Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Oh c’est que du bonheur ! c’est tellement agréable de les voir heureux tous les deux ! Ils sont spontanés, tendres, plein d’amour l’un pou l’autre ! c’est très beau !
Merci Soso Burrows !
Merci Soso Burrows !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
voilà la suite du jour...
Vendredi 21 Novembre 2008 – Miami
La pause hivernale du tournage pointait le bout de son nez. Les parents de Went devaient débarquer dans la fin d’après midi de New York et Lilie avait tenu à cuisiner elle-même malgré les supplications de Went. Elle adorait faire la cuisine et se sentait guillerette d’avoir son homme en vacances pendant près d’un mois et demi. Certes, quelques photoshoots, interviews et sorties officielles viendraient noircir l’idyllique tableau mais dans l’ensemble pas de quoi fouetter un chat...
Elle s’affairait aux fourneaux depuis le début d’après midi et lorsque Went rentra, il n’apprécia pas vraiment la mine qu’il lui trouva.
W : Chérie ! J’aimerais vraiment que tu sois raisonnable...la soirée risque d’être longue...va te reposer un peu.
Lilie ne voulait pas avouer sa fatigue mais elle acquiesca sans broncher.
Il se frotta les mains de la savoir allongée. Il avait enfin un peu de tranquillité et d’intimité pour préparer sa surprise. Il pianota sur Internet un moment avant de trouver enfin ce qu’il cherchait. Un peu plus tard, il devait aller chercher ses parents à l’aéroport et alla tout de même vérifier si Lilie dormait bien. Rassuré, il attrapa les clés et sa veste et fila.
Lilie l’entendit fermer la porte et se leva pour terminer de préparer tout pour la soirée. Ce week-end risquait d’être assez fatiguant pour elle mais bon...
A l’aéroport, Went attendit plus d’une demi-heure car l’avion de ses parents avait du retard. Lorsqu’ils arrivèrent ils furent surpris de ne pas voir Lilie.
J : Lilie n’est pas avec toi ? Elle va bien au moins ?
W : ne t’inquiètes pas maman, elle va très bien...elle est à la maison mais elle est un peu fatiguée alors elle est restée se reposer en attendant que je vienne vous chercher.
J : ah...on y va ?
W : c’est parti !
J : attends mon chéri...je vais m’arrêter chez le fleuriste sur le chemin pour acheter un bouquet de fleurs...qu’est-ce qu’elle aime ?
W : les tulipes !
Went était un peu nerveux, à la fois excité mais aussi anxieux. Il n’avait aucune raison à cela car il connaissait d’avance la réaction de joie qu’ils auraient mais c’était plus fort que lui.
Après un petit détour chez le fleuriste, ils arrivèrent enfin devant chez Went et Lilie et sa mère s’extasiait devant la beauté de la Floride et le luxe dans lequel son fils vivait aujourd’hui. Il se gara au parking et leur expliqua que s’était la production qui leur payait les appartements.
Lorsqu’il ouvrit la porte, il fut surpris de trouver Lilie aux fourneaux, une fois de plus. Elle s’approcha, le visage beaucoup plus reposé et salua chaleureusement les parents de Wentworth.
Joy lui tendit le bouquet de fleurs.
L : merci...c’est vraiment très gentil de votre part...
W : maman adore ce genre d’attentions !
L : mais çà me va Went...tu sais çà se fait beaucoup en France ce genre de choses !
J : et toc ! Tu devrais y penser !
Went les débarrassa de leurs affaires et les installa dans la chambre d’amis. Il leur servit un verre d’apéritif et s’approcha de Lilie qui était en cuisine.
W : chérie...tu veux prendre un verre de vin ?
L : non merci...un verre de jus de fruit pour moi...tes aprents sont heureux ?
W : ils ont l’air ravis de passer ce week-end avec nous ! Tu nous rejoint ?
L : je suis à vous dans deux minutes !
Went s’approcha et enserra sa taille avant de plonger ses lèvres sur celle de Lilie. Il chatouilla tendrement son nez avec le sien et se dégagea en déposant un dernier baiser dans son cou.
W : pour le moment tu es à moi !
Ils rejoignirent les parents de Went bras dessus bras dessous et s’installèrent face à eux dans le sofa. Lilie n’avait fait que cuisiner. Des allumettes au fromages, des brochettes de légumes, des olives du fromage, les amuses bouches de l’apéritif ne manqueraient pas !
J : vous êtes un petit cordon bleu Lilie ! Et cette table est magnifiquement dressée ! On reconnaît bien là le bon goût à la française !
L : merci ! Je n’ai pas eu de sphère familiale quand j’étais petite et la maman de ma meilleure amie m’a tout appris. J’adorais la voir préparer ses grands repas ou elle faisait tout elle-même de a à z. Elle est italienne et m’a appris tout ce que je sais ! Je m’étais toujours dit que le jour où j’aurais une famille bien à moi j’en ferais autant...
Went avait resserré sa main dans celle de Lilie qui était émue d’un tel aveu. Elle s’était toujours sentie à l’aise avec les parents de Went et n’avait pas peur d’avouer son passé avec lequel elle était en paix aujourd’hui, grâce à lui et à cette vie qu’ils se créaient.
J : cela n’a pas du être facile pour vous Lilie...mais vous pouvez être fière de vous, vous êtes une fille brillante !
Lilie lui sourit et lui tendit le plat de gâteaux.
Ils passèrent à table et les plats se succédèrent avec succès. Ils trouvèrent la cuisine de Lilie raffinée et inventive. Arrivés au dessert, Joy se proposa de venir l’aider en cuisine mais elle refusa poliment. Went se leva et l’accompagna nerveux. Dès qu’ils eurent le dos tournés, la maman de Went ne pu s’empêcher de faire une réflexion.
J : tu ne trouves pas notre fils bizarre ?
Papa Went : pourquoi tu dis çà ? Non...à part qu’il est fou amoureux de cette fille, je ne vois rien d’autre !
Joy leva les yeux au ciel, ne comprenant pas l’aveuglement de son mari.
J : moi je te dis qu’il y a quelque chose !
Papa Went : si tu le dis !
Pendant ce temps là en cuisine...
L : tu leur annonces maintenant ?
Went se retourna, une bouteille de champagne dans les mains, un large sourire aux lèvres.
W : je suis prêt !
Lilie le regarda amusée, il avait l’air d’un enfant qui annonce à ses parents qu’il a eu une image à l’école !
Elle termina de saupoudrer le Tiramisu de chocolat amer et le suivit qui rejoignait ses parents. A la vue de la bouteille que tenait son fils, son père fronça les sourcils.
Papa Went : on fête quelque chose ?
W : oui...on peut dire çà...
La mère de Went ne tenait plus en place. Il jeta un coup d’œil à Lilie qui lui fit signe d’y aller. Il se rapprocha d’elle et la serra dans ses bras. Après lui avoir jeté un regard enflammé il se lança.
W : voilà...on ne vous a pas fait venir pour rien...
Il se racla la gorge, nerveux.
W : maman...papa...Lilie et moi tenions à ce que vous soyez les premiers à savoir que...nous allons avoir un bébé.
Joy restait sans voix, paralysée par cette nouvelle. Elle se leva ensuite et se précipita au cou de son fils et l’embrassa puis caressa tendrement la joue de Lilie.
J : c’est merveilleux...oh c’est merveilleux ! Mais dis quelque chose Went !
Elle se tourna vers son mari qui n’avait pas bougé, il semblait tout retourné de cette nouvelle et Went s’approcha de lui et lui posa la main sur l’épaule.
W : papa, çà va ?
Papa Went : oh oui...très bien...mais je ne m’y attendais pas...c’est à dire qu’avec ta mère nous attendons çà depuis si longtemps !
Went tendis la main à son père qui se leva et le serra dans ses bras avant de rejoindre Lilie et de la féliciter.
J : et c’est prévu pour quand ?
L : mai prochain !
J : ah ! Donc ce n’est pas non plus tout récent ! Je me disais aussi que je trouvais que vous aviez pris de ventre !
Lilie rigola, entraînant toute l’assemblée. Effectivement, son petit ventre plat pointait de plus en plus et elle ne pourrait plus du tout le cacher dans quelques semaines.
Le reste de la soirée se passa dans la très bonne humeur et la mère de Went n’arrêtais pas de faire des pronostics sur le sexe du bébé, demandant s’il n’y en avait bien q’un seul...
Went leur montra les clichés de la première échographie.
J : mais dis moi chéri...au mois d’août Lilie n’était pas ici ? Comment vous ???
W : lors de mon voyage à Paris...nous étions séparés mais on s’est vus et même si çà ne s’est pas très bien passé...çà a laissé des traces...nous l’avons appris quand Lilie a fait son malaise à l’hôpital !
J : bandes de petits cachottiers !
La soirée s’avança et Lilie n’en pouvait plus de fatigue. Ils allèrent se coucher, ravis et amusés par la réaction des parents de Went, comblés et impatients.
Le week-end promettait d’être animé !
Une autre suite en fin de journée si vous la voulez bien sur !
Chap 54 : ANNONCE Part 1
Vendredi 21 Novembre 2008 – Miami
La pause hivernale du tournage pointait le bout de son nez. Les parents de Went devaient débarquer dans la fin d’après midi de New York et Lilie avait tenu à cuisiner elle-même malgré les supplications de Went. Elle adorait faire la cuisine et se sentait guillerette d’avoir son homme en vacances pendant près d’un mois et demi. Certes, quelques photoshoots, interviews et sorties officielles viendraient noircir l’idyllique tableau mais dans l’ensemble pas de quoi fouetter un chat...
Elle s’affairait aux fourneaux depuis le début d’après midi et lorsque Went rentra, il n’apprécia pas vraiment la mine qu’il lui trouva.
W : Chérie ! J’aimerais vraiment que tu sois raisonnable...la soirée risque d’être longue...va te reposer un peu.
Lilie ne voulait pas avouer sa fatigue mais elle acquiesca sans broncher.
Il se frotta les mains de la savoir allongée. Il avait enfin un peu de tranquillité et d’intimité pour préparer sa surprise. Il pianota sur Internet un moment avant de trouver enfin ce qu’il cherchait. Un peu plus tard, il devait aller chercher ses parents à l’aéroport et alla tout de même vérifier si Lilie dormait bien. Rassuré, il attrapa les clés et sa veste et fila.
Lilie l’entendit fermer la porte et se leva pour terminer de préparer tout pour la soirée. Ce week-end risquait d’être assez fatiguant pour elle mais bon...
A l’aéroport, Went attendit plus d’une demi-heure car l’avion de ses parents avait du retard. Lorsqu’ils arrivèrent ils furent surpris de ne pas voir Lilie.
J : Lilie n’est pas avec toi ? Elle va bien au moins ?
W : ne t’inquiètes pas maman, elle va très bien...elle est à la maison mais elle est un peu fatiguée alors elle est restée se reposer en attendant que je vienne vous chercher.
J : ah...on y va ?
W : c’est parti !
J : attends mon chéri...je vais m’arrêter chez le fleuriste sur le chemin pour acheter un bouquet de fleurs...qu’est-ce qu’elle aime ?
W : les tulipes !
Went était un peu nerveux, à la fois excité mais aussi anxieux. Il n’avait aucune raison à cela car il connaissait d’avance la réaction de joie qu’ils auraient mais c’était plus fort que lui.
Après un petit détour chez le fleuriste, ils arrivèrent enfin devant chez Went et Lilie et sa mère s’extasiait devant la beauté de la Floride et le luxe dans lequel son fils vivait aujourd’hui. Il se gara au parking et leur expliqua que s’était la production qui leur payait les appartements.
Lorsqu’il ouvrit la porte, il fut surpris de trouver Lilie aux fourneaux, une fois de plus. Elle s’approcha, le visage beaucoup plus reposé et salua chaleureusement les parents de Wentworth.
Joy lui tendit le bouquet de fleurs.
L : merci...c’est vraiment très gentil de votre part...
W : maman adore ce genre d’attentions !
L : mais çà me va Went...tu sais çà se fait beaucoup en France ce genre de choses !
J : et toc ! Tu devrais y penser !
Went les débarrassa de leurs affaires et les installa dans la chambre d’amis. Il leur servit un verre d’apéritif et s’approcha de Lilie qui était en cuisine.
W : chérie...tu veux prendre un verre de vin ?
L : non merci...un verre de jus de fruit pour moi...tes aprents sont heureux ?
W : ils ont l’air ravis de passer ce week-end avec nous ! Tu nous rejoint ?
L : je suis à vous dans deux minutes !
Went s’approcha et enserra sa taille avant de plonger ses lèvres sur celle de Lilie. Il chatouilla tendrement son nez avec le sien et se dégagea en déposant un dernier baiser dans son cou.
W : pour le moment tu es à moi !
Ils rejoignirent les parents de Went bras dessus bras dessous et s’installèrent face à eux dans le sofa. Lilie n’avait fait que cuisiner. Des allumettes au fromages, des brochettes de légumes, des olives du fromage, les amuses bouches de l’apéritif ne manqueraient pas !
J : vous êtes un petit cordon bleu Lilie ! Et cette table est magnifiquement dressée ! On reconnaît bien là le bon goût à la française !
L : merci ! Je n’ai pas eu de sphère familiale quand j’étais petite et la maman de ma meilleure amie m’a tout appris. J’adorais la voir préparer ses grands repas ou elle faisait tout elle-même de a à z. Elle est italienne et m’a appris tout ce que je sais ! Je m’étais toujours dit que le jour où j’aurais une famille bien à moi j’en ferais autant...
Went avait resserré sa main dans celle de Lilie qui était émue d’un tel aveu. Elle s’était toujours sentie à l’aise avec les parents de Went et n’avait pas peur d’avouer son passé avec lequel elle était en paix aujourd’hui, grâce à lui et à cette vie qu’ils se créaient.
J : cela n’a pas du être facile pour vous Lilie...mais vous pouvez être fière de vous, vous êtes une fille brillante !
Lilie lui sourit et lui tendit le plat de gâteaux.
Ils passèrent à table et les plats se succédèrent avec succès. Ils trouvèrent la cuisine de Lilie raffinée et inventive. Arrivés au dessert, Joy se proposa de venir l’aider en cuisine mais elle refusa poliment. Went se leva et l’accompagna nerveux. Dès qu’ils eurent le dos tournés, la maman de Went ne pu s’empêcher de faire une réflexion.
J : tu ne trouves pas notre fils bizarre ?
Papa Went : pourquoi tu dis çà ? Non...à part qu’il est fou amoureux de cette fille, je ne vois rien d’autre !
Joy leva les yeux au ciel, ne comprenant pas l’aveuglement de son mari.
J : moi je te dis qu’il y a quelque chose !
Papa Went : si tu le dis !
Pendant ce temps là en cuisine...
L : tu leur annonces maintenant ?
Went se retourna, une bouteille de champagne dans les mains, un large sourire aux lèvres.
W : je suis prêt !
Lilie le regarda amusée, il avait l’air d’un enfant qui annonce à ses parents qu’il a eu une image à l’école !
Elle termina de saupoudrer le Tiramisu de chocolat amer et le suivit qui rejoignait ses parents. A la vue de la bouteille que tenait son fils, son père fronça les sourcils.
Papa Went : on fête quelque chose ?
W : oui...on peut dire çà...
La mère de Went ne tenait plus en place. Il jeta un coup d’œil à Lilie qui lui fit signe d’y aller. Il se rapprocha d’elle et la serra dans ses bras. Après lui avoir jeté un regard enflammé il se lança.
W : voilà...on ne vous a pas fait venir pour rien...
Il se racla la gorge, nerveux.
W : maman...papa...Lilie et moi tenions à ce que vous soyez les premiers à savoir que...nous allons avoir un bébé.
Joy restait sans voix, paralysée par cette nouvelle. Elle se leva ensuite et se précipita au cou de son fils et l’embrassa puis caressa tendrement la joue de Lilie.
J : c’est merveilleux...oh c’est merveilleux ! Mais dis quelque chose Went !
Elle se tourna vers son mari qui n’avait pas bougé, il semblait tout retourné de cette nouvelle et Went s’approcha de lui et lui posa la main sur l’épaule.
W : papa, çà va ?
Papa Went : oh oui...très bien...mais je ne m’y attendais pas...c’est à dire qu’avec ta mère nous attendons çà depuis si longtemps !
Went tendis la main à son père qui se leva et le serra dans ses bras avant de rejoindre Lilie et de la féliciter.
J : et c’est prévu pour quand ?
L : mai prochain !
J : ah ! Donc ce n’est pas non plus tout récent ! Je me disais aussi que je trouvais que vous aviez pris de ventre !
Lilie rigola, entraînant toute l’assemblée. Effectivement, son petit ventre plat pointait de plus en plus et elle ne pourrait plus du tout le cacher dans quelques semaines.
Le reste de la soirée se passa dans la très bonne humeur et la mère de Went n’arrêtais pas de faire des pronostics sur le sexe du bébé, demandant s’il n’y en avait bien q’un seul...
Went leur montra les clichés de la première échographie.
J : mais dis moi chéri...au mois d’août Lilie n’était pas ici ? Comment vous ???
W : lors de mon voyage à Paris...nous étions séparés mais on s’est vus et même si çà ne s’est pas très bien passé...çà a laissé des traces...nous l’avons appris quand Lilie a fait son malaise à l’hôpital !
J : bandes de petits cachottiers !
La soirée s’avança et Lilie n’en pouvait plus de fatigue. Ils allèrent se coucher, ravis et amusés par la réaction des parents de Went, comblés et impatients.
Le week-end promettait d’être animé !
***
Une autre suite en fin de journée si vous la voulez bien sur !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
J'adore, ils se font des petites cachoteries, tous les 2.Lilie ne voulait pas avouer sa fatigue mais elle acquiesça sans broncher.
Il se frotta les mains de la savoir allongée. Il avait enfin un peu de tranquillité et d’intimité pour préparer sa surprise. Il pianota sur Internet un moment avant de trouver enfin ce qu’il cherchait. Un peu plus tard, il devait aller chercher ses parents à l’aéroport et alla tout de même vérifier si Lilie dormait bien. Rassuré, il attrapa les clés et sa veste et fila.
Lilie l’entendit fermer la porte et se leva pour terminer de préparer tout pour la soirée. Ce week-end risquait d’être assez fatiguant pour elle mais bon...
Les 2 femmes sont bien complices et Wentworth a intérêt à avoir compris le messageL : merci...c’est vraiment très gentil de votre part...
W : maman adore ce genre d’attentions !
L : mais çà me va Went...tu sais çà se fait beaucoup en France ce genre de choses !
J : et toc ! Tu devrais y penser !
Cette fois, on voit que Lilie est en paix. Ce qui lui manquait vraiment c'était de se savoir capable d'offrir une famille à l'homme qu'elle aime et d'en construire une, elle qui n'en n'a pas eue.Je m’étais toujours dit que le jour où j’aurais une famille bien à moi j’en ferais autant...
Went avait resserré sa main dans celle de Lilie qui était émue d’un tel aveu. Elle s’était toujours sentie à l’aise avec les parents de Went et n’avait pas peur d’avouer son passé avec lequel elle était en paix aujourd’hui, grâce à lui et à cette vie qu’ils se créaient.
Ah, les hommes, pas très observateurs !
J : tu ne trouves pas notre fils bizarre ?
Papa Went : pourquoi tu dis çà ? Non...à part qu’il est fou amoureux de cette fille, je ne vois rien d’autre !
Joy leva les yeux au ciel, ne comprenant pas l’aveuglement de son mari.
J : moi je te dis qu’il y a quelque chose !
Papa Went : si tu le dis !
Ils ont l'air tous si heureux de cette nouvelle.
W : maman...papa...Lilie et moi tenions à ce que vous soyez les premiers à savoir que...nous allons avoir un bébé.
Joy restait sans voix, paralysée par cette nouvelle. Elle se leva ensuite et se précipita au cou de son fils et l’embrassa puis caressa tendrement la joue de Lilie.
J : c’est merveilleux...oh c’est merveilleux ! Mais dis quelque chose Went !
Elle se tourna vers son mari qui n’avait pas bougé, il semblait tout retourné de cette nouvelle et Went s’approcha de lui et lui posa la main sur l’épaule.
W : papa, çà va ?
Papa Went : oh oui...très bien...mais je ne m’y attendais pas...c’est à dire qu’avec ta mère nous attendons çà depuis si longtemps !
Maintenant, j'attends avec impatience la suite de leur week end animé. Je me demande aussi ce que Went a préparé dans le dos de Lilie. Un petit voyage en maoureux, peut-être ?
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
merci pour cette suite Soso!!
J'ai adoré la réaction des parents de Went, ils étaient si heureux!!
J'éspère qu'on connaitra très vite nous aussi el sexe du bébé!!
Vivement la suite!!
J'ai adoré la réaction des parents de Went, ils étaient si heureux!!
J'éspère qu'on connaitra très vite nous aussi el sexe du bébé!!
Vivement la suite!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
C’est génial ! Tout ce bonheur fait plaisir à voir !!!
Il est déjà tard, on aura pas de suite aujourd’hui alors ? …
elle perd pas le nord la maman de WentJ : mais dis moi chéri...au mois d’août Lilie n’était pas ici ? Comment vous ???
Il est déjà tard, on aura pas de suite aujourd’hui alors ? …
blumy- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 12/08/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite du jour !
Le lendemain, la journée passa à une vitesse impressionnante. Went et Lilie devaient rejoindre Paul et toute l’équipe pour une dernière soirée ensemble avant la pause hivernale. Ils s’étaient donc mis d’accord pour annoncer l’heureux évènement à cette occasion.
Joy avait passé la journée à se projeter dans le futur, au mois de mai à vrai dire et n’arrêtait pas de saoûler son fils avec ses prédictions.
Il attendait avec impatience de se retrouver seul avec Lilie et était tout excité quant à la surprise qu’il lui préparait.
Alors qu’il tentait de faire changer de sujet avec l’aide de son père qui levait les yeux au ciel, ils virent Lilie descendre les escaliers et les rejoindre. Went père et fils restèrent scotchés à la vue de sa beauté. Quelques kilos supplémentaires avaient enrobé ses hanches squelettiques il y a encore quelques semaines et sa poitrine n’avait plus rien à envier à la chirurgie plastique. L’ensemble donnait un magnifique résultat et la tenue était merveilleusement choisie.
Went s’approcha de l’escalier et tendit ses mains à Lilie qui les attrapa amusée par ce qu’elle lisait dans ses yeux..
W : tu es magnifique chérie...
L : et toi donc...le problème c’est que j’arracherais bien tout çà moi...
Ils rirent de bon cœurs à ces touchantes déclarations et la mère de Went ne pu s’empêcher de faire une photo.
W : maman ! Ce n’est pas le bal de fin d’année ! C’est ridicule !
J : T’occupes ! De toutes façon je n’ai aucune photo de toi avec une fille de cette époque ! Alors çà changera !
Went secoua la tête en même temps qu’il levait les yeux au ciel.
W : chérie...tu es très belle mais...tu ne crains pas que les gens qui te verront comme çà comprendront avant qu’on leur annonce ??
L : comment çà ?
W : ton petit bidon qui pointe, ta poitrine...çà me plaît tout çà mais les autres...ils vont se poser des questions avec ce que tu vas leur étaler sous les yeux ! çà en jette c’est sur !
L : C’est trop décolleté c’est çà ? Pourtant c’est le même genre de robe que je mets d’habitude !
W : je sais...c’est juste que ta morphologie a un peu changée...
Il éclata de rire alors qu’elle lui filait un coup dans les côtes.
L : J’ai une étole et une veste ! Ils ne remarqueront rien...enfin pas tout de suite !
Went lui tendit le bras et ils saluèrent les parents avant de se décider à rejoindre la limousine qui les conduiraient à la soirée.
Une fois à l’intérieur, Went soupira profondément, soulagé de retrouver le silence apaisant des bras de Lilie.
W : elle est fatigante, c’est intenable !
L : elle t’aime beaucoup c’est tout !
Lilie se pencha contre son torse et caressa sa nuque avec ses doigts avant de relever ses yeux vers lui. Il la fixait amoureusement et lui rendit ses caresses en se dégageant légèrement pour joindre leurs lèvres. Le baiser s’approfondit peu à peu pour leur couper le souffle et faire naître un désir au creux de leurs ventres.
Lilie se dégagea pour reprendre son souffle alors même que les mains de Went tentaient une exploration dévergondée de son décolleté.
L : oh oh bats les pattes Miller...je vais être toute froissée si tu continue comme çà !
W : ce serait bête...on serait obligés de rejoindre notre chambre tout de suite !
L : notre chambre ?
W : oui...je nous ai réservé une chambre dans le palace ou se déroule la soirée...si tu es fatiguée...
L : hum hum...que d’attentions !
Elle riait de le voir fier de sa surprise.
W : on pourrait y aller avant d’aller à la fiesta...personne ne s’en rendra compte...
L : pas question petit chenapan...
La voiture s’immobilisa et Went aida Lilie à sortir alors qu’elle recouvrait coquinement son petit bidon naissant. Il la prit par la taille et ils s’avancèrent près de l’entrée ou Amaury et Sandra leur faisaient signe.
A : salut les lovers ! Alors c’est les vacances ??
L : bonjour Amaury...heureux ?
A : oh c’est clair, on va enfin pouvoir souffler un peu ! Vous avez des projets ?
W : non, on a rien prévu encore mais j’ai quelques émissions à faire et des photoshoot alors...
L : alors c’est pas vraiment les vacances !
Sandra leva les yeux au ciel et ils rentrèrent dans le palace où une armée d’hommes costumés les accompagna jusqu’à leur table. Ils prirent place et au fur et à mesure des arrivées la soirée commença doucement.
Paul fit un petit discours, remerciant tous les membres de l’équipe d’être présents.
Amaury fit un petit discours et Sarah aussi.
Went regarda Lilie et ils se sourirent, le moment était venu.
Il se leva seul et alla rejoindre le petit pupitre prévu pour les petits discours de la soirée.
W : bonsoir à toutes et tous...c’est un moment un peu particulier pour moi ce soir et je suis un peu nerveux d’autant que je n’ai pas l’habitude de m’exposer...mais à circonstances exceptionnelles, comportement exceptionnel ! Tout d’abord je tenais à remercier Paul pour cette soirée...je pense que la série ne serait pas ce qu’elle est si le tournage ne se déroulait pas aussi bien. Prison Break n’est pas seulement une série à succès, c’est aussi une famille. Merci Paul. J’ai autre chose à vous avouer...certains seront peut-être surpris, d’autres ébahis. Vous savez que Lilie es revenue parmi nous d’abord et dans ma vie ensuite mais je voulais aussi vous présenter quelqu'un d’autre qui sera prochainement parmi nous.
Il fit signe à Lilie de se lever et de le rejoindre. Elle sourie et se leva, surprise et gênée d’être ainsi mise en avant. Il enlaça sa taille et posa ses mains sur son ventre.
W : voilà...nous tenions à vous annoncer que dans 6 mois nous serons trois...
Alors que dans la salle de grands yeux s’arrondissaient de surprise et de joie, d’autres se fronçaient de voir le bonheur si éclatant de l’homme le plus sexy de l’année avec cette petite frenchie qui serait bientôt également la mère de son enfant.
Les applaudissements ne tardèrent pas à fuser et Lilie et Went sourirent à ‘assemblée avant de leur offrir un véritable baiser de cinéma.
Redescendant de leur nuage, Lilie laissa tomber son étole et découvrir son petit ventre tout juste dessiné.
Leurs plus proches amis et collègues s’avancèrent pour les féliciter chaleureusement. Ils n’en croyaient pas leurs oreilles et leurs yeux.
S : Lilie c’est formidable...mais trois mois ? C’est...
L : Paris...en août après ma balade sous la pluie !
Elles éclatèrent de rire à l’évocation de ce souvenir, douloureux sur le coup mais qui avait laissé cette magnifique trace en elle...
La soirée continua, plus enjouée que jamais.
Went invita Lilie à danser, laissant apparaître fièrement leur bonheur et sa beauté sous les yeux jaloux des autres femmes et envieux des autres hommes. Enlacés sur la piste, ils en oublièrent presque l’assemblée d’amis et de collègues qui les entouraient.
Une seule chose comptait maintenant...leur bonheur partagé au grand jour.
.
Ils tournaient doucement au son de la musique entraînante. Went caressait son dos tandis que les lèvres de Lilie effleuraient son cou. Il s’approcha de son oreille pour lui mururer quelques mots.
W : j’ai envie d’aller me coucher...je suis fatigué...toutes ces émotions...je pense que ce n’est pas bon pour notre fille...
Lilie se recula spontanément.
L : notre fille ?
W : oui...j’aimerais que cela soit une fille...
L : tu crois çà ?
Il s’approcha de nouveau pour chuchoter à son oreille.
W : si çà n’en est pas une, je me dépêcherais de te faire un autre enfant...
Lilie lui souria, amusée de sa remarque. Elle craquait devant sa beauté, son charme et son sourire qui la renversait une fois de plus. Une seule chose l’obsédait maintenant, lui ôter tous ses vêtements et prendre possession de son corps. Elle savait exactement où viser pour qu’il comprenne.
L : je pense que tu aurais besoin de quelques cours de rattrapage alors...
Il l’enlaça et l’entraîna dans le hall du palace en saluant brièvement les amis qui les regardaient s’absenter comme deux adolescents pressés.
Went appela l’ascenseur. Ils montèrent, accompagnés d’un chaperon et ressortirent presque aussi vite une fois leur étage franchi.
Une fois seuls, ils goûtèrent à leurs lèvres trop longtemps séparées pour ne plus se détacher. La fougue de leur étreinte les entraîna au pied du lit. Rien ne comptait plus, ni la jolie chambre spacieuse et décorée avec goût, ni la bouteille de champagne et la gerbe de rose qui trônait sur la petite table près du lit.
Envahis et possédés de désir, corps brûlants et vêtement arrachés, ils basculèrent en cœur sur le lit de satin...comme si cette nuit pouvait être la dernière...
Voilà...ils sont pas beaux heureux comme çà ?
ANNONCE Part 2
Le lendemain, la journée passa à une vitesse impressionnante. Went et Lilie devaient rejoindre Paul et toute l’équipe pour une dernière soirée ensemble avant la pause hivernale. Ils s’étaient donc mis d’accord pour annoncer l’heureux évènement à cette occasion.
Joy avait passé la journée à se projeter dans le futur, au mois de mai à vrai dire et n’arrêtait pas de saoûler son fils avec ses prédictions.
Il attendait avec impatience de se retrouver seul avec Lilie et était tout excité quant à la surprise qu’il lui préparait.
Alors qu’il tentait de faire changer de sujet avec l’aide de son père qui levait les yeux au ciel, ils virent Lilie descendre les escaliers et les rejoindre. Went père et fils restèrent scotchés à la vue de sa beauté. Quelques kilos supplémentaires avaient enrobé ses hanches squelettiques il y a encore quelques semaines et sa poitrine n’avait plus rien à envier à la chirurgie plastique. L’ensemble donnait un magnifique résultat et la tenue était merveilleusement choisie.
Went s’approcha de l’escalier et tendit ses mains à Lilie qui les attrapa amusée par ce qu’elle lisait dans ses yeux..
W : tu es magnifique chérie...
L : et toi donc...le problème c’est que j’arracherais bien tout çà moi...
Ils rirent de bon cœurs à ces touchantes déclarations et la mère de Went ne pu s’empêcher de faire une photo.
W : maman ! Ce n’est pas le bal de fin d’année ! C’est ridicule !
J : T’occupes ! De toutes façon je n’ai aucune photo de toi avec une fille de cette époque ! Alors çà changera !
Went secoua la tête en même temps qu’il levait les yeux au ciel.
W : chérie...tu es très belle mais...tu ne crains pas que les gens qui te verront comme çà comprendront avant qu’on leur annonce ??
L : comment çà ?
W : ton petit bidon qui pointe, ta poitrine...çà me plaît tout çà mais les autres...ils vont se poser des questions avec ce que tu vas leur étaler sous les yeux ! çà en jette c’est sur !
L : C’est trop décolleté c’est çà ? Pourtant c’est le même genre de robe que je mets d’habitude !
W : je sais...c’est juste que ta morphologie a un peu changée...
Il éclata de rire alors qu’elle lui filait un coup dans les côtes.
L : J’ai une étole et une veste ! Ils ne remarqueront rien...enfin pas tout de suite !
Went lui tendit le bras et ils saluèrent les parents avant de se décider à rejoindre la limousine qui les conduiraient à la soirée.
Une fois à l’intérieur, Went soupira profondément, soulagé de retrouver le silence apaisant des bras de Lilie.
W : elle est fatigante, c’est intenable !
L : elle t’aime beaucoup c’est tout !
Lilie se pencha contre son torse et caressa sa nuque avec ses doigts avant de relever ses yeux vers lui. Il la fixait amoureusement et lui rendit ses caresses en se dégageant légèrement pour joindre leurs lèvres. Le baiser s’approfondit peu à peu pour leur couper le souffle et faire naître un désir au creux de leurs ventres.
Lilie se dégagea pour reprendre son souffle alors même que les mains de Went tentaient une exploration dévergondée de son décolleté.
L : oh oh bats les pattes Miller...je vais être toute froissée si tu continue comme çà !
W : ce serait bête...on serait obligés de rejoindre notre chambre tout de suite !
L : notre chambre ?
W : oui...je nous ai réservé une chambre dans le palace ou se déroule la soirée...si tu es fatiguée...
L : hum hum...que d’attentions !
Elle riait de le voir fier de sa surprise.
W : on pourrait y aller avant d’aller à la fiesta...personne ne s’en rendra compte...
L : pas question petit chenapan...
La voiture s’immobilisa et Went aida Lilie à sortir alors qu’elle recouvrait coquinement son petit bidon naissant. Il la prit par la taille et ils s’avancèrent près de l’entrée ou Amaury et Sandra leur faisaient signe.
A : salut les lovers ! Alors c’est les vacances ??
L : bonjour Amaury...heureux ?
A : oh c’est clair, on va enfin pouvoir souffler un peu ! Vous avez des projets ?
W : non, on a rien prévu encore mais j’ai quelques émissions à faire et des photoshoot alors...
L : alors c’est pas vraiment les vacances !
Sandra leva les yeux au ciel et ils rentrèrent dans le palace où une armée d’hommes costumés les accompagna jusqu’à leur table. Ils prirent place et au fur et à mesure des arrivées la soirée commença doucement.
Paul fit un petit discours, remerciant tous les membres de l’équipe d’être présents.
Amaury fit un petit discours et Sarah aussi.
Went regarda Lilie et ils se sourirent, le moment était venu.
Il se leva seul et alla rejoindre le petit pupitre prévu pour les petits discours de la soirée.
W : bonsoir à toutes et tous...c’est un moment un peu particulier pour moi ce soir et je suis un peu nerveux d’autant que je n’ai pas l’habitude de m’exposer...mais à circonstances exceptionnelles, comportement exceptionnel ! Tout d’abord je tenais à remercier Paul pour cette soirée...je pense que la série ne serait pas ce qu’elle est si le tournage ne se déroulait pas aussi bien. Prison Break n’est pas seulement une série à succès, c’est aussi une famille. Merci Paul. J’ai autre chose à vous avouer...certains seront peut-être surpris, d’autres ébahis. Vous savez que Lilie es revenue parmi nous d’abord et dans ma vie ensuite mais je voulais aussi vous présenter quelqu'un d’autre qui sera prochainement parmi nous.
Il fit signe à Lilie de se lever et de le rejoindre. Elle sourie et se leva, surprise et gênée d’être ainsi mise en avant. Il enlaça sa taille et posa ses mains sur son ventre.
W : voilà...nous tenions à vous annoncer que dans 6 mois nous serons trois...
Alors que dans la salle de grands yeux s’arrondissaient de surprise et de joie, d’autres se fronçaient de voir le bonheur si éclatant de l’homme le plus sexy de l’année avec cette petite frenchie qui serait bientôt également la mère de son enfant.
Les applaudissements ne tardèrent pas à fuser et Lilie et Went sourirent à ‘assemblée avant de leur offrir un véritable baiser de cinéma.
Redescendant de leur nuage, Lilie laissa tomber son étole et découvrir son petit ventre tout juste dessiné.
Leurs plus proches amis et collègues s’avancèrent pour les féliciter chaleureusement. Ils n’en croyaient pas leurs oreilles et leurs yeux.
S : Lilie c’est formidable...mais trois mois ? C’est...
L : Paris...en août après ma balade sous la pluie !
Elles éclatèrent de rire à l’évocation de ce souvenir, douloureux sur le coup mais qui avait laissé cette magnifique trace en elle...
La soirée continua, plus enjouée que jamais.
Went invita Lilie à danser, laissant apparaître fièrement leur bonheur et sa beauté sous les yeux jaloux des autres femmes et envieux des autres hommes. Enlacés sur la piste, ils en oublièrent presque l’assemblée d’amis et de collègues qui les entouraient.
Une seule chose comptait maintenant...leur bonheur partagé au grand jour.
.
Ils tournaient doucement au son de la musique entraînante. Went caressait son dos tandis que les lèvres de Lilie effleuraient son cou. Il s’approcha de son oreille pour lui mururer quelques mots.
W : j’ai envie d’aller me coucher...je suis fatigué...toutes ces émotions...je pense que ce n’est pas bon pour notre fille...
Lilie se recula spontanément.
L : notre fille ?
W : oui...j’aimerais que cela soit une fille...
L : tu crois çà ?
Il s’approcha de nouveau pour chuchoter à son oreille.
W : si çà n’en est pas une, je me dépêcherais de te faire un autre enfant...
Lilie lui souria, amusée de sa remarque. Elle craquait devant sa beauté, son charme et son sourire qui la renversait une fois de plus. Une seule chose l’obsédait maintenant, lui ôter tous ses vêtements et prendre possession de son corps. Elle savait exactement où viser pour qu’il comprenne.
L : je pense que tu aurais besoin de quelques cours de rattrapage alors...
Il l’enlaça et l’entraîna dans le hall du palace en saluant brièvement les amis qui les regardaient s’absenter comme deux adolescents pressés.
Went appela l’ascenseur. Ils montèrent, accompagnés d’un chaperon et ressortirent presque aussi vite une fois leur étage franchi.
Une fois seuls, ils goûtèrent à leurs lèvres trop longtemps séparées pour ne plus se détacher. La fougue de leur étreinte les entraîna au pied du lit. Rien ne comptait plus, ni la jolie chambre spacieuse et décorée avec goût, ni la bouteille de champagne et la gerbe de rose qui trônait sur la petite table près du lit.
Envahis et possédés de désir, corps brûlants et vêtement arrachés, ils basculèrent en cœur sur le lit de satin...comme si cette nuit pouvait être la dernière...
***
Voilà...ils sont pas beaux heureux comme çà ?
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Qu'est ce qu'ils sont mignons!!!!!
Et Went qui veut que ca soit une fille
Qu'est ce que tu nous prépare Soso???? ta dernière phrase me chiffone, ils vont pas être séparés à nouveau ????!!!!!!!!!!!!!
La suite!!!!!!!!!!!!!!!
Et Went qui veut que ca soit une fille
Envahis et possédés de désir, corps brûlants et vêtement arrachés, ils basculèrent en cœur sur le lit de satin...comme si cette nuit pouvait être la dernière...
Qu'est ce que tu nous prépare Soso???? ta dernière phrase me chiffone, ils vont pas être séparés à nouveau ????!!!!!!!!!!!!!
La suite!!!!!!!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
C’est très féérique tout ça ! ils font vraiment plaisir à voir tous les deux !
Moi aussi j’aimerais bien que le bébé soit une petite demoiselle Miller !
Moi aussi j’aimerais bien que le bébé soit une petite demoiselle Miller !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
qu'est ce qu'il sont choux ces deux la alors
moi j'aimerais bien que ce soit un petit miller en esperant qu'il tire
beaucoup de son pere avec de tres beau yeux bleus bon je m'égare
ils filent le parfait amour et j'espere que sa va rester comme sa ils ont assez souffert !
une suite!!
moi j'aimerais bien que ce soit un petit miller en esperant qu'il tire
beaucoup de son pere avec de tres beau yeux bleus bon je m'égare
ils filent le parfait amour et j'espere que sa va rester comme sa ils ont assez souffert !
une suite!!
lisa1333- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Je crois que Lilie n'est pas la seule qui voudrait lui arracher ses vêtements
W : tu es magnifique chérie...
L : et toi donc...le problème c’est que j’arracherais bien tout çà moi...
Ils rirent de bon cœurs à ces touchantes déclarations et la mère de Went ne pu s’empêcher de faire une photo.
La soirée s'annonce très bien...
Lilie se dégagea pour reprendre son souffle alors même que les mains de Went tentaient une exploration dévergondée de son décolleté.
L : oh oh bats les pattes Miller...je vais être toute froissée si tu continues comme çà !
W : ce serait bête...on serait obligés de rejoindre notre chambre tout de suite !
L : notre chambre ?
W : oui...je nous ai réservé une chambre dans le palace ou se déroule la soirée...si tu es fatiguée...
L : hum hum...que d’attentions !
Elle riait de le voir fier de sa surprise.
W : on pourrait y aller avant d’aller à la fiesta...personne ne s’en rendra compte...
L : pas question petit chenapan...
Ils nagent dans le bonheur tous les 2. Ils doivent être si fiers et heureux de l'avoir annoncé et de pouvoir montrer leur joie.
W : j’ai envie d’aller me coucher...je suis fatigué...toutes ces émotions...je pense que ce n’est pas bon pour notre fille...
Lilie se recula spontanément.
L : notre fille ?
W : oui...j’aimerais que cela soit une fille...
L : tu crois çà ?
Il s’approcha de nouveau pour chuchoter à son oreille.
W : si çà n’en est pas une, je me dépêcherais de te faire un autre enfant...
A mon avis, Wentworth n'est pas si fatigué que ça Il doit avoir bien d'autres idées en tête, comme Lilie
Où ? Je ne vois pasUne seule chose l’obsédait maintenant, lui ôter tous ses vêtements et prendre possession de son corps. Elle savait exactement où viser pour qu’il comprenne.
La soirée s'annonce très chaude
Envahis et possédés de désir, corps brûlants et vêtement arrachés, ils basculèrent en cœur sur le lit de satin...comme si cette nuit pouvait être la dernière...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Merci pour vos coms, c'est gentil !
Voilà la suite !
Corps impatients et cœurs enflammés l’un pour l’autre, Went et Lilie goûtaient au plaisir retrouvé de leurs corps enlacés. Frissonnante au contact de ses longs doigts sur sa peau, Lilie savourait chaque instant profitant de ces vacances qui s’annonçaient romantiques à souhait.
Parcourant de leurs doigts le corps de l’autre, chacun se laissait envahir par les soubresauts de l’autre. La passion les consumait et ils ne pouvaient maintenir plus longtemps la distance qui les séparait l’un de l’autre.
Went se débarrassa habilement du dernier morceau d’étoffe qui lui barrait le passage et s’insinua en elle. La volupté de ce contact l’électrisa et elle planta ses ongles dans son dos, ravivant plus encore le désir latent de son amant. Les lents va et viens de Went la transportait et il jouait du plaisir qu’il lui procurait. Ils ne cessaient de se regarder, de s’embrasser, de s’éloigner pour mieux se rapprocher ensuite. Lilie laissa alors glisser ses doigts dans le dos de Went jusqu’à ses reins et caressa fermement ses fesses, l’entraînant à se libérer complètement. Il accéléra le mouvement et sentit les muscles de Lilie se contracter sous l’impulsion du plaisir qui la terrassait. Il ne tarda pas à la rejoindre en étouffant un râle dans le creux de son cou. Haletant mais heureux, il se laissa glisser sur le coté, sans cesser d’embrasser la douce chair qui s’offrait à lui.
W : je t’aime...
Lilie se releva et se plaça sur lui. Elle plaqua son nez contre le sien et le frotta doucement avec un regard malicieux.
L : je t’aime aussi Miller...
Il la rebascula sur le lit et l’inonda de baisers. Ses yeux brillaient d’amour et d’impatience.
W : tu as soif ?
L : mmmoui !
W : champagne ?
Lilie ouvrit de grands yeux lorsqu’elle remarqua l’attirail qui les attendait dans la pièce et qu’elle n’avait pas remarqué, bien trop occupés lorsqu’ils étaient rentrés dans la pièce.
Elle lui adressa un sourire conquis et excité alors qu’il se levait en tenue d’Adam, un drap autour de la taille.
L : non...sans le drap !
Il s’éloigna en courant jusqu’au petit bar où il sortit une bouteille d’eau minérale pétillante. Il attrapa les deux flûtes et les remplies du sobre liquide.
W : je sais que tu ne peux pas boire d’alcool alors j’ai eu cette idée...mais je pouvais pas mettre la bouteille dans le seau à champagne...
Lilie explosa de rire et accepta la coupe qu’il lui tendait. Ils trinquèrent joyeusement en dévorant du chocolat.
Went lui tendit ensuite l’énorme bouquet de roses rouges et se rapprocha d’elle plus sérieux que jamais.
W : Lilie...je voulais te remercier d’avoir supporter mes absences ces dernières semaines...je sais que ce n’est pas toujours évident que je ne sois pas là, surtout dans ton état. J’ai quelque chose de très important à te dire...tu sais que je t’aime mais...c’est bien plus que çà...je sais que tu es la femme de ma vie. Quand tu es partie...j’étais comme mort et pas vraiment moi-même. J’aurais pu milles fois avoir des femmes pour me consoler mais je ne pansais qu’à toi, il n’y a que toi qui pouvait apaiser ma souffrance mais tu fuyais et j’aurais pu en crever. Quand je t’ai revue à Paris, j’avais tant de souffrance, tant besoin de te détester que je n’étais pas moi-même non plus jusqu’à ce que tu brise ma carapace. Quand je me suis réveillé j’ai pris peur et je me suis enfui à mon tour sans jamais oublier cette nuit pourtant. Et tu es revenue...ici et dans ma vie. J’ai senti mon cœur se remettre à battre lors de la soirée chez Paul, te voir si jalouse, te serrer dans mes bras...et le lendemain quand je t’ai vu dans la cuisine chez mes parents, je me suis juré de ne plus jamais te lâcher d’une semelle...
Maintenant tu m’offres un être de toi et moi. Je ne peut pas rêver mieux mais je voudrais que tu sois ma femme Lilie alors je te le redemande ce soir...accepte de m’épouser !
Lilie resta sans voix, une larme perlait à ses yeux, prête à s’abattre sur sa joue. Went vint la cueillir et elle se jeta dans ses bras, le cœur gonflé d’émotions. Relevant ses yeux vers lui, elle vint écraser ses lèvres sur les siennes avec un large sourire.
L : oh oui Went ! Oui !
Il attrapa sa paume et l’embrassa puis se leva. Il se dirigea vers son sac à dos posé un peu plus loin et en sortit un papier cadeau. Il revint vers le lit et lui tendit le petit paquet.
W : je n’ai pas de bague à t’offrir pour sceller cette promesse que je t’épouserai Aline, je ne suis pas attaché aux objets, tu le sais...mais je crois que ceci va te plaire...
Elle dévorait le paquet des yeux et délaça le cordon de tissu avec délicatesse. Après avoir entrouvert le papier cadeau, elle découvrit deux billets d’avions pour l’île Maurice accompagnés d’un livret détaillant le programme des réjouissances.
Ses yeux se mirent à pétiller et elle lui sauta dessus.
L : tu es génial ! Des vacances ! C’est parfait ! Oh Went...tu ne pouvais pas me faire plus plaisir !
Il sourit, ravi de voir que la surprise donnait au-delà des résultats escomptés.
W : je sait que c’est ce qu’il te faut...du soleil, du repos, les palmiers et l’océan...on a le temps pour çà...
L : mais tes photos ? Tes interviews ?
W : T’inquiète ! J’ai tout prévu depuis le début ! Nous partons dans deux jours, nous restons là bas quinze jours en amoureux dans ce petit bungalow et en revenant, on fait un petit détour par Paris pour voir tes amis. Là bas j’aurais quelques interviews à donner pour la chaîne qui diffuse la série et un photoshoot également...mais au moins tu ne sera pas toute seule...
L : ouah ! Quel programme ! Tu as arrangé tout çà pour moi ?
W : je pouvais bien faire çà non ?
L : je t’ai déjà dis à quel point je t’aime Miller ? JE T’AIME !
W : prouve-le !
Elle se rua sur lui et dégagea le drap du corps de son amant/ami/futur mari pour se serrer nue contre lui et l’embrasser fougueusement. Chahutant amoureusement, ils finirent par se donner une nouvelle fois l’un à l’autre avant de sombrer dans le sommeil lovés l’un contre l’autre...
Voilà la suite !
Chap 55 : NUIT D’AMOUR
Corps impatients et cœurs enflammés l’un pour l’autre, Went et Lilie goûtaient au plaisir retrouvé de leurs corps enlacés. Frissonnante au contact de ses longs doigts sur sa peau, Lilie savourait chaque instant profitant de ces vacances qui s’annonçaient romantiques à souhait.
Parcourant de leurs doigts le corps de l’autre, chacun se laissait envahir par les soubresauts de l’autre. La passion les consumait et ils ne pouvaient maintenir plus longtemps la distance qui les séparait l’un de l’autre.
Went se débarrassa habilement du dernier morceau d’étoffe qui lui barrait le passage et s’insinua en elle. La volupté de ce contact l’électrisa et elle planta ses ongles dans son dos, ravivant plus encore le désir latent de son amant. Les lents va et viens de Went la transportait et il jouait du plaisir qu’il lui procurait. Ils ne cessaient de se regarder, de s’embrasser, de s’éloigner pour mieux se rapprocher ensuite. Lilie laissa alors glisser ses doigts dans le dos de Went jusqu’à ses reins et caressa fermement ses fesses, l’entraînant à se libérer complètement. Il accéléra le mouvement et sentit les muscles de Lilie se contracter sous l’impulsion du plaisir qui la terrassait. Il ne tarda pas à la rejoindre en étouffant un râle dans le creux de son cou. Haletant mais heureux, il se laissa glisser sur le coté, sans cesser d’embrasser la douce chair qui s’offrait à lui.
W : je t’aime...
Lilie se releva et se plaça sur lui. Elle plaqua son nez contre le sien et le frotta doucement avec un regard malicieux.
L : je t’aime aussi Miller...
Il la rebascula sur le lit et l’inonda de baisers. Ses yeux brillaient d’amour et d’impatience.
W : tu as soif ?
L : mmmoui !
W : champagne ?
Lilie ouvrit de grands yeux lorsqu’elle remarqua l’attirail qui les attendait dans la pièce et qu’elle n’avait pas remarqué, bien trop occupés lorsqu’ils étaient rentrés dans la pièce.
Elle lui adressa un sourire conquis et excité alors qu’il se levait en tenue d’Adam, un drap autour de la taille.
L : non...sans le drap !
Il s’éloigna en courant jusqu’au petit bar où il sortit une bouteille d’eau minérale pétillante. Il attrapa les deux flûtes et les remplies du sobre liquide.
W : je sais que tu ne peux pas boire d’alcool alors j’ai eu cette idée...mais je pouvais pas mettre la bouteille dans le seau à champagne...
Lilie explosa de rire et accepta la coupe qu’il lui tendait. Ils trinquèrent joyeusement en dévorant du chocolat.
Went lui tendit ensuite l’énorme bouquet de roses rouges et se rapprocha d’elle plus sérieux que jamais.
W : Lilie...je voulais te remercier d’avoir supporter mes absences ces dernières semaines...je sais que ce n’est pas toujours évident que je ne sois pas là, surtout dans ton état. J’ai quelque chose de très important à te dire...tu sais que je t’aime mais...c’est bien plus que çà...je sais que tu es la femme de ma vie. Quand tu es partie...j’étais comme mort et pas vraiment moi-même. J’aurais pu milles fois avoir des femmes pour me consoler mais je ne pansais qu’à toi, il n’y a que toi qui pouvait apaiser ma souffrance mais tu fuyais et j’aurais pu en crever. Quand je t’ai revue à Paris, j’avais tant de souffrance, tant besoin de te détester que je n’étais pas moi-même non plus jusqu’à ce que tu brise ma carapace. Quand je me suis réveillé j’ai pris peur et je me suis enfui à mon tour sans jamais oublier cette nuit pourtant. Et tu es revenue...ici et dans ma vie. J’ai senti mon cœur se remettre à battre lors de la soirée chez Paul, te voir si jalouse, te serrer dans mes bras...et le lendemain quand je t’ai vu dans la cuisine chez mes parents, je me suis juré de ne plus jamais te lâcher d’une semelle...
Maintenant tu m’offres un être de toi et moi. Je ne peut pas rêver mieux mais je voudrais que tu sois ma femme Lilie alors je te le redemande ce soir...accepte de m’épouser !
Lilie resta sans voix, une larme perlait à ses yeux, prête à s’abattre sur sa joue. Went vint la cueillir et elle se jeta dans ses bras, le cœur gonflé d’émotions. Relevant ses yeux vers lui, elle vint écraser ses lèvres sur les siennes avec un large sourire.
L : oh oui Went ! Oui !
Il attrapa sa paume et l’embrassa puis se leva. Il se dirigea vers son sac à dos posé un peu plus loin et en sortit un papier cadeau. Il revint vers le lit et lui tendit le petit paquet.
W : je n’ai pas de bague à t’offrir pour sceller cette promesse que je t’épouserai Aline, je ne suis pas attaché aux objets, tu le sais...mais je crois que ceci va te plaire...
Elle dévorait le paquet des yeux et délaça le cordon de tissu avec délicatesse. Après avoir entrouvert le papier cadeau, elle découvrit deux billets d’avions pour l’île Maurice accompagnés d’un livret détaillant le programme des réjouissances.
Ses yeux se mirent à pétiller et elle lui sauta dessus.
L : tu es génial ! Des vacances ! C’est parfait ! Oh Went...tu ne pouvais pas me faire plus plaisir !
Il sourit, ravi de voir que la surprise donnait au-delà des résultats escomptés.
W : je sait que c’est ce qu’il te faut...du soleil, du repos, les palmiers et l’océan...on a le temps pour çà...
L : mais tes photos ? Tes interviews ?
W : T’inquiète ! J’ai tout prévu depuis le début ! Nous partons dans deux jours, nous restons là bas quinze jours en amoureux dans ce petit bungalow et en revenant, on fait un petit détour par Paris pour voir tes amis. Là bas j’aurais quelques interviews à donner pour la chaîne qui diffuse la série et un photoshoot également...mais au moins tu ne sera pas toute seule...
L : ouah ! Quel programme ! Tu as arrangé tout çà pour moi ?
W : je pouvais bien faire çà non ?
L : je t’ai déjà dis à quel point je t’aime Miller ? JE T’AIME !
W : prouve-le !
Elle se rua sur lui et dégagea le drap du corps de son amant/ami/futur mari pour se serrer nue contre lui et l’embrasser fougueusement. Chahutant amoureusement, ils finirent par se donner une nouvelle fois l’un à l’autre avant de sombrer dans le sommeil lovés l’un contre l’autre...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Apparemment, cette nuit s'est merveilleusement bien passée
Ce voyage devrait être magnifique...
Elle lui adressa un sourire conquis et excité alors qu’il se levait en tenue d’Adam, un drap autour de la taille.
L : non...sans le drap !
Il a tout prévu : liquide pétillant, chocolat, roses...
Il s’éloigna en courant jusqu’au petit bar où il sortit une bouteille d’eau minérale pétillante. Il attrapa les deux flûtes et les remplies du sobre liquide.
W : je sais que tu ne peux pas boire d’alcool alors j’ai eu cette idée...mais je pouvais pas mettre la bouteille dans le seau à champagne...
Lilie explosa de rire et accepta la coupe qu’il lui tendait. Ils trinquèrent joyeusement en dévorant du chocolat.
Went lui tendit ensuite l’énorme bouquet de roses rouges et se rapprocha d’elle plus sérieux que jamais.
Il a vraiment tout prévu pour la combler cette nuit : une demande en mariageQuand tu es partie...j’étais comme mort et pas vraiment moi-même. Quand je t’ai revue à Paris, j’avais tant de souffrance, tant besoin de te détester que je n’étais pas moi-même non plus jusqu’à ce que tu brise ma carapace. Quand je me suis réveillé j’ai pris peur et je me suis enfui à mon tour sans jamais oublier cette nuit pourtant. Et tu es revenue...ici et dans ma vie. J’ai senti mon cœur se remettre à battre lors de la soirée chez Paul, te voir si jalouse, te serrer dans mes bras...et le lendemain quand je t’ai vu dans la cuisine chez mes parents, je me suis juré de ne plus jamais te lâcher d’une semelle...
Maintenant tu m’offres un être de toi et moi. Je ne peut pas rêver mieux mais je voudrais que tu sois ma femme Lilie alors je te le redemande ce soir...accepte de m’épouser !
Et pour clore le tout ce voyage vers l'ïle Maurice puis Paris pour qu'elle profite de ses amis.Lilie resta sans voix, une larme perlait à ses yeux, prête à s’abattre sur sa joue. Went vint la cueillir et elle se jeta dans ses bras, le cœur gonflé d’émotions. Relevant ses yeux vers lui, elle vint écraser ses lèvres sur les siennes avec un large sourire.
L : oh oui Went ! Oui !
Ce voyage devrait être magnifique...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
oh lala! Je suis toute contente!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
merci pour cette fabuleuse suite Soso!!!!
Une demande en mariage, c'est trop craquant!!!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
merci pour cette fabuleuse suite Soso!!!!
Une demande en mariage, c'est trop craquant!!!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
c'était trés beau et trés touchant j'ai versé ma ptite larme !
moi je dis vive les futurs mariés!
pendant les vacances faut qu'elle se repose la future maman!il y a du
boulot qui l'attend apres bon je
mais il faut aussi qu'elle profite car c'est les dernieres vacances en
amoureux avant l'arrivé du bébé certainement!
LA SUITE
moi je dis vive les futurs mariés!
pendant les vacances faut qu'elle se repose la future maman!il y a du
boulot qui l'attend apres bon je
mais il faut aussi qu'elle profite car c'est les dernieres vacances en
amoureux avant l'arrivé du bébé certainement!
LA SUITE
lisa1333- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
C'est trop mignon ... On veut tous la suite
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite, un garnd merci à tous les fidèles qui me lisent, vos coms me font super plaisir !
Confortablement installée en première classe, Lilie sirote un jus de fruit, souriant aux anges à la vue de son cher et tendre à ses cotés. Rien que pour elle, quinze jours, sans fans, sans photos, sans tournage, sans interviews. Elle s’y voit déjà...le ciel bleu, le soleil, la plage, les palmiers et son homme au p’tits soins.
Fatigué, Went ne tarde pas à sombrer dans un profond sommeil alors que Lilie commence à souffrir du dos. L’avion est pourtant très confortable mais elle ne se sent pas très bien.
Alors qu’elle se lève pour rejoindre les toilettes, quelques passagers la reconnaisse et ne tarde pas à se retourner ensuite de manière indiscrète vers le couple.
Sara ne se sent pas bien, a mal au dos, éprouve une douleur dans la poitrine et s’est levée plusieurs fois pour vomir.
Au bout de quelques heures, alors que Went dors encore, elle se lève à nouveau mais vacille et tombe inanimée au sol. Un Stewart et une hôtesse se précipitent pour la relever et tenter de la réveiller. Une autre hôtesse court réveiller Went qui sursaute et semble perdu, sorti de son sommeil. Lorsqu’il comprend la situation, il saute auprès de Lilie qui commence peu à peu à reprendre ses esprits.
W : chérie...çà ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ? Tu as mal au ventre ?
Lilie le regarde l’air épuisée et souffrante mais tente néanmoins de le rassurer.
L : je...j’ai mal au dos et dans la poitrine...j’ai vomi tout à l’heure et je ne me sens pas très bien...çà tournait...
W : tu as pris tes compléments ce matin ?
L : oui...je te promets !
- Madame, un médecin peut vous ausculter ?
W : oui...allez-y docteur
- ok Madame ?
L : Mademoiselle...
- alors, vous avez le mal des transports d’habitude ? Des symptômes en particulier ?
L : non, je ne suis pas malade dans les avions en général....
W : elle a tendance à l’anémie et elle est enceinte...
Quelques personnes alentours tendirent l’oreille et haussèrent les sourcils à l’entente des paroles de Wentworth.
- bon...je ne pense pas que cela soit çà...vu vos pupilles et votre teint...je pencherais plutot pour une crise d’angoisse.
L : une crise d’angoisse ? Mais je ne suis pas angoissée docteur !
- vous savez les hormones nous joue de drôles de tours des fois...vous devriez vous reposer et évitez le surmenage...
L : nous partions justement en vacances...
- alors çà devrait aller mieux...et...félicitations pour votre bébé...euh...Mr Miller...ma fille est la bas et adore la série...vous pourriez me signer un autographe ?
W : sans problème...à quel nom ?
- Cindy...
Went attrapa le magazine de la jeune fille ou était sa photo et la signa avant de lui faire la bise. La jeune fille était toute émue et le remercia.
Il retourna ensuite vers Lilie qui se sentait beaucoup mieux maintenant. Savoir Went près d’elle la réconfortait énormément.
W : tu te sens mieux ?
L : oui...çà va...c’était peut-être une crise d’angoisse effectivement...
W : çà va aller...je suis là, je veille sur toi
Elle tendit sa main dans sa direction et lui caressa le visage tendrement. Elle remua doucement les lèvres et lui mima un « je t’aime » auquel il répondit par un baiser.
Le reste du vol se passa sans problèmes et ils atterrirent en fin d’après midi à l’île Maurice. Un luxueux taxi les attendait à la sortie de l’aéroport et une fois leurs bagages récupérés et chargés, ils quittèrent la ville pour un havre de paix retiré au bord de la plage.
Lorsque Went ouvrit la porte à Lilie, la chaleur tropicale leur envahit le corps et Lilie se serra dans ses bras amoureusement. Ils avancèrent jusqu’au petit bungalow qui n’avait de bungalow que le nom et l’apparence extérieure. Elle se demandait combien pouvait coûter une nuit dans un endroit pareil.
En entrant par l’arrière, on découvrait une entrée décorée avec raffinement avec des matériaux exotiques et typiques. Le bois et le roseau dominaient beaucoup. Une petite cuisine aménagée sur la gauche et une chambre spacieuse et romantique à souhait à droite, donnant sur la terrasse qui s’ouvrait sur l’océan. Un petit escalier descendant un étage plus bas laissait apparaître une grande baie vitré donnant sur le terrasse et une immense salle de bain avec Jacuzzi.
L’homme qui les accompagnait leur expliqua qu’ils pouvaient commander leur repas à n’importe quelle heure et qu’ils leurs seraient livrés sur place mais qu’ils pouvaient tout autant se déplacer dans un des restaurants que comptaient le complexe hôtelier.
L’homme les quitta, laissant les deux tourtereaux savourer cette pré-lune de miel.
L : je ne te remercierais jamais assez de m’avoir emmenée ici ! C’est magique ! On va être tranquilles !
W : c’est fait pour...mais çà va te coûter un max...Va falloir assurer !
L : ah et comment tu vois les choses ?
Il s’avança vers elle et passa malicieusement ses mains autour des hanches de Lilie. Il se baissa légèrement et très lentement pour embrasser la naissance de son cou tout en lui parlant avec sa voix rauque et sensuelle.
W : je commencerais bien par çà...
Il écarta ensuite une bretelle de son top...puis l’autre et caressa avec ses long doigts la clavicule de Lilie.
W : puis je continuerais par çà...
Alors qu’il soulevait le top pour embrasser sa poitrine goulûment, il sentit Lilie frissonner de plaisir et se cambrer pour se dégager sous ce supplice.
L : tu me tortures là !
W : Tu n’as rien vu encore !
Il l’enlaça de nouveau et fit voler définitivement le top en même temps qu’il lui remontait la jupe sur la taille. Elle capitula...elle ne pouvait résister plus longtemps à ces baisers brûlant et son regard de braise. Trop tard...elle était contaminée par son désir.
Elle serra sa nuque de ses mains et embrassa Went avec passion alors qu’il la soulevait du sol pour la déposer avec une extrême douceur sur le lit. Il se recula et vint déposer de doux baisers sur son petit ventre naissant. Il en caressa les formes et fit lentement glisser l’étoffe de sa jupe à terre, la débarrassant au passage de tout autre vêtement encombrant. Il embrassa ensuite l’intérieur de ses cuisses et son intimité, faisant naître au passage de petits gémissements de sa compagne. Il continua ses caresses puis revint vers Lilie, embrassant sa poitrine et tout le haut de son corps avant de la pénétrer dans un soupir de plaisir.
Ils se sentaient en parfaite osmose l’un l’autre et leurs regards en disaient longs sur leurs sentiments à ce moment présent. Leur étreinte fut des plus passionnée et c’est à bout de souffle qu’ils atteignirent l’orgasme quasi simultanément.
Restant lovés l’un contre l’autre à caresser leurs corps humides, ils finirent par s’endormir sans même avoir dîner...
Alors ???
DÉCOLLAGE
Confortablement installée en première classe, Lilie sirote un jus de fruit, souriant aux anges à la vue de son cher et tendre à ses cotés. Rien que pour elle, quinze jours, sans fans, sans photos, sans tournage, sans interviews. Elle s’y voit déjà...le ciel bleu, le soleil, la plage, les palmiers et son homme au p’tits soins.
Fatigué, Went ne tarde pas à sombrer dans un profond sommeil alors que Lilie commence à souffrir du dos. L’avion est pourtant très confortable mais elle ne se sent pas très bien.
Alors qu’elle se lève pour rejoindre les toilettes, quelques passagers la reconnaisse et ne tarde pas à se retourner ensuite de manière indiscrète vers le couple.
Sara ne se sent pas bien, a mal au dos, éprouve une douleur dans la poitrine et s’est levée plusieurs fois pour vomir.
Au bout de quelques heures, alors que Went dors encore, elle se lève à nouveau mais vacille et tombe inanimée au sol. Un Stewart et une hôtesse se précipitent pour la relever et tenter de la réveiller. Une autre hôtesse court réveiller Went qui sursaute et semble perdu, sorti de son sommeil. Lorsqu’il comprend la situation, il saute auprès de Lilie qui commence peu à peu à reprendre ses esprits.
W : chérie...çà ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ? Tu as mal au ventre ?
Lilie le regarde l’air épuisée et souffrante mais tente néanmoins de le rassurer.
L : je...j’ai mal au dos et dans la poitrine...j’ai vomi tout à l’heure et je ne me sens pas très bien...çà tournait...
W : tu as pris tes compléments ce matin ?
L : oui...je te promets !
- Madame, un médecin peut vous ausculter ?
W : oui...allez-y docteur
- ok Madame ?
L : Mademoiselle...
- alors, vous avez le mal des transports d’habitude ? Des symptômes en particulier ?
L : non, je ne suis pas malade dans les avions en général....
W : elle a tendance à l’anémie et elle est enceinte...
Quelques personnes alentours tendirent l’oreille et haussèrent les sourcils à l’entente des paroles de Wentworth.
- bon...je ne pense pas que cela soit çà...vu vos pupilles et votre teint...je pencherais plutot pour une crise d’angoisse.
L : une crise d’angoisse ? Mais je ne suis pas angoissée docteur !
- vous savez les hormones nous joue de drôles de tours des fois...vous devriez vous reposer et évitez le surmenage...
L : nous partions justement en vacances...
- alors çà devrait aller mieux...et...félicitations pour votre bébé...euh...Mr Miller...ma fille est la bas et adore la série...vous pourriez me signer un autographe ?
W : sans problème...à quel nom ?
- Cindy...
Went attrapa le magazine de la jeune fille ou était sa photo et la signa avant de lui faire la bise. La jeune fille était toute émue et le remercia.
Il retourna ensuite vers Lilie qui se sentait beaucoup mieux maintenant. Savoir Went près d’elle la réconfortait énormément.
W : tu te sens mieux ?
L : oui...çà va...c’était peut-être une crise d’angoisse effectivement...
W : çà va aller...je suis là, je veille sur toi
Elle tendit sa main dans sa direction et lui caressa le visage tendrement. Elle remua doucement les lèvres et lui mima un « je t’aime » auquel il répondit par un baiser.
Le reste du vol se passa sans problèmes et ils atterrirent en fin d’après midi à l’île Maurice. Un luxueux taxi les attendait à la sortie de l’aéroport et une fois leurs bagages récupérés et chargés, ils quittèrent la ville pour un havre de paix retiré au bord de la plage.
Lorsque Went ouvrit la porte à Lilie, la chaleur tropicale leur envahit le corps et Lilie se serra dans ses bras amoureusement. Ils avancèrent jusqu’au petit bungalow qui n’avait de bungalow que le nom et l’apparence extérieure. Elle se demandait combien pouvait coûter une nuit dans un endroit pareil.
En entrant par l’arrière, on découvrait une entrée décorée avec raffinement avec des matériaux exotiques et typiques. Le bois et le roseau dominaient beaucoup. Une petite cuisine aménagée sur la gauche et une chambre spacieuse et romantique à souhait à droite, donnant sur la terrasse qui s’ouvrait sur l’océan. Un petit escalier descendant un étage plus bas laissait apparaître une grande baie vitré donnant sur le terrasse et une immense salle de bain avec Jacuzzi.
L’homme qui les accompagnait leur expliqua qu’ils pouvaient commander leur repas à n’importe quelle heure et qu’ils leurs seraient livrés sur place mais qu’ils pouvaient tout autant se déplacer dans un des restaurants que comptaient le complexe hôtelier.
L’homme les quitta, laissant les deux tourtereaux savourer cette pré-lune de miel.
L : je ne te remercierais jamais assez de m’avoir emmenée ici ! C’est magique ! On va être tranquilles !
W : c’est fait pour...mais çà va te coûter un max...Va falloir assurer !
L : ah et comment tu vois les choses ?
Il s’avança vers elle et passa malicieusement ses mains autour des hanches de Lilie. Il se baissa légèrement et très lentement pour embrasser la naissance de son cou tout en lui parlant avec sa voix rauque et sensuelle.
W : je commencerais bien par çà...
Il écarta ensuite une bretelle de son top...puis l’autre et caressa avec ses long doigts la clavicule de Lilie.
W : puis je continuerais par çà...
Alors qu’il soulevait le top pour embrasser sa poitrine goulûment, il sentit Lilie frissonner de plaisir et se cambrer pour se dégager sous ce supplice.
L : tu me tortures là !
W : Tu n’as rien vu encore !
Il l’enlaça de nouveau et fit voler définitivement le top en même temps qu’il lui remontait la jupe sur la taille. Elle capitula...elle ne pouvait résister plus longtemps à ces baisers brûlant et son regard de braise. Trop tard...elle était contaminée par son désir.
Elle serra sa nuque de ses mains et embrassa Went avec passion alors qu’il la soulevait du sol pour la déposer avec une extrême douceur sur le lit. Il se recula et vint déposer de doux baisers sur son petit ventre naissant. Il en caressa les formes et fit lentement glisser l’étoffe de sa jupe à terre, la débarrassant au passage de tout autre vêtement encombrant. Il embrassa ensuite l’intérieur de ses cuisses et son intimité, faisant naître au passage de petits gémissements de sa compagne. Il continua ses caresses puis revint vers Lilie, embrassant sa poitrine et tout le haut de son corps avant de la pénétrer dans un soupir de plaisir.
Ils se sentaient en parfaite osmose l’un l’autre et leurs regards en disaient longs sur leurs sentiments à ce moment présent. Leur étreinte fut des plus passionnée et c’est à bout de souffle qu’ils atteignirent l’orgasme quasi simultanément.
Restant lovés l’un contre l’autre à caresser leurs corps humides, ils finirent par s’endormir sans même avoir dîner...
***
Alors ???
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Quelle suite!!!!
J'éspère que Lilie n'aura plus trop de malaises, il faut bien qu'ils profitent de leurs vacances??!!!
Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!
J'éspère que Lilie n'aura plus trop de malaises, il faut bien qu'ils profitent de leurs vacances??!!!
Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Je crois qu'une Sara s'est glissée malencontreusement à la place de LilieSara ne se sent pas bien, a mal au dos, éprouve une douleur dans la poitrine et s’est levée plusieurs fois pour vomir.
A mon avis, il y en a une qui se souviendra longtemps de ce volWent attrapa le magazine de la jeune fille où était sa photo et la signa avant de lui faire la bise. La jeune fille était toute émue et le remercia.
J'ai eu peur que le malaise de Lilie soit un peu plus embêtant. Finalement, elle a l'air de bien se porter.
Je crois que Lilie apprécie beaucoup ce genre de tortures "à la Wentworth" Elle ne peut pas y résister longtemps, d'ailleursW : c’est fait pour...mais çà va te coûter un max...Va falloir assurer !
L : ah et comment tu vois les choses ?
Il s’avança vers elle et passa malicieusement ses mains autour des hanches de Lilie. Il se baissa légèrement et très lentement pour embrasser la naissance de son cou tout en lui parlant avec sa voix rauque et sensuelle.
W : je commencerais bien par çà...
Il écarta ensuite une bretelle de son top...puis l’autre et caressa avec ses long doigts la clavicule de Lilie.
W : puis je continuerais par çà...
Alors qu’il soulevait le top pour embrasser sa poitrine goulûment, il sentit Lilie frissonner de plaisir et se cambrer pour se dégager sous ce supplice.
L : tu me tortures là !
Il l’enlaça de nouveau et fit voler définitivement le top en même temps qu’il lui remontait la jupe sur la taille. Elle capitula...elle ne pouvait résister plus longtemps à ces baisers brûlants et son regard de braise. Trop tard...elle était contaminée par son désir.
Ce séjour à l'île Maurice semble bien parti...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
VOILA LA PETITE SUITE DU JOUR
La clarté les réveilla le lendemain matin après une grasse matinée bien méritée. Lovés dans les bras l’un de l’autre, ils savouraient cette douce étreinte en pensant au farniente qui les attendait durant ces quinze jours.
Lilie rêvassait, allongée sur le dos dans un transat sur la terrasse lorsque Went arriva avec le merveilleux plateau de petit déjeuner qu’on venait de leur livrer. Au menu, tout un éventail de victuailles, de viennoiseries, du café, du thé et des jus de fruits. Ils étaient deux mais il y en avait au moins pour 8 !
W : tu te sens bien ?
L : merveilleusement bien ! Qu’est-ce que je pourrais espérer de plus que tout çà ? Mon homme et les palmiers en bord de mer….et toi comment te sens-tu ?
W : reposé, comblé et amoureux !
Il s’approcha de Lilie et déposa un léger baiser sur ses lèvres.
W : Mumm ! Tu es savoureuse !
L : tu n’es pas mal non plus…
Ils déjeunèrent avec appétit car le dîner de la veille avait été sauté. Lilie avait un appétit ultra développé depuis quelques temps et cela amusait beaucoup Wentworth qui prenait plaisir à vois son appétit d’oiseau décupler.
W : tu dévores ma parole ! Je vais être obligé de réserver une troisième place dans l’avion du retour si tu continue comme çà !
Lilie le fusilla du regard et lui jeta un morceau de pain en pleine figure.
W : aie !
L : penses un peu à ta fille, c’est elle qui meurt de faim !
Ils partirent tous les deux dans un fou rire et terminèrent leur déjeuner dans la bonne humeur. Went lui proposa d’aller faire un tour sur la plage. Lilie se mit en maillot de bain et rejoint Went qui l’attendait en bas des marches de la terrasse.
Son maillot mettait magnifiquement en valeur ses formes naissantes du ventre rebondi qui se dessinait de plus en plus.
W : tu es sure que tu te sens bien ?
L : arrêtes de t’inquiéter comme çà, je te dis que çà va ! Je ne suis pas malade, je suis enceinte !
W : ok, alors c’est parti.
Lilie enfila un paréo pour cacher un peu son ventre et ils se dirigèrent sur la grande plage de sable fin qui s’étendait à perte de vue. Après quelques centaines de mètres dans le sable chaud, ils arrivèrent devant une petite plage animée, bordée de petit parasol de paille où ils s’arrêtèrent pour siroter des jus de fruits. Je sens que ces vacances vont être merveilleuses !
Le visage de Lilie était radieux et reposé et elle n’avait pas eu si bonne mine depuis une éternité. Went était ravi de la sentir si bien à ses cotés et n’aurait jamais voulu repartir d’ici. Il aimait leur vie à Miami mais les exigences professionnelles de Went perturbaient un peu la routine du couple.
Ici, tout semblait plus facile.
Les jours défilèrent au rythme des journées sur la plage, à l’ombre des palmiers.
Plus amoureux que jamais, ils goûtaient enfin aux bonheurs d’un couple en vacances et n’avaient pas trop souffert de la célébrité de Went. Quelques badauds sur la plage lui demandaient des autographes quand ils s’éloignaient un peu de leur havre de paix, mais rien de bien méchant.
Mais les jours écoulés les ramenaient à la dure réalité de la fin de vacances qui approchait. Le matin de leur départ, Lilie sortait de la douche et s’était préparé une tenue pour regagner Paris sans avoir trop froid. Nous étions mi décembre et le temps ici n’avait pas grand-chose à voir avec la froideur qu’il régnait en France.
Le regard désolé, elle s’approcha de Went, une serviette éponge autour des hanches. Il rangeait ses dernières affaires avant de partir et lorsqu’il vit la tête de Lilie, il se demanda ce qui la chagrinait tant.
W : qu’est-ce qui t’arrives ? Çà ne va pas ? Tu en fais une drôle de tête !
L : c’est que...
W : quoi ? Tu es triste de partir c’est çà ? Tu n’as pas envie de revoir Paris et tes amis ? Imagine comme Sofia va être heureuse d’être tata !
L : ce n’est pas çà Went !
W : alors c’est quoi ?
L : tu promets de ne pas te moquer ?
Il semblait de plus en plus sceptique quand aux raisons de la mine renfrognée de Lilie.
W : bien sûr que je ne me moquerait pas mais tu vas me dire ce qui te chagrine comme çà !
L : je...je ne rentre plus dans mon jean Went ! Je suis sure que j’ai pris 3 kilos en quinze jours !
Malgré la promesse qu’il lui avait faite, il ne pouvait s’empêcher d’éclater de rire...et de se reprendre bien vite. Il s’approcha d’elle et releva son menton vers le sien pour qu’elle le regarde en face.
W : c’est loin d’être dramatique chérie !
Il s’écarta et lui leva les mains pour admirer son corps changeant. Il sélectionna plusieurs parties de son corps et les embrassa amoureusement pour bien lui faire comprendre qu’il ne voyait pas le problème.
W : tu es la plus belle des futures maman...tu es super excitante comme çà !
L : Went ! Je ne peux vraiment pas l’enfiler, qu’est-ce que je vais mettre ?
W : je te promets que dès qu’on part, on fait notre possible pour te trouver un pantalon qui te permettra d’être à l’aise...mon petit ballon arrive !
L : tu es complètement cinglé !
Il s’approcha à nouveau et fit mine de mordre dans son cou avant de déposer un baiser ardent sur sa peau.
W : cinglé de toi !
Il s’empara des lèvres de Lilie et lui donna un baiser langoureux. Ils apprécièrent les longues minutes ce moment d’intimité avant que Lilie ne se dégage pour aller finalement enfiler une jupe un peu ample qui accepterait d’accueillir son petit ventre.
Le taxi vint les chercher peu de temps après pour les conduire jusqu’à l’aéroport.
Ils embarquèrent une heure et demie après et s’installèrent confortablement dans l’avion qui les ramenait en France.
Lilie se sentait excitée à l’idée d’annoncer cette grande nouvelle à Sofia et ses autres amis. Elle se demandait tout de même si elle aurait le temps de lui dire avant qu’elle ne s’aperçoive des joues, des hanches et du ventre qu’elle avait déjà pris !
J'attends vos coms avec impatience !
CHAP 57 VACANCES
La clarté les réveilla le lendemain matin après une grasse matinée bien méritée. Lovés dans les bras l’un de l’autre, ils savouraient cette douce étreinte en pensant au farniente qui les attendait durant ces quinze jours.
Lilie rêvassait, allongée sur le dos dans un transat sur la terrasse lorsque Went arriva avec le merveilleux plateau de petit déjeuner qu’on venait de leur livrer. Au menu, tout un éventail de victuailles, de viennoiseries, du café, du thé et des jus de fruits. Ils étaient deux mais il y en avait au moins pour 8 !
W : tu te sens bien ?
L : merveilleusement bien ! Qu’est-ce que je pourrais espérer de plus que tout çà ? Mon homme et les palmiers en bord de mer….et toi comment te sens-tu ?
W : reposé, comblé et amoureux !
Il s’approcha de Lilie et déposa un léger baiser sur ses lèvres.
W : Mumm ! Tu es savoureuse !
L : tu n’es pas mal non plus…
Ils déjeunèrent avec appétit car le dîner de la veille avait été sauté. Lilie avait un appétit ultra développé depuis quelques temps et cela amusait beaucoup Wentworth qui prenait plaisir à vois son appétit d’oiseau décupler.
W : tu dévores ma parole ! Je vais être obligé de réserver une troisième place dans l’avion du retour si tu continue comme çà !
Lilie le fusilla du regard et lui jeta un morceau de pain en pleine figure.
W : aie !
L : penses un peu à ta fille, c’est elle qui meurt de faim !
Ils partirent tous les deux dans un fou rire et terminèrent leur déjeuner dans la bonne humeur. Went lui proposa d’aller faire un tour sur la plage. Lilie se mit en maillot de bain et rejoint Went qui l’attendait en bas des marches de la terrasse.
Son maillot mettait magnifiquement en valeur ses formes naissantes du ventre rebondi qui se dessinait de plus en plus.
W : tu es sure que tu te sens bien ?
L : arrêtes de t’inquiéter comme çà, je te dis que çà va ! Je ne suis pas malade, je suis enceinte !
W : ok, alors c’est parti.
Lilie enfila un paréo pour cacher un peu son ventre et ils se dirigèrent sur la grande plage de sable fin qui s’étendait à perte de vue. Après quelques centaines de mètres dans le sable chaud, ils arrivèrent devant une petite plage animée, bordée de petit parasol de paille où ils s’arrêtèrent pour siroter des jus de fruits. Je sens que ces vacances vont être merveilleuses !
Le visage de Lilie était radieux et reposé et elle n’avait pas eu si bonne mine depuis une éternité. Went était ravi de la sentir si bien à ses cotés et n’aurait jamais voulu repartir d’ici. Il aimait leur vie à Miami mais les exigences professionnelles de Went perturbaient un peu la routine du couple.
Ici, tout semblait plus facile.
Les jours défilèrent au rythme des journées sur la plage, à l’ombre des palmiers.
Plus amoureux que jamais, ils goûtaient enfin aux bonheurs d’un couple en vacances et n’avaient pas trop souffert de la célébrité de Went. Quelques badauds sur la plage lui demandaient des autographes quand ils s’éloignaient un peu de leur havre de paix, mais rien de bien méchant.
Mais les jours écoulés les ramenaient à la dure réalité de la fin de vacances qui approchait. Le matin de leur départ, Lilie sortait de la douche et s’était préparé une tenue pour regagner Paris sans avoir trop froid. Nous étions mi décembre et le temps ici n’avait pas grand-chose à voir avec la froideur qu’il régnait en France.
Le regard désolé, elle s’approcha de Went, une serviette éponge autour des hanches. Il rangeait ses dernières affaires avant de partir et lorsqu’il vit la tête de Lilie, il se demanda ce qui la chagrinait tant.
W : qu’est-ce qui t’arrives ? Çà ne va pas ? Tu en fais une drôle de tête !
L : c’est que...
W : quoi ? Tu es triste de partir c’est çà ? Tu n’as pas envie de revoir Paris et tes amis ? Imagine comme Sofia va être heureuse d’être tata !
L : ce n’est pas çà Went !
W : alors c’est quoi ?
L : tu promets de ne pas te moquer ?
Il semblait de plus en plus sceptique quand aux raisons de la mine renfrognée de Lilie.
W : bien sûr que je ne me moquerait pas mais tu vas me dire ce qui te chagrine comme çà !
L : je...je ne rentre plus dans mon jean Went ! Je suis sure que j’ai pris 3 kilos en quinze jours !
Malgré la promesse qu’il lui avait faite, il ne pouvait s’empêcher d’éclater de rire...et de se reprendre bien vite. Il s’approcha d’elle et releva son menton vers le sien pour qu’elle le regarde en face.
W : c’est loin d’être dramatique chérie !
Il s’écarta et lui leva les mains pour admirer son corps changeant. Il sélectionna plusieurs parties de son corps et les embrassa amoureusement pour bien lui faire comprendre qu’il ne voyait pas le problème.
W : tu es la plus belle des futures maman...tu es super excitante comme çà !
L : Went ! Je ne peux vraiment pas l’enfiler, qu’est-ce que je vais mettre ?
W : je te promets que dès qu’on part, on fait notre possible pour te trouver un pantalon qui te permettra d’être à l’aise...mon petit ballon arrive !
L : tu es complètement cinglé !
Il s’approcha à nouveau et fit mine de mordre dans son cou avant de déposer un baiser ardent sur sa peau.
W : cinglé de toi !
Il s’empara des lèvres de Lilie et lui donna un baiser langoureux. Ils apprécièrent les longues minutes ce moment d’intimité avant que Lilie ne se dégage pour aller finalement enfiler une jupe un peu ample qui accepterait d’accueillir son petit ventre.
Le taxi vint les chercher peu de temps après pour les conduire jusqu’à l’aéroport.
Ils embarquèrent une heure et demie après et s’installèrent confortablement dans l’avion qui les ramenait en France.
Lilie se sentait excitée à l’idée d’annoncer cette grande nouvelle à Sofia et ses autres amis. Elle se demandait tout de même si elle aurait le temps de lui dire avant qu’elle ne s’aperçoive des joues, des hanches et du ventre qu’elle avait déjà pris !
***
J'attends vos coms avec impatience !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ces vacances ont dû leur faire le plus grand bien avant le retour à la réalité.
Ils semblent de plus en plus amoureux et complices
A mon avis, Sofia va très vite comprendre ce qui arrive à Lilie en la voyant. Elle devrait être râvie pour eux 2 surtout que Lilie et Went pourront lui annoncer aussi leur mariage
Espérons que la grossesse de Lilie se poursuive bien et que le voyage à Paris se déroule parfaitement bien aussi.
Ils semblent de plus en plus amoureux et complices
W : tu dévores ma parole ! Je vais être obligé de réserver une troisième place dans l’avion du retour si tu continue comme çà !
Lilie le fusilla du regard et lui jeta un morceau de pain en pleine figure.
Je pensais qu'elle allait lui dire qu'elle ne se sentait pas très bien ou qu'elle était vraiment triste de quitter l'île mais c'est juste un petit problème 'technique"L : je...je ne rentre plus dans mon jean Went ! Je suis sure que j’ai pris 3 kilos en quinze jours !
Malgré la promesse qu’il lui avait faite, il ne pouvait s’empêcher d’éclater de rire...et de se reprendre bien vite. Il s’approcha d’elle et releva son menton vers le sien pour qu’elle le regarde en face.
W : c’est loin d’être dramatique chérie !
W : tu es la plus belle des futures maman...tu es super excitante comme çà !
L : Went ! Je ne peux vraiment pas l’enfiler, qu’est-ce que je vais mettre ?
W : je te promets que dès qu’on part, on fait notre possible pour te trouver un pantalon qui te permettra d’être à l’aise...mon petit ballon arrive !
A mon avis, Sofia va très vite comprendre ce qui arrive à Lilie en la voyant. Elle devrait être râvie pour eux 2 surtout que Lilie et Went pourront lui annoncer aussi leur mariage
Espérons que la grossesse de Lilie se poursuive bien et que le voyage à Paris se déroule parfaitement bien aussi.
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
j'adore ils m'ont bien fait rire et les kilo en plus c'est normal quand on est enceinte!
Paris ça va changer de temperature c'est sur!
peut que demander la suite
Paris ça va changer de temperature c'est sur!
peut que demander la suite
lisa1333- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Bon, voilà la suite...c'est le désert en ce moment !
Le voyage en avion lui parut une éternité.
Elle n’arrivait pas à dormir ou très mal et Went, lui, dormait comme un bébé. Elle ne cessait de gigoter pour trouver une position confortable, sans succès.
Le trajet lui paru alors interminable et emprunt de solitude, à coté de son homme qui roupillait bruyamment sous les regards amusés mais contenus des hôtesses.
Lorsqu’il s’éveilla enfin, le moment de l’atterrissage arriva enfin. Il remarqua à quel point Lilie semblait tendue, crispée et agacée.
W : çà ne va pas chérie ?
L : en dehors du fait que tu n’as fait que dormir, si tout va bien !
Il s’approcha d’elle en faisant des yeux de chien battu.
W : tu m’en veux c’est çà ?
L : n’en rajoutes pas, c’est pas le moment !
Il se redressa plus sérieux, alors que les hôtesses leur demandèrent de mettre leur ceintures de sécurité pour l’atterrissage. Lilie ne parlait toujours pas et il se pencha alors vers elle.
W : tu boudes ?
L : non !
W : et bien alors qu’est-ce qu’il y a ? J’ai la soupe à la grimace pour quoi alors ?
L : pour rien...c’est juste que...
W : tu as peur de la réaction de Sofia c’est çà ? Qu’elle soit fâchée que tu ne lui ai rien dit ?
Elle scruta le fond de ses yeux, incrédule.
L : mais tu fais comment pour toujours savoir ce que je ressens ? T’es médium ma parole !
Il se redressa, fier comme un paon.
W : je suis très intelligent surtout et je commence à connaître votre psychologie féminine Mademoiselle ! Je m’y suis déjà frotté !
Ils éclatèrent de rire simultanément alors qu’une légère secousse les informa que l’avion venait de se poser sur le sol. La voix anonça par e micro la température extérieure qui les calma tout de suite. Fini les bikinis et les bisous sur la plage...le froid de décembre les accueillait à bras ouverts.
Le hall de l’aéroport leur donna un aperçut de ce qui les attendaient à l’extérieur niveau température. Ils descendirent les escalators, récupérèrent leurs bagages et se mirent à la recherche d’une petite brune qui avait du venir les attendre.
C’est elle sui les vit en premier et leur fit de grands signes. Lilie sentait son cœur battre la chamade et Went se rapprocha d’elle et lui déposa un baiser sur le front.
W : t’inquiètes pas ma puce, çà va aller...elle va être ravie !
Ils descendirent et se rapprochèrent de Sofia dont le visage exprimait toute sa joie de les revoir. Contrairement à ce que s’imaginais Lilie, Sofia était trop occupée à les voir approcher, transportée de joie qu’elle ne remarqua rien au premier coup d’œil.
S : oh ma chérie ! Je suis si contente de te revoir ! Went ! Comment allez-vous tous les deux ? Vous êtes tout beaux et tout bronzés !
L : oh ma So ! Je suis ravie de te revoir moi aussi !
Elles s’enlacèrent et s’embrassèrent sous le regard bienveillant de Went. Lilie recula puis laissa tout le loisir à Sofia de la détailler.
Ses yeux ne tardèrent pas à se froncer et à se faire suspicieux. Elle la regarda avec un sourire appuyé et Lilie ne put s’empêcher de baisser les yeux, gênée mais souriante.
S : ne me dites pas que...
W : si !
S : Lilie...mais depuis quand ? T’es enceinte de combien ? Mais comment c’est possible ? Tu... ?
L : je suis enceinte de bientôt quatre mois mais là si tu veux bien,...je préfèrerais qu’on en parle chez toi !
Des flashs ne tardèrent pas à se faire sentir devant eux et quelques badauds s’approchèrent de Went afin d’obtenir des autographes qu’il signa avec beaucoup de professionnalisme.
Lilie et Went suivirent Sofia jusqu’au parking où ils grimpèrent dans la voiture, épuisés mais ravis de retrouver un peu d’intimité.
S : alors ? Comment vous avez fait pour que tu tombes enceinte si vite ? Comment c’est possible ?
L : c’est un miracle Sofia...tu sais le traitement, le protocole que j’ai suivi, je l’avais pourtant arrêté mais...il a continué d’être efficace !
S : oui mais çà veut dire que t’es tombée enceinte en août et en août...mon dieu ! La soirée de gala à Paris, la pluie, ton angine ? Çà date de çà ?
Lilie rigolait de la voir si enthousiaste et excitée. Went ne comprenait rien à ses bavardages féminins et inutiles...ah ces deux là pensait-il !
L : oui...çà date de çà ! Mais ce n’est pas tout !
S : ah oui et qu’est-ce qu’il y a encore ? Vous allez vous mariez c’est çà ?
Deux corps complices à l’arrière de la voiture se tordirent de rire.
S : j’ai dit quelque chose de drôle ? Non...ne me dites pas que...non ? Vous allez pas vous mariez ? Si ?
Elle fixait Lilie à travers le rétroviseur, les yeux pétillants d’incertitudes.
L : si, justement, on va e marier et je te veux pour témoin ! Tu acceptes ?
S : parce qu’en plus tu oses me poser la question !
Lilie rayonnait. Malgré la fatigue, l’anxiété de cette annonce, toutes ses incertitudes, elle était à Paris, chez elle avec sa meilleure amie qui lui avait tant manqué et l’homme de sa vie dont elle ferait bientôt un papa comblé.
CHAP 58 RETOUR A PARIS
Le voyage en avion lui parut une éternité.
Elle n’arrivait pas à dormir ou très mal et Went, lui, dormait comme un bébé. Elle ne cessait de gigoter pour trouver une position confortable, sans succès.
Le trajet lui paru alors interminable et emprunt de solitude, à coté de son homme qui roupillait bruyamment sous les regards amusés mais contenus des hôtesses.
Lorsqu’il s’éveilla enfin, le moment de l’atterrissage arriva enfin. Il remarqua à quel point Lilie semblait tendue, crispée et agacée.
W : çà ne va pas chérie ?
L : en dehors du fait que tu n’as fait que dormir, si tout va bien !
Il s’approcha d’elle en faisant des yeux de chien battu.
W : tu m’en veux c’est çà ?
L : n’en rajoutes pas, c’est pas le moment !
Il se redressa plus sérieux, alors que les hôtesses leur demandèrent de mettre leur ceintures de sécurité pour l’atterrissage. Lilie ne parlait toujours pas et il se pencha alors vers elle.
W : tu boudes ?
L : non !
W : et bien alors qu’est-ce qu’il y a ? J’ai la soupe à la grimace pour quoi alors ?
L : pour rien...c’est juste que...
W : tu as peur de la réaction de Sofia c’est çà ? Qu’elle soit fâchée que tu ne lui ai rien dit ?
Elle scruta le fond de ses yeux, incrédule.
L : mais tu fais comment pour toujours savoir ce que je ressens ? T’es médium ma parole !
Il se redressa, fier comme un paon.
W : je suis très intelligent surtout et je commence à connaître votre psychologie féminine Mademoiselle ! Je m’y suis déjà frotté !
Ils éclatèrent de rire simultanément alors qu’une légère secousse les informa que l’avion venait de se poser sur le sol. La voix anonça par e micro la température extérieure qui les calma tout de suite. Fini les bikinis et les bisous sur la plage...le froid de décembre les accueillait à bras ouverts.
Le hall de l’aéroport leur donna un aperçut de ce qui les attendaient à l’extérieur niveau température. Ils descendirent les escalators, récupérèrent leurs bagages et se mirent à la recherche d’une petite brune qui avait du venir les attendre.
C’est elle sui les vit en premier et leur fit de grands signes. Lilie sentait son cœur battre la chamade et Went se rapprocha d’elle et lui déposa un baiser sur le front.
W : t’inquiètes pas ma puce, çà va aller...elle va être ravie !
Ils descendirent et se rapprochèrent de Sofia dont le visage exprimait toute sa joie de les revoir. Contrairement à ce que s’imaginais Lilie, Sofia était trop occupée à les voir approcher, transportée de joie qu’elle ne remarqua rien au premier coup d’œil.
S : oh ma chérie ! Je suis si contente de te revoir ! Went ! Comment allez-vous tous les deux ? Vous êtes tout beaux et tout bronzés !
L : oh ma So ! Je suis ravie de te revoir moi aussi !
Elles s’enlacèrent et s’embrassèrent sous le regard bienveillant de Went. Lilie recula puis laissa tout le loisir à Sofia de la détailler.
Ses yeux ne tardèrent pas à se froncer et à se faire suspicieux. Elle la regarda avec un sourire appuyé et Lilie ne put s’empêcher de baisser les yeux, gênée mais souriante.
S : ne me dites pas que...
W : si !
S : Lilie...mais depuis quand ? T’es enceinte de combien ? Mais comment c’est possible ? Tu... ?
L : je suis enceinte de bientôt quatre mois mais là si tu veux bien,...je préfèrerais qu’on en parle chez toi !
Des flashs ne tardèrent pas à se faire sentir devant eux et quelques badauds s’approchèrent de Went afin d’obtenir des autographes qu’il signa avec beaucoup de professionnalisme.
Lilie et Went suivirent Sofia jusqu’au parking où ils grimpèrent dans la voiture, épuisés mais ravis de retrouver un peu d’intimité.
S : alors ? Comment vous avez fait pour que tu tombes enceinte si vite ? Comment c’est possible ?
L : c’est un miracle Sofia...tu sais le traitement, le protocole que j’ai suivi, je l’avais pourtant arrêté mais...il a continué d’être efficace !
S : oui mais çà veut dire que t’es tombée enceinte en août et en août...mon dieu ! La soirée de gala à Paris, la pluie, ton angine ? Çà date de çà ?
Lilie rigolait de la voir si enthousiaste et excitée. Went ne comprenait rien à ses bavardages féminins et inutiles...ah ces deux là pensait-il !
L : oui...çà date de çà ! Mais ce n’est pas tout !
S : ah oui et qu’est-ce qu’il y a encore ? Vous allez vous mariez c’est çà ?
Deux corps complices à l’arrière de la voiture se tordirent de rire.
S : j’ai dit quelque chose de drôle ? Non...ne me dites pas que...non ? Vous allez pas vous mariez ? Si ?
Elle fixait Lilie à travers le rétroviseur, les yeux pétillants d’incertitudes.
L : si, justement, on va e marier et je te veux pour témoin ! Tu acceptes ?
S : parce qu’en plus tu oses me poser la question !
Lilie rayonnait. Malgré la fatigue, l’anxiété de cette annonce, toutes ses incertitudes, elle était à Paris, chez elle avec sa meilleure amie qui lui avait tant manqué et l’homme de sa vie dont elle ferait bientôt un papa comblé.
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soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
En tout cas, Went est à l'aise et bien détenduLe trajet lui paru alors interminable et emprunt de solitude, à coté de son homme qui roupillait bruyamment sous les regards amusés mais contenus des hôtesses.
Le voyage a dû lui sembler plus court que Lilie.
Il commence à la connaître sa Lilie. En plus, comme il l'aime et est attentif à elle, il se doute forcément de ses réactions. Il a eu raison, Sofia a très bien réagi en apprenant qu'ils allaient être parents
W : tu as peur de la réaction de Sofia c’est çà ? Qu’elle soit fâchée que tu ne lui aies rien dit ?
Elle scruta le fond de ses yeux, incrédule.
L : mais tu fais comment pour toujours savoir ce que je ressens ? T’es médium ma parole ! Il se redressa, fier comme un paon.
W : je suis très intelligent surtout et je commence à connaître votre psychologie féminine Mademoiselle ! Je m’y suis déjà frotté !
Je crois que tout le monde sait ce qui s'est passé durant cette fameuse soirée et nuit parisienne !
S : oui mais çà veut dire que t’es tombée enceinte en août et en août...mon dieu ! La soirée de gala à Paris, la pluie, ton angine ? Çà date de çà ?
Lilie rigolait de la voir si enthousiaste et excitée. Went ne comprenait rien à ses bavardages féminins et inutiles...ah ces deux là pensait-il !
Je crois que Lilie va passer un très bon séjour à Paris aux côtés de l'homme qu'elle aime et de ses amis. Avec Sofia, elle risque de commencer à imaginer son futur mariage
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
C’est merveilleux tout ça ! Un bébé et un mariage ! Après toutes ces épreuves ils doivent encore plus apprécier ce nouveau bonheur !
Je vois que tu es un peu déçue de ne pas avoir beaucoup de coms. Je sais bien que ça ne doit pas être très motivant mais ça ne veut pas dire que tes fics sont inintéressantes ! bien au contraire elles sont captivantes ! si je ne poste pas tous les jours c’est tout simplement parce que le temps est parfois un peu juste ! Je ne veux pas que tu te décourages ; tu écris très bien et j’attends toujours avec impatience le moment de pouvoir lire toutes tes suites !
Je vois que tu es un peu déçue de ne pas avoir beaucoup de coms. Je sais bien que ça ne doit pas être très motivant mais ça ne veut pas dire que tes fics sont inintéressantes ! bien au contraire elles sont captivantes ! si je ne poste pas tous les jours c’est tout simplement parce que le temps est parfois un peu juste ! Je ne veux pas que tu te décourages ; tu écris très bien et j’attends toujours avec impatience le moment de pouvoir lire toutes tes suites !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
c'est super tout va bien dans le meilleur des mondes!Une suite
lisa1333- Admis à l'infirmerie
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