous qui n’avions pas besoin de mot. Un regard, un geste et l’on se comprenait.
Incapable de le regarder, incapable de le toucher, je lutte maintenant en moi-même pour que ma bouche prononce une simple phrase qu’autrefois je n’avais aucune difficulté à mentionner : prends moi dans tes bras. Et puis tout à coup, c’est comme s’il avait compris ce que je souhaitais quand je sens un bras passer autour de ma taille pour venir se poser contre mon ventre. De son thorax pressé fortement contre mon dos, il ressert l’étreinte qui nous unie. Sa respiration posée et chaleureuse me chatouille le cou et le bas du menton. Sa main vient caresser délicatement mes cheveux pour apaiser le sentiment en moi alors que je sens les larmes couler plus abondamment encore contre mes joues et que mes mains agrippent son bras fortement comme pour me maintenir en vie auprès de lui. Mes larmes sont salvatrices. Elles nettoient toutes la souffrance que je contenais à l’intérieur de moi par ses simples attentions.
Puis tout à coup, j’ouvre les yeux. Je me sens de nouveau bien seule dans cette partie du lit, j’en ai presque froid malgré l’air suffoquant dans la pièce et je constate avec horreur que je m’étais assoupie un instant. Terrassée par la fatigue de lutter chaque jour entre deux sentiments bien distincts qui font rage au plus profond de moi, j’ai laissé le sommeil m’emporter un instant dans un rivage bien plus doux où Michael me prenait finalement dans ses bras. Mais tout n’était que mensonge et mon cœur se trouve encore plus meurtrit en constatant que la distance qui nous sépare est toujours la même. Michael ne s’est pas rapproché. Michael n’a pas passé sa main autour de moi. Il n’est pas venu m’enlacer et ses doigts ne se sont pas faufilés délicatement entre mes cheveux.
Mais mes larmes elles ont fini par cesser. La souffrance qui me ravage est un abîme dans lequel je me noie désespérément entrainant inexorablement Michael dans ma chute. Mais l’amour que j’éprouve toujours pour lui est vivace et je donnerai tout pour retrouver la passion qui nous a habités le premier jour où l’on s’est rencontré.
Flash back (4 ans auparavant, Chicago le 21 Juin 2000).
La chaleur est étouffante dans cette pièce bien qu’en plein mois de Juin la pluie inonde le tout Chicago. Mes talons me font un mal de chien et ma robe, bien trop échancrée à mon goût, ne me met pas du tout à l’aise. Je contrebalance mon poids sur l’un de mes deux pieds pour essayer de me détendre un peu alors que je sens la sentence approcher.
Ce discours est de plus en plus long, je ne tiens plus ne place et je m’aperçois rapidement que mon esprit divague pour admirer les alentours de la grande salle dans laquelle environ deux cents invités et moi-même nous trouvons. Elle est à l’image de la ville. Un mélange parfait de moderne et d’ancien. Le parquet d’époque, mais renouvelé, se confondant avec le plafond voutés décorés de grosses poutres de bois pleine de caractère et le mobilier tout à fait récent qui nous entoure.
Soudain, alors que je scrute la foule, un regard capte mon attention probablement parce qu’il est le seul à ne pas être concentré sur la personne devant nous sur l’estrade mais sur moi. Un jeune homme du même âge que moi je dirais, 25 ans, peut être 26 tout au plus. Assez grand et séduisant je dois l’avouer, mais surtout avec un regard pénétrant qui m’empêche de détourner mon attention de sa personne.
Mari Cruz : Regarde comme il te dévore des yeux celui-là.
La voix de Mari Cruz me fait sursauter. Gênée, je sens mes joues s’empourprer alors que je détourne finalement les yeux du jeune homme pour me retrouver dans ceux de Mari Cruz, un sourire timide aux lèvres.
S : C’est un autre candidat voilà tout. Il regarde juste la concurrence autour de lui pour voir qui pourrait avoir ce prix à part lui.
MC : Sara, je peux t’assurer qu’il ne te regarde pas de cette façon là. Je ne vois absolument aucune jalousie dans ses yeux, juste de l’envie et je peux t’assurer que cette envie n’a absolument rien à voir avec le fait de vouloir un pris mais elle a tout de sexuel.
S (murmurant) : Hé ! Mon père n’est pas si loin je te le rappel, il pourrait t’entendre et n’importe qui autour de nous le pourrait d’ailleurs.
MC : Et alors Sara ? Tu as 25 ans, ça n’est pas parce que tu reviens d’un voyage humanitaire en Inde de plus de 6 mois que tu es devenus mère Thereza.
S (soupirant à sa réflexion) : Non ce que je veux dire c’est que…
… : Mademoiselle Sara Tancredi !
Mon nom résonne dans le micro est tout à coup, tous les regards sont tournés vers moi. Je me tais instantanément. La foule se met à applaudir. Je sens le regard insistant de mon père m’ordonner d’avancer en direction de l’estrade et la légère pression de la main de Mari Cruz contre mon coude qui m’encourage à en faire autant. Prenant une grande inspiration et recevant un encouragement dans les yeux de mon amie, je me frais un chemin afin de rejoindre la présidente du comité des associations de la ville.
Elle m’accueille chaleureusement avec le plus tendre des sourires pour finalement me donner mon prix. Une vulgaire plaque en verre, assez hideuse et bien trop lourde, où se trouve mon nom suivit des mentions « pour ses actions envers la communauté ». J’ai à peine le temps de sourire en guise de gratitude qu’elle s’empresse de faire monter mon père pour nous rejoindre sur l’estrade.
P : Je n’ai besoin de préciser à personne que Sara est la fille du Gouverneur Tancredi. Gouverneur nous feriez-vous l’honneur ?
Et voilà, c’est reparti. Mon père sans attendre plus d’encouragement nous rejoints rapidement sur scène, m’embrassant sur le front le plus froidement du monde et s’emparant des quelques secondes de ma notoriété pour se l’attribuer. Sous un humour déguisé, il se vante alors d’être le père de la fille parfaite, de m’avoir encouragé à partir pour cette mission humanitaire et en profite au passage pour faire un peu de propagande déguisée pour son partie.
Tous les yeux sont braqués sur lui à présents, riant faussement à son humour constant, tous les yeux sauf deux, ceux du jeune homme de tout à l’heure qui ne regarde que moi. Cette fois, je ne peux m’attarder plus longtemps et je baisse le visage focalisant mon regard sur mes pieds dans mes chaussures qui me font souffrir atrocement.
****
De longues minutes se sont écoulés à devoir écouter le discours rébarbatif de mon père suivit duquel, une fois descendue de l’estrade, j’ai dû me prêter au jeu des remerciements de tous ces gens venus me féliciter pour le prix que j’ai gagné mais n’y voyant là que le moyen d’attirer les faveurs de mon père. Alors que celui-ci monopolise la parole à nouveau et que Mari Cruz, devant rentrée, m’a laissée seule, je réussis à m’échapper pour me diriger jusqu’au balcon et admirer la ville assombrie par la nuit. La pluie a cessée de tomber et l’air s’est rafraichit après la journée étouffante que nous venons de passer, une très légère fumée blanche s’évadant même de ma bouche à chaque bouffée que j’expire.
… : Il fait meilleur ici.
Soudain mes bras nus se mettent à frissonner à l’entente de cette voix que j’entends pour la première fois. Je me retourne et l’aperçois automatiquement devant moi, arrivant d’un pas nonchalant, les mains dans les poches, incroyablement sexy dans son costume noir.
S : Oui c’est étouffant à l’intérieur, je meurs de chaud.
M (ne la quittant pas des yeux) : Oui moi aussi.
Si j’étais venu ici pour m’éloigner de la chaleur qui régnait à l’intérieur, je sais maintenant que c’est peine perdue. Depuis qu’il est apparut ici, je sens mon cœur battre rapidement et une chaleur envahir mon corps tout entier et encore d’avantage lorsqu’il vient se placer à mes côtés contre la rambarde à tel point que nos bras et nos hanches se frôlent.
M (tournant la tête vers elle en lui souriant) : Au fait, je m’appelle Michael…
S : Scofield, je sais. J’ai lu ton article pour ton inscription au concours.
M : Donc tu me connais.
S : Oui enfin te connaître c’est beaucoup dire. Je sais que tu as été le mentor de pas mal d’enfants en ville, que tu as participé à pas mal d’action contre la faim, que tu as fait tes études juste en face de moi à Loyola…
M : Tu étais à Northwestern ?
S (hochant la tête) : Huh hu.
M : On s’est peut être croisés bourrés à la sortie d’un bar ou quelque chose du genre ?
S : Je m’en souviendrais.
M : C’est un compliment ?
S : Non.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
et la deuxième partie :
Pendant un instant je regretterais presque ma réponse bien trop impulsive pour avoir installé un sentiment d’inconfort entre nous, mais Michael vient vite briser ce silence.
M : Je dois avouer que j’étais assez étonné d’apprendre que la fille du Gouverneur était partie en mission pour 6 mois en Inde. Sans vouloir t’offenser, je t’imaginais plutôt comme une fille proche de son petit confort.
S (baissant les yeux) : Oui, la plupart des gens voient mon père à travers moi et n’essaient même pas de me connaître. Ils pensent tous que je ne suis qu’une petite fille à papa capricieuse, mais je peux t’assurer qu’il y a un véritable fossé entre mon père et moi Michael.
M (voyant qu’il l’a légèrement blessé) : Je ne voyais pas ton père à travers toi Sara. Je ne juge pas les gens selon les actions de leur père… ou inactions, le mien n’étant qu’un alcoolique qui nous a abandonné avant ma naissance.
Je lève soudainement les yeux étonnée de sa réponse. Nos corps se sont rapprochés dans la confidence et son maintenant face à face l’un de l’autre. Quel homme étrange et différent des autres. La plupart ne s’intéresse à moi uniquement pour être dans les petits papiers de mon père mais pas lui.
M : Je ne t’aurais peut être probablement jamais adressé la parole si j’avais cru que tu étais comme ton père. Dis-moi alors qui est la véritable Sara Tancredi ?
S (riant) : Heu… une fille comme tout le monde je suppose, assez banale et simple en fait, ennuyeuse pour certain mais surtout terriblement bordélique.
M : Et avec un terrible manque de confiance en elle apparemment car je te trouve loin d’être ennuyeuse. Et puis j’ai énormément de mal à t’imaginer bordélique en ayant fais médecine ?
S : Pourtant tu verrais mon appartement…
M : Who, on n’a même pas encore eu notre premier rendez-vous et tu m’invite déjà chez toi.
C’est fou le pouvoir qu’il a sur moi. Perdu dans ses yeux je n’aspire qu’à lui demander de continuer malgré la gêne qui m’habite car je me sens bien et appréciée pour moi-même à travers lui. Je me sens moi-même face à lui et je n’essai plus de me cacher.
Soudain je le vois se rapprocher dangereusement de moi. Il n’est plus qu’à quelques centimètres et je peux sentir son essence émaner de son corps. Un parfum subtil, un mélange poivré et citronné associé à quelque chose qui n’est fait que de lui. Un léger gémissement s’extirpe de ma bouche quand je sens sa main se poser sur mon avant bras. Mes yeux se ferment et mes lèvres s’humidifient attendant qu’il brise les derniers espaces entre nous pour venir m’embrasser.
M (avec un sourire moqueur) : On dirait que tu as froid, tu as la chair de poule.
Je dégluti difficilement et ouvre les yeux à la seconde même. Voyant son air moqueur alors qu’il hôte sa veste pour venir la poser sur mes épaules, mes joues deviennent plus rouges que jamais.
S (ne savant plus où regarder) : Hum… heu… merci.
Bien Sara, pour se rendre ridicule, il n’y a pas meilleure que toi. Lui est assez galant pour te donner sa veste en voyant que tu as froid et toi tu étais prête à lui sauter dessus. Bravo.
M (brisant le silence et la tension entre eux) : Au fait, félicitation pour le prix.
S (gênée) : Merci mais tout le monde sait que je ne l’ai pas vraiment gagné pour ce que j’ai fais mais plutôt à cause de l’importance de mon père dans la ville. De toute façon je ne suis pas partie là bas pour avoir un prix quel qu’il soit. Je pense que tu le mérite bien plus que moi.
M : En effet je le crois aussi.
S (surprise mais amusée) : Ca a le mérite d’être franc.
M : J’ai l’habitude de toujours gagner.
S : Désolée de contredire tes plans, mais ce soir ça ne sera pas le cas apparemment.
M : Je n’en suis pas si sûre.
Il m’intrigue et sans vraiment savoir comment, mes genoux se mettent à trembler lorsque je le vois me fixer encore une fois avec cette intensité qui me fait perdre pied à telle point que je suis obliger de m’agripper à la rambarde derrière moi si je ne veux pas tomber.
S : Ah et je peux savoir ce que tu vas gagner ?
M (replaçant une des mèches de cheveux de Sara derrière son oreille) : Toi.
Quoi ? Qu’est ce que c’est exactement que cette technique de drague complètement stupide ? Mais alors si je la trouve aussi stupide que ça, pourquoi a-t-elle cet effet sur moi et pourquoi dans la bouche de Michael cela ne sonne t’il pas faux ? Les mains tremblantes, sentant une énorme vague de chaleur envahir mes entrailles et baissant les yeux un instant, je tente de reprendre le contrôle de moi-même pour lui répondre.
S (rougissant et souriant timidement) : Ne serait-on pas un peu présomptueux monsieur Scofield ?
Ma gorge se noue littéralement et je suis maintenant incapable de détaché mon regard du sien. A nouveau il se rapproche doucement de moi à tel point que je sens son souffle chaud contre ma joue déjà enflammée, mais finalement une voix au loin vient rompre notre échange.
… : Mademoiselle Tancredi, Mademoiselle Tancredi… ah vous êtes là. Mademoiselle Tancredi, votre père vous cherche partout.
Nos corps se détachent instantanément et nos yeux se fuient sous l’embarrât. La présidente de l’assemblée, celle qui m’a remis mon prix un peu plus tôt, s’approche de nous pour attirer mon attention.
P : Oh mademoiselle Tancredi, comment êtes vous accoutrée ? (jetant un regard froid vers Michael). Venez mademoiselle Tancredi, votre père voudrait vous présenter à des personnes importantes.
Elle hôte la veste de Michael de mes épaules et la lui rend avec un air hautain sur le visage avant de me prendre par la main et de m’emmener retrouver la foule à l’intérieur de la salle. Tout en étant contrainte d’avancer, je jette un bref regard sur Michael qui se met à rire en tenant sa veste contre lui et me faisant un signe de tête pour me saluer tout en se moquant de la femme qui nous a séparés.
M (inclinant la tête en riant) : Mademoiselle Tancredi.
Une fois à l’intérieur, je suis trimballée ici et là, mon père se pavanant fièrement à mes côtés, mon sourire est figé à mon visage pour faire bonne figure face aux gens qui me sont présentés mais mes yeux et mon esprit dérivent constamment vers Michael, à quelques mètres de moi, qui ne détache pas son regard du mien.
Mais après quelques minutes, alors qu’un invité me posait une question sur mon séjour en Inde, mes yeux furent contrains de quitter ceux de Michael et voilà maintenant que je suis incapable de le retrouver dans cette foule.
J’avance tirée de groupe en groupe parmi les rires qui sonnent faux et les conversations superficielles sans pouvoir le retrouver. Je le cherche, je regarde partout ne prenant même plus la peine de participer aux conversations, mais je ne le vois nulle part. Je commence à craindre qu’il soit partit et une boule vient se serrer au plus profond de ma gorge sans que je comprenne vraiment pourquoi. Je le connais à peine. Mon père me foudroie du regard voyant le peu d’attention que je porte à ses invités, mais je n’en ai rien à faire. Je suis lasse et je n’ai qu’une seule envie, rentrer chez moi, loin de tous ces hypocrites et de ces menteurs.
Soudain, alors que mes espérances se sont envolées, adossés à une colonne de marbre, j’entends une voix derrière moi.
M (dos à elle contre la colonne retournant sa tête) : Mademoiselle Tancredi à l’air de s’ennuyer.
S (retrouvant le sourire et chuchotant) : Tu ne peux pas imaginer.
M (venant murmurer discrètement et sensuellement jusqu’à son oreille) : Viens avec moi.
Nos yeux se croisent et sans prendre la peine d’annoncer mon départ, je saisie la main qu’il me tend et m’en vais discrètement. Arrivés sur le balcon où nous nous étions parlé précédemment, nous nous mettons à courir et dévalons main dans la main l’escalier qui s’y trouve. Une fois en bas, je m’arrête une seconde sous ses yeux surpris pour hotter mes chaussures. Nous reprenons finalement notre course sans jamais nous lâcher une seconde sous des rires démesurés, ma robe flottant légèrement sous mes pas, quand enfin nous arrivons jusqu’à le rive près du lac. Là pour l’été, un peu de sable y a été installé pour recréer l’atmosphère d’une plage. Je fais quelques pas sur les fins graviers qui glissent sous mes pieds nus en regardant le lac s’étendre devant nous. La main de Michael passe sensuellement contre ma taille pour me tourner face à lui. Il s’approche de moi. Nos lèvres ne sont plus qu’à quelques centimètres alors qu’il passe sa main dans mes cheveux et que mon cœur bat plus vite que jamais.
M (sensuellement) : Je ne sais pas si c’est l’effet de ta robe mais depuis que je t’ai vu parmi la foule je ressens désespérément le besoin de t’embrasser.
Il franchit les dernières limites qui nous séparent mais avant que ses lèvres ne viennent toucher les miennes, je viens lui murmurer quelques mots à l’oreille, des mots que je n’aurais jamais pensé pourvoir dire un jour, mais je me sens entière et bien avec lui à tel point que je ne ressens plus aucune gêne.
S (séductrice) : Oh mais on n’a pas une récompense aussi facilement monsieur Scofield. Voyons si tu vas enfin gagner ce soir.
M (intrigué et rieur) : Ah et qu’est ce que je suis supposer faire pour ça ?
Je m’arrête un instant ne quittant pas son regard, me mordant légèrement la lèvre avant de m’éloigner d’un mètre de lui environ. Dans un premier temps sans aucune parole, je commence à faire descendre les bretelles de ma robe le long de mes bras jusqu’à ce que celle-ci, glissant le long de mes jambes, vienne rejoindre le sable pour me laisser face à lui en sous-vêtements.
S : Nager.
Ses yeux parcourent mon corps tout entier alors que ma poitrine se soulève avec une certaine intensité quand finalement je le vois hotter sa veste et commencer à défaire les boutons de sa chemise le plus rapidement qu’il peut. Je me retourne alors pour sauter dans l’étendue d’eau devant moi et nageant le plus vite que je peux ne pouvant m’empêcher de rire une seconde. Mais je suis bientôt rattrapé par deux bras qui viennent encercler ma taille virilement. Reprenant notre souffle collés l’un à l’autre, nos rires cessent enfin.
S (ne détachant pas son regard du sien) : Je ne sais pas si c’est la façon dont tu me regardes depuis que je t’ai vu dans la foule, mais je ressens désespérément le besoin que tu viennes m’embrasser.
Sous nos respirations de plus en plus forte, il rompt la distance entre nous et viens poser ses lèvres sur les miennes alors que mes mains passent au dessus de ses épaule pour se retrouver derrière sa nuque. Et là, perdu au milieu de l’eau, nous détruisons les dernières limites qui nous séparent par un baisé d’abord timide, puis de plus en plus passionné.
Fin du flash back
voilà !!! bon dix millions d'inspiration dans cette suite et aussi peut être un peu la fic de sam qui me met dans tous mes états et qui fait que moi je veux qu'ils se sautent dessus lol !!!
Pendant un instant je regretterais presque ma réponse bien trop impulsive pour avoir installé un sentiment d’inconfort entre nous, mais Michael vient vite briser ce silence.
M : Je dois avouer que j’étais assez étonné d’apprendre que la fille du Gouverneur était partie en mission pour 6 mois en Inde. Sans vouloir t’offenser, je t’imaginais plutôt comme une fille proche de son petit confort.
S (baissant les yeux) : Oui, la plupart des gens voient mon père à travers moi et n’essaient même pas de me connaître. Ils pensent tous que je ne suis qu’une petite fille à papa capricieuse, mais je peux t’assurer qu’il y a un véritable fossé entre mon père et moi Michael.
M (voyant qu’il l’a légèrement blessé) : Je ne voyais pas ton père à travers toi Sara. Je ne juge pas les gens selon les actions de leur père… ou inactions, le mien n’étant qu’un alcoolique qui nous a abandonné avant ma naissance.
Je lève soudainement les yeux étonnée de sa réponse. Nos corps se sont rapprochés dans la confidence et son maintenant face à face l’un de l’autre. Quel homme étrange et différent des autres. La plupart ne s’intéresse à moi uniquement pour être dans les petits papiers de mon père mais pas lui.
M : Je ne t’aurais peut être probablement jamais adressé la parole si j’avais cru que tu étais comme ton père. Dis-moi alors qui est la véritable Sara Tancredi ?
S (riant) : Heu… une fille comme tout le monde je suppose, assez banale et simple en fait, ennuyeuse pour certain mais surtout terriblement bordélique.
M : Et avec un terrible manque de confiance en elle apparemment car je te trouve loin d’être ennuyeuse. Et puis j’ai énormément de mal à t’imaginer bordélique en ayant fais médecine ?
S : Pourtant tu verrais mon appartement…
M : Who, on n’a même pas encore eu notre premier rendez-vous et tu m’invite déjà chez toi.
C’est fou le pouvoir qu’il a sur moi. Perdu dans ses yeux je n’aspire qu’à lui demander de continuer malgré la gêne qui m’habite car je me sens bien et appréciée pour moi-même à travers lui. Je me sens moi-même face à lui et je n’essai plus de me cacher.
Soudain je le vois se rapprocher dangereusement de moi. Il n’est plus qu’à quelques centimètres et je peux sentir son essence émaner de son corps. Un parfum subtil, un mélange poivré et citronné associé à quelque chose qui n’est fait que de lui. Un léger gémissement s’extirpe de ma bouche quand je sens sa main se poser sur mon avant bras. Mes yeux se ferment et mes lèvres s’humidifient attendant qu’il brise les derniers espaces entre nous pour venir m’embrasser.
M (avec un sourire moqueur) : On dirait que tu as froid, tu as la chair de poule.
Je dégluti difficilement et ouvre les yeux à la seconde même. Voyant son air moqueur alors qu’il hôte sa veste pour venir la poser sur mes épaules, mes joues deviennent plus rouges que jamais.
S (ne savant plus où regarder) : Hum… heu… merci.
Bien Sara, pour se rendre ridicule, il n’y a pas meilleure que toi. Lui est assez galant pour te donner sa veste en voyant que tu as froid et toi tu étais prête à lui sauter dessus. Bravo.
M (brisant le silence et la tension entre eux) : Au fait, félicitation pour le prix.
S (gênée) : Merci mais tout le monde sait que je ne l’ai pas vraiment gagné pour ce que j’ai fais mais plutôt à cause de l’importance de mon père dans la ville. De toute façon je ne suis pas partie là bas pour avoir un prix quel qu’il soit. Je pense que tu le mérite bien plus que moi.
M : En effet je le crois aussi.
S (surprise mais amusée) : Ca a le mérite d’être franc.
M : J’ai l’habitude de toujours gagner.
S : Désolée de contredire tes plans, mais ce soir ça ne sera pas le cas apparemment.
M : Je n’en suis pas si sûre.
Il m’intrigue et sans vraiment savoir comment, mes genoux se mettent à trembler lorsque je le vois me fixer encore une fois avec cette intensité qui me fait perdre pied à telle point que je suis obliger de m’agripper à la rambarde derrière moi si je ne veux pas tomber.
S : Ah et je peux savoir ce que tu vas gagner ?
M (replaçant une des mèches de cheveux de Sara derrière son oreille) : Toi.
Quoi ? Qu’est ce que c’est exactement que cette technique de drague complètement stupide ? Mais alors si je la trouve aussi stupide que ça, pourquoi a-t-elle cet effet sur moi et pourquoi dans la bouche de Michael cela ne sonne t’il pas faux ? Les mains tremblantes, sentant une énorme vague de chaleur envahir mes entrailles et baissant les yeux un instant, je tente de reprendre le contrôle de moi-même pour lui répondre.
S (rougissant et souriant timidement) : Ne serait-on pas un peu présomptueux monsieur Scofield ?
Ma gorge se noue littéralement et je suis maintenant incapable de détaché mon regard du sien. A nouveau il se rapproche doucement de moi à tel point que je sens son souffle chaud contre ma joue déjà enflammée, mais finalement une voix au loin vient rompre notre échange.
… : Mademoiselle Tancredi, Mademoiselle Tancredi… ah vous êtes là. Mademoiselle Tancredi, votre père vous cherche partout.
Nos corps se détachent instantanément et nos yeux se fuient sous l’embarrât. La présidente de l’assemblée, celle qui m’a remis mon prix un peu plus tôt, s’approche de nous pour attirer mon attention.
P : Oh mademoiselle Tancredi, comment êtes vous accoutrée ? (jetant un regard froid vers Michael). Venez mademoiselle Tancredi, votre père voudrait vous présenter à des personnes importantes.
Elle hôte la veste de Michael de mes épaules et la lui rend avec un air hautain sur le visage avant de me prendre par la main et de m’emmener retrouver la foule à l’intérieur de la salle. Tout en étant contrainte d’avancer, je jette un bref regard sur Michael qui se met à rire en tenant sa veste contre lui et me faisant un signe de tête pour me saluer tout en se moquant de la femme qui nous a séparés.
M (inclinant la tête en riant) : Mademoiselle Tancredi.
Une fois à l’intérieur, je suis trimballée ici et là, mon père se pavanant fièrement à mes côtés, mon sourire est figé à mon visage pour faire bonne figure face aux gens qui me sont présentés mais mes yeux et mon esprit dérivent constamment vers Michael, à quelques mètres de moi, qui ne détache pas son regard du mien.
Mais après quelques minutes, alors qu’un invité me posait une question sur mon séjour en Inde, mes yeux furent contrains de quitter ceux de Michael et voilà maintenant que je suis incapable de le retrouver dans cette foule.
J’avance tirée de groupe en groupe parmi les rires qui sonnent faux et les conversations superficielles sans pouvoir le retrouver. Je le cherche, je regarde partout ne prenant même plus la peine de participer aux conversations, mais je ne le vois nulle part. Je commence à craindre qu’il soit partit et une boule vient se serrer au plus profond de ma gorge sans que je comprenne vraiment pourquoi. Je le connais à peine. Mon père me foudroie du regard voyant le peu d’attention que je porte à ses invités, mais je n’en ai rien à faire. Je suis lasse et je n’ai qu’une seule envie, rentrer chez moi, loin de tous ces hypocrites et de ces menteurs.
Soudain, alors que mes espérances se sont envolées, adossés à une colonne de marbre, j’entends une voix derrière moi.
M (dos à elle contre la colonne retournant sa tête) : Mademoiselle Tancredi à l’air de s’ennuyer.
S (retrouvant le sourire et chuchotant) : Tu ne peux pas imaginer.
M (venant murmurer discrètement et sensuellement jusqu’à son oreille) : Viens avec moi.
Nos yeux se croisent et sans prendre la peine d’annoncer mon départ, je saisie la main qu’il me tend et m’en vais discrètement. Arrivés sur le balcon où nous nous étions parlé précédemment, nous nous mettons à courir et dévalons main dans la main l’escalier qui s’y trouve. Une fois en bas, je m’arrête une seconde sous ses yeux surpris pour hotter mes chaussures. Nous reprenons finalement notre course sans jamais nous lâcher une seconde sous des rires démesurés, ma robe flottant légèrement sous mes pas, quand enfin nous arrivons jusqu’à le rive près du lac. Là pour l’été, un peu de sable y a été installé pour recréer l’atmosphère d’une plage. Je fais quelques pas sur les fins graviers qui glissent sous mes pieds nus en regardant le lac s’étendre devant nous. La main de Michael passe sensuellement contre ma taille pour me tourner face à lui. Il s’approche de moi. Nos lèvres ne sont plus qu’à quelques centimètres alors qu’il passe sa main dans mes cheveux et que mon cœur bat plus vite que jamais.
M (sensuellement) : Je ne sais pas si c’est l’effet de ta robe mais depuis que je t’ai vu parmi la foule je ressens désespérément le besoin de t’embrasser.
Il franchit les dernières limites qui nous séparent mais avant que ses lèvres ne viennent toucher les miennes, je viens lui murmurer quelques mots à l’oreille, des mots que je n’aurais jamais pensé pourvoir dire un jour, mais je me sens entière et bien avec lui à tel point que je ne ressens plus aucune gêne.
S (séductrice) : Oh mais on n’a pas une récompense aussi facilement monsieur Scofield. Voyons si tu vas enfin gagner ce soir.
M (intrigué et rieur) : Ah et qu’est ce que je suis supposer faire pour ça ?
Je m’arrête un instant ne quittant pas son regard, me mordant légèrement la lèvre avant de m’éloigner d’un mètre de lui environ. Dans un premier temps sans aucune parole, je commence à faire descendre les bretelles de ma robe le long de mes bras jusqu’à ce que celle-ci, glissant le long de mes jambes, vienne rejoindre le sable pour me laisser face à lui en sous-vêtements.
S : Nager.
Ses yeux parcourent mon corps tout entier alors que ma poitrine se soulève avec une certaine intensité quand finalement je le vois hotter sa veste et commencer à défaire les boutons de sa chemise le plus rapidement qu’il peut. Je me retourne alors pour sauter dans l’étendue d’eau devant moi et nageant le plus vite que je peux ne pouvant m’empêcher de rire une seconde. Mais je suis bientôt rattrapé par deux bras qui viennent encercler ma taille virilement. Reprenant notre souffle collés l’un à l’autre, nos rires cessent enfin.
S (ne détachant pas son regard du sien) : Je ne sais pas si c’est la façon dont tu me regardes depuis que je t’ai vu dans la foule, mais je ressens désespérément le besoin que tu viennes m’embrasser.
Sous nos respirations de plus en plus forte, il rompt la distance entre nous et viens poser ses lèvres sur les miennes alors que mes mains passent au dessus de ses épaule pour se retrouver derrière sa nuque. Et là, perdu au milieu de l’eau, nous détruisons les dernières limites qui nous séparent par un baisé d’abord timide, puis de plus en plus passionné.
Fin du flash back
voilà !!! bon dix millions d'inspiration dans cette suite et aussi peut être un peu la fic de sam qui me met dans tous mes états et qui fait que moi je veux qu'ils se sautent dessus lol !!!
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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