les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Superbe suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!!!!!!!
J'ai trop hate de lire la suite!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
génial
touchant ces adieux
mais c'est quoi ce bins avec ce Phil
vivement la suite
touchant ces adieux
mais c'est quoi ce bins avec ce Phil
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'aime trop ce genre de moment et puis Michael et Lorène qui rigolent ensemble tu as cassé le délire avec ce Phil il va se passé un truc de mauvais je le sens tu va pas nous faire tuer Lorene pitié!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
- Nombre de messages : 5178
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Encore une fois, une magnifique partie ! J’adore vraiment la façon que tu as de développer la relation entre Jane et Lincoln. J’aime aussi beaucoup les liens supers forts qui unissent Michael et Lorène, ce qui rend encore plus fort l’amour entre Sara et Michael.En revnache, tu me fous une trouille bleue avec ta fin et j’adore ça !
Encore un grand BRAVO !
Encore un grand BRAVO !
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 160
Date d'inscription : 07/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon je n'ai qu'une chose à vous dire je vous
c'est super réconfortant de se savoir lu et je prends bien note de vos remarques.
bon une petite surprise, vous attends...
pensée de Lorène : vert
pensée de Sara : violet
pensée de Mike : bleu
Voilà ça recommence des plans, des plans et encore des plans. J’ai l’impression qu’ils sont plus farfelus les uns que les autres. Si Lorène était là, je crois qu’ils seraient moins inconscients du danger qui les entoure. Depuis qu’elle est partie Lincoln, Paul et Mickaël sont comme obsédés par leurs plans, sans considérer le péril qui nous guette. Jane nous a confirmé que la clé ouvrait belle et bien, un coffre de ce club de cigare. Mais je la sens perplexe sur la conduite à venir. Elle s’oppose à tous ce que les trois hommes proposent. Je suis en retrait de tout ceci. Ma peur est trop présente de toute façon pour que mes idées soient rationnelles. Enfoui dans le canapé, au côté de Mickaël, je me laisse bercer par le son de sa voie. C’est la seule chose qui arrive à m’apaiser.
J : bon, de toute façon vous ne partez pas avant 15h. c’est cela ?
P : oui, avant le club est fermé. Sinon on y serait déjà.
S : excusez-moi mais je vais monter ranger mes affaires.
Je me défais de Mickaël. J’arrive dans cette chambre. Je n’arrive plus à contrôler mes larmes. Une boule d’angoisse se forme dans mon estomac. Pourvu que cette clé nous donne quelque chose de solide, une vraie preuve. J’ai cette anxiété grandissante en moi, si tout cela n’ouvrait que sur des pauvres malheureux cigares. Si on avait fait tout ceci pour rien. Jamais je ne pourrais me regarder en face, plus jamais je ne pourrai regarder Mickaël, si c’était le cas. Assise sur ce grand lit, mes mains effleurant les draps, je recouvre peu à peu le sourire. La réminiscence de cette nuit me transporte loin de toute cette tourmente. Aujourd’hui je sais une chose Mickaël Scofield m’aime et cela envers et contre tout. Il me fait confiance, à moi de ne pas le décevoir. Je ressens une profonde gêne vis à vis de Lorène. Je la croîs quand elle me dit que entre eux tout est fini, le sourire qu’elle avait quand elle m’a confié qu’elle voyait quelqu’un, cela ne trompe pas…cependant, j’éprouve toujours une réticence quand je vois les réactions de Mickaël, pourtant je leur fais confiance, cela j’en suis certaine. C’est comme si une pulsion primaire me rappelait à l’ordre : ils ont vécu ensemble, elle a porté son enfant…
M (perplexe): Tout va bien ?
S (étourdie) : je ne t’avais pas entendu, oui.
M (prenant ses mains dans les siennes) : tu as l’air soucieuse. C’est pour cet après-midi, ne te tracasse pas. Tout va bien se passer.
S (agacée) : ah ! Oui. Et comment peux-tu en être si sûr ?
M (confiant) : faut avoir la foi. D’accord.
S : j’ai hâte que tout ceci finisse.
M (le regard plein d’assurance) : Oui, pas autant que moi. Je viens de signer les papiers pour le divorce. Dès que toute cette histoire sera terminée, je serai entièrement à toi.
S (piquante) : ah ! Oui, j’avais oublié ce charmant détail. Je présume que c’est encore Lorène que je dois remercier.
M : Sara.
S (mortifié) : je ne suis pas jalouse.
M (jovial) : j’ai les moyens de vous prouver mon entière dévotion, chère Mademoiselle.
S (hilare) : tu crois peut être que je suis aussi naïve.
Il s’avance dangereusement de mes lèvres. Plus il se rapproche, plus mon sourire s’agrandit. Je ne peux dissimuler mon bonheur d’être avec lui. L’émoi qui englouti mon corps ne cesse de grandir en moi. Mon corps n’est plus que passion alors qu’il dépose un baiser lascif sur mes lèvres. Mais elles quémandent plus. Elles se souviennent de quoi il est capable. Je n’arrive pas à me défaire de son regard. Nos regards sont comme ancrés l’un à l’autre. Il sourit devant le trouble qu’il me procure. M’allongeant subtilement sur le lit, il me domine. Je le sens sûr de lui, il m’observe, comme pour mieux m’apprivoiser. Son regard allant ici et là sur mon corps, je suis obnubilé par son sourire coquin. Une chose est sûr on n'est pas près de ranger nos affaires.
Je la devine à ma merci. Mes mains de chaque côté de son visage, je la caresse avec mes yeux. Comme pour mieux la posséder. Je la sens impatiente alors que je veux prendre mon temps. Elle ne peut dissimuler son attirance alors que je reste de marbre à la contempler. Je me penche sur elle, feignant de l’embrasser. En réalité, je pose simplement mes mains sur les bords de son débardeur. Le contact de nos peaux, la transit. Doucement, je lui retire ce t-shirt qui m’empêche de la voir. Une main caressant son visage, je ne résiste pas au désir de capturer ses lèvres une nouvelle fois. Un baiser lent, tendre, passant de manière successive de la lèvre supérieure à l’inférieure. Nos torses collés l’un à l’autre, je vois son rythme cardiaque s’accélérer. Le sang qui afflue hâtivement dans son cou. Je m’empresse d’entremêler le parcours de sa jugulaire de tendre baisers et de mordillements. Elle perd de plus en plus pied. Remontant, je vois le lobe de son oreille écarlate, je l’absorbe littéralement dans ma bouche. La différence de température entre sa peau et ma salive la fait vaciller. Elle ancre de plus en plus ses doigts dans la chair de mes bras. Je me rassois sur elle. Elle ne soutient plus mon regard. Je recommence mon inspection. J’alterne à chaque parcelle de son corps où le sang afflue, de doux baisers, des mordillements, des caresses plus ou moins pressantes. Elle se cambre de plus en plus, sa tête retournée. Je n’entends que mon prénom, sortir de sa si sensuelle bouche. Du moins je crois, c’est de moins en moins audible. Je lui ôte ce jean ainsi que le mien, derniers barrage à notre plaisir. Je ne cesse mes caresses, de plus en plus insistantes, tendancieuses. Son corps est constellé de sueur, mêlé à une chair de poule à certains endroits. Je prends un malin plaisir, à repérer ces divers endroits pour mieux y laisser aller mes lèvres, ma langue. Chaque fois, je sens le plaisir monter d’autant chez elle. Mes mains approchantes de son sexe, je la sens faiblir. La caressant aux endroits même ou la sensibilité est extrême, elle se cambre de plus en plus.
S (haletante) : non, Mickaël, viens
Je m’exécute immédiatement aux ordres. J’essaye d’attraper cette maudite boîte de capote sans défaire mon étreinte, mais elle est trop loin. Je glisse en elle, menant la danse. A chaque mouvement elle ne peut dissimuler son plaisir. Je ne peux plus m’empêcher de la caresser entièrement. Mes mains allant à contre sens de mon bassin. Comme pour mieux lui faire perdre la tête. Faut que je me laisse moi aussi aller, je n’arrête pas de l’étudier, pour mieux la satisfaire. Mais je dois aussi être avec elle, en osmose et non pas seulement auprès d’elle. La sensation de sa cuisse se relevant, comme pour mieux m’appartenir, me ramène à cette douce réalité. Je ne me domine plus. Sentant son plaisir monter à son paroxysme, je cède moi aussi.
Roulés ensemble dans les draps du lit, je ne cesse de caresser ses cheveux. Je la sens paisible, nichée dans mes bras. Aucun mots, un silence apaisant domine. La sensation que rien d’autre n’existe. Elle caresse mon torse, remontant parfois jusqu’à mon visage. Elle doit y distinguer un visage souriant, adouci.
S (calme) : Mickaël, promets-moi une chose !
M (souriant) : promis.
S (surprise) : je ne t’ai rien dis encore !
M : tu peux faire de moi ce que tu veux.
S (se relevant un peu pour mieux le regardant) : je retiens. Mais promets-moi de toujours être aussi heureux qu’en ce moment.
M : il n’y a rien de compliqué, il suffit que tu sois à mes côtés.
S (confuse) : ce qu’on vient de vivre, là, c’était… je n’ai jamais vécu un moment si intense, c’est comme si tu étais dans ma tête. Je n’arrive pas vraiment à l’expliquer.
M (lui souriant) : c’est juste l’amour.
S (dépitée) : alors je n’ai jamais été amoureuse avant, pas comme cela.
M (malicieux) : pas de quelqu’un qui souffrait d’inhibition latente.
S (sérieuse) : c’est…je trouve cela fort intéressant comme cas d’étude Monsieur Scofield.
Il est plus de midi, quand j’ouvre les yeux. Je m’étire tel un chat. A mon grand regret, la place à mes côtés est vide. Je me roule jusqu’à sa place, pour mieux lui voler son oreiller. Je hume, son odeur, si pénétrante et agréable. Un bruit d’eau parvient à mon cerveau encore vaseux. Il est sous la douche. Je me lève, comme un automate. J’ai juste besoin d’être dans ses bras. Que la première chose que je fasse en me levant doit être de lui donner un baiser.
M (se séchant) : je ne voulais pas te réveiller, désolé.
S (lui volant ses lèvres) : non, ce n’est pas toi.
Il est là devant moi, si entier, sans réserve, sans fausse pudeur. Je lui vole une serviette, pour mieux lui sécher le dos. J’en profite surtout pour y passer négligemment mes mains. Sa brûlure, mon dieu. Je l’avais quasiment oubliée.
S (attentionnée) : bouge pas, faut que je regarde où en est la cicatrisation.
M : tout va bien, je fais attention.
S (soutenu) : c’est moi le docteur ici. Donc tu arrêtes de gesticuler dans tous les sens.
M (malicieux) : j’aurais le droit à un bisou magique après ?
S (hébétée) : quoi ?
M (sérieux) : ceux que tu as quand tu es sage chez le docteur et qui font que tu guéris plus vite !
S (pouffant de rire) : je vois… moi j’avais des sucettes, mais bon…ton charme opéré déjà à l’époque à ce que j’entends !
Il est presque 14h, et je suis coincée dans les embouteillages. Je suis en pleine crise de nerfs. J’ai passé ma matinée au tribunal. J’ai perdu deux procès et l’autre fut ajourné. Commis d’office revient plus souvent à écouter la sentence du juge qu’à défendre réellement un client, une cause… je ne supporte pas cette passivité, cela ne me ressemble pas. L.J. va m’assassiner si je suis en retard. Tellement de pensée se bouscule dans ma tête. Le départ de Linc et Mike Le fait de ne pas savoir où ils sont m’irrite au plus haut point. Je ne peux m’empêcher de me faire du souci pour eux. J’ai cette crainte au fond de moi. Cette appréhension, qui me dit que c’est la dernière fois que je les vois. Faux que tu te ressaisisses, ils ont vu bien pire. Jamais tu n’aurais pensé que Mike arrive à survivre une journée en prison. Il a tenu, sa détermination est énorme, tu le sais alors ait un peu confiance. Je ne suis plus qu’à une rue. Je tourne. La rue est enfin déserte, plus personne. Mon regard s’attarde sur un homme. Il est là, en train de siroter son café. Au qu’est-ce que je ne donnerais pas pour un bon frappucinno… au moins cela me détendrait ! Toujours fixé sur cet homme, je perçois une oreillette. Mon dieu, mon sang ne fait qu’un tour L.J.. concentres toi, il doit t’attendre devant la porte, faut que tu l’éloignes de là. Mon téléphone, voilà.
Lo : L.J. tu peux me rendre un service.
L.J. : tu es où, tu vas être en retard.
Lo : j’arrive, je suis à une rue du Lycée. Faudrait que tu ailles à la bibliothèque. C’est pour un dossier important. Faudrait que tu me trouve la date précise d’un procès.
L.J. : et je trouve cela comment ?
Lo : dans le Chicago Tribune tu le trouveras. C’est le procès Winchester, cela date de deux ans environ. C’est urgent L.J..
L.J. : bon j’y vais, la réunion c’est salle 204. Je te retrouve devant quand c’est fini . mais tu me le revaudras.
Lo : oui, merci L.J.
Je suis plus qu’à quelques mètres. Je gare ma voiture à quelques pas du lycée. Faut que j’y rentre le plus vite possible. Cela a toujours été la consigne de Jane, "en cas de doute vas dans un endroit où il y a du monde". Je ne vois personne, aucune voiture n’attire mon regard. Soupirs. J’ai du me faire un film. C’est moi qui deviens parano à force. Pauvre L.J., il doit chercher comme un dingue alors que je n’ai pas besoin de cette info. J’appuie sur le bouton pour verrouiller ma voiture. Bon, une réunion parents-profs, mets-toi en condition.
Je me sens attirer vers l’arrière, une odeur de chloroforme m’envoûte. Ma tête tourne, je vois de moins en moins bien, des formes, des couleurs. Je sens des mains sur mes épaules. Elles me retiennent, je tombe, je m'effondre. J’essaye de résister, mais une main de plus en plus présente sur mon nez m’oblige à inhaler ce tissu toxique pour mon être. Je perds pieds. J’attends le fracas de mon sac tomber à terre. Des vois surgissent. Je me concentre mais je n’arrive plus à discerner les différents sons. Ce n’est plus qu’un amalgame de résonance qui frappe mon cerveau. Je lévite dans les airs. Je n’avais par rêver, il y avait bien un danger. L.J. ne sortira pas, c’est ma seule satisfaction. Il est en sécurité. Lincoln, Mike… ils courent un danger. La fin est proche, ils doivent toucher au but, sinon…je m’enfonce de plus en plus dans cette douce léthargie, je n’arrive plus à maîtriser mes pensées.
allez lache-vous?
j'espère vous appréciez la p'tite surprise MISA
c'est super réconfortant de se savoir lu et je prends bien note de vos remarques.
bon une petite surprise, vous attends...
pensée de Lorène : vert
pensée de Sara : violet
pensée de Mike : bleu
Voilà ça recommence des plans, des plans et encore des plans. J’ai l’impression qu’ils sont plus farfelus les uns que les autres. Si Lorène était là, je crois qu’ils seraient moins inconscients du danger qui les entoure. Depuis qu’elle est partie Lincoln, Paul et Mickaël sont comme obsédés par leurs plans, sans considérer le péril qui nous guette. Jane nous a confirmé que la clé ouvrait belle et bien, un coffre de ce club de cigare. Mais je la sens perplexe sur la conduite à venir. Elle s’oppose à tous ce que les trois hommes proposent. Je suis en retrait de tout ceci. Ma peur est trop présente de toute façon pour que mes idées soient rationnelles. Enfoui dans le canapé, au côté de Mickaël, je me laisse bercer par le son de sa voie. C’est la seule chose qui arrive à m’apaiser.
J : bon, de toute façon vous ne partez pas avant 15h. c’est cela ?
P : oui, avant le club est fermé. Sinon on y serait déjà.
S : excusez-moi mais je vais monter ranger mes affaires.
Je me défais de Mickaël. J’arrive dans cette chambre. Je n’arrive plus à contrôler mes larmes. Une boule d’angoisse se forme dans mon estomac. Pourvu que cette clé nous donne quelque chose de solide, une vraie preuve. J’ai cette anxiété grandissante en moi, si tout cela n’ouvrait que sur des pauvres malheureux cigares. Si on avait fait tout ceci pour rien. Jamais je ne pourrais me regarder en face, plus jamais je ne pourrai regarder Mickaël, si c’était le cas. Assise sur ce grand lit, mes mains effleurant les draps, je recouvre peu à peu le sourire. La réminiscence de cette nuit me transporte loin de toute cette tourmente. Aujourd’hui je sais une chose Mickaël Scofield m’aime et cela envers et contre tout. Il me fait confiance, à moi de ne pas le décevoir. Je ressens une profonde gêne vis à vis de Lorène. Je la croîs quand elle me dit que entre eux tout est fini, le sourire qu’elle avait quand elle m’a confié qu’elle voyait quelqu’un, cela ne trompe pas…cependant, j’éprouve toujours une réticence quand je vois les réactions de Mickaël, pourtant je leur fais confiance, cela j’en suis certaine. C’est comme si une pulsion primaire me rappelait à l’ordre : ils ont vécu ensemble, elle a porté son enfant…
M (perplexe): Tout va bien ?
S (étourdie) : je ne t’avais pas entendu, oui.
M (prenant ses mains dans les siennes) : tu as l’air soucieuse. C’est pour cet après-midi, ne te tracasse pas. Tout va bien se passer.
S (agacée) : ah ! Oui. Et comment peux-tu en être si sûr ?
M (confiant) : faut avoir la foi. D’accord.
S : j’ai hâte que tout ceci finisse.
M (le regard plein d’assurance) : Oui, pas autant que moi. Je viens de signer les papiers pour le divorce. Dès que toute cette histoire sera terminée, je serai entièrement à toi.
S (piquante) : ah ! Oui, j’avais oublié ce charmant détail. Je présume que c’est encore Lorène que je dois remercier.
M : Sara.
S (mortifié) : je ne suis pas jalouse.
M (jovial) : j’ai les moyens de vous prouver mon entière dévotion, chère Mademoiselle.
S (hilare) : tu crois peut être que je suis aussi naïve.
Il s’avance dangereusement de mes lèvres. Plus il se rapproche, plus mon sourire s’agrandit. Je ne peux dissimuler mon bonheur d’être avec lui. L’émoi qui englouti mon corps ne cesse de grandir en moi. Mon corps n’est plus que passion alors qu’il dépose un baiser lascif sur mes lèvres. Mais elles quémandent plus. Elles se souviennent de quoi il est capable. Je n’arrive pas à me défaire de son regard. Nos regards sont comme ancrés l’un à l’autre. Il sourit devant le trouble qu’il me procure. M’allongeant subtilement sur le lit, il me domine. Je le sens sûr de lui, il m’observe, comme pour mieux m’apprivoiser. Son regard allant ici et là sur mon corps, je suis obnubilé par son sourire coquin. Une chose est sûr on n'est pas près de ranger nos affaires.
Je la devine à ma merci. Mes mains de chaque côté de son visage, je la caresse avec mes yeux. Comme pour mieux la posséder. Je la sens impatiente alors que je veux prendre mon temps. Elle ne peut dissimuler son attirance alors que je reste de marbre à la contempler. Je me penche sur elle, feignant de l’embrasser. En réalité, je pose simplement mes mains sur les bords de son débardeur. Le contact de nos peaux, la transit. Doucement, je lui retire ce t-shirt qui m’empêche de la voir. Une main caressant son visage, je ne résiste pas au désir de capturer ses lèvres une nouvelle fois. Un baiser lent, tendre, passant de manière successive de la lèvre supérieure à l’inférieure. Nos torses collés l’un à l’autre, je vois son rythme cardiaque s’accélérer. Le sang qui afflue hâtivement dans son cou. Je m’empresse d’entremêler le parcours de sa jugulaire de tendre baisers et de mordillements. Elle perd de plus en plus pied. Remontant, je vois le lobe de son oreille écarlate, je l’absorbe littéralement dans ma bouche. La différence de température entre sa peau et ma salive la fait vaciller. Elle ancre de plus en plus ses doigts dans la chair de mes bras. Je me rassois sur elle. Elle ne soutient plus mon regard. Je recommence mon inspection. J’alterne à chaque parcelle de son corps où le sang afflue, de doux baisers, des mordillements, des caresses plus ou moins pressantes. Elle se cambre de plus en plus, sa tête retournée. Je n’entends que mon prénom, sortir de sa si sensuelle bouche. Du moins je crois, c’est de moins en moins audible. Je lui ôte ce jean ainsi que le mien, derniers barrage à notre plaisir. Je ne cesse mes caresses, de plus en plus insistantes, tendancieuses. Son corps est constellé de sueur, mêlé à une chair de poule à certains endroits. Je prends un malin plaisir, à repérer ces divers endroits pour mieux y laisser aller mes lèvres, ma langue. Chaque fois, je sens le plaisir monter d’autant chez elle. Mes mains approchantes de son sexe, je la sens faiblir. La caressant aux endroits même ou la sensibilité est extrême, elle se cambre de plus en plus.
S (haletante) : non, Mickaël, viens
Je m’exécute immédiatement aux ordres. J’essaye d’attraper cette maudite boîte de capote sans défaire mon étreinte, mais elle est trop loin. Je glisse en elle, menant la danse. A chaque mouvement elle ne peut dissimuler son plaisir. Je ne peux plus m’empêcher de la caresser entièrement. Mes mains allant à contre sens de mon bassin. Comme pour mieux lui faire perdre la tête. Faut que je me laisse moi aussi aller, je n’arrête pas de l’étudier, pour mieux la satisfaire. Mais je dois aussi être avec elle, en osmose et non pas seulement auprès d’elle. La sensation de sa cuisse se relevant, comme pour mieux m’appartenir, me ramène à cette douce réalité. Je ne me domine plus. Sentant son plaisir monter à son paroxysme, je cède moi aussi.
Roulés ensemble dans les draps du lit, je ne cesse de caresser ses cheveux. Je la sens paisible, nichée dans mes bras. Aucun mots, un silence apaisant domine. La sensation que rien d’autre n’existe. Elle caresse mon torse, remontant parfois jusqu’à mon visage. Elle doit y distinguer un visage souriant, adouci.
S (calme) : Mickaël, promets-moi une chose !
M (souriant) : promis.
S (surprise) : je ne t’ai rien dis encore !
M : tu peux faire de moi ce que tu veux.
S (se relevant un peu pour mieux le regardant) : je retiens. Mais promets-moi de toujours être aussi heureux qu’en ce moment.
M : il n’y a rien de compliqué, il suffit que tu sois à mes côtés.
S (confuse) : ce qu’on vient de vivre, là, c’était… je n’ai jamais vécu un moment si intense, c’est comme si tu étais dans ma tête. Je n’arrive pas vraiment à l’expliquer.
M (lui souriant) : c’est juste l’amour.
S (dépitée) : alors je n’ai jamais été amoureuse avant, pas comme cela.
M (malicieux) : pas de quelqu’un qui souffrait d’inhibition latente.
S (sérieuse) : c’est…je trouve cela fort intéressant comme cas d’étude Monsieur Scofield.
Il est plus de midi, quand j’ouvre les yeux. Je m’étire tel un chat. A mon grand regret, la place à mes côtés est vide. Je me roule jusqu’à sa place, pour mieux lui voler son oreiller. Je hume, son odeur, si pénétrante et agréable. Un bruit d’eau parvient à mon cerveau encore vaseux. Il est sous la douche. Je me lève, comme un automate. J’ai juste besoin d’être dans ses bras. Que la première chose que je fasse en me levant doit être de lui donner un baiser.
M (se séchant) : je ne voulais pas te réveiller, désolé.
S (lui volant ses lèvres) : non, ce n’est pas toi.
Il est là devant moi, si entier, sans réserve, sans fausse pudeur. Je lui vole une serviette, pour mieux lui sécher le dos. J’en profite surtout pour y passer négligemment mes mains. Sa brûlure, mon dieu. Je l’avais quasiment oubliée.
S (attentionnée) : bouge pas, faut que je regarde où en est la cicatrisation.
M : tout va bien, je fais attention.
S (soutenu) : c’est moi le docteur ici. Donc tu arrêtes de gesticuler dans tous les sens.
M (malicieux) : j’aurais le droit à un bisou magique après ?
S (hébétée) : quoi ?
M (sérieux) : ceux que tu as quand tu es sage chez le docteur et qui font que tu guéris plus vite !
S (pouffant de rire) : je vois… moi j’avais des sucettes, mais bon…ton charme opéré déjà à l’époque à ce que j’entends !
Il est presque 14h, et je suis coincée dans les embouteillages. Je suis en pleine crise de nerfs. J’ai passé ma matinée au tribunal. J’ai perdu deux procès et l’autre fut ajourné. Commis d’office revient plus souvent à écouter la sentence du juge qu’à défendre réellement un client, une cause… je ne supporte pas cette passivité, cela ne me ressemble pas. L.J. va m’assassiner si je suis en retard. Tellement de pensée se bouscule dans ma tête. Le départ de Linc et Mike Le fait de ne pas savoir où ils sont m’irrite au plus haut point. Je ne peux m’empêcher de me faire du souci pour eux. J’ai cette crainte au fond de moi. Cette appréhension, qui me dit que c’est la dernière fois que je les vois. Faux que tu te ressaisisses, ils ont vu bien pire. Jamais tu n’aurais pensé que Mike arrive à survivre une journée en prison. Il a tenu, sa détermination est énorme, tu le sais alors ait un peu confiance. Je ne suis plus qu’à une rue. Je tourne. La rue est enfin déserte, plus personne. Mon regard s’attarde sur un homme. Il est là, en train de siroter son café. Au qu’est-ce que je ne donnerais pas pour un bon frappucinno… au moins cela me détendrait ! Toujours fixé sur cet homme, je perçois une oreillette. Mon dieu, mon sang ne fait qu’un tour L.J.. concentres toi, il doit t’attendre devant la porte, faut que tu l’éloignes de là. Mon téléphone, voilà.
Lo : L.J. tu peux me rendre un service.
L.J. : tu es où, tu vas être en retard.
Lo : j’arrive, je suis à une rue du Lycée. Faudrait que tu ailles à la bibliothèque. C’est pour un dossier important. Faudrait que tu me trouve la date précise d’un procès.
L.J. : et je trouve cela comment ?
Lo : dans le Chicago Tribune tu le trouveras. C’est le procès Winchester, cela date de deux ans environ. C’est urgent L.J..
L.J. : bon j’y vais, la réunion c’est salle 204. Je te retrouve devant quand c’est fini . mais tu me le revaudras.
Lo : oui, merci L.J.
Je suis plus qu’à quelques mètres. Je gare ma voiture à quelques pas du lycée. Faut que j’y rentre le plus vite possible. Cela a toujours été la consigne de Jane, "en cas de doute vas dans un endroit où il y a du monde". Je ne vois personne, aucune voiture n’attire mon regard. Soupirs. J’ai du me faire un film. C’est moi qui deviens parano à force. Pauvre L.J., il doit chercher comme un dingue alors que je n’ai pas besoin de cette info. J’appuie sur le bouton pour verrouiller ma voiture. Bon, une réunion parents-profs, mets-toi en condition.
Je me sens attirer vers l’arrière, une odeur de chloroforme m’envoûte. Ma tête tourne, je vois de moins en moins bien, des formes, des couleurs. Je sens des mains sur mes épaules. Elles me retiennent, je tombe, je m'effondre. J’essaye de résister, mais une main de plus en plus présente sur mon nez m’oblige à inhaler ce tissu toxique pour mon être. Je perds pieds. J’attends le fracas de mon sac tomber à terre. Des vois surgissent. Je me concentre mais je n’arrive plus à discerner les différents sons. Ce n’est plus qu’un amalgame de résonance qui frappe mon cerveau. Je lévite dans les airs. Je n’avais par rêver, il y avait bien un danger. L.J. ne sortira pas, c’est ma seule satisfaction. Il est en sécurité. Lincoln, Mike… ils courent un danger. La fin est proche, ils doivent toucher au but, sinon…je m’enfonce de plus en plus dans cette douce léthargie, je n’arrive plus à maîtriser mes pensées.
allez lache-vous?
j'espère vous appréciez la p'tite surprise MISA
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Olalalal z relues trois fois ta suites cest pouca que mon com viens 10 piges plus tard!
En tout cas jaime toujours autant et te demande une suiiiiiite!!!!!!!!!
En tout cas jaime toujours autant et te demande une suiiiiiite!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
c'est toujours aussi prenant!! j'adore !
tes moments misa sont vraiment superbes!!
vite la suite!
tes moments misa sont vraiment superbes!!
vite la suite!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Que dire c'est toujours aussi bien, comme je l'ai deja dit je suis une grande fan de ta fic je trouve que tu es tres douée pour décrire chaque situation que ce soit les scene d'amour et les scene d'action. Et j'attend chaque suite avec grande impatience.
Sara59- Dr Tancredi you are free
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fanfic enneade
elle est superbe ta suite
J'adore les misa
mais vite une suite que va t-il se passer pour Lorène?
J'adore les misa
mais vite une suite que va t-il se passer pour Lorène?
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Super ta fic
magnifique moment MiSa
j'ai hate de lire la suite
magnifique moment MiSa
j'ai hate de lire la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
!!
gé nial !! trop trop bien la scène misa
la suite stp !!!
gé nial !! trop trop bien la scène misa
la suite stp !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
SUPERBE suite!!!!!!!!!!
J'ai adoré la passage Misa!!!!!!!
vivement la suite!!!!!!!!!!
J'ai adoré la passage Misa!!!!!!!
vivement la suite!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Superbe cette petite scène Misa!!!
Hate de lire la suite ben oui pauvre Lorène!!!
Hate de lire la suite ben oui pauvre Lorène!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Waou j'étais toute contente d'avoir une belle scène MiSa trop beau et d'un coup Lorene se fait kidnappé pourquoi tu t'es arrété là?? met la suite!!
et c'est trop mimi du genre Lorene elle veut un frapuccino petit truc qui rappel Wentworth!!!
et c'est trop mimi du genre Lorene elle veut un frapuccino petit truc qui rappel Wentworth!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
a quand la suite ??????
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je veux avoir la suite stp !!
anso26- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
vous êtes géniales
alors vu que cela vous plaît toujours
pensée de Mike : Bleu
pensée de Sara : violet
Part 1 :
Je rejoins Linc assis au bord du lac, cela fait au moins une heure qu’il y est sans bouger. Je le sens perdu dans ses pensées. Il a la même attitude qu’à Fox River, quand il broyait du noir, seul dans sa cour. Tout est sur le point de finir. On sera enfin libres, blanchis. Je m’assois à côté de lui, comme avant !
M (souriant) : alors, tu comptes surveiller ce lac encore longtemps ?
L : non, ca va toi ?
M : oui. Pour hier soir, je suis désolé. Je ne voulais pas qu’on s'accroche. c’est assez compliqué comme cela, sans…
L (vif) : Mickey, arrêtes. C’est moi qui devrais m’excuser. Ce que je t’ai dit, je ne le pensais pas. Je m’en veux. Je crois qu’au fond j’avais envie de te dire pour Lorène mais je ne savais pas comment. En plus elle ne voulait pas que je t’en parle…je m’en veux.
M (les yeux embués) : tu as bien fais de m’en parler. Linc, si elle avait cet enfant, qu’est-ce que j’aurai fait ?
L (le prenant par le cou) : ce n’est pas le cas. Je suis sûr d’une chose, tu l’aurais aimé et c’est tout. Ca à l’air d’aller mieux vous deux ?
M : on a parlé un peu. Elle est si fragile, Linc. En réalité, on n'a pas beaucoup discuter. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé. Tu en sais plus, toi ?
L (fuyant son regard) : non, désolé.
M (abattu) : je ne l’avais jamais vu dans cet état. J’aimerai tellement pouvoir faire quelque chose pour qu’elle aille mieux.
L : moi aussi.
M (pensif) : je suis bien ici.
L : moi aussi.
M : voir L.J. m’a fait du bien. J’aimerai que tu puisses rester plus longtemps auprès de lui.
L : je sais. Sara, tu lui as raconté.
M (avec un petit sourire en coin) : oui, elle sait tout. Je me demande comment elle fait pour être encore là.
L (gauche) : hier, j’ai été dur avec elle. Je ne voulais pas. Je sais tout ce que je lui dois.
M (fataliste) : mais elle ne fait pas le poids face à Lorène, dans ton cœur.
L (souriant) : ils doivent nous attendre, viens.
Paul et moi attendons le retour de Mickaël et Lincoln. Jane est au téléphone. Je ne sais pas exactement ce qu’elle fait mais bon. Cela avait l’air important.
P (narquois) : bon on peut y aller, maintenant que vous êtes là.
L : oui, une minute.
J (gênée) : vous êtes prêts. Si vous trouvez quelque chose d’important prenez contact avec Cooper Green. C’est un ami de votre père.
L la prenant dans ses bras : merci. Prends soin de toi.
J dans un murmure : faites attention.
M : merci Jane. On vous confie Lorène et L.J.
J : ils sont en sécurité.
Le téléphone sonne. Jane monte directement sur la mezzanine où elle l’avait oublié. Je sens le trouble de Sara, sa torpeur à sortir de cette maison. La sécurité de ces dernières heures nous a permis de faire retomber la pression. Cependant, l’angoisse est plus grande encore. Entrelaçant nos doigts, nos regards se croisent. Elle s’accroche à moi, comme si sa vie en dépendait. Son regard brûlant me porte en un instant loin de ses murs. Paul est déjà à la voiture. Linc et moi jetons un dernier coup d’œil sur cette maison avant d’en refermer la porte. Sara est auprès de moi. De petits tremblements parcourent son corps. Je la serre contre moi, elle ne doit pas se sentir seule. A présent je suis à ses côtés.
Jane surgissant de la maison en hurlant : Rester ici. Personne ne part..
L (ahuri) : un problème.
J toujours au téléphone, essayant de se concentrer : calme-toi L.J. et explique-moi ! …..Bon tu ne bouges pas. Je te rappel dans trente secondes.
L (insistant) : qu’est ce qui se passe ? Jane ?
J au téléphone : steve, tu peux aller chercher L.J. à son lycée…oui, c’est un code rouge… OK, dans 2 minutes à l’entrée. Je le préviens.
J : LJ. Steve passe te prendre…calmes-toi…sois dans 2 minutes à l’entrée. Tu restes à l’intérieur tant que tu ne le vois pas, c’est compris.
L (aboyant) : Jane ?
J le regard affolé : on a perdu Lorène !
M : perdu ?
J (sérieuse) : elle n’est pas allée au Lycée de LJ.
M voulant se convaincre lui-même : elle a peut-être eut un conte temps !
P (inquiet) : sa voiture ? Où est-elle ?
J (anxieuse) : devant le lycée.
L (violent) : ce n’est pas vrai !
P (calme) : vaux mieux qu’on se mette tous à l’abri. Rentrons.
alors vu que cela vous plaît toujours
pensée de Mike : Bleu
pensée de Sara : violet
Part 1 :
Je rejoins Linc assis au bord du lac, cela fait au moins une heure qu’il y est sans bouger. Je le sens perdu dans ses pensées. Il a la même attitude qu’à Fox River, quand il broyait du noir, seul dans sa cour. Tout est sur le point de finir. On sera enfin libres, blanchis. Je m’assois à côté de lui, comme avant !
M (souriant) : alors, tu comptes surveiller ce lac encore longtemps ?
L : non, ca va toi ?
M : oui. Pour hier soir, je suis désolé. Je ne voulais pas qu’on s'accroche. c’est assez compliqué comme cela, sans…
L (vif) : Mickey, arrêtes. C’est moi qui devrais m’excuser. Ce que je t’ai dit, je ne le pensais pas. Je m’en veux. Je crois qu’au fond j’avais envie de te dire pour Lorène mais je ne savais pas comment. En plus elle ne voulait pas que je t’en parle…je m’en veux.
M (les yeux embués) : tu as bien fais de m’en parler. Linc, si elle avait cet enfant, qu’est-ce que j’aurai fait ?
L (le prenant par le cou) : ce n’est pas le cas. Je suis sûr d’une chose, tu l’aurais aimé et c’est tout. Ca à l’air d’aller mieux vous deux ?
M : on a parlé un peu. Elle est si fragile, Linc. En réalité, on n'a pas beaucoup discuter. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé. Tu en sais plus, toi ?
L (fuyant son regard) : non, désolé.
M (abattu) : je ne l’avais jamais vu dans cet état. J’aimerai tellement pouvoir faire quelque chose pour qu’elle aille mieux.
L : moi aussi.
M (pensif) : je suis bien ici.
L : moi aussi.
M : voir L.J. m’a fait du bien. J’aimerai que tu puisses rester plus longtemps auprès de lui.
L : je sais. Sara, tu lui as raconté.
M (avec un petit sourire en coin) : oui, elle sait tout. Je me demande comment elle fait pour être encore là.
L (gauche) : hier, j’ai été dur avec elle. Je ne voulais pas. Je sais tout ce que je lui dois.
M (fataliste) : mais elle ne fait pas le poids face à Lorène, dans ton cœur.
L (souriant) : ils doivent nous attendre, viens.
Paul et moi attendons le retour de Mickaël et Lincoln. Jane est au téléphone. Je ne sais pas exactement ce qu’elle fait mais bon. Cela avait l’air important.
P (narquois) : bon on peut y aller, maintenant que vous êtes là.
L : oui, une minute.
J (gênée) : vous êtes prêts. Si vous trouvez quelque chose d’important prenez contact avec Cooper Green. C’est un ami de votre père.
L la prenant dans ses bras : merci. Prends soin de toi.
J dans un murmure : faites attention.
M : merci Jane. On vous confie Lorène et L.J.
J : ils sont en sécurité.
Le téléphone sonne. Jane monte directement sur la mezzanine où elle l’avait oublié. Je sens le trouble de Sara, sa torpeur à sortir de cette maison. La sécurité de ces dernières heures nous a permis de faire retomber la pression. Cependant, l’angoisse est plus grande encore. Entrelaçant nos doigts, nos regards se croisent. Elle s’accroche à moi, comme si sa vie en dépendait. Son regard brûlant me porte en un instant loin de ses murs. Paul est déjà à la voiture. Linc et moi jetons un dernier coup d’œil sur cette maison avant d’en refermer la porte. Sara est auprès de moi. De petits tremblements parcourent son corps. Je la serre contre moi, elle ne doit pas se sentir seule. A présent je suis à ses côtés.
Jane surgissant de la maison en hurlant : Rester ici. Personne ne part..
L (ahuri) : un problème.
J toujours au téléphone, essayant de se concentrer : calme-toi L.J. et explique-moi ! …..Bon tu ne bouges pas. Je te rappel dans trente secondes.
L (insistant) : qu’est ce qui se passe ? Jane ?
J au téléphone : steve, tu peux aller chercher L.J. à son lycée…oui, c’est un code rouge… OK, dans 2 minutes à l’entrée. Je le préviens.
J : LJ. Steve passe te prendre…calmes-toi…sois dans 2 minutes à l’entrée. Tu restes à l’intérieur tant que tu ne le vois pas, c’est compris.
L (aboyant) : Jane ?
J le regard affolé : on a perdu Lorène !
M : perdu ?
J (sérieuse) : elle n’est pas allée au Lycée de LJ.
M voulant se convaincre lui-même : elle a peut-être eut un conte temps !
P (inquiet) : sa voiture ? Où est-elle ?
J (anxieuse) : devant le lycée.
L (violent) : ce n’est pas vrai !
P (calme) : vaux mieux qu’on se mette tous à l’abri. Rentrons.
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
PART 2 :
pensée de Lorène : vert
Ailleurs à Chicago :
Mon corps est paralysé. Mes membres insensibles. Je perçois des bruits au loin. Des voix d’hommes. Faut que je reprenne mes esprits, faut que sache ce qui se passe. Je dois aussi leur faire croire que je suis encore inconsciente. Plus je pourrais les observer et mieux ce sera, pour moi. Discrètement j’entrouvre un œil. Je ne distingue que des ombres. La pièce est sombre, froide. Je scrute autour de moi. Un hangar, un vieil entrepôt… une odeur me prends les sinus. Une odeur de soufre, de salpêtre… cette odeur me tape sur l’esprit. Cet endroit me donne la chair de poule. Les murs sont remplis de graffitis, de tags. On distingue à peine une couleur, comme si l’endroit été à l’abandon depuis des siècles. Mes muscles recouvrent peu à peu leur sensibilité. Mes doigts arrivent de nouveau à bouger. J’ai de nouveau l’impression que mon cerveau et mon corps sont reliés. Je me concentre pour ne pas trop bouger, mais surtout pour m’imprégner de ce lieu. Un sentiment de révulsion s’empare de moi. J’ai la vague impression que cet endroit n’augure rien de bon pour moi. Il s’émane de ce site une telle laideur, un tel sentiment d’effroi… l’odeur, le visuel tout ne m’inspire que nausée et effroi. Je dois me contenir, ne pas être faible. Les voix, même si lointaines, se font de plus en plus audibles. Une m’est familière. Je dois être en plein délire. Ils parlent sans que je comprenne vraiment, elles se rapprochent inexorablement. les liens reliant mes mains dans mon dos sont extrement solides. je n'arrive pas à bouger d'un milimètres. mes chevilles aussi sont ligotées.
Inconnu lui soulevant le menton : vous devez être réveillé depuis un bon quart d’heure, mademoiselle ?
Lo (effrayé) : vous ?
Inconnu (cynique) : ravi de vous revoir. Je vous avais dit que l’on se reverrait !
Lo : qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous me voulez ?
Inconnu obligeant Lorène à s’asseoir : oui, je crois qu’au deuxième rendez-vous, je devrais me présenter. Je suis M. Kim. Ce que je veux vous le savez !
Lo (angoissé) : non
Kim (effronté) : je suis désolé pour votre enfant.
Lo (colérique) : allez au diable !
Kim (riant) : je n’y suis pour rien. Si Scofield était venu, vous vous porteriez bien ainsi que votre garçon. Mais il n’est pas venu. Au moins les choses sont clairs, il préfère sa jeune infirmière !
Lo (inquiète) : alors pourquoi suis-je là ?
Kim : c’est simple, dites-nous où ils sont ? Et vous partirez !
Lo : je ne sais pas.
Kim : bon d’accord. Alors juste pour que vous comprenez bien. Il se retourne vers des hommes.
Emmenez-le ! Phil, mon ami. Le prenant par le cou en pointant son parme sur sa tempe. C’est lui ma chère Lorène qui vous a vendu. Il n’a pas été aussi résistant que vous.
Phil (paniqué) : Lorène, ils ont pris ma famille en otage, je devais…
Kim agitant son arme : oui, oui toujours les mêmes rengaines. Alors si vous ne me dites pas où ils sont, Phil meurt. C’est votre choix !
Phil : Lorène, je t’en supplie !
Lo : si je le savais…
Le coup résonne dans l’entrepôt. Seul le bruit sourd du corps de Phil tombant par terre y fait écho.
Lo : non.
Kim (cynique) : vous venez de tuer un homme, Lorène ; vous permettez que je vous appelle ainsi ?
Lo (épouvantée) : non, non.
Kim (insistant) : Dites-le-moi !
Lo (pleurant) : si je le savais, de toute façon vous me tuerez.
Kim : vous êtes perspicaces, mais je vais vous apprendre une chose : Vous parlerez, croyez-moi. Nous ferons ce qu’il faut pour.
Vous deux, amenez là à côté.
Ils me soulèvent pour me traîner dans une pièce à quelques mètres. Je suis paralysée, comme si tout autour de moi s’était soudain arrêté. Apparemment L.J. est en sécurité. C’est la seule chose qui compte. A moi maintenant de faire en sorte que Mike et Linc le soit aussi. Je vais résister, aucun son ne sortira de moi. Je me le promets. L’angoisse grandit au même rythme que ma détermination. Une boule au ventre incontrôlable. La dernière fois ils m’ont battu sans répit, sans demi-mesure. J’y ai laissé la seule chose au monde qui m’importait. Cette fois ils auront ma vie s’il le faut, mais jamais je ne leur donnerai satisfaction.
La pièce, où il m’emmène, est sans fenêtre, tenue dans l'obscurité, dotée d'une parfaite isolation acoustique et sans toilettes. Normal étant donné que le sens de l'identité individuelle dépend du fait qu'une personne est continuellement en contact avec l'environnement qui l'entoure. La détention doit être «organisée» de manière à me donner la sensation d'avoir été coupé de tout ce qui peut me rassurer. Ils vont vouloir me désorienter en m’inspirant de la crainte et un sentiment d'impuissance. Mais je résisterai, il le faut.
Kim : installez là, confortablement.
L’endroit est plus que glauque. On dirait une salle d’examen d’un hôpital. Table d’osculation, lavabo, des rideaux pour cloisonner, des petits chariots roulants remplis d’ustensiles. Seulement on dirait que c’est à l’abandon depuis au moins 100ans. Les rideaux sectionnants la pièce sont jaunâtres. Tout est vétuste, immondes. Ma peur grandit de plus en plus mais je ne dois rien laisser paraître. Ils allument la lumière, je préférai encore être dans l’obscurité. Mes yeux ont du mal à s’ouvrir, tellement la luminosité m’agresse.
Kim plongeant son regard dans celui de sa prisonnière : vous voyez, Lorène cela fait quelques années que je suis sorti de l’Académie militaire de Mountford. Mais je peux vous assurer d’une chose, j’ai été très assidu.
Lo (caustique ) : c’est important de bien travailler à l’école.
Kim : je suis d’accord avec vous. Donc, si vous n’y voyez pas d’inconvénients, je vais réviser un peu les cours pour être parfaitement au point pour nos amis commun. Donc où sont-ils ?
Je tombe au sol. L’impact sur mes côtes de son poing fut fatal. Il y a une différence avec la dernière fois. Cette fois-ci, je le comprends à l’instant, il ne me laissera pas en vie.
Kim (narquois) : Lorène, Lorène racontais moi une belle histoire !
Des heures ont du s’écouler. Je n’ai plus la notion du temps. Mon corps est en charpie. En étudiant le droit à la fac, je m’étais beaucoup penchée sur la torture et sa psychologie mais jamais je n’aurais pensé un jour vivre ceci.
Tout le monde a des peurs qui remontent à l'enfance. Ces peurs, tout comme leurs réminiscences, vont être employées pour m’extorquer le renseignement. Je le sais c’est la prochaine étape. La brutalité primaire ne marchant pas, ils vont aller vers le psychologique.
Kim accroupi devant elle : Lorène, toujours avec nous à ce que je vois. Bon, je suis sûr que vous vous attendez à ce qui va se passer. Vous êtes intelligentes. Je vais vous expliquer car je n’ai pas vraiment envie de passer au prochain stade. Donc voici quelques-unes des peurs qui sont presque universelles : les mutilations sexuelles, les mutilations physiques, rendre quelqu'un aveugle, l'agonie prolongée. Et chacun de nous éprouve de la répulsion à l'égard de certains objets comme les excréments, le cannibalisme, l'inceste, le sang, les entrailles, la saleté... on va essayer de trouver votre plus grande phobie. Je crois que cela peut-être particulièrement intéressant. Sauf si vous vous décidez à me dire où sont Scofield et Burrows. Soupirs. En tout cas, ils ne sont pas pressés de venir vous chercher, ou ils n’en ont pas envie !
Ma tête va bientôt exploser, cela fait des heures que je suis dans cette pièce. J’ai l’impression d’être un rat de laboratoire avec qui ont prend un malin plaisir à faire joujou. Je frisonne, mon corps est entièrement nu. Je ne me souviens que de vagues impressions. Mon esprit ou du moins ce qui en reste reprend un peu le dessus. Je ne sais pas combien de temps je suis resté inconsciente. La pression est de plus en plus dure mais je ne peux pas céder, je ne le dois pas. Mike et Linc sont ma famille, mon clan.
Kim (ironique) : pas trop froid. On voulait que vous sentiez bien. Le thermomètre indique zéro, c’est bien non.
Lo (grelottante) : tuez-moi
Kim (souriant) : non non, c’est donnant donnant, Lorène.
Je comprends que se soit dur pour vous de nous les livrer. Ils sont votre famille. Burrows vous à accueilli chez lui, quand vos parents vous ont mis dehors. Oui, je sais beaucoup de choses sur vous. Vos parents ne voulaient pas de cette vie pour leur délicieuse fille. Ils vous voyaient mariée à un rire médecin de Seattle ou à un militaire, comme votre frère. Seattle, c’est là qu’ils habitent non ? Donc quand vous leur avez annoncé que vous alliez faire votre droit à Loyola à Chicago pour suivre votre copain de moment, Scofield. Ils vous ont renié, rejeté, banni. Tout comme votre frère, quand vous lui avez révélé être enceinte d’un braqueur de banque, qui vous avait lui aussi abandonné. Dites-moi si je me trompe, cela fait combien de temps que vous ne les avez pas vus ? 10 ans, non 3ans. Vous les avez croisés à l’enterrement de vos grands-parents.
Lo : comment savez-vous tout cela ?
Kim (formel) : je sais beaucoup de choses.
Lo : pas autant sinon, vous ne perdrez pas vote temps avec moi.
Kim (dur) : faire du mal, à une femme si belle que vous m’attriste, soyez en certaine. Je dois avouer que Scofield à bien du s’amuser avec vous, tout comme avec son nouveau docteur. Il a extrêmement bon goût !
Bon passons à la suite.
La suite, c’est la torture médicale. On m’injecte un produit de couleur bleue. Je sens une bouffée de chaleur suivie de douleurs qui se propagent sur tout mon corps. Je me retrouve par terre, je me griffe sur toutes les parties du corps. C’est atroce.
Au bout d’un certain moment, dont je n’ai pas pleinement conscience ceci cesse. Il m’injecte une seconde piqûre. Kim : Dites-nous où ils se cachent, et on arrête.
La scène se répète inlassablement. Je n’ai ni notion du temps ni de mon corps. Je n’en peux plus. Je leur supplie d’arrêter que je suis prête à parler. On m’injecte une autre piqûre qui aussitôt fait cesser mes douleurs.
Lo (vaseuse) : je ne sais pas où ils se cachent, cherchez en enfer.
Les tortures reprennent. Je perds plusieurs fois connaissance. Mes tortionnaires prennent peur. Je le sens. Alors que je suis dans les hébétudes je les entends parler.
Inconnu : ça va le pouls. Il a repris.
Quelques heures après, j’ai repris conscience et un médecin s’avance vers moi. Je m’adresse à lui en le suppliant que je n’en peux plus et qu’ils vont me tuer. Ce dernier me répond : " Il faut assumer ta responsabilité ". Et s’adressant à Kim, il lui a dit : " Son cœur risque de lâcher, il faut utiliser d’autres moyens. " J’ai compris à ce moment-là que ce médecin n’est pas là pour soigner mais pour superviser les tortures et conseiller mon tortionnaire.
Kim sortant de la pièce : on n'aura rien de plus Finissez le travail. Faites en sorte que cela fasse la une des journaux, ils sortiront de leur cachette.
Je sens une lanière plastique servir de garrot au-dessus de mon coude. L’aiguille qui transperce délicatement mon épiderme. Mes yeux à demi-clos. Je n’ai plus conscience de rien.
Seule un vers de Verlaine trotte sans fin dans ma tête : « Sois sage ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille Tu réclamais le soir, il descend, le voici. » .
ça vous plaît toujours
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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fanfic enneade
C'est toujours aussi bien
Mais je veux pas qu'elle meurt je m'y suis attachée à ton personnage
vite une suite
Mais je veux pas qu'elle meurt je m'y suis attachée à ton personnage
vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Superbes suites!!!!!
Par contre moi nn plus je ne veux pas qu'elle meure je l'aime bien!!!!!!!!!
la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Par contre moi nn plus je ne veux pas qu'elle meure je l'aime bien!!!!!!!!!
la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
lily24 a écrit:C'est toujours aussi bien
Mais je veux pas qu'elle meurt je m'y suis attachée à ton personnage
vite une suite
idem : je veux la suite
met la vite meme
tres vite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je le déteste ce kim
anso26- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
la suite stp !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je veux avoir la suite stp !!
anso26- Retrouve Steadman
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