!.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!

waaaaaa c'était génial!!! La fin est vraimant super!! Mais je suis triste que ça soit justement la fin... En tout cas j'ai adoré ! Bravo!

La fin d'une histoire... c'est trop triste. La fin, pas l'histoire evidement ! Ca m'a permis de tout relire d'un coup et.... comment dire..... c'était et aussi ou encore . Bref c'était vraiment bien quoi !
Donc maintenant si j'ai bien tout compris on attend la suite de ton autre fic, qui, je dois dire, me manquait.

Tres belle fin

J'ai tout simplement adoré ta fics, c'était genial.

Exuse moi pour la meprise (Forte et Fort).

C'etait génial!!!!!!!!







Sinon c'est sur quoi ton roman et en meme temp ton vrai nom comme cela je pourrais l'acheter des qu'il sortira!!!! ( , c'est vrai!!!)

Oui, fais-nous encore rêver STP

excellente fin d'histoire

Merci a vous!
je vous souhaite de joyeyse fête de fin d'année!!


bon pour mon roman, je m'y risque
c'est du fantastique!
le sujet principale porte sur les anges!
sur un ange et sa protégée.
c'est une histoire d'amour. et le bu consiste a protéger cette femme qui est constament en danger de mort, car un démon ne veut pas la voir vivre jusqu'a l'heure de la révélation!
voila! en gros!! lol


pour ce qui est de WeSa Story!
j'ai peut etre une derniere surprise!
une petite, très petite nouvelle que j'appelerais "le mystère Aron"
je me demande pourquoi il est si gentil?
pourquoi il pense tant au autre?
et pourquoi vient il en aide a Sarah?

et peut etre( si ca vous interesse)
que je pourrais ecrire une discussion entre Sarah, Wentworth et Aron, qui percerait le Mystère de Aron!

vous en pensez quoi??

pas mal comme idée

et bonne chance pour ton livre

c'est une tres bonne idee

bon courage pour ton livre

bonne fete de fin d'année a toi et a tout le monde

Superbe du début à la fin et ce qui est génial c'st que tu as su maintenir l'intensité de l'histoire... Bravo

Merci!!

bon j'ai ecrit 2, 3 paragraphe!!
ceci n'est pas WeSa Story!!
(d'ailleur si vous voulez que je fasse un autre topic sur cette fan fic, dites le moi)

c'est a présent "Le mystère d'Aron!"
voulez vous connaitre son passé?
pourquoi il est ce qu'il est? et bien lisez!
l'histoire n'est plus centré sur WeSa bien que present dans l'histoire!
mais c'est aussi pour voir si je pex vous interesser sans eux!!



Le Mystère: Aron

Installé sur le canapé en cuir blanc de Sarah, Aron dont les mains étaient toujours plaqués sur son nez, vit enfin Wentworth et sa douce revenir, un torchon recouvrant des glaçons, a la main.
A peine l’acteur le lui tendu, qui les avaient prit et appliquaient sur son nez sans plus attendre. Poussant un gémissement mélangé entre la douleur et le soulagement.
Wentworth et Sarah se regardèrent avec un peu d’amusement. Ce n’était pas drôle pour Aron, mais celui-ci ayant réagit avec un peu d’humour lors du retard des glaçons, ils se permirent d’en rire.

Wentworth s’installa sur le fauteuil en cuir blanc, qui faisait face au canapé, et entraîna Sarah sur ses genoux. Installés comme un couple de plusieurs mois, Wentworth demanda à Aron :
-Dites nous qui vous êtes Aron, c’est vrai, je vous connais peu et vous êtes surprenant.
-Oui, enchérit Sarah. Vous m’avez été d’une grande aide et je ne connais pas votre vie.
-Et par quoi voulez vous que je commence ? Proposa-t-il gentiment.
Le couple se regarda cherchant dans leurs yeux une question à poser, et Wentworth rompu le silence :
-Et bien dites nous, vous avez une petite amie ? Une femme ? Ou êtes vous célibataire ?

Aron prit un temps pour répondre. Il était difficile de lire sur son visage, n’importe qu’elle expression car il était déchiré par la douleur. Les larmes avaient coulés dans la douleur du coup de poing de Josh, et rien ne pouvait montrer une quelconque tristesse, ou gêne, ou joie :
-Je pourrais vous répondre « oui » aux trois questions, répondit simplement et mystérieusement Aron.

Même sans WeSa a coté, je trouve le début génial!

Tu as beaucoup de talent et je suis sur que ton livre sera génial!!
Continue comme cela

Sinon je veux bien une autre fic sur WeSa!!

Tu es génial!!

(Mon message est presque sans smilies. J'ai progressée!!! )

Merci!!

Une autre fan fic sur WeSa me sera difficile car cette histoire est bien encrée dans mon esprit!
mais je dis pas que je n'essayerai pas!!

sinon voici une suite de "le Mysère Aron"
j'espere que cela vous plaira autant que "WeSA story"!
j'ai pris quelque liberté je parle des parenthèses placé comme bon me semblait!

bref
une suite est a prévoir si vous le souhaitez!!
j'attend vos commentaires.



Le Mystère: Aron

Sarah et Wentworth n’étaient pas plus avancés qu’il y avait a peine deux minutes. Les trois? Qu’Est-ce que ça voulait réellement dire. On ne pouvait être célibataire, marié et avoir une petite amie en même temps. A moins qu’il n’est pas rompu de son ex petite amie et est donc, officieusement, encore avec; qu’il se soit marié récemment, mais qu’il est eu affaire a un faux prêtre et que le mariage soit remis en cause. Voila se qu’amenait le métier d’acteur. Voir des scénarios, aussi différents les uns des autres, amenait a imaginer des choses absurdes, au lieu de tout simplement poser la question:
-Comment ça? S’interrogea Sarah pendant que Wentworth songeur continuait a se creuser la tête.
-C’est une longue histoire, affirma Aron.
-allez y, nous avons tous notre temps, insista le jeune acteur.

Aron, avait quelques difficultés a parler de son passé, mais il y pensait si souvent. Est-ce que le confier ne le soulagerait pas au fond? Sarah et Wentworth avait su lui faire confiance, et lui accorder de l’attention. Il était dans son devoir de leur faire savoir qui il était et pourquoi.
Même si le passé appartenait au passé, et que s’en rappeler lui fendait le cœur, il était parfois bon de revivre par ses souvenirs, et par ces partages, ce qui avait fait de lui, Aron.



-J’étais a l’université lorsque j’ai rencontré, Suzanna. Commença-t-il dans l’air d’un souvenir heureux. Moi je l’avais remarqué dès le premier jour. Ses cheveux bruns et ondulés glissant sur ses épaules, son teint si doux et mat se mariant avec harmonie avec ses yeux verts, son corps si joli et pourtant qu’elle cachait avec des gros pull en laine et des robes évasées. Son visage est toujours gravés la, ( il montra sa tête de sa main libre) et là, (puis montra son cœur).

Ses amies affirmaient qu’elle avait une attirance pour moi, au bout de quelques semaines. Je pensais qu’elles se jouaient de moi. Les filles font ça a l’université, (il regarda Sarah qui ne démentit pas). Mais j’ai choisit de les croire, et je l’ai abordé. Maladroitement sans doute, mais elle ne m’a pas rejeté. Je me rappelle encore de sa voix si angélique qui me disait « oui, je serais ravie d’aller au cinéma avec toi, Aron. » elle connaissait mon prénom, (disait il avec excitation comme si il revivait l’instant). Et oui, je l’avais invité au cinéma. Pas très original, mais je n’avais trouvé que ça. Ce que je ne savais pas, c’est que elle, elle ne savait pas que j’avais le béguin pour elle. J’ai appris un peu plus tard que ses amies lui avait dit que ce n’était pas réciproque et que je l’aimais comme un simple ami.

-Pourquoi cela? Demanda Wentworth intéressé avant d’ajouter avec une mine de douleur, attend Sarah, tu me fais un peu mal là.
Et il dirigea la jeune femme pour qu’elle s’installe plus aisément et moins douloureusement pour lui.

-Pourquoi? Répéta Aron. Je ne l’ai su qu’au cinéma enfin pas pourquoi en fait, juste qu‘elle me voulait en tant qu‘ami. Vous savez a cette époque, ce n’est pas aussi vieux que ça en fait, le cinéma était le lieu idéal pour un rendez vous amoureux. C’était en générale la bas que les couple se formaient vraiment, qu‘ils s‘officialisaient. Mais pas pour moi. Pas ce jour la, d’ailleurs il n’y a pas eu une autre occasion du « rendez vous cinéma » qui s’est représenté après cela. (dit il avec peu intéressement sur le sujet), Lorsque j’ai posé mon bras autour de son cou, elle m’a repoussé. Je m’en souviens très bien en fait.

************


-Qu’Est-ce que tu fais? Demanda la jeune femme outré par le geste de Aron.
-euh, mais…rien, bafouilla-t-il. Je croyais que…
-Ecoute, je pense que ce rendez vous était une erreur, dit elle sans se soucier du film.
Elle se leva, mit son manteau et continua:
-je pensais que tu ne voulais que mon amitié.
Aron la saisit par le bras délicatement et la réinvita a s’asseoir.
-Si tu ne m’offre que ton amitié, je la prend, chuchota-t-il.
-Non, Aron, il y aura toujours du désir en toi, et je ne peux pas.
-Pourquoi tu ne peux pas? insista le jeune homme avec désespoir.
Suzanna se releva fit quelque pas dans la rangée pour s‘éloigner d‘Aron, puis se retourna et annonça:
-Je ne veux pas te faire souffrir.


************


-J’étais seul, finit Aron, dans cette salle remplit de téléspectateurs qui suivaient ce film, si peu important pour moi. Je ne savais plus quoi penser. J’étais un peu perdu comme toi, Sarah. Avec une histoire , un peu différente. Les histoires d’amours se ressemblent sans réellement se ressembler.

J'adore!!!!!!!!!!!!!!




Bon j'arrette (Pas plus de 35 smilies me dit le psy)
C'est vraiment génial, dément , super, magnifique, super.......
Les mots me manque pour dire se que je ressent quand je lis tes fics!! Je vais partir en vacances et je ne pourrais pas te lire!

J'espère que je ne raterais rien de special. Continue dans cette voie

(J'ai dépassée les 35 smilies, pas grave )

excellente la suite stp

merciiii!

voici la suite!!

Le Mystère: Aron


Wentworth et Sarah, comme tout autre personne, avaient du mal a comprendre la réaction de cette Suzanna. Il était vrai qu’un rendez vous cinéma, entre un gars et une fille, était souvent synonyme de concrétisation. Surtout lorsque les deux sujets n’étaient pas amis ou ne se connaissent que très peu. Pourquoi une fille avait pensé que cela n’était qu’une question d’amitié? Qu’attendait elle exactement?
-Mais pourquoi elle a réagit comme ça? Demanda Wentworth.
-Oui, qu’Est-ce qui lui est passé par la tête pour accepter votre invitation si c’était pour refuser vos sentiments? Renchérit Sarah.
-En fait, répondit Aron. Un peu plus tard, elle m’avoua qu’elle n’avait jamais eu de relation amical avec un homme, ni même amoureux d’ailleurs. C’est le lendemain que je l’ai appris. Je l’ai aperçu prêt des casiers, à l’université. Elle cherchait quelque chose dans le sien. J’ai décidé précipitamment d’aller la rejoindre. Pour des explications (dit il en insistant sur les derniers mots pour se persuader que c’était la meilleur chose a faire). Alors j’y suis allé:


***************


-Salut, dit Aron timidement.
-Salut, répondit la jeune femme sans dire un mot de plus, sans ouvrit une quelconque conversation, et d’ailleurs Aron savait qu’elle n’en avait vraiment aucune envie.
-Je suis désolé pour hier, s’excusa-t-il. J’ai été maladroit.
-Tu n’as rien a te reprocher, dit elle agacée contre elle-même, j’aurais du te dire que je ne recherchais qu’un ami, tu n’aurais peut être rien espéré. Je m’en veux.
Après un long silence, elle reprit:
-Je n’ai jamais eu d’homme dans ma vie, je n’ai pas de frère, pas de père présent et ma famille…c’est ma famille malheureusement. Affirma-t-elle avec consternation, Je voulais avoir un garçon a mes côtés pour connaître ça, pour pouvoir discuter et apprendre.
-Pourquoi? demanda Aron dans l’incompréhension la plus totale.
-Ces raisons ne regardent que moi, annonça elle dans un mélange de gêne et de colère. Je dois y aller.
-attend.

**************


-Mais elle n’écoutait plus, annonça Aron. Elle m’attirait avec ses mystères. Et je dois dire qu’après cette journée, mes assiettes, je les voyais souvent repartir comme elle me venait. J’avais perdu l’appétit. La seule chose qui m’intéressait, c’était ses secrets. Ses mystère m’emportaient dans un autre monde. Celui que je ne connaissais pas et que je voulais approcher.

-Mais qu’Est-ce qu’elle avait cette fille, elle était bizarre quand même, dit Wentworth avec un froncement de sourcils.
-Mystérieuse, reprit le jeune homme aux boucles blondes. Mystérieuse.
Wentworth et Sarah attendait qu’il reprenne son récit, comme des enfants attendent qu’un compteur d’histoire leur raconte les plus belle histoire jamais écrite. Aron, le regard dans le vide, annonça l’air absent:

-Le problème était que mes parents étaient sans arrêt sur mon dos après cela. Ils m’avaient fait entrer dans cette superbe école pour que je devienne le plus grand des avocats. Un avocat a la réputation hors normes, un avocat qui gagnerait bien sa vie en défendant probablement des truands, des mafieux. Ce que voulait mes parents a cette époque, c’était que je gagne bien ma vie pour vivre une vie heureuse. Car selon eux, l’argent, c’était le bonheur. Et ils n’ont pas totalement faux. Mais il y a des choses plus importante, comme le temps par exemple.


****************


-Je ne veux plus que tu penses a cette fille, hurla la mère d’Aron.
Une femme qu’une quarantaine d’année, dont la bourgeoisie ne lui donnait que la trentaine. Les cheveux tirés en chignon et la peau sans trop d’imperfection, dû a toutes les crèmes qu’elle devait utiliser chaque soir, et qui ne lui donnait pas l’effet sévère qu’elle aurait voulu avoir face a son fils de vingt et un ans.
-Je ne veux plus que tu ailles la voir aussi, finit elle.
-Si j’apprends que tu l’as fréquentes encore, annonça son père avec force, une lettre a la main.
Il était le père model des années quatre vingt. Les cheveux bruns virant vers le blanc, et le visage rempli de rides accentués par sa colère.
-Tu feras quoi? Le tenta son fils.
-Nous t’inscrirons dans une autre école ou tu y seras pensionnaire, le menaça t-il.
-Je ne suis plus un gamin, papa, l’informa Aron avec une colère qui montait de plus en plus. Tu t’es tellement intéressé a ton fils que tu en as oublié qu’il avait grandit. Et oui je m’inscris tout seul a l’université, tu sais. Et cette lettre, si tu y regarde le prénom, m’est destiné. Mais maman, elle, ne fait pas la part entre la curiosité et l’attention apportée a son fils. En remarque, vous formez un juste milieu a vous deux! Malheureusement, un défaut pour chaque personne. Le pire dans tout ça, c’est que vous recommencez vos conneries avec David. Évoluez un peu.

-Aron, je te conseille de te taire ou tu quittes cette maison sur le champ, annonça son père.
Le jeune homme venait de dire tout ce qu’il avait sur le cœur depuis tant d’année. tout était sorti sans vraiment le vouloir. Cela lui avait fait du bien, mais un malaise apparut peu de temps après. Ses parents avaient toujours voulu le meilleur pour lui, et il leur faisait que des reproches. Il se sentait mal et n’avait pas envie de continuer cette discussion, ou plutôt cette dispute pendant une éternité.
-Je crois que j’en ai besoin.
-Quoi! S’exclamèrent les deux parents étonnés.
-J’ai besoin de prendre mon indépendance je prendrais une chambre a l’université. Je trouverais un boulot pour me le payer. Je veux arrêter de vous faire vivre l’enfer. J’en ai besoin.



************

-Croyez moi si vous voulez, en sourit Aron, mais ils m’ont laissé partir et m’ont aidé financièrement. Je n’en voulais pas de leur argent, ce n’était pas moi qui l’avait gagné, mais ils m’y ont presque obligé, disant que c’était le moins que je puisse faire: accepter leur argent.

-Sympa les parents, conclu Sarah en essayant d’oublier le fait que leurs enfants avaient été oublié. Mais après tout, pas mal le pensait, jusqu’a ce que vienne le temps ou l’on comprend que ce n’est pas le cas, et que les parents font beaucoup plus qu’on ne peut se l’imaginer. Peut être s’en rendront il compte lorsqu’il seront dans la même situation, c’est-à-dire: parent.

-Et tu es allé a une autre université et tu as perdu contact avec cette femme, c’est ça? proposa Wentworth un peu perdu dans toutes ses explications.

-Non, sinon ce ne serait pas une longue histoire, sourit Aron. Je n’ai pas changer d’université, l’informa Aron. J’ai rejoins les dortoirs de la même école et je me suis retrouvé dans la même situation que Suzanna, qui avait une chambre dans un bâtiment voisin. Mon premier but était de l’approcher, et mon deuxième était de me reprendre en main. J’ai consacré la moitié de mon temps libre aux études, et l’autre à Suzanna, a chercher comment conquérir son cœur. C’est pour ça que dès le lendemain de mon emménagement, j’ai été frapper a sa porte.

super ta suite

met vite la suite

S T P , S T P

la suite stp la suite

Bon avec du retard!

Je trouve tes 2 fics trop génial!! Je les adores! elles sont splendides!!!!!!!!!
Bravo!

merci

voici la suite!!
j'espere qu'elle vous plaira!
j'attend vos impressions



Le mystère: Aron


-Lorsque j’ai frappé a sa porte, ce n’était pas elle qui s’y est présenté, informa Aron. C’était sa colocataire, Amy. C’est dingue, vous remarquerez qu’à chaque fois qu’une belle jeune femme comme Susanna a une amie, elles sont souvent équivalentes aux niveaux de la beauté physique. Pourtant elle ne se prenait pas pour de jolies femmes. Elle mettait tous leurs efforts sur leurs études plutôt que sur leurs maquillages. Elle n’en avait pas vraiment besoin d’ailleurs. Alors bien sur elle m’a annoncé que Suzanna n’était pas la.


*************

-Oh Aron, dit la jeune femme qui venait de lui ouvrir; Je parie que tu viens voir Suzanna.
-Et moi, je te parie qu’elle n’est pas la. Sourit Aron.
La jeune fille fit une grimace de désolation et haussa les épaules :
-non, elle n’est pas la. Écoute, normalement elle ne veut pas trop que tu t’inities dans sa vie. Moi je pense que ça lui ferais du bien. Alors, ne lui dit rien, mais elle est au centre commercial. Elle est située à l’aile gauche.
-Justement, toi qui es sa meilleure amie, annonça le jeune homme. Sais tu pourquoi elle m’évite ?
Amy fit disparaître toute trace de son bonheur, comme si la question de Aron était une malédiction, une phrase dont il est interdit de la formuler. Puis se remit de ses émotions :
-C’est une longue histoire Aron, affirma-t-elle. Et en temps que meilleure amie, je ne peux pas te le dire. Disons qu’elle a ses raisons et que je pense que certaines ne sont pas valables. C’est pour cela que je pense qu’il est nécessaire que tu entres dans sa vie. Enfin…c’est toi qui as voulu y entrer, et comme avec elle, c’est assez difficile, j’ai voulu t’y aider, pour l’aider par la même occasion.
-Mais pourquoi ? Demanda-t-il avec désespoir. C’est ça qui me turlupine.
-Tu le seras bien assez tôt. Trop tôt sans doute, annonça-t-elle sans le moindre sourire.



***************


-Mais qu’Est-ce que c’est que ces secrets ? Demanda Wentworth en attendant une réponse rapide car l’intrigue, bien que passionnante, était insupportable pour lui.
-Il est certain qu’elle te cachait quelque chose d’étrange, dit Sarah.

-je n’ai pas pu attendre. Je suis allé dans ce centre commercial pour apporter des réponses à mes questions en premier lieu. Et lorsque je l’ai aperçu, je n’ai pas pu. Elle avait emménagé un stand, et elle faisait appel à des dons. Elle vendait des boissons en échange de peluche, de jouet ou d’argent pour des orphelins. Je n’avais jamais vu une étudiante bénévoles au lieu d’être employé pour financer sa chambre d’université et ses études. C’est d’ailleurs ce jour la que j’ai appris qu’elle ne faisait pas que cela de ses journées.


**************



-C’est Amy ? Demanda Suzanna connaissant la réponse.
-De quoi ? Demanda Aron sans savoir dissimuler le mensonge.
-Écoute, je ne sais pas ce qu’elle t’a dit mais c’est faux.
Elle prit un gobelet et le rempli d’un jus d’orange pour le tendre a une cliente a côté de Aron qui lui tendit une pièce de monnaie.
-Merci madame, dit poliment la jeune femme avec un sourire, puis se tourna vers Aron.
-Tu veux un jus de fruit ? Ou tu es la pour me poser des questions auxquels je ne répondrais, sans doute, pas.
-Et si je te demande si je peux t’aider, annonça-t-il, tu répondras à ma question ?
Elle mit ses poings sur ses hanches, inclina sa tête et lui dit :
-tu ne reculeras devant rien, toi.
Aron lui sourit et se plaça à côté d’elle, en prenant cette remarque pour un « oui »
-Tu fais ça tout les jours ? demanda-t-il.
-Malheureusement non, mon emploi ne me le permet pas.
-Ton emploi, s’étonna-t-il.
-hé bien oui, mon emploi, répéta-t-elle. Je dois bien financer mes études. Je bosses le soir dans une bibliothèque. Je ne te dis pas laquelle ou tu risquerais de m’y suivre, plaisanta ‘telle.
Aron ria de la réflexion. Puis ne voyant personne s’approcher du stand demanda :
-Il a toujours autant de succès ton stand ?
-Toujours ! C’est affligeant. Je ne repars pas les mains vident non plus. Mais j’aurais aimé avoir plus pour ces enfants.
-et bien, il faut y remédier alors, s’avança Aron sûre de lui.
Aron se remit devant le stand et hurla :
-Mesdames, messieurs. Venez goûter à nos excellents jus de fruit, et vous goûterez à votre bon vouloir a la joie de donner, de partager, d’émerveiller des jeunes enfants orphelins. Cela ne coûte que peu de chose : votre temps et votre don.
Voyant la réaction presque inexistante des passants, il se tourna vers Suzanna et s’excusa.
-Ce n’est pas grave, en ria-t-elle. C’est déjà bien d’avoir essayé.
-ai-je le droit a un nouveau rendez vous, demanda malignement Aron.
-Peut être, répondit elle avec un grand sourire.


********************



-Elle accepta mon invitation dans un restaurant à la fin de la semaine, dit Aron avec un léger sourire. Je m’étais mis dans l’idée que ce qu’elle attendait de moi, c’était mon amitié. Que je n’avais plus rien n’a espéré des sentiments que j’avais pour elle. Mais j’avais besoin d’être près d’elle, et je voulais prendre ce qu’elle m’offrait.

-tu espérais un peu, quand même, non ? Demanda Sarah.
-J’espérais mais pas qu’un peu, répondit Josh. Mais c’était, à présent, a elle de décider.
-Et alors qu’Est-ce qu’a donné ce dîner ? S’impatienta Wentworth.

toujours aussi bien ta fanfic j'adoreeeeeeeeeeee

la suite la suite

Tu n'as pas le droit de nous laisser comme cela!!

C'es magnifique

(J'espere que tu as lu le message que je te laissée dabs fansarts, Scofield de mes mains. Tu vas adorer )

merci a vous!
moins de lecteurs mais bon, je vous ai deja vous! donc c'est deja ca!;)

j'ai vu et repondu pour mon dessin!!:oops:


voici la suite!
vos impressions?


Le Mystère: Aron

-J’ai bien cru qu’il ne donnerait rien ce dîner, répondit Aron les mains jointes et avant bras posé sur ses cuisses. En fait, elle devait me rejoindre a ce fameux restaurant, et j’ai attendu plus d’une demi heure dehors, sans que personne ne vienne. Alors j’ai attendu, et attendu, jusqu’à ce qu’un taxi arrive et la dépose sur le trottoir. Elle s’était habillée pour l’occasion, et ce n’était pas des vêtements que l’on mettait pour une soirée entre amis. Elle était vêtu d’une longue robe blanche a la soie imitée, scintillante se mariant parfaitement avec son teint. Un chignon emprisonnait ses longs cheveux noirs ondulés, laissant cependant une longue mèches zigzaguait le long de sa joue. Elle était merveilleuse. Elle me sourit et je m’avança enfin vers elle sans réellement trouver les bons mots, ceux qui me réchauffait le cœur en cette fraîche soirée.

************************


-Vous êtes ravissante, annonça enfin Aron en prenant la main de la jeune femme pour l’entraînait dans le restaurant.
-On se vouvoies a présent? Demanda-t-elle, amusé.
-Oui,...euh enfin non, tu es tellement…, il chercha ses mots avant de lâcher sans être en être satisfait,…belle.
-Merci, tu es très élégant aussi.


************************

-Je m’en voulais, expliqua Aron, je n’avais pas fait d’effort vestimentaire, je n’ai pas cherché a lui plaire réellement. Je n’étais vêtu que d’un jean bleu foncé et d’une veste de ville noir, et d’un maillot blanc plus ou moins moulant, accompagné de mes nouvelles converses de l’époque, blanche elle aussi. Même pas des chaussures de ville! Qu’Est-ce que j’avais dans le tête?

Wentworth et Sara restèrent silencieux et attendirent la suite de son histoire avec impatience.

-Assis a notre table, on attendait notre menu en discutant de nos vies. J’ai beaucoup appris d’elle en une soirée.



*********************


-Mon père, je ne le connais pas, il est parti lorsqu’il a appris que…, l’informa-t-elle. Enfin, ma mère a toujours eu plus de courage que lui. Elle m’a donné tout l’amour dont j’avais besoin, et ma vie passe avant la sienne. Je m’en suis voulu de ça. Je m’en veux toujours. Elle est toujours prêt de moi et pourtant sa vie a était un enfer depuis ma naissance.

Une larme coula le long de sa joue. Aron, impuissant face a cette situation, ne savait quoi faire. Que devait il lui dire pour la consoler? Il était dans une situation très difficile. D’un côté, il devait faire preuve d’amitié, pour respecter ses choix, mais ses sentiments pour elle, était très fort et la prendre dans ses bras, ou lui prendre la main étaient des solutions qui le fit douter au point de perdre le contrôle.
Il plaça sa main sur la sienne et essuya ses larmes de l’autre.
-je suis sur qu’elle pense le contraire, la consola Aron. La plus belle chose qu’elle ait eu, c’est toi. Un enfant, c’Est-ce qui a de plus beau au monde. Alors pourquoi vivrait elle un enfer depuis ta naissance.
-J’ai mes raisons, affirma-t-elle.
-Oui et d’après certaine, quelques raisons ne sont pas valables.
-Hé bien cette « certaine » ne vit pas ce que je vis, se défendit elle avec colère.
-Excuse moi, je ne voulais pas dire ça, dit il avec peine.
-ce n’est pas grave, répondit elle. Je sais que tu es dans une situation difficile vis-à-vis de moi. Par ma faute.
-Arrête de mettre tout sur ton dos, lui demanda gentiment Aron . toi-même tu le dis, tu as tes raisons. Et si tu ne veux pas me les dire, je respect ton choix.
-Ce n’est pas vraiment un choix, l’informa-t-elle. C’est pour te préserver.
-Préserver de quoi? S’interrogea t-il.
-de rien, annonça-t-elle en prenant la carte des menus que venait de lui tendre la serveuse. Merci.
Elle l’ouvrit et lut les plats qu’offrait ce restaurant, faisant comprendre a Aron, que le sujet était clos. Il ne voulu pas insister. Après avoir remercié a son tour la serveuse, Suzanna lui demanda en posant sa carte:
-Et toi? Quelle est ton histoire, dit moi?
-je n’ai pas grand-chose a dire, lui répondit il. J’ai des parents dont l’argent ne pose pas problème, ce qui est au final, mon problème.
-pourquoi cela? Demanda elle étonné.
-Ils ont cru nous donner, a mon frère et a moi, de l’amour avec leurs cadeaux, on avait tout ce qu’on voulait. Mais pas eux. Leurs présences, leurs temps, c’Est-ce qu’on voulait, mais rien. Juste de l’argent. Tiens, la chambre de l‘université, c’est avec leur argent que je la finance, il ne voulait pas que je me débrouilles seul.
-C’est toujours comme ça. Ceux qui ont de l’amour veulent plus niveau matériel, et ceux qui on de l’argent veulent plus niveaux amour. On est jamais content de ce que l’on a. Mais je pense que ta situation est plus a plaindre fasse aux autres. Car l’amour, ça ne s’achète pas. Le temps que l’on passe avec ceux que l’on aime est la chose la plus précieuse que l’on a dans une vie.
Face a sa phrase, Suzanna prit un air de réflexion, d’incompréhension aussi.
-Quelque chose ne va pas? Demanda Aron qui avait senti le malaise.
-Non, je…, bafouilla-t-elle, je viens de prendre conscience de quelque chose. Je…Je…Je reviens, je vais…je reviens.


**********************



-Elle s’était dirigée vers les toilettes, précisa Aron. Moi, je ne savais pas ce qu’elle avait. Encore un mystère qu’elle faisait tant planer autour de moi. La serveuse était venu prendre commande entre temps et je lui ai demandé de repasser un peu plus tard. J’avais une envie folle d’aller voir ce qu’il se passait. J’avais peur pour elle. Je me sentait mal a l’aise. Qu’Est-ce que j’avais encore fait de mal?

-Et qu’Est-ce que tu avais fait de mal? Demanda Wentworth.
Sarah, quand a elle, n’attendait que la suite, sans rien demander de plus, elle se pencha pour attendre les mots de Aron.

-Rien, annonça Aron. Enfin, j’espérais ne rien avoir fait de mal. Ce qu’elle pensait, je n’en étais plus sur. C’est lorsqu’elle revint des toilettes que j’ai compris. Quelque chose avait changé.

-Quoi? S’impatienta Wentworth.