ma première fiction^^
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: ma première fiction^^
Oui Jane appel Lincoln j'en ai marre de voir Sara souffrir encore et encore tout ce qu'elle veut c'est avoir une vie normal et surtout parlé a Michael pour le moment alors merde il a interêt a lui parlé!!
La suite le plus vite possible STP
La suite le plus vite possible STP
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: ma première fiction^^
merci les filles je vous mets la suite^^
Jane se redressa aussitôt. La voix de son amie était décidée. Comment allait-elle faire pour se sortir de ce pétrin ? Se demanda Jane en imaginant la scène. Lincoln avait été ferme sur le sujet. Elle ne pouvait pas l’appeler maintenant, elle comprendrait par la faible voix de Michael qu’il n’allait pas bien…
- Sara…
- Non, Jane ! Je suis décidé à partir d’ici si je n’est pas Michael au téléphone, maintenant ! Hurla Sara avant d’expliquer d’une voix plus calme, mais toujours avec un degré dédaigneux. Je suis persuadé que quelques choses est arrivé ! Je ne suis pas idiote comme tous le monde a l’air de le penser. Et je ne veux pas que notre vie se base déjà sur des mensonges ! C(est fini tous cela ! Emma…je ne veux pas qu’elle connaisse la souffrance que j’ai subit ! Tu peux le comprendre !!!
Jane la comprenait parfaitement même ! Elle regarda la jeune femme qui se tenait à présent debout devant elle. Les questions fusèrent dans sa tête mais, touchée par la douleur qu’elle lisait sur le visage de son amie, elle finit par hocher la tête, avant d’ajouter d’une voix résigné :
- Très bien, Sara. Laisse moi juste un instant seule, je te passerai Michael ensuite…
- Merci Jane ! Fit la jeune femme avant de rentrer à l’intérieur de chez elle, soulagé d’entendre bientôt la voix de Michael….
-CHAPITRE 12-
Jane fixa son téléphone pendant quelques secondes. Elle ne savait pas comment Lincoln allait réagir à cette menace. Mais elle était d’accord avec Sara, elle n’avait pas non plus comprit l’attitude de Michael. La conspiration était terminée ! Il n’avait plus de raison à se cacher, à fuir, à se mentir ! Padman était sous les verrous à attendre son exécution pour les crimes qu’il avait commit, et Kim n’était plus de ce monde !
La jeune femme tapa enfin le numéro de son époux sur son portable. Elle inspira profondément pendant que la tonalité résonnait dans son le creux de son oreille. Elle entendit très vite le déclic du décrochement.
- Chéri ?
- Jane ? Que se passe-t-il ? Demanda Lincoln, inquiet et surprit de son appel.
- Où es-tu Linc ?
- Je suis devant la chambre de Michael, je m’apprêtait à entrer…
- Sara… elle veut lui parler, Lincoln.
- Non, fit-il d’une voix basse. Michael n’est pas encore en état de lui parler ! Elle s’apercevra qu’il n’est pas…
- Lincoln ! L’interrompit Jane. Il le faut, elle veut partir et elle est décidé à rentrer à la Nouvelle Orléans si elle ne la pas au téléphone dans les cinq minutes ! Et tu peux être certain que ton frère ne la reverra jamais.
- Mais qu’est-ce qu’il lui prend, non de dieu ! Fit-il d’une voix emplit de colère.
- Écoute, chéri… je l’a comprend, elle en a assez…
- Oui, je sais, avoua-t-il, se remémorant le visage désespéré de la jeune femme.
- S’il te plait…
- Très bien, répondit Lincoln, résigné. Reste en ligne, je vais te le passer.
Lincoln entra dans la chambre et sourit à son jeune frère qui venait de se réveiller. Michael poussa un faible soupir, il était content de voir Lincoln, il ne supportait pas de rester seul dans cette chambre d’hôpital.
- Comment tu te sens ? Demanda Lincoln, s’approchant de lui.
- Ca va mieux…je n’ai pratiquement plus mal. Comment vont-elles ? Demanda Michael, fronçant les yeux, remarquant le téléphone dans la main de son frère.
- Michael…, fit-il en inspirant profondément. Sara menace de partir si tu ne prends pas son appel.
- Quoi ? Fit-il, l’air hébété et surprit. Elle sait ?
- Non, mais elle se doute que quelques chose t’es arrivé.
Oui, il le savait, elle n’était pas idiote sa Sara, pensa-t-il. Mais il ne pouvait pas lui dire… il ne voulait plus jamais qu’elle souffre par sa faute…mais il ne pouvait pas prendre le risque de la perdre par orgueil mais aussi à cause de sa fierté.
Soupirant de résignation, il sourit et se redressa un peu.
- passe la moi, lâcha-t-il.
Lincoln regarda son frère et mit le portable à son oreille.
- Jane, passe moi Sara…
- Très bien, fit-elle avant de donner le téléphone à la jeune femme qui venait de la joindre.
- Michael ?
Lincoln ne répondit pas à Sara, il mit le téléphone dans les mains de son frère avant de quitter la chambre.
- Michael, répéta la jeune femme, inquiète de ne pas l’entendre.
Le jeune homme ferma les yeux à l’écoute de sa voix.
- Oh ! Sara…
- Michael, souffla Sara, d’une voix émue. Comment vas-tu ? Pourquoi tu ne m’as pas appelé ?
- Chut….je suis désolée mon amour… tout a été si vite, pardonne moi Sara… bredouilla Michael d’une voix faible malgré qu’il essayait de lui cacher.
- Qu’est-ce que tu as Michael ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ? Il s’est passé quelque chose ? J’en sur certaine, Michael, s’il te plaît…
- Je suis à l’hôpital, ma puce, mais tout va bien, ne t’inquiète pas mon amour…, l’informa-t-il, avec de plus en plus de mal à articuler.
- Mais, je pensais que tu était sorti ?
Michael ne savait pas comment lui expliquer, il n’avait pas la force de l’entendre pleurer d’angoisse. Mais il devait le faire, il ne fallait plus de cachotteries entre eux, plus de mensonges, elle avait assez souffert.
- Sara… j’ai été grièvement blessé…
A cette annonce, Sara chercha Jane du regard mais elle avait disparut, elle était seule.
- Michael ! Que…c’est il passé ? Demanda la jeune femme, les yeux embués de larmes.
- Quand nous sommes arrivés sur les lieux de l’interpellation de Padman…ça c’est mal passé, Sara… Kim m’a tiré dessus, expliqua Michael, sans lui dire précisément que c’est lui qui s’est jeté sur cette balle, afin de sauver son frère. Mais ne t’inquiète pas, je vais bien…
- Quoi ? C’est tout ce que tu as à me dire ! Hurla-t-elle. Tu te rends compte ! Tu me dis que tu m’aimes mais je ne devais pas savoir que tu était entre la vie et la mort !, ajouta la jeune femme, les larmes roulant sur ses joues rougies par la colère.
- Sara, écoutes ! Fit Michael d’une voix plus forte.
- Non ! J’en ai assez, Michael ! Je te demande des explications ! Tu devais simplement te faire enlever cette satanée puce ! Tu ne m’avais parler de tout ça !
- Oui Sara, je sais…aie, souffla-t-il, de douleur.
- Michael ?
-La jeune femme sentit une boule lui montait dans la gorge et qui commençait à lui faire mal. Elle n’arrivait plus à respirer normalement mais elle inspira profondément et essaya de se résonner. Elle savait qu’elle était en train de faire une grosse crise d’angoisse…
A l’autre bout du fil, le jeune homme versa quelques larmes. Il avait mal mais ce qui le faisait pleurer et de savoir que Sara lui en voulait énormément et qu’elle souffrait.
- Sara, je t’aime… je suis désolé mon amour.
- Michael, explique moi tout s’il te plaît, j’ai besoin de savoir que tu vas bien…
- Ma chérie,…ne pleure pas, fit-il d’une voix pleine de tristesse en entendant les sanglots de la jeune femme.
Sara respira un peu mieux et commença à se calmer.
- Michael…, fit-elle en prenant son front nerveusement. Qu’est-ce qu’ils t’on fait ?
Il n’attendit plus, avec tout l’espoir qu’il avait de la prendre dans ses bras très bientôt, il lui expliqua.
Pendant de longues minutes, Sara resta silencieuse, faisant les cent pas. Elle s’approcha de la barrière, qui la séparait de la plage, et se mit à marcher dans le sable chaud. La mer était magnifique, elle l’attirait inexplicablement.
- …Je t’aime Sara…
- Moi aussi, je t’aime , Michael, répondit-elle, bouleversée qu’elle avait bien faillit le perdre à jamais.
- Tu pourras me pardonner ? Demanda Michael, espérant de toutes ses forces une réponse positive.
- Je…je ne sais pas, Michael, je vais venir, il faut que je suis auprès de toi…
- Non ! Je ne veux pas que tu viennes ici, dans ce pays…
Imaginant le visage bouleversé de Sara, Michael resta silencieux. Il s’attendait encore à une explosion de rage de sa part, et qu’elle insiste pour venir à son chevet, mais elle n’en fit rien. D’une voix calme, elle lui répondit seulement :
- D’accord, Michael… mais à ta place, je ne serais pas pressé de venir me rejoindre, fit-elle avant de raccrocher…
Jane se redressa aussitôt. La voix de son amie était décidée. Comment allait-elle faire pour se sortir de ce pétrin ? Se demanda Jane en imaginant la scène. Lincoln avait été ferme sur le sujet. Elle ne pouvait pas l’appeler maintenant, elle comprendrait par la faible voix de Michael qu’il n’allait pas bien…
- Sara…
- Non, Jane ! Je suis décidé à partir d’ici si je n’est pas Michael au téléphone, maintenant ! Hurla Sara avant d’expliquer d’une voix plus calme, mais toujours avec un degré dédaigneux. Je suis persuadé que quelques choses est arrivé ! Je ne suis pas idiote comme tous le monde a l’air de le penser. Et je ne veux pas que notre vie se base déjà sur des mensonges ! C(est fini tous cela ! Emma…je ne veux pas qu’elle connaisse la souffrance que j’ai subit ! Tu peux le comprendre !!!
Jane la comprenait parfaitement même ! Elle regarda la jeune femme qui se tenait à présent debout devant elle. Les questions fusèrent dans sa tête mais, touchée par la douleur qu’elle lisait sur le visage de son amie, elle finit par hocher la tête, avant d’ajouter d’une voix résigné :
- Très bien, Sara. Laisse moi juste un instant seule, je te passerai Michael ensuite…
- Merci Jane ! Fit la jeune femme avant de rentrer à l’intérieur de chez elle, soulagé d’entendre bientôt la voix de Michael….
-CHAPITRE 12-
Jane fixa son téléphone pendant quelques secondes. Elle ne savait pas comment Lincoln allait réagir à cette menace. Mais elle était d’accord avec Sara, elle n’avait pas non plus comprit l’attitude de Michael. La conspiration était terminée ! Il n’avait plus de raison à se cacher, à fuir, à se mentir ! Padman était sous les verrous à attendre son exécution pour les crimes qu’il avait commit, et Kim n’était plus de ce monde !
La jeune femme tapa enfin le numéro de son époux sur son portable. Elle inspira profondément pendant que la tonalité résonnait dans son le creux de son oreille. Elle entendit très vite le déclic du décrochement.
- Chéri ?
- Jane ? Que se passe-t-il ? Demanda Lincoln, inquiet et surprit de son appel.
- Où es-tu Linc ?
- Je suis devant la chambre de Michael, je m’apprêtait à entrer…
- Sara… elle veut lui parler, Lincoln.
- Non, fit-il d’une voix basse. Michael n’est pas encore en état de lui parler ! Elle s’apercevra qu’il n’est pas…
- Lincoln ! L’interrompit Jane. Il le faut, elle veut partir et elle est décidé à rentrer à la Nouvelle Orléans si elle ne la pas au téléphone dans les cinq minutes ! Et tu peux être certain que ton frère ne la reverra jamais.
- Mais qu’est-ce qu’il lui prend, non de dieu ! Fit-il d’une voix emplit de colère.
- Écoute, chéri… je l’a comprend, elle en a assez…
- Oui, je sais, avoua-t-il, se remémorant le visage désespéré de la jeune femme.
- S’il te plait…
- Très bien, répondit Lincoln, résigné. Reste en ligne, je vais te le passer.
Lincoln entra dans la chambre et sourit à son jeune frère qui venait de se réveiller. Michael poussa un faible soupir, il était content de voir Lincoln, il ne supportait pas de rester seul dans cette chambre d’hôpital.
- Comment tu te sens ? Demanda Lincoln, s’approchant de lui.
- Ca va mieux…je n’ai pratiquement plus mal. Comment vont-elles ? Demanda Michael, fronçant les yeux, remarquant le téléphone dans la main de son frère.
- Michael…, fit-il en inspirant profondément. Sara menace de partir si tu ne prends pas son appel.
- Quoi ? Fit-il, l’air hébété et surprit. Elle sait ?
- Non, mais elle se doute que quelques chose t’es arrivé.
Oui, il le savait, elle n’était pas idiote sa Sara, pensa-t-il. Mais il ne pouvait pas lui dire… il ne voulait plus jamais qu’elle souffre par sa faute…mais il ne pouvait pas prendre le risque de la perdre par orgueil mais aussi à cause de sa fierté.
Soupirant de résignation, il sourit et se redressa un peu.
- passe la moi, lâcha-t-il.
Lincoln regarda son frère et mit le portable à son oreille.
- Jane, passe moi Sara…
- Très bien, fit-elle avant de donner le téléphone à la jeune femme qui venait de la joindre.
- Michael ?
Lincoln ne répondit pas à Sara, il mit le téléphone dans les mains de son frère avant de quitter la chambre.
- Michael, répéta la jeune femme, inquiète de ne pas l’entendre.
Le jeune homme ferma les yeux à l’écoute de sa voix.
- Oh ! Sara…
- Michael, souffla Sara, d’une voix émue. Comment vas-tu ? Pourquoi tu ne m’as pas appelé ?
- Chut….je suis désolée mon amour… tout a été si vite, pardonne moi Sara… bredouilla Michael d’une voix faible malgré qu’il essayait de lui cacher.
- Qu’est-ce que tu as Michael ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ? Il s’est passé quelque chose ? J’en sur certaine, Michael, s’il te plaît…
- Je suis à l’hôpital, ma puce, mais tout va bien, ne t’inquiète pas mon amour…, l’informa-t-il, avec de plus en plus de mal à articuler.
- Mais, je pensais que tu était sorti ?
Michael ne savait pas comment lui expliquer, il n’avait pas la force de l’entendre pleurer d’angoisse. Mais il devait le faire, il ne fallait plus de cachotteries entre eux, plus de mensonges, elle avait assez souffert.
- Sara… j’ai été grièvement blessé…
A cette annonce, Sara chercha Jane du regard mais elle avait disparut, elle était seule.
- Michael ! Que…c’est il passé ? Demanda la jeune femme, les yeux embués de larmes.
- Quand nous sommes arrivés sur les lieux de l’interpellation de Padman…ça c’est mal passé, Sara… Kim m’a tiré dessus, expliqua Michael, sans lui dire précisément que c’est lui qui s’est jeté sur cette balle, afin de sauver son frère. Mais ne t’inquiète pas, je vais bien…
- Quoi ? C’est tout ce que tu as à me dire ! Hurla-t-elle. Tu te rends compte ! Tu me dis que tu m’aimes mais je ne devais pas savoir que tu était entre la vie et la mort !, ajouta la jeune femme, les larmes roulant sur ses joues rougies par la colère.
- Sara, écoutes ! Fit Michael d’une voix plus forte.
- Non ! J’en ai assez, Michael ! Je te demande des explications ! Tu devais simplement te faire enlever cette satanée puce ! Tu ne m’avais parler de tout ça !
- Oui Sara, je sais…aie, souffla-t-il, de douleur.
- Michael ?
-La jeune femme sentit une boule lui montait dans la gorge et qui commençait à lui faire mal. Elle n’arrivait plus à respirer normalement mais elle inspira profondément et essaya de se résonner. Elle savait qu’elle était en train de faire une grosse crise d’angoisse…
A l’autre bout du fil, le jeune homme versa quelques larmes. Il avait mal mais ce qui le faisait pleurer et de savoir que Sara lui en voulait énormément et qu’elle souffrait.
- Sara, je t’aime… je suis désolé mon amour.
- Michael, explique moi tout s’il te plaît, j’ai besoin de savoir que tu vas bien…
- Ma chérie,…ne pleure pas, fit-il d’une voix pleine de tristesse en entendant les sanglots de la jeune femme.
Sara respira un peu mieux et commença à se calmer.
- Michael…, fit-elle en prenant son front nerveusement. Qu’est-ce qu’ils t’on fait ?
Il n’attendit plus, avec tout l’espoir qu’il avait de la prendre dans ses bras très bientôt, il lui expliqua.
Pendant de longues minutes, Sara resta silencieuse, faisant les cent pas. Elle s’approcha de la barrière, qui la séparait de la plage, et se mit à marcher dans le sable chaud. La mer était magnifique, elle l’attirait inexplicablement.
- …Je t’aime Sara…
- Moi aussi, je t’aime , Michael, répondit-elle, bouleversée qu’elle avait bien faillit le perdre à jamais.
- Tu pourras me pardonner ? Demanda Michael, espérant de toutes ses forces une réponse positive.
- Je…je ne sais pas, Michael, je vais venir, il faut que je suis auprès de toi…
- Non ! Je ne veux pas que tu viennes ici, dans ce pays…
Imaginant le visage bouleversé de Sara, Michael resta silencieux. Il s’attendait encore à une explosion de rage de sa part, et qu’elle insiste pour venir à son chevet, mais elle n’en fit rien. D’une voix calme, elle lui répondit seulement :
- D’accord, Michael… mais à ta place, je ne serais pas pressé de venir me rejoindre, fit-elle avant de raccrocher…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
ahhhhhhhhhhh la suite!!! elle va lui pardonne hein??
et lui va aller mieux??
vite met nous une suite stp!!!!
et lui va aller mieux??
vite met nous une suite stp!!!!
Re: ma première fiction^^
ahah! Sara est trop forte...
bon tout va s'arranger dès qu'elle le verra? hein? STP!
vivement une suite
bon tout va s'arranger dès qu'elle le verra? hein? STP!
vivement une suite
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 28/03/2007
Re: ma première fiction^^
Waou ça c'est une femme j'adore la reponse qu'elle lui donne a la fin mais bon j'espere qu'elle va lui pardoné ils ont assez souffert et puis au moins comme ça Michael ne lui mentira plus jamais sur quoi que ce soit!!!!!!!
Trop bien la suite
Trop bien la suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Date d'inscription : 20/01/2007
Re: ma première fiction^^
!! génial !! mais faut que sara lui pardonne !!
la suite stp !
la suite stp !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Date d'inscription : 20/01/2007
Re: ma première fiction^^
Trop mignon la conversation on ressent toute leur souffrance
vivement qu'il se retrouve mais qu'est ce qu'elle a voulu dire Sara avec sa dernière phrase?????
viteeee j'veux la suiteeee
vivement qu'il se retrouve mais qu'est ce qu'elle a voulu dire Sara avec sa dernière phrase?????
viteeee j'veux la suiteeee
Re: ma première fiction^^
merci les filles pour vos coms^^ ils me touchent beaucoup et je suis tro contente que vous aimez
voici le chapite suivant, mais désolée d'avance si j'en fait pleurer certaine^^ j'ai moi même versé une larme en l'écrivant
-CHAPITRE13-
Deux jours plus tard, tandis que les infirmières venaient de lui prodiguer les soins quotidien, Michael se leva de son lit. Les médecins lui avaient autorisé de se lever et de marcher un peu, se qu’il n’avait pas tarder à faire. Malgré la douleur qui était toujours présente dans sa poitrine, resta debout, devant la fenêtre, l’air pensif. Il s’appuya de son bras sur le dossier du fauteuil afin de trouver un équilibre. Il pensa à Sara, elle lui en voulait toujours terriblement. La veille, il l’avait contacter par téléphone mais elle avait prétexté une banale excuse pour ne pas lui parler. Il se mit à sourire en repensant à Emma, que Sara avait passé pendant son bref appel. Elle lui manquait beaucoup. Il avait profité de parler avec elle pour jouir de sa complicité enfantine. Michael souffla un rire amusé en pensant aux paroles de sa fille.
« tu rentres quand, papa ? Tu me manques et hier maman et moi, on a été nager dans l’océan ! Tu viendras nager avec nous la prochaine fois ? »
Il lui avait bien sur répondit que oui, il viendra nager avec elles dès qu’il sera de retour. Il les avait imaginé, toutes les deux, s’amusant, batifolant en riant de joie et de plaisir, dans une mer sublime, d’où l’écume des faibles vagues s’émoussaient sur les grains de sables blancs.
Il sentit un pincement à son cœur, encore faible, de louper des moments heureux avec les deux personnes qu’il aimait par dessus tout. Il perdait patience à rester cloîtrer dans cette chambre. Heureusement encore que son frère était là, avec lui, attendant qu’il aille mieux pour partir enfin vers leurs vies, si souvent rêvé.
Perdu dans ses pensées, il n’entendit pas Lincoln entrait dans la chambre. Il se retourna vivement dès qu’il aperçut le reflet de son frère dans la vitre.
- Linc !
- Tu vas bien, frérot ? S’enquit-il de demander, remarquant les yeux congestionnés de son frère.
- oui…, répondit Michael, s’installant prudemment dans le fauteuil. Je pensais à Emma…
Lincoln sourit et ajouta :
- Jane m’a dit qu’elle était adorable. J’ai hâte de la connaître, avoua Lincoln, d’une voix douce.
Michael lui sourit à son tour. Il était rare de voir son grand frère, devenir si émotive.
- alors, et les médecins ? que disant-il aujourd’hui ?
- Oh ! Tout va bien, ils m’ont dit que je suivais le stade de guérison, comme prévu. J’ai encore un peu de douleur mais cela va bien, il faut le temps que la cicatrisation se fasse, d’après leurs dires. Et toi ? Comment tu vas ?
- Moi ? Dis, ce n’est pas moi qui est enfermé dans cette chambre et qui m’a prit une balle ! Fit-il, d’un air moqueur.
Michael se mit à rire et ajouta :
- oui, mais il fallait bien que je me sacrifie pour sauver mon frère ! Répondit Michael, l’air taquin.
- Plaisante, Michael, plaisante, mais cela ne me fait pas rire du tout ! Répondit d’une voix réprobatrice.
- Excuse moi, vieux, fit Michael, remarquant une lueur étrange dans ses yeux.
- Ce n’est rien ! Dis, Michael ?
- Quoi ? S’enquit-il de répondre.
- Le colonel Snraff est venu à l’hôtel, hier soir… il m’a dit qu’il devait nous remettre quelque chose…
- Qu’est-ce que c’est ? L’interrompit Michael, fronçant les yeux, l’air inquiet.
- Je ne sais pas… il m’a seulement dit que nous ne ions pas nous en faire, et que…
- Et que ? Répéta Michael, impatient.
- Qu’il s’agissait de quelque chose que notre père lui aurait donné il y a six ans… juste après qu’il est venu me sauver de Kellerman, quand je partais de Fox River pour aller voir LJ…
Michael resta un moment silencieux et pensa à son père. Que pouvait-il avoir donné à Snraff ?
- Je me pose aussi des questions, Mich. Mais ne t’en fais pas, on aura des réponses… il va bientôt arriver ici…
Lincoln regardait son frère, il était inquiet, tout comme lui d’ailleurs. Mais il se sentait égoiste par rapport à son jeune frère. Michael n’avait pratiquement pas connu leur père, comparait à lui. Il savait la détresse qu’il ressentait, mais depuis leur enfance, après l’abandon du jours au lendemain d’Aldo, il s’était efforcé de lui donné l’amour qu’il avait tant besoin. Il n’était qu’un adolescent mais il se substituait au rôle du père pour élever au mieux Michael. Il l’endormait, le consoler quand il faisait ces affreux cauchemars. Il faisait tout pour qu’il oubliait ce père qui l’avait abandonné alors qu’il n’avait que deux ans.
Michael était un enfant très calme et il était vraiment unique. Jamais Lincoln n’avait élevé la voix, jamais il n’avait besoin de lui faire montrer son autorité. Michael ne l’avait jamais déçu…
- Linc ?
La voix de son frère le fit sursauté, il se ramena à la réalité et lui sourit.
- Oui ?
- Tu pensais à quoi ?
- Oh ! À rien… rien du tout, je…
Soudain, quelqu’un frappa à la porte. Instinctivement, les deux frères se jetèrent un regard et à l’unisson, ils s’exclamèrent :
- Entrez !
- Colonel Snraff ! Fit Lincoln, se levant de la chaise, et le salua.
- Bonjour, Lincoln, répondit le colonel, serrant la main de Lincoln dans la sienne. Alors ! Continua-t-il en s’approchant de Michael, qui n’avait pas bougé de son fauteuil. Comment allez-vous, Michael ? S’enquit-il de lui demander, d’une voix sincère.
- Ca va, merci, répondit Michael, le saluant à son tour.
- J’en suis ravi, fit Snraff, se tournant ensuite vers l’aîné des frères. Vous lui en avez parlé ?
Lincoln hocha la tête et lui montra la chaise, l’invitant à s’asseoir.
- Merci, Linc… mais, je préfère rester debout, je ne vais rester qu’un petit moment, informa l’homme en déboutonnant son manteau.
Les deux frères se jetèrent des regards furtif, s’attendant à voir surgir du manteau du vielle homme, ce qu’ils attendaient avec appréhension.
En effet, le colonel Snraff leur tendit deux grosses enveloppes, jaunies par les années. Les frères prirent leurs enveloppes qui leurs étaient destinées. Dans un silence, ils la regardèrent, mais ne prononcèrent pas un mots, ils ne firent aucun gestes.
Sous le poids de l’enveloppe, Michael devina de suite qu’elle contenait une importante somme d’argent.
- Bon… il est l’heure pour moi de vous laisser seuls à seuls, fit l’homme en reboutonnant sa veste. Mais, je voudrais que vous sachiez, tous les deux… que je vous admire beaucoup, c’est grâce à vous deux que des vies innocentes ont été sauvés, continua-t-il en posant une main amicale sur l’épaule de Michael, avant de s’avancer vers la porte.
Les deux frères le regardaient, perplexes. L’homme se tourna à demi à demi sur le côté, et sans les regarder, il ajouta d’une voix émouvante :
- J’espère qu’un jour, vous comprendrez le choix de votre père… donnez-moi de vos nouvelles les garçons.
Leurs regards émus, Michael et Lincoln continuèrent à fixer la porte qui venait de se refermer derrière Snraff. Lincoln fut le premier à sortir des sons de sa bouche.
- Je ne sais pas quoi penser de ce type… mais j’ai l’impression que papa a beaucoup compter pour lui…
- Oui, souffla Michael, fixant toujours l’enveloppe qu’il tenait dans sa main.
- Tu l’ouvres ? Demanda Lincoln, impatient de voir son contenu.
- Et ! Tu es l’aîné, vieux, à toi l’honneur !
- On a qu’à l’ouvrir en même temps! S’enquit Lincoln.
- Ok, accepta Michael, d’une voix basse.
Lincoln s’approcha de son frère, et s’installa sur le bord du lit, face à lui.
Dans un silence lourd, ils ouvrirent enfin leurs enveloppe. Le jeune homme ne s’était pas trompé, dans celle de Lincoln et de la sienne, se trouvait une imposante liasse de billet. Ils se jetèrent des regards d’étonnement, mais reprirent leurs concentrations sur une feuille de papier, qu’il avaient tous les deux.
Michael déplia lentement la lettre, Lincoln fit de même, et toujours dans le silence qui était devenu oppressant, ils se mirent à la lire, en silence…
Pendant un long moment, ils lisaient les quelques explications et les pardons de leurs pères. Leurs visages changeaient d’expressions au fur et à mesures que leurs pupilles se posaient sur les mots, des mots d’amour, de pardons, de regrets et de tristesse de leur père.
Michael versa les larmes que ses yeux contenaient depuis qu’il avait lu « mon cher Michael ».
Lincoln le serra, alors dans ses bras, et les deux hommes sanglotèrent silencieusement, pendant un long moment. Michael aurait tant aimé le connaître, l’image de son père, mort dans ses bras lui fit mal à nouveau. Il s’en voulait à présent que son père ne soit plus la pour lui dire qu’il le pardonnait, qu’il l’aimait…
Le brouhaha des infirmières et le bruit des chariots dans le couloir, les ramenèrent à la réalité. Lincoln se leva et prit le visage de Michael dans ses mains.
- Je t’aime, frérot, fit-il, contenant ses larmes, à présent.
- Moi aussi, Linc…
Lincoln prit l’argent et le rangea dans la poche intérieur de sa veste. Les deux frères ne prononcèrent aucun mots sur le sujet de cette lettre. Chacun rangea la sienne et ils se sentaient enfin apaisés.
Quelques minutes plus tard, tandis que Lincoln alluma la télévision, Michael lui dit en souriant
- Dis, Linc ! Pourrais-tu faire un truc pour moi ?
- Bien sur, tout ce que tu veux, p’tit frère !
La lueur espiègle qu’il vit dans son ses yeux le fit regretter aussitôt ses paroles.
- Oh ! Non ! Non Mich, pas ça !
- Et ! Tu m’as dis tout ce que je veux, Lincoln !
- Michael… si je pense à la même chose que toi, sache qu’il hors de question que je te laisse courir ce risque ! Tu es encore trop faible…
- Non ! Je me sens beaucoup mieux, et j’en ai vraiment besoin, Linc !
- Michael, t’es cinglé !
- S’il te plaît, Lincoln ! Je te promets que je ne risque rien ! Trouves-nous vite un avion pour Baja, vieux ! Tu peux pas me refuser ça…
voici le chapite suivant, mais désolée d'avance si j'en fait pleurer certaine^^ j'ai moi même versé une larme en l'écrivant
-CHAPITRE13-
Deux jours plus tard, tandis que les infirmières venaient de lui prodiguer les soins quotidien, Michael se leva de son lit. Les médecins lui avaient autorisé de se lever et de marcher un peu, se qu’il n’avait pas tarder à faire. Malgré la douleur qui était toujours présente dans sa poitrine, resta debout, devant la fenêtre, l’air pensif. Il s’appuya de son bras sur le dossier du fauteuil afin de trouver un équilibre. Il pensa à Sara, elle lui en voulait toujours terriblement. La veille, il l’avait contacter par téléphone mais elle avait prétexté une banale excuse pour ne pas lui parler. Il se mit à sourire en repensant à Emma, que Sara avait passé pendant son bref appel. Elle lui manquait beaucoup. Il avait profité de parler avec elle pour jouir de sa complicité enfantine. Michael souffla un rire amusé en pensant aux paroles de sa fille.
« tu rentres quand, papa ? Tu me manques et hier maman et moi, on a été nager dans l’océan ! Tu viendras nager avec nous la prochaine fois ? »
Il lui avait bien sur répondit que oui, il viendra nager avec elles dès qu’il sera de retour. Il les avait imaginé, toutes les deux, s’amusant, batifolant en riant de joie et de plaisir, dans une mer sublime, d’où l’écume des faibles vagues s’émoussaient sur les grains de sables blancs.
Il sentit un pincement à son cœur, encore faible, de louper des moments heureux avec les deux personnes qu’il aimait par dessus tout. Il perdait patience à rester cloîtrer dans cette chambre. Heureusement encore que son frère était là, avec lui, attendant qu’il aille mieux pour partir enfin vers leurs vies, si souvent rêvé.
Perdu dans ses pensées, il n’entendit pas Lincoln entrait dans la chambre. Il se retourna vivement dès qu’il aperçut le reflet de son frère dans la vitre.
- Linc !
- Tu vas bien, frérot ? S’enquit-il de demander, remarquant les yeux congestionnés de son frère.
- oui…, répondit Michael, s’installant prudemment dans le fauteuil. Je pensais à Emma…
Lincoln sourit et ajouta :
- Jane m’a dit qu’elle était adorable. J’ai hâte de la connaître, avoua Lincoln, d’une voix douce.
Michael lui sourit à son tour. Il était rare de voir son grand frère, devenir si émotive.
- alors, et les médecins ? que disant-il aujourd’hui ?
- Oh ! Tout va bien, ils m’ont dit que je suivais le stade de guérison, comme prévu. J’ai encore un peu de douleur mais cela va bien, il faut le temps que la cicatrisation se fasse, d’après leurs dires. Et toi ? Comment tu vas ?
- Moi ? Dis, ce n’est pas moi qui est enfermé dans cette chambre et qui m’a prit une balle ! Fit-il, d’un air moqueur.
Michael se mit à rire et ajouta :
- oui, mais il fallait bien que je me sacrifie pour sauver mon frère ! Répondit Michael, l’air taquin.
- Plaisante, Michael, plaisante, mais cela ne me fait pas rire du tout ! Répondit d’une voix réprobatrice.
- Excuse moi, vieux, fit Michael, remarquant une lueur étrange dans ses yeux.
- Ce n’est rien ! Dis, Michael ?
- Quoi ? S’enquit-il de répondre.
- Le colonel Snraff est venu à l’hôtel, hier soir… il m’a dit qu’il devait nous remettre quelque chose…
- Qu’est-ce que c’est ? L’interrompit Michael, fronçant les yeux, l’air inquiet.
- Je ne sais pas… il m’a seulement dit que nous ne ions pas nous en faire, et que…
- Et que ? Répéta Michael, impatient.
- Qu’il s’agissait de quelque chose que notre père lui aurait donné il y a six ans… juste après qu’il est venu me sauver de Kellerman, quand je partais de Fox River pour aller voir LJ…
Michael resta un moment silencieux et pensa à son père. Que pouvait-il avoir donné à Snraff ?
- Je me pose aussi des questions, Mich. Mais ne t’en fais pas, on aura des réponses… il va bientôt arriver ici…
Lincoln regardait son frère, il était inquiet, tout comme lui d’ailleurs. Mais il se sentait égoiste par rapport à son jeune frère. Michael n’avait pratiquement pas connu leur père, comparait à lui. Il savait la détresse qu’il ressentait, mais depuis leur enfance, après l’abandon du jours au lendemain d’Aldo, il s’était efforcé de lui donné l’amour qu’il avait tant besoin. Il n’était qu’un adolescent mais il se substituait au rôle du père pour élever au mieux Michael. Il l’endormait, le consoler quand il faisait ces affreux cauchemars. Il faisait tout pour qu’il oubliait ce père qui l’avait abandonné alors qu’il n’avait que deux ans.
Michael était un enfant très calme et il était vraiment unique. Jamais Lincoln n’avait élevé la voix, jamais il n’avait besoin de lui faire montrer son autorité. Michael ne l’avait jamais déçu…
- Linc ?
La voix de son frère le fit sursauté, il se ramena à la réalité et lui sourit.
- Oui ?
- Tu pensais à quoi ?
- Oh ! À rien… rien du tout, je…
Soudain, quelqu’un frappa à la porte. Instinctivement, les deux frères se jetèrent un regard et à l’unisson, ils s’exclamèrent :
- Entrez !
- Colonel Snraff ! Fit Lincoln, se levant de la chaise, et le salua.
- Bonjour, Lincoln, répondit le colonel, serrant la main de Lincoln dans la sienne. Alors ! Continua-t-il en s’approchant de Michael, qui n’avait pas bougé de son fauteuil. Comment allez-vous, Michael ? S’enquit-il de lui demander, d’une voix sincère.
- Ca va, merci, répondit Michael, le saluant à son tour.
- J’en suis ravi, fit Snraff, se tournant ensuite vers l’aîné des frères. Vous lui en avez parlé ?
Lincoln hocha la tête et lui montra la chaise, l’invitant à s’asseoir.
- Merci, Linc… mais, je préfère rester debout, je ne vais rester qu’un petit moment, informa l’homme en déboutonnant son manteau.
Les deux frères se jetèrent des regards furtif, s’attendant à voir surgir du manteau du vielle homme, ce qu’ils attendaient avec appréhension.
En effet, le colonel Snraff leur tendit deux grosses enveloppes, jaunies par les années. Les frères prirent leurs enveloppes qui leurs étaient destinées. Dans un silence, ils la regardèrent, mais ne prononcèrent pas un mots, ils ne firent aucun gestes.
Sous le poids de l’enveloppe, Michael devina de suite qu’elle contenait une importante somme d’argent.
- Bon… il est l’heure pour moi de vous laisser seuls à seuls, fit l’homme en reboutonnant sa veste. Mais, je voudrais que vous sachiez, tous les deux… que je vous admire beaucoup, c’est grâce à vous deux que des vies innocentes ont été sauvés, continua-t-il en posant une main amicale sur l’épaule de Michael, avant de s’avancer vers la porte.
Les deux frères le regardaient, perplexes. L’homme se tourna à demi à demi sur le côté, et sans les regarder, il ajouta d’une voix émouvante :
- J’espère qu’un jour, vous comprendrez le choix de votre père… donnez-moi de vos nouvelles les garçons.
Leurs regards émus, Michael et Lincoln continuèrent à fixer la porte qui venait de se refermer derrière Snraff. Lincoln fut le premier à sortir des sons de sa bouche.
- Je ne sais pas quoi penser de ce type… mais j’ai l’impression que papa a beaucoup compter pour lui…
- Oui, souffla Michael, fixant toujours l’enveloppe qu’il tenait dans sa main.
- Tu l’ouvres ? Demanda Lincoln, impatient de voir son contenu.
- Et ! Tu es l’aîné, vieux, à toi l’honneur !
- On a qu’à l’ouvrir en même temps! S’enquit Lincoln.
- Ok, accepta Michael, d’une voix basse.
Lincoln s’approcha de son frère, et s’installa sur le bord du lit, face à lui.
Dans un silence lourd, ils ouvrirent enfin leurs enveloppe. Le jeune homme ne s’était pas trompé, dans celle de Lincoln et de la sienne, se trouvait une imposante liasse de billet. Ils se jetèrent des regards d’étonnement, mais reprirent leurs concentrations sur une feuille de papier, qu’il avaient tous les deux.
Michael déplia lentement la lettre, Lincoln fit de même, et toujours dans le silence qui était devenu oppressant, ils se mirent à la lire, en silence…
Pendant un long moment, ils lisaient les quelques explications et les pardons de leurs pères. Leurs visages changeaient d’expressions au fur et à mesures que leurs pupilles se posaient sur les mots, des mots d’amour, de pardons, de regrets et de tristesse de leur père.
Michael versa les larmes que ses yeux contenaient depuis qu’il avait lu « mon cher Michael ».
Lincoln le serra, alors dans ses bras, et les deux hommes sanglotèrent silencieusement, pendant un long moment. Michael aurait tant aimé le connaître, l’image de son père, mort dans ses bras lui fit mal à nouveau. Il s’en voulait à présent que son père ne soit plus la pour lui dire qu’il le pardonnait, qu’il l’aimait…
Le brouhaha des infirmières et le bruit des chariots dans le couloir, les ramenèrent à la réalité. Lincoln se leva et prit le visage de Michael dans ses mains.
- Je t’aime, frérot, fit-il, contenant ses larmes, à présent.
- Moi aussi, Linc…
Lincoln prit l’argent et le rangea dans la poche intérieur de sa veste. Les deux frères ne prononcèrent aucun mots sur le sujet de cette lettre. Chacun rangea la sienne et ils se sentaient enfin apaisés.
Quelques minutes plus tard, tandis que Lincoln alluma la télévision, Michael lui dit en souriant
- Dis, Linc ! Pourrais-tu faire un truc pour moi ?
- Bien sur, tout ce que tu veux, p’tit frère !
La lueur espiègle qu’il vit dans son ses yeux le fit regretter aussitôt ses paroles.
- Oh ! Non ! Non Mich, pas ça !
- Et ! Tu m’as dis tout ce que je veux, Lincoln !
- Michael… si je pense à la même chose que toi, sache qu’il hors de question que je te laisse courir ce risque ! Tu es encore trop faible…
- Non ! Je me sens beaucoup mieux, et j’en ai vraiment besoin, Linc !
- Michael, t’es cinglé !
- S’il te plaît, Lincoln ! Je te promets que je ne risque rien ! Trouves-nous vite un avion pour Baja, vieux ! Tu peux pas me refuser ça…
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: ma première fiction^^
trop beau
c'est si bien écrit en plus c'est vraiment superbe!
j'adore!
vivement la suite!!
c'est si bien écrit en plus c'est vraiment superbe!
j'adore!
vivement la suite!!
Re: ma première fiction^^
o my god !! ta suite était génial !! j'ai adoré le passage de mick et linc pleurant trop trop émouvant !!
et michael qui veut rejoindre sa petite famille c'est trop trop bien
met vite la suite stp !
et michael qui veut rejoindre sa petite famille c'est trop trop bien
met vite la suite stp !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: ma première fiction^^
Holala dommage que Aldo soit mort Michael m'a vraiment fait de la peine dès le début de la lettre il avait les larmes aux yeux!!
Mais le meilleur reste a venir LES RETROUVAILLES !
Je suis préssé de les voirs retourné dans leur famille!
Mais le meilleur reste a venir LES RETROUVAILLES !
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Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: ma première fiction^^
Ce passage etait vraiment touchant!!!! Voir mick et linc aussi fragile sa me fais un petit quelque chose!!!!!
vivement la suite et les retrouvailles entre mick et sara!!!!!!!!
vivement la suite et les retrouvailles entre mick et sara!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: ma première fiction^^
O mes tis brother cest troooop émouvaaaaaaaaaant!!!!!!!!!!!!!!!!!
je veux une suiiiiiiiiiite car cest trooooopppp:in love:
jen perd mes mots!!!!
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jen perd mes mots!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: ma première fiction^^
oui stp met nous la suite !!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
ma première fiction^^
WOW j'ai adoré ta suite..
C'était mignon le passage des lettres
vite une suite
C'était mignon le passage des lettres
vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
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Re: ma première fiction^^
je veux une suite
anso26- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : à los angeles avec went et sarah
Date d'inscription : 30/12/2006
Re: ma première fiction^^
J'adore j'ai vraiment hate de voir les retouvailles de Michael et sara. j'espere kel ne lui en ve pa trop.
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: ma première fiction^^
a quand la suite ??????
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: ma première fiction^^
un grand merci à tous
je vous mets une petite suite
bonne lecture
Illuminé, le patio avait prit un air de fête qu’il n’avait pas pendant la journée. Sara était très souriante et excitée depuis la matinée. Jane lui avait annoncé que Fernando, Maricruz et leur enfant venaient leur rendre une petite visite dans la soirée, et les deux jeunes femmes avaient décidées de profiter de l’occasion pour leurs faire un gigantesque barbecue. Ainsi, elles oublieraient les derniers jours, peu enchanté. Emma aussi, était surexcitée à l’annonce de cette nouvelle, elle se sentait un peu seule à être la seule enfant dans cette nouvelle maison.
Sara n’avait pas encore eu l’occasion de revoir l’ami de Michael, et cette soirée lui ferait vraiment du bien, pensa-t-elle, tandis qu’elle vérifiait si tout était convenable. Elle avait installé une nappe blanche sur la table, qui ployait sous les plats de salades, et de toutes sortes de crudités. Un peu plus loin, Nathan s’occupait de la cuisson de la viande sous les yeux impatients d’Emma, qui avait déjà l’eau à la bouche de déguster les brochettes de crabes.
Tandis que Jane allumait un poste, et qui diffusait aussitôt une musique entraînante, Sara s’exclama ;
- Ils arrivent !
Jane regarda alors, dans la direction où le regard de son amie fixait. Fernando portait son fils sur ses épaules, suivit de Maricruz, qui descendaient la petite dune de sable avec précaution.
Quelques instants plus tard, les invités entrèrent dans le jardin.
- Sara !
Le jeune homme la prit dans ses bras si précipitamment que Sara sursauta. Elle se détendit un peu, riant aux éclats et lui donna un baiser amical sur la joue.
- Je suis heureux de vous revoir Doc ! Fit-il en lâchant son étreinte.
- Moi aussi, Fernando.
- Euh.. Chérie, je te présente Sara Tancredi, fit-il en enlaçant la taille de Maricruz.
- Bonsoir, Sara, je suis heureuse de pouvoir enfin vous rencontrer; répondit la jeune femme, embrassant chaleureusement Sara.
- J’en suis ravie également Maricruz, fit Sara, d’une voix pleine d’émotions.
- Ah ! Et toi ! Tu dois être la petite Emma !
La fillette regarda Fernando dans les yeux un peu timidement puis acquiesça d’un signe de tête.
- Moi, c’est Marco :
Emma fixa à présent le petit garçon qui lui faisait face, d’un air supérieur à elle. La petite entrouvrit enfin les lèvres, et sur un ton badin, ajouta :
- Ben oui, moi c’est Emma ! Et dis-moi, quel âge tu as ?
- Ben j’ai cinq ans et demi, mais on va dire six ans car mon anniversaire est dans même pas un mois, informa Marco en haussant les épaules. Et toi, tu as quel âge ? Tu es plus petite que moi, ajouta le garçonnet en se dressant un peu plus devant elle, l’air fier.
Sara comprit aussitôt que sa fille se sentait vexé. Elle allait faire diversion avant que la réaction d’Emma fuse, mais elle surprit les yeux rieurs de son enfant.
- Moi ! Je suis petite ? N’importe quoi ! J’ai un peu plus de quatre ans et demi, donc on peu dire que j’ai cinq ans ! Et pour ton information, c’est normal que les filles soient plus petite en tailles par rapport aux garçons ! Répondit sèchement la fillette avant de lui tirer la langue.
- Emma ! Gronda Sara, lui faisant les grands yeux.
Mais la petite ne porta pas les yeux vers sa mère et se mit à sourire quand elle entendis les éclats de rire de Fernando, avant que tout le monde se laissa emporter par une belle rigolade.
- Et bien ! Cette petite me rappelle étrangement quelqu’un ! Fit Fernando, pouffant de rire.
Sara ne répondit pas, mais souriait de la comparaison avec la personne dont il faisait allusion.
- Et pourquoi les filles sont toujours plus petites que les garçons, demanda Marco à la fillette, s’éloignant un peu des adultes qui les suivaient du regard, toujours en souriant.
- Ben, parce que les filles ont moins souvent des coups de pieds aux fesses par leurs papa; répondit Emma, d’une voix certaine.
L’ambiance de la soirée était très chaleureuse. Tout le monde avait mangé avec grand appétit et félicita Nathan pour la cuisson parfaite des viandes. Il rougis sous les effusions de compliments que les jeunes femmes lui lançaient. Par timidité, il prétexta d’aller surveiller les deux enfants qui construisaient un château de sable, un peu plus loin sur la plage.
- Mais, Nathan, nous les surveillons d’ici, regarde, fit Jane, laissant son regard sur la construction d’un magnifique château.
- oui, mais, je vais aller un peu avec eux, je vais plutôt aller leur donner de mes conseils pour qu’il soit un peu plus solide, bredouilla l’homme avant de courir à petite foulée vers les petits.
- Ah, sacré Nathan ! Fit Sara, le regard tendre et émotif pour cet homme.
La jeune femme l’appréciait beaucoup. Il était très serviable et sa gentillesse pour elle et Emma dépassait les espérances qu’elle avait de retrouver des amis comme les siens qu’elle avait quitté auparavant.
Perdu dans ses pensées, Sara sursauta légèrement quand le bruit d’un téléphone se fit entendre. Jane décrocha son portable et s’éloigna aussitôt après s’être excuser auprès des invités.
Fernando regarda le regard interrogateur qu’avait Sara en direction de Jane, qui s’était lancé dans une discussion qui avait l’air sérieuse.
- Sara ?
- Euh… oui ?
- Tu n’as pas l’air dans ton assiette, je me trompe ?
La jeune femme le fixa de ses grand yeux noisettes. Comment pouvait-il lui parler depuis le début de soirée, sans avoir prononcer le prénom de Michael ? Se demanda-t-elle.
- Non, tout va bien ne t’inquiète pas…
A cet instant, Jane les rejoignit à la table en souriant. La jeune femme aurait voulu lui demander de qui était cet appel, même si au fond d’elle même s’avait qu’il s’agissait de Lincoln.
- Bon, il est tant que nous nous sauvions, ma chérie, interrompit Fernando en se levant. Marco ! Marco ! Nous partons !
Le petit garçon se leva et avec une mine déçue de quitter sa nouvelle amie, arriva en traînant les pieds.
- Allez bonhomme, papa a du travail demain…
- Non ! Ne me dis pas que tu comptes toujours réparer cette antiquité ? Fit Jane en éclatant de rire.
- De quoi parlez-vous ? Demanda Sara, remarquant les pouffements de rire de Maricruz.
- Fernando essaie désespérément de faire démarrer une vieille moto, informa la jeune femme, prenant la main de Marco dans la sienne. Elle a… quelle âge a-t-elle ta moto, mon chéri ? lui demanda Maricruz, se forçant à ne pas sortir un éclat de rire.
- Vas-y vas-y ! Moque-toi ma puce ! Mais quand cette bécane roulera, tu ne viendra pas pleurer pour que je t’emmène faire un tour ! Fit-il, vexé que les trois jeunes femmes se moquaient de lui.
A cette remarque, un fou rire général éclata dans la douce pénombre de la nuit…
Pendant ce temps, à des centaines de kilomètres de là, Lincoln regardait son frère, endormit paisiblement, à ses côtés, sa tête contre son épaule. Il avait l’air d’aller bien, il ne souffrait pas de sa blessure, se conforta Lincoln, s’interdisant tout de même à ne pas fermer les yeux, malgré la fatigue qui le terrasser. Il devait le surveiller, il avait trop peur qu’il lui arrive quelque chose par sa faute… par l’énormité de la bêtise qu’il venait de commettre…
je vous mets une petite suite
bonne lecture
-CHAPITRE 14-
Illuminé, le patio avait prit un air de fête qu’il n’avait pas pendant la journée. Sara était très souriante et excitée depuis la matinée. Jane lui avait annoncé que Fernando, Maricruz et leur enfant venaient leur rendre une petite visite dans la soirée, et les deux jeunes femmes avaient décidées de profiter de l’occasion pour leurs faire un gigantesque barbecue. Ainsi, elles oublieraient les derniers jours, peu enchanté. Emma aussi, était surexcitée à l’annonce de cette nouvelle, elle se sentait un peu seule à être la seule enfant dans cette nouvelle maison.
Sara n’avait pas encore eu l’occasion de revoir l’ami de Michael, et cette soirée lui ferait vraiment du bien, pensa-t-elle, tandis qu’elle vérifiait si tout était convenable. Elle avait installé une nappe blanche sur la table, qui ployait sous les plats de salades, et de toutes sortes de crudités. Un peu plus loin, Nathan s’occupait de la cuisson de la viande sous les yeux impatients d’Emma, qui avait déjà l’eau à la bouche de déguster les brochettes de crabes.
Tandis que Jane allumait un poste, et qui diffusait aussitôt une musique entraînante, Sara s’exclama ;
- Ils arrivent !
Jane regarda alors, dans la direction où le regard de son amie fixait. Fernando portait son fils sur ses épaules, suivit de Maricruz, qui descendaient la petite dune de sable avec précaution.
Quelques instants plus tard, les invités entrèrent dans le jardin.
- Sara !
Le jeune homme la prit dans ses bras si précipitamment que Sara sursauta. Elle se détendit un peu, riant aux éclats et lui donna un baiser amical sur la joue.
- Je suis heureux de vous revoir Doc ! Fit-il en lâchant son étreinte.
- Moi aussi, Fernando.
- Euh.. Chérie, je te présente Sara Tancredi, fit-il en enlaçant la taille de Maricruz.
- Bonsoir, Sara, je suis heureuse de pouvoir enfin vous rencontrer; répondit la jeune femme, embrassant chaleureusement Sara.
- J’en suis ravie également Maricruz, fit Sara, d’une voix pleine d’émotions.
- Ah ! Et toi ! Tu dois être la petite Emma !
La fillette regarda Fernando dans les yeux un peu timidement puis acquiesça d’un signe de tête.
- Moi, c’est Marco :
Emma fixa à présent le petit garçon qui lui faisait face, d’un air supérieur à elle. La petite entrouvrit enfin les lèvres, et sur un ton badin, ajouta :
- Ben oui, moi c’est Emma ! Et dis-moi, quel âge tu as ?
- Ben j’ai cinq ans et demi, mais on va dire six ans car mon anniversaire est dans même pas un mois, informa Marco en haussant les épaules. Et toi, tu as quel âge ? Tu es plus petite que moi, ajouta le garçonnet en se dressant un peu plus devant elle, l’air fier.
Sara comprit aussitôt que sa fille se sentait vexé. Elle allait faire diversion avant que la réaction d’Emma fuse, mais elle surprit les yeux rieurs de son enfant.
- Moi ! Je suis petite ? N’importe quoi ! J’ai un peu plus de quatre ans et demi, donc on peu dire que j’ai cinq ans ! Et pour ton information, c’est normal que les filles soient plus petite en tailles par rapport aux garçons ! Répondit sèchement la fillette avant de lui tirer la langue.
- Emma ! Gronda Sara, lui faisant les grands yeux.
Mais la petite ne porta pas les yeux vers sa mère et se mit à sourire quand elle entendis les éclats de rire de Fernando, avant que tout le monde se laissa emporter par une belle rigolade.
- Et bien ! Cette petite me rappelle étrangement quelqu’un ! Fit Fernando, pouffant de rire.
Sara ne répondit pas, mais souriait de la comparaison avec la personne dont il faisait allusion.
- Et pourquoi les filles sont toujours plus petites que les garçons, demanda Marco à la fillette, s’éloignant un peu des adultes qui les suivaient du regard, toujours en souriant.
- Ben, parce que les filles ont moins souvent des coups de pieds aux fesses par leurs papa; répondit Emma, d’une voix certaine.
L’ambiance de la soirée était très chaleureuse. Tout le monde avait mangé avec grand appétit et félicita Nathan pour la cuisson parfaite des viandes. Il rougis sous les effusions de compliments que les jeunes femmes lui lançaient. Par timidité, il prétexta d’aller surveiller les deux enfants qui construisaient un château de sable, un peu plus loin sur la plage.
- Mais, Nathan, nous les surveillons d’ici, regarde, fit Jane, laissant son regard sur la construction d’un magnifique château.
- oui, mais, je vais aller un peu avec eux, je vais plutôt aller leur donner de mes conseils pour qu’il soit un peu plus solide, bredouilla l’homme avant de courir à petite foulée vers les petits.
- Ah, sacré Nathan ! Fit Sara, le regard tendre et émotif pour cet homme.
La jeune femme l’appréciait beaucoup. Il était très serviable et sa gentillesse pour elle et Emma dépassait les espérances qu’elle avait de retrouver des amis comme les siens qu’elle avait quitté auparavant.
Perdu dans ses pensées, Sara sursauta légèrement quand le bruit d’un téléphone se fit entendre. Jane décrocha son portable et s’éloigna aussitôt après s’être excuser auprès des invités.
Fernando regarda le regard interrogateur qu’avait Sara en direction de Jane, qui s’était lancé dans une discussion qui avait l’air sérieuse.
- Sara ?
- Euh… oui ?
- Tu n’as pas l’air dans ton assiette, je me trompe ?
La jeune femme le fixa de ses grand yeux noisettes. Comment pouvait-il lui parler depuis le début de soirée, sans avoir prononcer le prénom de Michael ? Se demanda-t-elle.
- Non, tout va bien ne t’inquiète pas…
A cet instant, Jane les rejoignit à la table en souriant. La jeune femme aurait voulu lui demander de qui était cet appel, même si au fond d’elle même s’avait qu’il s’agissait de Lincoln.
- Bon, il est tant que nous nous sauvions, ma chérie, interrompit Fernando en se levant. Marco ! Marco ! Nous partons !
Le petit garçon se leva et avec une mine déçue de quitter sa nouvelle amie, arriva en traînant les pieds.
- Allez bonhomme, papa a du travail demain…
- Non ! Ne me dis pas que tu comptes toujours réparer cette antiquité ? Fit Jane en éclatant de rire.
- De quoi parlez-vous ? Demanda Sara, remarquant les pouffements de rire de Maricruz.
- Fernando essaie désespérément de faire démarrer une vieille moto, informa la jeune femme, prenant la main de Marco dans la sienne. Elle a… quelle âge a-t-elle ta moto, mon chéri ? lui demanda Maricruz, se forçant à ne pas sortir un éclat de rire.
- Vas-y vas-y ! Moque-toi ma puce ! Mais quand cette bécane roulera, tu ne viendra pas pleurer pour que je t’emmène faire un tour ! Fit-il, vexé que les trois jeunes femmes se moquaient de lui.
A cette remarque, un fou rire général éclata dans la douce pénombre de la nuit…
Pendant ce temps, à des centaines de kilomètres de là, Lincoln regardait son frère, endormit paisiblement, à ses côtés, sa tête contre son épaule. Il avait l’air d’aller bien, il ne souffrait pas de sa blessure, se conforta Lincoln, s’interdisant tout de même à ne pas fermer les yeux, malgré la fatigue qui le terrasser. Il devait le surveiller, il avait trop peur qu’il lui arrive quelque chose par sa faute… par l’énormité de la bêtise qu’il venait de commettre…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
trop bien j'adore la petite emma!! elle est trop!!
vivement la suite!! met nous vite une suite!!
vivement la suite!! met nous vite une suite!!
Re: ma première fiction^^
TROP BIEN ta suite
J ADORE
j ' en redemande encore , encore , encore et encore
met la vite s t p
J ADORE
j ' en redemande encore , encore , encore et encore
met la vite s t p
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