Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
C'est trop beau ce que tu nous as écris Soso.
Lilie qui n'hésite pas une seconde et décide d'aller à New York, pour soutenir Went
Mais je m'inquiète qu'est ce qu'elle a Lilie??? J'éspère que ce n'est pas trop grave
Lilie qui n'hésite pas une seconde et décide d'aller à New York, pour soutenir Went
Mais je m'inquiète qu'est ce qu'elle a Lilie??? J'éspère que ce n'est pas trop grave
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Je vous mets la suite et après il faudra attendre demain !
Voilà la suite :
Went faisait les cent pas dans le couloir, attendant impatiemment qu’une infirmière ou un médecin vienne lui donner des nouvelles de Lilie. Après la peur bleue qu’il avait eue la veille avec l’infarctus de son père, il se retrouvait maintenant à faire le pied de grue devant une chambre des urgences ou Lilie venait d’être admise.
Les blouses blanches défilaient autour de lui et il commençait à avoir le tournis. Une infirmière finit par sortit de la chambre et eut à peine refermé la porte qu’il lui sauta dessus.
W : comment va-t-elle ?
- vous êtes de la famille ?
W : je suis son mari
- sa tension est très basse et elle est très fatiguée. Elle souffre d’une forte anémie et nous l’avons mise sous perfusion.
W : c’est grave ?
- non mais votre femme devrait faire plus attention à sa santé monsieur...mais si elle se repose correctement elle pourra sortir demain
L’infirmière voyait à sa mine grave qu’il se sentait fautif.
- ne vous inquiétez pas...elle s’en remettra mais ménagez-là !
Il secoua la tête en signe d’approbation.
W : je peux la voir ?
- oui mais pas longtemps, elle doit se reposer, nous lui avons fait une batterie de tests...je reviendrais vous voir avec le docteur dès que nous aurons les résultats.
Il la remercia et entra dans la chambre. Elle était étendue, le visage blême et les yeux rougis et gonflés de fatigue. Il s’approcha, un sourire gêné aux lèvres.
W : tu te sens comment ? Tu m’as fait une de ses peur !
L : je suis désolée...
W : c’est moi qui suis désolé...j’aurais du faire plus attention à toi ! Promets moi de prendre soin de toi Lilie !
L : promis...
Il se pencha et déposa un baiser sur ses lèvres avant de la laisser se reposer.
W : je vais aller voir mon père...repose toi et quand tu te réveilleras je serais de retour.
L : dis lui bonjour de ma part !
Il sortit et se rendit dans le service de son père. Il ne passait pas inaperçu dans l’hôpital et nombre d’infirmières se battaient pour s’occuper de son père dans l’espoir de l’apercevoir. Malheureusement, lorsqu’il arriva, son père était parti pour une série d’examens.
Il aperçut sa mère et sa sœur assises au loin et alla les rejoindre.
L : comment va Lilie ?
W : ils lui font des examens et elle est sous perfusion...elle devrait sortir demain...
J : et pour le tournage tu vas faire comment ?
W : Dom a appelé Paul hier et je vais l’appeler maintenant pour lui dire que nous ne serons pas là avant demain...
J : je suis contente de voir Lilie...
W : je sais maman...
J : c’est arrangé entre vous ?
Il n’eut pas le temps de répondre que Leight sauta de son siège et roula de gros yeux ronds à sa mère.
L : oh mais maman...çà va que ta chambre est à l’autre bout de la maison...ils ont fait un raffut toute la nuit ! Tu m’étonnes que Lilie ait tourné de l’œil !
W : huuummmm ! Toi t’as de la chance qu’on soit dans un hôpital parce que sinon.....
L : c’est çà...y’a que la vérité qui blesse.
Ils allèrent boirent un café à la cafétéria de l’hôpital et restèrent deux bonnes heures à discuter. Went se leva en regardant sa montre et décida de retourner voir Lilie.
Lorsqu’il arriva dans le service, les infirmières l’accueillirent avec un large sourire.
W : Melle Etura est réveillée ?
- je ne sais pas Monsieur.
Il entrebâilla la porte et s’approcha du lit ou Lilie semblait dormir profondément. Il n’osait la toucher de peur de la réveiller mais il se contenta de lui prendre la main ce qui eut pour effet de la faire sursauter.
Elle s’étira et lui sourit.
L : je dors depuis longtemps ?
W : assez pour avoir meilleure mine !
Une infirmière frappa et s’excusa.
- je viens changer la perfusion...je crois que le docteur arrive avec vos résultats.
Il la laissa s’affairer et le docteur frappa à la porte peu de temps après. Il demanda à l’infirmière de les laisser et elle referma la porte derrière elle.
- j’ai vos résultats Melle...
L : nous vous écoutons
Went était attentif à chacun des regards du médecin qui semblait avoir quelque chose à leur annoncer...plus important qu’une simple analyse sanguine.
- votre anémie n’est pas la seule cause de votre malaise...
L : je fixe mal certaines vitamines et je fume un peu ce qui n’arrange rien...
- alors il va falloir arrêter de fumer tout de suite !
L : vous y aller là...mon médecin m’a toujours dit que çà n’arrangeait pas les choses mais il ne m’a jamais forcé à arrêter !
- vous n’êtes pas seulement anémique Mademoiselle, vous êtes enceinte !
Lilie manqua de s’étouffer en avalant sa salive et Went ouvraient des yeux ronds et incrédules alors que le médecin tentait de finir sa phrase.
- oui...d’à peu près 6 semaines je pense...mais nous allons vérifier tout çà...mon collègue apporte un appareil à échographie.
Lilie avait gardé la bouche ouverte et n’arrivait pas à reprendre ses esprits. Son corps tremblait et son cœur semblait vouloir sortir de sa poitrine. Went qui était aussi sonné qu’elle se reprit et lui attrapa la main alors qu’il se rapprochait du lit.
- vous ne vous y attendiez pas ?
Lilie tenta d’articuler et finit par se reprendre.
L : c'est-à-dire que...je suis stérile et que...oh mon dieu !
- qu’y a t’il ?
Lilie lui expliqua son problème de stérilité et baissa la tête face à Went quand elle poursuivit en racontant le programme expérimental qu’elle avait suivi à Paris. Les tests qu’elle avait faits avaient été très probants mais depuis elle n’avait pas repris le traitement.
- et bien je dirais que vous êtes une miraculée...ou que le traitement a fait effet plus longtemps que prévu...je vais vous laisser, je vais remplir votre dossier, mon collègue ne va pas tarder.
Il s’éclipsa, laissant Lilie seule et craintive face à la réaction de Wentworth. Il remarquait sa crainte et sa gêne mais ne voulait pas en rajouter. Plus rien n’importait que leur amour aujourd’hui et cela lui suffisait amplement. Il s’approcha et releva sa tête vers lui.
W : a quoi tu penses ?
L : je ne réalise pas...mais si tout n’était pas normal...comme la dernière fois...si cette grossesse...
W : arrêtes de penser à çà Lilie...je....
Au même moment, un homme qui traînait un énorme chariot s’avança dans la chambre. Il demanda à Went de s’écarter, brancha l’appareil et disposa un gel froid sur le ventre de Lilie. Le médecin alluma l’appareil et prit place à coté du lit, invitant Went à se mettre derrière lui pour qu’il voie les images. Un autre moniteur moins perfectionné et plus petit faisait face à Lilie pour qu’elle en profite elle aussi.
- on y va
il appuya l’appareil sur son ventre et de vagues images apparurent.
- voilà....regardez...là...cette minuscule tête...qui est beaucoup plus grosse que le reste de son corps...c’est votre bébé.
L : oh mon dieu.
Elle fut prise d’un rire nerveux et sentait des larmes perler à ses joues.
- je peux confirmer, à quelques jours près nous pouvons estimer la grossesse à 6 semaines...il est en pleine phase d’intense développement et votre malaise n’est pas anormal du tout. C’est donc beaucoup moins grave que nous le pensions.
L : ce qui veux dire ?
- que vous pouvez rentrer chez vous ce soir. Je vais juste vous prescrire des vitamines et du repos.
Le médecin leur promit de leur imprimer un cliché et les laissa digérer cette nouvelle.
W : tu te rends compte, tout va bien, tu es rassurée ?
L : oh...Went...je...je n’oublierai décidément pas cette nuit à Paris...
W : je te rassure, moi non plus.
Il s’approcha et la prit fortement dans ses bras, caressant la peau de son cou, il y déposa des baisers et elle se recula pour s’emparer de ses lèvres. Jamais au cours de leur vie ensemble, ils ne s’étaient autant sentis en fusion...
Décidément, il y en a qui ont des antennes...
(ils se reconnaîtront)
Merci à Valscof pour ses coms mémorables !
Merci à Angel de toujours donner son impression et d'être fidèle
Et merci aussi à Poety qui m'en laisse aussi...
Voilà la suite :
HOSPITAL
Went faisait les cent pas dans le couloir, attendant impatiemment qu’une infirmière ou un médecin vienne lui donner des nouvelles de Lilie. Après la peur bleue qu’il avait eue la veille avec l’infarctus de son père, il se retrouvait maintenant à faire le pied de grue devant une chambre des urgences ou Lilie venait d’être admise.
Les blouses blanches défilaient autour de lui et il commençait à avoir le tournis. Une infirmière finit par sortit de la chambre et eut à peine refermé la porte qu’il lui sauta dessus.
W : comment va-t-elle ?
- vous êtes de la famille ?
W : je suis son mari
- sa tension est très basse et elle est très fatiguée. Elle souffre d’une forte anémie et nous l’avons mise sous perfusion.
W : c’est grave ?
- non mais votre femme devrait faire plus attention à sa santé monsieur...mais si elle se repose correctement elle pourra sortir demain
L’infirmière voyait à sa mine grave qu’il se sentait fautif.
- ne vous inquiétez pas...elle s’en remettra mais ménagez-là !
Il secoua la tête en signe d’approbation.
W : je peux la voir ?
- oui mais pas longtemps, elle doit se reposer, nous lui avons fait une batterie de tests...je reviendrais vous voir avec le docteur dès que nous aurons les résultats.
Il la remercia et entra dans la chambre. Elle était étendue, le visage blême et les yeux rougis et gonflés de fatigue. Il s’approcha, un sourire gêné aux lèvres.
W : tu te sens comment ? Tu m’as fait une de ses peur !
L : je suis désolée...
W : c’est moi qui suis désolé...j’aurais du faire plus attention à toi ! Promets moi de prendre soin de toi Lilie !
L : promis...
Il se pencha et déposa un baiser sur ses lèvres avant de la laisser se reposer.
W : je vais aller voir mon père...repose toi et quand tu te réveilleras je serais de retour.
L : dis lui bonjour de ma part !
Il sortit et se rendit dans le service de son père. Il ne passait pas inaperçu dans l’hôpital et nombre d’infirmières se battaient pour s’occuper de son père dans l’espoir de l’apercevoir. Malheureusement, lorsqu’il arriva, son père était parti pour une série d’examens.
Il aperçut sa mère et sa sœur assises au loin et alla les rejoindre.
L : comment va Lilie ?
W : ils lui font des examens et elle est sous perfusion...elle devrait sortir demain...
J : et pour le tournage tu vas faire comment ?
W : Dom a appelé Paul hier et je vais l’appeler maintenant pour lui dire que nous ne serons pas là avant demain...
J : je suis contente de voir Lilie...
W : je sais maman...
J : c’est arrangé entre vous ?
Il n’eut pas le temps de répondre que Leight sauta de son siège et roula de gros yeux ronds à sa mère.
L : oh mais maman...çà va que ta chambre est à l’autre bout de la maison...ils ont fait un raffut toute la nuit ! Tu m’étonnes que Lilie ait tourné de l’œil !
W : huuummmm ! Toi t’as de la chance qu’on soit dans un hôpital parce que sinon.....
L : c’est çà...y’a que la vérité qui blesse.
Ils allèrent boirent un café à la cafétéria de l’hôpital et restèrent deux bonnes heures à discuter. Went se leva en regardant sa montre et décida de retourner voir Lilie.
Lorsqu’il arriva dans le service, les infirmières l’accueillirent avec un large sourire.
W : Melle Etura est réveillée ?
- je ne sais pas Monsieur.
Il entrebâilla la porte et s’approcha du lit ou Lilie semblait dormir profondément. Il n’osait la toucher de peur de la réveiller mais il se contenta de lui prendre la main ce qui eut pour effet de la faire sursauter.
Elle s’étira et lui sourit.
L : je dors depuis longtemps ?
W : assez pour avoir meilleure mine !
Une infirmière frappa et s’excusa.
- je viens changer la perfusion...je crois que le docteur arrive avec vos résultats.
Il la laissa s’affairer et le docteur frappa à la porte peu de temps après. Il demanda à l’infirmière de les laisser et elle referma la porte derrière elle.
- j’ai vos résultats Melle...
L : nous vous écoutons
Went était attentif à chacun des regards du médecin qui semblait avoir quelque chose à leur annoncer...plus important qu’une simple analyse sanguine.
- votre anémie n’est pas la seule cause de votre malaise...
L : je fixe mal certaines vitamines et je fume un peu ce qui n’arrange rien...
- alors il va falloir arrêter de fumer tout de suite !
L : vous y aller là...mon médecin m’a toujours dit que çà n’arrangeait pas les choses mais il ne m’a jamais forcé à arrêter !
- vous n’êtes pas seulement anémique Mademoiselle, vous êtes enceinte !
Lilie manqua de s’étouffer en avalant sa salive et Went ouvraient des yeux ronds et incrédules alors que le médecin tentait de finir sa phrase.
- oui...d’à peu près 6 semaines je pense...mais nous allons vérifier tout çà...mon collègue apporte un appareil à échographie.
Lilie avait gardé la bouche ouverte et n’arrivait pas à reprendre ses esprits. Son corps tremblait et son cœur semblait vouloir sortir de sa poitrine. Went qui était aussi sonné qu’elle se reprit et lui attrapa la main alors qu’il se rapprochait du lit.
- vous ne vous y attendiez pas ?
Lilie tenta d’articuler et finit par se reprendre.
L : c'est-à-dire que...je suis stérile et que...oh mon dieu !
- qu’y a t’il ?
Lilie lui expliqua son problème de stérilité et baissa la tête face à Went quand elle poursuivit en racontant le programme expérimental qu’elle avait suivi à Paris. Les tests qu’elle avait faits avaient été très probants mais depuis elle n’avait pas repris le traitement.
- et bien je dirais que vous êtes une miraculée...ou que le traitement a fait effet plus longtemps que prévu...je vais vous laisser, je vais remplir votre dossier, mon collègue ne va pas tarder.
Il s’éclipsa, laissant Lilie seule et craintive face à la réaction de Wentworth. Il remarquait sa crainte et sa gêne mais ne voulait pas en rajouter. Plus rien n’importait que leur amour aujourd’hui et cela lui suffisait amplement. Il s’approcha et releva sa tête vers lui.
W : a quoi tu penses ?
L : je ne réalise pas...mais si tout n’était pas normal...comme la dernière fois...si cette grossesse...
W : arrêtes de penser à çà Lilie...je....
Au même moment, un homme qui traînait un énorme chariot s’avança dans la chambre. Il demanda à Went de s’écarter, brancha l’appareil et disposa un gel froid sur le ventre de Lilie. Le médecin alluma l’appareil et prit place à coté du lit, invitant Went à se mettre derrière lui pour qu’il voie les images. Un autre moniteur moins perfectionné et plus petit faisait face à Lilie pour qu’elle en profite elle aussi.
- on y va
il appuya l’appareil sur son ventre et de vagues images apparurent.
- voilà....regardez...là...cette minuscule tête...qui est beaucoup plus grosse que le reste de son corps...c’est votre bébé.
L : oh mon dieu.
Elle fut prise d’un rire nerveux et sentait des larmes perler à ses joues.
- je peux confirmer, à quelques jours près nous pouvons estimer la grossesse à 6 semaines...il est en pleine phase d’intense développement et votre malaise n’est pas anormal du tout. C’est donc beaucoup moins grave que nous le pensions.
L : ce qui veux dire ?
- que vous pouvez rentrer chez vous ce soir. Je vais juste vous prescrire des vitamines et du repos.
Le médecin leur promit de leur imprimer un cliché et les laissa digérer cette nouvelle.
W : tu te rends compte, tout va bien, tu es rassurée ?
L : oh...Went...je...je n’oublierai décidément pas cette nuit à Paris...
W : je te rassure, moi non plus.
Il s’approcha et la prit fortement dans ses bras, caressant la peau de son cou, il y déposa des baisers et elle se recula pour s’emparer de ses lèvres. Jamais au cours de leur vie ensemble, ils ne s’étaient autant sentis en fusion...
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Décidément, il y en a qui ont des antennes...
(ils se reconnaîtront)
Merci à Valscof pour ses coms mémorables !
Merci à Angel de toujours donner son impression et d'être fidèle
Et merci aussi à Poety qui m'en laisse aussi...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Un bébé!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je suis vraiment contente pour eux!!!!
Décidément moi aussi je pense je pense que je garderai un bon souvenir du passage de leur nuit à Paris , ca n'a pas eu que des mauvais côtés finalement.
Maintenant je pense qu'ils ont tout pour être heureux, il faut juste que tu ne les sépares pas.
Vivement demain pour lire la suite!!!!!!!!
Je suis vraiment contente pour eux!!!!
Décidément moi aussi je pense je pense que je garderai un bon souvenir du passage de leur nuit à Paris , ca n'a pas eu que des mauvais côtés finalement.
Maintenant je pense qu'ils ont tout pour être heureux, il faut juste que tu ne les sépares pas.
Vivement demain pour lire la suite!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Wentworth doit sentir que cette fois, leur histoire est partie sur de nouvelles bases, même s'ils n'ont pas encore beaucoup parlé tous les 2.- vous êtes de la famille ?
W : je suis son mari
Décidément, je l'aime beaucoup la petite soeur de Wentworth. Elle n'en rate pas une.L : oh mais maman...çà va que ta chambre est à l’autre bout de la maison...ils ont fait un raffut toute la nuit ! Tu m’étonnes que Lilie ait tourné de l’œil !
W : huuummmm ! Toi t’as de la chance qu’on soit dans un hôpital parce que sinon.....
ça y est, elle est enceinte ! Maintenant, plus question de se quitter, de ne pas se parler et de préférer mettre des km entre eux...vous n’êtes pas seulement anémique Mademoiselle, vous êtes enceinte !
Lilie manqua de s’étouffer en avalant sa salive et Went ouvraient des yeux ronds et incrédules alors que le médecin tentait de finir sa phrase.
Je crois que l'annonce de cette naissance va les aider à renforcer leurs liens.
On a presque l'impression qu'ils n'arrivent à véritablement réaliser ce qui leur arrive. Il va falloir que Lilie prenne bien soin d'elle et que Wentworth s'occupe aussi de la future maman...en espérant que tout se passe bien jusqu'au bout
L : oh...Went...je...je n’oublierai décidément pas cette nuit à Paris...
W : je te rassure, moi non plus.
Il s’approcha et la prit fortement dans ses bras, caressant la peau de son cou, il y déposa des baisers et elle se recula pour s’emparer de ses lèvres. Jamais au cours de leur vie ensemble, ils ne s’étaient autant sentis en fusion...
Soso_Burrows a écrit
La dernière fois, en lisant le récit de leur nuit parisienne, je n'y avais pas pensé. C'est en écrivant mon petit commentaire que d'un seul coup, l'idée m'a traversé l'esprit.Décidément, il y en a qui ont des antennes...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Bonjour à tous !
Tu as une fan de plus ! C’est grâce à Valscof que j’ai pu lire ta fic ! J’ai tout lu d’un coup quasiment ! j’ai adoré !
Mes premières impressions vis à vis de Lilie étaient plutôt dures ! Je la trouvais très instable et je me demandais bien comment, elle et Went, allaient pouvoir construire une relation durable dans le temps. Mais j’avais un peu trop oublié à quel point les réactions de chacun peuvent être très inattendues et très compliquées… Donc, du coup, je suis beaucoup plus indulgente avec Lilie maintenant . Et je suis sûre qu’avec leur bébé ça va mieux aller… quoique, tu dois bien nous préparer encore des péripéties en cascade...
Ta fic est très prenante et tu écris très bien… alors… mets nous vite la suite !!!!!
Je fonce lire Nine Years maintenant !!!!
Tu as une fan de plus ! C’est grâce à Valscof que j’ai pu lire ta fic ! J’ai tout lu d’un coup quasiment ! j’ai adoré !
Mes premières impressions vis à vis de Lilie étaient plutôt dures ! Je la trouvais très instable et je me demandais bien comment, elle et Went, allaient pouvoir construire une relation durable dans le temps. Mais j’avais un peu trop oublié à quel point les réactions de chacun peuvent être très inattendues et très compliquées… Donc, du coup, je suis beaucoup plus indulgente avec Lilie maintenant . Et je suis sûre qu’avec leur bébé ça va mieux aller… quoique, tu dois bien nous préparer encore des péripéties en cascade...
Ta fic est très prenante et tu écris très bien… alors… mets nous vite la suite !!!!!
Je fonce lire Nine Years maintenant !!!!
blumy- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 50
Date d'inscription : 12/08/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Merci Blumy et merci Valscof de faire connaitre mes fics, çà me touche beaucoup !
J'espère Blumy, qur tu prendras autant de plaisir à me lire que j'ai pu en prendre à écrire toutes ces fics...
Si tu es fan des fics Misa, j'ai aussi écrit misa feelings, une fic qui démarre à l'épisode 2x16 de prison break et qui est centrée sur la rela tion Mic/Sara, mais âmes sensibles s'abstenir !
Bon, trèves de bavardages, voici la suite de la Wentfan !
Après avoir donné quelques dernières recommandations à la future maman, le médecin les laissa quitter le service. Lilie se sentait bizarre, certes encore un peu fatiguée mais une sensation bizarre s’était emparée d’elle. Elle tentait de faire bonne figure devant Went, dont le visage trahissait un bonheur indescriptible.
Ils traversèrent le couloir, accompagnés des sourires du personnel médical. Même les infirmières un peu jalouses les trouvaient attachant. Il serrait sa taille et ne la lachait pas d’une semelle. Heureux et surexcité.
W : tu te rends compte, ma mère va être folle de joie ! Je la voie d’ici...
Lilie se força à lui sourire mais elle ne partageait pas son enthousiasme.
L : Went...justement...je ne suis enceinte que de six semaines...nous devrions attendre un peu avant de l’annoncer...on ne sait jamais...
Il stoppa sa marche et planta son regard de braise dans celui de Lilie. L’inquiétude qu’il pu y lire le déstabilisa et il finit par se reprendre, essayant de garder la tête froide et d’être objectif.
L : je ne veux absolument pas gâcher ta joie Went, je suis heureuse...mais avec tout ce qui nous est arrivés ces derniers temps, j’aimerais qu’on se retrouve et profiter de ce secret avec toi quelques temps...les gens ne vont pas cesser d’être après nous sinon...
Il continua de scruter les prunelles noires de Lilie et son visage se décrispa. Elle n’avait pas tout à fait tort. Il ne voulait pas penser au pire et avait tellement attendu ce moment qu’il pensait n’arriverait jamais...mais c’était un peu tôt et profiter de tout cela rien que pour eux deux n’était pas une si mauvaise idée.
W : tu as raison chérie...excuses moi...j’étais si heureux que je voulais le crier à la terre entière ! Mais a ton avis combien de temps va-t-on attendre ? Le médecin t’a dit que tout allait pour le mieux non ?
Lilie le regarda, amusée par la petite pointe de désespoir qu’il montrait.
L : après douze semaines les risques de fausses couches diminues grandement Went...je pense qu’il sera temps à ce moment là...et puis je n’aurais plus trop le choix...çà commencera peut-être à se voir...
Went roulait de gros yeux ronds et impatients.
W : tu crois ?
L : non...mais toi tu verras peut-être du changement...tu sera à la meilleure place !
Il la rapprocha pour qu’elle se blottisse dans ses bras et elle laissa échapper un soupir de contentement. Cette chaleur corporelle lui avait tant manqué ! Comment avait-elle pu quitter cet homme ?
Après ce court instant de répit, Went et Lilie se dirigèrent vers le service cardiologie ou papa Went était toujours hospitalisé.
Lorsque Leight les vit au loin, elle s’approcha à leur rencontre.
Leight : alors finalement il te laisse rentrer dès ce soir ?
L : oui...ce n’était pas aussi grave que cela.
Went failli pouffer et Lilie lui asséna un coup dans les côtes afin qu’il évite de gaffer.
Leight : qu’est-ce qu’il y a de drôle ?
L : ce n’est rien, ton frère n’arrête pas de me faire tourner en bourrique !
Leight n’alla pas chercher plus loin et Lilie s’en trouva rassurée. Elle savait qu’il serait très dur pour Went de tenir sa langue, de cacher encore çà pendant 6 longues semaines, ce n’était pas dans sa nature de cacher la vérité.
Après avoir passé deux bonnes heures auprès du père de Went qui se remettait doucement, ils décidèrent de partir car Lilie lui donnait quelques signes de fatigue.
Ils prirent un taxi et après une demi-heure durant laquelle Lilie s’assoupit, ils furent à bon port.
Went passa tendrement sa paume sur la joue de Lilie.
W : et oh belle au bois dormant...on est arrivés.
Lilie se réveilla dans un sourire radieux.
L : merci beau prince...
Ils rentrèrent dan la maison et déposèrent leurs affaires dans la chambre. Went semblait un peu dépassé par les évènements de la journée et Lilie s’approcha de lui, déposant sa tête dans son dos et le serrant par la taille.
L : à quoi tu penses ?
Il soupira et se retourna vers Lilie pour lui faire face. Il n’arrivait à décrire oralement tout ce qu’il ressentait. L’inquiétude, la joie, la crainte, l’impatience, le désir, la plénitude, les regrets, la nostalgie et la gratitude.
Lilie comprit que tout devait se bousculer dans sa tête et se rapprocha pour caresser sa joue piquante avec ses lèvres. Il se laissa faire, savourant la sensation douce des lèvres chaudes qui frôlaient sa peau. Pendant près de deux minutes, il laissa son corps et son esprit s’enfuir, savourant ce moment de câlins si bénéfique. Lilie continua sa douce étreinte et elle sourit quand il frissonna alors qu’elle frôlait le lobe de son oreille gauche.
L : je sui sûre que tu feras un père merveilleux Wentworth...
La voix de Lilie était comme étouffée, à la fois empreinte de désir et de sensualité. Il sentait son coeur se gonfler et son corps se tendre. Il attrapa sa nuque et l’obligea à se reculer pour prendre ses lèvres dans un baiser fougueux et sensuel. Elle se laissa docilement faire et émit de petits gémissements de plaisir avant d’approfondir son baiser. Elle sentait le corps ferme de Went contre le sien, la rétractation de ses muscles à son contact et les frissons sur sa peau alors que ses mains tentaient une exploration divine.
Il se recula un peu surpris.
W : whooooooo ! Je devrais aller te préparer un bon repas !
Lilie soupira de déception.
L : je ne pensais pas vraiment à ce genre de nourriture moi...
W : tu sais ce que t'as dit le médecin Lilie ! Il faut que tu manges ! Tu n’es plus la seule en cause chérie !
L : oui papa !
Il la regarda d’un air exaspéré et essaya d’être plus menaçant tout en rapprochant ses mains de la taille de le jeune femme.
W : promets-moi de manger régulièrement Lilie...de prendre soin de toi et de notre enfant...
Les mots de Went eurent l’effet d’un électrochoc sur elle. Entendre ces mots de sa bouche lui procura une sensation étrange et Went le remarque tout de suite.
W : qu’est-ce qui se passe ? Tu ne te sens pas bien ?
L : oh si...ne t’inquiètes pas...je crois que je ne me suis jamais sentie plus en paix avec moi-même...mais il y a quelque chose dont j’aimerais te parler...
W : je t’écoute...
L : voilà...pour le traitement que j’ai suivi à Paris...je suis désolée de ne pas t’en avoir parlé Went...je...je ne sais pas ce qui m’a pris de vouloir affronter çà seule...c’est comme si je n’avais pas été moi-même tout ce temps...
Il la coupa, sachant qu’elle souffrait de penser l’avoir trahi.
W : j’étais au courant Lilie...pas dans les détails c’est sûr, mais l’hôpital qui t’avait soigné à L.A t’avait envoyé un courrier chez nous pour une autorisation de transmission de dossier médical. Je ne voulais pas ouvrir le courrier mais c’était marqué urgent dessus et...
Elle l’encouragea à continuer et il n’eut pas peur des mots qu’il voulait utiliser.
W : je m’inquiétais pour toi...peut-être avaient-ils découverts quelque chose alors j’ai ouvert et j’ai lu la lettre plusieurs fois avant de saisir pour quelle démarche c’était. Je peux t’affirmer qu’à ce moment là j’ai voulu sauter dans un avion et te rejoindre à Paris, te serrer dans mes bras et...mais je n’ai rien fait...et c’est peut-être mieux comme çà après tout. Et apprendre que les magazines me placardaient avec Mariana et Rachel alors que je ne pensais qu’à toi...
Il soupira et baissa les yeux au sol.
Lilie lui releva le visage et plongea son regard dans le sien. Elle sentait qu’il s’en voulait mais se voulait rassurante.
L : écoutes Went...nous avons fait des erreurs et je n’aurais jamais du partir et te laisser seul ici...mais sans ces épreuves, nous ne serions pas là à caresser ce rêve d’aussi près...nous allons être parents Went ! Je bénis cette nuit ou j’ai marché sous la pluie, ou tu m’a ouvert tes bras malgré la colère, ou tu m’as offert un petit bout de toi qui grandit en moi aujourd’hui...
W : Lilie je...je t’aime...
L : je t’aime aussi Went...arrêtons de regarder en arrière...s’il te plaît...
Il se rapprocha jusqu’à rendre infime la distance qui les séparait et la serra dans ses bras avec une infinie tendresse, caressant ses longs cheveux frisés.
L : tu sais que j’ai faim quand même !
Il rigola et la prit par la main pour l’entraîner en direction de la cuisine...
Ils sont pas beaux tous les deux ?
J'espère Blumy, qur tu prendras autant de plaisir à me lire que j'ai pu en prendre à écrire toutes ces fics...
Si tu es fan des fics Misa, j'ai aussi écrit misa feelings, une fic qui démarre à l'épisode 2x16 de prison break et qui est centrée sur la rela tion Mic/Sara, mais âmes sensibles s'abstenir !
Bon, trèves de bavardages, voici la suite de la Wentfan !
Chap 49 : CONTRECOUP
Après avoir donné quelques dernières recommandations à la future maman, le médecin les laissa quitter le service. Lilie se sentait bizarre, certes encore un peu fatiguée mais une sensation bizarre s’était emparée d’elle. Elle tentait de faire bonne figure devant Went, dont le visage trahissait un bonheur indescriptible.
Ils traversèrent le couloir, accompagnés des sourires du personnel médical. Même les infirmières un peu jalouses les trouvaient attachant. Il serrait sa taille et ne la lachait pas d’une semelle. Heureux et surexcité.
W : tu te rends compte, ma mère va être folle de joie ! Je la voie d’ici...
Lilie se força à lui sourire mais elle ne partageait pas son enthousiasme.
L : Went...justement...je ne suis enceinte que de six semaines...nous devrions attendre un peu avant de l’annoncer...on ne sait jamais...
Il stoppa sa marche et planta son regard de braise dans celui de Lilie. L’inquiétude qu’il pu y lire le déstabilisa et il finit par se reprendre, essayant de garder la tête froide et d’être objectif.
L : je ne veux absolument pas gâcher ta joie Went, je suis heureuse...mais avec tout ce qui nous est arrivés ces derniers temps, j’aimerais qu’on se retrouve et profiter de ce secret avec toi quelques temps...les gens ne vont pas cesser d’être après nous sinon...
Il continua de scruter les prunelles noires de Lilie et son visage se décrispa. Elle n’avait pas tout à fait tort. Il ne voulait pas penser au pire et avait tellement attendu ce moment qu’il pensait n’arriverait jamais...mais c’était un peu tôt et profiter de tout cela rien que pour eux deux n’était pas une si mauvaise idée.
W : tu as raison chérie...excuses moi...j’étais si heureux que je voulais le crier à la terre entière ! Mais a ton avis combien de temps va-t-on attendre ? Le médecin t’a dit que tout allait pour le mieux non ?
Lilie le regarda, amusée par la petite pointe de désespoir qu’il montrait.
L : après douze semaines les risques de fausses couches diminues grandement Went...je pense qu’il sera temps à ce moment là...et puis je n’aurais plus trop le choix...çà commencera peut-être à se voir...
Went roulait de gros yeux ronds et impatients.
W : tu crois ?
L : non...mais toi tu verras peut-être du changement...tu sera à la meilleure place !
Il la rapprocha pour qu’elle se blottisse dans ses bras et elle laissa échapper un soupir de contentement. Cette chaleur corporelle lui avait tant manqué ! Comment avait-elle pu quitter cet homme ?
Après ce court instant de répit, Went et Lilie se dirigèrent vers le service cardiologie ou papa Went était toujours hospitalisé.
Lorsque Leight les vit au loin, elle s’approcha à leur rencontre.
Leight : alors finalement il te laisse rentrer dès ce soir ?
L : oui...ce n’était pas aussi grave que cela.
Went failli pouffer et Lilie lui asséna un coup dans les côtes afin qu’il évite de gaffer.
Leight : qu’est-ce qu’il y a de drôle ?
L : ce n’est rien, ton frère n’arrête pas de me faire tourner en bourrique !
Leight n’alla pas chercher plus loin et Lilie s’en trouva rassurée. Elle savait qu’il serait très dur pour Went de tenir sa langue, de cacher encore çà pendant 6 longues semaines, ce n’était pas dans sa nature de cacher la vérité.
Après avoir passé deux bonnes heures auprès du père de Went qui se remettait doucement, ils décidèrent de partir car Lilie lui donnait quelques signes de fatigue.
Ils prirent un taxi et après une demi-heure durant laquelle Lilie s’assoupit, ils furent à bon port.
Went passa tendrement sa paume sur la joue de Lilie.
W : et oh belle au bois dormant...on est arrivés.
Lilie se réveilla dans un sourire radieux.
L : merci beau prince...
Ils rentrèrent dan la maison et déposèrent leurs affaires dans la chambre. Went semblait un peu dépassé par les évènements de la journée et Lilie s’approcha de lui, déposant sa tête dans son dos et le serrant par la taille.
L : à quoi tu penses ?
Il soupira et se retourna vers Lilie pour lui faire face. Il n’arrivait à décrire oralement tout ce qu’il ressentait. L’inquiétude, la joie, la crainte, l’impatience, le désir, la plénitude, les regrets, la nostalgie et la gratitude.
Lilie comprit que tout devait se bousculer dans sa tête et se rapprocha pour caresser sa joue piquante avec ses lèvres. Il se laissa faire, savourant la sensation douce des lèvres chaudes qui frôlaient sa peau. Pendant près de deux minutes, il laissa son corps et son esprit s’enfuir, savourant ce moment de câlins si bénéfique. Lilie continua sa douce étreinte et elle sourit quand il frissonna alors qu’elle frôlait le lobe de son oreille gauche.
L : je sui sûre que tu feras un père merveilleux Wentworth...
La voix de Lilie était comme étouffée, à la fois empreinte de désir et de sensualité. Il sentait son coeur se gonfler et son corps se tendre. Il attrapa sa nuque et l’obligea à se reculer pour prendre ses lèvres dans un baiser fougueux et sensuel. Elle se laissa docilement faire et émit de petits gémissements de plaisir avant d’approfondir son baiser. Elle sentait le corps ferme de Went contre le sien, la rétractation de ses muscles à son contact et les frissons sur sa peau alors que ses mains tentaient une exploration divine.
Il se recula un peu surpris.
W : whooooooo ! Je devrais aller te préparer un bon repas !
Lilie soupira de déception.
L : je ne pensais pas vraiment à ce genre de nourriture moi...
W : tu sais ce que t'as dit le médecin Lilie ! Il faut que tu manges ! Tu n’es plus la seule en cause chérie !
L : oui papa !
Il la regarda d’un air exaspéré et essaya d’être plus menaçant tout en rapprochant ses mains de la taille de le jeune femme.
W : promets-moi de manger régulièrement Lilie...de prendre soin de toi et de notre enfant...
Les mots de Went eurent l’effet d’un électrochoc sur elle. Entendre ces mots de sa bouche lui procura une sensation étrange et Went le remarque tout de suite.
W : qu’est-ce qui se passe ? Tu ne te sens pas bien ?
L : oh si...ne t’inquiètes pas...je crois que je ne me suis jamais sentie plus en paix avec moi-même...mais il y a quelque chose dont j’aimerais te parler...
W : je t’écoute...
L : voilà...pour le traitement que j’ai suivi à Paris...je suis désolée de ne pas t’en avoir parlé Went...je...je ne sais pas ce qui m’a pris de vouloir affronter çà seule...c’est comme si je n’avais pas été moi-même tout ce temps...
Il la coupa, sachant qu’elle souffrait de penser l’avoir trahi.
W : j’étais au courant Lilie...pas dans les détails c’est sûr, mais l’hôpital qui t’avait soigné à L.A t’avait envoyé un courrier chez nous pour une autorisation de transmission de dossier médical. Je ne voulais pas ouvrir le courrier mais c’était marqué urgent dessus et...
Elle l’encouragea à continuer et il n’eut pas peur des mots qu’il voulait utiliser.
W : je m’inquiétais pour toi...peut-être avaient-ils découverts quelque chose alors j’ai ouvert et j’ai lu la lettre plusieurs fois avant de saisir pour quelle démarche c’était. Je peux t’affirmer qu’à ce moment là j’ai voulu sauter dans un avion et te rejoindre à Paris, te serrer dans mes bras et...mais je n’ai rien fait...et c’est peut-être mieux comme çà après tout. Et apprendre que les magazines me placardaient avec Mariana et Rachel alors que je ne pensais qu’à toi...
Il soupira et baissa les yeux au sol.
Lilie lui releva le visage et plongea son regard dans le sien. Elle sentait qu’il s’en voulait mais se voulait rassurante.
L : écoutes Went...nous avons fait des erreurs et je n’aurais jamais du partir et te laisser seul ici...mais sans ces épreuves, nous ne serions pas là à caresser ce rêve d’aussi près...nous allons être parents Went ! Je bénis cette nuit ou j’ai marché sous la pluie, ou tu m’a ouvert tes bras malgré la colère, ou tu m’as offert un petit bout de toi qui grandit en moi aujourd’hui...
W : Lilie je...je t’aime...
L : je t’aime aussi Went...arrêtons de regarder en arrière...s’il te plaît...
Il se rapprocha jusqu’à rendre infime la distance qui les séparait et la serra dans ses bras avec une infinie tendresse, caressant ses longs cheveux frisés.
L : tu sais que j’ai faim quand même !
Il rigola et la prit par la main pour l’entraîner en direction de la cuisine...
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Ils sont pas beaux tous les deux ?
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Oh que oui, ils sont beaux!!!!!
Ils sont vraiment craquants.
Je pense que Went ne pourra pas tenir sa langue bien longtemps; il va sûrement en parler à quelqu'un, sûrement à sa soeur, ou à sarah, et ca se comprend, après toutes les épreuves qu'il a traversées avec Lilie, il doit être super heureux maintenant, quoi de plus que de vouloir faire partager son bonheur à la terre entière.
Moi aussi je suis contente, enfin tant que tu ne leur réserve pas de mauvaises surprises
Ils sont vraiment craquants.
Je pense que Went ne pourra pas tenir sa langue bien longtemps; il va sûrement en parler à quelqu'un, sûrement à sa soeur, ou à sarah, et ca se comprend, après toutes les épreuves qu'il a traversées avec Lilie, il doit être super heureux maintenant, quoi de plus que de vouloir faire partager son bonheur à la terre entière.
Moi aussi je suis contente, enfin tant que tu ne leur réserve pas de mauvaises surprises
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Quand j'ai lu ça, j'ai eu peur. Je me demandais ce qui pouvait encore perturber Lilie. J'ai été rassurée de voir, qu'en fait, elle préférait juste que sa grossesse soit, durant encore quelques semaines, secrète. C'est vrai qu'il vaut mieux être prudents surtout après ce qu'elle a traversé.Elle tentait de faire bonne figure devant Went, dont le visage trahissait un bonheur indescriptible.
C’est sûr qu’il sera le premier spectateur des transformations du corps de Lilie et je pense qu’il les appréciera beaucoupL : non...mais toi tu verras peut-être du changement...tu seras à la meilleure place !
Nous aussi, on se demande encore comment elle a pu imaginer faire sa vie sans lui. Heureusement qu’elle a pu rattraper son erreur.Il la rapprocha pour qu’elle se blottisse dans ses bras et elle laissa échapper un soupir de contentement. Cette chaleur corporelle lui avait tant manqué ! Comment avait-elle pu quitter cet homme ?
Je ne sais pas s’il va pouvoir garder le secret très longtemps…Went faillit pouffer et Lilie lui asséna un coup dans les côtes afin qu’il évite de gaffer.
Je pensais aussi que l'on allait aussi avoir droit à autre choseLa voix de Lilie était comme étouffée, à la fois empreinte de désir et de sensualité. Il sentait son coeur se gonfler et son corps se tendre. Il attrapa sa nuque et l’obligea à se reculer pour prendre ses lèvres dans un baiser fougueux et sensuel. Elle se laissa docilement faire et émit de petits gémissements de plaisir avant d’approfondir son baiser. Elle sentait le corps ferme de Went contre le sien, la rétractation de ses muscles à son contact et les frissons sur sa peau alors que ses mains tentaient une exploration divine.
Il se recula un peu surpris.
W : whooooooo ! Je devrais aller te préparer un bon repas !
Lilie soupira de déception.
L : je ne pensais pas vraiment à ce genre de nourriture moi...
L : voilà...pour le traitement que j’ai suivi à Paris...je suis désolée de ne pas t’en avoir parlé Went...je...je ne sais pas ce qui m’a pris de vouloir affronter çà seule...c’est comme si je n’avais pas été moi-même tout ce temps...
L : écoute Went...nous avons fait des erreurs et je n’aurais jamais du partir et te laisser seul ici...mais sans ces épreuves, nous ne serions pas là à caresser ce rêve d’aussi près...nous allons être parents Went ! Je bénis cette nuit ou j’ai marché sous la pluie, ou tu m’a ouvert tes bras malgré la colère, où tu m’as offert un petit bout de toi qui grandit en moi aujourd’hui...
W : Lilie je...je t’aime...
L : je t’aime aussi Went...arrêtons de regarder en arrière...s’il te plaît...
Tous les 2 reconnaissent qu’ils ont commis des erreurs. Lilie dit n’avoir pas été vraiment elle-même quand elle a décidé de suivre ce traitement seule, à Paris. Je crois que Went la comprend bien. Il n’était pas non plus lui-même quand il l’a giflée et quand il s’est montré si distant après cette nuit à Paris ; nuit très réussie
où tu m’as offert un petit bout de toi qui grandit en moi aujourd’hui...
J’ai le sentiment que Lilie renaît. Elle ose enfin être vraiment heureuse. Le fait de pouvoir offrir à Went un enfant la libère totalement. Elle est plus confiante, optimiste concernant l’avenir de leur relation. Elle n’a plus ce poids à porter. Elle doit se sentir pleinement femme, même si Wentworth avait accepté sa stérilité.
Soso_Burrows a écrit :
Si tu es fan des fics Misa, j'ai aussi écrit misa feelings, une fic qui démarre à l'épisode 2x16 de prison break et qui est centrée sur la relation Mic/Sara, mais âmes sensibles s'abstenir !
Je n’ai pas encore eu le temps d’aller la découvrir mais le fait que tu dises « âmes sensibles s’abstenir », ça me donne encore plus envie d’aller la lire.
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Et bien je te rassure j’ai pris énormément de plaisir à lire tes 2 fics ! Alors, si tu as pris autant de plaisir à les écrire, que moi j'ai eu à les lire, je suppose donc que l’écriture doit être une véritable passion pour toi !J'espère Blumy, qur tu prendras autant de plaisir à me lire que j'ai pu en prendre à écrire toutes ces fics...
Tu me fais peur avec « âmes sensibles s’abstenir » parce qu’il se trouve que j’ai un petit cœur tout sensible ! Enneade a déjà failli m’achever avec une de ses fics alors si tu t’y mets toi aussi, ça va pas le faire !!!!Si tu es fan des fics Misa, j'ai aussi écrit misa feelings, une fic qui démarre à l'épisode 2x16 de prison break et qui est centrée sur la rela tion Mic/Sara, mais âmes sensibles s'abstenir !
Je comprends que Lilie veuille garder sa grossesse secrète pendant les 6 semaines qui vont venir. Mais est-ce que Went va tenir ?
C’est bien qu’ils aient pu discuter, maintenant ils vont pouvoir aller de l’avant !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 12/08/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite, j'ai du mal à me séparer de mon pc et pourtant...il bug de + en + souvent...
Le lendemain matin, Went ouvrit les yeux alors que Lilie dormait encore profondément. Il se leva, se douche et descendit. Il en profita pour appeler Paul et s’excuser. Sa mère était dans la cuisine, la mine fatiguée.
W : tu vas bien maman ?
J : oui chéri...je suis juste exténuée...mais j’irais me reposer dans la matinée car de toute façon je n’arrive pas à dormir...et Lilie elle va mieux ?
W : oui...ce n’était qu’un petit coup de fatigue...
J : vous repartez ?
W : oui...dans deux heures...d’ailleurs je vais aller la réveiller.
Il grimpa les marches et constata une fois la porte ouverte que Lilie n’était plus dans le lit. Il entendit l’eau de la douche couler et il ne pu s’empêcher de repenser à quelques semaines auparavant à Paris ou ce même bruit était parvenu à ses oreilles.
Il se posa devant la fenêtre et admirait le magnifique jardin que sa mère savait si bien mettre en valeur...et fut sorti de ses songes par des bras autour de sa taille.
W : hummmm !
L : j’en déduis que c’est agréable ?
Il se retourna et remarqua les gouttelettes d’eau qui perlaient encore à son front et le long de sa nuque, s’échouant sur la serviette de bain qui entourait son corps. Went resta de longues secondes à contempler sa peau dorée par l’été et la douce odeur qui s’en dégageait. Il déposa un baiser dans son cou en poussant des cris d’ogre affamé et simulant qu’il allait la mordre. Elle bascula sur le lit et il s’excusa de peur de lui avoir fait mal.
W : excuses moi, tu vas bien ? Tu n’as rien ? Tu n’as pas mal au ventre ?
Lilie n’en revenait pas...il était incorrigible...cette grossesse risquait d’être longue !
L : arrêtes de t’inquiéter comme çà je ne suis pas en sucre ! Je ne suis pas malade Went, je suis juste enceinte !
W : chhuuuttt ! Je te rappelle qu’ici les murs ont des oreilles !
Ils se mirent à rire ensemble et Lilie l’attrapa par le col de sa chemise pour l’embrasser. La serviette de bain avait glissé au pied du lit et il en profita copieusement. Partant de la nuque de Lilie, il laissa sa main défiler le long de sa poitrine puis sur son ventre où il s’attarda, faisant de petits mouvements circulaires avant de rapprocher Lilie en lui caressant les fesses.
Elle se laissa enrouler doucement autour de lui et ils n’arrivaient pas à se détacher l’un de l’autre tant leurs baisers les entraînaient dans une spirale de plaisir que ni l’un ni l’autre n’avait envie de quitter. Went se dégagea au prix d’un énorme effort.
W : je crois que tu devrais t’habiller...nous devons y aller, notre avion est dans 1 heure et demie !
Lilie se rassit, nue sur le lit, un sourire coquin aux lèvres.
L : j’ai envie de toi Wentworth...maintenant !
Il en crevait, elle était si désirable, si pleine de vie en cet instant qu’il aurait voulu lui sauter dessus et caresser chaque parcelle de son corps, encore et encore. Lui procurer tout ce plaisir qu’elle réclamait, il ne souhaitait que cela. Mais une carrière et un certain Paul Scheuring en décidai autrement...
W : on ne peux pas Lilie...j’ai eu Paul...on doit rentrer...mais je te promet de me rattraper !
Lilie se leva, énervée, fulminant contre tout les mauvais cotés de la médiatisation et de la télévision, en rajoutant toujours plus.
L : et voilà ! C’est bien ma veine, il a fallu que je tombe sur un guignol d’américain qui se prends pour un sex symbol et qui fait passer sa carrière avant la mère de son enfant !
Remarquant le regard plein de rage amusée de Went, ils se mirent à se courir l’un après l’autre. Sautant sur le lit, se lançant les oreillers...ils finirent encore par se retrouver lèvres collées, soudées pendant de longues minutes.
Lilie s’habilla, Went appela un taxi, ils saluèrent la famille et partirent, plus heureux que jamais d’être enfin seuls ensembles.
Arrivés à l’aéroport, après avoir réussi à échapper à la bardée de fans qui s’accumulaient au fur et à mesure de leur progression dans le hall, ils purent embarquer.
L’avion se posa à quatre heure de l’après midi à Miami et Amaury et Sandra étaient venus les attendre. Ils furent ravis de voir qu’entre eux tout semblait s’être arrangé en deux jours...il y avait même quelque chose d’étrange entre eux pensa Sandra...
Tandis qu’Amaury s’empara de Went pour aller directement sur le tournage où tout le monde l’attendait, Lilie se fit escorter jusqu’à leur résidence par Sandra.
Après de rapides adieux, elle se retrouva seule avec son amie.
S : dis donc çà à l’air d’aller vous deux !
L : c’est le moins qu’on puisse dire...
S : racontes !
Lilie se sentait nerveuse. Sandra était une très bonne amie, sa meilleure amie ici en tous cas mais ils s’étaient mis d’accord avec Went pour n’en parler à personne avant six semaines. Mais comment ferait-elle pour expliquer son changement de comportement pour certaines choses ? La cigarette, l’alcool...
Sandra se poserait beaucoup trop de questions vu le temps qu’elles avaient l’habitude de passer ensemble entre le travail et l’attente de leurs moitiés.
L : écoutes Sandra...j’ai quelques chose d’important à te dire...
S : ouh là, tu me fais peur là !
L : quand je suis allée rejoindre Went, nous sommes allés à l’hôpital le lendemain et j’ai fait un malaise...j’avais rien mangé ! Mais le docteur a fait une série de tests et je suis enceinte Sandra !
Son amie freina la voiture et se gara sur la bas coté n’en revenant pas d’une telle nouvelle. Elle déglutit plusieurs fois avant de s’adresser à Lilie.
S : et tout va bien...tout est normal...oh mon dieu c’est merveilleux ! Mais...mais Lilie de combien es-tu enceinte ? Je veux dire toi et Went vous avez pas...depuis... ???
L : si justement...quand on s’est revu lors de sa venue à Paris il y a tout juste six semaines...tu vois ?
S : ah...et il l’a pris comment ?
L : a ton avis ?
S : j’imagine quelle question ! Oh la la, les copains vont êtres super content pour vous !
Lilie laissa échapper une grimace.
L : justement Sandra...personne n’est encore au courant...tu vois ? Même pas ses parents, personne à part toi ! On ne veux pas que çà se sache avant la douzième semaine, on sait jamais...
S : je suis contente d’être la première à le savoir alors ! Quelle fierté !
L : je n’aurais pas pu te le cacher longtemps de toute façon !
Sandra remit le contact après avoir digéré la nouvelle et accompagna Lilie jusqu’à leur appartement terrasse dans une charmante résidence privée
L : ouah ! C’est magnifique ici !
S : tu crois ? Bienvenue en Floride ma puce !
Lilie posa ses quelques bagages et les deux amies restèrent un long moment à discuter de l’avenir, du bébé, de la série, de leur travail et de leurs hommes...
Il faisait un temps magnifique, elle était de retour parmi les siens, chez elle avec son homme et enceinte...qu’aurait-elle pu désirer de plus ?
Elle tremblait pourtant de s’imaginer que dès que son horizon s’éclaircissait, cela ne durait jamais bien longtemps...
Alors ? C'est joyeux non ?
Chap 50 : DEPART
Le lendemain matin, Went ouvrit les yeux alors que Lilie dormait encore profondément. Il se leva, se douche et descendit. Il en profita pour appeler Paul et s’excuser. Sa mère était dans la cuisine, la mine fatiguée.
W : tu vas bien maman ?
J : oui chéri...je suis juste exténuée...mais j’irais me reposer dans la matinée car de toute façon je n’arrive pas à dormir...et Lilie elle va mieux ?
W : oui...ce n’était qu’un petit coup de fatigue...
J : vous repartez ?
W : oui...dans deux heures...d’ailleurs je vais aller la réveiller.
Il grimpa les marches et constata une fois la porte ouverte que Lilie n’était plus dans le lit. Il entendit l’eau de la douche couler et il ne pu s’empêcher de repenser à quelques semaines auparavant à Paris ou ce même bruit était parvenu à ses oreilles.
Il se posa devant la fenêtre et admirait le magnifique jardin que sa mère savait si bien mettre en valeur...et fut sorti de ses songes par des bras autour de sa taille.
W : hummmm !
L : j’en déduis que c’est agréable ?
Il se retourna et remarqua les gouttelettes d’eau qui perlaient encore à son front et le long de sa nuque, s’échouant sur la serviette de bain qui entourait son corps. Went resta de longues secondes à contempler sa peau dorée par l’été et la douce odeur qui s’en dégageait. Il déposa un baiser dans son cou en poussant des cris d’ogre affamé et simulant qu’il allait la mordre. Elle bascula sur le lit et il s’excusa de peur de lui avoir fait mal.
W : excuses moi, tu vas bien ? Tu n’as rien ? Tu n’as pas mal au ventre ?
Lilie n’en revenait pas...il était incorrigible...cette grossesse risquait d’être longue !
L : arrêtes de t’inquiéter comme çà je ne suis pas en sucre ! Je ne suis pas malade Went, je suis juste enceinte !
W : chhuuuttt ! Je te rappelle qu’ici les murs ont des oreilles !
Ils se mirent à rire ensemble et Lilie l’attrapa par le col de sa chemise pour l’embrasser. La serviette de bain avait glissé au pied du lit et il en profita copieusement. Partant de la nuque de Lilie, il laissa sa main défiler le long de sa poitrine puis sur son ventre où il s’attarda, faisant de petits mouvements circulaires avant de rapprocher Lilie en lui caressant les fesses.
Elle se laissa enrouler doucement autour de lui et ils n’arrivaient pas à se détacher l’un de l’autre tant leurs baisers les entraînaient dans une spirale de plaisir que ni l’un ni l’autre n’avait envie de quitter. Went se dégagea au prix d’un énorme effort.
W : je crois que tu devrais t’habiller...nous devons y aller, notre avion est dans 1 heure et demie !
Lilie se rassit, nue sur le lit, un sourire coquin aux lèvres.
L : j’ai envie de toi Wentworth...maintenant !
Il en crevait, elle était si désirable, si pleine de vie en cet instant qu’il aurait voulu lui sauter dessus et caresser chaque parcelle de son corps, encore et encore. Lui procurer tout ce plaisir qu’elle réclamait, il ne souhaitait que cela. Mais une carrière et un certain Paul Scheuring en décidai autrement...
W : on ne peux pas Lilie...j’ai eu Paul...on doit rentrer...mais je te promet de me rattraper !
Lilie se leva, énervée, fulminant contre tout les mauvais cotés de la médiatisation et de la télévision, en rajoutant toujours plus.
L : et voilà ! C’est bien ma veine, il a fallu que je tombe sur un guignol d’américain qui se prends pour un sex symbol et qui fait passer sa carrière avant la mère de son enfant !
Remarquant le regard plein de rage amusée de Went, ils se mirent à se courir l’un après l’autre. Sautant sur le lit, se lançant les oreillers...ils finirent encore par se retrouver lèvres collées, soudées pendant de longues minutes.
Lilie s’habilla, Went appela un taxi, ils saluèrent la famille et partirent, plus heureux que jamais d’être enfin seuls ensembles.
Arrivés à l’aéroport, après avoir réussi à échapper à la bardée de fans qui s’accumulaient au fur et à mesure de leur progression dans le hall, ils purent embarquer.
L’avion se posa à quatre heure de l’après midi à Miami et Amaury et Sandra étaient venus les attendre. Ils furent ravis de voir qu’entre eux tout semblait s’être arrangé en deux jours...il y avait même quelque chose d’étrange entre eux pensa Sandra...
Tandis qu’Amaury s’empara de Went pour aller directement sur le tournage où tout le monde l’attendait, Lilie se fit escorter jusqu’à leur résidence par Sandra.
Après de rapides adieux, elle se retrouva seule avec son amie.
S : dis donc çà à l’air d’aller vous deux !
L : c’est le moins qu’on puisse dire...
S : racontes !
Lilie se sentait nerveuse. Sandra était une très bonne amie, sa meilleure amie ici en tous cas mais ils s’étaient mis d’accord avec Went pour n’en parler à personne avant six semaines. Mais comment ferait-elle pour expliquer son changement de comportement pour certaines choses ? La cigarette, l’alcool...
Sandra se poserait beaucoup trop de questions vu le temps qu’elles avaient l’habitude de passer ensemble entre le travail et l’attente de leurs moitiés.
L : écoutes Sandra...j’ai quelques chose d’important à te dire...
S : ouh là, tu me fais peur là !
L : quand je suis allée rejoindre Went, nous sommes allés à l’hôpital le lendemain et j’ai fait un malaise...j’avais rien mangé ! Mais le docteur a fait une série de tests et je suis enceinte Sandra !
Son amie freina la voiture et se gara sur la bas coté n’en revenant pas d’une telle nouvelle. Elle déglutit plusieurs fois avant de s’adresser à Lilie.
S : et tout va bien...tout est normal...oh mon dieu c’est merveilleux ! Mais...mais Lilie de combien es-tu enceinte ? Je veux dire toi et Went vous avez pas...depuis... ???
L : si justement...quand on s’est revu lors de sa venue à Paris il y a tout juste six semaines...tu vois ?
S : ah...et il l’a pris comment ?
L : a ton avis ?
S : j’imagine quelle question ! Oh la la, les copains vont êtres super content pour vous !
Lilie laissa échapper une grimace.
L : justement Sandra...personne n’est encore au courant...tu vois ? Même pas ses parents, personne à part toi ! On ne veux pas que çà se sache avant la douzième semaine, on sait jamais...
S : je suis contente d’être la première à le savoir alors ! Quelle fierté !
L : je n’aurais pas pu te le cacher longtemps de toute façon !
Sandra remit le contact après avoir digéré la nouvelle et accompagna Lilie jusqu’à leur appartement terrasse dans une charmante résidence privée
L : ouah ! C’est magnifique ici !
S : tu crois ? Bienvenue en Floride ma puce !
Lilie posa ses quelques bagages et les deux amies restèrent un long moment à discuter de l’avenir, du bébé, de la série, de leur travail et de leurs hommes...
Il faisait un temps magnifique, elle était de retour parmi les siens, chez elle avec son homme et enceinte...qu’aurait-elle pu désirer de plus ?
Elle tremblait pourtant de s’imaginer que dès que son horizon s’éclaircissait, cela ne durait jamais bien longtemps...
***
Alors ? C'est joyeux non ?
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
J'éspère que leur bonheur durera aumoins, parcequ'à chaque fois qu'ils sont ensemble, tu ne peux pas t'empêcher de les séparer!!!!
Bravo pour cette suite, j'ai adoré
Vivement une autre suite!!!
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ca respire le bonheur tout ça ! c’est super agréable à lire en tout cas… ils sont vraiments "mimi" tous les deux
Oui j’ai un peu aussi à vrai dire…Elle tremblait pourtant de s’imaginer que dès que son horizon s’éclaircissait, cela ne durait jamais bien longtemps...
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
J'aime bien ce petit passage empreint de nostalgie.Il entendit l’eau de la douche couler et il ne pu s’empêcher de repenser à quelques semaines auparavant à Paris ou ce même bruit était parvenu à ses oreilles.
Went connaît bien sa soeur, on dirait.
L : arrête de t’inquiéter comme çà je ne suis pas en sucre ! Je ne suis pas malade Went, je suis juste enceinte !
W : chhuuuttt ! Je te rappelle qu’ici les murs ont des oreilles !
Dommage qu'il y ait cet avion à prendre... mais je pense qu'ils auront vite l'occasion de se rattraper.
Elle se laissa enrouler doucement autour de lui et ils n’arrivaient pas à se détacher l’un de l’autre tant leurs baisers les entraînaient dans une spirale de plaisir que ni l’un ni l’autre n’avait envie de quitter. Went se dégagea au prix d’un énorme effort.
W : je crois que tu devrais t’habiller...nous devons y aller, notre avion est dans 1 heure et demie !
Lilie se rassit, nue sur le lit, un sourire coquin aux lèvres.
L : j’ai envie de toi Wentworth...maintenant !
Il en crevait, elle était si désirable, si pleine de vie en cet instant qu’il aurait voulu lui sauter dessus et caresser chaque parcelle de son corps, encore et encore. Lui procurer tout ce plaisir qu’elle réclamait, il ne souhaitait que cela.
Alors, finalement, c'est Lilie qui abdique la première et révèle leur petit secret. Apparemment, vu la réaction de Sandra en les voyant, elle n'aurait pas pu tenir longtemps.il y avait même quelque chose d’étrange entre eux pensa Sandra...
Je me demande si Wentworth saura garder ce secret beaucoup plus longtemps
Je comprends Lilie. Elle a peur que tout ce bonheur disparaisse mais si elle veut en profiter pleinement, il faut qu'elle pense aux moments présents. Il est toujours temps d'affronter les problèmes quand ils arrivent. Il ne faut pas qu'elle ruine son bonheur en pensant à tous les drames qui peuvent arriver sinon, jamais elle n'en profitera.Elle tremblait pourtant de s’imaginer que dès que son horizon s’éclaircissait, cela ne durait jamais bien longtemps...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ils sont tout mimi ces deux, pourvu que ça dure
Une suite
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
oui, une suite un peu plus tard, promis !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Donc la voilà...
Merci à toutes pour vos messages, c'est trop gentil, trop mimi !
Malgré l’absence de Went, la première soirée de Lilie en Floride passa à vitesse grand V. Sandra lui prépara un petit repas et elle dînèrent sur la terrasse dans la bonne humeur. Amaury et Went les avait prévenues à tour de rôle que Paul ne les lâcheraient que tard dans la soirée...elles avaient alors improvisé et étaient restées tard à discuter, observant les lumières des bateaux dans la baie.
Sandra était ensuite rentrée et Lilie s’était installée dans le canapé du salon, cherchant vainement un programme télé intéressant sur les 200 chaînes disponibles sans succès. Elle finit par s’endormir vers 23h30, exténuée...
Un peu plus tôt dans l’après midi, Went avait rejoint le tournage et ses collègues et s’apprêtait à tourner leurs premières scènes sous le soleil de la Floride. Il se sentait confiant de savoir Lilie avec Sandra mais avait hâte de la retrouver.
En pleine séance de maquillage, Amaury n’arrêta pas de le questionner.
A : alors çà à l’air de rouler vous deux ? C’est reparti ?
W : oui...je suis complètement dingue d’elle...nous avons déjà perdu trop de temps !
A : tu es sur de toi ? Je veux pas être rabat-joie d’autant que c’est pas mon genre mais...vu ce qui s’est passé par le passé...tu vois ce que je veux dire...
W : t’inquiètes...c’est différent cette fois.
A : Ah ? Je te trouve bien sûr de toi ? Et le mariage c’est redevenu d’actualité ? Parce que j’en connais une qui va finir en Hp si çà continue !
W : non, on n’en a pas reparlé mais de qui tu parles ?
A : Mariana pardi ! Les journaux vont pas tarder de vous placardez à nouveau ensembles et si c’est pas déjà fait sur Internet par les fans qui vous ont pris en photo ! Comment tu crois qu’elle va le prendre !
W : attends, ce n’est pas parce que je l’ai revue quelquefois après le départ de Lilie et qu’on a renoué contact que...j’ai été très clair la dessus avec elle !
A : oui et bien crois moi qu’elle pensait certainement à autre chose elle !
W : je ne veux plus me prendre la tête avec çà maintenant...on verra bien !
Le reste de la courte journée de tournage se prolongea interminablement pour rattraper le retard accumulé et Went était vraiment déçu de ne pas pouvoir rentrer plus tôt.
Il quitta enfin le plateau à 00h00, exténué et impatient.
Après 20 minutes de route, il garait sa voiture sur le parking privé de leur résidence, remarquant au passage que tout était éteint.
Il ouvrit la porte de leur appartement doucement, faisant le moins de bruit possible. Il déposa ses affaires et s’approcha du canapé. Elle y était endormie, un visage angélique aux lèvres. Il se pencha et caressa son front d’où des mèches rebelles pendaient. Il décida de la transporter dans leur lit et la prit dans ses bras du mieux qu’il pu pour éviter de la réveiller.
Il la déposa délicatement dans la chambre et revint se coucher près d’elle quelques minutes plus tard. Il la regarda de nombreuses minutes dans la pénombre lunaire, souriant de la sentir si paisible au creux de ses bras et finit par s’endormir lui aussi, harassé par sa journée de tournage.
Le lendemain matin, il ne tournait pas avant 10 heures et fut réveillé par une agréable odeur de cuisine qui s’échappait à travers la porte de leur chambre laissée ouverte. Lilie n’était plus dans le lit et il la surprit alors qu’il était en haut des escaliers en train de s’affairer aux fourneaux. Elle était déjà habillée et douchée et lui adressa un immense sourire quand elle le vit s’approcher. Il l’enlaça par la taille et caressa ses cheveux avant d’embrasser son front.
L : bien dormi ?
W : comme un bébé !
Lilie ne pu s’empêcher de lui lancer un petit sourire, amusée de sa remarque. Il la regardait avec insistance et sous toutes les coutures.
L : qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu fais ?
W : je te détaille pour remarquer précisément chaque changement en toi !
L : et toute habillée tu remarques quelque chose ?
W : ce que tu portes est assez moulant chérie...
Elle le regarda amusée et secoua la tête négativement en levant les yeux au ciel.
W : çà sent rudement bon...
L : je suis affamée et sûre que tu n’as rien mangé hier soir alors...j’ai pensé qu’un bon p’tit dèj te ferait du bien...
Il s’approcha et se colla dans son dos en enlaçant son ventre et embrassant son cou.
W : tu as bien fait je suis affamé...
Ils déjeunèrent dans la bonne humeur en parlant de la résidence, de l’appartement, de la Floride...et Lilie finit par lui avouer qu’elle avait tout dit à Sandra en lui expliquant les raisons et malgré sa crainte, elle fut heureuse de constater qu’il approuva.
L : j’avais peur que tu te mettes en colère...
W : je comprends que tu ai besoin de partager çà avec quelqu'un, elle est ton amie la plus proche ici et tu es tout le temps avec elle alors tu as raison, elle aurait fini par avoir des doutes...
Lilie sauta de son siège, joyeuse de sa réaction et vint s’immiscer entre les cuisses de Went qui s’était tourné et lui faisait face. Il al regardait surpris et conquis. Il la trouvait si belle...
Elle se rapprocha un peu plus encore et vint enfouir sa tête au creux du cou de Went qui frissonna. Les cheveux de Lilie sentaient bon et ce contact rapproché commençait sérieusement à le mettre dans tous ces états.
Lilie se recula et fixa ses lèvres un instant avant de les frôler, doucement, jouant du supplice qui l’amusait tant. Went se laissa glisser du tabouret de bar et attrapa Lilie par la nuque pour l’obliger à lui donner un vrai baiser. Il en avait trop faim pour la laisser le torturer ainsi. Elle savait exactement le trouble qu’elle était capable de provoquer en lui mais savait aussi qu’elle ne maîtrisait jamais trop longtemps la situation qui se retournait souvent contre elle et les propres sensations qu’il lui insufflait y étaient pour beaucoup.
Le corps de Lilie se cambrait sous l’impulsion du plaisir et la force avec laquelle Wentworth tentait d’approfondir toujours plus son baiser. Les mains sous son tee-shirt, il faisait naître des milliards de frissons dans son corps, oubliant cependant de la laisser reprendre son souffle. C’est haletante qu’elle se dégagea, le regard enflammé par cette étreinte qui en appelait d’autres plus intimes...
Seule la sonnerie de son portable les tira de la brume de désir qui s’était emparée d’eux.
W : je suis désolé...c’est peut-être urgent...
Lilie acquiesça d’un sourire et se dégagea pour le laisser passer. Il décrocha.
A : Went ! C’est Amaury...je t’emmènes ? Je t’attends en bas dans dix minutes ?
W : mon dieu...c’est déjà l’heure ? J’arrive !
Il raccrocha et se retourna désolé vers Lilie qui soupira.
L : le travail... !
W : je te promets de rentrer plus tôt ce soir Lilie...je te promets que ce soir çà ira...je ne serais qu’à toi !
L : ne me fais pas une promesse que tu n’es pas sûr de pouvoir tenir Miller !
Il l’embrassa rapidement et alla se doucher en moins de cinq minutes. Il redescendit en trombe vêtu d’un simple jean plus qu’usé, d’un vieux tee-shirt blanc tout déformé et de ses éternelles bottines marrons...il était si sexy comme çà que Lilie ne pu s’empêcher de pousser un soupir d’impatience.
W : j’y vais...çà va aller ? Tu vois Sandra aujourd’hui ? Tu te reposes, tu me promets ?!
L : oui...arrêtes de t’inquiéter comme çà ! Je dois aller faire quelques courses avec elle et nous devons voir Paul dans l’après midi...
W : c’est pas un peu beaucoup tout çà ? Le médecin t’a prescrit du repos !
L : je te promets de faire attention...mais si je ne m’occupe pas un peu je vais mourir d’ennui sans toi !
Il l’attira plus fort contre lui, saisissant ses lèvres afin de se rassasier pour la journée et Lilie fit ce qu’il fallait pour approfondir leur baiser. Il ne se sentait plus le cœur de partir, leurs souffles se perdaient dans un océan de désir trop longtemps éloigné mais la sonnerie de l’interphone les ramena à la réalité.
W : çà doit être Amaury...faut que j’y alle !
Il s’éloigna sans quitter Lilie du regard bien décidé à tout mettre en œuvre pour être là le plus tôt possible ce soir...
çà fait du bien un peu de calme non ?
J'attends maintenant vos coms avec impatience et si vous êtes sages, y'aura peut-être une suite ce soir...
Merci à toutes pour vos messages, c'est trop gentil, trop mimi !
Chap 51 : TOURNAGE
Malgré l’absence de Went, la première soirée de Lilie en Floride passa à vitesse grand V. Sandra lui prépara un petit repas et elle dînèrent sur la terrasse dans la bonne humeur. Amaury et Went les avait prévenues à tour de rôle que Paul ne les lâcheraient que tard dans la soirée...elles avaient alors improvisé et étaient restées tard à discuter, observant les lumières des bateaux dans la baie.
Sandra était ensuite rentrée et Lilie s’était installée dans le canapé du salon, cherchant vainement un programme télé intéressant sur les 200 chaînes disponibles sans succès. Elle finit par s’endormir vers 23h30, exténuée...
Un peu plus tôt dans l’après midi, Went avait rejoint le tournage et ses collègues et s’apprêtait à tourner leurs premières scènes sous le soleil de la Floride. Il se sentait confiant de savoir Lilie avec Sandra mais avait hâte de la retrouver.
En pleine séance de maquillage, Amaury n’arrêta pas de le questionner.
A : alors çà à l’air de rouler vous deux ? C’est reparti ?
W : oui...je suis complètement dingue d’elle...nous avons déjà perdu trop de temps !
A : tu es sur de toi ? Je veux pas être rabat-joie d’autant que c’est pas mon genre mais...vu ce qui s’est passé par le passé...tu vois ce que je veux dire...
W : t’inquiètes...c’est différent cette fois.
A : Ah ? Je te trouve bien sûr de toi ? Et le mariage c’est redevenu d’actualité ? Parce que j’en connais une qui va finir en Hp si çà continue !
W : non, on n’en a pas reparlé mais de qui tu parles ?
A : Mariana pardi ! Les journaux vont pas tarder de vous placardez à nouveau ensembles et si c’est pas déjà fait sur Internet par les fans qui vous ont pris en photo ! Comment tu crois qu’elle va le prendre !
W : attends, ce n’est pas parce que je l’ai revue quelquefois après le départ de Lilie et qu’on a renoué contact que...j’ai été très clair la dessus avec elle !
A : oui et bien crois moi qu’elle pensait certainement à autre chose elle !
W : je ne veux plus me prendre la tête avec çà maintenant...on verra bien !
Le reste de la courte journée de tournage se prolongea interminablement pour rattraper le retard accumulé et Went était vraiment déçu de ne pas pouvoir rentrer plus tôt.
Il quitta enfin le plateau à 00h00, exténué et impatient.
Après 20 minutes de route, il garait sa voiture sur le parking privé de leur résidence, remarquant au passage que tout était éteint.
Il ouvrit la porte de leur appartement doucement, faisant le moins de bruit possible. Il déposa ses affaires et s’approcha du canapé. Elle y était endormie, un visage angélique aux lèvres. Il se pencha et caressa son front d’où des mèches rebelles pendaient. Il décida de la transporter dans leur lit et la prit dans ses bras du mieux qu’il pu pour éviter de la réveiller.
Il la déposa délicatement dans la chambre et revint se coucher près d’elle quelques minutes plus tard. Il la regarda de nombreuses minutes dans la pénombre lunaire, souriant de la sentir si paisible au creux de ses bras et finit par s’endormir lui aussi, harassé par sa journée de tournage.
Le lendemain matin, il ne tournait pas avant 10 heures et fut réveillé par une agréable odeur de cuisine qui s’échappait à travers la porte de leur chambre laissée ouverte. Lilie n’était plus dans le lit et il la surprit alors qu’il était en haut des escaliers en train de s’affairer aux fourneaux. Elle était déjà habillée et douchée et lui adressa un immense sourire quand elle le vit s’approcher. Il l’enlaça par la taille et caressa ses cheveux avant d’embrasser son front.
L : bien dormi ?
W : comme un bébé !
Lilie ne pu s’empêcher de lui lancer un petit sourire, amusée de sa remarque. Il la regardait avec insistance et sous toutes les coutures.
L : qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu fais ?
W : je te détaille pour remarquer précisément chaque changement en toi !
L : et toute habillée tu remarques quelque chose ?
W : ce que tu portes est assez moulant chérie...
Elle le regarda amusée et secoua la tête négativement en levant les yeux au ciel.
W : çà sent rudement bon...
L : je suis affamée et sûre que tu n’as rien mangé hier soir alors...j’ai pensé qu’un bon p’tit dèj te ferait du bien...
Il s’approcha et se colla dans son dos en enlaçant son ventre et embrassant son cou.
W : tu as bien fait je suis affamé...
Ils déjeunèrent dans la bonne humeur en parlant de la résidence, de l’appartement, de la Floride...et Lilie finit par lui avouer qu’elle avait tout dit à Sandra en lui expliquant les raisons et malgré sa crainte, elle fut heureuse de constater qu’il approuva.
L : j’avais peur que tu te mettes en colère...
W : je comprends que tu ai besoin de partager çà avec quelqu'un, elle est ton amie la plus proche ici et tu es tout le temps avec elle alors tu as raison, elle aurait fini par avoir des doutes...
Lilie sauta de son siège, joyeuse de sa réaction et vint s’immiscer entre les cuisses de Went qui s’était tourné et lui faisait face. Il al regardait surpris et conquis. Il la trouvait si belle...
Elle se rapprocha un peu plus encore et vint enfouir sa tête au creux du cou de Went qui frissonna. Les cheveux de Lilie sentaient bon et ce contact rapproché commençait sérieusement à le mettre dans tous ces états.
Lilie se recula et fixa ses lèvres un instant avant de les frôler, doucement, jouant du supplice qui l’amusait tant. Went se laissa glisser du tabouret de bar et attrapa Lilie par la nuque pour l’obliger à lui donner un vrai baiser. Il en avait trop faim pour la laisser le torturer ainsi. Elle savait exactement le trouble qu’elle était capable de provoquer en lui mais savait aussi qu’elle ne maîtrisait jamais trop longtemps la situation qui se retournait souvent contre elle et les propres sensations qu’il lui insufflait y étaient pour beaucoup.
Le corps de Lilie se cambrait sous l’impulsion du plaisir et la force avec laquelle Wentworth tentait d’approfondir toujours plus son baiser. Les mains sous son tee-shirt, il faisait naître des milliards de frissons dans son corps, oubliant cependant de la laisser reprendre son souffle. C’est haletante qu’elle se dégagea, le regard enflammé par cette étreinte qui en appelait d’autres plus intimes...
Seule la sonnerie de son portable les tira de la brume de désir qui s’était emparée d’eux.
W : je suis désolé...c’est peut-être urgent...
Lilie acquiesça d’un sourire et se dégagea pour le laisser passer. Il décrocha.
A : Went ! C’est Amaury...je t’emmènes ? Je t’attends en bas dans dix minutes ?
W : mon dieu...c’est déjà l’heure ? J’arrive !
Il raccrocha et se retourna désolé vers Lilie qui soupira.
L : le travail... !
W : je te promets de rentrer plus tôt ce soir Lilie...je te promets que ce soir çà ira...je ne serais qu’à toi !
L : ne me fais pas une promesse que tu n’es pas sûr de pouvoir tenir Miller !
Il l’embrassa rapidement et alla se doucher en moins de cinq minutes. Il redescendit en trombe vêtu d’un simple jean plus qu’usé, d’un vieux tee-shirt blanc tout déformé et de ses éternelles bottines marrons...il était si sexy comme çà que Lilie ne pu s’empêcher de pousser un soupir d’impatience.
W : j’y vais...çà va aller ? Tu vois Sandra aujourd’hui ? Tu te reposes, tu me promets ?!
L : oui...arrêtes de t’inquiéter comme çà ! Je dois aller faire quelques courses avec elle et nous devons voir Paul dans l’après midi...
W : c’est pas un peu beaucoup tout çà ? Le médecin t’a prescrit du repos !
L : je te promets de faire attention...mais si je ne m’occupe pas un peu je vais mourir d’ennui sans toi !
Il l’attira plus fort contre lui, saisissant ses lèvres afin de se rassasier pour la journée et Lilie fit ce qu’il fallait pour approfondir leur baiser. Il ne se sentait plus le cœur de partir, leurs souffles se perdaient dans un océan de désir trop longtemps éloigné mais la sonnerie de l’interphone les ramena à la réalité.
W : çà doit être Amaury...faut que j’y alle !
Il s’éloigna sans quitter Lilie du regard bien décidé à tout mettre en œuvre pour être là le plus tôt possible ce soir...
***
çà fait du bien un peu de calme non ?
J'attends maintenant vos coms avec impatience et si vous êtes sages, y'aura peut-être une suite ce soir...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Oh! que oui, ca fait du bien ce calme qui régne.
A mon avis, ce calme ne va pas durer longtemps, qui sait, je pense que Marianna viendra les dérangers dans leur paisible existence, enfin c'est juste ce que je pense
Vivement la suite ce soir, je te promets d'être très sage.
A mon avis, ce calme ne va pas durer longtemps, qui sait, je pense que Marianna viendra les dérangers dans leur paisible existence, enfin c'est juste ce que je pense
Vivement la suite ce soir, je te promets d'être très sage.
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Wentworth a l'air convaincu que, cette fois, leur histoire est sur de bons rails. Je l'espère aussi.W : oui...je suis complètement dingue d’elle...nous avons déjà perdu trop de temps !
A : tu es sur de toi ? Je veux pas être rabat-joie d’autant que c’est pas mon genre mais...vu ce qui s’est passé par le passé...tu vois ce que je veux dire...
W : t’inquiète...c’est différent cette fois.
A mon avis, Amaury va vite aussi se douter de quelque chose et peut-être qu'il essaiera de questionner Sandra à ce sujet.
J'ai comme l'impression que Marianna risque de refaire une petite apparitionW : attends, ce n’est pas parce que je l’ai revue quelquefois après le départ de Lilie et qu’on a renoué contact que...j’ai été très clair la dessus avec elle !
A : oui et bien crois moi qu’elle pensait certainement à autre chose elle !
W : je ne veux plus me prendre la tête avec çà maintenant...on verra bien !
J'aime bien aussi cette petite remarque qu'il lui faitW : comme un bébé !
Lilie ne pu s’empêcher de lui lancer un petit sourire, amusée de sa remarque. Il la regardait avec insistance et sous toutes les coutures.
Je crois que Wentworth ne veut pas perdre une miette des transformations physiques de Lilie.L : qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu fais ?
W : je te détaille pour remarquer précisément chaque changement en toi !
C'est bien que Lilie ait révélé à Wentworth qu'elle avait parlé de sa grossesse à Sandra. Je pense que Went doit être rassuré de le savoir, finalement. Pour lui, ça doit être très important de la sentir entourée, avec des amis sur qui elle peut compter et à qui elle peut se confier. Elle est loin de son pays. Il faut donc qu'elle se sente bien pour ne pas avoir trop le mal du pays.
L : j’avais peur que tu te mettes en colère...
W : je comprends que tu aies besoin de partager çà avec quelqu'un, elle est ton amie la plus proche ici et tu es tout le temps avec elle alors tu as raison, elle aurait fini par avoir des doutes...
Je crois que la soirée devrait êter plutôt agréable ..à moins que quelqu'un ne vienne ne leur gâcher.
Elle savait exactement le trouble qu’elle était capable de provoquer en lui mais savait aussi qu’elle ne maîtrisait jamais trop longtemps la situation qui se retournait souvent contre elle et les propres sensations qu’il lui insufflait y étaient pour beaucoup.
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
allez, je l'avais promis, même si c'est un peu tard, voici la suite !
Après le départ de Wentworth, Lilie resta toute seule dans le grand appartement et fit un peu de rangement. Le peu qu’elle fit l’épuisa et elle ne tarda pas à sombrer une nouvelle fois sur le canapé. C’est la sonnette de la porte d’entrée qui la réveilla en sursaut vers 12h30.
Elle se leva et ouvrit la porte à Sandra qui l’attendait depuis déjà une demi-heure.
S : mon dieu Lilie, tu as une tête !
L : je viens de me réveiller, je m’étais assoupie sur le canapé après que went soir parti et je n’ai pas vu le temps passer, excuse moi.
S : c’est rien et t’as l’air d’en avoir besoin ! Ecoute, je te propose qu’on remette les courses à plus tard, je t’invites à déjeuner et après on va voir Paul...Ok ?
L : çà me va, je reviens dans deux minutes !
Lilie monta se changer vite fait, posa de fines touches de maquillage sur ses yeux et mit une veste.
Elles déjeunèrent dans le centre historique de Miami, dans un charmant restaurant puis flânèrent un peu dans les rues adjacentes.
Le portable de Lilie sonna et un sourire se dessina sur son visage lorsqu’elle aperçut le nom de son appelant.
L : oui Mr Miller ?
W : Lilie...tu n’es pas à la maison ? Tu es avec Sandra ?
L : oui je suis avec Sandra et non je ne suis pas à la maison...elle m’a invitée à déjeuner ce midi et nous nous promenons maintenant. Elle me fait visiter Miami...
W : tu vas être fatiguée avec tout çà chérie...
L : Went ! J’ai dormi plus de deux heures ce matin après ton départ je ne vais pas faire que çà non plus et Sandra à repousser les courses...
W : tu me manques Lilie...
L : tu me manques aussi...
Ils terminèrent la conversation et Sandra et Lilie regagnèrent la voiture pour aller retrouver Paul et tout l’équipe du scénario.
Après vingt minutes de routes, elle arrivèrent au rendez vous donné mais trouvèrent l’endroit désert. Sandra interrogea une secrétaire pour savoir pourquoi aucun membre de l’équipe n’était encore là.
- ma collègue a du oublier de vous prévenir. Paul a eu un contretemps avec le tournage donc la réunion se fait directement là bas.
S : c’est pas possible ! C’est encore à vingt minutes d’ici ! Zut de zut !
L : c’est pas grave, Paul comprendra !
Elles repartirent en direction du lieu du tournage et arrivèrent en peu de temps grâce à la circulation fluide à cette heure de la journée.
Lilie était surexcitée à l’idée de croiser peut-être Went dans l’après midi.
En rentrant dans l’édifice, elles demandèrent leur chemin et rejoignirent les membres de l’équipe car la réunion avait visiblement déjà commencée.
Sandra frappa à a porte et entra.
P : Sandra ! Lilie ! Entrez !
Elles s’installèrent rapidement après un rapide salut à l’assemblée.
P : bon et bien maintenant je crois que tout le monde est là...tout d’abord, je voulais que vous sachiez que Lilie n’est pas là par hasard...je pense qu’elle va rester parmi nous un bon moment...enfin j’espère ! Je vous avais demandé de travailler sur certains objectifs fixés de scénarios pour cette saison et c’est justement celui de Lilie que j’ai retenu. J’ai quelques retouches à y apporter mais félicitations, c’est exactement ce que j’attendais ! ...
La réunion dura trois heures durant lesquelles ils partagèrent leurs différents points de vue sur les épisodes à venir en fonction des orientations données à la série par Paul.
Au même moment à quelques centaines de mètres...
- Bon les gars...on fait une pause ! Amaury tu peux aller au maquillage...euh...Went...d’ici quelques minutes tu peux revenir car on a changé des bricoles sur deux trois de tes répliques, un des scénariste verra çà avec toi...
W : ok...je reviens...
Ils disparurent pour prendre un peu l’air de l’extérieur et discuter. Dans le couloir, Lilie et Sandra discutait autour d’un café et riaient de leurs manigances.
Lorsque Wentworth revint quelques minutes plus tard, il demanda un soda et qui il devait voir. On lui indiqua d’aller dans sa loge. Il s’y rendit, poussant des jurons insignifiants, agacé par tant de changements alors qu’il ne souhaitait qu’une chose rentrer chez lui !
Il ouvrit la porte de la loge, scruta l’intérieur mais il n’y avait personne, tout juste un gobelet de café fumant sur la petite table basse. Il se décida à entrer et à peine eut-il refermé la porte que des mains se posèrent sur ses yeux. La douceur des mains qu’il ne connaissait que trop bien et le délicat parfum de son assaillante lui ramenèrent immédiatement le sourire aux lèvres.
W : Lilie... !
Il se retourna, dégageant ses yeux et la souleva dans ses bras.
L : hummmmmmmmmm ! Je ne regrette pas d’être venue !
W : mais qu’est-ce que tu fais là ? Et ta réunion ?
L : elle a eu lieu ici ! Alors on est venue et j’attendais votre pause avant qu’on reparte, je voulais absolument te voir !
Elle se serra dans ses bras et resta collée à lui de longues secondes.
L : hummmmm tu m’as manqué Went...j’ai envie de rester ici, avec toi !
W : je suis désolé mais je vais devoir y retourner ma puce...
Elle se dégagea l’œil mutin et s’enfuit en le laissant choir, s’esclaffant tout juste au loin
L : tant pis pour toi Miller ! Tu ne sais pas ce que tu loupes !
Il se vengerait ce soir pensa t-il, il se vengerait !
Le reste de l’après midi lui parut interminable et il en avait plus qu’assez comme ses collègues mais Paul et Brett voulaient absolument boucler ces séquences.
Il quitta le tournage à 9h00 du soir, imaginant Lilie exténuée et déjà au lit.
La route lui parut interminable et sa mine s’assombrit lorsqu’il constatait une nouvelle fois les lumières éteintes de l’appartement.
Il rentra sa clé dans la serrure et les posa sur le petit meuble de l’entrée. Une fois de plus, il rentrait trop tard pour elle.
Alors qu’il passait tout droit pour monter dans la chambre, la lumière de la cuisine s’alluma, laissant apparaître Lilie devant le bar qui séparait la cuisine du salon. Il cligna des yeux une fois, deux fois avant de réaliser ce qu’il voyait.
Elle était là, à l’attendre, nue sous un simple tablier et son regard en disait long sur ses intentions.
Elle s’approcha de lui déterminée et s’enquit de lui enlever sa veste.
L : Mr Miller est fatigué ?
Il laissa sa main traîner du coté des reins de Lilie et tira fermement sur le lacet qui maintenait le tablier attaché. L’étoffe se détacha et libéra le dos nu de Lilie. Il se laissa prendre au jeu.
W : j’espère que mon repas est prêt Melle...
Elle le contourna sans cesser de le provoquer du regard et ôta la frêle étoffe qui la recouvrait.
L : c’est prêt mais si Monsieur veut prendre un apéritif...
Il l’attrapa par la taille et plaqua ses lèvres contre celles de la jeune femme. Un désir indescriptible s’était emparé de lui. Totalement nue contre lui elle frissonnait de sentir ses bras protecteur sur sa peau fragile. Il la caressa et l’embrassa de longues minutes avant de la soulever dans ses bras et de la porter dans la chambre.
Il la posa au sol et ils continuèrent de s’embrasser inlassablement, sans réfléchir au temps qui s’écoulait. Lilie entreprit de lui enlever son tee shirt et le jean suivit peu de temps après. Leurs corps avaient basculé sur le lit et Went n’en finissait pas de caresser ce qui lui avait tant manqué. Lilie savourait leurs retrouvailles, plus entreprenante que jamais. Elle se contorsionnait sur Went avec une impressionnante détermination et les caresses de son partenaire ne faisaient que l’encourager.
Attisé par sa fougue, Went ne tarda pas à prendre le chemin de son entrejambe et il la pénétra avec une extrême douceur comme s’il craignait pour le petit locataire de ce corps qu’il choyait. Lilie le rassura d’un regard et il commença de lents vas et viens qui amenèrent Lilie au bord de l’extase. Elle sentait pourtant une retenue dans l’attitude de son amant et l’incita à se laisser aller en serrant fermement ses fesses dans ses mains pour l’encourager. Il la regardait amusé par tant d’entrain et se laissa peu à peu aller. Le corps de Lilie se raidit et elle noua ses jambes autour de ses hanches pour l’attirer un peu plus en elle alors qu’un râle de plaisir lui échappait. Elle sentit Wentworth céder et il gémit plusieurs fois le nom de Lilie alors que l’extase l’atteignait. Il se laissa tomber sur elle alors qu’elle gardait ses jambes autour de lui, voulant prolonger la magie de l’instant.
Un léger filet de sueur aux tempes, Went se dégagea et vint mourir un baiser sur al bouche de Lilie qui lui offrit un tendre sourire épanoui.
W : j’ai faim...
L : moi aussi...et j’ai une surprise pour toi !
W : mummmm ! çà se mange ?
L : oui !
W : du tiramisu ?
L : comment tu as deviné ?
W : c’est ta spécialité non ?
Il sauta du lit et enfila caleçon et tee shirt .
W : premier arrivé !
J'espère que çà vous aidera à passer une bonne nuit !
CHAP 52 LONGUE JOURNEE
Après le départ de Wentworth, Lilie resta toute seule dans le grand appartement et fit un peu de rangement. Le peu qu’elle fit l’épuisa et elle ne tarda pas à sombrer une nouvelle fois sur le canapé. C’est la sonnette de la porte d’entrée qui la réveilla en sursaut vers 12h30.
Elle se leva et ouvrit la porte à Sandra qui l’attendait depuis déjà une demi-heure.
S : mon dieu Lilie, tu as une tête !
L : je viens de me réveiller, je m’étais assoupie sur le canapé après que went soir parti et je n’ai pas vu le temps passer, excuse moi.
S : c’est rien et t’as l’air d’en avoir besoin ! Ecoute, je te propose qu’on remette les courses à plus tard, je t’invites à déjeuner et après on va voir Paul...Ok ?
L : çà me va, je reviens dans deux minutes !
Lilie monta se changer vite fait, posa de fines touches de maquillage sur ses yeux et mit une veste.
Elles déjeunèrent dans le centre historique de Miami, dans un charmant restaurant puis flânèrent un peu dans les rues adjacentes.
Le portable de Lilie sonna et un sourire se dessina sur son visage lorsqu’elle aperçut le nom de son appelant.
L : oui Mr Miller ?
W : Lilie...tu n’es pas à la maison ? Tu es avec Sandra ?
L : oui je suis avec Sandra et non je ne suis pas à la maison...elle m’a invitée à déjeuner ce midi et nous nous promenons maintenant. Elle me fait visiter Miami...
W : tu vas être fatiguée avec tout çà chérie...
L : Went ! J’ai dormi plus de deux heures ce matin après ton départ je ne vais pas faire que çà non plus et Sandra à repousser les courses...
W : tu me manques Lilie...
L : tu me manques aussi...
Ils terminèrent la conversation et Sandra et Lilie regagnèrent la voiture pour aller retrouver Paul et tout l’équipe du scénario.
Après vingt minutes de routes, elle arrivèrent au rendez vous donné mais trouvèrent l’endroit désert. Sandra interrogea une secrétaire pour savoir pourquoi aucun membre de l’équipe n’était encore là.
- ma collègue a du oublier de vous prévenir. Paul a eu un contretemps avec le tournage donc la réunion se fait directement là bas.
S : c’est pas possible ! C’est encore à vingt minutes d’ici ! Zut de zut !
L : c’est pas grave, Paul comprendra !
Elles repartirent en direction du lieu du tournage et arrivèrent en peu de temps grâce à la circulation fluide à cette heure de la journée.
Lilie était surexcitée à l’idée de croiser peut-être Went dans l’après midi.
En rentrant dans l’édifice, elles demandèrent leur chemin et rejoignirent les membres de l’équipe car la réunion avait visiblement déjà commencée.
Sandra frappa à a porte et entra.
P : Sandra ! Lilie ! Entrez !
Elles s’installèrent rapidement après un rapide salut à l’assemblée.
P : bon et bien maintenant je crois que tout le monde est là...tout d’abord, je voulais que vous sachiez que Lilie n’est pas là par hasard...je pense qu’elle va rester parmi nous un bon moment...enfin j’espère ! Je vous avais demandé de travailler sur certains objectifs fixés de scénarios pour cette saison et c’est justement celui de Lilie que j’ai retenu. J’ai quelques retouches à y apporter mais félicitations, c’est exactement ce que j’attendais ! ...
La réunion dura trois heures durant lesquelles ils partagèrent leurs différents points de vue sur les épisodes à venir en fonction des orientations données à la série par Paul.
Au même moment à quelques centaines de mètres...
- Bon les gars...on fait une pause ! Amaury tu peux aller au maquillage...euh...Went...d’ici quelques minutes tu peux revenir car on a changé des bricoles sur deux trois de tes répliques, un des scénariste verra çà avec toi...
W : ok...je reviens...
Ils disparurent pour prendre un peu l’air de l’extérieur et discuter. Dans le couloir, Lilie et Sandra discutait autour d’un café et riaient de leurs manigances.
Lorsque Wentworth revint quelques minutes plus tard, il demanda un soda et qui il devait voir. On lui indiqua d’aller dans sa loge. Il s’y rendit, poussant des jurons insignifiants, agacé par tant de changements alors qu’il ne souhaitait qu’une chose rentrer chez lui !
Il ouvrit la porte de la loge, scruta l’intérieur mais il n’y avait personne, tout juste un gobelet de café fumant sur la petite table basse. Il se décida à entrer et à peine eut-il refermé la porte que des mains se posèrent sur ses yeux. La douceur des mains qu’il ne connaissait que trop bien et le délicat parfum de son assaillante lui ramenèrent immédiatement le sourire aux lèvres.
W : Lilie... !
Il se retourna, dégageant ses yeux et la souleva dans ses bras.
L : hummmmmmmmmm ! Je ne regrette pas d’être venue !
W : mais qu’est-ce que tu fais là ? Et ta réunion ?
L : elle a eu lieu ici ! Alors on est venue et j’attendais votre pause avant qu’on reparte, je voulais absolument te voir !
Elle se serra dans ses bras et resta collée à lui de longues secondes.
L : hummmmm tu m’as manqué Went...j’ai envie de rester ici, avec toi !
W : je suis désolé mais je vais devoir y retourner ma puce...
Elle se dégagea l’œil mutin et s’enfuit en le laissant choir, s’esclaffant tout juste au loin
L : tant pis pour toi Miller ! Tu ne sais pas ce que tu loupes !
Il se vengerait ce soir pensa t-il, il se vengerait !
Le reste de l’après midi lui parut interminable et il en avait plus qu’assez comme ses collègues mais Paul et Brett voulaient absolument boucler ces séquences.
Il quitta le tournage à 9h00 du soir, imaginant Lilie exténuée et déjà au lit.
La route lui parut interminable et sa mine s’assombrit lorsqu’il constatait une nouvelle fois les lumières éteintes de l’appartement.
Il rentra sa clé dans la serrure et les posa sur le petit meuble de l’entrée. Une fois de plus, il rentrait trop tard pour elle.
Alors qu’il passait tout droit pour monter dans la chambre, la lumière de la cuisine s’alluma, laissant apparaître Lilie devant le bar qui séparait la cuisine du salon. Il cligna des yeux une fois, deux fois avant de réaliser ce qu’il voyait.
Elle était là, à l’attendre, nue sous un simple tablier et son regard en disait long sur ses intentions.
Elle s’approcha de lui déterminée et s’enquit de lui enlever sa veste.
L : Mr Miller est fatigué ?
Il laissa sa main traîner du coté des reins de Lilie et tira fermement sur le lacet qui maintenait le tablier attaché. L’étoffe se détacha et libéra le dos nu de Lilie. Il se laissa prendre au jeu.
W : j’espère que mon repas est prêt Melle...
Elle le contourna sans cesser de le provoquer du regard et ôta la frêle étoffe qui la recouvrait.
L : c’est prêt mais si Monsieur veut prendre un apéritif...
Il l’attrapa par la taille et plaqua ses lèvres contre celles de la jeune femme. Un désir indescriptible s’était emparé de lui. Totalement nue contre lui elle frissonnait de sentir ses bras protecteur sur sa peau fragile. Il la caressa et l’embrassa de longues minutes avant de la soulever dans ses bras et de la porter dans la chambre.
Il la posa au sol et ils continuèrent de s’embrasser inlassablement, sans réfléchir au temps qui s’écoulait. Lilie entreprit de lui enlever son tee shirt et le jean suivit peu de temps après. Leurs corps avaient basculé sur le lit et Went n’en finissait pas de caresser ce qui lui avait tant manqué. Lilie savourait leurs retrouvailles, plus entreprenante que jamais. Elle se contorsionnait sur Went avec une impressionnante détermination et les caresses de son partenaire ne faisaient que l’encourager.
Attisé par sa fougue, Went ne tarda pas à prendre le chemin de son entrejambe et il la pénétra avec une extrême douceur comme s’il craignait pour le petit locataire de ce corps qu’il choyait. Lilie le rassura d’un regard et il commença de lents vas et viens qui amenèrent Lilie au bord de l’extase. Elle sentait pourtant une retenue dans l’attitude de son amant et l’incita à se laisser aller en serrant fermement ses fesses dans ses mains pour l’encourager. Il la regardait amusé par tant d’entrain et se laissa peu à peu aller. Le corps de Lilie se raidit et elle noua ses jambes autour de ses hanches pour l’attirer un peu plus en elle alors qu’un râle de plaisir lui échappait. Elle sentit Wentworth céder et il gémit plusieurs fois le nom de Lilie alors que l’extase l’atteignait. Il se laissa tomber sur elle alors qu’elle gardait ses jambes autour de lui, voulant prolonger la magie de l’instant.
Un léger filet de sueur aux tempes, Went se dégagea et vint mourir un baiser sur al bouche de Lilie qui lui offrit un tendre sourire épanoui.
W : j’ai faim...
L : moi aussi...et j’ai une surprise pour toi !
W : mummmm ! çà se mange ?
L : oui !
W : du tiramisu ?
L : comment tu as deviné ?
W : c’est ta spécialité non ?
Il sauta du lit et enfila caleçon et tee shirt .
W : premier arrivé !
***
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soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ils sont trop mignons ces deux là!!!
J'éspère qu'ils ne seront plus jamais séparés
Une suite!!!!!
J'éspère qu'ils ne seront plus jamais séparés
Une suite!!!!!
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Cette fois, on la sent totalement libre, heureuse. On dirait une ado pressée de retrouver celui qui fait chavirer son coeurLilie était surexcitée à l’idée de croiser peut-être Went dans l’après midi.
Elle est très entreprenante. Je crois que ce n'est pas pour déplaire à Wentworth. Elle devient de plus en plus coquine et je crois qu'il a vraiment dû apprécier cet "apéro"Elle était là, à l’attendre, nue sous un simple tablier et son regard en disait long sur ses intentions.
Elle s’approcha de lui déterminée et s’enquit de lui enlever sa veste.
L : Mr Miller est fatigué ?
Il laissa sa main traîner du coté des reins de Lilie et tira fermement sur le lacet qui maintenait le tablier attaché. L’étoffe se détacha et libéra le dos nu de Lilie. Il se laissa prendre au jeu.
W : j’espère que mon repas est prêt Melle...
Elle le contourna sans cesser de le provoquer du regard et ôta la frêle étoffe qui la recouvrait.
L : c’est prêt mais si Monsieur veut prendre un apéritif...
J'adore la référence au "petit locataire". C'est si mignon. Wentworth est si délicat. Ils ont l'air pleinement amoureux l'un de l'autre. Lilie est très appréciée pour son travail, ce qui doit aussi la râvir. Tout se passe merveilleusement bien, mais je suis persuadée que tu nous prépares un petit rebondissement comme le retour de Marianna, par exempleAttisé par sa fougue, Went ne tarda pas à prendre le chemin de son entrejambe et il la pénétra avec une extrême douceur comme s’il craignait pour le petit locataire de ce corps qu’il choyait.
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite !
Miami - Jeudi 16 Octobre 2008 – 07 :30 am, heure locale
Went était éveillée depuis dix minutes à peu près et regardait Lilie qui semblait encore dormir profondément. L’appartement était plongé dans le silence et on aurait pu croire à cet instant qu’ils étaient coupés du monde qui les entourait. Il l’observait contre lui, le visage détendu et apaisé, la respiration régulière. Il caressa du bout du doigt sa peau dorée et descendit jusqu’à son ventre qu’il frôla. Malgré sa minceur, aucune marque ne trahissait encore la grossesse de Lilie. Faisant plusieurs fois le contour de son nombril, il finit par poser tendrement sa paume contre la douce chair de son ventre savourant le plaisir intact de l’instant.
Lorsqu’il releva le regard vers Lilie, il rencontra ses deux prunelles noires qui le fixaient, amusées.
W : je ne voulais pas et réveiller...
Lilie lui sourit et l’attira à elle amoureusement.
L : tu n’as pas à t’excuser...réveilles-moi comme çà chaque matin et je serais une femme comblée...
Elle se redressa doucement dans le lit pour se mettre en position assise mais son visage épanoui se transforma en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Elle se leva précipitamment, manquant de trébucher à cause du drap et se dirigea vers les toilettes les plus proches accompagnée des paroles inquiètes de Went.
W : Lilie çà ne va pas ?!!!
Alors qu’il s’apprêtait à la rejoindre, il l’entendit vomir et se contenta de frapper à la porte.
W : tu es sûre que çà va ?
Il la vit sortir peu de temps après, les traits tirés.
L : non...çà va pas...je...j’ai...
Elle fit demi-tour et se précipita à nouveau au dessus de la cuvette des toilettes.
Il se rapprocha et lui passa un linge frais sur le visage. Lorsque la crise de nausée sembla vouloir la laisser en paix, il la serra dans ses bras et l’entraîna au réez de chaussée pour prendre le petit déjeuner. Il ne se sentait pas de la laisser seule toute la journée mais ne pouvais absolument pas s’absenter, Paul ne l’accepterait jamais.
W : je ne veux pas te laisser seule aujourd’hui....
L : Went...ce n’est rien...juste des petites nausées matinales...çà va passer, ne t’inquiètes pas !
W : c’est normal que je m’inquiètes chérie...j’appelle Sandra !
Elle le regarda exaspérée, composer le numéro. Il lui expliqua rapidement ses inquiétudes et Sandra fut là à peine une demi-heure plus tard alors qu’il partait.
W : bonjour Sandra...je suis désolé de te déranger si tôt mais je me fais tellement de souci et tu es la seule à savoir...
S : çà va Went...çà me fait plaisir !
Ils partirent dans un fou rire et après avoir embrassé Lilie avec fougue il rejoignit Amaury.
Lilie craquait complètement de le savoir si prévenant et attentionné. Les nausées étaient passées et elle dévorait maintenant des pancakes nappés de sirop d’érable...
S : çà va mieux on dirait...
L : je lui ai dit que çà allait passer, c’est juste des nausées matinales mais il a rien voulu entendre !
S : il est chou je trouve moi ! Toujours au p’tits soins avec toi...c’est mimi !
Les deux amies passèrent la journées à bavarder et allèrent se promener et faire les boutiques dans l’après midi.
Les semaines qui suivirent, Lilie fatiguait plus rapidement, avait tendance à fortement somnoler après le repas du midi et son appétit s’élargissait pour la plus grande joie de Went qui la voyait avec stupeur avaler de gros hamburgers gras. Si rien ne se voyait au niveau de son ventre, il constatait avec plaisir qu’il n’en était pas de même pour sa poitrine et ne s’en plaignait pas, bien au contraire...
Lilie avait avoué son état à Paul, trois semaines après son arrivée en Floride car elle ne cessait d’âtre malade.
Les semaines défilèrent encore, au rythme du tournage pour Went et du travail sur le scénario pour Lilie...mais tous les deux n’attendaient plus qu’une chose, la première échographie officielle de leur baby...
Jeudi 13 Novembre 2008 – Miami
Serrés l’un près de l’autre dans la luxueuse salle d’attente d’un prestigieux cabinet médical, Lilie et Went attendaient leur tour. Un médecin échographiste ne tarda pas à arriver et les accompagne dans la salle d’auscultation. Il demanda à Lilie de se déshabiller et lui applique un liquide froid sur le ventre. Il posa ensuite l’embout de l’appareil et appuya fortement.
Au bout de quelques secondes à peine, ils distinguèrent nettement une petite masse qui avait déjà la forme d’un nourrisson. Lilie ne pu s’empêcher d’échapper un rire nerveux et Went lui serra la main plus fort, faisant naviguer son regard de Lilie au moniteur. Le médecin leur tira plusieurs clichés et il leur fit ensuite écouter le cœur du bébé.
Ils ressortirent du cabinet souriant aux anges, rassurés et conquis par ce petit être qui semblait si bien se plaire là où il se trouvait. Ils avaient vu le médecin deux jours plus tôt qui les avait rassurés sur l’état de santé du bébé et de la maman qui se portaient comme un charme. Il les avait également informés que les risques de fausses couches devenaient minimes et que tout semblait vouloir se dérouler pour le mieux.
Went et Lilie décidèrent donc d’aller de l’avant et de partager leur secret avec leur entourage...
L : tes parents viennent nous voir dans 10 jours, on pourrait leur annoncer ?
W : ma mère va être folle ! J’ai hâte de voir sa tête quand elle saura qu’elle va être grand-mère ! Et mon père...
L : on attends que tes parents soient au courant et on le dis à tout le monde ensuite ?
W : si tu veux, çà me va !
L : de toute façon, je ne pourrais pas cacher çà encore longtemps !
Il rigola alors qu’il voyait le ventre de Lilie qui commençait très légèrement à pointer.
Elle n’avait pas beaucoup grossi mais sa poitrine était beaucoup plus volumineuse et son ventre s’arrondissait, laissant apercevoir une légère bosse qui se formait.
Went en était ravi mais tout le monde connaissait Lilie et lorsqu’elle venait sur le plateau pour ses réunions, les collègues ne tarderaient pas s’en apercevoir.
Ils rentrèrent dans un restaurant main dans la main, bien décidés à fêter cette heureuse nouvelle...
Voilà...tout va bien dans le meilleur des mondes
Chap 53 : SYMPTÔMES
Miami - Jeudi 16 Octobre 2008 – 07 :30 am, heure locale
Went était éveillée depuis dix minutes à peu près et regardait Lilie qui semblait encore dormir profondément. L’appartement était plongé dans le silence et on aurait pu croire à cet instant qu’ils étaient coupés du monde qui les entourait. Il l’observait contre lui, le visage détendu et apaisé, la respiration régulière. Il caressa du bout du doigt sa peau dorée et descendit jusqu’à son ventre qu’il frôla. Malgré sa minceur, aucune marque ne trahissait encore la grossesse de Lilie. Faisant plusieurs fois le contour de son nombril, il finit par poser tendrement sa paume contre la douce chair de son ventre savourant le plaisir intact de l’instant.
Lorsqu’il releva le regard vers Lilie, il rencontra ses deux prunelles noires qui le fixaient, amusées.
W : je ne voulais pas et réveiller...
Lilie lui sourit et l’attira à elle amoureusement.
L : tu n’as pas à t’excuser...réveilles-moi comme çà chaque matin et je serais une femme comblée...
Elle se redressa doucement dans le lit pour se mettre en position assise mais son visage épanoui se transforma en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Elle se leva précipitamment, manquant de trébucher à cause du drap et se dirigea vers les toilettes les plus proches accompagnée des paroles inquiètes de Went.
W : Lilie çà ne va pas ?!!!
Alors qu’il s’apprêtait à la rejoindre, il l’entendit vomir et se contenta de frapper à la porte.
W : tu es sûre que çà va ?
Il la vit sortir peu de temps après, les traits tirés.
L : non...çà va pas...je...j’ai...
Elle fit demi-tour et se précipita à nouveau au dessus de la cuvette des toilettes.
Il se rapprocha et lui passa un linge frais sur le visage. Lorsque la crise de nausée sembla vouloir la laisser en paix, il la serra dans ses bras et l’entraîna au réez de chaussée pour prendre le petit déjeuner. Il ne se sentait pas de la laisser seule toute la journée mais ne pouvais absolument pas s’absenter, Paul ne l’accepterait jamais.
W : je ne veux pas te laisser seule aujourd’hui....
L : Went...ce n’est rien...juste des petites nausées matinales...çà va passer, ne t’inquiètes pas !
W : c’est normal que je m’inquiètes chérie...j’appelle Sandra !
Elle le regarda exaspérée, composer le numéro. Il lui expliqua rapidement ses inquiétudes et Sandra fut là à peine une demi-heure plus tard alors qu’il partait.
W : bonjour Sandra...je suis désolé de te déranger si tôt mais je me fais tellement de souci et tu es la seule à savoir...
S : çà va Went...çà me fait plaisir !
Ils partirent dans un fou rire et après avoir embrassé Lilie avec fougue il rejoignit Amaury.
Lilie craquait complètement de le savoir si prévenant et attentionné. Les nausées étaient passées et elle dévorait maintenant des pancakes nappés de sirop d’érable...
S : çà va mieux on dirait...
L : je lui ai dit que çà allait passer, c’est juste des nausées matinales mais il a rien voulu entendre !
S : il est chou je trouve moi ! Toujours au p’tits soins avec toi...c’est mimi !
Les deux amies passèrent la journées à bavarder et allèrent se promener et faire les boutiques dans l’après midi.
Les semaines qui suivirent, Lilie fatiguait plus rapidement, avait tendance à fortement somnoler après le repas du midi et son appétit s’élargissait pour la plus grande joie de Went qui la voyait avec stupeur avaler de gros hamburgers gras. Si rien ne se voyait au niveau de son ventre, il constatait avec plaisir qu’il n’en était pas de même pour sa poitrine et ne s’en plaignait pas, bien au contraire...
Lilie avait avoué son état à Paul, trois semaines après son arrivée en Floride car elle ne cessait d’âtre malade.
Les semaines défilèrent encore, au rythme du tournage pour Went et du travail sur le scénario pour Lilie...mais tous les deux n’attendaient plus qu’une chose, la première échographie officielle de leur baby...
Jeudi 13 Novembre 2008 – Miami
Serrés l’un près de l’autre dans la luxueuse salle d’attente d’un prestigieux cabinet médical, Lilie et Went attendaient leur tour. Un médecin échographiste ne tarda pas à arriver et les accompagne dans la salle d’auscultation. Il demanda à Lilie de se déshabiller et lui applique un liquide froid sur le ventre. Il posa ensuite l’embout de l’appareil et appuya fortement.
Au bout de quelques secondes à peine, ils distinguèrent nettement une petite masse qui avait déjà la forme d’un nourrisson. Lilie ne pu s’empêcher d’échapper un rire nerveux et Went lui serra la main plus fort, faisant naviguer son regard de Lilie au moniteur. Le médecin leur tira plusieurs clichés et il leur fit ensuite écouter le cœur du bébé.
Ils ressortirent du cabinet souriant aux anges, rassurés et conquis par ce petit être qui semblait si bien se plaire là où il se trouvait. Ils avaient vu le médecin deux jours plus tôt qui les avait rassurés sur l’état de santé du bébé et de la maman qui se portaient comme un charme. Il les avait également informés que les risques de fausses couches devenaient minimes et que tout semblait vouloir se dérouler pour le mieux.
Went et Lilie décidèrent donc d’aller de l’avant et de partager leur secret avec leur entourage...
L : tes parents viennent nous voir dans 10 jours, on pourrait leur annoncer ?
W : ma mère va être folle ! J’ai hâte de voir sa tête quand elle saura qu’elle va être grand-mère ! Et mon père...
L : on attends que tes parents soient au courant et on le dis à tout le monde ensuite ?
W : si tu veux, çà me va !
L : de toute façon, je ne pourrais pas cacher çà encore longtemps !
Il rigola alors qu’il voyait le ventre de Lilie qui commençait très légèrement à pointer.
Elle n’avait pas beaucoup grossi mais sa poitrine était beaucoup plus volumineuse et son ventre s’arrondissait, laissant apercevoir une légère bosse qui se formait.
Went en était ravi mais tout le monde connaissait Lilie et lorsqu’elle venait sur le plateau pour ses réunions, les collègues ne tarderaient pas s’en apercevoir.
Ils rentrèrent dans un restaurant main dans la main, bien décidés à fêter cette heureuse nouvelle...
***
Voilà...tout va bien dans le meilleur des mondes
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Merci pour cette suite, ca me fait plaisir de vois qu'ils sont heureux!!!
Vivement une autre suite!!!!!!!!!!!!!!!
Vivement une autre suite!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Il est vraiment très tendre, très prévenantIl caressa du bout du doigt sa peau dorée et descendit jusqu’à son ventre qu’il frôla. Malgré sa minceur, aucune marque ne trahissait encore la grossesse de Lilie. Faisant plusieurs fois le contour de son nombril, il finit par poser tendrement sa paume contre la douce chair de son ventre savourant le plaisir intact de l’instant.
ça ne m'étonne pas !Si rien ne se voyait au niveau de son ventre, il constatait avec plaisir qu’il n’en était pas de même pour sa poitrine et ne s’en plaignait pas, bien au contraire...
C'est marrant, mais je ne la sens pas trop cette petite virée au restaurant. Vont-ils être photagraphiés et la grossesse de Lilie révélée par les journaux à scandale avant qu'ils n'aient eu la joie de l'annoncer à leur proches ou vont-ils rencontrer Marianna ? Lilie va-t-elle avoir un malaise ?Ils rentrèrent dans un restaurant main dans la main, bien décidés à fêter cette heureuse nouvelle...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
vous me prenez vraiment pour une grosse sadique !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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