les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Génial ta suite
j'espère que Lorène va s'en sortir
vivement la suite
j'espère que Lorène va s'en sortir
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ho my God c'est un moment tellement...tellement touchant tellement beau rien a dire j'en reste sans voix!!
sympa le ptit clin d'oeil a Urgences(le cook county )
ta fic ma manqué ne nous laisse plus pliz!
sympa le ptit clin d'oeil a Urgences(le cook county )
ta fic ma manqué ne nous laisse plus pliz!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
JE VEUX LA SUITE AUJOURDUI STPSTPSTPSTP !!!! JVAIS PAS TENIR !!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
charline-kilou a écrit:JE VEUX LA SUITE AUJOURDUI STPSTPSTPSTP !!!! JVAIS PAS TENIR !!!
Ha ouais moi aussi jvais pas tenir jsuis dans un état mais pas possible
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Amaria : bravo pour le ptit clin d'oeil a Urgences : le cook county
un gros merci pour tout vos comms, car c'est vraiment motivant... surtout qu'en se moment mes suites ne me plaisent pas vraiment... un peu trop rébarbative... mais bon ca va me passer
pensée de Sara: violet
pensée de Mike : bleu
pensée de Linc : marron
pensée de Lorène : vert
part1
Je te laisse dans cette chambre. Je sais que c’est la seule chose qui peut la sortir de là. Il n’y a aucun médicament miracle qui permettent de faire remonter la température de son corps. Elle semble si faible que je me demande si elle y arriverait toute seule. J’espère juste que Mickaël ne voie pas ses plaies. Elles ne sont pas horribles, mais devant une telle profusion. Je ne suis pas sûre qu’il pourrait oublier cette vision. Moi-même, j’ai cette image qui me hante. Pourtant je suis habitué mais je n’ai jamais rien vu de tel. Je descends calmement. Lincoln est assis sur un fauteuil. Je le sens si las, abattu. Je pensais bien que cela le toucherait, mais je ne pensais pas à se point. Il est là, la tête baissée, enfouie dans ses mains. Je n’ose pas faire de bruit. Personne ne parle. Jane et Steve ne sont pas là.
L.J. (inquiet) : Sara, comment va-t-elle ?
S (positivement) : je ferai tous ce que je peux, mais elle est très faible.
L.J. (démoralisé) : je vois, elle va mourir ?
L (hurlant) : non, L.J.
S (la gorge serrée) : Lincoln, c’est une éventualité
L (bravache) : doc, vous ne la connaissez pas elle se battra, elle s’est toujours battu
S : Lincoln, laissez… je vais me faire une tasse de café.
Je m’en veux d’avoir hurler sur Sara et L.J. mais je n’arrive plus à me contrôler. Si on perd espoir, si on ne la soutient pas… je ne peux pas me résoudre à ce que Mike ait raison. Tous ceux qui sont autour de nous meurent, les uns après les autres. Je vois que L.J. est complètement désemparé, je me lève pour aller le prendre dans mes bras. Il me devance, se jetant littéralement sur mon torse. Je ne l’avais jamais senti aussi fébrile. Il se réfugie dans mes bras tel un animal blessé. Je me rends compte qu’il a beaucoup grandis ces derniers mois. Il ne m’a pas parlé de son séjour en prison, de la mort de sa mère… il essaye d’être fort mais je sens bien qu’il n’en peut plus, qu’il est au bout du rouleau. Je sens le jeune homme qu’il est à présent s'efforcer de se contenir, mais je perçois ses sanglots s’étouffer dans gorge, tout comme les miens.
L : ça va aller, tu verras !
L.J. (en pleurs) : je ne pourrais pas…. Elle est tout ce qui me reste hormis toi ! si…
L resserrant son étreinte : elle s’en sortiras, elle a le meilleur médecin que je connaisse auprès d’elle.
L.J. (interloqué) : mais tu disais qu’elle serait mieux à l’hôpital ?
L : j’étais en colère, je le suis toujours mais contre moi. Je m’en veux qu’elle soit mêlée à tout ceci.
L.J. (sondant le regard de son père) : tu es au courant pour le bébé, non ?
L (ne maîtrisant plus ses larmes) : oui, de comment c’est arrivé, de ta présence à ses côtés.
L.J. (avec un petit sourire) : j’ai essayer de faire comme toi si tu avais été là, je ne l’ai pas quitter. Papa
L : oui, dis-moi
L.J (fondant en larmes) : maman me manque et j’ai peur que Lorène …
L (réconfortant) : viens là. Tu es la personne pour qui elle se battra, pour qui elle restera en vie, fais-moi confiance.
L.J. : je ferais mieux d’aller me coucher, j’ai cours demain.
L (surpris) : tes cours, L.J. tu n’es pas obligé
L.J. : tu veux qu’elle me tue, quand elle se réveille !
L : tu feras comme tu veux mais si tu veux rester, je suis ton père encore.
L.J. : tu me réveilles si son état bouge.
L (lui déposant un baiser dans ses cheveux) : promis mon grand.
La nuit va être très longue. Il est 3h30 du matin et je sens que je ne suis pas prête à aller dormir. De toute façon, vu l’état dans lequel se trouve Lorène, j’aurai du mal à trouver le sommeil. Cette jeune femme pleine de vie, qui semblait prendre la vie à bras le corps malgré tout ce que la vie lui a infligé ses derniers mois, semble tellement loin. J’ai vraiment peur qu’elle ne survive pas. Les prochaines heures vont être déterminantes. Je ne cesse de penser à Mickaël. Le savoir près d’elle fait monter en moi une inquiétude telle que je n’arrive pas à la contenir. Mes mains tremblent comme rarement. Seulement contrairement à hier soir, où je l’avoue c’était par jalousie, là c’est exclusivement par peur. Peur qu’elle meurt dans ses bras, qu’il ne dise rien et qu’il reste avec son corps sans vie près de lui. Peur de sa réaction devant ce drame. Faut que je me sorte toutes ses idées noires de la tête, je suis médecin, ma patiente va s’en sortir, il n’y a pas de raisons. Je ne remarque pas que la tasse de café que je me suis servi est brûlante, du moins pas avant de m’ébouillanter les lèvres.
S : haï
P : faites attention à vous. Si le médecin est hors service, on est mal !
S : Paul arrêté avec vos sarcasmes, franchement je ne suis pas d’humeur.
P : j’essaye de détendre un peu l’atmosphère. C’est déjà un miracle qu’elle soit là en vie.
S : je crois qu’on a le moral déjà assez miné, vous n’avez pas besoin d’en rajouter.
P : Sara, j’imagine très bien dans quel état elle peut être et ce qu’on a put lui faire endurer. Sara, excusez-moi par avance, mais ce que je vous ai fais c’était de l’enfantillage par rapport. Vous me comprenez, ils ont grillés les premiers stades d’interrogatoires. Ils ont utiliser des manières que seules les résumés pourraient vous glacer le sang.
S : je m’en doute. Ils lui ont fais plusieurs injections, à votre avis ?
P : il peut en avoir des millions. Sûrement des psychotropes, mais il y en a tellement !
S : vous sembler pâle, tout va bien ?
P : vous vous inquiétez pour moi ? Non. Tout va bien, c’est juste qu’elle ne mérite pas ceci.
S : peut-être que moi, je le …
P : non, et vous êtes toujours là. C’est juste que c’est une personne à laquelle on s’attache facilement c’est tout. Je sais que vous ferez tout votre possible.
S : merci Paul.
Je n’en reviens pas, il semble si troublé par ce qui se passe que j’en ai presque des frissons. On a échangé des paroles sans se bouffer le nez, des paroles sincères. Je le vois se poser discrètement dans le canapé, sa tasse de café à la main. Il essaye de se faire oublier, mais il ne cesse d’aider, de faire en sorte que tout aille bien. Je n’aurais jamais crut cela possible. Je me surprends même à penser que cet individu si sournois a peut-être un cœur. Je suis ému par l’étreinte que j’ai aperçue entre Lincoln et son fils. De les voir tous les deux, cela me renvoie à ma propre vie avec mon père. Quel gâchis !
Lincoln s’avance vers moi, l’air tout penaud, je commence à bien connaître ce regard. Il veut s’excuser, mais moi, je ne suis pas sûr d’arriver à contenir ma peine face à lui. Je le sens encore plus errant que Mickaël, ce n’est pas peu dire.
L les yeux tombant : doc, Sara, excusez-moi. Je ne voulais me montrer désagréable avec vous.
Je ne peux m’empêcher de rire devant ce colosse tout timide.
S : Lincoln, vous n’avez pas à vous excuser. La situation est loin d’être simple.
L : où est Mike, il est en haut ?
Je ne sais pas trop quoi lui dire, j’ai peur qu’il ne s’inquiète davantage. Mais je ne peux pas lui mentir.
S : la température de Lorène à chuter soudainement, et…
Je sens son visage se décomposer, tout comme le mien. Il est effrayé par ce que je viens de lui dire.
L : quoi ?
S : il est allongé auprès d’elle pour essayer de le réchauffer un peu…
L : vous voulez dire que … Sara, vous avez laissez Mike se mettre contre Lorène…
S : c’est la seule solution, c’est un peu archaïque mais c’est ce qui sera le plus efficace et le plus rapide.
L : je vous crois. Mais c’est juste que vous me surprenez. Vous laissez Mike être dans les bras d’une autre ?
S : c’est purement médical. Et de toute façon, qui auraient pu être quasi nu auprès de Lorène sans attirer vos foudres, hein. Mike, au moins vous savez qu’elle ne risque rien !
J’ai réussi l’impensable, il esquisse un petit rictus.
L : il y aurait pu avoir Jane !
S : je ne l’ai pas vu, vous savez où elle est ?
L : dehors avec Steve. Ils avaient des choses à régler.
Je ne peux plus me contenir. Depuis que Lorène est arrivée, je ne cesse de me contrôler, de faire semblant d’être un médecin envers et contre tout. Seulement je dois bien avouer que je me suis attaché à cette femme moi aussi, elle semble si entière. Je ne cesse de penser à Mickaël et Lincoln s’ils la perdent, ils seront anéantis. Sans parler de L.J., je suis certaine que sera un véritable drame pour lui. Il a tellement transféré d’affection envers Lorène que je ne suis pas sûr qu’il en sortira indemne. Je sens les larmes monter à mes yeux. Lincoln est là face à moi. Je n’ose pas me réfugier dans ses bras. J’ai peur de ne plus pouvoir m’en extraire, de ne plus pouvoir affronter la tache qui est la mienne. Je le vois s’approcher de moi, son torse venant se poser contre ma tête, ses bras m’entourant. Il essaye de se faire le plus protecteur possible. Je me sens happer par le réconfort qu’il m’amène.
L : eh ! Elle a le meilleur des médecins pour la soigner !
S : j’ai si peur ! si elle devait… je ne suis pas sûr que Mickaël…
L : personne ici ne s’en remettrait, croyez-moi !
S : je suis désolé, je devrais être plus forte.
L : vous plaisantez. C’est moi qui devrais m’excuser, je n’ai pas été tendre avec vous ces derniers temps. Mais, il y a tellement de choses, que je ne sais pas trop quoi penser parfois.
S : c’est normal. Vous la connaissez depuis si longtemps. Je veux dire qu’elle est comme votre sœur tandis que moi…
L : vous, je vous dois énormément Sara, je vous dois la vie. Je vous en serai éternellement reconnaissant. Mais par-dessus tout, vous rendez mon frère heureux et cela pour moi ça n’a pas de prix.
Je sens mes joues cramoisies devant une telle déclaration. Il est rare de Lincoln se confit mais quand il le fait ça laisse complètement pantoise.
S : je ferais mieux de remonter pour voir ma patiente.
L : Sara, je peux vous posez une question ?
S : bien sûr
L (tourmenté) : est-ce qu’ils l’ont violentés ? tout bas. sexuellement je veux dire.
S : non, je crois pas. J’ai fais un examen rapide, mais elle ne présente aucune trace allant dans ce sens.
L (soulagé) : merci
un gros merci pour tout vos comms, car c'est vraiment motivant... surtout qu'en se moment mes suites ne me plaisent pas vraiment... un peu trop rébarbative... mais bon ca va me passer
pensée de Sara: violet
pensée de Mike : bleu
pensée de Linc : marron
pensée de Lorène : vert
part1
Je te laisse dans cette chambre. Je sais que c’est la seule chose qui peut la sortir de là. Il n’y a aucun médicament miracle qui permettent de faire remonter la température de son corps. Elle semble si faible que je me demande si elle y arriverait toute seule. J’espère juste que Mickaël ne voie pas ses plaies. Elles ne sont pas horribles, mais devant une telle profusion. Je ne suis pas sûre qu’il pourrait oublier cette vision. Moi-même, j’ai cette image qui me hante. Pourtant je suis habitué mais je n’ai jamais rien vu de tel. Je descends calmement. Lincoln est assis sur un fauteuil. Je le sens si las, abattu. Je pensais bien que cela le toucherait, mais je ne pensais pas à se point. Il est là, la tête baissée, enfouie dans ses mains. Je n’ose pas faire de bruit. Personne ne parle. Jane et Steve ne sont pas là.
L.J. (inquiet) : Sara, comment va-t-elle ?
S (positivement) : je ferai tous ce que je peux, mais elle est très faible.
L.J. (démoralisé) : je vois, elle va mourir ?
L (hurlant) : non, L.J.
S (la gorge serrée) : Lincoln, c’est une éventualité
L (bravache) : doc, vous ne la connaissez pas elle se battra, elle s’est toujours battu
S : Lincoln, laissez… je vais me faire une tasse de café.
Je m’en veux d’avoir hurler sur Sara et L.J. mais je n’arrive plus à me contrôler. Si on perd espoir, si on ne la soutient pas… je ne peux pas me résoudre à ce que Mike ait raison. Tous ceux qui sont autour de nous meurent, les uns après les autres. Je vois que L.J. est complètement désemparé, je me lève pour aller le prendre dans mes bras. Il me devance, se jetant littéralement sur mon torse. Je ne l’avais jamais senti aussi fébrile. Il se réfugie dans mes bras tel un animal blessé. Je me rends compte qu’il a beaucoup grandis ces derniers mois. Il ne m’a pas parlé de son séjour en prison, de la mort de sa mère… il essaye d’être fort mais je sens bien qu’il n’en peut plus, qu’il est au bout du rouleau. Je sens le jeune homme qu’il est à présent s'efforcer de se contenir, mais je perçois ses sanglots s’étouffer dans gorge, tout comme les miens.
L : ça va aller, tu verras !
L.J. (en pleurs) : je ne pourrais pas…. Elle est tout ce qui me reste hormis toi ! si…
L resserrant son étreinte : elle s’en sortiras, elle a le meilleur médecin que je connaisse auprès d’elle.
L.J. (interloqué) : mais tu disais qu’elle serait mieux à l’hôpital ?
L : j’étais en colère, je le suis toujours mais contre moi. Je m’en veux qu’elle soit mêlée à tout ceci.
L.J. (sondant le regard de son père) : tu es au courant pour le bébé, non ?
L (ne maîtrisant plus ses larmes) : oui, de comment c’est arrivé, de ta présence à ses côtés.
L.J. (avec un petit sourire) : j’ai essayer de faire comme toi si tu avais été là, je ne l’ai pas quitter. Papa
L : oui, dis-moi
L.J (fondant en larmes) : maman me manque et j’ai peur que Lorène …
L (réconfortant) : viens là. Tu es la personne pour qui elle se battra, pour qui elle restera en vie, fais-moi confiance.
L.J. : je ferais mieux d’aller me coucher, j’ai cours demain.
L (surpris) : tes cours, L.J. tu n’es pas obligé
L.J. : tu veux qu’elle me tue, quand elle se réveille !
L : tu feras comme tu veux mais si tu veux rester, je suis ton père encore.
L.J. : tu me réveilles si son état bouge.
L (lui déposant un baiser dans ses cheveux) : promis mon grand.
La nuit va être très longue. Il est 3h30 du matin et je sens que je ne suis pas prête à aller dormir. De toute façon, vu l’état dans lequel se trouve Lorène, j’aurai du mal à trouver le sommeil. Cette jeune femme pleine de vie, qui semblait prendre la vie à bras le corps malgré tout ce que la vie lui a infligé ses derniers mois, semble tellement loin. J’ai vraiment peur qu’elle ne survive pas. Les prochaines heures vont être déterminantes. Je ne cesse de penser à Mickaël. Le savoir près d’elle fait monter en moi une inquiétude telle que je n’arrive pas à la contenir. Mes mains tremblent comme rarement. Seulement contrairement à hier soir, où je l’avoue c’était par jalousie, là c’est exclusivement par peur. Peur qu’elle meurt dans ses bras, qu’il ne dise rien et qu’il reste avec son corps sans vie près de lui. Peur de sa réaction devant ce drame. Faut que je me sorte toutes ses idées noires de la tête, je suis médecin, ma patiente va s’en sortir, il n’y a pas de raisons. Je ne remarque pas que la tasse de café que je me suis servi est brûlante, du moins pas avant de m’ébouillanter les lèvres.
S : haï
P : faites attention à vous. Si le médecin est hors service, on est mal !
S : Paul arrêté avec vos sarcasmes, franchement je ne suis pas d’humeur.
P : j’essaye de détendre un peu l’atmosphère. C’est déjà un miracle qu’elle soit là en vie.
S : je crois qu’on a le moral déjà assez miné, vous n’avez pas besoin d’en rajouter.
P : Sara, j’imagine très bien dans quel état elle peut être et ce qu’on a put lui faire endurer. Sara, excusez-moi par avance, mais ce que je vous ai fais c’était de l’enfantillage par rapport. Vous me comprenez, ils ont grillés les premiers stades d’interrogatoires. Ils ont utiliser des manières que seules les résumés pourraient vous glacer le sang.
S : je m’en doute. Ils lui ont fais plusieurs injections, à votre avis ?
P : il peut en avoir des millions. Sûrement des psychotropes, mais il y en a tellement !
S : vous sembler pâle, tout va bien ?
P : vous vous inquiétez pour moi ? Non. Tout va bien, c’est juste qu’elle ne mérite pas ceci.
S : peut-être que moi, je le …
P : non, et vous êtes toujours là. C’est juste que c’est une personne à laquelle on s’attache facilement c’est tout. Je sais que vous ferez tout votre possible.
S : merci Paul.
Je n’en reviens pas, il semble si troublé par ce qui se passe que j’en ai presque des frissons. On a échangé des paroles sans se bouffer le nez, des paroles sincères. Je le vois se poser discrètement dans le canapé, sa tasse de café à la main. Il essaye de se faire oublier, mais il ne cesse d’aider, de faire en sorte que tout aille bien. Je n’aurais jamais crut cela possible. Je me surprends même à penser que cet individu si sournois a peut-être un cœur. Je suis ému par l’étreinte que j’ai aperçue entre Lincoln et son fils. De les voir tous les deux, cela me renvoie à ma propre vie avec mon père. Quel gâchis !
Lincoln s’avance vers moi, l’air tout penaud, je commence à bien connaître ce regard. Il veut s’excuser, mais moi, je ne suis pas sûr d’arriver à contenir ma peine face à lui. Je le sens encore plus errant que Mickaël, ce n’est pas peu dire.
L les yeux tombant : doc, Sara, excusez-moi. Je ne voulais me montrer désagréable avec vous.
Je ne peux m’empêcher de rire devant ce colosse tout timide.
S : Lincoln, vous n’avez pas à vous excuser. La situation est loin d’être simple.
L : où est Mike, il est en haut ?
Je ne sais pas trop quoi lui dire, j’ai peur qu’il ne s’inquiète davantage. Mais je ne peux pas lui mentir.
S : la température de Lorène à chuter soudainement, et…
Je sens son visage se décomposer, tout comme le mien. Il est effrayé par ce que je viens de lui dire.
L : quoi ?
S : il est allongé auprès d’elle pour essayer de le réchauffer un peu…
L : vous voulez dire que … Sara, vous avez laissez Mike se mettre contre Lorène…
S : c’est la seule solution, c’est un peu archaïque mais c’est ce qui sera le plus efficace et le plus rapide.
L : je vous crois. Mais c’est juste que vous me surprenez. Vous laissez Mike être dans les bras d’une autre ?
S : c’est purement médical. Et de toute façon, qui auraient pu être quasi nu auprès de Lorène sans attirer vos foudres, hein. Mike, au moins vous savez qu’elle ne risque rien !
J’ai réussi l’impensable, il esquisse un petit rictus.
L : il y aurait pu avoir Jane !
S : je ne l’ai pas vu, vous savez où elle est ?
L : dehors avec Steve. Ils avaient des choses à régler.
Je ne peux plus me contenir. Depuis que Lorène est arrivée, je ne cesse de me contrôler, de faire semblant d’être un médecin envers et contre tout. Seulement je dois bien avouer que je me suis attaché à cette femme moi aussi, elle semble si entière. Je ne cesse de penser à Mickaël et Lincoln s’ils la perdent, ils seront anéantis. Sans parler de L.J., je suis certaine que sera un véritable drame pour lui. Il a tellement transféré d’affection envers Lorène que je ne suis pas sûr qu’il en sortira indemne. Je sens les larmes monter à mes yeux. Lincoln est là face à moi. Je n’ose pas me réfugier dans ses bras. J’ai peur de ne plus pouvoir m’en extraire, de ne plus pouvoir affronter la tache qui est la mienne. Je le vois s’approcher de moi, son torse venant se poser contre ma tête, ses bras m’entourant. Il essaye de se faire le plus protecteur possible. Je me sens happer par le réconfort qu’il m’amène.
L : eh ! Elle a le meilleur des médecins pour la soigner !
S : j’ai si peur ! si elle devait… je ne suis pas sûr que Mickaël…
L : personne ici ne s’en remettrait, croyez-moi !
S : je suis désolé, je devrais être plus forte.
L : vous plaisantez. C’est moi qui devrais m’excuser, je n’ai pas été tendre avec vous ces derniers temps. Mais, il y a tellement de choses, que je ne sais pas trop quoi penser parfois.
S : c’est normal. Vous la connaissez depuis si longtemps. Je veux dire qu’elle est comme votre sœur tandis que moi…
L : vous, je vous dois énormément Sara, je vous dois la vie. Je vous en serai éternellement reconnaissant. Mais par-dessus tout, vous rendez mon frère heureux et cela pour moi ça n’a pas de prix.
Je sens mes joues cramoisies devant une telle déclaration. Il est rare de Lincoln se confit mais quand il le fait ça laisse complètement pantoise.
S : je ferais mieux de remonter pour voir ma patiente.
L : Sara, je peux vous posez une question ?
S : bien sûr
L (tourmenté) : est-ce qu’ils l’ont violentés ? tout bas. sexuellement je veux dire.
S : non, je crois pas. J’ai fais un examen rapide, mais elle ne présente aucune trace allant dans ce sens.
L (soulagé) : merci
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
part2 :
Dehors :
J (hystérique) : Steve expliques moi tout de suite ce qui se passe ?
St (calme) : rien, pourquoi ? Je m’inquiète c’est tout ?
J : tu me prends pour une conne ! Tu crois que je ne suis au courant de rien ! Dean et Vince m’ont expliqués que tu étais limite, Steve. Tu as fait de ceci une histoire personnelle, ne me dis pas le contraire. Ils m’ont dit que tu avais pris énormément de risques, qu’ils n’étaient pas forcément calculés. Vous avez faillis y laisser votre peau.
St : je savais ce que je faisais et tu le sais ! Je suis un pro !
J : un pro ! Tu es près à buter un mec quand tu vois l’état de Lorène, c’est ça être pro ! C’est être impliqué, Steve.
St : oui et alors. Tu n'as pas vu ce qu’ils lui ont fait, l’endroit sordide dans lequel on l’a trouvé…
J : tu as des sentiments pour elle ? Réponds-moi !
St : je ne vois pas en quoi cela te concerne !
J : je crois que ta réponse est claire. Tu as oublié les règles, pas de sentiments, Steve. Ne pas s’attacher aux gens que l’on protège, avec qui on travaille.
St (vociférant) : non, mais je crois que c’est toi qui te fous de ma gueule ! Tu crois que je n’ai rien vu, toi et Burrows.
J (sèche) : je ne vois pas de quoi tu parles !
St (hurlant) : sois au moins franche avec toi-même ! Si Aldo te voyait, il te mettrait une de ses branlée !
J : pas plus qu’à toi ! Ça dure depuis quant vous deux ? Laisse moi devinez depuis que tu la sauvée la dernière fois, je paris !
St (les larmes aux yeux) : Jane, je tiens vraiment à elle. Tu voulais que je fasse quoi, non je suis désolé, je ne mélange pas le boulot et les sentiments même si j’en crève d’envie. Voyons !
J : ce n’est pas facile, je conçois. Je vais te donner un dernier ordre et je veux que tu t’y tiennes sinon…
St (anxieux) : lequel ?
J (souriante) : tu ne la quitte plus d’une semelle, tu va travailler avec elle, tu fais les courses avec elle, le shopping, tu vis ici. Même au chiotte, tu ne la lâches pas.
St (riant) : tu ne m’auras jamais vu aussi efficace.
J : j’y compte bien, car les 2 là-bas ne nous louperons pas s’il lui arrive quoi que ce soit.
J’entrouvre la porte de la chambre. Aussitôt il plonge son regard dans le mien. Ce que je suis en train de voir, me serre le cœur comme jamais. L’homme que j’aime, tenant dans ses bras une autre femme. Mais ce qui me fait le plus de mal, c’est de le voir si fragile, si tendre avec elle. Je sens bien que pour lui aussi la situation est délicate. Je suis soulagé de le voir aussi serein. Je n’avais qu’une peur, qu’elle soit morte. Mais le monitoring, affiche un rythme cardiaque régulier, bas mais méthodique. J’essaye de faire bonne figure, de dissimuler ma peur derrière un sourire le plus naturel possible. Faut que j’agisse en médecin et non pas en tant qu’amie, faut que tu restes concentré. Je ne peux détacher mon regard du sien. Il ne m’a pas quitter du regard comme pour me signifier que j’étais pour lui la personne la plus importante, comme pour vérifier si j’allais bien. Je sens une tonne de désespoirs dans se regard, tellement d’incertitude.
M (à voix basse) : je crois qu’elle va un peu mieux.
je lui prends la main comme pour faire renaître la fusion entre nous, comme pour lui dire que tout va bien.
S : reste encore auprès d’elle, le temps que je l’examine.
M : tu es sûre.
Elle me laisse la pencher encore un peu plus vers moi, la lumière tamisé de la pièce nous plonge dans une ambiance spéciale. Comme si tout n’était que retenus, sous-entendus. Elle prend sa température, son pouls, contrôle sa respiration. Tout ceci, dans un silence absolu, j’ai peur de bouger. De la déconcentrer. Elle s’assoit sur la chaise juste à côté.
S : bon elle semble stable. Elle à même repris quelque couleur. Si tu veux rester auprès d’elle, je n’y pas d’inconvénient mais pas trop longtemps.
M : non, je pense que tu dois la soigner, non ?
Je suis soulagé que ceci est marché. Ces minutes m’ont parus être une éternité. Je ne peux décrocher des yeux rougis de Sara. Je sais que la situation est difficile pour elle. C’est bien pour cela que je dois sortir de ce lit. Mon dieu, j’ai l’impression de rêver.
M : Sara, elle à bougée, sa main a bougée.
S : c’est peut-être juste un réflexe, mais dans les deux cas c’est très bon signe.
Je m’éloigne d’elle, avec un sentiment immense de confiance. Je sais qu’elle va se battre, je le sens au plus profond de moi. Un fois rhabillé, je ne cesse d’observer Sara, prenant soin de Lorène. Elle est si concentré, calme… j’ai vraiment l’impression que tout va mieux. Je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras au moment où elle se relève. Je sens son étreinte se refermer sur moi. J’ai besoin d’elle, elle est ma bouée. Je ne peux m’empêcher de la serrer tout contre moi. Je prends conscience que si c’était elle dans ce lit, je ne pourrais plus vivre, elle est toute ma vie, mon avenir.
Cet odeur, Mike… je n’arrive pas à savoir où je suis, je ne peux pas bouger, mes yeux s’entrouvrent à peine. Je distingue des lignes. Je me sens si faible, comme paralysée. J’ai l’impression que respirer est un effort surhumain. Ces lignes, je dessine les contours avec le bout de mes doigts. Ces quelques millimètres absorbent les quelques forces qui sont en moi. Ces lignes je les connaît , elles ressemblent au dessin que Mike avait fait. Le dessin de ma bague de fiançailles. J’ai comme des flash qui me viennent à mon esprit, les visage de L.J., Lincoln, Jane, Steve…celui de Mike, la nuit dernière « je t’aime tellement, tu feras toujours partie de moi, tu es en moi et tu seras toujours avec moi … (montrant son cœur) »… je suis tellement faible…
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Dehors :
J (hystérique) : Steve expliques moi tout de suite ce qui se passe ?
St (calme) : rien, pourquoi ? Je m’inquiète c’est tout ?
J : tu me prends pour une conne ! Tu crois que je ne suis au courant de rien ! Dean et Vince m’ont expliqués que tu étais limite, Steve. Tu as fait de ceci une histoire personnelle, ne me dis pas le contraire. Ils m’ont dit que tu avais pris énormément de risques, qu’ils n’étaient pas forcément calculés. Vous avez faillis y laisser votre peau.
St : je savais ce que je faisais et tu le sais ! Je suis un pro !
J : un pro ! Tu es près à buter un mec quand tu vois l’état de Lorène, c’est ça être pro ! C’est être impliqué, Steve.
St : oui et alors. Tu n'as pas vu ce qu’ils lui ont fait, l’endroit sordide dans lequel on l’a trouvé…
J : tu as des sentiments pour elle ? Réponds-moi !
St : je ne vois pas en quoi cela te concerne !
J : je crois que ta réponse est claire. Tu as oublié les règles, pas de sentiments, Steve. Ne pas s’attacher aux gens que l’on protège, avec qui on travaille.
St (vociférant) : non, mais je crois que c’est toi qui te fous de ma gueule ! Tu crois que je n’ai rien vu, toi et Burrows.
J (sèche) : je ne vois pas de quoi tu parles !
St (hurlant) : sois au moins franche avec toi-même ! Si Aldo te voyait, il te mettrait une de ses branlée !
J : pas plus qu’à toi ! Ça dure depuis quant vous deux ? Laisse moi devinez depuis que tu la sauvée la dernière fois, je paris !
St (les larmes aux yeux) : Jane, je tiens vraiment à elle. Tu voulais que je fasse quoi, non je suis désolé, je ne mélange pas le boulot et les sentiments même si j’en crève d’envie. Voyons !
J : ce n’est pas facile, je conçois. Je vais te donner un dernier ordre et je veux que tu t’y tiennes sinon…
St (anxieux) : lequel ?
J (souriante) : tu ne la quitte plus d’une semelle, tu va travailler avec elle, tu fais les courses avec elle, le shopping, tu vis ici. Même au chiotte, tu ne la lâches pas.
St (riant) : tu ne m’auras jamais vu aussi efficace.
J : j’y compte bien, car les 2 là-bas ne nous louperons pas s’il lui arrive quoi que ce soit.
J’entrouvre la porte de la chambre. Aussitôt il plonge son regard dans le mien. Ce que je suis en train de voir, me serre le cœur comme jamais. L’homme que j’aime, tenant dans ses bras une autre femme. Mais ce qui me fait le plus de mal, c’est de le voir si fragile, si tendre avec elle. Je sens bien que pour lui aussi la situation est délicate. Je suis soulagé de le voir aussi serein. Je n’avais qu’une peur, qu’elle soit morte. Mais le monitoring, affiche un rythme cardiaque régulier, bas mais méthodique. J’essaye de faire bonne figure, de dissimuler ma peur derrière un sourire le plus naturel possible. Faut que j’agisse en médecin et non pas en tant qu’amie, faut que tu restes concentré. Je ne peux détacher mon regard du sien. Il ne m’a pas quitter du regard comme pour me signifier que j’étais pour lui la personne la plus importante, comme pour vérifier si j’allais bien. Je sens une tonne de désespoirs dans se regard, tellement d’incertitude.
M (à voix basse) : je crois qu’elle va un peu mieux.
je lui prends la main comme pour faire renaître la fusion entre nous, comme pour lui dire que tout va bien.
S : reste encore auprès d’elle, le temps que je l’examine.
M : tu es sûre.
Elle me laisse la pencher encore un peu plus vers moi, la lumière tamisé de la pièce nous plonge dans une ambiance spéciale. Comme si tout n’était que retenus, sous-entendus. Elle prend sa température, son pouls, contrôle sa respiration. Tout ceci, dans un silence absolu, j’ai peur de bouger. De la déconcentrer. Elle s’assoit sur la chaise juste à côté.
S : bon elle semble stable. Elle à même repris quelque couleur. Si tu veux rester auprès d’elle, je n’y pas d’inconvénient mais pas trop longtemps.
M : non, je pense que tu dois la soigner, non ?
Je suis soulagé que ceci est marché. Ces minutes m’ont parus être une éternité. Je ne peux décrocher des yeux rougis de Sara. Je sais que la situation est difficile pour elle. C’est bien pour cela que je dois sortir de ce lit. Mon dieu, j’ai l’impression de rêver.
M : Sara, elle à bougée, sa main a bougée.
S : c’est peut-être juste un réflexe, mais dans les deux cas c’est très bon signe.
Je m’éloigne d’elle, avec un sentiment immense de confiance. Je sais qu’elle va se battre, je le sens au plus profond de moi. Un fois rhabillé, je ne cesse d’observer Sara, prenant soin de Lorène. Elle est si concentré, calme… j’ai vraiment l’impression que tout va mieux. Je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras au moment où elle se relève. Je sens son étreinte se refermer sur moi. J’ai besoin d’elle, elle est ma bouée. Je ne peux m’empêcher de la serrer tout contre moi. Je prends conscience que si c’était elle dans ce lit, je ne pourrais plus vivre, elle est toute ma vie, mon avenir.
Cet odeur, Mike… je n’arrive pas à savoir où je suis, je ne peux pas bouger, mes yeux s’entrouvrent à peine. Je distingue des lignes. Je me sens si faible, comme paralysée. J’ai l’impression que respirer est un effort surhumain. Ces lignes, je dessine les contours avec le bout de mes doigts. Ces quelques millimètres absorbent les quelques forces qui sont en moi. Ces lignes je les connaît , elles ressemblent au dessin que Mike avait fait. Le dessin de ma bague de fiançailles. J’ai comme des flash qui me viennent à mon esprit, les visage de L.J., Lincoln, Jane, Steve…celui de Mike, la nuit dernière « je t’aime tellement, tu feras toujours partie de moi, tu es en moi et tu seras toujours avec moi … (montrant son cœur) »… je suis tellement faible…
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique suite !!!!!!
que c'est triste !!!!
j ' espere qu ' elle va s'en sortir lorene !! dit !!!
j ' en redemande encore , encore , encore
que c'est triste !!!!
j ' espere qu ' elle va s'en sortir lorene !! dit !!!
j ' en redemande encore , encore , encore
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
OoO je sais je suis martO mais jadOre quand cest trIste !!!!!!!!
jesper quelle va sen sortire lorene hein tu va pas faire la méchante ?!
viiivement la suiiiite
jesper quelle va sen sortire lorene hein tu va pas faire la méchante ?!
viiivement la suiiiite
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je veux la suite!!!
anso26- Retrouve Steadman
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Localisation : à los angeles avec went et sarah
Date d'inscription : 30/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Enneade ta suite était vraiment super pour pas changer!!!
Et en plus elle était bien longue, tous ce qu'on aime!!!!
Préssée de lire la suite surtout si tu commençe à nous réveille Lorène
Et en plus elle était bien longue, tous ce qu'on aime!!!!
Préssée de lire la suite surtout si tu commençe à nous réveille Lorène
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
un mot suffit :
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
que démotions dans ces deux superbes parties! L'attente a été longue mais envalait plus que grandement la chandelle!
J'aime beaucoup ce que tu fais de Sara... Elle est forte et fragile à la fois! Tout comme Linc, que j'adore aussi de plus en plus dans ta fic!
Et nous faire passer d'un point de vue à un autre, je suis de plus en plus fan! Ca donne une originalité et un profonduer d'enfer à tes écrits!
J'ai bien hâte de lire la suite...
J'aime beaucoup ce que tu fais de Sara... Elle est forte et fragile à la fois! Tout comme Linc, que j'adore aussi de plus en plus dans ta fic!
Et nous faire passer d'un point de vue à un autre, je suis de plus en plus fan! Ca donne une originalité et un profonduer d'enfer à tes écrits!
J'ai bien hâte de lire la suite...
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 07/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
nol59 a écrit:un mot suffit :
Je ne sais pas quoi dire d'autre.
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
aller continue de te battre Lorène
viteee uneee suiteee
viteee uneee suiteee
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:Amaria : bravo pour le ptit clin d'oeil a Urgences : le cook county
je squate la série depuis le début!!
Ha mais j'ai rien a dire sur ta fic, a part
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
j'attend impatiement la suite!!!! stp met nous la vite!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je veux une suite !! stpppppppp je l'attend avec impatience !!
anso26- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : à los angeles avec went et sarah
Date d'inscription : 30/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Heu jtais déjà dit qu'il faut une suite d'Urgence??????????
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Faut surtout pas que Lorène se laisse aller!!!!!!
Sara c'est vraiment une personne extraordinaire,elle prend soin de tout le monde avant de s'occuper d'elle, tu m'etonne que Mick l'aime a en mourrir!!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sara c'est vraiment une personne extraordinaire,elle prend soin de tout le monde avant de s'occuper d'elle, tu m'etonne que Mick l'aime a en mourrir!!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Oui on attend depuis ce matin !!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
désolé pas de suite avant mardi... petit problème perso...
merci pour vos mess...
merci pour vos mess...
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Hooooooooooooooooooooooooooo grosse déception dans l'assemblé pas grave on sait que la suite sera génialissime
j'espere que ça ira pour toi!
j'espere que ça ira pour toi!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Magnifique
stp une suite
stp une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 881
Age : 41
Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ai pitié de nous ! On est des pauvres fans de ta fic attendant impatiemment une suite ! On est a genoux là !
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