Hasard
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Hasard
Halala Magalie t'es trop forte c'est de mieux en mieux c'est trop cool la dédicace au site franchement j'y aurais pas pensé une fois c'est très bien trouver je me sens comme concerné par cette histoire de disparition Oui je soutiens Went et Sara on veut pas de doublure!!
La suite!
La suite!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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Re: Hasard
la référence au forum est vraiment bien trouver!!!!
J'adore toujours autant ta fic !!!
Vivement la suite
J'adore toujours autant ta fic !!!
Vivement la suite
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Hasard
J'ai trouvé que ça pouvait être sympa d'y faire référence. Ca coulait de source un peu parce que j'aime trop les acteurs, j'aime trop le forum, tout le monde déchire. Et puis j'essaye de me mettre dans la situation et de voir ce que j'aurais fait dans ces circonstances.
Bref, je mettrai une suite dans pas longtemps Maman trouve que je monopolise le PC donc c'est pas trop le moment. Ca me laissera le temps de réfléchir à ce que je vais leur faire subir même si je crois que la fin est proche. La fin de la fic, entendons-nous bien !
Bref, je mettrai une suite dans pas longtemps Maman trouve que je monopolise le PC donc c'est pas trop le moment. Ca me laissera le temps de réfléchir à ce que je vais leur faire subir même si je crois que la fin est proche. La fin de la fic, entendons-nous bien !
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
Salut. Ouais, ça date un peu la dernière fois que j'ai posté une suite. Mais pourquoi le temps nous file-t-il ainsi entre les doigts ? N'hésitez pas à commentez
XVIII.
- Ce chalet est splendide, Went. Je félicite ta mère de s'en occuper aussi bien. On se sent comme dans un cocon tout chaud.
Wentworth sourit en voyant le visage émerveillé de Sarah. Elle ressemblait à une gamine.
- Combien de temps allons-nous rester ? enchaîna-t-elle, par curiosité.
Wentworth prit son temps pour répondre et remua les cendres chaudes de la cheminée. Enfin il se tourna :
- Je pense qu'il vaut mieux laisser les choses se décanter. J'ose à peine imaginer l'agitation qui doit régner à Chicago. Peut-être qu'on n'aurait pas dû partir aussi précipitemment mais le mal est fait et je ne voyais pas d'autres manières de gérer la crise pour l'instant. Les journalistes doivent s'en donner à coeur-joie. J'aurais voulu que ce soit différent. Je regrette que tu aies à subir tout ça, Sarah.
- Mais je ne suis pas seule. Tu es avec moi, et c'est le plus important.
Le feu crépitait joyeusement dans l'âtre comme pour attester de leurs paroles.
- C'est pas tout, mais ton enfant crie famine.
Wentworth posa les yeux sur le ventre proéminent de la jeune femme.
- D'accord, je vais nous chercher quelque chose à manger. Ma mère laisse toujours beaucoup de provisions, c'est un vrai cordon-bleu. Regarde, dit-il depuis le garde-manger, un cake aux abricots, c'est mon préféré, dit Wentworth en salivant presque.
Il se coupa une part généreuse, une autre plus réduite pour Sarah, ce qu'elle interprêta avec humour comme un cas de fringale agravé. Une expression de pur contentement se peignit sur les traits de son compagnon quand il planta les dents dans la patisserie. Il semblait aux anges. Puis sans transition, il se mit à tousser violemment, se tenant la gorge à deux mains. Il tituba puis s'effondra sur le tapis. Son visage était rubicond. Sa respiration se faisait sifflante à présent.
- Wentworth, mon amour, que se passe-t-il ? cria Sarah.
Il ne put répondre mais désigna un placard. La jeune femme se précipita jusqu'au meuble et en inspecta rapidement le contenu. Elle comprit. Wentworth faisait une violente réaction et heureusement avait en sa possession les antiallergiques nécessaires. Sarah lui administra l'antihistaminique et ses convulsions refluèrent. Elle lui épongea le front, lui fit avaler un peu d'eau, le caressa amoureusement en le laissant récupérer des forces. Les minutes s'écoulèrent. Ce ne fut qu'en recevant un coup de pied de son enfant au travers du ventre de Sarah que Wentworth émergea de sa léthargie.
- C'est horrible Sarah. Ma mère sait que je ne dois pas consommer d'arachide. Quelqu'un a voulu m'empoisonner en quelque sorte. Nous ne sommes plus en sécurité ici. Et moi qui pensait que je pourrais vous protéger le bébé et toi, ajouta-t-il dans un souffle.
- Chut. Cesse de t'agiter, tu t'épuises inutilement. C'est vrai que nous allons sérieusement devoir réfléchir à la conduite à tenir. Nous ne pouvons fuir éternellement. J'arrive bientôt au terme de ma grossesse qui présente peut-être des risques puisque je n'ai pas consulté mon gynécologue depuis notre fuite. On ne connaît même pas le sexe du bébé. C'est ridicule.
- Qui nous veut du mal à ce point. Josh ?
- Non, je ne lui ai jamais parlé de toi, il ne connait pas ton intolérance à l'arachide.
- Des fans jaloux ?
- Je ne pense pas, Wentworth. Je suis sûre que c'est évident et que nous passons à côté de l'essentiel.
- As-tu des ennemis, Sarah ?
- Non, pas que je sache. Mais, j'y pense. Comment s'appelait ton agent, celui qui est à l'origine de notre séparation ?
- Tu parles de Spencer. J'ai appris sa mort l'année dernière. L'avion s'est crashé à cause d'un réacteur défectueux. Ca ne peut pas être lui.
Mais alors qui ?
- Non, non et non. Ca ne va pas ! s'exclama Paul Scheuring à Vin Diesel, la doublure de Michael/Wentworth.
Tu dois te tourner de 3/4 sinon la capuche ne dissimulera pas assez ton visage.
Le concerné soupira et se remit en position." Action".
Paul s'arrachait presque les cheveux. Il arrêta une nouvelle fois pour reprocher à Jamie Luner - doublure de Sara/Sarah - sa sensualité trop voyante. Les uns et les autres commençaient à désespérer. Jouer ne leur apportait plus le plaisir d'antan. Les nouveaux arrivants se sentaient de trop comme s'ils avaient usurpé la place des deux vedettes disparues.
- On fait une pause, cria le réalisateur.
Il fonça jusque dans son bureau. Chacun savsit qu'il contactait la police dès qu'il avait un moment pour retrouver la trace de Sarah et de Wentworth. Même la famille n'était pas au courant. On ne pouvait de toute manière pas leur reprocher leur discrétion. Les policiers restaient sourds aux mises en garde de Peter. Sa thèse ne tenait pas debout selon eux. Un coursier arriva et leur remit une lettre non nominative. Elle désignait l'ensemble de l'équipe ce qui éveilla des soupçons. Paul l'ouvrit et lâcha une exclamation. On put y lire l'avertissement : " Leurs jours sont comptés, rien ne pourra être fait ". L'horreur s'empara des acteurs. En leur for intérieur, ils prièrent.
C'est prodigieux, se disait l'inconnu. La sensation de puissance s'infiltrait dans ses veines. C'était bon, jouissif. Il revoyait encore le visage affolé de la beauté rousse. Mais elle avait fait preuve de sang froid et soigné l'autre, l'assasin. Lui seul n'était pas dupe de ses mimiques angéliques. Wentworth par-ci, Wentworth par-là. Que c'était agaçant cette gloire non méritée. Il paiera pour ses forfaits se dit l'homme. Il se rassit calmement en réglant la définition de ses moniteurs et de ses caméras dernier cri. C'avait été un jeu d'enfant de les installer. Ce serait un plaisir d'adulte que d'observer.
XVIII.
- Ce chalet est splendide, Went. Je félicite ta mère de s'en occuper aussi bien. On se sent comme dans un cocon tout chaud.
Wentworth sourit en voyant le visage émerveillé de Sarah. Elle ressemblait à une gamine.
- Combien de temps allons-nous rester ? enchaîna-t-elle, par curiosité.
Wentworth prit son temps pour répondre et remua les cendres chaudes de la cheminée. Enfin il se tourna :
- Je pense qu'il vaut mieux laisser les choses se décanter. J'ose à peine imaginer l'agitation qui doit régner à Chicago. Peut-être qu'on n'aurait pas dû partir aussi précipitemment mais le mal est fait et je ne voyais pas d'autres manières de gérer la crise pour l'instant. Les journalistes doivent s'en donner à coeur-joie. J'aurais voulu que ce soit différent. Je regrette que tu aies à subir tout ça, Sarah.
- Mais je ne suis pas seule. Tu es avec moi, et c'est le plus important.
Le feu crépitait joyeusement dans l'âtre comme pour attester de leurs paroles.
- C'est pas tout, mais ton enfant crie famine.
Wentworth posa les yeux sur le ventre proéminent de la jeune femme.
- D'accord, je vais nous chercher quelque chose à manger. Ma mère laisse toujours beaucoup de provisions, c'est un vrai cordon-bleu. Regarde, dit-il depuis le garde-manger, un cake aux abricots, c'est mon préféré, dit Wentworth en salivant presque.
Il se coupa une part généreuse, une autre plus réduite pour Sarah, ce qu'elle interprêta avec humour comme un cas de fringale agravé. Une expression de pur contentement se peignit sur les traits de son compagnon quand il planta les dents dans la patisserie. Il semblait aux anges. Puis sans transition, il se mit à tousser violemment, se tenant la gorge à deux mains. Il tituba puis s'effondra sur le tapis. Son visage était rubicond. Sa respiration se faisait sifflante à présent.
- Wentworth, mon amour, que se passe-t-il ? cria Sarah.
Il ne put répondre mais désigna un placard. La jeune femme se précipita jusqu'au meuble et en inspecta rapidement le contenu. Elle comprit. Wentworth faisait une violente réaction et heureusement avait en sa possession les antiallergiques nécessaires. Sarah lui administra l'antihistaminique et ses convulsions refluèrent. Elle lui épongea le front, lui fit avaler un peu d'eau, le caressa amoureusement en le laissant récupérer des forces. Les minutes s'écoulèrent. Ce ne fut qu'en recevant un coup de pied de son enfant au travers du ventre de Sarah que Wentworth émergea de sa léthargie.
- C'est horrible Sarah. Ma mère sait que je ne dois pas consommer d'arachide. Quelqu'un a voulu m'empoisonner en quelque sorte. Nous ne sommes plus en sécurité ici. Et moi qui pensait que je pourrais vous protéger le bébé et toi, ajouta-t-il dans un souffle.
- Chut. Cesse de t'agiter, tu t'épuises inutilement. C'est vrai que nous allons sérieusement devoir réfléchir à la conduite à tenir. Nous ne pouvons fuir éternellement. J'arrive bientôt au terme de ma grossesse qui présente peut-être des risques puisque je n'ai pas consulté mon gynécologue depuis notre fuite. On ne connaît même pas le sexe du bébé. C'est ridicule.
- Qui nous veut du mal à ce point. Josh ?
- Non, je ne lui ai jamais parlé de toi, il ne connait pas ton intolérance à l'arachide.
- Des fans jaloux ?
- Je ne pense pas, Wentworth. Je suis sûre que c'est évident et que nous passons à côté de l'essentiel.
- As-tu des ennemis, Sarah ?
- Non, pas que je sache. Mais, j'y pense. Comment s'appelait ton agent, celui qui est à l'origine de notre séparation ?
- Tu parles de Spencer. J'ai appris sa mort l'année dernière. L'avion s'est crashé à cause d'un réacteur défectueux. Ca ne peut pas être lui.
Mais alors qui ?
- Non, non et non. Ca ne va pas ! s'exclama Paul Scheuring à Vin Diesel, la doublure de Michael/Wentworth.
Tu dois te tourner de 3/4 sinon la capuche ne dissimulera pas assez ton visage.
Le concerné soupira et se remit en position." Action".
Paul s'arrachait presque les cheveux. Il arrêta une nouvelle fois pour reprocher à Jamie Luner - doublure de Sara/Sarah - sa sensualité trop voyante. Les uns et les autres commençaient à désespérer. Jouer ne leur apportait plus le plaisir d'antan. Les nouveaux arrivants se sentaient de trop comme s'ils avaient usurpé la place des deux vedettes disparues.
- On fait une pause, cria le réalisateur.
Il fonça jusque dans son bureau. Chacun savsit qu'il contactait la police dès qu'il avait un moment pour retrouver la trace de Sarah et de Wentworth. Même la famille n'était pas au courant. On ne pouvait de toute manière pas leur reprocher leur discrétion. Les policiers restaient sourds aux mises en garde de Peter. Sa thèse ne tenait pas debout selon eux. Un coursier arriva et leur remit une lettre non nominative. Elle désignait l'ensemble de l'équipe ce qui éveilla des soupçons. Paul l'ouvrit et lâcha une exclamation. On put y lire l'avertissement : " Leurs jours sont comptés, rien ne pourra être fait ". L'horreur s'empara des acteurs. En leur for intérieur, ils prièrent.
C'est prodigieux, se disait l'inconnu. La sensation de puissance s'infiltrait dans ses veines. C'était bon, jouissif. Il revoyait encore le visage affolé de la beauté rousse. Mais elle avait fait preuve de sang froid et soigné l'autre, l'assasin. Lui seul n'était pas dupe de ses mimiques angéliques. Wentworth par-ci, Wentworth par-là. Que c'était agaçant cette gloire non méritée. Il paiera pour ses forfaits se dit l'homme. Il se rassit calmement en réglant la définition de ses moniteurs et de ses caméras dernier cri. C'avait été un jeu d'enfant de les installer. Ce serait un plaisir d'adulte que d'observer.
Dernière édition par le Lun 28 Mai - 15:40, édité 3 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
je veux bien attendre, si toutes tes suites sont comme ça
j'ai le cerveau qui fuse
qui peut bien leur en vouloir autant, ? surtout à Went
j'ai le cerveau qui fuse
qui peut bien leur en vouloir autant, ? surtout à Went
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Hasard
Comment ca craint a fond la
Trop hate de lire la suite!!!
Trop hate de lire la suite!!!
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Hasard
!! génial !!
la suite stp !!
la suite stp !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Hasard
ENNEADE a écrit:je veux bien attendre, si toutes tes suites sont comme ça
j'ai le cerveau qui fuse
qui peut bien leur en vouloir autant, ? surtout à Went
je suis d'accord avec toi ,
qu'est ce qu'on lui veux et que veux t'on a sara !!!, mais LE QUI ?
j' en veux encore ENCORE ET ENCORE
met la vite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Hasard
Génial ta suite
Mais c'est qui se malade?
vite la suite
Mais c'est qui se malade?
vite la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Hasard
Mais c ki ce malade ki leur ve du mal et pourkoi ?
j'ai hate de lire la suite.
j'ai hate de lire la suite.
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: Hasard
Haaaaa mais qui c'est ce malade là ça m'énerve de pas savoir la pauvre Sara va bientot accoucher en plus!
ça fait du bien de revoir ta fic!
met la suite!
ça fait du bien de revoir ta fic!
met la suite!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: Hasard
Non mais c'est qui ce malade qui s'en prend a sarah et went????????
Impatiente de lire la suite!!!!!!!!!!!!!!
Impatiente de lire la suite!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Hasard
trop trop envie de lire la suite !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Hasard
Bonjour
XIX.
La nouvelle de la menace ne fut pas dévoilée au grand public, les forces de police veillaient à la discrétion. Les agents craignaient qu'à l'annonce, la population cède à la panique générale et que des farfelus passent des appels infructueux. Le plateau avait pris l'atmosphère de deuil national. Amaury avait proposé sa démission mais Paul s'était montré ferme : s'il partait; ce serait la fin de PRISON BREAK. Les femmes étaient sujettes aux crises de larmes et arboraient le plus souvent deux yeux rougis et bouffis. Dans ces conditions, la série fut suspendue, le temps qu'un évènement providentiel survienne et arrange comme par enchantement la situation désastreuse. Dominic se dit qu'il fallait faire preuve d'autant d'ingénuité que leurs personnages dans la série. Il annula ses vacances dans le bush australien avec sa famille, réquisitionna Peter, Amaury, Wade, William et Robert. Tous ensemble, ils avaient plus de chance de connaître la cause de la disparition de leurs amis.
Souvenirs d'enfance
- Quel morveux celui-là ! Viens ici que je t'apprenne.
L'ivrogne approchait à grands pas lourds. Il abattit sa main épaisse et grasse sur le visage de l'enfant chétif qui veilla à n'émettre aucune plainte. Il savait bien que s'il gémissait, la punition serait terrible. Il n'avait pas fait exprès de renverser la tasse de café. Ses mains tremblaient tellement qu'il n'avait pu empêcher l'accident. Gros Tas le terrorisait. C'est ainsi qu'il appelait, intérieurement évidemment, au lieu du traditionnel " Papa ". Il ne se serait jamais permis de l'apostropher de la sorte. Il n'avait ni frères, ni soeurs, ni cousins, ni amis. Il s'habillait mal, n'était pas bien propre tous les jours, faisait fuir les autres enfants dans la cour. Il était seul. Sa mère le regardait d'un oeil torve. " Pas mieux que de la vermine " psalmodiait-elle régulièrement en fermant les yeux sur la correction que Gros Tas lui donnait chaque jour. Un jour, le petit garçon effectua comme à son habitude, le cirage du parquet. Ses parents ne voulaient pas dépenser leur argent en produits ménagers, aussi utilisait-il de la térébenthine, comme à l'ancienne. Il se retrouva donc devant la porte de ses parents entrouverte. Il perçut quelques bribes de conversations :
- Ma Milicent d'amour, j'en peux plus de ce gosse. Il me pourrit la vie.
- C'est vrai qu'il est casse-pieds mais c'est un brave garçon quand même, répondit la femme à Russ, son époux.
- Ca fait dix ans que je le supporte et pourtant c'est pas mon mioche...
Le reste parvint comme brouillé aux oreilles du petit. Cet homme violent qui ne lui témoignait aucune preuve d'amour n'était pas son père ? Il comprenait mieux à présent. Aveuglé de colère et de chagrin, il se rua dans la pièce, laboura la bedaine de l'imposteur de coups désordonnés. Il en reçut de bien pires mais rien ne pouvait l'apaiser. Gros Tas l'entraîna dans le couloir pour lui administrer le châtiment du siècle. Le petit garçon se rebella et assista comme au ralenti à la chute du géant. Chute suivie d'un craquement sinistre. Milicent cria en voyant le sang sortir de sa bouche, l'angle bizarre de sa nuque, les yeux figés. Elle comprit et invectiva son fils :
- Va-t-en. Russ avait raison. J'aurais dû t'abandonner ou avorter. Tu ne vaux pas mieux que ton snobinard de père.
Ce jour avait constitué un tournant dans la vie du garçon. De maisons de correction en familles d'accueil, il avait connu la dureté, l'intransigeance toujours dans l'espoir de retrouver ce père sans visage.
L'homme interrompit ses pensées. Il glissait dangereusement vers le sentimentalisme désuet. Il fallait qu'il soit fort s'il voulait accomplir le double meurtre. C'était plutôt gentil de sa part de leur réserver un sort digne des plus grandes mythologies à l'instar de Tristan et Iseult, d'Orphée et Eurydice... Ce n'était plus qu'une question de jours.
Les hommes réfléchissaient. Il y avait forcément une piste que les policiers avaient négligé. Un truc. N'importe quoi. Robert prit la parole :
- Concentrons-nous. Depuis leur départ, avez-vous constaté un changement. Quelque chose d'inhabituel.
Il vit qu'Amaury fronçait les sourcils.
- Hé, latin lover, tu penses à quelque chose ?
- Non, ça ne prouve rien, répondit Nolasco.
- Mais si, tout est susceptible de nous aider.
Ses amis se retournèrent de concert ver slui.
- Et bien, je me disais vaguement que ce n'était plus le même coursier qui nous apporte les différents colis, courriers de fans et autres bouquets de fleurs. Je me souviens de l'ancien, toujours triste, presque mécontent avec des chapeaux ridicules. Enfin, je ne sais pas si cette info est utile.
- C'est mieux que rien, dit Wade en lui tapant dans l'épaule.
Ils se dirigèrent tous vers la compagnie de livraison. La secrétaire les regarda les yeux ronds. Dominic commença sans ambages :
- Nous travaillons au studio de tournage de la Fox, nous recherchons l'un de vos employés. Un jeune homme, un peu moins de trente ans, il porte souvent des casquettes, des bobs. Bref des chapeaux. Vous pouvez nous aideR ?
La femme sortit de sa rêverie et fouilla dans sa mémoire en gardant dans un coin de son cerveau qu'il faudrait qu'elle pense à leur demander des autographes.
- Vous devez parler de Trent. Trent Hovis. Je suis désolée de vous dire qu'il a disparu sans prévenir. Il avait pourtant tellement insisté pour travailler dans votre quartier. Je ne peux vous en dire plus. Je l'ai surpris une fois au téléphone pendant ses heures de travail. Il parlait à une certaine Eleonor. C'est peut-être sa petite-amie, qui sait ?
Peter s'exclama :
- Hé, mais c'est pas la femme de ménage ? Une fille maigrichonne qui travaille le soir. Je lui avait dit deux mots une fois.
Ils sortirent tous laissant la secrétaire ahurie et déçue. Elle n'aurait pas ses autographes.
XIX.
La nouvelle de la menace ne fut pas dévoilée au grand public, les forces de police veillaient à la discrétion. Les agents craignaient qu'à l'annonce, la population cède à la panique générale et que des farfelus passent des appels infructueux. Le plateau avait pris l'atmosphère de deuil national. Amaury avait proposé sa démission mais Paul s'était montré ferme : s'il partait; ce serait la fin de PRISON BREAK. Les femmes étaient sujettes aux crises de larmes et arboraient le plus souvent deux yeux rougis et bouffis. Dans ces conditions, la série fut suspendue, le temps qu'un évènement providentiel survienne et arrange comme par enchantement la situation désastreuse. Dominic se dit qu'il fallait faire preuve d'autant d'ingénuité que leurs personnages dans la série. Il annula ses vacances dans le bush australien avec sa famille, réquisitionna Peter, Amaury, Wade, William et Robert. Tous ensemble, ils avaient plus de chance de connaître la cause de la disparition de leurs amis.
Souvenirs d'enfance
- Quel morveux celui-là ! Viens ici que je t'apprenne.
L'ivrogne approchait à grands pas lourds. Il abattit sa main épaisse et grasse sur le visage de l'enfant chétif qui veilla à n'émettre aucune plainte. Il savait bien que s'il gémissait, la punition serait terrible. Il n'avait pas fait exprès de renverser la tasse de café. Ses mains tremblaient tellement qu'il n'avait pu empêcher l'accident. Gros Tas le terrorisait. C'est ainsi qu'il appelait, intérieurement évidemment, au lieu du traditionnel " Papa ". Il ne se serait jamais permis de l'apostropher de la sorte. Il n'avait ni frères, ni soeurs, ni cousins, ni amis. Il s'habillait mal, n'était pas bien propre tous les jours, faisait fuir les autres enfants dans la cour. Il était seul. Sa mère le regardait d'un oeil torve. " Pas mieux que de la vermine " psalmodiait-elle régulièrement en fermant les yeux sur la correction que Gros Tas lui donnait chaque jour. Un jour, le petit garçon effectua comme à son habitude, le cirage du parquet. Ses parents ne voulaient pas dépenser leur argent en produits ménagers, aussi utilisait-il de la térébenthine, comme à l'ancienne. Il se retrouva donc devant la porte de ses parents entrouverte. Il perçut quelques bribes de conversations :
- Ma Milicent d'amour, j'en peux plus de ce gosse. Il me pourrit la vie.
- C'est vrai qu'il est casse-pieds mais c'est un brave garçon quand même, répondit la femme à Russ, son époux.
- Ca fait dix ans que je le supporte et pourtant c'est pas mon mioche...
Le reste parvint comme brouillé aux oreilles du petit. Cet homme violent qui ne lui témoignait aucune preuve d'amour n'était pas son père ? Il comprenait mieux à présent. Aveuglé de colère et de chagrin, il se rua dans la pièce, laboura la bedaine de l'imposteur de coups désordonnés. Il en reçut de bien pires mais rien ne pouvait l'apaiser. Gros Tas l'entraîna dans le couloir pour lui administrer le châtiment du siècle. Le petit garçon se rebella et assista comme au ralenti à la chute du géant. Chute suivie d'un craquement sinistre. Milicent cria en voyant le sang sortir de sa bouche, l'angle bizarre de sa nuque, les yeux figés. Elle comprit et invectiva son fils :
- Va-t-en. Russ avait raison. J'aurais dû t'abandonner ou avorter. Tu ne vaux pas mieux que ton snobinard de père.
Ce jour avait constitué un tournant dans la vie du garçon. De maisons de correction en familles d'accueil, il avait connu la dureté, l'intransigeance toujours dans l'espoir de retrouver ce père sans visage.
L'homme interrompit ses pensées. Il glissait dangereusement vers le sentimentalisme désuet. Il fallait qu'il soit fort s'il voulait accomplir le double meurtre. C'était plutôt gentil de sa part de leur réserver un sort digne des plus grandes mythologies à l'instar de Tristan et Iseult, d'Orphée et Eurydice... Ce n'était plus qu'une question de jours.
Les hommes réfléchissaient. Il y avait forcément une piste que les policiers avaient négligé. Un truc. N'importe quoi. Robert prit la parole :
- Concentrons-nous. Depuis leur départ, avez-vous constaté un changement. Quelque chose d'inhabituel.
Il vit qu'Amaury fronçait les sourcils.
- Hé, latin lover, tu penses à quelque chose ?
- Non, ça ne prouve rien, répondit Nolasco.
- Mais si, tout est susceptible de nous aider.
Ses amis se retournèrent de concert ver slui.
- Et bien, je me disais vaguement que ce n'était plus le même coursier qui nous apporte les différents colis, courriers de fans et autres bouquets de fleurs. Je me souviens de l'ancien, toujours triste, presque mécontent avec des chapeaux ridicules. Enfin, je ne sais pas si cette info est utile.
- C'est mieux que rien, dit Wade en lui tapant dans l'épaule.
Ils se dirigèrent tous vers la compagnie de livraison. La secrétaire les regarda les yeux ronds. Dominic commença sans ambages :
- Nous travaillons au studio de tournage de la Fox, nous recherchons l'un de vos employés. Un jeune homme, un peu moins de trente ans, il porte souvent des casquettes, des bobs. Bref des chapeaux. Vous pouvez nous aideR ?
La femme sortit de sa rêverie et fouilla dans sa mémoire en gardant dans un coin de son cerveau qu'il faudrait qu'elle pense à leur demander des autographes.
- Vous devez parler de Trent. Trent Hovis. Je suis désolée de vous dire qu'il a disparu sans prévenir. Il avait pourtant tellement insisté pour travailler dans votre quartier. Je ne peux vous en dire plus. Je l'ai surpris une fois au téléphone pendant ses heures de travail. Il parlait à une certaine Eleonor. C'est peut-être sa petite-amie, qui sait ?
Peter s'exclama :
- Hé, mais c'est pas la femme de ménage ? Une fille maigrichonne qui travaille le soir. Je lui avait dit deux mots une fois.
Ils sortirent tous laissant la secrétaire ahurie et déçue. Elle n'aurait pas ses autographes.
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magalie- Parti au secours de Sara
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Hasard
J'adore.
Et j'imagine bien toute la cast en détectives
une suite stp
Et j'imagine bien toute la cast en détectives
une suite stp
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
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Re: Hasard
excellent... le cast de PB en Expert...
c'est délire, continue ...
impatiente de connaitre la suite
c'est délire, continue ...
impatiente de connaitre la suite
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Hasard
XX.
Eleonor Stip. Absente. Vous savez ce qui vous reste à faire. Tut.
Eleonor ? Ici Paul Scheuring, vous nettoyer mon bureau tous les soirs. J'aimerais que vous restiez un peu plus longtemps ce soir, je dois vous parler.
Eleonor se repassa le message ultérieurement et sourit. Il déciderait certainement d'augmenter les tarifs avec la société de ménage.
- Le temps s'est assombri, dit Wentworth doctement en regardant les éclairs qui zébraient le ciel.
Il se retourna et vit Sarah, toute tremblante.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien. Tu vas me trouver idiote mais j'ai peur des orages depuis ma tendre enfance.
Wentworth la rejoignit et tenta de lui insuffler son courage. Il la dorlotait, l'embrassait tendrement sur les paupières, le cou, la bouche. Ses baisers étaient aériens. Soudain la jeune femme se tordit de douleur. Elle se tint le ventre à deux mainsen fermant les yeux. Wentworth l'aida à se redresser et vit avec consternation une flaque grandir sur le parquet.
- Ne me dis pas que c'est ce que je crois ? murmura-t-il d'une voix blanche.
- Si... c'est... bien ça, haleta Sarah. Tu seras bientot papa.
La poche des eaux vidée, les prochaines heures seraient déterminantes. Sarah vit que la panique grandissait chez son compagnon, elle lui dit :
- J'ai besoin que tu sois là. Tu accueilleras notre bébé quand je l'expulserai. Ca mettra le temps qu'il faudra mais nous y arriverons.
Wentworth hocha machinalement la tête. Il tenta d'appeler les secours qui mettraient un temps infini à arriver mais peut-être pourraient-ils le guider. En vain. Les lignes avaient sauté avec l'orage. Il vit le visage de Sarah grimacer de douleur au rythme des contractions. Sa respiration était hâchée. ( ) Sarah agrippait sa main. Elle la broyait mais si ça pouvait la soulager, il n'en avait cure.
- Wentworth, je le sens descendre. Commence à chauffer de l'eau, apporte des... des serviettes. Il faudra sectionner le cordon ombilical, lui dégager les voies et récupérer le placenta. Je crois que c'est ce que font les médecins.
A ces mots, Wentworth se sentit verdir. Il fit néanmoins ce qu'elle lui dit. C'était la phase finale. Il vit tout d'abord un fin duvet brun. Il remercia le ciel d'avoir à faire à une naissance normale et pas par le siège. Sarah criait. Plus jamais il ne la toucherait, il se contenterait de baisers chastes, promit Wentworth. Sarah n'avait pas la force de rire à cette sottise. Elle poussa encore tant et si bien qu'elle termina plus rapidement que ce qu'elle avait pronostiqué. Le cri tant attendu retentit, au grand soulagement des parents. Wentworth lava son enfant. Un garçon se dit-il avec émotion. Il le déposa dans les bras de Sarah. Tous deux pleuraient de joie. Tout cet amour.
- Bienvenue parmi nous Jimmy Travis Miller.
L'enfant vagit pour toute réponse.
Oh. La famille s'agrandit, tiens donc. L'homme voyait tout ce qui se passait. Il regardait la scène depuis la microcaméra en contre champ. Ca pose problème, se dit-il. Les enfants ne devaient pas souffrir de l'irresponsabilité de leurs parents. Il trouverait bien un moyen d'épargner le bébé. Ce serait un orphelin, comme lui en quelque sorte. Il se souvint alors des années passées
- Eh toi. Oui, toi ! Qu'est-ce que tu fais ici ? demanda l'encadrant du centre.
- J'attends la surveillante, elle doit me montrer mon dossier.
A quinze ans, il désirait étudier rassembler le plus d'éléments de sa vie pour retrouver son père. Dans une semaine il aurait seize ans et s'émanciperait. Il pourrait alors quitter le centre. La surveillante le laissa donc consulter les fiches. Naissance au St Grace Hospital de New-York. Père inconnu. La déception se lut sur son visage mais il n'abandonnerait pas.
La semaine suivante, il quitta le centre. Il avait trouvé un job de menuiserie au chantier des Coquilles. De quoi subsister du côté financier. Il se rendit à l'hôpital en quête de renseignements.
- Vous êtes le fils de Milicent, qu'est-ce que vous avez grandi ! s'exclama une infirmière au détour d'un couloir. On était bonnes copines à cette époque mais Russ nous a séparées. Il était très possessif. Je ne l'ai pas supporté.
- Moi non plus. Ca s'est mal terminé, ajouté l'adolescent. Est-ce que vous savez qui elle fréquentait du temps où vous étiez amies ?
- Bien sûr. Il nous a toutes un peu fait tourner la tête. C'était un homme distingué, toujours tiré à quatre épingles. Il n'avait d'yeux que pour Milicent mais elle, elle l'utilisait. Je lui ai dit " Milicent c'est pas bien ce que tu fais ". Mais pensez-vous qu'elle m'écoutait. Quand elle a appris qu'elle était enceinte, elle s'est énervée et a rompu. Il était tout triste et ne comprenait rien à la situation. Il est parti après pour son travail.
- D'accord. Connaissez-vous son nom ?
- Personne ne l'oublierait.
- Installez-vous Eleonor, dit Paul.
Entrèrent ensuite les acteurs de la série. Quel honneur se dit la jeune fille.
- Bien, nous nous sommes rassemblés pour que vous nous parliez de votre ami : Trent Hovis.
Interloquée, elle les dévisagea :
- Je ne saisis pas la raison de ma présence ici.
- Ecoutez, vous avez tout intérêt à coopérez ou alors je préviens la police sur le champ. Sur mon bureau figurait une enveloppe contenant sept clichés du couple. Le lendemain il y en avait que cinq. La seule personne à avoir accès à mon bureau, c'est vous. Nous savons que vous avez prévenu la presse. Vous avez déjà commis une mauvaise action. Essayez de vous rattraper, la somma Paul.
Son speech faisait effet constata-t-il avec ravissement. Amaury lui avait tout raconté depuis la filature de Went et Sarah jusqu'au dépot des photos sur son bureau.
- Que voulez-vous savoir ?
- Quel lien vous unit à Trent ?
- Nous sortons ensemble depuis quelques mois, nous nous sommes croisés sur le plateau.
- Où se trouve-t-il actuellement ?
- Je l'ignore. Il a disparu.
- Avez-vous noté un comportement étrange ? demanda Paul.
- Pas spécialement, mais de toute façon il n'était pas bavard. Ce qui m'a frappé c'est qu'il critiquait sans cesse la série. Personnellement, je la trouve fabuleuse mais lui non. Il restait cependant dans l'obscurité de loin pour observer le jeu des acteurs Miller et Callies. Il doit être romantique comme moi, minauda-t-elle.
- Oui. Mais d'un romantisme particulier, alors.
Dernière édition par le Sam 21 Avr - 1:16, édité 5 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
un p'tit garcon...
plein de petites émotions cette suite et d'angoisse aussi...
c'est qui se barge
plein de petites émotions cette suite et d'angoisse aussi...
c'est qui se barge
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Hasard
un ptit garcon !! génial !! !!
la suite stp !!
la suite stp !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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