Hasard
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magalie
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Hasard
nestella a écrit: Pourkoi il fo tjs ke kelkun arive pr les interrompre Sucre: nn jadore sucre mai vivemen la suite pr voir commen leur histoire va reprendre!!
C'est pas vraiment Sucre qui les a interrompus. Wentworth avait déjà fait marche arrière pour une raison que j'expliquerais par la suite. Mais c'est sûr que s'il était arrivé plus tôt, il les aurait dérangés . Enfin, voilà quoi.
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
Wow a quoi il jou Went?
Trop hate de lire la suite
Trop hate de lire la suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Hasard
GENIAL !!!!!!!!!!!!!!!!
super_cc- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Hasard
yeah ! Ralala on veut la suite , veut voir ce qu'il va se passer
angel_of_suburbia- Admis à l'infirmerie
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Re: Hasard
Voilà la suite
IX.
Wentworth se joignit à l'hilarité. Il était à l'arrière du van des "garçons". Peter le mafieux conduisait, Dominic le sarcastique les régalait des bêtises de ses enfants, Amaury l'amoureux transi ponctuait les récits d'onomatopées espagnoles, Robert le pervers faisait un remake des grimaces de Jim Carrey dans The Mask et plus encore. L'ambiance chaleureuse détendit le jeune homme qui se désolait de sa conduite. Mais qu'avait-il espéré au juste ? Que Sarah l'attendrait dans sa tour d'ivoire, pleurant chaque jour leur amour délicat ? Bien sûr que non mais sentir l'alliance de la jeune femme alors qu'ils perdaient la tête dans sa loge l'avait coupé dans son élan d'une manière très efficace. Sarah était toujours liée à cet homme, ce rival invisible. Il faudrait changer de stratégie sinon les évènements échapperaient complètement à son contrôle. Pour l'instant un peu de détente.
- Hé le nouveau ! Hou hou, Went ! Reviens sur terre. Regarde, tu vois le break devant ? C'est celui des "filles". Elles nous font des appels de phare. Y a que Robin pour se lancer dans des trucs pareils.
- Robin ? demanda Went.
- Tu feras sa connaissance à table. C'est qu'on est gâtés question jolies filles !
- Et... elle voulait faire la course dans la circulation ? s'enquit-il, ahuri.
- Pas vraiment, on se taquine sur les limites de nos peurs. On arrive.
Ils descendirent à bon port et escotèrent les femmes à l'intérieur du restaurant. Amaury n'avait pas menti, elles rivalisaient toutes de joie de vivre et de beauté. Sarah partit se rafraîchir dans les toilettes. Peu de temps après, Robin la rejoignit.
- Je te trouve bien silencieuse, introduisit-elle.
- Ah bon ? Pas plus que d'habitude, marmona Sarah en rectifiant son maquillage.
- Si tu le dis. Tu le trouves comment ?
- Qui ça ?
- Arrête de jouer les indifférentes ! Je parle de Wentworth. Rien que le fait de parler de lui, j'en ai les jambes qui flageolent. Ce regard, ces mains. Tu voudrais pas échanger les rôles ? Quoique. Dom est sexy dans son genre aussi.
- Tu vas cesser de dire des sottises, un peu ! N'oublie pas que je suis mariée.
- J'ai le champ libre alors. Viens, les autres doivent nous attendre pour commander.
Les convives mangeaient de bon coeur, manquant s'étouffer à certains moments sous les blagues vaseuses de Wade alias "Gardien vaurien" qui venait de les rejoindre. Sarah évitait soigneusement le regard de Wentworth. C'était d'autant plus difficile qu'il se trouvait exactement en face d'elle. La soirée avança lentement, trop au goût de Sarah qui n'en pouvait plus de crispation. Deux heures plus tard, tous regagnèrent le lieu de tournage afin de récupérer les scripts pour lundi. Chacun se souhaita une bonne soirée et un bon week-end puis partit. Wentworth s'entretint avec les maquilleurs pour les derniers réglages et s'en alla après tous les autres acteurs. Du moins, c'est ce qu'il croyait. Robin l'attendait devant l'entrée du site.
- Hé, t'es encore là ?
- Hmm. Je me suis dit que tu devais te sentir un peu seul. Tu t'es trouvé un hôtel ?
- Non, je n'y ai pas pensé. avoua Wentworth.
- Ha la la, les hommes ! C'est pas grave, tu pourras réserver en appelant de chez moi. Ma maison est par là. Il fait un peu frais, non ? Tu veux un café ?
- Heu, oui, pourquoi pas, répondit-il, surpris.
D'un pas égal, il prirent un chemin de promenade. Le trajet n'était pas long.
Sarah, qui n'avait pas démarré, les regarda partir ensemble, amère. Ils ne perdent pas de temps tous les deux, pensait-elle.
Michael répondit au sourire que lui adressa Robin. C'était très gentil à elle de l'inviter sur un coup de tête.
- Installe-toi, je vais préparer le café, proposa Robin. Alors, comment trouves-tu l'Illinois ? demanda-t-elle depuis la cuisine.
- Ca n'a pas changé. Je venais y passer mes vacances avec mes parents quand j'étais petit. C'était fascinant de traverser l'océan dans le "gros oiseau de fer". Une de mes tantes éloignées habitait dans le coin.
- Ok. Moi j'y suis née. Cette ville n'a plus aucun secret pour moi. Voilà.
Elle apportait deux tasses de cappuccino crémeux. Elle s'assit à côté de lui sur le canapé beige puis leva son café : "bienvenue parmi nous" avant de savourer la première gorgée. Il lui rendit le geste et goûta le breuvage à son tour. Délicieux. Il vit Robin approcher :
- Tu as un peu de mousse, là, dit-elle en essuyant sa commissure droite. Ses doigts s'attardèrent, puis elle fit ce dont elle rêvait depuis plusieurs heures. Elle l'embrassa lentement, savoura la douceur de ce baiser magique. Elle faillit s'abandonner à cet instant voluptueux en le sentant y répondre mais il brisa le rêve en la repoussant doucement mais fermement.
- Désolé, Robin.
- Tu n'as pas à l'être, c'est moi qui l'ai voulu. J'ai trouvé que le courant passait pas mal entre nous.
- Oui. Tu es une très belle femme. Tu as tout ce dont je puisse rêver.
- Mais... ?
- Mais j'en aime une autre, désolé.
Il vit la tristesse sur son visage. Puis elle lui sourit bravement.
- Je ne t'en veux pas. C'est juste que je me sens un peu seule depuis que mon mari et moi sommes séparés, confessa Robin.
- Je comprends.
- Elle te fait souffrir on dirait, pas vrai ? Elle doit être exceptionnelle. Je la connais ? demanda-t-elle innocemment.
- Pas vraiment, dévia Wentworth.
Ce n'était pas vraiment un mensonge. Personne n'avait vu Sarah sous la même perspective que lui. Aussi libre et vivante. Ils discutèrent de tout et de rien. Puis il prit congé se traitant d'idiot de ne pas oublier Sarah la rousse rebelle et de repousser Robin la brune fatale. Rouge et noir. La nuit serait longue.
IX.
Wentworth se joignit à l'hilarité. Il était à l'arrière du van des "garçons". Peter le mafieux conduisait, Dominic le sarcastique les régalait des bêtises de ses enfants, Amaury l'amoureux transi ponctuait les récits d'onomatopées espagnoles, Robert le pervers faisait un remake des grimaces de Jim Carrey dans The Mask et plus encore. L'ambiance chaleureuse détendit le jeune homme qui se désolait de sa conduite. Mais qu'avait-il espéré au juste ? Que Sarah l'attendrait dans sa tour d'ivoire, pleurant chaque jour leur amour délicat ? Bien sûr que non mais sentir l'alliance de la jeune femme alors qu'ils perdaient la tête dans sa loge l'avait coupé dans son élan d'une manière très efficace. Sarah était toujours liée à cet homme, ce rival invisible. Il faudrait changer de stratégie sinon les évènements échapperaient complètement à son contrôle. Pour l'instant un peu de détente.
- Hé le nouveau ! Hou hou, Went ! Reviens sur terre. Regarde, tu vois le break devant ? C'est celui des "filles". Elles nous font des appels de phare. Y a que Robin pour se lancer dans des trucs pareils.
- Robin ? demanda Went.
- Tu feras sa connaissance à table. C'est qu'on est gâtés question jolies filles !
- Et... elle voulait faire la course dans la circulation ? s'enquit-il, ahuri.
- Pas vraiment, on se taquine sur les limites de nos peurs. On arrive.
Ils descendirent à bon port et escotèrent les femmes à l'intérieur du restaurant. Amaury n'avait pas menti, elles rivalisaient toutes de joie de vivre et de beauté. Sarah partit se rafraîchir dans les toilettes. Peu de temps après, Robin la rejoignit.
- Je te trouve bien silencieuse, introduisit-elle.
- Ah bon ? Pas plus que d'habitude, marmona Sarah en rectifiant son maquillage.
- Si tu le dis. Tu le trouves comment ?
- Qui ça ?
- Arrête de jouer les indifférentes ! Je parle de Wentworth. Rien que le fait de parler de lui, j'en ai les jambes qui flageolent. Ce regard, ces mains. Tu voudrais pas échanger les rôles ? Quoique. Dom est sexy dans son genre aussi.
- Tu vas cesser de dire des sottises, un peu ! N'oublie pas que je suis mariée.
- J'ai le champ libre alors. Viens, les autres doivent nous attendre pour commander.
Les convives mangeaient de bon coeur, manquant s'étouffer à certains moments sous les blagues vaseuses de Wade alias "Gardien vaurien" qui venait de les rejoindre. Sarah évitait soigneusement le regard de Wentworth. C'était d'autant plus difficile qu'il se trouvait exactement en face d'elle. La soirée avança lentement, trop au goût de Sarah qui n'en pouvait plus de crispation. Deux heures plus tard, tous regagnèrent le lieu de tournage afin de récupérer les scripts pour lundi. Chacun se souhaita une bonne soirée et un bon week-end puis partit. Wentworth s'entretint avec les maquilleurs pour les derniers réglages et s'en alla après tous les autres acteurs. Du moins, c'est ce qu'il croyait. Robin l'attendait devant l'entrée du site.
- Hé, t'es encore là ?
- Hmm. Je me suis dit que tu devais te sentir un peu seul. Tu t'es trouvé un hôtel ?
- Non, je n'y ai pas pensé. avoua Wentworth.
- Ha la la, les hommes ! C'est pas grave, tu pourras réserver en appelant de chez moi. Ma maison est par là. Il fait un peu frais, non ? Tu veux un café ?
- Heu, oui, pourquoi pas, répondit-il, surpris.
D'un pas égal, il prirent un chemin de promenade. Le trajet n'était pas long.
Sarah, qui n'avait pas démarré, les regarda partir ensemble, amère. Ils ne perdent pas de temps tous les deux, pensait-elle.
Michael répondit au sourire que lui adressa Robin. C'était très gentil à elle de l'inviter sur un coup de tête.
- Installe-toi, je vais préparer le café, proposa Robin. Alors, comment trouves-tu l'Illinois ? demanda-t-elle depuis la cuisine.
- Ca n'a pas changé. Je venais y passer mes vacances avec mes parents quand j'étais petit. C'était fascinant de traverser l'océan dans le "gros oiseau de fer". Une de mes tantes éloignées habitait dans le coin.
- Ok. Moi j'y suis née. Cette ville n'a plus aucun secret pour moi. Voilà.
Elle apportait deux tasses de cappuccino crémeux. Elle s'assit à côté de lui sur le canapé beige puis leva son café : "bienvenue parmi nous" avant de savourer la première gorgée. Il lui rendit le geste et goûta le breuvage à son tour. Délicieux. Il vit Robin approcher :
- Tu as un peu de mousse, là, dit-elle en essuyant sa commissure droite. Ses doigts s'attardèrent, puis elle fit ce dont elle rêvait depuis plusieurs heures. Elle l'embrassa lentement, savoura la douceur de ce baiser magique. Elle faillit s'abandonner à cet instant voluptueux en le sentant y répondre mais il brisa le rêve en la repoussant doucement mais fermement.
- Désolé, Robin.
- Tu n'as pas à l'être, c'est moi qui l'ai voulu. J'ai trouvé que le courant passait pas mal entre nous.
- Oui. Tu es une très belle femme. Tu as tout ce dont je puisse rêver.
- Mais... ?
- Mais j'en aime une autre, désolé.
Il vit la tristesse sur son visage. Puis elle lui sourit bravement.
- Je ne t'en veux pas. C'est juste que je me sens un peu seule depuis que mon mari et moi sommes séparés, confessa Robin.
- Je comprends.
- Elle te fait souffrir on dirait, pas vrai ? Elle doit être exceptionnelle. Je la connais ? demanda-t-elle innocemment.
- Pas vraiment, dévia Wentworth.
Ce n'était pas vraiment un mensonge. Personne n'avait vu Sarah sous la même perspective que lui. Aussi libre et vivante. Ils discutèrent de tout et de rien. Puis il prit congé se traitant d'idiot de ne pas oublier Sarah la rousse rebelle et de repousser Robin la brune fatale. Rouge et noir. La nuit serait longue.
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magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
ouah! encore encore j'en veux encore!!!!! vite!!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : Dans les bras de Wentworth
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Re: Hasard
alala!! ça m'a manqué de ne pas te lire
j'adore toujours
mais qu'est ce qu'il lui a ris à Went? pourquoi il s'est arrêté??
vivement la suite
j'adore toujours
mais qu'est ce qu'il lui a ris à Went? pourquoi il s'est arrêté??
vivement la suite
Re: Hasard
J'adoreeeeee!!!
Magalie tu me comble
J'ai trop hate de savoir ce qui va se passer!
Le pauvre Went il souffre
Vite une suitee
Magalie tu me comble
J'ai trop hate de savoir ce qui va se passer!
Le pauvre Went il souffre
Vite une suitee
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Hasard
génial , je viens de tout lire ,
rattrapper mon gros retard
j'adore , toujours
et j'ai hate de lire la suivante
met la vite s t p
rattrapper mon gros retard
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et j'ai hate de lire la suivante
met la vite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Hasard
j'adore met nous la suite dés que tu peus
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: Hasard
J'aten la suite ac impatience!!
Ta facon d'ecrire ai tjs superbe kom d'abitude
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nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Hasard
Vivement la suite, j'ai hate !!!
zenaide- Retrouve Steadman
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Re: Hasard
suite superbe j'adore
angel_of_suburbia- Admis à l'infirmerie
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Re: Hasard
j'adore n'est pas assez fort , très vite une suite.... STP!!!!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : Dans les bras de Wentworth
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Re: Hasard
LA SUITE!!!
LoveM-S- Origami de Michael
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Re: Hasard
OUlala vivement la suite ! Alors Robin attention, on touche pas STP !
reaped- Admis à l'infirmerie
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Re: Hasard
Non mais Robin quel culot pas touche à Went il est a Sarah!!!
Vivement la suite!
Vivement la suite!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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Re: Hasard
X.
C'en devenait agaçant. Depuis qu'ils avaient repris le tournage après un week-end reposant, Sarah l'évitait. Au début Wentworth avait trouvé ses airs de duchesse indignée très sexy mais plus la journée passait et plus sa tension était mise à rude épreuve. Il bouillonnait littérament de jalousie en la voyant plaisanter avec les autres acteurs, les cameramen... alors qu'elle affichait le plus grand dédain à son égard. Il craqua. Wentworth arracha Sarah d'une conversation qui semblait passionnante sous les yeux ahuris de Holly.
- Il ne faudrait pas perdre de temps en bavardages futiles. J'ai besoin de répéter un peu. On va dans ta loge ? questionna-t-il, tout de go.
- Trop de travail tue le travail, Wentworth. C'est l'un des principaux commandements de ce métier.
- Tu ne m'as pas répondu, insista le jeune homme.
- Laisse moi respirer ! Et puis, si tu veux tellement revoir la scène, demande à Robin, elle est très serviable en ce moment, répliqua-t-elle d'un air mauvais, le ton perfide.
A ces mots Wentworth sentit son coeur se gonfler de joie. Il allait savourer pleinement son bonheur.
- Je n'arrive pas à le croire.
- Quoi donc ? Qu'on ne cède pas à tous tes caprices ?
- Inutile de te retrancher derrière la méchanceté, ça ne te va pas, Sarah. Quoi que tu puisses en dire, tu es jalouse.
- N'importe quoi.
- Oh si, tu l'es. Le meilleur dans l'histoire est que tu nous aies espionnés. Tout le monde avait quitté le plateau vendredi soir, ajouta Wentworth avec aplomb.
- Tu prends vraiment tes désirs pour la réalité, ajouta-t-elle fulminant de rage.
- Sarah...
Elle interrompit son flot de paroles, toujours charmée par sa voix de velours, à son corps défendant. A présent il venait à elle, encore plus proche. A un souffle de ses lèvres, il chuchota :
- Combien même Robin est jolie, tu n'as aucun souci à te faire. Je t'appartiens corps et âme.
Wentworth vit le trouble sur le visage de Sarah. Quoi qu'il se soit passé, ils n'auraient pas dû interrompre leur liaison. Ils éprouvaient toujours l'un et et l'autre des sentiments très forts. Il se rappelait leurs promesses d'amour deux ans plus tôt. Ce serait vraiment trop bête d'en finir à ce stade. Ravi de son petit effet, il la planta là. Quelques mètres plus loin Amaury fronçait les sourcils. Il avait observé la scène à son insu et se demandait pourquoi le nouveau, cette gueule d'ange importunait Sarah. Il devrait le surveiller de très près.
Sarah sifflotait gaiement en direction de sa loge. Paul l'avait une nouvelle fois félicitée pour son interprétation et elle avait passé quelques coup de fil ; elle était fortement pressentie pour un rôle dans un film...
- C'est pas vrai ! Tu as l'intention de me harceler chaque jour que nous passerons sur Terre ? demanda-t-elle, à bout de nerfs.
- Non, répondit Wentworth adossé au mur du fond, jambes et bras croisés, ressemblant à une icône de mode. Et je suis désolé que tu le prennes comme ça. Il faut que je te parle, c'est très sérieux.
Sarah s'alarma du son austère de sa voix. Etait-il souffrant ? Allait-it quitter la série. A cette idée, son coeur se révulsa. Non, il ne pouvait pas encore l'abandonner. Le schéma ne cesserait-il donc jamais de se répéter ?
- Il faut que je t'explique une chose. Cette nuit-là a été la plus fabuleuse de toute mon existence. Pas seulement pour ce que tu crois. C'était très bien aussi, haut de gamme même. Mais là je te parle du bien-être total que j'ai ressenti. Dans tes bras, j'avais trouvé mon havre de paix. Laisse-moi terminer, dit-il, la voyant prête à s'opposer. Ce que j'essaie de te dire c'est que j'ai toujours été sincère, que je n'ai jamais pu t'oublier et que tu m'as brisé le coeur en me quittant. Le lendemain, après qu'on se soit quittés, j'ai dû me rendre au chevet de ma mère. Tout s'est fait dans la précipitation, j'ai oublié mon téléphone, ton numéro. C'est pour ça que je n'ai pas pu te contacter. Comment as-tu pu croire qu'après ce qui s'était passé entre nous, j'allais disparaître de ta vie ? questionna Wentworth, encore triste à cette idée.
- Mais ton agent a dit que...
- Ne me parle pas de lui ! Il a toujours été excessif envers moi et a tout fait pour nous séparer. Quand je pense qu'à l'heure actuelle je devrais être avec toi ! Si tu savais comme je te veux rien que pour moi, Sarah !
- Dans ce cas pourquoi ne m'as-tu pas encore embrassée ? Tu joues au chat et à la souris, tu me tortures.
- Pourquoi ? Parce qu'il me reste un sursaut de morale et que je n'affectionne pas les relations adultérines. Mais puisque tu le demandes...
Sans appel, il l'enlaça, refermant ses mains sur sa taille fine, s'abreuvant des ses lèvres exquises. De son côté la jeune femme avait refermé les bras autour de son cou et lui caressait la base du crâne en un geste inconscient. Elle ne parvenait pas à culpabiliser. Wentworth était de retour, il lui avait beaucoup manqué, beaucoup trop. Enfin, elle pouvait à nouveau sentir son corps ferme et chaud tout contre le sien. Seuls leurs hâlètements fièvreux rompaient le silence de la pièce. Puis il y eut un craquement. Tous deux se regardèrent. Ce bruit de vêtements déchirés était très aphrodisiaque. Il marqua surtout le basculement irréversible. Il n'y avait plus de retour possible. Wentworth était au paradis, ses sens se régalaient du spectacle que lui offrait Sarah. Impatient il caressa ses épaules en même temps qu'il lui murmurait des mots d'amour, de satisfaction. Ses doigts fouineurs glissèrent le long du liseré supérieur de son soutien-gorge. En réponse, elle passa les mains sous son marcel, taquinant au passage son nombril. L'atmosphère de la pièce monta de quelques degrés, au rythme de leur désir en voie d'assouvissement. Sarah se déroba alors pour se rhabiller immédiatement. Wentworth tentait de calmer sa respiration saccadée. Peine perdue. Il chercha une réponse dans les yeux de la jeune femme qui lui sourit, puis l'embrassa furtivement sur les lèvres. A ce moment, des employés de maintenance passèrent dans le couloir. Soulagé qu'elle ne l'ait pas repoussé mais plutôt réfréné leurs tendances exhibitionnistes, il rajusta lui aussi ses vêtements et attendit qu'elle dise enfin ce qui la démangeait :
- Bientôt, Wentworth. Rien ni personne ne pourra nous interrompre.
Il la regarda ranger ses affaires, quémanda un dernier baiser qu'elle lui accorda avec beaucoup d'enthousiasme puis quitta le studio. Il faisait nuit noire dehors. Il prit le chemin qui menait à son hôtel. La seconde suivante, il suffoquait. Un homme le plaquait contre la façade. Il faisait trop sombre pour qu'il puisse l'identifier mais ses intentions étaient très claires, il ne lui voulait pas du bien. Plus loin il vit une ombre les rejoindre, une cigarette rougeoyait. Le deuxième homme asséna avec rancoeur après avoir envoyé valser son mégot :
- Laisse Sarah tranquille ou tu pourrais bien le regretter.
Dernière édition par le Mer 29 Aoû - 1:23, édité 2 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Hasard
j'espère que tu nous l'as pas trop amoché !!
En tout cas vivement la suite
En tout cas vivement la suite
reaped- Admis à l'infirmerie
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Re: Hasard
genial ,
c'est qui ces homme qui veulent faire du mal a went
et qui veut separer sara de went
met vite la suite
s t p
c'est qui ces homme qui veulent faire du mal a went
et qui veut separer sara de went
met vite la suite
s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Hasard
Han qui veut du mal a Went?
Hate de lire la suite
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hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Hasard
hayley a écrit:Han qui veut du mal a Went?
Hate de lire la suite
je crois savoir moi qui lui veut du mal
Mouarf , pourront ils vivre enfin heureux ? non mais!
angel_of_suburbia- Admis à l'infirmerie
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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