les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
+49
Raphy42
sara_tancredi
selima
coco91220
sarah-scofield
miliibnb
saramike
lilimars
foolish-chika
JulieScofield
angel_keikoo
caly
lisa1333
Astrid
Sammy
cely06
reaped
collen
dadoubloo
soso_burrows
laurams74
kanako
nath
anso26
celifrance
suzie014
ponou
lily24
mach
miss_sa_69
zenaide
charline-kilou
Erin
Sara59
nol59
gilette
Amaria
micko
hayley
kalomni
virginie
sara60
WentSarah
nestella
sarascofield
sosam66
magalie
chachou18
ENNEADE
53 participants
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 36 sur 43
Page 36 sur 43 • 1 ... 19 ... 35, 36, 37 ... 39 ... 43
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Elle très belle cette suite, ils sont tellement mignosn ensemeble
Et puis je trouve ca vraiment gentil de la part de Lorène de leur avoir rendu leur bateau
Maintenant ils n'ont plus qu'à rester ensemble, snas jamais se quitter et être le plsu heureux couple de la terre
Mets vite la suite!!!!!!!!
Et puis je trouve ca vraiment gentil de la part de Lorène de leur avoir rendu leur bateau
Maintenant ils n'ont plus qu'à rester ensemble, snas jamais se quitter et être le plsu heureux couple de la terre
Mets vite la suite!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
hey enneade je remet mon com aussi ici car j'ai peut etre trouver le code de lolo(530812463 de la lettre)!!! alors t'es prete???
alors 5=J 3=E 0=espace 8=T 1=' 2=A 4=I 6=M et le numeros complementaire (ba oui comme au loto ) le 3=E
sois JE T'AIME!!!!!
dis mois que c'est sa stp!!!
alors 5=J 3=E 0=espace 8=T 1=' 2=A 4=I 6=M et le numeros complementaire (ba oui comme au loto ) le 3=E
sois JE T'AIME!!!!!
dis mois que c'est sa stp!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
JulieScofield
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je suis trop forte
je tiens tout d'abord a remercier mon portable qui sans lui je n'aurais pas eu cette lumiere!!!!!
merci enneade j'espere que tu nous mettra une suite dans pas longtemps !!
je tiens tout d'abord a remercier mon portable qui sans lui je n'aurais pas eu cette lumiere!!!!!
merci enneade j'espere que tu nous mettra une suite dans pas longtemps !!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ah bravo JulieScofield
Moi j'ai lu le code, mais je n'ai même pas eu l'idée de penser que c'était un code pour chercher ce que ca voulait dire
Vivement que tu postes la suite Enneade
Moi j'ai lu le code, mais je n'ai même pas eu l'idée de penser que c'était un code pour chercher ce que ca voulait dire
Vivement que tu postes la suite Enneade
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Alors tu ne nous a pas oublier j'espere. est qu'on auras le droit a une petite suite j'en peut plus d'attendre.
Sara59- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3949
Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Rassures-moi , tu ne vas pas arrêter cette fic ici aussi stp !!!
Moi je l'adore et JE VEUX UNE SUITE !!!
Moi je l'adore et JE VEUX UNE SUITE !!!
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci les filles pour vos comms
désolé de na pas mettre plus de suites ici mais il me faut pas mal de temsp pour préparez la suite
CHAP 71 :
pensée de Sara : rose
pensée de Mike : bleu
pensée de Lincoln : rouge
Il me regarde avec se sourire que lui seul a. un sourire à la fois rempli de malice et d’énigmes. Nos fronts collés l’un à l’autre, je ne peux m’empêcher de me dire que l’on est complètement dingue de réagir ainsi. De larguer toutes les amarres, de planter tout le monde à notre propre mariage. Son regard se fait rieur et je ne peux m’empêcher d’y répondre par le sourire le plus franc que je puisse lui offrir. Il est la personne la plus importante, la plus chère à mon cœur. Celle sans qui je ne serai rien, celle qui me fait vivre au sens le plus littéral du terme. Il nous suffit d’un regard pour se comprendre, d’un geste pour succomber l’un à l’autre. Il défait notre étreinte et il se dirige à l’avant du bateau pour relever l’ancre. Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Il est si sexy dans son costume. Tout est si calme autour ne nous. Je me dirige vers la cabine et remarque sur la table un autre petit mot.
S : Michael, il y a une autre lettre !
Sara éveille ma curiosité en m’annonçant un autre mot. Je présume qu’il doit être de la part de Lorène. Elle seule est aussi folle pour me faire un jeu de piste pareille. Je ne peux m’empêcher de prendre Sara entre mes bras alors que j’ouvre le papier.
Elle a tout prévu. Comme d’habitude elle ne laisse rien au hasard ! Michael ouvre automatiquement une des armoires et il y trouve quelques t-shirt, pantalon, short ainsi que quelques vêtements pour moi. On se regarde amusé. Mes mains s’enlacent autour de son cou et mes lèvres viennent retrouver le velouté des siennes. Je ne pourrais jamais m’en lasser. Alors que mes mains commencent à déboutonner sa chemise, je le sens s’éloigner. Il mord nerveusement sa lèvre inférieure.
M (haletant) : Sara, vaudrait mieux qu’on fiche vite le camp. Car si quelqu’un nous voit, on ne pourra jamais partir.
S (ayant du mal à se détacher) : mais tu ne payes rien pour attendre.
M (avec un petit sourire) : toi non plus.
Il jette sur le lit veste, nœud papillon. Il déboutonne les premiers boutons de sa chemise et cours presque pour rejoindre le pont. Je m’assois sur les banquettes qui sont sur le pont alors qu’il met le cap droit vers l’horizon. Il est incroyablement aguichant à manœuvrer ce voilier. Il a une telle carrure derrière la barre, que je pourrais passer des heures à le regarder. On s’éloigne de plus en plus de la côte. Je distingue encore un peu la maison. Elle s’éloigne de nous et je n’ose pas imaginer la réaction des personnes lorsqu’elles comprendront que nous avons pris la poudre d’escampette. Etre avec Michael, sur ce voilier en robe de mariée de fait bizarre. J’ai l’impression d’atteindre le paroxysme du romantisme. Le soleil commence à décliner légèrement. Je me décide enfin à le rejoindre derrière ses commandes. Mes bras passent autour de sa taille. Ma tête se cale contre son dos puissant. Je distingue ses joues remonter. On reste ainsi à contempler l’océan, à profiter l’un de l’autre.
M (prenant ses mains dans la sienne) : cela me fait bizarre d’être sur ce bateau avec toi.
S : et pourquoi ?
M (le regard au loin) : tu te rappelles lorsque j’ai fui pour venir ici, je t’ai laissé un message sur ton portable.
S (ironique) : oui, une histoire de bière avec des rondelles de citron.
M (amusé) : oui. Quand je te l’ai laissé, j’étais ici même, à cette place, en train de diriger le bateau. Et la seule chose qui me manquait c’était toi.
S : vous êtes un éternel romantique Michael Scofield.
M : je peux te demander quelque chose ?
S : bien sur.
M (baissant le regard) : lorsque tu as discuté avec Lorène tout à l’heure, elle t’a parlé de moi ?
S (étonnée) : Michael. Je… elle m’a demandé de prendre soin de toi.
M (les yeux rieurs) : elle ne changera jamais.
S (lui tapant l’épaule) : tu es bien placé pour parler. Linc et toi n’avez pas fais mieux en menaçant Steve il y a quelques années !
M (mine de rien) : ah !
S (curieuse) : et au fait ça veut dire quoi ces chiffres à la fin de sa lettre ?
M (espiègle) : qu’elle m’aime !
S (grognon) : je vois.
Nos regards s’accrochent et je sens ses lèvres atterrir dans ma nuque. D’une main il englobe ma tête et l’attire un peu plus à lui. Ces baisers se font de plus en plus ardents, vifs. Il dirige lentement ma tête pour mieux accéder à ma peau. Je me presse un peu plus contre lui. C’est si magique. Il se retourne et nos regards se font faces. Je ne pourrais pas me contenir davantage. Il me fait toujours le même effet. C’est incompréhensible qu’un homme attire autant. Depuis ce jour dans cette infirmerie, ou il m’a demandé de l’attendre, mon cœur chavire chaque fois que mes yeux se posent sur lui. Il a toujours le même magnétisme, la même candeur et douceur dans son regard. Les traits fins de son visage s’apparentent à ceux d’un ange mais auquel point démoniaque dans l’intimité. Ce regard bleu azur me transporte de manière inexorable loin du monde. Je sens à peine ses mains passer autour de ma taille et me soulever. Dans un dernier moment de lucidité, je me surprends à lui demander.
S : et le bateau ?
M (passant ses mains dans ses cheveux) : il n’a pas besoin de moi.
Je me dirige vers la cabine. Je ne peux m’empêcher de goûter à sa peau sucrée. Elle a mis ce parfum, que je lui ai offert. Un mélange de vanille, de fleur de sel et d’autres choses dont j’ai oublié les noms. Mais sur sa peau, il m’envoûte encore plus. Je pourrais passer des heures à humer ce doux parfum, à la caresser. Je passe lascivement ma bouche le long de ses clavicules, descendant un peu plus chaque fois vers ses épaules, sa poitrine. Elle s’abandonne dans mes bras. Elle me laisse faire entièrement à ma guise. Je défais la fermeture éclair de sa robe. Oh ! Mon dieu qu’elle robe de mariée. Jamais je n’en avais vu de plus belle, d plus désirable. Cela doit être normal, c’est ma femme. Je reste une seconde interdis devant le spectacle qu’elle m’offre. Sa peau hâlée se découvre à moi. Elle contraste avec le blanc immaculé de la lingerie qu’elle porte. Faut dire qu’elle a là aussi extrêmement bon goût. Elle mordille ses lèvres alors que je l’admire. Ses mains viennent déboutonner ma chemise. Elle passe ses petits doigts dessous pour la laisser tomber au sol. Comme souvent elle reste bouche bée à la vue de mon tatouage. Il l’intrigue, parfois je me demande si elle ne le trouve pas en réalité attirant. Même si elle m’a révélé que ce qui la captivée c’était la personne qui le portait. Je suis sur que le côté mauvais garçon ne déplaît pas forcément à Melle Tancredi. Alors que je suis toujours debout elle commence à déboutonner mon pantalon. La sensation est si voluptueuse que mes yeux se ferment automatiquement. Elle en profite et s’assoit face à moi sur le lit et passe sa langue sur mon torse. Il n’en suffit pas plus pour me rendre dingue. Je l’aime plus que ma vie, plus que tout. Allongé l’un contre l’autre on ne cesse de se caresser, de prendre notre temps, de profiter l’un de l’autre. Je me perds dans ses grands yeux noisette. Elle me regarde avec tellement de désir, d’envie que cela me suffit pour me transporter ailleurs.
Il se fait doux, délicat. Comme si on n’avait toute la vie devant nous ! Il est tendre, affectueux. Ses baisers m’irradie le corps. Il alterne subtilement de doux baisers tendres, d’autres plus langoureux ainsi que des mordillements qui me font tours à tours gémir de plaisir. Je sens à peine lorsqu’il s’introduit en moi, tellement je suis transporté. Mes doigts s’enfoncent dans sa chair. Je ne peux pas faire autrement. Je deviens incontrôlable. Le plaisir est tel que je ne contrôle plus rien. Nos vas et viens sont si parfais, nos corps s’écoutent. Plongés dans les yeux l’un de l’autre le désir nous terrasse simultanément.
Elle se blottit tout contre moi et je ne peux m’empêcher de me dire que c’était encore plus sensationnel que la fois précédente. Mais moins que la suivante. Je souris tout seul. Allongé sur le dos, un bras derrière ma nuque, mon esprit se concentre sur son corps accolé au mien. Cette chaleur qui en émane. Plus jamais je ne pourrais vivre sans cette chaleur, sans cette douceur, sans elle.
Sur la plage :
Je regarde tout autour de moi et ne les vois pas. Je me demande bien où ils ont put passer. Tout de même, ils pourraient attendre ! Parfois je ne reconnais pas mon frère. Il est si pressant avec Sara. Lui qui est si réservé, renfermé. Quoique je doive bien avouer que j’aime le voir ainsi. Depuis que l’on travaille ensemble, j’apprends à le connaître vraiment. Si j’ai toujours été fier de lui, là encore plus. Tout le monde mange, Sucré et C-note ne cessent de parler de Fox River, comme certains parleraient des années lycées. Ils m’étonneront toujours. Jane discute avec LJ et Sam. Je suis content qu’il soit avec cette fille. Elle m’a l’air bien, posée. Elle doit avoir un sacré tempérament mais LJ à besoin d'une femme à poigne pour vivre à ses côtés. Jane est plus radieuse que jamais. Ses cheveux blonds volent un peu dans les airs. Elle est là à virevolter d’un inviter à l’autre. Si seulement on m’avait dit, il y presque quatre ans lorsque je l’ai frappé, qu’elle deviendrait ma femme, celle qui à évincée toute les autres, celle qui m’a pour ainsi dire raccordé avec le monde qui m’entoure. Je distingue au loin Lorène et Steve qui s’éloigne sur la plage. Je me mets à courir pour les rattraper. Ils s’arrêtent net alors que je les appelle. Les yeux de Lorène sont rougis. Elle doit être tout émotive. J’essaye de reprendre mon souffle.
L : vous partez ?
Lo (hésitante) : oui Linc.
Sans même attendre son approbation, je la serre tout conte moi. Je suis si heureux qu’elle soit enceinte. Même si hier soir elle à dépasser les bornes, même si moi je dépasse souvent mes droits face à elle. Je ne peux m’empêcher de rester de marbres alors que ma Lorène attend un bébé. Je la soulève du sol et je sens ses mains marteler mon dos pour que je la repose à terre. Mais moi, je n’en ai pas envie. Une sensation étrange me fait reprendre pied. Elle pleure. Ses larmes inondent mon torse. Je la repose doucement, mais elle reste dans mes bras.
L (désolé) : eh ! Ça va ? Je t’ai fait mal ?
Lo (le tapant en pleine poitrine) : t’es vraiment idiot parfois !
L (passant sa main sur son crâne) : ce n’est pas une nouveauté ça !
Lo : qu’est-ce que tu veux ?
L (gêné) : rien juste…
Lo : Linc !
L : eh, ben ! Je suis content pour le bébé.
Lo (baissant le regard) : merci.
L : tu n’aurais pas vu Michael et Sara ?
Lo (guillerette) : je serai toi, j’arrêterai de les chercher !
L (surpris) : et pourquoi ?
Lo : à mon avis ils ne sont plus là.
L : Lorène !
Lo (se mordillant les lèvres) : j’ai réussi à récupérer le «Christina Rose » et je leur ai rendu.
L (ouvrant de grands yeux) : donc ils se sont barrés !
Lo (haussant les épaules) : faut croire.
L : ok, bon tu m’excuses, il va falloir que j’aille dire aux invités que les mariés sont partis en lune de miel.
Lo : bonne chance.
L (lui prenant la main) : Lorène ! Merci d’être venu.
Lo (inclinant la tête) : remercie ton fils alors sans lui, je ne serai peut-être pas resté.
L (baissant la tête) : je n’y manquerais pas. Et excuses moi, je me mêle un peu trop de tes affaires et je ne devrais pas.
Lo (fixant le sol) : Linc… je m’en veux surtout à moi-même, je n’arrive pas à me détacher.
L : je te promets de faire un effort.
Lo : t’as intérêt je ne voudrais pas qu’Aldo souffre de nos bêtises.
L (réjoui) : jamais fais-moi confiance.
Sur le bateau :
Je rejoins Michael sur le pont du bateau. Il ne porte qu’un jean. Faut die que sa chemise est sur moi. Je lui apporte une bière bien fraîche. Nos regards se font face et comme souvent j’ai du mal à le soutenir. Nos bières s’entrechoquent. Jamais je n’aurais pensé avoir une vie si parfaite. J’en aurais hurler de rire il y a encore quelques années. Moi marié à un détenu, le torse entièrement tatoué et qui à bafouer presque toutes les lois du pays pour sauver son frère, qui s’est sacrifié pour moi. Assise à son côté, mes jambes repliés sous moi, je ne peux m’empêcher de l’observer.
M (lui lançant un clin d’œil) : à nos premières vacances !
S (hilare) : à notre évasion du mariage !
désolé de na pas mettre plus de suites ici mais il me faut pas mal de temsp pour préparez la suite
CHAP 71 :
pensée de Sara : rose
pensée de Mike : bleu
pensée de Lincoln : rouge
Il me regarde avec se sourire que lui seul a. un sourire à la fois rempli de malice et d’énigmes. Nos fronts collés l’un à l’autre, je ne peux m’empêcher de me dire que l’on est complètement dingue de réagir ainsi. De larguer toutes les amarres, de planter tout le monde à notre propre mariage. Son regard se fait rieur et je ne peux m’empêcher d’y répondre par le sourire le plus franc que je puisse lui offrir. Il est la personne la plus importante, la plus chère à mon cœur. Celle sans qui je ne serai rien, celle qui me fait vivre au sens le plus littéral du terme. Il nous suffit d’un regard pour se comprendre, d’un geste pour succomber l’un à l’autre. Il défait notre étreinte et il se dirige à l’avant du bateau pour relever l’ancre. Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Il est si sexy dans son costume. Tout est si calme autour ne nous. Je me dirige vers la cabine et remarque sur la table un autre petit mot.
S : Michael, il y a une autre lettre !
Sara éveille ma curiosité en m’annonçant un autre mot. Je présume qu’il doit être de la part de Lorène. Elle seule est aussi folle pour me faire un jeu de piste pareille. Je ne peux m’empêcher de prendre Sara entre mes bras alors que j’ouvre le papier.
Michael et Sara,
On présume que vous partez tout de suite en lune de miel. Nous c’est ce que nous ferions à votre place. Pour vous dépanner jusqu’à la première escale, le frigo est plein et les armoires aussi.
Profitez-en bien.
Lorène et Steve.
On présume que vous partez tout de suite en lune de miel. Nous c’est ce que nous ferions à votre place. Pour vous dépanner jusqu’à la première escale, le frigo est plein et les armoires aussi.
Profitez-en bien.
Lorène et Steve.
Elle a tout prévu. Comme d’habitude elle ne laisse rien au hasard ! Michael ouvre automatiquement une des armoires et il y trouve quelques t-shirt, pantalon, short ainsi que quelques vêtements pour moi. On se regarde amusé. Mes mains s’enlacent autour de son cou et mes lèvres viennent retrouver le velouté des siennes. Je ne pourrais jamais m’en lasser. Alors que mes mains commencent à déboutonner sa chemise, je le sens s’éloigner. Il mord nerveusement sa lèvre inférieure.
M (haletant) : Sara, vaudrait mieux qu’on fiche vite le camp. Car si quelqu’un nous voit, on ne pourra jamais partir.
S (ayant du mal à se détacher) : mais tu ne payes rien pour attendre.
M (avec un petit sourire) : toi non plus.
Il jette sur le lit veste, nœud papillon. Il déboutonne les premiers boutons de sa chemise et cours presque pour rejoindre le pont. Je m’assois sur les banquettes qui sont sur le pont alors qu’il met le cap droit vers l’horizon. Il est incroyablement aguichant à manœuvrer ce voilier. Il a une telle carrure derrière la barre, que je pourrais passer des heures à le regarder. On s’éloigne de plus en plus de la côte. Je distingue encore un peu la maison. Elle s’éloigne de nous et je n’ose pas imaginer la réaction des personnes lorsqu’elles comprendront que nous avons pris la poudre d’escampette. Etre avec Michael, sur ce voilier en robe de mariée de fait bizarre. J’ai l’impression d’atteindre le paroxysme du romantisme. Le soleil commence à décliner légèrement. Je me décide enfin à le rejoindre derrière ses commandes. Mes bras passent autour de sa taille. Ma tête se cale contre son dos puissant. Je distingue ses joues remonter. On reste ainsi à contempler l’océan, à profiter l’un de l’autre.
M (prenant ses mains dans la sienne) : cela me fait bizarre d’être sur ce bateau avec toi.
S : et pourquoi ?
M (le regard au loin) : tu te rappelles lorsque j’ai fui pour venir ici, je t’ai laissé un message sur ton portable.
S (ironique) : oui, une histoire de bière avec des rondelles de citron.
M (amusé) : oui. Quand je te l’ai laissé, j’étais ici même, à cette place, en train de diriger le bateau. Et la seule chose qui me manquait c’était toi.
S : vous êtes un éternel romantique Michael Scofield.
M : je peux te demander quelque chose ?
S : bien sur.
M (baissant le regard) : lorsque tu as discuté avec Lorène tout à l’heure, elle t’a parlé de moi ?
S (étonnée) : Michael. Je… elle m’a demandé de prendre soin de toi.
M (les yeux rieurs) : elle ne changera jamais.
S (lui tapant l’épaule) : tu es bien placé pour parler. Linc et toi n’avez pas fais mieux en menaçant Steve il y a quelques années !
M (mine de rien) : ah !
S (curieuse) : et au fait ça veut dire quoi ces chiffres à la fin de sa lettre ?
M (espiègle) : qu’elle m’aime !
S (grognon) : je vois.
Nos regards s’accrochent et je sens ses lèvres atterrir dans ma nuque. D’une main il englobe ma tête et l’attire un peu plus à lui. Ces baisers se font de plus en plus ardents, vifs. Il dirige lentement ma tête pour mieux accéder à ma peau. Je me presse un peu plus contre lui. C’est si magique. Il se retourne et nos regards se font faces. Je ne pourrais pas me contenir davantage. Il me fait toujours le même effet. C’est incompréhensible qu’un homme attire autant. Depuis ce jour dans cette infirmerie, ou il m’a demandé de l’attendre, mon cœur chavire chaque fois que mes yeux se posent sur lui. Il a toujours le même magnétisme, la même candeur et douceur dans son regard. Les traits fins de son visage s’apparentent à ceux d’un ange mais auquel point démoniaque dans l’intimité. Ce regard bleu azur me transporte de manière inexorable loin du monde. Je sens à peine ses mains passer autour de ma taille et me soulever. Dans un dernier moment de lucidité, je me surprends à lui demander.
S : et le bateau ?
M (passant ses mains dans ses cheveux) : il n’a pas besoin de moi.
Je me dirige vers la cabine. Je ne peux m’empêcher de goûter à sa peau sucrée. Elle a mis ce parfum, que je lui ai offert. Un mélange de vanille, de fleur de sel et d’autres choses dont j’ai oublié les noms. Mais sur sa peau, il m’envoûte encore plus. Je pourrais passer des heures à humer ce doux parfum, à la caresser. Je passe lascivement ma bouche le long de ses clavicules, descendant un peu plus chaque fois vers ses épaules, sa poitrine. Elle s’abandonne dans mes bras. Elle me laisse faire entièrement à ma guise. Je défais la fermeture éclair de sa robe. Oh ! Mon dieu qu’elle robe de mariée. Jamais je n’en avais vu de plus belle, d plus désirable. Cela doit être normal, c’est ma femme. Je reste une seconde interdis devant le spectacle qu’elle m’offre. Sa peau hâlée se découvre à moi. Elle contraste avec le blanc immaculé de la lingerie qu’elle porte. Faut dire qu’elle a là aussi extrêmement bon goût. Elle mordille ses lèvres alors que je l’admire. Ses mains viennent déboutonner ma chemise. Elle passe ses petits doigts dessous pour la laisser tomber au sol. Comme souvent elle reste bouche bée à la vue de mon tatouage. Il l’intrigue, parfois je me demande si elle ne le trouve pas en réalité attirant. Même si elle m’a révélé que ce qui la captivée c’était la personne qui le portait. Je suis sur que le côté mauvais garçon ne déplaît pas forcément à Melle Tancredi. Alors que je suis toujours debout elle commence à déboutonner mon pantalon. La sensation est si voluptueuse que mes yeux se ferment automatiquement. Elle en profite et s’assoit face à moi sur le lit et passe sa langue sur mon torse. Il n’en suffit pas plus pour me rendre dingue. Je l’aime plus que ma vie, plus que tout. Allongé l’un contre l’autre on ne cesse de se caresser, de prendre notre temps, de profiter l’un de l’autre. Je me perds dans ses grands yeux noisette. Elle me regarde avec tellement de désir, d’envie que cela me suffit pour me transporter ailleurs.
Il se fait doux, délicat. Comme si on n’avait toute la vie devant nous ! Il est tendre, affectueux. Ses baisers m’irradie le corps. Il alterne subtilement de doux baisers tendres, d’autres plus langoureux ainsi que des mordillements qui me font tours à tours gémir de plaisir. Je sens à peine lorsqu’il s’introduit en moi, tellement je suis transporté. Mes doigts s’enfoncent dans sa chair. Je ne peux pas faire autrement. Je deviens incontrôlable. Le plaisir est tel que je ne contrôle plus rien. Nos vas et viens sont si parfais, nos corps s’écoutent. Plongés dans les yeux l’un de l’autre le désir nous terrasse simultanément.
Elle se blottit tout contre moi et je ne peux m’empêcher de me dire que c’était encore plus sensationnel que la fois précédente. Mais moins que la suivante. Je souris tout seul. Allongé sur le dos, un bras derrière ma nuque, mon esprit se concentre sur son corps accolé au mien. Cette chaleur qui en émane. Plus jamais je ne pourrais vivre sans cette chaleur, sans cette douceur, sans elle.
Sur la plage :
Je regarde tout autour de moi et ne les vois pas. Je me demande bien où ils ont put passer. Tout de même, ils pourraient attendre ! Parfois je ne reconnais pas mon frère. Il est si pressant avec Sara. Lui qui est si réservé, renfermé. Quoique je doive bien avouer que j’aime le voir ainsi. Depuis que l’on travaille ensemble, j’apprends à le connaître vraiment. Si j’ai toujours été fier de lui, là encore plus. Tout le monde mange, Sucré et C-note ne cessent de parler de Fox River, comme certains parleraient des années lycées. Ils m’étonneront toujours. Jane discute avec LJ et Sam. Je suis content qu’il soit avec cette fille. Elle m’a l’air bien, posée. Elle doit avoir un sacré tempérament mais LJ à besoin d'une femme à poigne pour vivre à ses côtés. Jane est plus radieuse que jamais. Ses cheveux blonds volent un peu dans les airs. Elle est là à virevolter d’un inviter à l’autre. Si seulement on m’avait dit, il y presque quatre ans lorsque je l’ai frappé, qu’elle deviendrait ma femme, celle qui à évincée toute les autres, celle qui m’a pour ainsi dire raccordé avec le monde qui m’entoure. Je distingue au loin Lorène et Steve qui s’éloigne sur la plage. Je me mets à courir pour les rattraper. Ils s’arrêtent net alors que je les appelle. Les yeux de Lorène sont rougis. Elle doit être tout émotive. J’essaye de reprendre mon souffle.
L : vous partez ?
Lo (hésitante) : oui Linc.
Sans même attendre son approbation, je la serre tout conte moi. Je suis si heureux qu’elle soit enceinte. Même si hier soir elle à dépasser les bornes, même si moi je dépasse souvent mes droits face à elle. Je ne peux m’empêcher de rester de marbres alors que ma Lorène attend un bébé. Je la soulève du sol et je sens ses mains marteler mon dos pour que je la repose à terre. Mais moi, je n’en ai pas envie. Une sensation étrange me fait reprendre pied. Elle pleure. Ses larmes inondent mon torse. Je la repose doucement, mais elle reste dans mes bras.
L (désolé) : eh ! Ça va ? Je t’ai fait mal ?
Lo (le tapant en pleine poitrine) : t’es vraiment idiot parfois !
L (passant sa main sur son crâne) : ce n’est pas une nouveauté ça !
Lo : qu’est-ce que tu veux ?
L (gêné) : rien juste…
Lo : Linc !
L : eh, ben ! Je suis content pour le bébé.
Lo (baissant le regard) : merci.
L : tu n’aurais pas vu Michael et Sara ?
Lo (guillerette) : je serai toi, j’arrêterai de les chercher !
L (surpris) : et pourquoi ?
Lo : à mon avis ils ne sont plus là.
L : Lorène !
Lo (se mordillant les lèvres) : j’ai réussi à récupérer le «Christina Rose » et je leur ai rendu.
L (ouvrant de grands yeux) : donc ils se sont barrés !
Lo (haussant les épaules) : faut croire.
L : ok, bon tu m’excuses, il va falloir que j’aille dire aux invités que les mariés sont partis en lune de miel.
Lo : bonne chance.
L (lui prenant la main) : Lorène ! Merci d’être venu.
Lo (inclinant la tête) : remercie ton fils alors sans lui, je ne serai peut-être pas resté.
L (baissant la tête) : je n’y manquerais pas. Et excuses moi, je me mêle un peu trop de tes affaires et je ne devrais pas.
Lo (fixant le sol) : Linc… je m’en veux surtout à moi-même, je n’arrive pas à me détacher.
L : je te promets de faire un effort.
Lo : t’as intérêt je ne voudrais pas qu’Aldo souffre de nos bêtises.
L (réjoui) : jamais fais-moi confiance.
Sur le bateau :
Je rejoins Michael sur le pont du bateau. Il ne porte qu’un jean. Faut die que sa chemise est sur moi. Je lui apporte une bière bien fraîche. Nos regards se font face et comme souvent j’ai du mal à le soutenir. Nos bières s’entrechoquent. Jamais je n’aurais pensé avoir une vie si parfaite. J’en aurais hurler de rire il y a encore quelques années. Moi marié à un détenu, le torse entièrement tatoué et qui à bafouer presque toutes les lois du pays pour sauver son frère, qui s’est sacrifié pour moi. Assise à son côté, mes jambes repliés sous moi, je ne peux m’empêcher de l’observer.
M (lui lançant un clin d’œil) : à nos premières vacances !
S (hilare) : à notre évasion du mariage !
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Bravo pour cette merveilleuse suite Enneade
Elle a pensé a tout Lorène
Michael et Sara sont trop mignons
Vivement la suite!!!!!!
Elle a pensé a tout Lorène
Michael et Sara sont trop mignons
Vivement la suite!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique suite
genial !!!!!! heureux !!!!! vive lune de miel
lorene qui pense a tout !!! linc, tu fais bien de faire les excuses
vivement la prochaine
genial !!!!!! heureux !!!!! vive lune de miel
lorene qui pense a tout !!! linc, tu fais bien de faire les excuses
vivement la prochaine
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
toujours aussi geniale, bon il exagere d'avoir planter leur inviter comme ca mais je l'ai comprend.
maintenant il ne manque plus qu'un petit bebe
vivement la suite
maintenant il ne manque plus qu'un petit bebe
vivement la suite
Sara59- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3949
Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Sara59 a écrit:toujours aussi geniale, bon il exagere d'avoir planter leur inviter comme ca mais je l'ai comprend.
maintenant il ne manque plus qu'un petit bebe
vivement la suite
Idem!!!!!!!!!!!!! c'est génial comme suite, vivement la suivante!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ils sont trop mignons tous les deux. Lorène pense vraiment à tout
Vite une autre suite stp
P.S: moi aussi je veux qu'ils aient un bébé
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Excellente ta suite,ils sont vraiment trop beau Mick et Sara!!!!
Elle est geniale Lorène,elle pense vraiment a tout!!!!
VIVEMENT LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Elle est geniale Lorène,elle pense vraiment a tout!!!!
VIVEMENT LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
alors c'etais ca le message avec les numeros!!!!
dis moi est ce que c'est moi ou sa sent la fin tout sa???
j'ai pas envie que sa se finnisse stp??
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je viens tout juste de commencé à lire ta fic et dejà elle est GENIAL !!! en tout cas j'ai du boulot... 60 pages à rattraper!!!
continue j'adore ton style, très fluide on voit la scène se dérouler sous nos yeux!
continue j'adore ton style, très fluide on voit la scène se dérouler sous nos yeux!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Merci les filles
j'espère que cette partie vous plaira. et grande première, une créa pour l'illustrer (la première que je fais : )
part 1
pensée de sara : rose
pensée de Mike : bleu
Trois jours que l’on est parti, que l’on s’est échappé. Trois jours que l’on quitte à peine la cabine. Trois jours que l’on profite de notre bonheur. Normalement dans la journée on devrait arriver en Jamaïque. On va reposer pied à terre. C’est si enivrant cette sensation de liberté, de se laisser aller ou le vent nous mène. Depuis trois jours on ne fait que ceci, écouter nos envies, nos désirs. Je n’avais jamais fait cela avant. Je dois bien avouer que cela est plus que plaisant, c’est grisant. Je me sens totalement libre, pour la première fois de ma vie, je me sens parfaitement sereine. Je ne sais pas où je vais mais je sais avec qui je vais découvrir tout cela, partager cela et c’est l’unique chose qui m’importe. Comme quoi, la vie se résume en peu de chose, pour moi elle se résume à Michael. Je me demande souvent ce qui aurait put se passer si Steve ne m’avait pas trouvé lorsque Michael était à Sona, si j’aurais été libéré, comment aurais-je finis ? Mieux vaux ne pas y penser, le fait est que Steve était là et que je suis en vie. Je m’étire dans le lit et comme souvent je suis seule, Michael doit être à la barre du bateau. Je me tourne dans les draps pour mieux m’imprégner de lui, de son odeur, de sa chaleur. C’est fou, comme j’aime cette sensation, c’est un besoin quasi vital. J’adore cet endroit, si confiné, si feutré. Il y a une sorte de coin cuisine avec une petite banquette puis une porte qui mène à cette minuscule chambre et au coin salle de bain. Je n’étais jamais auparavant monté sur un bateau. Et je dois bien dire que j’adore celui-là, peut-être que je ne suis pas très objective. Il est magnifique en tout cas, tout recouvert de lambris boisé. Cela lui donne un côté très sobre. Je reconnais bien le côté de Michael. Quand il l’a commandé, il a du vouloir quelque chose de sobre mais avec des matériaux nobles. Cela transparaît dans chaque recoin de ce bateau.
J’enfile un de ses t-shirts qui jonche au sol et part le rejoindre avec mon café à la main. Comme prévu, il fixe l’horizon et manœuvre ce voilier d’une main de maître. Il a vraiment tous les travers qui me font fondre. Ces tatouages, ce côté fier lorsqu’il est à la barre. Mais cela lui va à merveille. Il est incroyablement sexy avec son jean et son débardeur. Depuis peu il commence à découvrir sa peau. Il est vrai que son tatouage est impressionnant et souvent il attire les regards. Mais on dirait qu’il en a moins honte, on dirait presque qu’il en est fier. Et puis à force de lui dire que je l’aimais bien peut-être qu’il s’y est fait. Après tout il n’avait vécu alors qu’il était emprisonné. Le fait de devoir être dans la vie quotidienne avec ne doit pas être chose facile, surtout pour lui qui semble tellement vouloir se fondre dans la masse.
Je vois arriver Sara. C’est une vraie marmotte. Faut dire que nos nuits sont assez agitées. Et puis avant le mariage, elle a travaillé comme une folle. Elle est si belle. Vêtue d’un de mes pauvres t-shirts, ses cheveux vaguement attachés, elle est plus belle que jamais. J’ai presque hâte d’arrivé en Jamaïque. On pourra se dégourdir un peu les jambes, trouver un bon restaurant pour ce soir. Ce sont nos premières vacances ensembles. C’est hallucinant, tout de même. On vit ensembles, on a traversé plus d’épreuves ensembles et séparément que de nombreux couples, mais des vacances jamais. Faut dire que pour arracher Sara du dispensaire il faut se lever de bonne heure. Et puis après ma sortie de Sona, le travail m’a complètement fasciné. Cela faisait si longtemps, que je n’avais pas envie de m’arrêter. De plus vivre au Panama, ce sont des vacances quotidiennes par rapport à Chicago et à ces dernières années. Elle s’avance et me dépose un léger baiser sur les lèvres. Mes yeux se ferment automatiquement. J’aime le goût de ses lèvres. Elle a du mettre son truc qui les fait si douce. Elle est si belle, si élégante. Elle a cette grâce lorsqu’elle bouge que peu de femmes ont. Tout semble si léger avec elle. On a presque l’impression de vivre dans une bulle auprès d’elle, une bulle protectrice.
S : ça fait longtemps que tu es debout ?
M : une heure environ. Je ne voulais pas te réveiller.
S (continuant de l’embrasser) : t’inquiètes. Mais je n’aime pas me réveiller sans toi.
M (déconcentré) : je sais mais faut bien que quelqu’un dirige le bateau !
S (rieuse) : tu n’as qu’à m’apprendre !
M : tu veux ?
S (haussant les épaules) : pourquoi pas ?
Je me place entre ses bras. Mes mains se posent sur la barre et il commence à m’expliquer tous les instruments. Il est si calme, su doux dans ses explications. Et puis surtout cela semble si simple. Serrée dans ses bras je dirige le bateau depuis un bon moment lorsque j’aperçois un bout de terre à l’horizon.
S (guillerette) : Michael, il y a de la terre en face !
M : ouais.
S (embarrassée) : je te laisse faire maintenant, je ne voudrais pas faire de bêtises !
M (hilare) : ah ! Je comprends, madame manœuvre juste quand elle est en pleine mer et qu’il n’y a personne !
S : parfaitement. Et puis, je dois aller m’habiller.
Je m’éclipse alors qu’il fait une moue toute déconfite. J’adore le faire enrager et je dois avouer que c’est tellement facile parfois. Il est toujours calme, maître de lui sauf lorsque c’est moi qui lui tends un piège. Je me glisse sous la douche. Le réservoir d’eau semble bientôt vide. Mais c’est tellement bon de sentir ses muscles se détendre. Je me laisse bercer par le bruit de l’eau. J’entends du bruit, rien de bien inquiétant. Je reste ainsi à profiter de ce bienfait. Un courant d’air froid me parcourt le corps. Mais qu’est-ce que cela peut-être. Aussitôt je sens cette peau tout contre moi, ses bras autour de mes épaules. Ce visage et ses yeux bleu qui me transpercent littéralement. Car il me faut rien de plus qu’un regard de mon mari pour être totalement tétanisée.
S : il y a à peine de la place pour un ici ?
M (d'une voix suave) : faut que l’on se rapproche alors ?
S (se mordillant les lèvres) : Michael !
M (dans un murmure) : l’ancre est jetée. Personne à l’horizon…
S : mais il n’y a pas la place !
M (l’embrassant) : Fais-moi confiance, je suis sûr qu’on a assez de place. Faudra juste revoir tes cours de géométrie dans l’espace !
S (s’abandonnant) : je n’ai jamais aimé ça !
M (tout bas) : j’ai un moyen pour te les faire découvrir autrement.
S : ah bon ! Je ne demande qu’à voir.
M : ne sois pas aussi impatiente.
Mes mains se baladent sur son corps savonneux. J’adore son savon, il embaume le miel. Cela donne envie d’être une abeille et de butiner. Ma bouche trouve immédiatement le sillon de son cou. Ma langue laisse des traces humides le long de sa jugulaire. Je remonte doucement vers son oreille et son lobe tombe entre mes lèvres qui le mordillent. Je la sens de plus en plus haletante, désireuse. Son regard à cet instant est plus qu’une invitation, c’est une supplication. Je la retourne dans mes bras et la porte tout contre moi. Ses jambes viennent aussitôt s’enrouler autour de ma taille. Sans vraiment préméditer l’attaque, je me sens absorbé par elle. Je reste interdit devant cette audace. Il n’en faut pas plus pour que ma tête tournois. Je la plaque contre la paroi, et mes mains se posent de chaque côté de son corps. Comme pour réaliser u peu ce qui vient de se passer. Je vois son sourire fendre son magnifique visage. Elle est si belle. Ses yeux noisette remplis de désir me disent de ne pas rester ainsi, me demandent de réagir. Une de mes mains se pose sous ses fesses alors que l’autre se plaque contre don dos. Elle engouffre sa tête dans mon épaule. Je la sens partir alors que mes vas et viens commencent. J’essaye d’être vifs, doux. Mais je commence à ne plus pouvoir maîtriser ce qui m’arrive alors que je l’entends gémir au creux de mon oreille. Ses mains passent inexorablement dans mon dos. Une de ses mains vient se caler sur mon crâne et m’attire encore plus à elle. Comme si cela était possible ! On se laisse totalement envahir par le bonheur qui nous transporte.
Quelques heures plus tard :
Tout est si beau ici. On a eut de la chance on a débarqué un jour de marché. J’ai l’impression d’être une petite fille qui découvre mille et un plaisirs. Toutes ses couleurs, ses odeurs sont si délicieuses. Et puis les gens sont adorables. Je tire Michael d’étales en étales. Il est si conciliant. Tout est si beau. Je craque pour des petits bracelets en coton. Des petits liens avec une plaque sur le dessus. Alors que j’hésite, je vois Michael me le prendre des mains et le tends au vendeur pour qu’il lui paye. Je lui saute au cou. C’est rien mais je trouve cela tellement touchant qu’il me l’offre sans rien me dire de plus. J’ai presque l’impression qu’il m’achèterai tout ce dont j’aurais envie. Du moment où il peut me faire plaisir. Je n’aime pas vraiment dépendre de quelqu’un et il le sait. C’est pourquoi dès que je remarque quelque chose et que je pars sans le prendre, je le vois revenir avec. On dirait un vrai gosse à faire ceci. J’ai beau l’engueuler, je ne peux pas lui résister. La nuit commence à tomber, on a presque passer notre journée à se promener. Michael est resté figé devant quelques bâtiments anciens. Il les décortiquait sur place. Je suis sûr qu’à présent il les connaît par cœur. Il m’a expliqué certaine chose et je suis resté bouche bée devant tout ça. Il arrive à savoir de quand date un bâtiment, les différentes transformations qu’il y a eut, en quoi il est fait juste en le regardant, l’observant. Il a une capacité exceptionnelle à donner une dimension humaine aux lieux. Je le vois se diriger vers un hôtel et je m’arrête net au milieu du trottoir.
S : tu vas où ?
M (avec un clin d’œil) : dans notre chambre.
S (ahurie) : mais le bateau ?
M (la prenant dans ses bras) : tu ne crois pas qu’une nuit dans une chambre pourrait être pas mal ?
S : j’aime bien le bateau.
M (inclinant la tête) : Sara !
S (amusée) : je n’ai pas le choix ?
M (relevant les sourcils) : effectivement.
S (les yeux pétillants) : une surprise m’attend.
M (sec) : non, pourquoi?
On rentre dans cet hôtel et je reste subjuguée. On dirait une énorme maison coloniale. Elle est tout à fait somptueuse. Je reste bouche bée dans le hall d’entré, le sol en marbre, les immenses colonnes. Tout est si grandiose. J’ai rarement vu des endroits pareils, sauf lorsque j’accompagnais mon père. Michael me lance ce petit regard qui me fait peur, qui me dit que voilà sa surprise. Mais comment a-t-il fait ? Il est si imprévisible parfois. Je reste muette alors qu’il m’entraîne vers la réception.
j'espère que cette partie vous plaira. et grande première, une créa pour l'illustrer (la première que je fais : )
part 1
pensée de sara : rose
pensée de Mike : bleu
Trois jours que l’on est parti, que l’on s’est échappé. Trois jours que l’on quitte à peine la cabine. Trois jours que l’on profite de notre bonheur. Normalement dans la journée on devrait arriver en Jamaïque. On va reposer pied à terre. C’est si enivrant cette sensation de liberté, de se laisser aller ou le vent nous mène. Depuis trois jours on ne fait que ceci, écouter nos envies, nos désirs. Je n’avais jamais fait cela avant. Je dois bien avouer que cela est plus que plaisant, c’est grisant. Je me sens totalement libre, pour la première fois de ma vie, je me sens parfaitement sereine. Je ne sais pas où je vais mais je sais avec qui je vais découvrir tout cela, partager cela et c’est l’unique chose qui m’importe. Comme quoi, la vie se résume en peu de chose, pour moi elle se résume à Michael. Je me demande souvent ce qui aurait put se passer si Steve ne m’avait pas trouvé lorsque Michael était à Sona, si j’aurais été libéré, comment aurais-je finis ? Mieux vaux ne pas y penser, le fait est que Steve était là et que je suis en vie. Je m’étire dans le lit et comme souvent je suis seule, Michael doit être à la barre du bateau. Je me tourne dans les draps pour mieux m’imprégner de lui, de son odeur, de sa chaleur. C’est fou, comme j’aime cette sensation, c’est un besoin quasi vital. J’adore cet endroit, si confiné, si feutré. Il y a une sorte de coin cuisine avec une petite banquette puis une porte qui mène à cette minuscule chambre et au coin salle de bain. Je n’étais jamais auparavant monté sur un bateau. Et je dois bien dire que j’adore celui-là, peut-être que je ne suis pas très objective. Il est magnifique en tout cas, tout recouvert de lambris boisé. Cela lui donne un côté très sobre. Je reconnais bien le côté de Michael. Quand il l’a commandé, il a du vouloir quelque chose de sobre mais avec des matériaux nobles. Cela transparaît dans chaque recoin de ce bateau.
J’enfile un de ses t-shirts qui jonche au sol et part le rejoindre avec mon café à la main. Comme prévu, il fixe l’horizon et manœuvre ce voilier d’une main de maître. Il a vraiment tous les travers qui me font fondre. Ces tatouages, ce côté fier lorsqu’il est à la barre. Mais cela lui va à merveille. Il est incroyablement sexy avec son jean et son débardeur. Depuis peu il commence à découvrir sa peau. Il est vrai que son tatouage est impressionnant et souvent il attire les regards. Mais on dirait qu’il en a moins honte, on dirait presque qu’il en est fier. Et puis à force de lui dire que je l’aimais bien peut-être qu’il s’y est fait. Après tout il n’avait vécu alors qu’il était emprisonné. Le fait de devoir être dans la vie quotidienne avec ne doit pas être chose facile, surtout pour lui qui semble tellement vouloir se fondre dans la masse.
Je vois arriver Sara. C’est une vraie marmotte. Faut dire que nos nuits sont assez agitées. Et puis avant le mariage, elle a travaillé comme une folle. Elle est si belle. Vêtue d’un de mes pauvres t-shirts, ses cheveux vaguement attachés, elle est plus belle que jamais. J’ai presque hâte d’arrivé en Jamaïque. On pourra se dégourdir un peu les jambes, trouver un bon restaurant pour ce soir. Ce sont nos premières vacances ensembles. C’est hallucinant, tout de même. On vit ensembles, on a traversé plus d’épreuves ensembles et séparément que de nombreux couples, mais des vacances jamais. Faut dire que pour arracher Sara du dispensaire il faut se lever de bonne heure. Et puis après ma sortie de Sona, le travail m’a complètement fasciné. Cela faisait si longtemps, que je n’avais pas envie de m’arrêter. De plus vivre au Panama, ce sont des vacances quotidiennes par rapport à Chicago et à ces dernières années. Elle s’avance et me dépose un léger baiser sur les lèvres. Mes yeux se ferment automatiquement. J’aime le goût de ses lèvres. Elle a du mettre son truc qui les fait si douce. Elle est si belle, si élégante. Elle a cette grâce lorsqu’elle bouge que peu de femmes ont. Tout semble si léger avec elle. On a presque l’impression de vivre dans une bulle auprès d’elle, une bulle protectrice.
S : ça fait longtemps que tu es debout ?
M : une heure environ. Je ne voulais pas te réveiller.
S (continuant de l’embrasser) : t’inquiètes. Mais je n’aime pas me réveiller sans toi.
M (déconcentré) : je sais mais faut bien que quelqu’un dirige le bateau !
S (rieuse) : tu n’as qu’à m’apprendre !
M : tu veux ?
S (haussant les épaules) : pourquoi pas ?
Je me place entre ses bras. Mes mains se posent sur la barre et il commence à m’expliquer tous les instruments. Il est si calme, su doux dans ses explications. Et puis surtout cela semble si simple. Serrée dans ses bras je dirige le bateau depuis un bon moment lorsque j’aperçois un bout de terre à l’horizon.
S (guillerette) : Michael, il y a de la terre en face !
M : ouais.
S (embarrassée) : je te laisse faire maintenant, je ne voudrais pas faire de bêtises !
M (hilare) : ah ! Je comprends, madame manœuvre juste quand elle est en pleine mer et qu’il n’y a personne !
S : parfaitement. Et puis, je dois aller m’habiller.
Je m’éclipse alors qu’il fait une moue toute déconfite. J’adore le faire enrager et je dois avouer que c’est tellement facile parfois. Il est toujours calme, maître de lui sauf lorsque c’est moi qui lui tends un piège. Je me glisse sous la douche. Le réservoir d’eau semble bientôt vide. Mais c’est tellement bon de sentir ses muscles se détendre. Je me laisse bercer par le bruit de l’eau. J’entends du bruit, rien de bien inquiétant. Je reste ainsi à profiter de ce bienfait. Un courant d’air froid me parcourt le corps. Mais qu’est-ce que cela peut-être. Aussitôt je sens cette peau tout contre moi, ses bras autour de mes épaules. Ce visage et ses yeux bleu qui me transpercent littéralement. Car il me faut rien de plus qu’un regard de mon mari pour être totalement tétanisée.
S : il y a à peine de la place pour un ici ?
M (d'une voix suave) : faut que l’on se rapproche alors ?
S (se mordillant les lèvres) : Michael !
M (dans un murmure) : l’ancre est jetée. Personne à l’horizon…
S : mais il n’y a pas la place !
M (l’embrassant) : Fais-moi confiance, je suis sûr qu’on a assez de place. Faudra juste revoir tes cours de géométrie dans l’espace !
S (s’abandonnant) : je n’ai jamais aimé ça !
M (tout bas) : j’ai un moyen pour te les faire découvrir autrement.
S : ah bon ! Je ne demande qu’à voir.
M : ne sois pas aussi impatiente.
Mes mains se baladent sur son corps savonneux. J’adore son savon, il embaume le miel. Cela donne envie d’être une abeille et de butiner. Ma bouche trouve immédiatement le sillon de son cou. Ma langue laisse des traces humides le long de sa jugulaire. Je remonte doucement vers son oreille et son lobe tombe entre mes lèvres qui le mordillent. Je la sens de plus en plus haletante, désireuse. Son regard à cet instant est plus qu’une invitation, c’est une supplication. Je la retourne dans mes bras et la porte tout contre moi. Ses jambes viennent aussitôt s’enrouler autour de ma taille. Sans vraiment préméditer l’attaque, je me sens absorbé par elle. Je reste interdit devant cette audace. Il n’en faut pas plus pour que ma tête tournois. Je la plaque contre la paroi, et mes mains se posent de chaque côté de son corps. Comme pour réaliser u peu ce qui vient de se passer. Je vois son sourire fendre son magnifique visage. Elle est si belle. Ses yeux noisette remplis de désir me disent de ne pas rester ainsi, me demandent de réagir. Une de mes mains se pose sous ses fesses alors que l’autre se plaque contre don dos. Elle engouffre sa tête dans mon épaule. Je la sens partir alors que mes vas et viens commencent. J’essaye d’être vifs, doux. Mais je commence à ne plus pouvoir maîtriser ce qui m’arrive alors que je l’entends gémir au creux de mon oreille. Ses mains passent inexorablement dans mon dos. Une de ses mains vient se caler sur mon crâne et m’attire encore plus à elle. Comme si cela était possible ! On se laisse totalement envahir par le bonheur qui nous transporte.
Quelques heures plus tard :
Tout est si beau ici. On a eut de la chance on a débarqué un jour de marché. J’ai l’impression d’être une petite fille qui découvre mille et un plaisirs. Toutes ses couleurs, ses odeurs sont si délicieuses. Et puis les gens sont adorables. Je tire Michael d’étales en étales. Il est si conciliant. Tout est si beau. Je craque pour des petits bracelets en coton. Des petits liens avec une plaque sur le dessus. Alors que j’hésite, je vois Michael me le prendre des mains et le tends au vendeur pour qu’il lui paye. Je lui saute au cou. C’est rien mais je trouve cela tellement touchant qu’il me l’offre sans rien me dire de plus. J’ai presque l’impression qu’il m’achèterai tout ce dont j’aurais envie. Du moment où il peut me faire plaisir. Je n’aime pas vraiment dépendre de quelqu’un et il le sait. C’est pourquoi dès que je remarque quelque chose et que je pars sans le prendre, je le vois revenir avec. On dirait un vrai gosse à faire ceci. J’ai beau l’engueuler, je ne peux pas lui résister. La nuit commence à tomber, on a presque passer notre journée à se promener. Michael est resté figé devant quelques bâtiments anciens. Il les décortiquait sur place. Je suis sûr qu’à présent il les connaît par cœur. Il m’a expliqué certaine chose et je suis resté bouche bée devant tout ça. Il arrive à savoir de quand date un bâtiment, les différentes transformations qu’il y a eut, en quoi il est fait juste en le regardant, l’observant. Il a une capacité exceptionnelle à donner une dimension humaine aux lieux. Je le vois se diriger vers un hôtel et je m’arrête net au milieu du trottoir.
S : tu vas où ?
M (avec un clin d’œil) : dans notre chambre.
S (ahurie) : mais le bateau ?
M (la prenant dans ses bras) : tu ne crois pas qu’une nuit dans une chambre pourrait être pas mal ?
S : j’aime bien le bateau.
M (inclinant la tête) : Sara !
S (amusée) : je n’ai pas le choix ?
M (relevant les sourcils) : effectivement.
S (les yeux pétillants) : une surprise m’attend.
M (sec) : non, pourquoi?
On rentre dans cet hôtel et je reste subjuguée. On dirait une énorme maison coloniale. Elle est tout à fait somptueuse. Je reste bouche bée dans le hall d’entré, le sol en marbre, les immenses colonnes. Tout est si grandiose. J’ai rarement vu des endroits pareils, sauf lorsque j’accompagnais mon père. Michael me lance ce petit regard qui me fait peur, qui me dit que voilà sa surprise. Mais comment a-t-il fait ? Il est si imprévisible parfois. Je reste muette alors qu’il m’entraîne vers la réception.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
part 2:
Réceptionniste : bonjour,
M : oui, nous avons réservés une chambre. Mr et Mme Scofield.
Réceptionniste : la 440. Vous avez des bagages ?
M (les joues rosées) : non.
Réceptionniste : suivez-moi, je vous y conduire.
M : merci.
Elle ne bouge presque pas. Peut-être que cela ne lui plaît pas, que c’est trop. Je suis un peu dépité, elle semble si étonnée. Nos regards se croisent et je vois ses yeux tous embués me faire face. Je comprends qu’elle est tout simplement émue. J’ai eut si peur. La porte s’ouvre et elle est toute soufflée par l’endroit. Je crois que mon choix et le bon. De toute façon, je n’ai pas trop eut le temps de faire le difficile.
Flash-back :
Cela fait presque deux heures que l’on parcourt ce marché sans s’arrêter. J’en profite que Sara veut boire un verre pour se rafraîchir pour essayer de faire ma surprise. Je vais commander au bar nos boissons.
M : s’il vous plaît. Je voudrais un jus de pomme et une bière.
Barman : je vous emmène cela tout de suite.
M : Excusez-moi mais vous pourriez m’aider peut-être. J’aimerai savoir quel est le meilleur hôtel de la ville ?
Barman : ça dépend de ce que vous voulez.
M (tout bas) : le prix n’est pas un problème. Je veux quelque chose de beau, d’élégant.
Barman : le Jamaica Palace Hotel. C’est à cinq minutes d’ici.
M (se tournant pour que Sara ne le voit pas) : je pourrais vous emprunter votre téléphone pour les appeler.
Barman : bien sûr. Je vous fais le numéro.
M : merci.
Fin flash-back.
Je reste de marbre devant la splendeur de la chambre. J’attends que l’employé de l’hôtel disparaisse. Enfin, après maintes recommandations, il nous laisse enfin seul. Je lui saute littéralement dessus en hurlant que c’est trop, en le frappant avec mes sacs, ne l’embrassant, en pleurant devant autant d’attention. Je ne sais pas quoi faire en réalité. Le remercier pour un cadeau pareil ou m’énerver devant autant d’extravagance. Il me serre tout contre lui et ne cesse d’embrasser ma nuque qui s’offre inexorablement à ses lèvres. Je me sens envahir par sa douceur. Nos corps bascule sur le lit et je sens ses mains effleurer ma peau. Nos corps se font l’amour comme s’ils se découvraient pour la première fois. Il est presque 20h lorsque je sors de la douche. Tout est si parfait avec Michael que cela en est déroutant. Je sors encore mouillées, entourée d’une serviette. Je vais pour attraper mes vêtements lorsque je le vois en pantalon et chemise blanche. Je reste pantoise devant lui. Je ne savais pas qu’on sortait. Quoique j’aurais du me douter qu’il me préparait encore autre chose. Il me regarde avec ce petit sourire en coin. Je pourrais le tuer lorsqu’il fait cela. Il me montre d’un coup d’œil, une housse pendue devant le miroir. Stella McCartney, d’accord, je vois. Je descends la fermeture éclair et me trouve face à une robe somptueuse. J’ai presque peur de la touchée tellement elle semble fragile.
M (s’asseyant sur le rebord du lit) : je suis sur qu’elle est faite pour toi.
S (décontenancée) : où as-tu trouvé cette robe Scofield ?
M : dans la boutique en face de l’hôtel.
S: mais quand ?
M: le temps que tu prennes ta douche.
S : tu te rends comptes du prix qu’elle vaut.
M (se relevant) : et alors. Sara, tu n’as pas de prix. J’ai vu cette robe et je me suis dit qu’elle devait être à toi, c’est tout.
S (les larmes aux yeux) : c’est trop.
M l’embrassant) : rien ne sera trop pour toi. Allez dépêche toi on va être en retard.
S (dépitée) : je n’ose même pas te demander pour où !
M (haussant les épaules) : le restaurant de l’hôtel.
Tout est vraiment magique. Presque toutes les personnes du restaurant se retournent sur notre passage. Je suis ultra mal à l’aise. Mais en même temps fière car si les femmes se retourne c’est pour admirer l’homme qui vient de rentrer. Et cet homme est le mien. Cela j’en suis certaine. Il a retenu une table légèrement en retrait. Je m’attends à voir la carte mais au lieu de cela je vois directement arriver deux flûtes de champagne et des petits fours. Mr Scofield que me préparez-vous ? Nos verres s’entrechoquent et je sens son regard brûlant parcourir mon visage. Nos mains se rejoignent sur le côté de la table et on ne cesse de parler. De tout de rien. De cette fabuleuse journée, de celles de demain, des projets que l’on a envie de partager. L’entrée arrive et je manque d’éclater de rire. Une salade d’écrevisse. Cela ne m’est pas inconnu.
S (avec un immense sourire) : Michael, qu’est-ce que cela veut dire ?
M (cynique) : j’ai choisi pour toi, cela ne te dérange pas.
S : champagne, petits fours, salade d’écrevisses… ça ressemble à notre repas de mariage, non ?
M (étonné) : ah ! Tu trouves.
S : tu es incorrigible.
M : tout de même, c’est notre repas de mariage !
S (émue) : je t’aime.
M (plongeant son regard dans le sien) : j’espère bien.
S (baissant les yeux) : c’est vrai que tu te donnes du mal pour moi.
M (lui embrassant sa main tout en la regardant dans les yeux) : ce sera toujours ma priorité de te faire plaisir.
- Spoiler:
Réceptionniste : bonjour,
M : oui, nous avons réservés une chambre. Mr et Mme Scofield.
Réceptionniste : la 440. Vous avez des bagages ?
M (les joues rosées) : non.
Réceptionniste : suivez-moi, je vous y conduire.
M : merci.
Elle ne bouge presque pas. Peut-être que cela ne lui plaît pas, que c’est trop. Je suis un peu dépité, elle semble si étonnée. Nos regards se croisent et je vois ses yeux tous embués me faire face. Je comprends qu’elle est tout simplement émue. J’ai eut si peur. La porte s’ouvre et elle est toute soufflée par l’endroit. Je crois que mon choix et le bon. De toute façon, je n’ai pas trop eut le temps de faire le difficile.
Flash-back :
Cela fait presque deux heures que l’on parcourt ce marché sans s’arrêter. J’en profite que Sara veut boire un verre pour se rafraîchir pour essayer de faire ma surprise. Je vais commander au bar nos boissons.
M : s’il vous plaît. Je voudrais un jus de pomme et une bière.
Barman : je vous emmène cela tout de suite.
M : Excusez-moi mais vous pourriez m’aider peut-être. J’aimerai savoir quel est le meilleur hôtel de la ville ?
Barman : ça dépend de ce que vous voulez.
M (tout bas) : le prix n’est pas un problème. Je veux quelque chose de beau, d’élégant.
Barman : le Jamaica Palace Hotel. C’est à cinq minutes d’ici.
M (se tournant pour que Sara ne le voit pas) : je pourrais vous emprunter votre téléphone pour les appeler.
Barman : bien sûr. Je vous fais le numéro.
M : merci.
Fin flash-back.
Je reste de marbre devant la splendeur de la chambre. J’attends que l’employé de l’hôtel disparaisse. Enfin, après maintes recommandations, il nous laisse enfin seul. Je lui saute littéralement dessus en hurlant que c’est trop, en le frappant avec mes sacs, ne l’embrassant, en pleurant devant autant d’attention. Je ne sais pas quoi faire en réalité. Le remercier pour un cadeau pareil ou m’énerver devant autant d’extravagance. Il me serre tout contre lui et ne cesse d’embrasser ma nuque qui s’offre inexorablement à ses lèvres. Je me sens envahir par sa douceur. Nos corps bascule sur le lit et je sens ses mains effleurer ma peau. Nos corps se font l’amour comme s’ils se découvraient pour la première fois. Il est presque 20h lorsque je sors de la douche. Tout est si parfait avec Michael que cela en est déroutant. Je sors encore mouillées, entourée d’une serviette. Je vais pour attraper mes vêtements lorsque je le vois en pantalon et chemise blanche. Je reste pantoise devant lui. Je ne savais pas qu’on sortait. Quoique j’aurais du me douter qu’il me préparait encore autre chose. Il me regarde avec ce petit sourire en coin. Je pourrais le tuer lorsqu’il fait cela. Il me montre d’un coup d’œil, une housse pendue devant le miroir. Stella McCartney, d’accord, je vois. Je descends la fermeture éclair et me trouve face à une robe somptueuse. J’ai presque peur de la touchée tellement elle semble fragile.
- Spoiler:
M (s’asseyant sur le rebord du lit) : je suis sur qu’elle est faite pour toi.
S (décontenancée) : où as-tu trouvé cette robe Scofield ?
M : dans la boutique en face de l’hôtel.
S: mais quand ?
M: le temps que tu prennes ta douche.
S : tu te rends comptes du prix qu’elle vaut.
M (se relevant) : et alors. Sara, tu n’as pas de prix. J’ai vu cette robe et je me suis dit qu’elle devait être à toi, c’est tout.
S (les larmes aux yeux) : c’est trop.
M l’embrassant) : rien ne sera trop pour toi. Allez dépêche toi on va être en retard.
S (dépitée) : je n’ose même pas te demander pour où !
M (haussant les épaules) : le restaurant de l’hôtel.
- Spoiler:
Tout est vraiment magique. Presque toutes les personnes du restaurant se retournent sur notre passage. Je suis ultra mal à l’aise. Mais en même temps fière car si les femmes se retourne c’est pour admirer l’homme qui vient de rentrer. Et cet homme est le mien. Cela j’en suis certaine. Il a retenu une table légèrement en retrait. Je m’attends à voir la carte mais au lieu de cela je vois directement arriver deux flûtes de champagne et des petits fours. Mr Scofield que me préparez-vous ? Nos verres s’entrechoquent et je sens son regard brûlant parcourir mon visage. Nos mains se rejoignent sur le côté de la table et on ne cesse de parler. De tout de rien. De cette fabuleuse journée, de celles de demain, des projets que l’on a envie de partager. L’entrée arrive et je manque d’éclater de rire. Une salade d’écrevisse. Cela ne m’est pas inconnu.
S (avec un immense sourire) : Michael, qu’est-ce que cela veut dire ?
M (cynique) : j’ai choisi pour toi, cela ne te dérange pas.
S : champagne, petits fours, salade d’écrevisses… ça ressemble à notre repas de mariage, non ?
M (étonné) : ah ! Tu trouves.
S : tu es incorrigible.
M : tout de même, c’est notre repas de mariage !
S (émue) : je t’aime.
M (plongeant son regard dans le sien) : j’espère bien.
S (baissant les yeux) : c’est vrai que tu te donnes du mal pour moi.
M (lui embrassant sa main tout en la regardant dans les yeux) : ce sera toujours ma priorité de te faire plaisir.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
et bien tu nous as gater c'est une tres longue suite ca
Qu'est qu'il est romantique michael avec ses petite surprise c'est pas possible ca existe pas un mec pareil en tout cas elle en as de la chance sara, j'aimerais bien etre a sa place.
dis tu trouve pas que ce serait bien un petit bebe? bon ok je suis chiante mais j'ai trop envie de voir michael avec un bébé.
vivement la suite
Qu'est qu'il est romantique michael avec ses petite surprise c'est pas possible ca existe pas un mec pareil en tout cas elle en as de la chance sara, j'aimerais bien etre a sa place.
dis tu trouve pas que ce serait bien un petit bebe? bon ok je suis chiante mais j'ai trop envie de voir michael avec un bébé.
vivement la suite
Sara59- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3949
Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique suite , enneade
trop beau
il est trop gentleman , il est mignon , ils sont mignon tout les deux
vivement la suite
trop beau
il est trop gentleman , il est mignon , ils sont mignon tout les deux
vivement la suite
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'est trop mignon. J'adore franchement, Michael dépense sans compter pour elle.
Encore une suite stp
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
AHHHHHHHHHHHH tout simplement splendide!!!!!!
Mick qui joue les princes charmant et notre Sara qui y prend gout(qui ne s'y habiturait pas??? )
Tu ma de nouveau fait rever et je t'en remercie!!!!!!!!!!!!
A quand le prochain vol????
Mick qui joue les princes charmant et notre Sara qui y prend gout(qui ne s'y habiturait pas??? )
Tu ma de nouveau fait rever et je t'en remercie!!!!!!!!!!!!
A quand le prochain vol????
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'est vraiment magnifique!!!!!
merci pour cette superbe suite Enneade!!!!!
Sara est vraiment chanceuse d'avoir un mari comme Michael!
Vivement la suite!!!!!
merci pour cette superbe suite Enneade!!!!!
Sara est vraiment chanceuse d'avoir un mari comme Michael!
Vivement la suite!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Page 36 sur 43 • 1 ... 19 ... 35, 36, 37 ... 39 ... 43
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 36 sur 43
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum