!.oO WeSa Story Oo.!.oO Le Mystère: Aron Oo.!

continue c trop génialllllllllll !!!

desol" pour les fan de la "fanfic djolar"
mais c'est Aron qui l'emporte!
Aron qui a bientot fini son histoire!
et oui, c'est presque la fin!
alors savourez les dernier moment!
en esperant que ca vous plaise!!

Le mystère: Aron



Wentworth se leva de son fauteuil et rejoignit Sarah a la porte en s’étonnant:
-Dominic?
-Ha, tu es donc bien ici, fut soulagé Dominic. Je t’ai appelé, plusieurs fois, et je suis allé chez toi, mais personne. Je suis retourné chez moi, et je t’ai rappelé et j’ai appelé ici aussi, mais pas moyen.
-Tu étais inquiet, ria Wentworth.
-Non, mentit Dominic. Enfin un peu. J’ai vu l’état dont tu avais quitté le plateau, et qui ne pourrait pas s’inquiéter? La série a besoin de toi, annonça Dominic pour se cacher derrière cette excuse. Comment vous allez vous deux?
-Oh, euh…bien, annonça Sarah. Tu veux te joindre a nous? Un ami nous raconte son histoire et c’est assez…triste en fait.
-Je remarque cela, précisa Dominic, il montra leur visage du doigt. Vous avez les visages un peu…humide!
Wentworth et Sarah se regardèrent tout en essayant leurs visages et en souriant d’un air gêné.
-Joins toi a nous, proposa Sarah, On te fera un récapitulatif .
-Oui, viens , insista Wentworth en montrant les fauteuils qui les attendaient, ainsi qu’Aron qui avait plaqué les glaçons sur son visage.
-Non, mais je ne peux pas rester.
-Son histoire est presque terminé, il doit partir pour sa mission après, précisa Sarah.
-Sa mission? Fut surpris Dominic.
-Oui, allez viens, on va t’expliquer.

Après Que Dominic et Aron fit connaissance, que Dominic s’installa sur le canapé a ses côtés, et que Sarah et Wentworth lui ai fait un récapitulatif en duo de l’histoire, Aron reprit son histoire avec un spectateur supplémentaire.



-Donc nous avons vécu heureux dans cette maison, reprit Aron. Nous ne pouvions pas être plus heureux en fait. L’université était tout prêt, nous avions trouvé un emploi de soir ou l’on travaillait ensemble. Nous étions inséparable, et nous plongions dans un bonheur intense. Nous n’aurions pas pu rêver mieux. Enfin, c’Est-ce qu’on croyez en fait. Parce qu’un jour:



******************


-Bonjour, annonça Suzanna a l’oreille de son compagnon a son réveil.
Plongé dans sa couette blanche, Aron se réveilla un sourire aux lèvres.
-Bonjour, mon ange.
Il déposa un baiser sur le front de la jeune femme.
-Tu sais que je t’aime.
La jeune femme sourit de plus belle, laissant échapper un petit rire:
-Tu me le dis chaque jour, et je te répond toujours la même chose, Moi aussi je t’aime.
-Non, mais ce que je te veux dire c’est que je t’aime, répéta-t-il. Je veux que tu le saches. Que toi et moi, c’est un amour infini. C’est un sentiment plus puissant que le temps que l’on vit là.
Suzanna perdit son sourire et ses yeux commencèrent a briller.
-Je ne mérite pas un homme comme toi, annonça-t-elle.
-Arrêtes de dire ça. Tu dis ça a chaque fois que je te dis ce que je ressens pour toi.
-Tu es si gentil, dit elle. Tu es l’homme que tout les femmes rêveraient d’avoir a leurs cotés toutes leurs vies.
-Justement a ce propos, je voulais savoir si tu m’aimais? Redemanda Aron.
-Mais oui, Je t’aime! Insista-t-elle avec un sourire. Pourquoi me poser une question dont tu connais déjà la réponse?
-Parce que je voulais en être sûre, dit il en trifouillant en dessous de son oreiller.
-Qu’Est-ce que tu fais, demanda Suzanna.
Il sortit un boîtier et l’ouvrit. Une magnifique alliance s’y cachait:
-Suzanna, Est-ce que tu veux bien m’épouser? Demanda il avec l’incertitude de la réponse.

Elle eut un geste de recul. Aron connaissait son avis sur le mariage. Elle ne s’imaginait pas être mariée, dans le sens ou elle rendrait son mari veuf au bout de quelque année. Mais il en avait tellement envie, qu’il essaya quand même avec cette tentative.
Des larmes coulaient sur le visage de la jeune femme. Ce n’ était pas la réaction que cherchait Aron. Elle regarda l’alliance pendant un bon moment, puis regarda le jeune homme:
-Oui, répondit elle. Oui je le veux.
-Tu le veux? s’exclama Aron heureux. Tu le veux vraiment?
-Oui je le veux, dit Suzanna en serrant fort le jeune homme, puis elle le regarda dans les yeux et annonça:
-Je le veux parce que c’est toi; je le veux parce que tu es le seul a me faire oublier que le temps passe, que ma maladie est présente. Je le veux parce que je ne vois que le bonheur a tes côtés, je me sens plus forte. Je le veux parce que je t’aime.
Elle embrassa Aron passionnément, puis:
-Mais a une condition.
-Laquelle? demanda Aron.
-Je veux qu’on se marie le plus vite possible.



********************


-Elle était contre le mariage, et elle s’est marié avec moi un mois après ma demande, annonça Aron. Cette relation, même avec une limite dans le temps, je ne la regrette pas, tout les jours je me réveille en pensant a elle, et en maudissant le temps de me l’avoir prise, mais j’ai vécu temps de choses fort avec cette histoire.

-Et vous êtes resté marié combien de temps? Demanda Wentworth
-Nous sommes resté marié cinq ans. Annonça Aron.
-Cinq ans? Fut il étonné. Elle ne devait pas vivre que trois ans?
-Si, répondit le jeune homme, mais les choses ont fait qu’elle s’est battu pour vivre le plus longtemps possible.

J'adore!

wouahhhhhhhhhhhhhhh toujours aussi magnifique

Contente que tu soit revenu

J'adore !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Wow c'est superbe !

Moi aussi ça me fait très plaisir que tu sois de retour!

Et voici la suisuite!!

j'ai voulu changer!
avec les petits malheurs le couple se forment un bonheur!
et la j'ai inversé, sniff
vous verrez, la vie n'est pas en rose pour eux!!



Le mystère: Aron



-Notre relation était stable, et je peux vous dire que malgré ce qui nous pesait, rien ne nous effrayait, ni nous inquiétait, jusqu’à ce jour, expliqua Aron. Je me suis réveillé, a la même heure que chaque matin, et ce fut l’un des rares moments ou Suzanna n’était pas a mes côtés. Je ne sentais pas ses cheveux me chatouiller le visage, ni sa main caresser mon torse, son souffle sur le creux de mon épaule me manquait et me mettait mal a l’aise, et le son le plus beau qui était celui de son « bonjour » ne caressa pas mon oreille ce matin la. Ou était elle, je l’ai cherché.



*************


-Suzanna, appela Aron, en entrant dans la salle de bain. Qu’Est-ce qu’il y a?
Il était inquiet, depuis quelques temps Suzanna avait changé, son état semblait se détériorer et Aron en avait peur. Comment allait il supporter tout cela. Etait-il prêt?
-Rien Aron, Je…, une larme coula sur la joue de Suzanna, et elle s’enfuit de la pièce laissant son mari dans le désespoir.

Leur relation était si parfaite, et ils s’étaient promis de tout partager de tout se dire. Sauf cette exception, cette phrase que Suzanna lui avait dit un jour, au restaurant: « Quand cela ira mal, laisse moi te faire croire que tout va bien ». C’était quelque peu raté, en fait.

Il descendit et aperçut sa femme préparant le déjeuner, essuyant ses larmes avec le revers de sa manche. Il était décider a tout partager, il voulait qu’elle lui dise que son état se détériorait, que la fin était proche, juste pour qu’il puisse s’y préparer. Il avait besoin de comprendre, de croire que leur vie était sincère, et qu’il se connaissait plus que tout ce que l’on pouvait connaître dans ce monde.
Rien n’avait changer sur leur amour depuis le début de leur histoire. Il avait subit une évolution. Et quelle évolution! Celui que tout les couple rêvaient d’avoir. Leurs expériences avaient fait d’eux un couple fort, et indestructible. Même si Suzanna voulait rien lui dire, ce n’était pas pour cela qu’il allait ne plus l’aimer; Comment ne pouvait il ne plus l’aimer?
-Suzanna, tu m’as promis de tout me dire.
-Je t’ai aussi dit que je voulais te préserver, annonça-t-elle.
-Comment veux tu me préserver en me cachant ce que tu ne veux pas me dire en ce moment? Répondit il sans une pointe de colère.
-Crois moi, c’est mieux pour nous, le rassura-t-elle. Je ne veux pas t’infliger plus de souffrance.
-Arrête, le coupa Aron. Tu crois que je ne souffrirais pas plus si tu ne m’avoues pas que ton était ne va pas en s’améliorant? Rétorqua t ‘il.
-Ce n’est pas ça. Répondit elle sur la défensive.
-Alors qu’Est-ce que c’est? Demanda-t-il en essuyant les larmes de sa femme. Qu’est que qui te mets dans cet état?

Suzanna se dégagea, Elle pleurait de plus en plus. Elle s’installa sur un tabouret a coté du bar: -Je ne veux pas en parler Aron, Je t’ai dit, je veux te préserver.
-Ecoute, dit il en regardant l’heure. Je vais prendre ma douche, et m’habiller, lorsque je reviendrais, je veux que tu m’explique, tes problèmes sont mes problèmes.
Suzanna ne répondit pas. Aron s’en alla prendre sa douche, en pensant a ce que sa femme pouvait bien lui cacher. Qu’Est-ce qui pouvait bien la mettre dans cet état? Il s’en doutait, c’était sa maladie qui était au cœur de l’histoire. Et elle voulait lui cacher. Il ne lui restait donc plus beaucoup de temps a vivre. Leurs moments étaient si précieux.

Lorsqu’il redescendit, il vit Suzanna s’apprêtant a partir sans ses affaires de cours. Que lui arrivait il? Il s’approcha d’elle rapidement, et lui saisit délicatement le bras:
-Attend, ou vas-tu? Tes affaires.
-Tu veux vraiment savoir? Demanda elle.
-Oui
-Je vais chez a l’hôpital.
Aron avait raison, la maladie était le centre de ce mal-être.
-Je t’accompagne, dit il.
-Non, s’opposa Suzanna. Je ne veux pas.
C’était sur a présent. Elle lui cachait quelque chose. Et d’après sa réaction, quelque chose de grave.
-Qu’Est-ce qui ne va pas? S’inquiéta-t-il de nouveau. Dis le moi? Je t’en supplie.
De nouveau des larmes coulèrent le long des joues de la jeune femme. Aron posa son front contre celui de Suzanna et prit entre ses mains son visage, la caressa avec ses pouces, et se mit a verser sa peine, celle de voir sa femme dans cet état:
-Dis moi ce que tu as, je t’en supplie, répéta-t-il. Dis moi ce que ma femme a, pour avoir abandonné sa gaîté et sa joie de vivre.
-Je suis enceinte, Annonça-t-elle enfin. Je suis enceinte d’un mois.
A ce moment précis, Aron craqua, il pleurait plus qu’il ne l’aurait voulu. Il pleurait comme un enfant. Qu’était ce? De la joie? du soulagement? Il ne pouvait le dire. Dans ses sanglots, il put dire:
-Pourquoi tu voulais me le cacher? Ça ne peut que me rendre heureux, tu sais?
-Aron, je vais a l’hôpital pour définir une date, annonça elle tristement, en lui caressant les joues a son tour. Une date pour me faire avorter.
Le jeune homme tomba de haut, et une nouvelle fois, les sanglots le gagna. Pourquoi? Il n’avait pas la force de lui demander dans ses secondes de désarroi, mais après un court instant, il s’y risqua:
-Pourquoi?
-On ne peut pas le garder, dit elle difficilement. Tu sais qu’elle est le problème. Il ne me reste plus longtemps.
-Il te reste assez de temps pour cet enfant, l’informa-t-il avec un mélange d’excitation et de tout ce qu’il pouvait pour la convaincre.
-Je ne peux pas, dit elle un nouvelle fois.
Elle éclata en sanglot, et Aron la prit sur une épaule.
-Je ne peux pas, pleura t’elle.
Aron la serra fort dans ses bras et lui dit, avec douleur:
-Je respecterais ton choix. Quoi que tu décides. Je t’aime, Suzanna.
-Je ne peux pas, pleura-t-elle de nouveau avec tout la force de son désespoir.




*********************



Sarah et Wentworth avaient de nouveau la larme a l’œil.
-Cela doit être difficile, dit Sarah essuyant ses larmes.
-Tu aurais pu tout avoir avec cette femme, comprit Wentworth, tout ce qu’on peut rêver.
Dominic resta silencieux.
-Ensuite, je suis partit a l’Université, et elle prit rendez vous pour son avortement. La vie redeviendrait ce qu’elle était, ni plus ni moins. C’était une épreuve de plus a passer, rien de plus.

Trop triste !!!

toujours aussi magnifique a lire