les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
HOURRA ils se sont retrouvé trop magnifique, J'adore si je te remontre le chat tu met une suite?????
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
- Nombre de messages : 5178
Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oui vas-y Amaria !! ressort le chat !! il nous faut absolument une suite !! stp !!
les retrouvailles étaient superbes !! j'ai vraiment adoré !
La Suiteee !!
les retrouvailles étaient superbes !! j'ai vraiment adoré !
La Suiteee !!
micko- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1073
Localisation : dans la loge de Mr Miller
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE !!!!!!!!!
Je sais que tu le sais déjà... mais... il faut que je te le dise encore une fois...
JE T'AIME
en tout bien tout honneur, je te le jure !!!!! (je suis mariée et mère de famille)
mais si tu savais quel plaisir je prend à lire ta fic et ça depuis le début et je te l'avoue je n'ai jamais été déçue...
VITE LA SUITE !!!!!!!!!!!
Je sais que tu le sais déjà... mais... il faut que je te le dise encore une fois...
JE T'AIME
en tout bien tout honneur, je te le jure !!!!! (je suis mariée et mère de famille)
mais si tu savais quel plaisir je prend à lire ta fic et ça depuis le début et je te l'avoue je n'ai jamais été déçue...
VITE LA SUITE !!!!!!!!!!!
Erin- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 99
Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Amaria pas besoin du chat... je ne fais pas ma radineuz ... au contraire elle est longue...
je suis contente que vous soyez toutes accro... mais là!!! vous allez.. allez régalez vous!!
Chap 53:
part1
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara: rose
Je m’étire tel un félin dans mon lit. Les souvenirs de cette nuit martèlent mon esprit. Mickaël. J’ai dormi dan ses bras. Je ne pensée pas que cela pouvait se faire. J’avais presque abandonné l’espoir de pouvoir un jour passé un moment blotti contre lui. Cette sensation me transporte dans un univers parallèle. Je sens son odeur. Il a suffit d’une nuit pour notre chambre soit transformée. Je passe ma main nonchalamment sur le lit, mais rien. Cela ne peut-être un rêve. Je m’assois telle une furie dans le lit. Mes yeux se confrontent immédiatement à ses vêtements posés sur la chaise. Je me sens soulagée. Je soupire. Je ne sais plus vraiment si je suis seine d’esprit. Je me lève et retire mon débardeur pour enfiler ta chemise. Je sors de cette chambre. En fait, je cours te retrouver. J’ai tellement besoin de toi. Je te retrouve assis sur la terrasse avec Linc. Vous voir ainsi tous les deux me transporte. Je ne sais pas ce qui me ravit le plus le fait que tu sois ici ou le fait que vous soyez réunis, enfin. Je vous regarde discrètement. Je n’ose pas vous troubler. Je sais que ces moments sont précieux à vos yeux et je ne veux en aucun cas les rompre. Je sais trop bien l’affection que te porte Linc. Peut-être mieux que toi. Je les vu désemparé au possible, tout risqué pour toi, je les vu pleurer, se morfondre. Plus d’une fois il s’est retrouvé dans mes bras, à pleurer. Tu te lèves. Tu me fais face alors, ta tasse à la main. Je vois ton sourire. Comme s’il en avait toujours était ainsi, tu t’avances vers moi pour me déposer un doux baiser sur le front.
M : bien dormi ?
S : oui, et toi ?
M (souriant) : bien sur.
L : salut Sara, je ne t’avais pas vu ?
S : Linc. Tu n’es pas au boulot ?
L : si si.
M : il est venu me déposer des dossiers. Il veut que j’y jette un coup d’œil.
S : Linc tu n’as pas besoin de prétexte foireux pour passer voir ton frère !
L (pris en faute) : non je… bon je vous laisse les amoureux.
M : je t’appelle pour te dire.
L (partant) : ça ne presse pas. Salut !
S : A plus.
Je le vois s’éloigner sous mon regard hilare. Linc à toujours était ainsi. Un gros nounours qui ne veut pas montrer ses sentiments, mais qui trouve toujours des prétextes pour s’assurer que tout aille bien.
M : café ?
S : oui merci. Tu vas bosser avec eux alors ?
M : ça me tente bien, mais pas tout de suite. On verra dans une semaine ou deux.
S : ils ont eut peur que tu n’acceptes pas mais Lorène et moi on les a persuadées. Tu es fait pour les plans et les dessins.
M (lui tendant sa tasse) : je ne sais pas. On va essayer. Et toi tu travailles ?
S : oui, j’exerce au dispensaire.
M (souriant) : tu es médecin ?
S (haussant les épaules) : je ne sais rien faire d’autre Mickaël !
M : je suis content. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux pour toi ! Ça fait longtemps ?
S : ça fait 6 mois que je suis rentré au Panama. On m’a proposé cette place de médecin chef au dispensaire et j’ai accepté.
M (jovial) : médecin chef… c’est super. Mais un dispensaire ce n’est pas un grand hôpital.
S : je n’avais pas envie d’une autre place. Je ne suis pas faite pour les hôpitaux luxueux. Là je me sens dans mon élément.
M : et avant ?
S : je… je suis parti en mission humanitaire. J’avais besoin de m’éloigner d’ici, de toi. Et puis Jane pensait que c’était plus sûr pour moi. J’ai accepté une mission pour le Darfour. J’avais oublié à quel point les personnes étaient cruelles entre elles. J’ai vu des choses que je ne pensais pas imaginables. Cela m’a fait relativiser sur beaucoup de chose et aussi sur nous.
M (surpris) : sur nous ?
S (ayant du mal à trouver ses mots) : j’étais obsédé par toi et la souffrance qu’endurer ses gens m’a fait réaliser à qu’elle point j’étais égoïste. Mon tourment était bien peu de chose comparer aux leurs. Je m’apitoyais sur moi alors que j’allais bien.
M : tu es… exceptionnelle.
Je lui saute au coup pour qu’il n’en dise pas plus. Mes lèvres se soudent aux sienne sans rien préméditer. C’est comme instinctif. Je sens ses mains se resserrer dans mon dos et appuyer fortement sur mes reins pour me coller un peu plus à toi. Je sens nos palpitations s’accélérer. Je dois résister. Je sais que cette situation peut dégénérée d’une seconde à l’autre et il ne faut pas. Je me détache à regret et fixe tes magnifiques yeux bleutés.
S (soucieuse) : faudrait peut-être que j’examine tout ça ? Tu m’as l’air pas mal amoché !
M : a vos ordres docteurs. Mais ce n’est pas grands choses.
S : c’est moi le médecin ici !
Je lui tends la main pour qu’il me suive dans la chambre. Je l’examine très professionnellement mais je ne peux m’empêcher de verser une larme devant les nombreuses traces de contusions qu’il arbore. Je sens des hauts le cœur car c’est lui, c’est Mickaël. Et j’imagine au travers de son corps meurtri ce qu’il a put endurer. J’aimerai tellement effacer tout ceci.
M (remettant son t-shirt) : alors verdict ?
S : 2 côtes fêlées tout de même !
M (taquin) : je ne sens rien pourtant ! Tu ne voudrais pas que je reste à la maison tranquille !
S : je suis sérieuse et certaines contusions ne sont pas très belles. Je présume que Lorène te les a désinfectées hier et heureusement sinon…
M (souriant) : tu ne donnerais pas cher de moi !
S : c’était habituel ?
M (baissant le tête) : soupirs…
S (inquiète) : tu n’as pas besoin de répondre de toute façon les traces parlent d’elles même !
M (la voix brisée) : je t’en parlerai Sara, mais j’ai besoin de temps.
S : oui, je comprends. Pour tes côtes si tu ne sens rien, c’est juste que ton corps s’est habitué à la douleur, tout simplement.
Je quitte cette pièce de peur de m’effondrer. Je ne peux soutenir son regard.
Je sais bien que je devrais parler, expliquer ce qu’il a put se passer là-bas mais je n’arrive pas. C’est comme si je parlais de ceci voulait dire que je l’accepte alors que je ne cherche qu’une chose, l’oublier, le nier. Je me rhabille avec un t-shirt blanc et un vieux jean usé. J’ai toujours adoré ce jean. Lorène et Linc ont embarqués tous mes vêtements sans en oublier un seul. Je me sens flotter dedans. J’ai du perdre au moins 5 kilos. Ça aurait put être pire !
Je rejoins Sara qui est dehors. Vêtue d’un débardeur noir et d’un jean pantacourt je la trouve plus désirable que jamais. Je m’avance vers elle alors que son téléphone vibre. Je m’enlace tout de même autour d’elle. Comme pour en faire ma prisonnière.
S (au téléphone) : ah ! Oui Jane. J’avais oublié. Attends deux petites secondes.
S : Mickaël, j’avais promis à Jane de faire du shopping avec elle … si tu veux, je décommande, elle comprendra.
M (tout sourire) : non… vas-y cela me laissera du temps pour moi… j’ai pas mal de choses à faire.
S : bon OK Jane, je passe dans une heure.
M : quoi ?
S (surprise) : tu es sur que cela ne te dérange pas ?
M : non et ne reviens pas avant 19h !
S : toi tu me caches quelques choses !
M (pris en faute) : non ! !
Sara est partie depuis deux bonnes heures. Je tourne en rond dans cette maison immense. Au bout de deux minutes j’avais un calepin à la main et je note les modifications que je voudrais apporter à cet endroit. Cette maison est splendide mais je voulais qu’elle soit hors norme, pour Sara. Je note sans relâche, commence à esquisser deux ou trois croquis… je me rends compte que j’arbore un grand sourire. Ils ont raison… j’ai besoin de faire ce travail !
Lo : on ne dit plus bonjour !
M : je ne t’avais pas entendue. Désolé !
Lo : je m’en doutais, quand je t’ai vu avec ton crayon et ton cahier je me disais bien que j’allais bien pouvoir faire n’importe quoi, tu ne remarquerais pas !
M (taquin) : à une certaine époque tu avais trouvé la solution pour me faire lâcher mes crayons !
Lo (sur le même ton) : mais c’était la bonne vieille époque Mr Scofield ! ! Plus de çà entre nous voyons !
M (faisant mine de se rendre) : je ne veux pas d’histoire avec Steve, il est plus balèze que moi.
Lo : Sara n’est pas là ?
M : non Jane et elle sont en virée boutique. Ça m’étonne que tu n’y sois pas !
Lo : les garces elles vont me le payer. Moi aussi j’adore faire les boutiques !
M (curieux) : tu as abandonné Steve ?
Lo : il devait aller à l’ambassade pour le boulot !
M : et il fait quoi alors ?
Lo (étonnée) : Cela t’intéresse maintenant. Hier tu n’étais pas aussi curieux !
M : disons qu’il me faut un peu de temps pour redevenir sociable.
Lo (narquoise) : pourquoi tu l’as été ?
M : t’es toujours aussi chieuse !
Lo : moi aussi je t’aime. T’as prévu quoi pour ce soir ?
M (plein d’étoiles dans les yeux) : j’ai promis un dîner à Sara. Filet mignon.
Lo (mal à l’aise) : tu ne m’en veux pas trop de ne t’avoir rien dis ! je n’étais pas très bien de te faire cela mais…
M : tu avais donné ta parole. Linc m’a tout expliqué ce matin. Cela c’est fait en douceur c’est bien.
Lo : alors tu lui prépares une soirée romantique !
M (tout excité) : ben ! C’est mieux si je veux l’épouser non !
Lo (lui sautant au coup) : quoi ?
M : ben ! Oui tout le monde se marie alors moi aussi !
Lo : oh ! je suis trop contente, alors il faut le champagne, un super dessert, une ambiance romantique à mort…
M (la reposant par terre) : eh ! Eh ! Tu te calmes.
Lo (ouvrant de grands yeux) : t’as la bague ?
M : Linc m’a donné la bague de notre mère ce matin. C’est comme s’il avait lu dans mes pensées. Tu crois qu’elle lui plaira ?
Lo : t’es dingue, elle va… devenir hystérique !
M (passant sa main sur son crâne) : par contre je ne suis pas trop encore dans mon élément alors…
Lo : je te donne un coup de main pour organiser ta soirée, pas de problème. Tu m’écoutes et elle te tombe dans les bras Don Juan !
M : Merci.
Lo (taquine) : quoique pour ça, je ne suis pas sûr que vous aillez attendu mon aide !
M (vexé) : arrête de te faire des films ! Et puis, je sais faire des dîners romantiques… tu ne t’en es jamais plainte.
Lo (lui tirant la langue) : oui mais tu ne sais pas ce qui fais vraiment vibrer une fille, désolée ! !
Lorène a passée l’après-midi avec moi. On est allé chercher chez le traiteur le repas de ce soir, des fleurs, du champagne… elle est hallucinante, elle n’oublie aucun détail. Elle m’a fait décorer toute la terrasse, le jardin… une fois fini j’ai l’impression de rêver moi-même.
je suis contente que vous soyez toutes accro... mais là!!! vous allez.. allez régalez vous!!
Chap 53:
part1
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara: rose
Je m’étire tel un félin dans mon lit. Les souvenirs de cette nuit martèlent mon esprit. Mickaël. J’ai dormi dan ses bras. Je ne pensée pas que cela pouvait se faire. J’avais presque abandonné l’espoir de pouvoir un jour passé un moment blotti contre lui. Cette sensation me transporte dans un univers parallèle. Je sens son odeur. Il a suffit d’une nuit pour notre chambre soit transformée. Je passe ma main nonchalamment sur le lit, mais rien. Cela ne peut-être un rêve. Je m’assois telle une furie dans le lit. Mes yeux se confrontent immédiatement à ses vêtements posés sur la chaise. Je me sens soulagée. Je soupire. Je ne sais plus vraiment si je suis seine d’esprit. Je me lève et retire mon débardeur pour enfiler ta chemise. Je sors de cette chambre. En fait, je cours te retrouver. J’ai tellement besoin de toi. Je te retrouve assis sur la terrasse avec Linc. Vous voir ainsi tous les deux me transporte. Je ne sais pas ce qui me ravit le plus le fait que tu sois ici ou le fait que vous soyez réunis, enfin. Je vous regarde discrètement. Je n’ose pas vous troubler. Je sais que ces moments sont précieux à vos yeux et je ne veux en aucun cas les rompre. Je sais trop bien l’affection que te porte Linc. Peut-être mieux que toi. Je les vu désemparé au possible, tout risqué pour toi, je les vu pleurer, se morfondre. Plus d’une fois il s’est retrouvé dans mes bras, à pleurer. Tu te lèves. Tu me fais face alors, ta tasse à la main. Je vois ton sourire. Comme s’il en avait toujours était ainsi, tu t’avances vers moi pour me déposer un doux baiser sur le front.
M : bien dormi ?
S : oui, et toi ?
M (souriant) : bien sur.
L : salut Sara, je ne t’avais pas vu ?
S : Linc. Tu n’es pas au boulot ?
L : si si.
M : il est venu me déposer des dossiers. Il veut que j’y jette un coup d’œil.
S : Linc tu n’as pas besoin de prétexte foireux pour passer voir ton frère !
L (pris en faute) : non je… bon je vous laisse les amoureux.
M : je t’appelle pour te dire.
L (partant) : ça ne presse pas. Salut !
S : A plus.
Je le vois s’éloigner sous mon regard hilare. Linc à toujours était ainsi. Un gros nounours qui ne veut pas montrer ses sentiments, mais qui trouve toujours des prétextes pour s’assurer que tout aille bien.
M : café ?
S : oui merci. Tu vas bosser avec eux alors ?
M : ça me tente bien, mais pas tout de suite. On verra dans une semaine ou deux.
S : ils ont eut peur que tu n’acceptes pas mais Lorène et moi on les a persuadées. Tu es fait pour les plans et les dessins.
M (lui tendant sa tasse) : je ne sais pas. On va essayer. Et toi tu travailles ?
S : oui, j’exerce au dispensaire.
M (souriant) : tu es médecin ?
S (haussant les épaules) : je ne sais rien faire d’autre Mickaël !
M : je suis content. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux pour toi ! Ça fait longtemps ?
S : ça fait 6 mois que je suis rentré au Panama. On m’a proposé cette place de médecin chef au dispensaire et j’ai accepté.
M (jovial) : médecin chef… c’est super. Mais un dispensaire ce n’est pas un grand hôpital.
S : je n’avais pas envie d’une autre place. Je ne suis pas faite pour les hôpitaux luxueux. Là je me sens dans mon élément.
M : et avant ?
S : je… je suis parti en mission humanitaire. J’avais besoin de m’éloigner d’ici, de toi. Et puis Jane pensait que c’était plus sûr pour moi. J’ai accepté une mission pour le Darfour. J’avais oublié à quel point les personnes étaient cruelles entre elles. J’ai vu des choses que je ne pensais pas imaginables. Cela m’a fait relativiser sur beaucoup de chose et aussi sur nous.
M (surpris) : sur nous ?
S (ayant du mal à trouver ses mots) : j’étais obsédé par toi et la souffrance qu’endurer ses gens m’a fait réaliser à qu’elle point j’étais égoïste. Mon tourment était bien peu de chose comparer aux leurs. Je m’apitoyais sur moi alors que j’allais bien.
M : tu es… exceptionnelle.
Je lui saute au coup pour qu’il n’en dise pas plus. Mes lèvres se soudent aux sienne sans rien préméditer. C’est comme instinctif. Je sens ses mains se resserrer dans mon dos et appuyer fortement sur mes reins pour me coller un peu plus à toi. Je sens nos palpitations s’accélérer. Je dois résister. Je sais que cette situation peut dégénérée d’une seconde à l’autre et il ne faut pas. Je me détache à regret et fixe tes magnifiques yeux bleutés.
S (soucieuse) : faudrait peut-être que j’examine tout ça ? Tu m’as l’air pas mal amoché !
M : a vos ordres docteurs. Mais ce n’est pas grands choses.
S : c’est moi le médecin ici !
Je lui tends la main pour qu’il me suive dans la chambre. Je l’examine très professionnellement mais je ne peux m’empêcher de verser une larme devant les nombreuses traces de contusions qu’il arbore. Je sens des hauts le cœur car c’est lui, c’est Mickaël. Et j’imagine au travers de son corps meurtri ce qu’il a put endurer. J’aimerai tellement effacer tout ceci.
M (remettant son t-shirt) : alors verdict ?
S : 2 côtes fêlées tout de même !
M (taquin) : je ne sens rien pourtant ! Tu ne voudrais pas que je reste à la maison tranquille !
S : je suis sérieuse et certaines contusions ne sont pas très belles. Je présume que Lorène te les a désinfectées hier et heureusement sinon…
M (souriant) : tu ne donnerais pas cher de moi !
S : c’était habituel ?
M (baissant le tête) : soupirs…
S (inquiète) : tu n’as pas besoin de répondre de toute façon les traces parlent d’elles même !
M (la voix brisée) : je t’en parlerai Sara, mais j’ai besoin de temps.
S : oui, je comprends. Pour tes côtes si tu ne sens rien, c’est juste que ton corps s’est habitué à la douleur, tout simplement.
Je quitte cette pièce de peur de m’effondrer. Je ne peux soutenir son regard.
Je sais bien que je devrais parler, expliquer ce qu’il a put se passer là-bas mais je n’arrive pas. C’est comme si je parlais de ceci voulait dire que je l’accepte alors que je ne cherche qu’une chose, l’oublier, le nier. Je me rhabille avec un t-shirt blanc et un vieux jean usé. J’ai toujours adoré ce jean. Lorène et Linc ont embarqués tous mes vêtements sans en oublier un seul. Je me sens flotter dedans. J’ai du perdre au moins 5 kilos. Ça aurait put être pire !
Je rejoins Sara qui est dehors. Vêtue d’un débardeur noir et d’un jean pantacourt je la trouve plus désirable que jamais. Je m’avance vers elle alors que son téléphone vibre. Je m’enlace tout de même autour d’elle. Comme pour en faire ma prisonnière.
S (au téléphone) : ah ! Oui Jane. J’avais oublié. Attends deux petites secondes.
S : Mickaël, j’avais promis à Jane de faire du shopping avec elle … si tu veux, je décommande, elle comprendra.
M (tout sourire) : non… vas-y cela me laissera du temps pour moi… j’ai pas mal de choses à faire.
S : bon OK Jane, je passe dans une heure.
M : quoi ?
S (surprise) : tu es sur que cela ne te dérange pas ?
M : non et ne reviens pas avant 19h !
S : toi tu me caches quelques choses !
M (pris en faute) : non ! !
Sara est partie depuis deux bonnes heures. Je tourne en rond dans cette maison immense. Au bout de deux minutes j’avais un calepin à la main et je note les modifications que je voudrais apporter à cet endroit. Cette maison est splendide mais je voulais qu’elle soit hors norme, pour Sara. Je note sans relâche, commence à esquisser deux ou trois croquis… je me rends compte que j’arbore un grand sourire. Ils ont raison… j’ai besoin de faire ce travail !
Lo : on ne dit plus bonjour !
M : je ne t’avais pas entendue. Désolé !
Lo : je m’en doutais, quand je t’ai vu avec ton crayon et ton cahier je me disais bien que j’allais bien pouvoir faire n’importe quoi, tu ne remarquerais pas !
M (taquin) : à une certaine époque tu avais trouvé la solution pour me faire lâcher mes crayons !
Lo (sur le même ton) : mais c’était la bonne vieille époque Mr Scofield ! ! Plus de çà entre nous voyons !
M (faisant mine de se rendre) : je ne veux pas d’histoire avec Steve, il est plus balèze que moi.
Lo : Sara n’est pas là ?
M : non Jane et elle sont en virée boutique. Ça m’étonne que tu n’y sois pas !
Lo : les garces elles vont me le payer. Moi aussi j’adore faire les boutiques !
M (curieux) : tu as abandonné Steve ?
Lo : il devait aller à l’ambassade pour le boulot !
M : et il fait quoi alors ?
Lo (étonnée) : Cela t’intéresse maintenant. Hier tu n’étais pas aussi curieux !
M : disons qu’il me faut un peu de temps pour redevenir sociable.
Lo (narquoise) : pourquoi tu l’as été ?
M : t’es toujours aussi chieuse !
Lo : moi aussi je t’aime. T’as prévu quoi pour ce soir ?
M (plein d’étoiles dans les yeux) : j’ai promis un dîner à Sara. Filet mignon.
Lo (mal à l’aise) : tu ne m’en veux pas trop de ne t’avoir rien dis ! je n’étais pas très bien de te faire cela mais…
M : tu avais donné ta parole. Linc m’a tout expliqué ce matin. Cela c’est fait en douceur c’est bien.
Lo : alors tu lui prépares une soirée romantique !
M (tout excité) : ben ! C’est mieux si je veux l’épouser non !
Lo (lui sautant au coup) : quoi ?
M : ben ! Oui tout le monde se marie alors moi aussi !
Lo : oh ! je suis trop contente, alors il faut le champagne, un super dessert, une ambiance romantique à mort…
M (la reposant par terre) : eh ! Eh ! Tu te calmes.
Lo (ouvrant de grands yeux) : t’as la bague ?
M : Linc m’a donné la bague de notre mère ce matin. C’est comme s’il avait lu dans mes pensées. Tu crois qu’elle lui plaira ?
Lo : t’es dingue, elle va… devenir hystérique !
M (passant sa main sur son crâne) : par contre je ne suis pas trop encore dans mon élément alors…
Lo : je te donne un coup de main pour organiser ta soirée, pas de problème. Tu m’écoutes et elle te tombe dans les bras Don Juan !
M : Merci.
Lo (taquine) : quoique pour ça, je ne suis pas sûr que vous aillez attendu mon aide !
M (vexé) : arrête de te faire des films ! Et puis, je sais faire des dîners romantiques… tu ne t’en es jamais plainte.
Lo (lui tirant la langue) : oui mais tu ne sais pas ce qui fais vraiment vibrer une fille, désolée ! !
Lorène a passée l’après-midi avec moi. On est allé chercher chez le traiteur le repas de ce soir, des fleurs, du champagne… elle est hallucinante, elle n’oublie aucun détail. Elle m’a fait décorer toute la terrasse, le jardin… une fois fini j’ai l’impression de rêver moi-même.
Dernière édition par le Jeu 28 Juin - 19:18, édité 2 fois
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
PART2 :
J’ai passé une journée de dingue avec Jane. En fait, la journée shopping à viré à une consultation médicale pour elle. Je me sens sur un petit nuage. Jamais je n’aurais pensé en partant tout à l’heure que je conforterai Jane dans le fait qu’elle attendait un bébé. Je me sens comme une puce, je suis toute exaltée. J'ai une furieuse envie de l’annoncer à Mickaël mais je dois me taire. Jane m’a demandé de garder le secret jusqu’à ce qu’elle l’annonce à Lincoln. J’avance tranquillement vers la maison et je suis époustoufler par le spectacle qui s’offre à moi. J’entends une musique douce venir de la maison. Les sons de Gershwin inondent mon esprit. Je m’avance timidement et je suis sous le charme. La pelouse est parsemée de torches enflammées qui illuminent la maison jusqu’à la plage. Je ne sais pas ou regarder tellement s’est beau. Je me dirige vers la plage où une table se dresse devant moi. Des petites guirlandes lumineuses scintillent. Je vois une table de rêve. La vaisselle blanche, les couverts en argents… des pétales de roses clairsemées ici et là tout comme les bougies flottantes dans de petites coupelles transparentes. J’ai l’impression d’être une petite fille qui vit un conte de fée. Je sens son odeur, ses bras qui m’encerclent.
M : surprise !
S : c’est magnifique. Je ne sais pas quoi dire !
M (tendant une flûte de champagne) : à nous !
S : à nous.
Il est magnifique. Je le trouve plus sexy que jamais. Un pantalon en lin blanc, un t-shirt qui dévoile ses bras tatoués. Je souris bêtement. Il est pieds nus dans le sable. J’ai l’impression que tout est si parfait, que tout est si beau.
M (présentant la chaise) : si vous voulez bien mademoiselle.
S : merci.
M : alors filet mignon comme vous convenu !
S : tu es superbe. Et tout ceci… je ne pensais pas que…
M : faut que je t’avoue que j’ai eut un petit coup de main.
S (souriante) : tu me rassures tout de même !
On passe le reste de la soirée à se regarder langoureusement en se racontant nos vies avant Fox River. Je le sens honnête comme rarement on peut l’être dans la vie. Il me parle de Lorène, de sa vie avec elle, de son métier, ses études. Des espoirs qu’il avait à l’époque, de ceux qu’il a aujourd’hui. Je sens que cette soirée est très sérieuse pour lui. A mon tour je lui confie ma vie. Mes parents, l’absence de mon père, ma mort de ma mère, mon combat avec la drogue. On a fini de manger mais on ne peut quitter cet endroit, c’est tellement féerique. On continue alors à se confier l’un l’autre pendant des heures.
M : tu es la meilleure chose qui me soit arrivé, Sara.
S : ce n’est pas beau de mentir.
M (plongeant son regard dans le sien) : tu sais bien que je ne peux pas te mentir. J’ai envie de faire ma vie avec toi, je veux que l’on se redécouvre, que l’on vive ensemble. Cela prendra du temps, mais j’ai toute ma vie à te consacrer.
S (inquiète) : tu es si sûr de toi, tu ne doutes pas ?
M : pourquoi toi, oui ?
S : je ne sais pas, on s’est rencontré en pleine tourmente. Nos sentiments se sont développés avec la peur et l’angoisse. Tu crois que si on s’était rencontrés autrement cela aurait marcher entre nous ?
M (lui caressant la main) : j’en suis sûr. Tu es une femme remarquable, tu es tout ce que je veux et…
S : non, ne dis pas cela. Si tel était les cas… je …
M (anxieux) : quoi ?
S (posant ses deux mains devant son assiette) : je dois être honnête avec toi. On a toujours essayer d’être honnête l’un envers l’autre.
M : Sara ?
S (réfrénant ses sanglots) : il y a un an. J’étais au Darfour. Cela faisait un an. J’étais sans nouvelle de toi. Je ne cherche pas des excuses mais… je n’arrivais pas à accepter ton incarcération, ce silence. J’ai connu quelqu’un là-bas. Je sais que je ne devrais même pas t’en parler mais je ne veux pas te mentir. Je ne peux pas te dire que tout étais rose pendant ton absence, que tout le monde allez bien alors que ce n’était pas le cas !
M (ayant du mal à déglutir) : tu peux être un peu plus précise.
S : les autres feront ce qu’ils semblent bien mais je ne peux pas te mentir. Ces deux années furent l’enfer Mickaël. J’ai vu des choses, j’ai entendu… l’ambassade nous a dit que tu étais mort. Si Lorène n’avait pas remuer la merde avec Linc on aurait jamais su la vérité. On n’avait accès à aucun document. La compagnie était à nos trousses. On ne pouvait pas fermer l’œil sans angoisser. On ne savait pas si le lendemain on serait encore en vie. Dans cette mission j’ai repris le cours d’une vie à peu près normale. Sans vraiment me poser de questions. J’aidais les autres et point barre. J’étais en sécurité alors que j’étais au milieu d’un des plus gros conflit mondial. Je ne cherche pas des excuses.
M (furieux) : c’était quoi ?
S : pardon ?
M (se levant de table) : l’histoire d’une nuit ou plus ?
S : pourquoi tu comprendrais si c’était juste une histoire de cul ?
M (lui tournant le dos) : peut-être !
S (le rejoignant pour lui faire face) : non, Went est quelqu’un de bien et … j’ai eut des sentiments pour lui mais ils n’avaient rien de comparable avec ceux que j’éprouve pour toi !
M (tête baissée) : parce qu’en plus il a un prénom ! Sara, j’ai besoin de réfléchir. Je ne sais pas si…
S : je comprends et c’est bien pour cela que je n’étais pas là hier soir à ta petite fête. Je ne voulais pas être hypocrite avec toi. Je t’ai noté mon numéro à côté du téléphone. Je vais dormir au dispensaire. Il y a de la place. Si tu veux me parler, je serai là-bas.
Je la laisse partir sans comprendre. J’ai l’impression qu’une chape de plomb vient de me tomber dessus. Elle… je n’ai fait que penser à elle, je n’ai fait que survivre pour elle… et elle m’a trahi ! je m’effondre dans le sable. Je sens mon corps se désagrégé. Les larmes coulent sans que j’y prenne gare.
vous me faîtes mal les filles
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je suis pas contente
La suite vite stp!!!!!!!!!!!!!!!!
La suite vite stp!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bah voilà, pendant que lorène et linc remuent la merde et tente l'impossible pour mike en risquant leur vie, sara, elle part en mission pour les autres et en plus, elle tombe sous le charme d'un autre
pas bien du tout, toujours en train de se plaindre
en plus, il s'est quand même accusé à sa place et elle, elle va voir ailleurs
fonces vers lorène michael, y a qu'elle qui t'aime
je vais me faire tuer là
mais je n eme fais pas d'idée hein, je me doute bien qu'il va lui pardonner
la suite !!!!!!!!!!!!!
pas bien du tout, toujours en train de se plaindre
en plus, il s'est quand même accusé à sa place et elle, elle va voir ailleurs
fonces vers lorène michael, y a qu'elle qui t'aime
je vais me faire tuer là
mais je n eme fais pas d'idée hein, je me doute bien qu'il va lui pardonner
la suite !!!!!!!!!!!!!
Dernière édition par le Jeu 28 Juin - 20:02, édité 1 fois
collen- Déchiffre l'origami
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je suis pas contente !!!!!! non plus !!!!!!
j ' ai ete morte de rire que le mec que c 'est tapper sara s ' appelle WENT
mais , je pense que sara a eu raison de dire a michael !!!!! sinon ca lui aurai pourri la vie
mais j ' espere que sa va s 'arranger entre eux , surtout qu 'elle lui a dit sa alors que michael allais lui demander de devenir sa femme
met vite la suite !!!!!!!!!!!!
enneade ,
continue comme sa !!!!!!! je suis accro !!!!!! ta fic , plutot tes fics
j ' ai ete morte de rire que le mec que c 'est tapper sara s ' appelle WENT
mais , je pense que sara a eu raison de dire a michael !!!!! sinon ca lui aurai pourri la vie
mais j ' espere que sa va s 'arranger entre eux , surtout qu 'elle lui a dit sa alors que michael allais lui demander de devenir sa femme
met vite la suite !!!!!!!!!!!!
enneade ,
continue comme sa !!!!!!! je suis accro !!!!!! ta fic , plutot tes fics
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Non mais c'est aps vrai ils etaient enfin réunis et tu les reséparent!!!!
Sa craint qu'elle est trompée mais elle lui a quand meme dit!!!!
Sympa le nom de son amant "Went"!!!
Il faut qu'ils se remettent ensemble STP STP STP je me met a genoux si il le faut!!!!!!!!
Sa craint qu'elle est trompée mais elle lui a quand meme dit!!!!
Sympa le nom de son amant "Went"!!!
Il faut qu'ils se remettent ensemble STP STP STP je me met a genoux si il le faut!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
En manque de fic, j'ai super super envie de lire la tienne, mais faut que je rettrappe les 43 pages de retard Je le ferai un de ces jours, promis, vu que ça a l'air d'être la meilleure
(mais j'ai un faible pour les fic sur Wentwoth Miller , c'est pour ça que je l'avais laissé passer jusque là...)
(mais j'ai un faible pour les fic sur Wentwoth Miller , c'est pour ça que je l'avais laissé passer jusque là...)
Astrid- En route pour la frontière
- Nombre de messages : 658
Date d'inscription : 26/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ah non pas ca !!!!!!!!!!!
Dis moi que ca va s'arranger
Dis moi que ca va s'arranger
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Went hein c'est ça...
C'est bien un peu de piment dans leur couple tout ne peu pas être tout beau tout rose mais faut que ça s'arrange entre eux
vivement la suite
C'est bien un peu de piment dans leur couple tout ne peu pas être tout beau tout rose mais faut que ça s'arrange entre eux
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Yen a toujours un qui fout la merde entre eux, et là, le pompon, c'est Went !
Super suite !
Super suite !
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ba non alors, pourquoi il a fallut qu'il y ait ce Went Michael allait demander Sara en mariage,jsuis dégouté I AM DEGOUTED mais si il l'aime vraiment (et je sais qu'il l'aime) il lui pardonnera elle a cru qu'il était DEAD donc.... et là si jte montre le chat tu met la suite?? même si t'es pas une radineuz de suite!!!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
euhh .. Bah c'est quoi cette histoire ?
Mdr tu vas vite nous raccorder tout sa n'est ce pas hein ??
stp !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sinon j'adore tes suites, elles sont super jolies
Mdr tu vas vite nous raccorder tout sa n'est ce pas hein ??
stp !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sinon j'adore tes suites, elles sont super jolies
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je sais que je ne devrais pas mais...
EXCUSEZ-MOI, TOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je m'attendais tellement à une superbe demande en mariage...
vous savez le truc bien romantique (rose, champagne, chandelles, bague...voir scéne coquine) j'en bavais déjà...
ET BEN NON...
Elle se tape un autre type, lui dit et c'est la dispute...
Je suis tellement surprise que je me marre toute seule devant mon ordi
Enfin, ENNEADE, je ne suis pas contente non plus, je veux des sentiments, du bonheur, je veux rougir et avoir envie d'une douche froide...alors au travail...
mais je t'embrasse quand même...
Erin- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 99
Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
vous n'allez pas encore être contente mais...
CHAP 54 : part1
pensée de Jane : orange
pensée de Linc: marron
pensée de Lorèen : vert
pensée de Mike : bleu
On a tous rendez-vous chez Linc pour dîner. Je vois bien que Linc est particulièrement heureux. Je ne sais pas ce que cela veut dire mais tout semble si parfait ce soir. Cela fait deux jours que Mike et Sara se sont retrouvés et personne n’ose allé les déranger. De toute façon personne ne les voit, donc c’est qu’ils ont trouvé de quoi occuper leurs journées.
Linc est plus heureux que jamais. Je me doutais que cette nouvelle le ravirait mais je n’osais espéré à ce point. Même si on n’avait pas vraiment prévu ce petit bout de chou, je dois dire que je suis la plus heureuse des femmes. On a juste remis à plus tard le mariage. Linc ne veut pas que je pense qu’il m’épouse à cause de bébé et moi, je n’ai pas très envie de me marier en ayant le ventre tout rebondi. Et oui ! Seul Mike et Sara ne sont pas encore arriver. Bien sûr tout le monde souris devant ce constat. On décide de commencer le repas sans eux. Je vois bien le regard quelques peu déçu de Linc. Il a tellement envie de le dire.
Le repas se déroule dans la bonne humeur, de toute façon avec Sucré, L.J, Steve et moi il ne peut en être autrement. Je suis un peu triste que Mike et Sara ne soit pas encore là. Je leur ai laissé un message dans l’après-midi, ils ne devraient pas tarder. Le dessert arrive et je vois le regard de L.J. se confondre avec le mien. Il se doute de quelque chose. Je ne sais pas comment il le sait, mais je vois à son regard malicieux qu’il se doute. Jane nous apporte du champagne sous le regard ébahi de tout le monde. Alors que je préparais à ouvrir la bouteille sous leurs regards étonnés, je le vois enfin arriver. Je n’en crois pas mes yeux. Il est là titubant. Je laisse cette foutue bouteille pour m’avancer vers lui. Il a le regard vide, il empeste l’alcool. Je le prends par les épaules pour le faire venir à moi mais il se dégage. Je cherche Sara du regard mais personne hormis une blonde peroxydée qui s’avance dans son dos. Je n’en crois pas mes yeux. Cela doit être un cauchemar.
M (complétement ivre) : bon je suis là, qu’est-ce que tu veux ?
L (lui prenant les épaules) : Mike mais …
M : Linc lâche-moi, Ok. Je vois que tout le monde est de la fête ! Bon, tu nous l’annonces !
Sucré : et gueule d’ange arrête…
M (prenant Linc par le cou) : quoi vous ne voyez pas venir le truc… mon grand-frère va être de nouveau papa ! Hein, je me trompe ! On arrose ça !
J (consternée) : Mickaël !
M : quoi je me trompe !
L : je ne voulais pas vraiment l’annoncer ainsi mais oui c’est ça… purée Mike où est Sara… et c’est qui elle ? Montrant la fille en retrait.
M (levant les yeux au ciel) : qui, l’autre … je sais pas … elle a disparu, évanouie…
L : tu déconnes…
M : elle a du repartir soigner ces petits malades. Moi je vais bien, elle n’a plus à me soigner. Et elle, je ne sais pas… elle a l’air bien, non ? Lui lançant un clin d’œil.
L : tu as trop bu… viens avec moi !
M : non je vais bien, je n’ai jamais été aussi bien… d’accord, je suis enfin libre et je compte bien profiter de ma vie. J’ai toujours vécu pour les autres c’est temps que je pense à moi. Et puis vous me faites tous gerber avec vos simagrées.
L : de quoi tu parles ?
M : faites pas les innocents, vous saviez qu’elle s’était envoyé en l’air avec un autre, vous saviez qu’elle avait quelqu’un d’autre… qu’elle avait continuée de vivre alors que moi je croupissais là-bas…
L : je… je ne vois pas de quoi tu parles ! Mike reviens…. Mike !
Il s’éloigne comme il est venu. On est tous médusé par son comportement et ce qu’il vient de nous dire. On se regarde sans trop quoi dire. Je vois Linc tremblant revenir vers nous. Il dépose un léger baiser sur la joue de Jane alors que ses larmes roulent le long de ses joues.
Lo : félicitations.
L.J. : je savais bien qu’il y avait quelque chose… j’aurais une petite sœur !
L : une fille !
L.J. : oui, j’ai toujours voulu avoir une petite sœur !
L : je suis désolé pour ce qu’il vient de se passer. Je ne comprends pas…
Sucré : personne ici ne savait ? Moi non en tout cas !
J : Sara m’en avait parlé.
L : quoi, elle … ce qu’il a dit est vrai.
J : je ne pensais pas qu’elle lui en parlerai, honnêtement. En mission elle a rencontré un homme. Il l’a réconforté, il était présent, gentil, protecteur.
Lo : tu ne vas pas lui trouver des excuses tout de même, elle a trompé Mike !
J : non, ce que j’essaye de vous dire, c’est que lui était là alors qu’elle en avait besoin. Honnêtement je ne lui jette pas la pierre. Dans sa situation je ne sais pas ce que j’aurais fait !
Lo : on le sait, tu as pris tous les risques pour Linc ! alors…
L : Lorène tu te calmes !
Lo : je vais faire un tour.
Steve : chérie attends-moi.
Le reste de la soirée se passe sans moi. Je n’ai pas envie d’être là-bas à trouver des excuses à Sara. J’aime cette fille, c’est ma meilleure amie… mais Mike est dans un tel état… jamais je n’aurais pensé un truc pareil. Je me sens désemparé. Steve marche avec moi sur la plage sa présence me rassure, me fait du bien. C’est comme si on avait effacé les dernières minutes qui viennent de passer. On essaye de ce concentrer sur notre avenir. Steve me confie pour la première fois son désir d’avoir des enfants. Je me sens transportée par cet aveu. La vie à été rude avec nous ces dernières années. Son travail est dangereux et il prend énormément de risques. Je ne peux m’empêcher de lui sourire avant de lui sauter au cou. Il veut que l’on fonde une famille, cela signifie qu’il ne voudra plus prendre de risques, adieux les missions… on rentre vers la maison. Mes jambes enroulées à sa taille, nos lèvres ne peuvent se détacher. Alors que l’on défait notre étreinte au plus près de la maison. On se rend compte que tout est éteint. Tout le monde dort paisiblement.
Cela fait presque deux heures que je suis assise dans sa chambre. Je ne devrais pas être là, je le sais mais c’est plus fort que moi. Je me suis levée aux aurores. Comme si j’avais besoin de m’assurer qu’il allait bien ? . J’ai laissé Steve se reposer paisiblement. J’enfile mon pantalon et mon débardeur et file tel un automate vers la maison de Mike. A ma grande surprise il a transformé cette sublime maison en un véritable dépotoir. Les bouteilles vides s’accumulent un peu partout. Je sais bien au fond de moi que je ne peux tenir rigueur à Sara. Elle aurait pu lui mentir. Mais au fur et à mesure que je nettoie son salon, une haine viscérale s’installe en moi. Jamais je ne peux pas… elle lui a fait si mal… je jette les cadavres de bouteilles, ramasses les semblant de nourriture qui traînent ici et là. Je monte et je sais que je ne devrais pas, mais je dois le brusquer pour qu’il ne sombre pas. Je ne lui permettrai pas, il n’a pas le droit de m’abandonner. Et je ne veux pas que Sara le voit ainsi, je veux qu’elle le voit digne, séduisant, conquérant comme il la toujours été. Dans le pire des cas elle regrettera amèrement de l’avoir fais souffrir et devras vivre avec. Mais lui refera sa vie. Je te le promets Mike, tu seras heureux ! Je le vois émergé doucement. Sa blonde est toujours là. Elle dort paisiblement de l’autre côté du lit. Je sens ses yeux bleus se poser sur moi. Il ne s’attendait pas à me trouver ici, à son réveil. Il s’assoit pour me faire face. Elle dort toujours.
M : ta leçon de morale tu la garde… et pour mater c’est trop tard !
Lo : arrêtes tes conneries. Hier soir, tu as été odieux !
M : quoi hier soir ?
Lo : tu avais trop bu pour t’en souvenir sûrement. La soirée chez Linc ! Tu es arrivé pour le dessert avec elle !
M (se frottant le crâne) : je crois que je lui dois des excuses, non ?
Lo : à ton avis ?
M : je ne sais pas trop. J’ai un pu mal à la tête. Oh ! merde, il va être papa et…
Lo : t’as foiré la surprise. Allez ne te mines pas le moral. Je suis sûr qu’il comprend.
M : oui mais Jane…
Lo : on verra ça plus tard. Et elle c’est qui ?
M (relevant un sourcil) : elle… une pute !
Lo : Mike mais.. C’est une femme tout de même.
M : Une pute !
La belle au bois dormant se réveille enfin à cause de notre brouhaha. Je la vois se lever sans aucun complexe devant moi alors que je ressemble à une pivoine. Le regard de Mike n’arrange rien à la situation. Il me fixe de plus en plus pour finir de me déstabiliser. Je la vois se rhabiller machinalement. Mon regard s’agrandit alors qu’elle prend une liasse de billet qui était sur la table de nuit. Elle lui dépose un baiser sur la joue et lui murmure quelque chose à l’oreille qui le fait sourire davantage alors qu’il ne me fixe toujours. Elle part sans même se retourner. Je suis déconcerté par ce que je viens de voir.
Lo (éfondrée) : c’est… mais merde Mike tu crois que…
M : je ne crois rien. Je profite de ma vie.
Lo (lâchant le combat) : OK Ok. Pourquoi tu me regardes ainsi et elle t’a dit quoi en partant ?
M : curieuse !
Lo : allez !
M (le regard malicieux) : que la prochaine fois cela ne la dérangerai pas si tu voulais être là !
Lo (se cachant derrière un coussin) : Mike ! tu…
M (se levant) : ta tête est trop drôle !
Je le vois sortir de son lit sans aucune pudeur. C’est vrai que j’ai quand vu tout ce qu’il y avait à voir mais tout de même. Je descends dans la cuisine pour lui préparer un petit déjeuner alors qu’il prend sa douche. Il redescend et me regarde amusé par la situation. Je lui tends sa tasse de café et il préfère se servir un verre de whisky. Je le regarde navrée. Mais je sais qu’il est plus buté et têtu que moi. Alors j’abandonne, pour aujourd’hui. Il me regarde compatissant. Ses lèvres se déposent sur ma joue.
M : merci pour le ménage. Je vais prendre quelqu’un promis !
Lo : de toute façon je rentre à Chicago dans une semaine !
M : j’ai besoin de rester seul, s’il te plaît.
Lo : d’accord pas de bêtises.
M : tu peux dire à Linc que dès demain je bosse.
Lo : tu es sûr ?
M : oui j’en ai besoin. Et puis ça m’évitera de me saouler toute la journée !
CHAP 54 : part1
pensée de Jane : orange
pensée de Linc: marron
pensée de Lorèen : vert
pensée de Mike : bleu
On a tous rendez-vous chez Linc pour dîner. Je vois bien que Linc est particulièrement heureux. Je ne sais pas ce que cela veut dire mais tout semble si parfait ce soir. Cela fait deux jours que Mike et Sara se sont retrouvés et personne n’ose allé les déranger. De toute façon personne ne les voit, donc c’est qu’ils ont trouvé de quoi occuper leurs journées.
Linc est plus heureux que jamais. Je me doutais que cette nouvelle le ravirait mais je n’osais espéré à ce point. Même si on n’avait pas vraiment prévu ce petit bout de chou, je dois dire que je suis la plus heureuse des femmes. On a juste remis à plus tard le mariage. Linc ne veut pas que je pense qu’il m’épouse à cause de bébé et moi, je n’ai pas très envie de me marier en ayant le ventre tout rebondi. Et oui ! Seul Mike et Sara ne sont pas encore arriver. Bien sûr tout le monde souris devant ce constat. On décide de commencer le repas sans eux. Je vois bien le regard quelques peu déçu de Linc. Il a tellement envie de le dire.
Le repas se déroule dans la bonne humeur, de toute façon avec Sucré, L.J, Steve et moi il ne peut en être autrement. Je suis un peu triste que Mike et Sara ne soit pas encore là. Je leur ai laissé un message dans l’après-midi, ils ne devraient pas tarder. Le dessert arrive et je vois le regard de L.J. se confondre avec le mien. Il se doute de quelque chose. Je ne sais pas comment il le sait, mais je vois à son regard malicieux qu’il se doute. Jane nous apporte du champagne sous le regard ébahi de tout le monde. Alors que je préparais à ouvrir la bouteille sous leurs regards étonnés, je le vois enfin arriver. Je n’en crois pas mes yeux. Il est là titubant. Je laisse cette foutue bouteille pour m’avancer vers lui. Il a le regard vide, il empeste l’alcool. Je le prends par les épaules pour le faire venir à moi mais il se dégage. Je cherche Sara du regard mais personne hormis une blonde peroxydée qui s’avance dans son dos. Je n’en crois pas mes yeux. Cela doit être un cauchemar.
M (complétement ivre) : bon je suis là, qu’est-ce que tu veux ?
L (lui prenant les épaules) : Mike mais …
M : Linc lâche-moi, Ok. Je vois que tout le monde est de la fête ! Bon, tu nous l’annonces !
Sucré : et gueule d’ange arrête…
M (prenant Linc par le cou) : quoi vous ne voyez pas venir le truc… mon grand-frère va être de nouveau papa ! Hein, je me trompe ! On arrose ça !
J (consternée) : Mickaël !
M : quoi je me trompe !
L : je ne voulais pas vraiment l’annoncer ainsi mais oui c’est ça… purée Mike où est Sara… et c’est qui elle ? Montrant la fille en retrait.
M (levant les yeux au ciel) : qui, l’autre … je sais pas … elle a disparu, évanouie…
L : tu déconnes…
M : elle a du repartir soigner ces petits malades. Moi je vais bien, elle n’a plus à me soigner. Et elle, je ne sais pas… elle a l’air bien, non ? Lui lançant un clin d’œil.
L : tu as trop bu… viens avec moi !
M : non je vais bien, je n’ai jamais été aussi bien… d’accord, je suis enfin libre et je compte bien profiter de ma vie. J’ai toujours vécu pour les autres c’est temps que je pense à moi. Et puis vous me faites tous gerber avec vos simagrées.
L : de quoi tu parles ?
M : faites pas les innocents, vous saviez qu’elle s’était envoyé en l’air avec un autre, vous saviez qu’elle avait quelqu’un d’autre… qu’elle avait continuée de vivre alors que moi je croupissais là-bas…
L : je… je ne vois pas de quoi tu parles ! Mike reviens…. Mike !
Il s’éloigne comme il est venu. On est tous médusé par son comportement et ce qu’il vient de nous dire. On se regarde sans trop quoi dire. Je vois Linc tremblant revenir vers nous. Il dépose un léger baiser sur la joue de Jane alors que ses larmes roulent le long de ses joues.
Lo : félicitations.
L.J. : je savais bien qu’il y avait quelque chose… j’aurais une petite sœur !
L : une fille !
L.J. : oui, j’ai toujours voulu avoir une petite sœur !
L : je suis désolé pour ce qu’il vient de se passer. Je ne comprends pas…
Sucré : personne ici ne savait ? Moi non en tout cas !
J : Sara m’en avait parlé.
L : quoi, elle … ce qu’il a dit est vrai.
J : je ne pensais pas qu’elle lui en parlerai, honnêtement. En mission elle a rencontré un homme. Il l’a réconforté, il était présent, gentil, protecteur.
Lo : tu ne vas pas lui trouver des excuses tout de même, elle a trompé Mike !
J : non, ce que j’essaye de vous dire, c’est que lui était là alors qu’elle en avait besoin. Honnêtement je ne lui jette pas la pierre. Dans sa situation je ne sais pas ce que j’aurais fait !
Lo : on le sait, tu as pris tous les risques pour Linc ! alors…
L : Lorène tu te calmes !
Lo : je vais faire un tour.
Steve : chérie attends-moi.
Le reste de la soirée se passe sans moi. Je n’ai pas envie d’être là-bas à trouver des excuses à Sara. J’aime cette fille, c’est ma meilleure amie… mais Mike est dans un tel état… jamais je n’aurais pensé un truc pareil. Je me sens désemparé. Steve marche avec moi sur la plage sa présence me rassure, me fait du bien. C’est comme si on avait effacé les dernières minutes qui viennent de passer. On essaye de ce concentrer sur notre avenir. Steve me confie pour la première fois son désir d’avoir des enfants. Je me sens transportée par cet aveu. La vie à été rude avec nous ces dernières années. Son travail est dangereux et il prend énormément de risques. Je ne peux m’empêcher de lui sourire avant de lui sauter au cou. Il veut que l’on fonde une famille, cela signifie qu’il ne voudra plus prendre de risques, adieux les missions… on rentre vers la maison. Mes jambes enroulées à sa taille, nos lèvres ne peuvent se détacher. Alors que l’on défait notre étreinte au plus près de la maison. On se rend compte que tout est éteint. Tout le monde dort paisiblement.
Cela fait presque deux heures que je suis assise dans sa chambre. Je ne devrais pas être là, je le sais mais c’est plus fort que moi. Je me suis levée aux aurores. Comme si j’avais besoin de m’assurer qu’il allait bien ? . J’ai laissé Steve se reposer paisiblement. J’enfile mon pantalon et mon débardeur et file tel un automate vers la maison de Mike. A ma grande surprise il a transformé cette sublime maison en un véritable dépotoir. Les bouteilles vides s’accumulent un peu partout. Je sais bien au fond de moi que je ne peux tenir rigueur à Sara. Elle aurait pu lui mentir. Mais au fur et à mesure que je nettoie son salon, une haine viscérale s’installe en moi. Jamais je ne peux pas… elle lui a fait si mal… je jette les cadavres de bouteilles, ramasses les semblant de nourriture qui traînent ici et là. Je monte et je sais que je ne devrais pas, mais je dois le brusquer pour qu’il ne sombre pas. Je ne lui permettrai pas, il n’a pas le droit de m’abandonner. Et je ne veux pas que Sara le voit ainsi, je veux qu’elle le voit digne, séduisant, conquérant comme il la toujours été. Dans le pire des cas elle regrettera amèrement de l’avoir fais souffrir et devras vivre avec. Mais lui refera sa vie. Je te le promets Mike, tu seras heureux ! Je le vois émergé doucement. Sa blonde est toujours là. Elle dort paisiblement de l’autre côté du lit. Je sens ses yeux bleus se poser sur moi. Il ne s’attendait pas à me trouver ici, à son réveil. Il s’assoit pour me faire face. Elle dort toujours.
M : ta leçon de morale tu la garde… et pour mater c’est trop tard !
Lo : arrêtes tes conneries. Hier soir, tu as été odieux !
M : quoi hier soir ?
Lo : tu avais trop bu pour t’en souvenir sûrement. La soirée chez Linc ! Tu es arrivé pour le dessert avec elle !
M (se frottant le crâne) : je crois que je lui dois des excuses, non ?
Lo : à ton avis ?
M : je ne sais pas trop. J’ai un pu mal à la tête. Oh ! merde, il va être papa et…
Lo : t’as foiré la surprise. Allez ne te mines pas le moral. Je suis sûr qu’il comprend.
M : oui mais Jane…
Lo : on verra ça plus tard. Et elle c’est qui ?
M (relevant un sourcil) : elle… une pute !
Lo : Mike mais.. C’est une femme tout de même.
M : Une pute !
La belle au bois dormant se réveille enfin à cause de notre brouhaha. Je la vois se lever sans aucun complexe devant moi alors que je ressemble à une pivoine. Le regard de Mike n’arrange rien à la situation. Il me fixe de plus en plus pour finir de me déstabiliser. Je la vois se rhabiller machinalement. Mon regard s’agrandit alors qu’elle prend une liasse de billet qui était sur la table de nuit. Elle lui dépose un baiser sur la joue et lui murmure quelque chose à l’oreille qui le fait sourire davantage alors qu’il ne me fixe toujours. Elle part sans même se retourner. Je suis déconcerté par ce que je viens de voir.
Lo (éfondrée) : c’est… mais merde Mike tu crois que…
M : je ne crois rien. Je profite de ma vie.
Lo (lâchant le combat) : OK Ok. Pourquoi tu me regardes ainsi et elle t’a dit quoi en partant ?
M : curieuse !
Lo : allez !
M (le regard malicieux) : que la prochaine fois cela ne la dérangerai pas si tu voulais être là !
Lo (se cachant derrière un coussin) : Mike ! tu…
M (se levant) : ta tête est trop drôle !
Je le vois sortir de son lit sans aucune pudeur. C’est vrai que j’ai quand vu tout ce qu’il y avait à voir mais tout de même. Je descends dans la cuisine pour lui préparer un petit déjeuner alors qu’il prend sa douche. Il redescend et me regarde amusé par la situation. Je lui tends sa tasse de café et il préfère se servir un verre de whisky. Je le regarde navrée. Mais je sais qu’il est plus buté et têtu que moi. Alors j’abandonne, pour aujourd’hui. Il me regarde compatissant. Ses lèvres se déposent sur ma joue.
M : merci pour le ménage. Je vais prendre quelqu’un promis !
Lo : de toute façon je rentre à Chicago dans une semaine !
M : j’ai besoin de rester seul, s’il te plaît.
Lo : d’accord pas de bêtises.
M : tu peux dire à Linc que dès demain je bosse.
Lo : tu es sûr ?
M : oui j’en ai besoin. Et puis ça m’évitera de me saouler toute la journée !
Dernière édition par le Ven 29 Juin - 19:55, édité 2 fois
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
PART 2 :
Cela fait maintenant un moi que Lorène est reparti pour Chicago. Un moi et une semaine que j’ai rayé Sara de ma vie. Je ne l’ai jamais recroisé depuis, je n’ai pas cherché. Lorène et Steve doivent revenir passer leur vacance ici et du coup surveiller la construction de leur maison. J’ai bien l’impression que tous les étés, ils passeront leurs vacances ici avec nous. Lorène ne se voit pas exercer ici, je la comprends. La justice au Panama, il y a mieux ! Je bosse comme un acharné toute la journée et le soir j’essaye de décompressé comme je peux en écumant les bars de la ville. Je dois être le célibataire le plus couru de la ville. Mais j’accumule les filles comme certains collectionne les timbres. Mais c’est devenu ma raison de vivre. Et puis, je déteste être seul. Je les vois enfin arriver sur le chantier. Ils sont ébahis. Faut dire que Linc à mis les bouchées double. Il aimerai bien ne plus les avoir chez lui à chaque fois qu’ils sont ici. Ce n’est pas qu’il ne les aime pas mais les tensions sont assez palpables entre Lorène et Jane à cause de Sara. Elle a eut le don pour tout pourrir autour d’elle. Je m’avance vers eux pour les saluer.
M : alors bon voyage !
Steve : oui merci. Je ne pensais pas que cela avancerait aussi vite.
M : il manque les finissions. Dans un mois, trois semaines elle sera habitable.
Lo : tu plaisantes, elle l’est !
M : non non hors de questions que tu y mettes les pieds avant qu’elle soit terminée.
Steve : au fait Linc n’est pas là ?
M : non lui et Sucré sont sur un autre chantier. Alors vous restez combien de temps ?
Lo : 3 semaines. Enfin les vacances. Et toi combien as-tu de femmes au port en ce moment qui t’attendent ?
M : aucune qui m’attend. Mais sinon 3 ou 4… je ne sais pas bien !
Lo : connard !
Steve : Lorène !
Lo : quoi si moi ne je ne le remets pas en place personne ne le fait !
M : comment va L.J. ? Et ses conquêtes ?
Lo : on pourrait vous associer tous les deux ! Il vient la semaine prochaine pour quelques jours.
M : super on va faire des ravages !
Lo : tu devrais lui montrer l’exemple !
M : c’est ce que je fais. Je me défonce au boulot toute la journée et je décompresse le soir !
Lo : tu es incorrigible.
Je ne sais pas trop comment me comporter avec Mike. Il se cache derrière cette façade de séducteur alors qu’il souffre. On rentre tous ensemble chez Linc et Jane. Je sens que la cohabitation va être dure mais Linc à refuser que l’on s’installe ailleurs. Je suis désemparé devant son attitude. Je vois son regard de prédateur se poser sur les femmes dans la rue. Et le pire c’est qu’elles se pavanent à ses pieds. C’est dépriment. On arrive enfin chez Linc ou lui et Jane nous attendent. Je sens bien la tension entre nous deux se crispée mais j’essaye de faire bonne figure alors que Linc me soulève comme à son habitude du sol.
Lo : tu vas me reposer un peu.
L : je suis content de vous voir. Je viens d’avoir L.J. au téléphone. Il est excité comme une puce de venir.
Steve : tu m’étonnes avec la tortionnaire qu’il a au boulot !
Lo : je ne te permets pas ! Je veux qu’il soit le meilleur ce n’est pas une tare !
L : Mike faut que tu me dises pour le déplacement.
M : Ne pose pas de questions. Je t’ai dit que je faisais tous les déplacements. Toi et Sucré restez avec vos familles.
L : ok.
Une semaine que je suis ici est Mike me tape sur le système. Il se détruit petit à petit. On passe un temps incalculable ensemble. Faut dire que Steve me délaisse pas mal pour aller voir de vieilles connaissances qu’il ne vaut mieux pas que je rencontre. Comme à chaque fois, Mike me retrouve sur la plage en fin de mâtiné. On déjeune souvent ensemble. Il me raconte ses conquêtes de la veille et je tombe chaque fois par terre. Il sait que je n’aime pas ce qu’il est en train de faire.
M : arrêtes tes morales sinon je te laisse toute seule.
Lo : quoi tu te murges tous les soirs et je ne dois rien dire ? Je suis sûr que tu ne connais même pas le nom de la fille avec qui tu as passé la nuit !
M : qui te dis qu’il n’y en avait qu’une !
Lo : Mike !
M : je plaisante.
Lo : je m’inquiète.
M: je sais.
M : tu as revu Sara ?
Lo : non et je n’en ai pas envie.
M : je croyais que c’était ton amie. Jane la revoit et cela ne me pose pas de problème.
Lo : Jane fait ce qu’elle veut. Et c’était mon amie, oui. Mais elle t’a fait du mal et cela je ne le pardonnerai pas.
M : quoi ! Tu lui as dit le truc si tu lui fais du mal tu auras affaire à moi et là… tu préfère l’éviter !
Lo : exactement.
Lo : Linc qu’est-ce que tu viens faire ici ?
L : juste un petit coucou. Alors vous deux ?
M : elle me fait la morale !
L : alors bonne chance, moi j’ai abandonné.
Lo : tu as peur qu’il t’embarque dans ces escapades nocturnes oui !
L : au fait, Lorène, faudra que tu me donnes la réponse pour le petit !
M : c’est quoi votre histoire.
L : elle n’en s’est pas vanté. J’ai demandé à Lorène d’être la marraine du petit et madame ne m’a toujours pas donné sa réponse.
Lo : je t’ai expliqué pourquoi. Je ne suis pas sûr que se sera bien vu les tensions qu’il y a entre Jane et moi.
L (vexé) : de toute façon se sera toi ou personne.
J’ai l’impression de revenir des années en arrières. On est là tous les trois à tables à rire, se moquer les uns des autres. Comme si tout cela n’était plus qu’un mauvais souvenir. Je vois Steve arrivé. Je sais à sa tête que quelque chose ne va pas. Sans même se regarder, je sens la main de Linc se poser dans mon dos. On dirait que lui aussi se doute de quelque chose. Il arrive avec son grand sourire. Mais je le connais, il est faut.
Steve : Lorène on pourrait parler. J’ai un truc à te dire.
Lo : tu peux y aller.
Steve : c’est personnel.
Je déteste quand il dit cette phrase. Surtout avec Mike et Linc là. De toute façon ils seront au courant. Je le suis alors que Linc rejoint lui aussi sa voiture. On s’avance main dans la main sur la plage qui s’offre devant nous. Je le vois anxieux mais déterminé. Je sens que cela ne sent pas bon !
Lo : alors ?
Steve : l’ambassade vient de m’appeler et ils ont besoin de moi.
Lo : tu pars où, combien de temps,
Steve : je ne peux rien te dire.
Lo : tu te fous de moi. Non, mais… on va se marier dans un mois et on essaye d’avoir un enfant et toi, tu … Steve je croyais que tu voulais fonder une famille !
Steve : je le veux.
Lo : alors tu m’expliques ou est la stabilité là dedans ! Tu bosses encore pour la CIA c’est cela ?
Steve : tu savais que je ne pourrais pas te parler de tout, j’ai toujours était clair avec toi.
Lo : oui mais je ne suis pas ces femmes qui attendent sagement leur petit soldat à la maison sans savoir où il est ni quand il rentre.
Steve : je dois partir. Mon avion décolle à 15h. je ne veux pas passer mon temps à me disputer !
Lo : tu pars où ? Quels sont les risques ? C’est pour cela que tu partais toute la journée ? Tu me prends vraiment pour une conne ! Les vacances au Panama s’est un bon prétexte pour tes missions !
Steve : Lorène je… prends le comme tu veux. Je ne peux rien te dire et c’est ainsi. Et puis tu n’es pas toute seule ici, Mike te réconfortera !
Sans même me retenir, je le gifle. Il aurait pu dire n’importe quoi en fait, j’avais une envie irrésistible de l’écorché vivant. Je retourne à ma table alors qu’il se dirige sans se retourner à sa voiture. Mike me regarde effaré. Il sait que j’aime cet homme et que je ne suis pas du genre à m’engueuler pour un rien et surtout pas à me mettre dans un état pareil. Je sens ses doigts se crisper alors qu’il me prend dans ses bras pour me consoler.
M : j’ai une idée.
Lo : quoi tu vas me saouler !
M : non, je dois partir quelques jours pour décrocher un chantier. Viens avec moi, cela te changera les idées.
Lo : c’est où ?
M (séchant ses larmes) : Baja !
Lo : je ne suis pas sûr que se soit une bonne idée.
M : tu n’as pas à discuter, je rajoute ton billet d’avion et j’appelle l’hôtel pour ta chambre.
Lo : je n’ai pas le choix !
M : non. Et puis tu pourras me surveiller. Je pourrais faire pleins de bêtises moi là-bas tout seul !
alors Collen???
Cela fait maintenant un moi que Lorène est reparti pour Chicago. Un moi et une semaine que j’ai rayé Sara de ma vie. Je ne l’ai jamais recroisé depuis, je n’ai pas cherché. Lorène et Steve doivent revenir passer leur vacance ici et du coup surveiller la construction de leur maison. J’ai bien l’impression que tous les étés, ils passeront leurs vacances ici avec nous. Lorène ne se voit pas exercer ici, je la comprends. La justice au Panama, il y a mieux ! Je bosse comme un acharné toute la journée et le soir j’essaye de décompressé comme je peux en écumant les bars de la ville. Je dois être le célibataire le plus couru de la ville. Mais j’accumule les filles comme certains collectionne les timbres. Mais c’est devenu ma raison de vivre. Et puis, je déteste être seul. Je les vois enfin arriver sur le chantier. Ils sont ébahis. Faut dire que Linc à mis les bouchées double. Il aimerai bien ne plus les avoir chez lui à chaque fois qu’ils sont ici. Ce n’est pas qu’il ne les aime pas mais les tensions sont assez palpables entre Lorène et Jane à cause de Sara. Elle a eut le don pour tout pourrir autour d’elle. Je m’avance vers eux pour les saluer.
M : alors bon voyage !
Steve : oui merci. Je ne pensais pas que cela avancerait aussi vite.
M : il manque les finissions. Dans un mois, trois semaines elle sera habitable.
Lo : tu plaisantes, elle l’est !
M : non non hors de questions que tu y mettes les pieds avant qu’elle soit terminée.
Steve : au fait Linc n’est pas là ?
M : non lui et Sucré sont sur un autre chantier. Alors vous restez combien de temps ?
Lo : 3 semaines. Enfin les vacances. Et toi combien as-tu de femmes au port en ce moment qui t’attendent ?
M : aucune qui m’attend. Mais sinon 3 ou 4… je ne sais pas bien !
Lo : connard !
Steve : Lorène !
Lo : quoi si moi ne je ne le remets pas en place personne ne le fait !
M : comment va L.J. ? Et ses conquêtes ?
Lo : on pourrait vous associer tous les deux ! Il vient la semaine prochaine pour quelques jours.
M : super on va faire des ravages !
Lo : tu devrais lui montrer l’exemple !
M : c’est ce que je fais. Je me défonce au boulot toute la journée et je décompresse le soir !
Lo : tu es incorrigible.
Je ne sais pas trop comment me comporter avec Mike. Il se cache derrière cette façade de séducteur alors qu’il souffre. On rentre tous ensemble chez Linc et Jane. Je sens que la cohabitation va être dure mais Linc à refuser que l’on s’installe ailleurs. Je suis désemparé devant son attitude. Je vois son regard de prédateur se poser sur les femmes dans la rue. Et le pire c’est qu’elles se pavanent à ses pieds. C’est dépriment. On arrive enfin chez Linc ou lui et Jane nous attendent. Je sens bien la tension entre nous deux se crispée mais j’essaye de faire bonne figure alors que Linc me soulève comme à son habitude du sol.
Lo : tu vas me reposer un peu.
L : je suis content de vous voir. Je viens d’avoir L.J. au téléphone. Il est excité comme une puce de venir.
Steve : tu m’étonnes avec la tortionnaire qu’il a au boulot !
Lo : je ne te permets pas ! Je veux qu’il soit le meilleur ce n’est pas une tare !
L : Mike faut que tu me dises pour le déplacement.
M : Ne pose pas de questions. Je t’ai dit que je faisais tous les déplacements. Toi et Sucré restez avec vos familles.
L : ok.
Une semaine que je suis ici est Mike me tape sur le système. Il se détruit petit à petit. On passe un temps incalculable ensemble. Faut dire que Steve me délaisse pas mal pour aller voir de vieilles connaissances qu’il ne vaut mieux pas que je rencontre. Comme à chaque fois, Mike me retrouve sur la plage en fin de mâtiné. On déjeune souvent ensemble. Il me raconte ses conquêtes de la veille et je tombe chaque fois par terre. Il sait que je n’aime pas ce qu’il est en train de faire.
M : arrêtes tes morales sinon je te laisse toute seule.
Lo : quoi tu te murges tous les soirs et je ne dois rien dire ? Je suis sûr que tu ne connais même pas le nom de la fille avec qui tu as passé la nuit !
M : qui te dis qu’il n’y en avait qu’une !
Lo : Mike !
M : je plaisante.
Lo : je m’inquiète.
M: je sais.
M : tu as revu Sara ?
Lo : non et je n’en ai pas envie.
M : je croyais que c’était ton amie. Jane la revoit et cela ne me pose pas de problème.
Lo : Jane fait ce qu’elle veut. Et c’était mon amie, oui. Mais elle t’a fait du mal et cela je ne le pardonnerai pas.
M : quoi ! Tu lui as dit le truc si tu lui fais du mal tu auras affaire à moi et là… tu préfère l’éviter !
Lo : exactement.
Lo : Linc qu’est-ce que tu viens faire ici ?
L : juste un petit coucou. Alors vous deux ?
M : elle me fait la morale !
L : alors bonne chance, moi j’ai abandonné.
Lo : tu as peur qu’il t’embarque dans ces escapades nocturnes oui !
L : au fait, Lorène, faudra que tu me donnes la réponse pour le petit !
M : c’est quoi votre histoire.
L : elle n’en s’est pas vanté. J’ai demandé à Lorène d’être la marraine du petit et madame ne m’a toujours pas donné sa réponse.
Lo : je t’ai expliqué pourquoi. Je ne suis pas sûr que se sera bien vu les tensions qu’il y a entre Jane et moi.
L (vexé) : de toute façon se sera toi ou personne.
J’ai l’impression de revenir des années en arrières. On est là tous les trois à tables à rire, se moquer les uns des autres. Comme si tout cela n’était plus qu’un mauvais souvenir. Je vois Steve arrivé. Je sais à sa tête que quelque chose ne va pas. Sans même se regarder, je sens la main de Linc se poser dans mon dos. On dirait que lui aussi se doute de quelque chose. Il arrive avec son grand sourire. Mais je le connais, il est faut.
Steve : Lorène on pourrait parler. J’ai un truc à te dire.
Lo : tu peux y aller.
Steve : c’est personnel.
Je déteste quand il dit cette phrase. Surtout avec Mike et Linc là. De toute façon ils seront au courant. Je le suis alors que Linc rejoint lui aussi sa voiture. On s’avance main dans la main sur la plage qui s’offre devant nous. Je le vois anxieux mais déterminé. Je sens que cela ne sent pas bon !
Lo : alors ?
Steve : l’ambassade vient de m’appeler et ils ont besoin de moi.
Lo : tu pars où, combien de temps,
Steve : je ne peux rien te dire.
Lo : tu te fous de moi. Non, mais… on va se marier dans un mois et on essaye d’avoir un enfant et toi, tu … Steve je croyais que tu voulais fonder une famille !
Steve : je le veux.
Lo : alors tu m’expliques ou est la stabilité là dedans ! Tu bosses encore pour la CIA c’est cela ?
Steve : tu savais que je ne pourrais pas te parler de tout, j’ai toujours était clair avec toi.
Lo : oui mais je ne suis pas ces femmes qui attendent sagement leur petit soldat à la maison sans savoir où il est ni quand il rentre.
Steve : je dois partir. Mon avion décolle à 15h. je ne veux pas passer mon temps à me disputer !
Lo : tu pars où ? Quels sont les risques ? C’est pour cela que tu partais toute la journée ? Tu me prends vraiment pour une conne ! Les vacances au Panama s’est un bon prétexte pour tes missions !
Steve : Lorène je… prends le comme tu veux. Je ne peux rien te dire et c’est ainsi. Et puis tu n’es pas toute seule ici, Mike te réconfortera !
Sans même me retenir, je le gifle. Il aurait pu dire n’importe quoi en fait, j’avais une envie irrésistible de l’écorché vivant. Je retourne à ma table alors qu’il se dirige sans se retourner à sa voiture. Mike me regarde effaré. Il sait que j’aime cet homme et que je ne suis pas du genre à m’engueuler pour un rien et surtout pas à me mettre dans un état pareil. Je sens ses doigts se crisper alors qu’il me prend dans ses bras pour me consoler.
M : j’ai une idée.
Lo : quoi tu vas me saouler !
M : non, je dois partir quelques jours pour décrocher un chantier. Viens avec moi, cela te changera les idées.
Lo : c’est où ?
M (séchant ses larmes) : Baja !
Lo : je ne suis pas sûr que se soit une bonne idée.
M : tu n’as pas à discuter, je rajoute ton billet d’avion et j’appelle l’hôtel pour ta chambre.
Lo : je n’ai pas le choix !
M : non. Et puis tu pourras me surveiller. Je pourrais faire pleins de bêtises moi là-bas tout seul !
alors Collen???
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
alors colleen , elle est très contente ,
et je dois être la seule
tu fais bien durer le plaisir hein
ils peuvent rester à Baja des semaines si ils veulent, je leur en tiendrais pas rigueur, bien au contraire
même si je me doute bien que si il se passe quelque chose ( et je l'espère ) , c'est pour se réconforter mutuellement
en tout cas, j'ai hâte, ne me fais pas trop languir
je sens que je vais lire et relire et rerelire les suites qui vont arriver, parce que ça va sans doute pas durer après
bon je sors, parce que j evais me faire tuer par les autres
suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
et je t'embrasse
et je dois être la seule
tu fais bien durer le plaisir hein
ils peuvent rester à Baja des semaines si ils veulent, je leur en tiendrais pas rigueur, bien au contraire
même si je me doute bien que si il se passe quelque chose ( et je l'espère ) , c'est pour se réconforter mutuellement
en tout cas, j'ai hâte, ne me fais pas trop languir
je sens que je vais lire et relire et rerelire les suites qui vont arriver, parce que ça va sans doute pas durer après
bon je sors, parce que j evais me faire tuer par les autres
suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
et je t'embrasse
collen- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 250
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique tes suites !!!!!!!!
pauvre michael , il me fait beaucoup de peine
il se detruire !!!!!! avec l ' alcool et les nana qui passent dans son lit !!!!
j ' espere que sa va s 'arranger entre michael et sara !!!!!!!
met vite la suite
please
pauvre michael , il me fait beaucoup de peine
il se detruire !!!!!! avec l ' alcool et les nana qui passent dans son lit !!!!
j ' espere que sa va s 'arranger entre michael et sara !!!!!!!
met vite la suite
please
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Pauvre Mike
Elle est où Sara elle va revenir hein???
C'est pas que j'aime pas Lorène mais je préfère le MiSa
vivement la suite
Elle est où Sara elle va revenir hein???
C'est pas que j'aime pas Lorène mais je préfère le MiSa
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Moi je suis d'accord avec WentSarah, je veux que Sara revienne et vite stp , qu'elle remette un peu d'ordre dans les idées de Michael, même si c'est pas sa faute qu'il en est là.
Sinon ta suite est superbe pour pas changer
Sinon ta suite est superbe pour pas changer
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Superbe...
Mais bon je suis pas pour un retour de Mic & Lorène...
Elle va se marier...
La suite
Et, Sara elle revient quand ???
Mais bon je suis pas pour un retour de Mic & Lorène...
Elle va se marier...
La suite
Et, Sara elle revient quand ???
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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