les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
coucou, merci merci pour vos mess...
allez en avant pour une suite...
pensée de Linc : marron
pensée de Sara : violet
Je me sens si las, si fatigué. Jamais je n’aurai pensé pouvoir ressentir un telle exténuation. Comme si j’avais fait un marathon. Je suis dans cette chambre depuis, je ne sais pas en fait. Toute notion de réalité m’a abandonnée. Je regarde son réveil. Il est déjà 6h du matin. Cela fait presque 3h qu’elle se bat contre la mort, quatre heure que je la vois divaguer dans des délires de plus en plus fous. J’ai tellement de mal à comprendre tout ce qui s’est passé. Je n’arrive même pas à poser mes yeux sur elle. Elle est si forte. J’ai toujours voulu la protéger et je m’aperçois depuis ces dernières heures qu’elle est bien plus solide que je ne le pensais. Elle a repris quelques couleurs. Son sommeil est toujours agité, mais cela fait presque une demi-heure maintenant qu’elle ne sait pas réveillée. Seulement je n’ose pas sortir de la pièce. Comme si j’avais l’impression qu’en faisant ceci je la laissais tomber. Assis sur ce lit à ces côtés, je ne cesse de repenser à tous ce que j’ai put entendre e voir ces dernières heures. Elle se réveillé en sursaut, tel un zombie. Elle parlé, du moins ressassé des souvenirs de notre enfance, des détails que je croyais avoir oublié. Elle prononcé le nom de mon père, de ma mère, celui de son frère. Elle me semble si perdu. Je suis admiratif devant Sara, elle est là si forte. Elle la soigne comme si ça vie en dépendait. Elle ne faiblit jamais.
S : Lincoln, vous feriez mieux d’aller dormir un peu.
L : vous croyez que ça ira.
S : on a passer le plus dur. Elle s’en sortira.
L : vous aussi vous avez besoin de repos.
S (souriante) : ne vous inquiétez pas pour moi. Je reste encore un peu auprès d’elle. je ne dormirai pas de toute façon si j’ai le moindre doutes sur ma patiente.
L (plongeant son regard dans le sien) : d’accord, mais n’en faites pas trop Sara. Merci pour tout ce que vous faites pour nous.
S : Ne me remerciez pas, c’est normal Lincoln.
L (lui déposant un baiser sur le front) : Sara, bonne nuit.
Je dépose un baiser sur le front de ma princesse, pour lui sentir que je suis là. Que je part juste de l’autre côté du mur. je sors en faisant le minimum de bruit. On dirait que toute la maison est suspendue au devenir de Lorène. Je n’entends pas un seul bruits, aucun mouvements. Je me dirige vers ma chambre. Mais au fait elle est où ? la nuit dernière j’étais avec Jane. Je me stoppe naturellement devant sa porte. Ma main se pose sur la poignée. Je n’ose pas rentré cependant au plus profond de moi, j’en ai une envie irrationnelle. Un réel besoin de sentir sa peau chaude contre la mienne, le son de sa voix. J’hésite un moment ainsi. Je n’ai pas envie de lui faire du mal, de l’embarquer dans une histoire aussi sordide. Mais dans le fond si je rentre dans cette pièce c’est juste pour être auprès d’elle, pour savoir si elle va bien. J’inspire un grand coup et tourne délicatement la poignée. Elle est là assise dans son lit. Je ne peux m’empêcher de sourire en la voyant ainsi, réveillé. Cela aurait beaucoup plus simple de m’allonger auprès de son corps endormis. La voir ainsi, les yeux rougis par la tristesse me rappel à la réalité. Elle aussi a peur pour quelqu’un qu’elle aime.
L (souriant) : je peux ?
J : t’as intérêt. Comment elle va ?
L : elle dort. Sara m’a dis qu’elle été sorti d’affaire, du moins le plus gros est dernière elle.
J : approche toi.
L : je ne voulais pas te réveiller.
J : tu plaisantes, je n’arrivais pas à dormir.
L (dans un murmure) : je peux rester auprès de toi.
J : Linc,…
L (s'allongeant à ses côtés) : j’en ai besoin. Je ne veux pas être seul, être sans toi.
J : d’accord. Linc, serres moi dans tes bras.
Mes bras l’encerclent comme si c’était le bien le plus précieux et fragile que je connaisse. Je ne m’étais jamais sentie aussi vivant qu’à cette seconde. Je me sens si bien auprès de Jane que j’en oublierai presque tout ce qui se passe. Je la vois passé sa main sous ma chemise. Je ne peux m’empêcher de sourire sous la douceur de sa main. Je défais mon étreinte à regret. Seulement je n’ai pas envie de dormir sur son lit habillé. j’ai envie d’être dans ses bras, au plus près d’elle. je vois son sourire se dessiner au fur et à mesure que j’enlève mes habits. Je me glisse dans son lit, sans un bruit. Je ressert mon étreinte. Je sens ses bras autour de mon torse. Elle est si belle, si douce que je n’arrive pas à être l’homme fort et protecteur que je suis d’habitude. elle m’a vu faible comme jamais je ne l’avais été ce soir. Je n’ai pas envie de me cacher. Pour la première fois de ma vie, j’ai envie de confier mes peurs, mes angoisses à quelqu’un. A cette femme qui est dans mes bras. Elle se relève légèrement et observe mes yeux rougis. Je sens son regard pénétré en moi telle la lame d’un couteau. Elle lit en moi comme dans un livre ouvert. Je me sens impuissant devant ce regard dévastateur. Elle me prend à son tour dans ses bras. Ma tête calée contre sa poitrine, j’essaye de me concentrer sur les battements sourds de son cœur. Mais plus elle se fait douce envers moi, et plus je me sens fondre. Je distingue à peine les larmes coulées le long de mes joues tellement ma fatigue est grande. Mes paupières essayent tant bien que mal de résister mais rien n’y fait. Les bras apaisant et la chaleur du corps de Jane me font tomber dans un sommeil profond et bienfaiteur.
J’entends la porte s’ouvrir. a ma grande surprise je vois Steve s’avancer vers moi tel un enfant. Il a peur, je le sens. J’ai de plus en plus de mal à rester centraliser sur Lorène. Mon esprit commence à divaguer de plus en plus. Mes yeux se ferment dès qu’ils en ont l’occasion. mais je dois rester auprès d’elle. elle a besoin d’être surveiller. Je prends conscience depuis ce soir que je suis médecin, envers et contre tout j’ai besoin de faire ce métier, d’aider les gens, de les soigner. J’ai l’impression que Steve veut me dire quelque chose mais il semble comme interdit par ce qu’il voit. Lorène est paisiblement endormi. Tout est normal.
St (soucieux) : comment va-t-elle ?
S (réconfortante) : le plus gros est passé. Je ne peux pas vous certifier qu’elle n’aura aucune séquelle mais elle est en vie.
St : merci beaucoup Sara. Je ne sais pas comment mais je m’acquitterez de cette dette.
S : laissez tomber.
St : vous feriez mieux d’aller rejoindre Mickaël, vous avez besoin de vous reposer.
S : non, je préfère rester ici.
St : s’il vous plaît. De toute façon je ne bouge de cette chambre. Allez le rejoindre, si elle bouge je viens vous chercher.
S : d’accord.
J’ai presque du mal à me relever. Je lui donne quelques instructions au coup où. A le voir je comprends bien qu’il les écoute plus pour me faire plaisir et me rassurer qu’autre choses. Je ramasse machinalement les quelques affaires que j’ai put jeter par terre durant la nuit. Je me retourne un dernière fois pour voir si Lorène va bien. Il est là, allongé à son côté. Il la serre dans ses bras tel un enfant. Je sens mon cœur se soulever devant cette image. Il est si fort pour elle, si tendre. Il a l’air comme dévasté par ce qui vient de se passer. Je sens tellement d’amour entre eux. Je me surprend à me demander si on peut percevoir la même chose entre Mickaël et moi quand on nous regarde. J’ai presque l’impression de redevenir ado avec de telle pensée. Je me fais discrète pour ne pas les déranger. J’entends vaguement les sanglots qu’il retient sûrement depuis trop longtemps. J’espère que tout va rentrer dans l’ordre. En refermant la porte je m’aperçois que le soleil commence légèrement à rentrer dans la chambre. Je n’ai aucune notion de l’heure qu’il peut être. Je descend dans la cuisine et je tombe en extase par ce que je vois ; face à moi les fenêtres m’offrent un spectacle magnifique. Le soleil se lève à peine et se reflète insidieusement sur l’eau du lac. Je comprends pourquoi ils peuvent aimer cet endroit. C’est absolument magique. Tout me donne l’impression d’être à des milliers de kilomètres de Chicago, pourtant ce n’est qu’à une heure, à peine. Je bois tranquillement mon verre d’eau en profitant de la vue. Mes yeux se referment tout seuls. Faut vraiment que j’aille me coucher, sinon demain, du moins tout à l’heure je serai vraiment en compote. Je repasse devant la chambre de Lorène. Pendant une seconde j’ai hésité à jeter un petit coup d’œil. je les dérangerai plus qu’autre chose. Je m’avance vers la porte de ma chambre. Elle n’est pas refermée. Mickaël a du la laisser ouverte. C’est normal il est si éreinter. Je la pousse le plus doucement possible pour ne pas le réveiller. A ma grande surprise il est assis sur le rebord du lit. La tête dans ses mains. Je ne peux m’empêcher d’appréhender. il a l’air tout au si mal que ce soir dehors. Il semble si accabler, comme s’il portait tout les malheurs du monde sur ses épaules. Je m’avance doucement vers lui. Je hume son odeur qui s’est diffusé dans toute la chambre. J’adore cette sensation. Son odeur, sa présence me ferait faire n’importe quoi. Ma fatigue s’est soudainement envolé. Mais lui n’a pas bougé d’un millimètre. Là face à lui, je n’ai pas vraiment la force de me battre. En réalité, j’aurai envie qu’il se lève et me serre dans ses bras. J’ai envie d’être réconforté. Cette nuit fut tout aussi pénible pour moi que pour lui. J’ai la vague impression d’être totalement invisible à cet instant. Comme si il n’était pas connecté au même monde que moi. Je me baisse pour me retrouver face à lui. Je lui enlève les mains pour les mettre dans les miennes. Il plonge à cet instant son regard dans le mien. Il fait si sombre que je distingue à peine ses yeux. Je ressent simplement l’intensité du regard qu’il me porte. Son souffle chaud effleure légèrement mon cou. Je sens une odeur d’alcool émaner de lui. Il a bu. Je n’y croit pas. J’ai l’impression de découvrir tous ses travers en une nuit. Je souris devant ce constat. Je vais devoir mettre Mr Scofield au lit car j’ai l’impression qu’il ne le fera pas tout seul.
Je sens ses mains se détacher des miennes. Il m’enserre de toutes ses forces. Je le sens si puissant. Il me relève doucement en gardant ses yeux plongés dans les miens. Je me sens si fragile dans ses bras face à lui.
désolé pour les fautes mais j'ai pas eut le temps de relire
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'est tellement beau ton passage qu'on ne s'occupe meme pas des fautes!!!!
Et puis rien ne pourrait m'empèché d'apprécier ta fic!!!!!
J'ai hate de lire la suite!!!!
Et puis rien ne pourrait m'empèché d'apprécier ta fic!!!!!
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nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
mais c'est pas grave !
met nous vite la suite stp!!
met nous vite la suite stp!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
On s'en fout des fautes ce qui importe c'est le contenu et quel contenu!!!!
vivement la suite
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
superbe suite, mai tu coupes au moment où elle doit e mettre au lit
c'etait superbement bien écris miss, bravo
j'attends la suite avec impatience
c'etait superbement bien écris miss, bravo
j'attends la suite avec impatience
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'adore toujours autant cette fic
vite une suite stp
PS: les fautes c'est secondaire
vite une suite stp
PS: les fautes c'est secondaire
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ah ba non ca cest pas bien tu coupe au moment de ce qui va etre the scène! piouf mishunt !!!!!
hihihihihihi en tout cas troo préssé delire ta suiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeee!!!
hihihihihihi en tout cas troo préssé delire ta suiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeee!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ouais on s'en fou des fautes moi jveux la suite c'est tout!!!!!!!!!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
une suite stp!!! tu nous met une suite aujourd'hui??? dit que OUI!!!STPPPPPP
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
la voilà...
pensée de Sara : violet
pensée de Mike : bleu
pensée de Lorène : vert
Je me relève. Les yeux de Sara plongés dans les miens. Je me sens si vivant à cet instant. J’ai tellement de tension, de pression en moi. Son regard me pénètre un peu plus à chaque seconde. Mes idées ne sont pas des plus claires. Je sais pertinemment que j’ai bu quelques gorgées de trop tout à l’heure. Depuis les dernières heures, j’ai senti l’alcool monté progressivement en moi. Mais là devant elle j’ai l’impression de défaillir, que rien ne peut me retenir.
Je le sens étrangement serein. Il me semble concentré sur quelque chose que je ne voie pas. Il ne dérobe pas son regard de mes yeux. Son regard vient atteindre le plus profond de mon âme. Comme si je lui appartenait. Je ne m’étais jamais sentie ainsi. Il resserre son étreinte de plus en plus. Je sens les muscles de ses bras se contracté sur ma peau. Cette sensation d’abandon dans ses bras me fait totalement chavirer. Je me hisse fébrilement sur la pointe de mes pieds pour lui arracher un tendre baiser. Nos lèvres s’effleurent. Je me sens soulever du sol. Je perds toute notion des réalités dans ses bras. Il me plaque voilement contre le mur. Je me sens comme confondus avec son corps. Je le distingue mal. Je sens seulement son odeur, ses mains se balader lascivement sur mon corps. Chaque geste de sa part devient un réel supplice. Ses doigts se faufilent sous mon t-shirt comme pour mieux explorer ma peau. Je ne peux me retenir de gémir, sous le contact de nos peaux. Ta tête enfouie dans mon cou tu te laisses complètement submergé par ton désir. Tes baises se font de plus en plus ardent, vifs. J’ai l’impression qu’un instinct quasi animal t’anime. Tes mains se font de plus en présente sur ma peau. J’ai l’impression de manquer d’air sous la pression de ton corps sur le mien. Tu te révèles si présent, si fougueux. Comme si rien ne pouvait te maîtriser. Une part de moi est terrifier par ce qui est en train de se passer. Tu me domine totalement, le désir qui t’habite est incontrôlable. Tu ôtes négligemment ton pantalon. Je suis si surprise par ce qui se passe que je remarque à peine que tes doigts s’amusent à présent avec les boutons de mon jeans. Tu es pressant, à la limite de la brutalité. Comme si ta vie en dépendait, comme si… je ne sais pas en fait. Je sais seulement que tu me fais presque peur mais en même temps tu m’excites tellement. Cette facette sauvage de toi me transporte littéralement. Je sais pertinemment que ce n’est pas dans tes habitudes. Mais le fait que tu sois entier avec moi, me fais fondre littéralement tout comme ton regard qui est toujours ancré dans mes yeux. Même si la pénombre habite cette pièce, je sais que tes yeux reste ancrés dans les miens. Les rayons du soleil commencent à passer aux travers des rideaux. Cette lumière douce me permet de mieux voir les contours de ton visage. Tu es si beau. J’ai l’impression d’être en plein rêve. Je suis au bord de l’épuisement mais je ne peux me contraindre à me refuser à toi, à m’éloigner de toi. Mes mains ne cessent de te caresser ton torse. Je ne comprends pas pourquoi tu les enlèves avec force. Tu me maintiens les poignets avec ta main au-dessus de ma tête. Des baisers se font de plus en plus ardents. Tes muscles se crispent de plus en plus, tous comme les miens. Tu passes ton autre main sous mes fesses. Tu me soulève tel un poids plume. Je me sens si légère. Aucuns mots ne sortent de nos bouches, seuls de timides gémissements trahissent nos envies et nos désirs en train de s’assouvir. Tu entres en moi sans détours. Un sentiment d’abandon total s’empare de moi. Je suis là dans tes bras, tu me retiens mes poignets au dessus de ma tête. Une incroyable vocifération sort de bouche à l’instant même fais le premier mouvement. Je sens t main desserrer son emprise pour venir étouffer mon cri. Je distingue à peine tes yeux moqueurs devant le supplice que tu m’infliges. Tu te laisses totalement aller à ton, à notre désir. Comme s’il n’y avait rien d’autre qui comptait. Je sens ta main dévier dans mes cheveux. J’adore cette sensation. Tu te fais de plus en plus animal, quasi bestial. Je sais à cet instant que plus rien ne te retient. Tu ne me fais pas seulement l’amour, il y a quelque chose de plus, mais quoi ? J’ai la sensation que tu cherches à te montrer que tu es vivant. J’ai de plus en plus de mal à avoir une pensée logique, construite. Le désir que tu me procures est si intense que j’ai l’impression de craquer à chaques mouvements de ta part. Ils se font de plus en plus rapide, brusque… ta main ne cesse d’aller et venir de mes cheveux à ma bouche. Tu étouffes le moindre gémissement de ma part… et ils sont nombreux. Je me sens de plus en plus faible, je ne contrôle plus rien. J’essaye de bouger à ton rythme mais ton autre main se plaque sur ma hanche pour m’en empêcher. Je sens une fièvre intenable montée du plus profond de moi. Je me laisse lentement aller au plaisir que tu me donnes sans rien comprendre. Je sens tes lèvres s’ancrer dans ma clavicule. Comme en fusion une fois de plus nous laissons nos pulsions se satisfaire dans un même gémissement. Je me rends compte vaguement que j’ai encore mon t-shirt. Tu passais tes mains en dessous! J’ai l’impression d’être complètement déboussoler.
Je caresse l’ovale de ton visage, en déposant de légers baiser sur ta bouche. Je me rends compte que j’ai laisser parler mes pulsions bien plus que de raisons. Je défais notre étreinte. Je te sens perplexe, déstabilisée par ce qui vient de se passer. J’ai l’impression que les dernières minutes ce n’était pas moi qui étais dans cette pièce avec toi. Tu me déposes de fugaces baisers sur ma main toujours posée sur ton visage. Je discerne à peine ton sourire. Je me sens si mal. J’aurai du me contrôler. J’enlève ma main, je te regarde sans vraiment oser déposer mes yeux sur toi à présent. Je me dirige vers la salle de bain. En passant, je remets mon boxer. Je ferme la porte derrière moi comme pour mieux m’échapper de toi. Les deux mains sur le lavabo, je n’ose à peine me regarder dans le miroir. Comment ai-je pu te faire cela ? Je ne veux pas que tu pense que je suis ce genre d’homme. Seulement, je crois que la peur m’a mis à l'envers. Je sais que sa n’excuse en rien la manière dont je viens de te forcer à être à moi, la manière dont je viens de te faire l’amour. Si l’on peut cela appeler ainsi. Je jette un coup d’œil dans ce putain de miroir et je vois ton visage derrière moi. Je ne sais pas quoi penser. Tu es là auprès de moi, tes mains s’enroulant autour de mon torse. Ton visage est paisible, tes cheveux sont vraiment en bataille. Et dire que c’est moi le responsable de ce carnage capillaire. Tu es souriante mais inquiète à la fois. Tu sais que je n’aime pas ce qui vient de se passer.
S : tu croyais t’en tirer aussi facilement ?
M (baissant la tête) : mmm
S (lui déposant des baiser sur son bras) : allez viens au lit, je veux un câlin.
M : Sara, je suis désolé. Ce qui vient de se passer…
S (décontractée) : j’avoue que j’ai été surprise par autant de fougue. Mais moi je n’en suis pas désolé.
M : je ne veux pas te faire de mal.
S (taquine) : si tu crois que tu m’as fait du mal, j’en redemande alors.
M (lui faisant face, les yeux souillés) : je ne veux pas plaisanter. Je ne voulais pas te forcer. Je comprends si tu m’en voulais.
S (resserrant son étreinte) : Mickaël, tu es loin de m’avoir outrée. Sache que je garderai un bon souvenir de tes pétages de plombs, si tel est le cas.
M : Sara…
S (lui relevant la tête pour accrocher son regard) : Mickaël, qu’est-ce qu’il y a ? Je commence à te connaître un peu et je sais que ce qui c’est passé n’est pas le fruit du hasard. En plus, tu sens le whisky à plein nez.
M : désolé, je crois que j’ai un peu trop bu tout à l’heure avec Steve.
S (surprise) : avec Steve! vous avez discuté ensemble.
Je colle mon front contre le sien. Je ne me sens pas digne d’elle. Tellement de sentiments se bousculent dans mon cœur.
M : oui. J’ai eut si peur Sara. Je ne veux pas te perdre. J’ai l’impression de n’être plus qu’un pion. Il y a tellement de pression. C’est comme si je ne maîtrisais plus rien. Et surtout pas en ce qui te concerne.
S (taquine) : Mr Scofield perdrait-il pied en ma présence.
M : non c’est bien pire. Sara, je n’arrive pas à arrêter de penser que si c’était toi à la place de Lorène. Je serai complètement effondré.
S (essayant de capter de nouveau son regard) : fais-moi plaisir, mon ange. Si tu as encore besoin de te sentir vivant et maître de la situation, recommence. C’est loin d’être désagréable, contrairement à ce que tu penses.
M (amusé) : mon ange ?
S : quoi ? Vu ce qui viens de ce passer, tu préfères mon petit diable ?
M : non. C’est juste que je ne suis pas trop habitué aux petits surnoms de la sorte.
S (contente) : quoi aucune fille ne t’en a donnée avant ?
M : non. Le seul que j’ai eut c’est gueule d’ange mais celui-ci tu le connais.
S : je suis donc la première dans ce domaine. Allez au lit mon ange !
M : je te rejoins.
Elle dépose un baiser sur ma peau. Elle me laisse seul. Je me regarde dans la glace et j’ai l’impression de rêver. Elle est telle une fée. Elle a le don de faire s’envoler tous les doutes et appréhensions qui me hantent. Je souris de son attitude. Elle est si entière, si compréhensive. Elle ne me juge pas. Je crois qu’elle aime l’homme que je suis. Auprès d’elle je n’ai pas envie de faire semblant. Je n’ai pas envie de lui cacher mes faiblesses. Même si je ne suis pas très fier de ce qui vient de se passer, je dois bien avouer qu’elle ne semblait pas si ennuyée que cela. Je vais pour me mettre au lit. Elle dort déjà. Elle m’a piqué mon t-shirt, qui traîné par terre. Je me glisse derrière elle pour mieux l’encercler de mes bras. Je sens la chaleur de son corps. Son visage est serein. Elle est tombée directement dans les bras de Morphée. Je distingue un léger sourire se dessiner lorsque je passe mes bras autour d’elle. Je ne croyais pas éprouvé un jour un désir aussi insatiable. Je crois qu’elle a raison. J’ai pété un plomb. Le seul moyen que j’ai trouvé pour évacuer toute l’adrénaline accumulée ces dernières heures. Le seul moyen que j’ai trouvé pour me prouver que j’étais vivant fut de te prendre dans le sens le plus strict du terme. Tu te rapproche un peu plus de moi telle une anguille. Je sens encore le feu en moi revenir. Je sais que je ne devrais pas mais je ne peux m’empêcher d’effleurer ta peau de mes lèvres. Je te sens réagir au quart de tour. Tu émerges à peine du sommeil dans lequel tu étais en train de sombrer que je sens ton corps s’enchevêtrer au mien. Tes yeux mi-clos me font craquer encore plus. Tu me fais basculer sur le dos. Je sens tes mains tremblantes caresser mon torse.
S : tu es insatiable.
M : moi ? Non ! je suis juste éperdument amoureux de toi, Sara
Je n’arrive pas à croire ce que je viens d’entendre. Tu me surprends à chaque instant. Je dois avoir les yeux exorbités à présent. Je suis là assise sur toi et je ne sais pas quoi te répondre. On m’a fait déjà des déclarations, mais celle-là est si sincère. Je suis décontenancé par autant de simplicité. Cela vient du plus profond de ton cœur. Même si ma fatigue est grande. J’ai une furieuse envie d’être avec toi, en toi. J’enlève ton t-shirt et me laisse lascivement glisser le long de ton torse. Le contact de nos deux peaux te fait frémir tout comme moi.
S : je n’ai vraiment pas sommeil, ça ne te dérange pas.
M : je suis à ta disposition.
S : ah, vous savez que vous êtes charmant jeune homme !
Il me laisse aller et venir sur lui. Je le sens tressaillir au moindre contact de nos peaux. Plus je le caresse et plus je sens monter en moi le désir. Je n’arrive pas à me décrocher de ces yeux bleus. J’ai l’impression que nos corps sont comme aimantés. On se laisse aller une fois de plus à notre désir qui semble devenir sans limite. Nos étreintes sont de plus en plus passionnelles, enflammées. On s’endort dans les bras l’un de l’autre tel deux amants transits. Je me sens si bien dans ses bras. En fermant mes yeux un seul souhait me vient à l’esprit ; que toutes mes nuits soient ainsi. Auprès de l’homme que j’aime.
Je suis si faible. Mon œil s’entrouvre mais ma vue est brouillée, tout comme mon esprit. Je distingue à peine les contours de ma chambre. J’ai l’impression de revivre. Cette odeur familière. Je laisse un profond soupir sortir de ma bouche. J’essaye tant bien que mal d’ouvrir les yeux. La table de nuit est remplie d’ampoule de médicaments vide. Un monitoring signale les battements de mon cœur. Je me sens nauséeuse. Je commence plus ou moins à avoir les idées en place. Je sens le corps de Steve allongé contre moi. Sa main posée sur mon ventre m’empêche de bouger. Je me sens si bien instantanément. C’est comme si rien ne c’était passé. Il a cette faculté sur moi d’enlever par sa seule présence tous mes maux. Je sens ses lèvres frôler la peau de mon cou. J’ai une sensation de bien être immédiate. Je présume qu’il n’a pas du beaucoup dormir. Il me retourne, je lui fais face. Je suis effrayé par ses yeux rougis. Il a l’air si fatigué, comme éreinté.
St (dans un murmure) : vas-y doucement.
Lo : Ne t’inquiète pas, je suis pas prête pour le marathon.
Son sourire illumine tout de suite son visage. Mon dieu L.J. comment va-t-il ? Où est-il ? Et Linc, Mike ? J’espère juste qu’ils vont bien. Tout est tellement confus dans ma tête. Cette nuit fut la plus horrible de ma vie. J’espère juste ne pas avoir parlé. J’ai du mal à le savoir. Tout est si trouble.
Lo (inquiète) : LJ. Comment va-t-il ?
St : il doit encore dormir.
Lo (tourmentée) : il est là, il va bien ?
St : chut, tout le monde va bien.
Lo : quoi Linc et Mike sont encore là ? Et, tu as bu toi ?
St (pris en faute) : disons que Scofield et moi n’allions pas très bien. Désolé.
Il me serre dans ses bras tel un talisman. Je sens ses mains puissantes me presser contre lui.
St : J’ai eut si peur.
Je me sens si bien. Il resserre un peu plus son étreinte. Mes côtes ne sont malheureusement pas de cet avis.
Lo : haï.
St (confus) : je ferai mieux d’aller chercher Sara.
Lo (le regardant tel un animal apeuré) : non reste.
St (voulant la rassurer) : j’en ai pour quelques secondes.
Lo :non. Plongeant un peu plus dans ses bras. Je ne veux pas être loin de toi.
St : d’accord, mais elle va me tuer. Tu veux en parler. Tu les as vus ?
Lo (sanglotant) : non non non
St (lui passant les mains dans les cheveux pour la calmer) : calme-toi. Je reste auprès de toi. Je ne te laisserai plus jamais seule.
Lo (spontanée) : et Jane ?
St : c’est elle qui me la demandée.
Lo (esquissant un sourire) : je suis ta nouvelle mission.
St (lui déposant un baiser sur les lèvres) : pour vous servir.
Je le serre du plus fort que je puisse. J’ai l’impression que c’est juste un effleurement tellement je me sens faible. Mais jamais je ne suis sentie aussi vivante qu’à cet instant.
pensée de Sara : violet
pensée de Mike : bleu
pensée de Lorène : vert
Je me relève. Les yeux de Sara plongés dans les miens. Je me sens si vivant à cet instant. J’ai tellement de tension, de pression en moi. Son regard me pénètre un peu plus à chaque seconde. Mes idées ne sont pas des plus claires. Je sais pertinemment que j’ai bu quelques gorgées de trop tout à l’heure. Depuis les dernières heures, j’ai senti l’alcool monté progressivement en moi. Mais là devant elle j’ai l’impression de défaillir, que rien ne peut me retenir.
Je le sens étrangement serein. Il me semble concentré sur quelque chose que je ne voie pas. Il ne dérobe pas son regard de mes yeux. Son regard vient atteindre le plus profond de mon âme. Comme si je lui appartenait. Je ne m’étais jamais sentie ainsi. Il resserre son étreinte de plus en plus. Je sens les muscles de ses bras se contracté sur ma peau. Cette sensation d’abandon dans ses bras me fait totalement chavirer. Je me hisse fébrilement sur la pointe de mes pieds pour lui arracher un tendre baiser. Nos lèvres s’effleurent. Je me sens soulever du sol. Je perds toute notion des réalités dans ses bras. Il me plaque voilement contre le mur. Je me sens comme confondus avec son corps. Je le distingue mal. Je sens seulement son odeur, ses mains se balader lascivement sur mon corps. Chaque geste de sa part devient un réel supplice. Ses doigts se faufilent sous mon t-shirt comme pour mieux explorer ma peau. Je ne peux me retenir de gémir, sous le contact de nos peaux. Ta tête enfouie dans mon cou tu te laisses complètement submergé par ton désir. Tes baises se font de plus en plus ardent, vifs. J’ai l’impression qu’un instinct quasi animal t’anime. Tes mains se font de plus en présente sur ma peau. J’ai l’impression de manquer d’air sous la pression de ton corps sur le mien. Tu te révèles si présent, si fougueux. Comme si rien ne pouvait te maîtriser. Une part de moi est terrifier par ce qui est en train de se passer. Tu me domine totalement, le désir qui t’habite est incontrôlable. Tu ôtes négligemment ton pantalon. Je suis si surprise par ce qui se passe que je remarque à peine que tes doigts s’amusent à présent avec les boutons de mon jeans. Tu es pressant, à la limite de la brutalité. Comme si ta vie en dépendait, comme si… je ne sais pas en fait. Je sais seulement que tu me fais presque peur mais en même temps tu m’excites tellement. Cette facette sauvage de toi me transporte littéralement. Je sais pertinemment que ce n’est pas dans tes habitudes. Mais le fait que tu sois entier avec moi, me fais fondre littéralement tout comme ton regard qui est toujours ancré dans mes yeux. Même si la pénombre habite cette pièce, je sais que tes yeux reste ancrés dans les miens. Les rayons du soleil commencent à passer aux travers des rideaux. Cette lumière douce me permet de mieux voir les contours de ton visage. Tu es si beau. J’ai l’impression d’être en plein rêve. Je suis au bord de l’épuisement mais je ne peux me contraindre à me refuser à toi, à m’éloigner de toi. Mes mains ne cessent de te caresser ton torse. Je ne comprends pas pourquoi tu les enlèves avec force. Tu me maintiens les poignets avec ta main au-dessus de ma tête. Des baisers se font de plus en plus ardents. Tes muscles se crispent de plus en plus, tous comme les miens. Tu passes ton autre main sous mes fesses. Tu me soulève tel un poids plume. Je me sens si légère. Aucuns mots ne sortent de nos bouches, seuls de timides gémissements trahissent nos envies et nos désirs en train de s’assouvir. Tu entres en moi sans détours. Un sentiment d’abandon total s’empare de moi. Je suis là dans tes bras, tu me retiens mes poignets au dessus de ma tête. Une incroyable vocifération sort de bouche à l’instant même fais le premier mouvement. Je sens t main desserrer son emprise pour venir étouffer mon cri. Je distingue à peine tes yeux moqueurs devant le supplice que tu m’infliges. Tu te laisses totalement aller à ton, à notre désir. Comme s’il n’y avait rien d’autre qui comptait. Je sens ta main dévier dans mes cheveux. J’adore cette sensation. Tu te fais de plus en plus animal, quasi bestial. Je sais à cet instant que plus rien ne te retient. Tu ne me fais pas seulement l’amour, il y a quelque chose de plus, mais quoi ? J’ai la sensation que tu cherches à te montrer que tu es vivant. J’ai de plus en plus de mal à avoir une pensée logique, construite. Le désir que tu me procures est si intense que j’ai l’impression de craquer à chaques mouvements de ta part. Ils se font de plus en plus rapide, brusque… ta main ne cesse d’aller et venir de mes cheveux à ma bouche. Tu étouffes le moindre gémissement de ma part… et ils sont nombreux. Je me sens de plus en plus faible, je ne contrôle plus rien. J’essaye de bouger à ton rythme mais ton autre main se plaque sur ma hanche pour m’en empêcher. Je sens une fièvre intenable montée du plus profond de moi. Je me laisse lentement aller au plaisir que tu me donnes sans rien comprendre. Je sens tes lèvres s’ancrer dans ma clavicule. Comme en fusion une fois de plus nous laissons nos pulsions se satisfaire dans un même gémissement. Je me rends compte vaguement que j’ai encore mon t-shirt. Tu passais tes mains en dessous! J’ai l’impression d’être complètement déboussoler.
Je caresse l’ovale de ton visage, en déposant de légers baiser sur ta bouche. Je me rends compte que j’ai laisser parler mes pulsions bien plus que de raisons. Je défais notre étreinte. Je te sens perplexe, déstabilisée par ce qui vient de se passer. J’ai l’impression que les dernières minutes ce n’était pas moi qui étais dans cette pièce avec toi. Tu me déposes de fugaces baisers sur ma main toujours posée sur ton visage. Je discerne à peine ton sourire. Je me sens si mal. J’aurai du me contrôler. J’enlève ma main, je te regarde sans vraiment oser déposer mes yeux sur toi à présent. Je me dirige vers la salle de bain. En passant, je remets mon boxer. Je ferme la porte derrière moi comme pour mieux m’échapper de toi. Les deux mains sur le lavabo, je n’ose à peine me regarder dans le miroir. Comment ai-je pu te faire cela ? Je ne veux pas que tu pense que je suis ce genre d’homme. Seulement, je crois que la peur m’a mis à l'envers. Je sais que sa n’excuse en rien la manière dont je viens de te forcer à être à moi, la manière dont je viens de te faire l’amour. Si l’on peut cela appeler ainsi. Je jette un coup d’œil dans ce putain de miroir et je vois ton visage derrière moi. Je ne sais pas quoi penser. Tu es là auprès de moi, tes mains s’enroulant autour de mon torse. Ton visage est paisible, tes cheveux sont vraiment en bataille. Et dire que c’est moi le responsable de ce carnage capillaire. Tu es souriante mais inquiète à la fois. Tu sais que je n’aime pas ce qui vient de se passer.
S : tu croyais t’en tirer aussi facilement ?
M (baissant la tête) : mmm
S (lui déposant des baiser sur son bras) : allez viens au lit, je veux un câlin.
M : Sara, je suis désolé. Ce qui vient de se passer…
S (décontractée) : j’avoue que j’ai été surprise par autant de fougue. Mais moi je n’en suis pas désolé.
M : je ne veux pas te faire de mal.
S (taquine) : si tu crois que tu m’as fait du mal, j’en redemande alors.
M (lui faisant face, les yeux souillés) : je ne veux pas plaisanter. Je ne voulais pas te forcer. Je comprends si tu m’en voulais.
S (resserrant son étreinte) : Mickaël, tu es loin de m’avoir outrée. Sache que je garderai un bon souvenir de tes pétages de plombs, si tel est le cas.
M : Sara…
S (lui relevant la tête pour accrocher son regard) : Mickaël, qu’est-ce qu’il y a ? Je commence à te connaître un peu et je sais que ce qui c’est passé n’est pas le fruit du hasard. En plus, tu sens le whisky à plein nez.
M : désolé, je crois que j’ai un peu trop bu tout à l’heure avec Steve.
S (surprise) : avec Steve! vous avez discuté ensemble.
Je colle mon front contre le sien. Je ne me sens pas digne d’elle. Tellement de sentiments se bousculent dans mon cœur.
M : oui. J’ai eut si peur Sara. Je ne veux pas te perdre. J’ai l’impression de n’être plus qu’un pion. Il y a tellement de pression. C’est comme si je ne maîtrisais plus rien. Et surtout pas en ce qui te concerne.
S (taquine) : Mr Scofield perdrait-il pied en ma présence.
M : non c’est bien pire. Sara, je n’arrive pas à arrêter de penser que si c’était toi à la place de Lorène. Je serai complètement effondré.
S (essayant de capter de nouveau son regard) : fais-moi plaisir, mon ange. Si tu as encore besoin de te sentir vivant et maître de la situation, recommence. C’est loin d’être désagréable, contrairement à ce que tu penses.
M (amusé) : mon ange ?
S : quoi ? Vu ce qui viens de ce passer, tu préfères mon petit diable ?
M : non. C’est juste que je ne suis pas trop habitué aux petits surnoms de la sorte.
S (contente) : quoi aucune fille ne t’en a donnée avant ?
M : non. Le seul que j’ai eut c’est gueule d’ange mais celui-ci tu le connais.
S : je suis donc la première dans ce domaine. Allez au lit mon ange !
M : je te rejoins.
Elle dépose un baiser sur ma peau. Elle me laisse seul. Je me regarde dans la glace et j’ai l’impression de rêver. Elle est telle une fée. Elle a le don de faire s’envoler tous les doutes et appréhensions qui me hantent. Je souris de son attitude. Elle est si entière, si compréhensive. Elle ne me juge pas. Je crois qu’elle aime l’homme que je suis. Auprès d’elle je n’ai pas envie de faire semblant. Je n’ai pas envie de lui cacher mes faiblesses. Même si je ne suis pas très fier de ce qui vient de se passer, je dois bien avouer qu’elle ne semblait pas si ennuyée que cela. Je vais pour me mettre au lit. Elle dort déjà. Elle m’a piqué mon t-shirt, qui traîné par terre. Je me glisse derrière elle pour mieux l’encercler de mes bras. Je sens la chaleur de son corps. Son visage est serein. Elle est tombée directement dans les bras de Morphée. Je distingue un léger sourire se dessiner lorsque je passe mes bras autour d’elle. Je ne croyais pas éprouvé un jour un désir aussi insatiable. Je crois qu’elle a raison. J’ai pété un plomb. Le seul moyen que j’ai trouvé pour évacuer toute l’adrénaline accumulée ces dernières heures. Le seul moyen que j’ai trouvé pour me prouver que j’étais vivant fut de te prendre dans le sens le plus strict du terme. Tu te rapproche un peu plus de moi telle une anguille. Je sens encore le feu en moi revenir. Je sais que je ne devrais pas mais je ne peux m’empêcher d’effleurer ta peau de mes lèvres. Je te sens réagir au quart de tour. Tu émerges à peine du sommeil dans lequel tu étais en train de sombrer que je sens ton corps s’enchevêtrer au mien. Tes yeux mi-clos me font craquer encore plus. Tu me fais basculer sur le dos. Je sens tes mains tremblantes caresser mon torse.
S : tu es insatiable.
M : moi ? Non ! je suis juste éperdument amoureux de toi, Sara
Je n’arrive pas à croire ce que je viens d’entendre. Tu me surprends à chaque instant. Je dois avoir les yeux exorbités à présent. Je suis là assise sur toi et je ne sais pas quoi te répondre. On m’a fait déjà des déclarations, mais celle-là est si sincère. Je suis décontenancé par autant de simplicité. Cela vient du plus profond de ton cœur. Même si ma fatigue est grande. J’ai une furieuse envie d’être avec toi, en toi. J’enlève ton t-shirt et me laisse lascivement glisser le long de ton torse. Le contact de nos deux peaux te fait frémir tout comme moi.
S : je n’ai vraiment pas sommeil, ça ne te dérange pas.
M : je suis à ta disposition.
S : ah, vous savez que vous êtes charmant jeune homme !
Il me laisse aller et venir sur lui. Je le sens tressaillir au moindre contact de nos peaux. Plus je le caresse et plus je sens monter en moi le désir. Je n’arrive pas à me décrocher de ces yeux bleus. J’ai l’impression que nos corps sont comme aimantés. On se laisse aller une fois de plus à notre désir qui semble devenir sans limite. Nos étreintes sont de plus en plus passionnelles, enflammées. On s’endort dans les bras l’un de l’autre tel deux amants transits. Je me sens si bien dans ses bras. En fermant mes yeux un seul souhait me vient à l’esprit ; que toutes mes nuits soient ainsi. Auprès de l’homme que j’aime.
Je suis si faible. Mon œil s’entrouvre mais ma vue est brouillée, tout comme mon esprit. Je distingue à peine les contours de ma chambre. J’ai l’impression de revivre. Cette odeur familière. Je laisse un profond soupir sortir de ma bouche. J’essaye tant bien que mal d’ouvrir les yeux. La table de nuit est remplie d’ampoule de médicaments vide. Un monitoring signale les battements de mon cœur. Je me sens nauséeuse. Je commence plus ou moins à avoir les idées en place. Je sens le corps de Steve allongé contre moi. Sa main posée sur mon ventre m’empêche de bouger. Je me sens si bien instantanément. C’est comme si rien ne c’était passé. Il a cette faculté sur moi d’enlever par sa seule présence tous mes maux. Je sens ses lèvres frôler la peau de mon cou. J’ai une sensation de bien être immédiate. Je présume qu’il n’a pas du beaucoup dormir. Il me retourne, je lui fais face. Je suis effrayé par ses yeux rougis. Il a l’air si fatigué, comme éreinté.
St (dans un murmure) : vas-y doucement.
Lo : Ne t’inquiète pas, je suis pas prête pour le marathon.
Son sourire illumine tout de suite son visage. Mon dieu L.J. comment va-t-il ? Où est-il ? Et Linc, Mike ? J’espère juste qu’ils vont bien. Tout est tellement confus dans ma tête. Cette nuit fut la plus horrible de ma vie. J’espère juste ne pas avoir parlé. J’ai du mal à le savoir. Tout est si trouble.
Lo (inquiète) : LJ. Comment va-t-il ?
St : il doit encore dormir.
Lo (tourmentée) : il est là, il va bien ?
St : chut, tout le monde va bien.
Lo : quoi Linc et Mike sont encore là ? Et, tu as bu toi ?
St (pris en faute) : disons que Scofield et moi n’allions pas très bien. Désolé.
Il me serre dans ses bras tel un talisman. Je sens ses mains puissantes me presser contre lui.
St : J’ai eut si peur.
Je me sens si bien. Il resserre un peu plus son étreinte. Mes côtes ne sont malheureusement pas de cet avis.
Lo : haï.
St (confus) : je ferai mieux d’aller chercher Sara.
Lo (le regardant tel un animal apeuré) : non reste.
St (voulant la rassurer) : j’en ai pour quelques secondes.
Lo :non. Plongeant un peu plus dans ses bras. Je ne veux pas être loin de toi.
St : d’accord, mais elle va me tuer. Tu veux en parler. Tu les as vus ?
Lo (sanglotant) : non non non
St (lui passant les mains dans les cheveux pour la calmer) : calme-toi. Je reste auprès de toi. Je ne te laisserai plus jamais seule.
Lo (spontanée) : et Jane ?
St : c’est elle qui me la demandée.
Lo (esquissant un sourire) : je suis ta nouvelle mission.
St (lui déposant un baiser sur les lèvres) : pour vous servir.
Je le serre du plus fort que je puisse. J’ai l’impression que c’est juste un effleurement tellement je me sens faible. Mais jamais je ne suis sentie aussi vivante qu’à cet instant.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
vraiment très beau!!! je sais pas quoi dire d'autre!! rrrrrrrrrrrrrrrrrrr un michael sauvages mmmmmm
dsl je pète un plomb moi aussi!!
vite la suite!
dsl je pète un plomb moi aussi!!
vite la suite!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
EXCELLENT
J'ai adoré ta suite!!
Lo qui se reveille c'est genial
J'ai adoré ta suite!!
Lo qui se reveille c'est genial
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 04/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
A non mais cest troooooooo magnifique la javouuee!!!!!!!!
vivement la suiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeee
vivement la suiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeee
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Localisation : Seule, et bien.....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
miss_sa_69 a écrit:A non mais cest troooooooo magnifique la javouuee!!!!!!!!
vivement la suiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeee
pourquoi d'habitude c'est pourri!!!
je plaisante
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'était trop beau tout ça!!!!......
En plus Lorène va mieux!!!!
Super ta suite comme d'ab!
En plus Lorène va mieux!!!!
Super ta suite comme d'ab!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'ai ADOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER ta suite!!!
Mick qui laisse ses pulsions prendre le controle sa vaut le detour!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!
Mick qui laisse ses pulsions prendre le controle sa vaut le detour!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
EXCELLENT GENIAL MAGNIFIQUE SUBLIME et j'en passe !
Continue,je t'en supplie !!!
Continue,je t'en supplie !!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Magnifique
J'adore quand Mike pète un plomb
Vivement la suite
J'adore quand Mike pète un plomb
Vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
nestella a écrit:J'ai ADOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER ta suite!!!
Mick qui laisse ses pulsions prendre le controle sa vaut le detour!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!
tout a fait d'accord , quand michael pete une durite ca vous le detour dans l' enfer du sexe !!! , sara qui en redemande !!!! ca doit etre good , je vais peut etre en arreter la !!! avant de dire des chose trop genante !!
la suite !!!!!! vite !!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'est clair, je serai Sara, je lui en ferai péter des durites moi
quand à ta suite, elle était géniale comme d'hab, j'adore
quand à ta suite, elle était géniale comme d'hab, j'adore
nol59- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 285
Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
alors là c'est ....waaaaahhh ! que dire de plus ! je l'ai relu plusieurs fois et c'est toujours aussi ... waaaahh ! je crois que c'est le mot
d'ailleurs je crois que je vais tout relire depuis le début, c'est trop bon !
en tout cas bravo ! ta fic est vraiment magnifique et j'attends la suite avec impatience
d'ailleurs je crois que je vais tout relire depuis le début, c'est trop bon !
en tout cas bravo ! ta fic est vraiment magnifique et j'attends la suite avec impatience
nath- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 55
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
trop fortevirginie a écrit:nestella a écrit:J'ai ADOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER ta suite!!!
Mick qui laisse ses pulsions prendre le controle sa vaut le detour!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!
tout a fait d'accord , quand michael pete une durite ca vous le detour dans l' enfer du sexe !!! , sara qui en redemande !!!! ca doit etre good , je vais peut etre en arreter la !!! avant de dire des chose trop genante !!
la suite !!!!!! vite !!!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je n'ai pas pu prendre le temps de lire depuis quelques jours et je viens enfin de rattrapper mon retard! Et alors, voilà, que je ne trouve plus mes mots! Tu m'as littéralement scotchée! Tout est réuni dans tes écrits... Tu fais super bien ressortir les sentiments de chacun... J'adore! Et ta scène Misa est tout simplement epoustouflante, vraie, intense... Bref, j'en redemande!!!!
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 160
Date d'inscription : 07/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
tu nous met une suite aujourd'hui?
dit que oui stp!!!!!!!
dit que oui stp!!!!!!!
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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