!.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
LA SUITE
VITE S T P
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
la suite elle est toujours aussi bien ta fanfic la suteee stp
Tracy- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Coucou!!!
Je sais ça fait longtemps mais malheureusement je n'avais plus internet depuis 15 jours car j'ai déménagé!! Enfin bref je viens de rattrapper mon retard et je dois dire que j'adore!!! Vraiment c'est super!!! Vite une suite!!
Je sais ça fait longtemps mais malheureusement je n'avais plus internet depuis 15 jours car j'ai déménagé!! Enfin bref je viens de rattrapper mon retard et je dois dire que j'adore!!! Vraiment c'est super!!! Vite une suite!!
Lilymiller- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : France
Date d'inscription : 28/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
J'adore toujours tes fics! J'ai lu ton petit message dans les fansarts.
Qu'est que tu raconte Moins de lecteurs ? Non, c'est faux Ils ne se manifeste pas, c'est tout! Je demande à toute personne lisant cette fic de laisser un message, petit soi t'il, sinon djolar va deprimer et ça c'est pas bien du tout
Continu comme cela! En tout ca, je serais toujours ta plus grande fan!!
zenaide- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
merci beaucoup!
(ravie que tu soit de retour parmi nous Lilymiller;))
voici la suite!
j'attend vos commentaires
Le Mystère: Aron
-Je savais qu’elle venait de pleurer dans les toilettes, répondit Aron, mais je savais aussi que cela lui avait fait du bien. Son sourire n’était plus le même. On peut connaître l’état d’esprit d’une personne grâce aux sourires, et aux regards. Les siens m’annonçaient qu’elle était heureuse. Peut être pas grâce a moi, mais par ce dont elle avait prit conscience. La soirée se passa sans qu’on la sente s’écouler. Et l’envie de rester ensemble était plus fort que tout. J’ai donc payé l’addition, enfin, rectification! Papa et maman ont payé l’addition, et nous sommes sortit au clair de lune. On n’a longé la plage, mélangeant des moments de silence avec de grandes conversations de nos passées respectifs. Je lui avait passé ma veste, après avoir longuement insisté, et je me retrouva, bras nu, sans réellement sentir la fraîcheur de la nuit, car mon cœur lui,… mon cœur était réchauffés par le spectacle qui s’offrait a mes yeux. La femme que je désirais, souriante, avec pour fond un océan scintillant au reflet de la lune blanche. Que demander de plus?
*******************
-J’ai passé une magnifique soirée, annonça la jeune femme.
Aron remarqua que sans s’en apercevoir, il se trouvait devant l’université. Il avait marché pendant des heures, et leur parcours les avait amené a ce bâtiment, la ou se trouvait la chambre de Suzanna.
-Moi aussi, lui répondit bêtement Aron. Je suis triste qu’elle se termine d’ailleurs.
-Il est déjà une heure du matin, sourit Suzanna.
-Une heure avec toi, c’est comme passer qu’une seconde, précisa le jeune homme. Le temps passe si vite lorsqu’on est bien avec celle qui nous accompagne.
Suzanna faillit rougir. Devant la porte du bâtiment, elle hésita a rentrer, mais finalement leurs visages s’attirèrent comme des aimants. Une attirance difficile a contenir. Leurs lèvres s’approchèrent l’une de l’autre, jusqu’à se toucher, et s’enlacer. Elle posa ses avant bras sur les épaules de Aron, et il lui saisit la taille. Leur baiser n’avait pas l’ombre d’une hésitation. Sans voir passer les secondes, ils s’embrassèrent alors que leur soirée ne devait être que purement amicale. Mais quelque chose avait changé. Pendant que Suzanna revenait des toilettes, il l’avait remarqué.
********************
-Ensuite, nous avons rejoins nos chambres sans se dire un mot, seulement en se souriant, raconta Aron. Je n’avais aucune idée de ce qui se passerait le lendemain. Aucune. Pour le moment, c’était le bonheur que je ressentais. Rien d’autre. Suzanna avait des sentiments pour moi, et ils étaient aussi fort que les miens envers elle, et rien ne pouvait nous séparer à présent, j’en était persuadé. Et je savais qu’elle l’était aussi. Enfin, je le pensais.
-Mais elle ne l’était pas, finit Sarah. Elle n’en était pas persuadé?
-Non, pire que ça, la reprit Aron, elle était persuadé du contraire.
-Pourquoi? Demanda Wentworth, tu es quelqu’un de bien, d’équilibré. Elle ne pouvait que penser que la situation était merveilleuse.
-Merci du compliment, dit Aron. Mais elle avait ses raisons. Toujours ces mêmes raisons qu’elle ne voulait pas m’avouer, et qui me raillait le coeur.
-Tu es allé la voir le lendemain alors? Demanda Sarah, et elle t’a repoussé?
-C’est presque cela, en effet, reprit Aron amusé par la participation des deux acteurs. Elle n’a pas eu le courage de me voir. C’est encore sa meilleure amie qui m’a accueilli.
*******************
-Je me doutais que tu allais venir, dit Amy en sortant de sa chambre après qu‘il y est frappé, prenant soin d’éviter que Aron ne voit quoi que ce soit dans la chambre.
De toute évidence, Suzanna était a l’intérieur.
-Ecoute, continua-t-elle attristée. J’ai appris l’ampleur de la soirée d’hier soir. Et je t’avoues que j’en ai était heureuse. Mais Suzanna s’en veut. Elle…elle a des problèmes très sérieux et elle ne veux pas que tu en souffres.
-Elle m’aime alors? Se rassura Aron. Elle a des sentiments pour moi?
-Ce n’est pas la question Aron, insista Sarah. Elle ne veut pas que tu souffres, c’est tout.
Aron se tourna pour rejoindre sa chambre, dépité et en colère. Puis il se retourna violement vers Amy et hurla de façon a ce que la femme, située dans la chambre derrière elle, l’entende:
-Ce n’est pas ses sérieux problèmes qui peuvent me faire souffrir. Ce qui peut me faire souffrir, c’est le fait de ne pas être avec elle.
Les larmes lui montait au yeux sans vraiment trouver le temps de couler.
-Ce qui me fait souffrir, continua ‘t-il a crier. C’est qu’elle ne veut pas affronter ses problèmes avec moi. Ce qui me fait souffrir, c’est qu’elle ne veut pas me voir, juste la, maintenant, pour s’expliquer. Car… je l’aime, finit il avec évidence.
Des filles sortirent de leur chambre, intriguée par le bruit et s’immobilisèrent pour écouter la suite.
-Chut, conseilla Amy puis chuchota fortement pour que les autres jeunes filles n‘entendent pas ce qu‘elle avait a dire. Elle est amoureuse de toi aussi et tu le sais, mais elle…c’est difficile pour elle. Lorsqu’elle t’en parlera, si elle le fait un jour, tu comprendra peut être.
-je comprendrais quoi? Demanda Aron méthodiquement. Qu’elle m’aime mais qu’elle ne veut pas de moi? Qui voudrait le comprendre.
-Aron, rentre dans ta chambre et laisse le temps s’écouler. C’est la seule solution et j’en suis désolée.
Le jeune homme s’avança vers la sortie et annonça fortement:
-tu disais faire ça pour nous aider. Crois tu que ton but est atteint?
***************
-Je suis rentré dans ma chambre, et pour la première fois de ma vie, j’ai pleuré tout les larmes de mon corps pour une femme, annonça-t-il. Tellement fort, que ma gorge en est resté noué des heures. Elle m’avait abandonné une fois de plus, et moi j’étais désespéré.
-C’est une histoire d’amour qui t’a vraiment touché pour n’être plus avec elle aujourd’hui, comprit Sarah. Elle est restée encrer, avec tout ces détails, et cela a finit comme ça. Il faut te dire que ce n’était pas la bonne personne.
-Sarah a raison, renchérit Wentworth. Tu n’es quand même pas resté célibataire après votre rupture a cause d‘elle?
-Je le suis resté car dans mon cœur, je sais que c’était la femme de ma vie, et que ça le restera jusqu’à ma mort.
-Mais non, ne dis pas ça, tu as tout ta vie devant toi, expliqua Sarah.
-Vous ne connaissez pas la suite de l’histoire. Vers la soirée, on a frappé a ma porte. Et un grand secret allait mettre révélé. Un secret qui allait m’abattre au plus profond de moi.
(ravie que tu soit de retour parmi nous Lilymiller;))
voici la suite!
j'attend vos commentaires
Le Mystère: Aron
-Je savais qu’elle venait de pleurer dans les toilettes, répondit Aron, mais je savais aussi que cela lui avait fait du bien. Son sourire n’était plus le même. On peut connaître l’état d’esprit d’une personne grâce aux sourires, et aux regards. Les siens m’annonçaient qu’elle était heureuse. Peut être pas grâce a moi, mais par ce dont elle avait prit conscience. La soirée se passa sans qu’on la sente s’écouler. Et l’envie de rester ensemble était plus fort que tout. J’ai donc payé l’addition, enfin, rectification! Papa et maman ont payé l’addition, et nous sommes sortit au clair de lune. On n’a longé la plage, mélangeant des moments de silence avec de grandes conversations de nos passées respectifs. Je lui avait passé ma veste, après avoir longuement insisté, et je me retrouva, bras nu, sans réellement sentir la fraîcheur de la nuit, car mon cœur lui,… mon cœur était réchauffés par le spectacle qui s’offrait a mes yeux. La femme que je désirais, souriante, avec pour fond un océan scintillant au reflet de la lune blanche. Que demander de plus?
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-J’ai passé une magnifique soirée, annonça la jeune femme.
Aron remarqua que sans s’en apercevoir, il se trouvait devant l’université. Il avait marché pendant des heures, et leur parcours les avait amené a ce bâtiment, la ou se trouvait la chambre de Suzanna.
-Moi aussi, lui répondit bêtement Aron. Je suis triste qu’elle se termine d’ailleurs.
-Il est déjà une heure du matin, sourit Suzanna.
-Une heure avec toi, c’est comme passer qu’une seconde, précisa le jeune homme. Le temps passe si vite lorsqu’on est bien avec celle qui nous accompagne.
Suzanna faillit rougir. Devant la porte du bâtiment, elle hésita a rentrer, mais finalement leurs visages s’attirèrent comme des aimants. Une attirance difficile a contenir. Leurs lèvres s’approchèrent l’une de l’autre, jusqu’à se toucher, et s’enlacer. Elle posa ses avant bras sur les épaules de Aron, et il lui saisit la taille. Leur baiser n’avait pas l’ombre d’une hésitation. Sans voir passer les secondes, ils s’embrassèrent alors que leur soirée ne devait être que purement amicale. Mais quelque chose avait changé. Pendant que Suzanna revenait des toilettes, il l’avait remarqué.
********************
-Ensuite, nous avons rejoins nos chambres sans se dire un mot, seulement en se souriant, raconta Aron. Je n’avais aucune idée de ce qui se passerait le lendemain. Aucune. Pour le moment, c’était le bonheur que je ressentais. Rien d’autre. Suzanna avait des sentiments pour moi, et ils étaient aussi fort que les miens envers elle, et rien ne pouvait nous séparer à présent, j’en était persuadé. Et je savais qu’elle l’était aussi. Enfin, je le pensais.
-Mais elle ne l’était pas, finit Sarah. Elle n’en était pas persuadé?
-Non, pire que ça, la reprit Aron, elle était persuadé du contraire.
-Pourquoi? Demanda Wentworth, tu es quelqu’un de bien, d’équilibré. Elle ne pouvait que penser que la situation était merveilleuse.
-Merci du compliment, dit Aron. Mais elle avait ses raisons. Toujours ces mêmes raisons qu’elle ne voulait pas m’avouer, et qui me raillait le coeur.
-Tu es allé la voir le lendemain alors? Demanda Sarah, et elle t’a repoussé?
-C’est presque cela, en effet, reprit Aron amusé par la participation des deux acteurs. Elle n’a pas eu le courage de me voir. C’est encore sa meilleure amie qui m’a accueilli.
*******************
-Je me doutais que tu allais venir, dit Amy en sortant de sa chambre après qu‘il y est frappé, prenant soin d’éviter que Aron ne voit quoi que ce soit dans la chambre.
De toute évidence, Suzanna était a l’intérieur.
-Ecoute, continua-t-elle attristée. J’ai appris l’ampleur de la soirée d’hier soir. Et je t’avoues que j’en ai était heureuse. Mais Suzanna s’en veut. Elle…elle a des problèmes très sérieux et elle ne veux pas que tu en souffres.
-Elle m’aime alors? Se rassura Aron. Elle a des sentiments pour moi?
-Ce n’est pas la question Aron, insista Sarah. Elle ne veut pas que tu souffres, c’est tout.
Aron se tourna pour rejoindre sa chambre, dépité et en colère. Puis il se retourna violement vers Amy et hurla de façon a ce que la femme, située dans la chambre derrière elle, l’entende:
-Ce n’est pas ses sérieux problèmes qui peuvent me faire souffrir. Ce qui peut me faire souffrir, c’est le fait de ne pas être avec elle.
Les larmes lui montait au yeux sans vraiment trouver le temps de couler.
-Ce qui me fait souffrir, continua ‘t-il a crier. C’est qu’elle ne veut pas affronter ses problèmes avec moi. Ce qui me fait souffrir, c’est qu’elle ne veut pas me voir, juste la, maintenant, pour s’expliquer. Car… je l’aime, finit il avec évidence.
Des filles sortirent de leur chambre, intriguée par le bruit et s’immobilisèrent pour écouter la suite.
-Chut, conseilla Amy puis chuchota fortement pour que les autres jeunes filles n‘entendent pas ce qu‘elle avait a dire. Elle est amoureuse de toi aussi et tu le sais, mais elle…c’est difficile pour elle. Lorsqu’elle t’en parlera, si elle le fait un jour, tu comprendra peut être.
-je comprendrais quoi? Demanda Aron méthodiquement. Qu’elle m’aime mais qu’elle ne veut pas de moi? Qui voudrait le comprendre.
-Aron, rentre dans ta chambre et laisse le temps s’écouler. C’est la seule solution et j’en suis désolée.
Le jeune homme s’avança vers la sortie et annonça fortement:
-tu disais faire ça pour nous aider. Crois tu que ton but est atteint?
***************
-Je suis rentré dans ma chambre, et pour la première fois de ma vie, j’ai pleuré tout les larmes de mon corps pour une femme, annonça-t-il. Tellement fort, que ma gorge en est resté noué des heures. Elle m’avait abandonné une fois de plus, et moi j’étais désespéré.
-C’est une histoire d’amour qui t’a vraiment touché pour n’être plus avec elle aujourd’hui, comprit Sarah. Elle est restée encrer, avec tout ces détails, et cela a finit comme ça. Il faut te dire que ce n’était pas la bonne personne.
-Sarah a raison, renchérit Wentworth. Tu n’es quand même pas resté célibataire après votre rupture a cause d‘elle?
-Je le suis resté car dans mon cœur, je sais que c’était la femme de ma vie, et que ça le restera jusqu’à ma mort.
-Mais non, ne dis pas ça, tu as tout ta vie devant toi, expliqua Sarah.
-Vous ne connaissez pas la suite de l’histoire. Vers la soirée, on a frappé a ma porte. Et un grand secret allait mettre révélé. Un secret qui allait m’abattre au plus profond de moi.
djolar- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Age : 39
Date d'inscription : 21/11/2006
suite
salut moi j'ai tout lu et j'ai ADORE!!!!! vivement la suite!!!!!
arwen59- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 10/12/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Tu peux pas nous laisser comme ca
J'ai les larmes aux yeux moi hein
J'ai les larmes aux yeux moi hein
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Je suis ravie d'être de retour parmis vous!!!!
J'adore vivement la suite! J'ai hâte de savoir quel est ce terrible secret!!!
J'ai une bonne nouvelle: je travaille actuellement sur une fanfic wentsa, faut juste que j'écrive le début avant!!! Enfin je dis bonne nouvelle, vous n'allez peut-être pas aimer!! Enfin je vais tenter on verra bien!
SUITE Djolar!!!
J'adore vivement la suite! J'ai hâte de savoir quel est ce terrible secret!!!
J'ai une bonne nouvelle: je travaille actuellement sur une fanfic wentsa, faut juste que j'écrive le début avant!!! Enfin je dis bonne nouvelle, vous n'allez peut-être pas aimer!! Enfin je vais tenter on verra bien!
SUITE Djolar!!!
Lilymiller- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 45
Age : 40
Localisation : France
Date d'inscription : 28/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
merci a vous!!
j'attend ta Fanfic avec impatience!
je vous ai ecrit une suite!
vive l'année 2oo7!
commencons la dans la joie et la bonne humeur:cry:
ce n'était pas calculé!! lol
voici:
Le Mystère: Aron
-J’ai mis plusieurs minutes a ouvrir la porte, expliqua Aron. Le temps de sécher mes larmes. Lorsqu’elle s’annonça, j’ai hésité a l’ouvrir parce que j’avais si peur de ce qu’elle allait me dire. Mais elle commençait a me prier. Je n’ai pas pu, et j’y suis allé. Je l’ai laissé entrer, et j’ai refermé la porte derrière elle. Je ne voulais pas que l’on voit que j’avais pleuré. J’en avais honte. Avec le temps on se rend compte qu’il n’y a pas de mal a pleurer, cela nous rend humain, alors qu’Est-ce qu’on s’en fiche des autres.
Elle, elle n’avait pas éprouvé le besoin de se cacher. Ses yeux étaient rouges, et ses joues luisantes de larmes. Cela me rassurait en un sens. Je n’étais pas seul a en souffrir. J’avais vraiment peur de ce qu’elle allait me dire. « on ne peut pas continuer comme ça, tu dois m’oublier », comment aurais je pu l’oublier? « c’est finit entre nous et ça n’aurais jamais du commencer », alors pourquoi avoir commencé? Mais ce qu’elle m’annonça était bien pire que cela.
******************
-Aron, dit elle enfin, au fond de la chambre alors que le jeune homme était toujours appuyé dos contre la porte. Je t’ai parlé de plusieurs raisons et je veux que tu les connaisses maintenant. Pour me comprendre. Pour comprendre pourquoi notre relation ne peut pas continuer.
-ai-je le droit de donner mon avis après cela? Demanda Aron avec désespoir.
-Non, hurla presque la jeune femme. Tu n’as pas le droit, je ne veux pas que tu me dictes ce que je dois faire, car je sais que c’est la meilleure solution.
-Dans un couple, on est a deux a décider, se défendit le jeune homme pour ensuite le regretter.
-Mais nous ne sommes pas un couple, annonça Suzanna sans douceur. Je ne veux pas être un couple.
-Mais pourquoi? Hurla Aron.
-Parce que je vais mourir, Cria a son tour la jeune femme.
Un long silence s’installa. Elle va mourir! Qu’Est-ce que cela signifiait? Elle va mourir? Pourquoi? Comment? Quand?
Après une longue minute, Suzanna répondit a ses questions sans lui laisser le temps de les poser.
-Je suis malade Aron, annonça elle en ayant reprit sa douceur habituelle. Je vais en mourir. Je ne peux pas te dire quand, mais je ne vivrais pas aussi longtemps que toi. Les médecins pensent que je vais mourir d’ici deux ou trois ans. Voila pourquoi notre relation est impossible. Je ne veux pas te faire souffrir et hier…, hier était une erreur, finit elle avec un soupir.
Aron n’arrivait plus a dire un mot. Le choc était resté encré en lui pendant de longues secondes mais pour lui, les raisons de Suzanna ne collait pas. Avant de lui en faire part il lui dit simplement:
-Tu n’as pas l’air malade.
-Certains membres dans mon corps prouvent le contraire. Mon état se dégradera très rapidement quelque semaine avant….
Elle ne put prononcer une fois de plus le mot qui semblait tant lui faire peur.
-Et parce que tu es malade, et que tu vas mourir dans quelques années, tu ne dois pas avoir d’histoire? S’indigna Aron. Pas d’histoire d’amour.
-Je ne veux pas te faire souffrir, s’excusa-t-elle. Encore moins toi , qu’un autre.
-Suzanna, dit Aron, la seule chose qui pourrait me faire souffrir c’est ton rejet. La seule chose qui me rendrait heureux, c’est de te voir heureuse et de t’accompagner, de faire face a ta maladie, de te faire oublier ta fatalité, de te faire vivre une histoire comme les autres. Je veux être avec toi, et t’accompagner, et profiter de toi jusqu’à ce que nos jours viendront.
-Je vais mourir dans peu de temps Aron, je mourrais avant que tu n’es atteint le quart de ta vie.
-Pleins de personnes meurent par accident et abandonnent malgré eux leurs familles, amis, amour. Tu as le droit a la même vie qu’eux avant la fin.
-eux, ne se doutent pas de leur mort, et n’ont pas le choix d’éviter de faire souffrir leur entourage, s’énerva Suzanna. Moi j’ai cette possibilité, et je veux en faire bon escient.
-la seule chose qui feront souffrir les gens, c’est que tu les évites, que tu leurs fasses se reprocher de ne pas avoir assez profité de toi lorsque tu étais encore la. Vis, s’il te plait, et vis avec moi, je t’en prie.
Après un long silence, quelqu’un frappa a la porte, et entra sans attendre de réponse.
-Hé Aron vient voir, dit un jeune homme pouffant de rire, il y en a un qui a encore voulu entrer dans une des assos! Le pauvre il est…
-Plus tard, Steeve, s’indigna Aron.
-Oh, tu as de la compagnie, dit il, je repasserais plus tard.
-Non, je dois y aller, annonça Suzanna en passant la porte, et sans se retourner.
-Attend, cria Aron. Suzanna.
***********************
-Mais elle ne répondit pas et me laissa dans le doute, annonça Aron.
Sarah et Wentworth, les yeux humides, le visage sous le choc, n’osait plus rien dire. Aucune interrogation ou affirmation, rien ne sortit de leur bouche, juste des regards gênés, déviant de droite a gauche, sans presque oser regarder Aron qui les larmes coulant le long de ses joues avait le visage crispé par ses souvenirs.
-La mort est quelque chose de terrible, mais c’est encore pire lorsque l’on sait quand et pourquoi elle arrive. Continua Aron en pleure. Je l’aimais et je l’aime toujours, et je vis pour elle, a travers sa générosité, ses sourires, son regards. Je l’aimais et je l’ai perdu. Ainsi va le temps qui efface nos espoirs et nos rêves pour les remplacer par des autres auxquels on peut continuer a croire. Elle est morte et je vis encore, elle a vécu et je veux la faire vivre a travers moi. Elle était tout. elle était un ange venu me transmettre un message de paix et de générosité. C’est comme cela que je l’ai pris car on n’enlève pas au monde une telle femme, une femme avec autant de qualité et si peu de défaut.
-Si tu veux t’arrêter la, on comprendra, dit Sarah en s’approchant de lui. Ton histoire nous intéresse mais pas au point de te voir dans cet état.
Elle s’agenouilla devant lui posa ses mains sur les genoux du jeune homme pour être a hauteur de son visage.
-Je m’en veux un peu de t’avoir ramener tout ces souvenirs.
Wentworth s’était levait et discrètement, essuya ses larmes avec sa manche, en se plaçant dos a eux, puis il se retourna comme si de rien était.
-On n’est désolé, dit il.
-Je crois que le fait de mettre retenu d’en parler, a qui que se soit, pendant tout ces années, m’a empêcher de faire mon deuil, les rassura Aron qui n’empêchait plus ses larmes de couler. La seule femme qui a réussi a me faire pleurer, c’est elle et elle continue encore aujourd’hui, (précisa-t-il avec un rire nerveux et en s‘essuyant l‘œil avec le dos de son index). Et si cela vous dérange pas, je vais continuer mon récit car je n’aime pas ne pas finir les choses que je commence. D’ailleurs, je partirais finir ma tournée de chocolat chaud après cela.
-Les chocolats chauds c’est…, commença Sarah en laissant sa fin de phrase en suspension.
-La continuité de son idée de base, oui, compléta Aron.
Wentworth se réinstalla sur le fauteuil et Sarah s’assit sur le deuxième, situé a côté. Aron reprenait son histoire en essuyant ses larmes tout en sachant qu’elles n’avaient pas finit de couler.
j'attend ta Fanfic avec impatience!
je vous ai ecrit une suite!
vive l'année 2oo7!
commencons la dans la joie et la bonne humeur:cry:
ce n'était pas calculé!! lol
voici:
Le Mystère: Aron
-J’ai mis plusieurs minutes a ouvrir la porte, expliqua Aron. Le temps de sécher mes larmes. Lorsqu’elle s’annonça, j’ai hésité a l’ouvrir parce que j’avais si peur de ce qu’elle allait me dire. Mais elle commençait a me prier. Je n’ai pas pu, et j’y suis allé. Je l’ai laissé entrer, et j’ai refermé la porte derrière elle. Je ne voulais pas que l’on voit que j’avais pleuré. J’en avais honte. Avec le temps on se rend compte qu’il n’y a pas de mal a pleurer, cela nous rend humain, alors qu’Est-ce qu’on s’en fiche des autres.
Elle, elle n’avait pas éprouvé le besoin de se cacher. Ses yeux étaient rouges, et ses joues luisantes de larmes. Cela me rassurait en un sens. Je n’étais pas seul a en souffrir. J’avais vraiment peur de ce qu’elle allait me dire. « on ne peut pas continuer comme ça, tu dois m’oublier », comment aurais je pu l’oublier? « c’est finit entre nous et ça n’aurais jamais du commencer », alors pourquoi avoir commencé? Mais ce qu’elle m’annonça était bien pire que cela.
******************
-Aron, dit elle enfin, au fond de la chambre alors que le jeune homme était toujours appuyé dos contre la porte. Je t’ai parlé de plusieurs raisons et je veux que tu les connaisses maintenant. Pour me comprendre. Pour comprendre pourquoi notre relation ne peut pas continuer.
-ai-je le droit de donner mon avis après cela? Demanda Aron avec désespoir.
-Non, hurla presque la jeune femme. Tu n’as pas le droit, je ne veux pas que tu me dictes ce que je dois faire, car je sais que c’est la meilleure solution.
-Dans un couple, on est a deux a décider, se défendit le jeune homme pour ensuite le regretter.
-Mais nous ne sommes pas un couple, annonça Suzanna sans douceur. Je ne veux pas être un couple.
-Mais pourquoi? Hurla Aron.
-Parce que je vais mourir, Cria a son tour la jeune femme.
Un long silence s’installa. Elle va mourir! Qu’Est-ce que cela signifiait? Elle va mourir? Pourquoi? Comment? Quand?
Après une longue minute, Suzanna répondit a ses questions sans lui laisser le temps de les poser.
-Je suis malade Aron, annonça elle en ayant reprit sa douceur habituelle. Je vais en mourir. Je ne peux pas te dire quand, mais je ne vivrais pas aussi longtemps que toi. Les médecins pensent que je vais mourir d’ici deux ou trois ans. Voila pourquoi notre relation est impossible. Je ne veux pas te faire souffrir et hier…, hier était une erreur, finit elle avec un soupir.
Aron n’arrivait plus a dire un mot. Le choc était resté encré en lui pendant de longues secondes mais pour lui, les raisons de Suzanna ne collait pas. Avant de lui en faire part il lui dit simplement:
-Tu n’as pas l’air malade.
-Certains membres dans mon corps prouvent le contraire. Mon état se dégradera très rapidement quelque semaine avant….
Elle ne put prononcer une fois de plus le mot qui semblait tant lui faire peur.
-Et parce que tu es malade, et que tu vas mourir dans quelques années, tu ne dois pas avoir d’histoire? S’indigna Aron. Pas d’histoire d’amour.
-Je ne veux pas te faire souffrir, s’excusa-t-elle. Encore moins toi , qu’un autre.
-Suzanna, dit Aron, la seule chose qui pourrait me faire souffrir c’est ton rejet. La seule chose qui me rendrait heureux, c’est de te voir heureuse et de t’accompagner, de faire face a ta maladie, de te faire oublier ta fatalité, de te faire vivre une histoire comme les autres. Je veux être avec toi, et t’accompagner, et profiter de toi jusqu’à ce que nos jours viendront.
-Je vais mourir dans peu de temps Aron, je mourrais avant que tu n’es atteint le quart de ta vie.
-Pleins de personnes meurent par accident et abandonnent malgré eux leurs familles, amis, amour. Tu as le droit a la même vie qu’eux avant la fin.
-eux, ne se doutent pas de leur mort, et n’ont pas le choix d’éviter de faire souffrir leur entourage, s’énerva Suzanna. Moi j’ai cette possibilité, et je veux en faire bon escient.
-la seule chose qui feront souffrir les gens, c’est que tu les évites, que tu leurs fasses se reprocher de ne pas avoir assez profité de toi lorsque tu étais encore la. Vis, s’il te plait, et vis avec moi, je t’en prie.
Après un long silence, quelqu’un frappa a la porte, et entra sans attendre de réponse.
-Hé Aron vient voir, dit un jeune homme pouffant de rire, il y en a un qui a encore voulu entrer dans une des assos! Le pauvre il est…
-Plus tard, Steeve, s’indigna Aron.
-Oh, tu as de la compagnie, dit il, je repasserais plus tard.
-Non, je dois y aller, annonça Suzanna en passant la porte, et sans se retourner.
-Attend, cria Aron. Suzanna.
***********************
-Mais elle ne répondit pas et me laissa dans le doute, annonça Aron.
Sarah et Wentworth, les yeux humides, le visage sous le choc, n’osait plus rien dire. Aucune interrogation ou affirmation, rien ne sortit de leur bouche, juste des regards gênés, déviant de droite a gauche, sans presque oser regarder Aron qui les larmes coulant le long de ses joues avait le visage crispé par ses souvenirs.
-La mort est quelque chose de terrible, mais c’est encore pire lorsque l’on sait quand et pourquoi elle arrive. Continua Aron en pleure. Je l’aimais et je l’aime toujours, et je vis pour elle, a travers sa générosité, ses sourires, son regards. Je l’aimais et je l’ai perdu. Ainsi va le temps qui efface nos espoirs et nos rêves pour les remplacer par des autres auxquels on peut continuer a croire. Elle est morte et je vis encore, elle a vécu et je veux la faire vivre a travers moi. Elle était tout. elle était un ange venu me transmettre un message de paix et de générosité. C’est comme cela que je l’ai pris car on n’enlève pas au monde une telle femme, une femme avec autant de qualité et si peu de défaut.
-Si tu veux t’arrêter la, on comprendra, dit Sarah en s’approchant de lui. Ton histoire nous intéresse mais pas au point de te voir dans cet état.
Elle s’agenouilla devant lui posa ses mains sur les genoux du jeune homme pour être a hauteur de son visage.
-Je m’en veux un peu de t’avoir ramener tout ces souvenirs.
Wentworth s’était levait et discrètement, essuya ses larmes avec sa manche, en se plaçant dos a eux, puis il se retourna comme si de rien était.
-On n’est désolé, dit il.
-Je crois que le fait de mettre retenu d’en parler, a qui que se soit, pendant tout ces années, m’a empêcher de faire mon deuil, les rassura Aron qui n’empêchait plus ses larmes de couler. La seule femme qui a réussi a me faire pleurer, c’est elle et elle continue encore aujourd’hui, (précisa-t-il avec un rire nerveux et en s‘essuyant l‘œil avec le dos de son index). Et si cela vous dérange pas, je vais continuer mon récit car je n’aime pas ne pas finir les choses que je commence. D’ailleurs, je partirais finir ma tournée de chocolat chaud après cela.
-Les chocolats chauds c’est…, commença Sarah en laissant sa fin de phrase en suspension.
-La continuité de son idée de base, oui, compléta Aron.
Wentworth se réinstalla sur le fauteuil et Sarah s’assit sur le deuxième, situé a côté. Aron reprenait son histoire en essuyant ses larmes tout en sachant qu’elles n’avaient pas finit de couler.
djolar- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Non elle peut pas etre morte
Tu sais Djolar tu as reussi a me faire pleurer la
Jveux une suite
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hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
c'est nomral que je pleure en lisant ton histoire??
vivement la suite
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lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Tout d'abord je vous souhaite une bonne et heureuse année remplie de pleins de bonnes choses!!
Ensuite je dis SUITE! C'est super!! Triste mais super!! Alors continue comme ça
Ensuite je dis SUITE! C'est super!! Triste mais super!! Alors continue comme ça
Lilymiller- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Quand j'ai lu ta suite, j'ecoutais la chanson de titanic. J'ai pleurée.
Continue, ................. ( voila j'ai même plus de force d'ecrire un coms convenable. C'est l'horreur!! )
Continue, ................. ( voila j'ai même plus de force d'ecrire un coms convenable. C'est l'horreur!! )
zenaide- Retrouve Steadman
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Localisation : en plein coeur d'un homme.......
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
génial ta suite
j'en ai les larmes
bravo une suite s t p
bonne année a toi et bonne santé aussi
j'en ai les larmes
bravo une suite s t p
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
merci, c'est pas que je suis content que vous en avez pleurer, mais je suis content que ca vous aies touché!!
voici la suite! attention aux enfants!! lol
j'attends vos impressions!!
Le Mystère: Aron
-Ma journée était fichu, continua Aron. Je gardais espoir, assit sur mon fauteuil. Je n’avais pas du tout envie d’entendre le bruit incessant de la télévision et ses nouvelles tout aussi désespérante. La nuit tombé, je n’éprouva pas le besoin d’allumer la lumière, je n’avais ni le courage d’ailleurs. Abattu comme jamais, j’attendais. Le téléphone à proximité, je me mordais l’index en regardant l’objet et en espérant le voir sonner. Je n’avais jamais été aussi vide. Je n’avais jamais trouvé le temps aussi long. Je ne pensais même plus à mes besoins, celui de me nourrir et celui de dormir. J’avais les yeux ouverts dans cette chambre plongée dans l’obscurité et je ne bougeais pas. Je ne pensais a rien, sauf a elle, à ce qu’elle venait de me dire. Cela avait dû être difficile pour elle. Mais je n’ai pensé qu’à moi. Comme un gosse pourri gâter. « Je la veux et je l’aurai » voila a quoi me faisait penser ma réaction après coup, bien que je ne voulais pas exprimer ce sentiment d’égoïsme. Je l’aimais et l’amour, cela se partage. Je ne pouvais que recevoir, et de tout façon je préférais donner. En tout cas, le téléphone n’a pas sonné cette nuit la, mais on frappa a la porte en revanche. Je ne savais pas qui cela pouvait être. Il était tard et les filles, passée une certaine heure, n’avaient pas le droit d’entrer dans les bâtiments extérieurs aux leurs. J’ai décidé d’ouvrir sur le champ. A ce moment de la nuit, cela ne pouvait être que important.
***************
-Aron, sourit timidement Suzanna qui se tenait derrière la porte, regardant de droite a gauche, et entrant sans plus attendre et sans autorisation.
-Suzanna, chuchota-t-il en refermant la porte avec douceur pour ne pas ameuter ses voisins. Qu’Est-ce que tu fais la ? Tu aurais pu te faire prendre.
Elle posa le doigt sur les lèvres du jeune homme et murmura d’une voix sensuelle et remplie de désir :
-Sais tu quelle heure il est ?
- Une heure et des poussière, pourquoi ? Demanda Aron.
-La dernière fois, nous nous sommes quitté à ce moment précis après un baiser envoûtant, continua-t-elle dans son ton suave. Je veux t’offrir ce que je ne pensais jamais offrir.
-QUOI ! S’étonna Aron.
-chuuut! Souffla-t-elle. Ne dis plus rien.
Elle l’embrassa laissant Aron désarmé. Le baiser, plus langoureux que leur dernier, les emmena se balader dans la pièce. Elle lui retira tout d’abord sa chemise, il ne savait plus quoi faire.
***************
-Croyez moi ou non, ce n’était pas ma première fois, affirma Aron. Et c’est elle qui m’a guidé. Au départ, je ne cessais de penser que c’était mal, qu’elle ne réfléchissait pas à cet acte. Qu’elle faisait une erreur et que je devais peut être la repousser, mais au fil du temps, on sait lorsqu’une personne est sûre d’elle.
***************
Torse nu, Aron hésita avant de retirer le débardeur de la jeune femme, ce n’est qu’après qu’il se ravisa :
-Suzanna, dit il en essayant de les décrocher de leur baiser, mais ne il ne put prononcer sa phrase sans que leurs lèvres ne se touchent après chaque mots. Es... tu…sûre de …toi ?
Pour répondre à sa question, elle lui arracha la ceinture tout en continuant à l’embrasser. Il lui dégrafa son soutien gorge, et la chaleur de leurs corps se mélangea leurs donnant un frisson de plaisir.
Aron sentit à ses jambes le lit qui lui fit perdre l’équilibre et l’asseoir de force. Elle n’attendit pas pour lui sauter dessus, embrasser son torse, puis remonta vers sa bouche en lui lançant enfin un regard de crainte.
Lui n’attendait que cela. Ce regard signifiait toute la sensibilité qu’il avait toujours espéré d’elle. Elle avait peur. Peur de la première fois, et elle lui fit enfin sentir. Ce n’était pas un virement de situation pour Aron, mais un passage obligatoire.
Accoudé sur le matelas, il lui caressa le visage et lui sourit. Il ne fallut que cela pour la rassurer. Elle l’embrassa de nouveau.
Après quelques minutes, le frottement délicat de leurs corps sous la couverture, donnait un mélange de plaisir et de douleur. « C’est toujours comme cela la première fois » avait murmuré Aron a l’oreille de Suzanna pour la rassurer en devinant la panique qui s’exprimait dans son regard. « Je t’aime » avait il chuchoté quelques minutes après. Leurs corps avaient fusionnés et tout les deux avaient éprouvé un plaisir qu’ils n’avaient jamais connu. Même Aron n’avait jamais ressentit cela. C’était comme une première fois pour lui. La première fois que tout son corps s’était comme engourdit d‘extase.
**********
-C’était un moment magique, qui nous a transporté très loin de ce monde, avoua Aron. Elle ne l’a pas dit, car je ne lui ai pas demandé, mais cela se lisait dans ces yeux. Elle a posé sa tête sur ma poitrine et malgré l’heure tardive, nous avons discuté. Pas de ce qui venait de se passer, mais de nous.
**********
-Pourquoi tu as changé d’avis ? Demanda Aron regardant le plafond.
-Pour ce que tu m’as dis tout a l’heure. Lui répondit elle. Ce que tu m’as avoué aussi. J’ai réfléchit et si tu souffre vraiment sans moi, alors je me dois de te suite durant ces quelques années, finit elle.
Aron sentit le sourire de la jeune femme sur sa poitrine. Mais lui ne put la suivre. Une larme coula le long de sa joue pour se perdre dans les draps.
-Je suis désolé d’une telle situation, dit elle comme si elle devinait les souffrances de Aron.
-Tu n’y peux rien, c’est la vie qui est parfois cruelle. Mais promets moi de ne pas me quitter, je veux dire, par le cœur.
-je te le promets.
Elle releva la tête, le regarda avec un sourire, et l’embrassa. Puis elle plaça sa tête sur son épaule pour voir son visage lorsqu’il répondrait à sa question :
-Pourquoi tu m’aimes ?
- La question existentielle ! Ironisa Aron. Je pense que c’est parce que tu es la femme la plus généreuse que je connaisse, la plus belle de toutes aussi, et ce qui me plait encore plus depuis quelques heures, c’est que tu penses aux autres avant de penser a toi, alors que tes…années sont comptées.
Elle sourit de nouveau et un petit silence s’installa avant qu’elle ne demande :
-tu ne veux pas savoir ce qui m’a plus chez toi ?
-Non, protesta-t-il une fois de plus dans l’ironie. C’est meilleur d’être aimé sans savoir pourquoi. Mais si tu veux me le dire, ne te gêne pas.
Elle ria et annonça en parcourant de ses doigt le torse du jeune homme :
-hé bien, j’ai était séduite par ton côté…borné.
-Je ne suis pas borné, annonça Aron avec un petit rire, c’était juste pour toi. Parce que je suis dingue de toi.
-Mouais, répondit elle imitant un inspecteur pas convaincu des propos d‘un malfaiteur, on va essayer de te croire.
Puis :
-toujours est il que j’ai aimé ta façon de m’aborder, la façon dont tu ne reculais devant rien. Et l’homme sensible que j’ai pu connaître plus en détail au restaurant. Je n’ai plus peur de le dire maintenant : je t’aime et je souhaiterais vivre chaque seconde a tes côtés, annonça-t-elle en recevant un doux baiser sur ton front.
*************
-Ce mot, prononcé de sa bouche, raisonnait dans ma tête pendant une longue minute et ce n’était pas assez, raconta Aron. Elle m’a offert son amour le reste de sa vie. Par la suite, nous avons demandé a ce qu’elle puisse emménager dans ma chambre, après avoir longuement insisté, ils ont finit par accepter.
- Son amie ne t’en a pas voulu ? Demanda Wentworth avec un sourire. Tu lui as piqué sa colocataire.
-Non, elle était heureuse pour nous. J’ai discuté avec elle et elle me disait qu’elle n’avait jamais vu son amie aussi resplendissante.
-Mais vous êtes resté dans cette chambre pendant trois ans ? Demanda Sarah. Je veux dire, vous n’avez pas rêvé d’une vie meilleure ?
-C’est marrant que tu me dises ça, sourit Aron. J’allais y venir. C’est la que mes parents entrent en scène.
-Ouille ! Laissa échapper Wentworth avec une petite grimace.
-en effet, répondit Aron. Ce n’était pas une mince affaire.
voici la suite! attention aux enfants!! lol
j'attends vos impressions!!
Le Mystère: Aron
-Ma journée était fichu, continua Aron. Je gardais espoir, assit sur mon fauteuil. Je n’avais pas du tout envie d’entendre le bruit incessant de la télévision et ses nouvelles tout aussi désespérante. La nuit tombé, je n’éprouva pas le besoin d’allumer la lumière, je n’avais ni le courage d’ailleurs. Abattu comme jamais, j’attendais. Le téléphone à proximité, je me mordais l’index en regardant l’objet et en espérant le voir sonner. Je n’avais jamais été aussi vide. Je n’avais jamais trouvé le temps aussi long. Je ne pensais même plus à mes besoins, celui de me nourrir et celui de dormir. J’avais les yeux ouverts dans cette chambre plongée dans l’obscurité et je ne bougeais pas. Je ne pensais a rien, sauf a elle, à ce qu’elle venait de me dire. Cela avait dû être difficile pour elle. Mais je n’ai pensé qu’à moi. Comme un gosse pourri gâter. « Je la veux et je l’aurai » voila a quoi me faisait penser ma réaction après coup, bien que je ne voulais pas exprimer ce sentiment d’égoïsme. Je l’aimais et l’amour, cela se partage. Je ne pouvais que recevoir, et de tout façon je préférais donner. En tout cas, le téléphone n’a pas sonné cette nuit la, mais on frappa a la porte en revanche. Je ne savais pas qui cela pouvait être. Il était tard et les filles, passée une certaine heure, n’avaient pas le droit d’entrer dans les bâtiments extérieurs aux leurs. J’ai décidé d’ouvrir sur le champ. A ce moment de la nuit, cela ne pouvait être que important.
***************
-Aron, sourit timidement Suzanna qui se tenait derrière la porte, regardant de droite a gauche, et entrant sans plus attendre et sans autorisation.
-Suzanna, chuchota-t-il en refermant la porte avec douceur pour ne pas ameuter ses voisins. Qu’Est-ce que tu fais la ? Tu aurais pu te faire prendre.
Elle posa le doigt sur les lèvres du jeune homme et murmura d’une voix sensuelle et remplie de désir :
-Sais tu quelle heure il est ?
- Une heure et des poussière, pourquoi ? Demanda Aron.
-La dernière fois, nous nous sommes quitté à ce moment précis après un baiser envoûtant, continua-t-elle dans son ton suave. Je veux t’offrir ce que je ne pensais jamais offrir.
-QUOI ! S’étonna Aron.
-chuuut! Souffla-t-elle. Ne dis plus rien.
Elle l’embrassa laissant Aron désarmé. Le baiser, plus langoureux que leur dernier, les emmena se balader dans la pièce. Elle lui retira tout d’abord sa chemise, il ne savait plus quoi faire.
***************
-Croyez moi ou non, ce n’était pas ma première fois, affirma Aron. Et c’est elle qui m’a guidé. Au départ, je ne cessais de penser que c’était mal, qu’elle ne réfléchissait pas à cet acte. Qu’elle faisait une erreur et que je devais peut être la repousser, mais au fil du temps, on sait lorsqu’une personne est sûre d’elle.
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Torse nu, Aron hésita avant de retirer le débardeur de la jeune femme, ce n’est qu’après qu’il se ravisa :
-Suzanna, dit il en essayant de les décrocher de leur baiser, mais ne il ne put prononcer sa phrase sans que leurs lèvres ne se touchent après chaque mots. Es... tu…sûre de …toi ?
Pour répondre à sa question, elle lui arracha la ceinture tout en continuant à l’embrasser. Il lui dégrafa son soutien gorge, et la chaleur de leurs corps se mélangea leurs donnant un frisson de plaisir.
Aron sentit à ses jambes le lit qui lui fit perdre l’équilibre et l’asseoir de force. Elle n’attendit pas pour lui sauter dessus, embrasser son torse, puis remonta vers sa bouche en lui lançant enfin un regard de crainte.
Lui n’attendait que cela. Ce regard signifiait toute la sensibilité qu’il avait toujours espéré d’elle. Elle avait peur. Peur de la première fois, et elle lui fit enfin sentir. Ce n’était pas un virement de situation pour Aron, mais un passage obligatoire.
Accoudé sur le matelas, il lui caressa le visage et lui sourit. Il ne fallut que cela pour la rassurer. Elle l’embrassa de nouveau.
Après quelques minutes, le frottement délicat de leurs corps sous la couverture, donnait un mélange de plaisir et de douleur. « C’est toujours comme cela la première fois » avait murmuré Aron a l’oreille de Suzanna pour la rassurer en devinant la panique qui s’exprimait dans son regard. « Je t’aime » avait il chuchoté quelques minutes après. Leurs corps avaient fusionnés et tout les deux avaient éprouvé un plaisir qu’ils n’avaient jamais connu. Même Aron n’avait jamais ressentit cela. C’était comme une première fois pour lui. La première fois que tout son corps s’était comme engourdit d‘extase.
**********
-C’était un moment magique, qui nous a transporté très loin de ce monde, avoua Aron. Elle ne l’a pas dit, car je ne lui ai pas demandé, mais cela se lisait dans ces yeux. Elle a posé sa tête sur ma poitrine et malgré l’heure tardive, nous avons discuté. Pas de ce qui venait de se passer, mais de nous.
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-Pourquoi tu as changé d’avis ? Demanda Aron regardant le plafond.
-Pour ce que tu m’as dis tout a l’heure. Lui répondit elle. Ce que tu m’as avoué aussi. J’ai réfléchit et si tu souffre vraiment sans moi, alors je me dois de te suite durant ces quelques années, finit elle.
Aron sentit le sourire de la jeune femme sur sa poitrine. Mais lui ne put la suivre. Une larme coula le long de sa joue pour se perdre dans les draps.
-Je suis désolé d’une telle situation, dit elle comme si elle devinait les souffrances de Aron.
-Tu n’y peux rien, c’est la vie qui est parfois cruelle. Mais promets moi de ne pas me quitter, je veux dire, par le cœur.
-je te le promets.
Elle releva la tête, le regarda avec un sourire, et l’embrassa. Puis elle plaça sa tête sur son épaule pour voir son visage lorsqu’il répondrait à sa question :
-Pourquoi tu m’aimes ?
- La question existentielle ! Ironisa Aron. Je pense que c’est parce que tu es la femme la plus généreuse que je connaisse, la plus belle de toutes aussi, et ce qui me plait encore plus depuis quelques heures, c’est que tu penses aux autres avant de penser a toi, alors que tes…années sont comptées.
Elle sourit de nouveau et un petit silence s’installa avant qu’elle ne demande :
-tu ne veux pas savoir ce qui m’a plus chez toi ?
-Non, protesta-t-il une fois de plus dans l’ironie. C’est meilleur d’être aimé sans savoir pourquoi. Mais si tu veux me le dire, ne te gêne pas.
Elle ria et annonça en parcourant de ses doigt le torse du jeune homme :
-hé bien, j’ai était séduite par ton côté…borné.
-Je ne suis pas borné, annonça Aron avec un petit rire, c’était juste pour toi. Parce que je suis dingue de toi.
-Mouais, répondit elle imitant un inspecteur pas convaincu des propos d‘un malfaiteur, on va essayer de te croire.
Puis :
-toujours est il que j’ai aimé ta façon de m’aborder, la façon dont tu ne reculais devant rien. Et l’homme sensible que j’ai pu connaître plus en détail au restaurant. Je n’ai plus peur de le dire maintenant : je t’aime et je souhaiterais vivre chaque seconde a tes côtés, annonça-t-elle en recevant un doux baiser sur ton front.
*************
-Ce mot, prononcé de sa bouche, raisonnait dans ma tête pendant une longue minute et ce n’était pas assez, raconta Aron. Elle m’a offert son amour le reste de sa vie. Par la suite, nous avons demandé a ce qu’elle puisse emménager dans ma chambre, après avoir longuement insisté, ils ont finit par accepter.
- Son amie ne t’en a pas voulu ? Demanda Wentworth avec un sourire. Tu lui as piqué sa colocataire.
-Non, elle était heureuse pour nous. J’ai discuté avec elle et elle me disait qu’elle n’avait jamais vu son amie aussi resplendissante.
-Mais vous êtes resté dans cette chambre pendant trois ans ? Demanda Sarah. Je veux dire, vous n’avez pas rêvé d’une vie meilleure ?
-C’est marrant que tu me dises ça, sourit Aron. J’allais y venir. C’est la que mes parents entrent en scène.
-Ouille ! Laissa échapper Wentworth avec une petite grimace.
-en effet, répondit Aron. Ce n’était pas une mince affaire.
djolar- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 21/11/2006
...
waw tro romantik ta fic je l'adore vraiment bravo
stp envoie nous la suite!!!
stp envoie nous la suite!!!
fan77- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 18
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
tres romantique
j'adore ta suite
vivement la suite
hate la lire
j'adore ta suite
vivement la suite
hate la lire
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Super suite. Je ne suis pas trés original mais bravo et viite la suite mdr!!!!
mimi06- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 49
Age : 32
Date d'inscription : 24/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Djolar jsuis encore sous le choc la
C'est genial
C'est genial
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
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Date d'inscription : 04/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Tu vas me faire pleurer tu sais!! C'est trop beau!!! Continue!
Lilymiller- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : France
Date d'inscription : 28/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
C'est ....... comment dire Génial, sublime, touchant...
Je t'envie de temps en temps pour tes fics.
N'arrète pas STP, t'est trops fort.
Je t'envie de temps en temps pour tes fics.
N'arrète pas STP, t'est trops fort.
zenaide- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
Cela fait un moment que nous n'avons pas eu de suite!!! Je sais que les cours on repris pour toi comme pour beaucoup mais voilà moi j'aimerai bien avoir une suite aussi petite soit-elle si tu n'as pas le temps!!! Enfin voilà quoi suite!
Lilymiller- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 45
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Date d'inscription : 28/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
desolé pour le retard!
Merci beaucoup!
voici la suite pourlaquel j'ai longtemps réfléchit!
ca donne pas le résultat que je voulais!
mais bon, j'espere que vous aimerez!!
Le Mystère: Aron
-Comment tes parents ont su pour votre histoire? Demanda Sarah. Tu étais majeur, je ne pense pas que tu avais besoin de leur autorisation pour qu’elle emménage dans ta chambre d’université.
-C’est moi qu’il leur ai dit, l’informa Aron. Et j’ai été les voir pour leur demander une faveur.
-Houla, en plus, lassa échapper Wentworth en plein dans l’histoire.
-Mon but était de leur demander de m’avancer le loyer d’une magnifique maison que j’avais repéré non loin de l’université.
-Houla, pas une mince affaire tu dis? Ça relève du domaine de l’impossible après la description de tes parents.
-Rien n’est impossible pour moi, annonça Aron, puis d’un air triste et presque absent. Sauf lorsqu’il s’agit de repousser la mort.
Sarah et Wentworth n’osèrent prononcer un mot et le regardèrent avec compassion.
-J’ai donc frappé a la porte de mes parents un mois de novembre, commenca-t-il a raconter. Cela faisait deux mois que Suzanna et moi étions ensemble dans notre chambre d’université. Ce jour la, elle m’avait supplié de la laisser dans la voiture. Et j’ai pensé que cela était une bonne idée. Lorsqu’ils m’ouvrirent, des sourires se tracèrent sur leurs visages, et dans ma tête je ne cessais de penser « pendant combien de temps? »
***************
-Bonjour, dit Aron a ses parents tout sourire qui lui faisaient signe de rentrer.
Ils parcoururent la maison jusqu’au salon puis Aron s’assit sur le canapé, accompagné par sa mère. Son père choisit le fauteuil et demanda aussitôt:
-Alors comment se passent tes cours?
-Bien, annonça Aron. Mais je ne suis pas la pour parler de ça. Dit il en pensant que le plus tôt serait le mieux.
-Nous redoutions ce moment, l’informa sa mère. Tu veux quelques choses a boire, lui proposa-t-elle calmement.
-un jus de fruit s’il te plait, et comment ça vous vous en doutiez?
Il se reprocha très vite d’être aller trop vite. Il aurait du leur parler, comme le font les gens qui ne se sont pas vu depuis deux mois, et petit a petit il aurait amené le sujet a la discussion. Mais savoir qu’il n’était la que pour demander une faveur a ses parents, lui était insupportable. Il le fallait pourtant, pour lui, pour elle, pour eux deux. Mais c’était très difficile a avouer, et cela n’était pas chose aisé de demander une telle chose a ses parents car ils savaient qu’ils seraient en désaccord total avec lui. C’est pour cela qu’il jugea nécessaire d’être honnête avec eux dès le début.
-Nous nous doutions, car nous avons été jeune avant toi, fiston, annonça son père avec un très léger sourire. Nous avons fait des erreurs, et nous ne souhaitons pas que tu fasses de même.
-quoi! s’indigna Aron. Mais regardez votre vie! Elle est parfaite. Vous avez une superbe situation.
-Nous avons une superbe situation, mais après combien d’années de galère, expliqua-t-il. Nous voulons t’évitez ses années si dure. C’est pour ton bien.
-Mais je peux savoir de quoi on parle? demanda Aron. Quelle erreur?
-et bien d’abandonner les études pour une femme.
-Ah non, je ne veux pas abandonner mes études, en ria Aron, je veux simplement vivre avec elle.
Sa mère refit surface dans la pièce, un plateau a la main qu’elle posa sur une table basse, en face de son fils qui lui sourit:
-merci maman.
-C’est bien ce que ton père dit Aron, tu veux abandonner tes études, affirma-t-elle.
-non, protesta-t-il.
-L’amour est souvent la cause des baisses de résultats, voir des échecs dans les études. C’est un suicide pour ta carrière, reprit elle. Tu vas droit a ta perte.
-Vous ne comprenez pas, je l’aime, s’indigna-t-il. C’est de ne pas vivre avec elle qui me dirigerait droit vers ma perte, comme tu dis.
-Tu crois cela, mon chéri, mais l’amour rend aveugle. Il faut ouvrir les yeux, et l’oublier un moment pour se poser, c’est ça le but de la vie.
-On a pas la même vision des choses maman.
-Ecoute un peu ta mère, insista son père. Nous avons fait cette erreur, et aujourd’hui nous nous en voulons pour ce que l’on a enduré.
-c’est surréaliste, ria nerveusement le jeune homme, votre discours est surréaliste. Vous n’avez jamais pensé que vous vous seriez peut être manqué si vous n’aviez pas fait ce choix? Que vous auriez peut être été dans la même situation mais seul ensuite pour la dépasser?
Les deux parents restèrent silencieux puis le père annonça:
-nous ne parlons pas de notre passé mais de ton avenir.
-Hé bien, je vais vous dire ce que va être mon avenir, s’énerva Aron. Ce sera un avenir que j’aurai choisit et non mes parents. Je veux vivre avec la femme que j’aime et vous ne m’en empêcherez pas, ça c’est certain. Je suis venu ici pour vous demandez quelque chose que je pensais insensé mais finalement il se trouve que c’est votre conversation qui est insensé.
-Et quelle est cette demande insensé, demanda sa mère inquiète?
-Je voulais vous demander de l’argent, annonça-t-il presque gêné. Un forte somme d’argent.
-A quoi cela te servirait? L’interrogea son père.
Aron se leva et dit en faisant les cents pas:
-Je veux louer une maison, mais j’ai besoin d’une avance.
-Quoi! S’indigna son père. C’est quoi cette histoire? Une maison? Pourquoi?
-Je veux y emménager avec ma compagne.
-Quoi! Répéta son père dépité.
Sa mère s’assit sur le canapé. Ses forces semblaient l’avoir abandonné face a cette révélation.
-Il en est hors de question, annonça son mari en colère.
-Que tu le veuilles ou non je trouverais un moyen, s’énerva Aron.
Ils restèrent silencieux un moment, se regardant droit dans les yeux avec une rage certaine.
-Mais qu’Est-ce qui t’arrives Aron, tu étais si concentré sur tes études. Tu as le temps pour une maison, tu as le temps pour ton histoire d’amour. L’informa tendrement sa mère pour relâcher la tension qui s’était installé dans la pièce.
Sans quitter son père des yeux, Aron répondit:
-Justement le temps, je ne l’ai pas. C’est bien la seule chose que je voudrais.
La tristesse l’envahit, mais en entrant dans cette maison, il s’était promis de ne pas montrer son désespoir, son désarroi face a la réalité qui s’écoulait, laissant passer le temps sur des moments aussi pénible que cela. Si il avait eu le choix, il ne serait pas venu. Il s’avança vers la porte d’entrée pour sortir de la maison, sans regarder son père, ni sa mère, décidé a ne plus leur demander quoi que ce soit d’aussi grotesque, car cela l’était pour lui.
Son père le rattrapa et lui saisit le bras:
-Qu’Est-ce que tu entends par la?
Aron se dégagea de son père d’un mouvement brusque et expliqua sans plus d‘espoir:
-La femme que j’aime va mourir dans peu de temps. Elle est atteint d’une maladie irréversible, et je veux vivre avec elle le temps qu’elle vivra. Vous avez tort vous savez, vous n’avez pas vécu ce que je vis, et je referais vos erreurs, mais pour moi ce n’en seront pas, pour moi se sera une chance, une chance a saisir durant les quelques années qu’elle vivra, durant les quelques années qu‘il nous restera. Je suis désolé de vous avoir ennuyez.
**********************
-Je suis partie en furie, et soulagé, annonça Aron. Parce que je leur avait dit. Je leur avait dit ce que je mettais empêché de dire a tout le monde. Et finalement ça m’a fait du bien. J’ai rejoins Suzanna dans la voiture, qui n’avait vraiment pas voulu sortir. Je lui expliquais le tout, sans qu’elle me le demande réellement et elle n’a rien dit. Ni déçu, ni surprise. On est repartit a l’université et pour ma part j’ai cherché un emploi. Mais soyons honnête, avec un salaire d’étudiant louer une maison était impossible.
-Comment tu as fait alors? Demanda Sarah.
-Mes parents se sont présenté a notre chambre. Expliqua-t-il. Moi j’étais en cours. C’est Suzanna qui leur a ouvert.
Wentworth fit la grimace.
-Ils lui ont donné une enveloppe, continua Aron. Et dedans, se trouvait un chèque avec une forte somme. Et une lettre. A mon retour, je l’ai lu, bien entendu. Cela expliquait que cette argent venait en partie d’un compte bloqué. Venant d’une famille assez aisé, celle ci m’avait versé de l’argent a mes anniversaires dans ce compte pendant mes vingt et uns ans d’existence, et la somme n’était pas mince. De quoi louer une maison pendant de longues années. C’était encore une fois surréaliste, mais ma famille était comme ça. L’argent était le plus beau des cadeaux, pendant que moi je pensais et pense encore que le temps est plus important.
-Vous avez donc acheté cette maison? Celle que vous aviez repéré? Demanda Sarah.
-hé oui, et nous avons vécu heureux dans celle-ci.
La sonnette de la maison retentit, ce qui fit sursauté a peu près tout le monde. Il regardèrent la porte, craignant le pire. Sarah s’approcha lentement de celle ci. Elle parcoura l’appartement du regard, cherchant un objet que son mari aurait pu oublié. Elle regarda ensuite dans l’optique, mais un couloir vide s’offrait a elle. Elle saisit la poignet, la tourna et ouvrit la porte. Elle fut surprise par un homme relaçant sa chaussures. Il releva la tête et la jeune fille pu reconnaître Dominic. Un soulagement l’envahit:
-Dominic? Dit Sarah. Qu’Est-ce que tu fais la? Et à cette heure tardive?
Merci beaucoup!
voici la suite pourlaquel j'ai longtemps réfléchit!
ca donne pas le résultat que je voulais!
mais bon, j'espere que vous aimerez!!
Le Mystère: Aron
-Comment tes parents ont su pour votre histoire? Demanda Sarah. Tu étais majeur, je ne pense pas que tu avais besoin de leur autorisation pour qu’elle emménage dans ta chambre d’université.
-C’est moi qu’il leur ai dit, l’informa Aron. Et j’ai été les voir pour leur demander une faveur.
-Houla, en plus, lassa échapper Wentworth en plein dans l’histoire.
-Mon but était de leur demander de m’avancer le loyer d’une magnifique maison que j’avais repéré non loin de l’université.
-Houla, pas une mince affaire tu dis? Ça relève du domaine de l’impossible après la description de tes parents.
-Rien n’est impossible pour moi, annonça Aron, puis d’un air triste et presque absent. Sauf lorsqu’il s’agit de repousser la mort.
Sarah et Wentworth n’osèrent prononcer un mot et le regardèrent avec compassion.
-J’ai donc frappé a la porte de mes parents un mois de novembre, commenca-t-il a raconter. Cela faisait deux mois que Suzanna et moi étions ensemble dans notre chambre d’université. Ce jour la, elle m’avait supplié de la laisser dans la voiture. Et j’ai pensé que cela était une bonne idée. Lorsqu’ils m’ouvrirent, des sourires se tracèrent sur leurs visages, et dans ma tête je ne cessais de penser « pendant combien de temps? »
***************
-Bonjour, dit Aron a ses parents tout sourire qui lui faisaient signe de rentrer.
Ils parcoururent la maison jusqu’au salon puis Aron s’assit sur le canapé, accompagné par sa mère. Son père choisit le fauteuil et demanda aussitôt:
-Alors comment se passent tes cours?
-Bien, annonça Aron. Mais je ne suis pas la pour parler de ça. Dit il en pensant que le plus tôt serait le mieux.
-Nous redoutions ce moment, l’informa sa mère. Tu veux quelques choses a boire, lui proposa-t-elle calmement.
-un jus de fruit s’il te plait, et comment ça vous vous en doutiez?
Il se reprocha très vite d’être aller trop vite. Il aurait du leur parler, comme le font les gens qui ne se sont pas vu depuis deux mois, et petit a petit il aurait amené le sujet a la discussion. Mais savoir qu’il n’était la que pour demander une faveur a ses parents, lui était insupportable. Il le fallait pourtant, pour lui, pour elle, pour eux deux. Mais c’était très difficile a avouer, et cela n’était pas chose aisé de demander une telle chose a ses parents car ils savaient qu’ils seraient en désaccord total avec lui. C’est pour cela qu’il jugea nécessaire d’être honnête avec eux dès le début.
-Nous nous doutions, car nous avons été jeune avant toi, fiston, annonça son père avec un très léger sourire. Nous avons fait des erreurs, et nous ne souhaitons pas que tu fasses de même.
-quoi! s’indigna Aron. Mais regardez votre vie! Elle est parfaite. Vous avez une superbe situation.
-Nous avons une superbe situation, mais après combien d’années de galère, expliqua-t-il. Nous voulons t’évitez ses années si dure. C’est pour ton bien.
-Mais je peux savoir de quoi on parle? demanda Aron. Quelle erreur?
-et bien d’abandonner les études pour une femme.
-Ah non, je ne veux pas abandonner mes études, en ria Aron, je veux simplement vivre avec elle.
Sa mère refit surface dans la pièce, un plateau a la main qu’elle posa sur une table basse, en face de son fils qui lui sourit:
-merci maman.
-C’est bien ce que ton père dit Aron, tu veux abandonner tes études, affirma-t-elle.
-non, protesta-t-il.
-L’amour est souvent la cause des baisses de résultats, voir des échecs dans les études. C’est un suicide pour ta carrière, reprit elle. Tu vas droit a ta perte.
-Vous ne comprenez pas, je l’aime, s’indigna-t-il. C’est de ne pas vivre avec elle qui me dirigerait droit vers ma perte, comme tu dis.
-Tu crois cela, mon chéri, mais l’amour rend aveugle. Il faut ouvrir les yeux, et l’oublier un moment pour se poser, c’est ça le but de la vie.
-On a pas la même vision des choses maman.
-Ecoute un peu ta mère, insista son père. Nous avons fait cette erreur, et aujourd’hui nous nous en voulons pour ce que l’on a enduré.
-c’est surréaliste, ria nerveusement le jeune homme, votre discours est surréaliste. Vous n’avez jamais pensé que vous vous seriez peut être manqué si vous n’aviez pas fait ce choix? Que vous auriez peut être été dans la même situation mais seul ensuite pour la dépasser?
Les deux parents restèrent silencieux puis le père annonça:
-nous ne parlons pas de notre passé mais de ton avenir.
-Hé bien, je vais vous dire ce que va être mon avenir, s’énerva Aron. Ce sera un avenir que j’aurai choisit et non mes parents. Je veux vivre avec la femme que j’aime et vous ne m’en empêcherez pas, ça c’est certain. Je suis venu ici pour vous demandez quelque chose que je pensais insensé mais finalement il se trouve que c’est votre conversation qui est insensé.
-Et quelle est cette demande insensé, demanda sa mère inquiète?
-Je voulais vous demander de l’argent, annonça-t-il presque gêné. Un forte somme d’argent.
-A quoi cela te servirait? L’interrogea son père.
Aron se leva et dit en faisant les cents pas:
-Je veux louer une maison, mais j’ai besoin d’une avance.
-Quoi! S’indigna son père. C’est quoi cette histoire? Une maison? Pourquoi?
-Je veux y emménager avec ma compagne.
-Quoi! Répéta son père dépité.
Sa mère s’assit sur le canapé. Ses forces semblaient l’avoir abandonné face a cette révélation.
-Il en est hors de question, annonça son mari en colère.
-Que tu le veuilles ou non je trouverais un moyen, s’énerva Aron.
Ils restèrent silencieux un moment, se regardant droit dans les yeux avec une rage certaine.
-Mais qu’Est-ce qui t’arrives Aron, tu étais si concentré sur tes études. Tu as le temps pour une maison, tu as le temps pour ton histoire d’amour. L’informa tendrement sa mère pour relâcher la tension qui s’était installé dans la pièce.
Sans quitter son père des yeux, Aron répondit:
-Justement le temps, je ne l’ai pas. C’est bien la seule chose que je voudrais.
La tristesse l’envahit, mais en entrant dans cette maison, il s’était promis de ne pas montrer son désespoir, son désarroi face a la réalité qui s’écoulait, laissant passer le temps sur des moments aussi pénible que cela. Si il avait eu le choix, il ne serait pas venu. Il s’avança vers la porte d’entrée pour sortir de la maison, sans regarder son père, ni sa mère, décidé a ne plus leur demander quoi que ce soit d’aussi grotesque, car cela l’était pour lui.
Son père le rattrapa et lui saisit le bras:
-Qu’Est-ce que tu entends par la?
Aron se dégagea de son père d’un mouvement brusque et expliqua sans plus d‘espoir:
-La femme que j’aime va mourir dans peu de temps. Elle est atteint d’une maladie irréversible, et je veux vivre avec elle le temps qu’elle vivra. Vous avez tort vous savez, vous n’avez pas vécu ce que je vis, et je referais vos erreurs, mais pour moi ce n’en seront pas, pour moi se sera une chance, une chance a saisir durant les quelques années qu’elle vivra, durant les quelques années qu‘il nous restera. Je suis désolé de vous avoir ennuyez.
**********************
-Je suis partie en furie, et soulagé, annonça Aron. Parce que je leur avait dit. Je leur avait dit ce que je mettais empêché de dire a tout le monde. Et finalement ça m’a fait du bien. J’ai rejoins Suzanna dans la voiture, qui n’avait vraiment pas voulu sortir. Je lui expliquais le tout, sans qu’elle me le demande réellement et elle n’a rien dit. Ni déçu, ni surprise. On est repartit a l’université et pour ma part j’ai cherché un emploi. Mais soyons honnête, avec un salaire d’étudiant louer une maison était impossible.
-Comment tu as fait alors? Demanda Sarah.
-Mes parents se sont présenté a notre chambre. Expliqua-t-il. Moi j’étais en cours. C’est Suzanna qui leur a ouvert.
Wentworth fit la grimace.
-Ils lui ont donné une enveloppe, continua Aron. Et dedans, se trouvait un chèque avec une forte somme. Et une lettre. A mon retour, je l’ai lu, bien entendu. Cela expliquait que cette argent venait en partie d’un compte bloqué. Venant d’une famille assez aisé, celle ci m’avait versé de l’argent a mes anniversaires dans ce compte pendant mes vingt et uns ans d’existence, et la somme n’était pas mince. De quoi louer une maison pendant de longues années. C’était encore une fois surréaliste, mais ma famille était comme ça. L’argent était le plus beau des cadeaux, pendant que moi je pensais et pense encore que le temps est plus important.
-Vous avez donc acheté cette maison? Celle que vous aviez repéré? Demanda Sarah.
-hé oui, et nous avons vécu heureux dans celle-ci.
La sonnette de la maison retentit, ce qui fit sursauté a peu près tout le monde. Il regardèrent la porte, craignant le pire. Sarah s’approcha lentement de celle ci. Elle parcoura l’appartement du regard, cherchant un objet que son mari aurait pu oublié. Elle regarda ensuite dans l’optique, mais un couloir vide s’offrait a elle. Elle saisit la poignet, la tourna et ouvrit la porte. Elle fut surprise par un homme relaçant sa chaussures. Il releva la tête et la jeune fille pu reconnaître Dominic. Un soulagement l’envahit:
-Dominic? Dit Sarah. Qu’Est-ce que tu fais la? Et à cette heure tardive?
djolar- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 186
Age : 39
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
la suite la suite la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
- Nombre de messages : 418
Age : 38
Date d'inscription : 24/11/2006
Re: !.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!
vivement la suite, que vient faire dominic chez sara ?
ENCORE DU WENTSA ????
ENCORE DU WENTSA ????
collen- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 250
Date d'inscription : 21/11/2006
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