Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
ça doit être pour ça que j'adore tes fics aussi.Valscof... passé derrière ton analyse est déconcertant!!! on pense pareil... c'est pas possible!!!
Enneade, tu as raison, Went devrait se calmer avec le whisky et se remettre au frapuccino mais pour ça, il va falloir que Lilie y mette du sien aussi, mais je crois qu'il vaudrait qu'ils se parlent et mettent les choses au point avant de reprendre une position horizontale tous les 2
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Allez...je ne vous fait pas languir plus longtemps !
Je ne voudrais pas que vous miner le moral pour la soirée !
Merci Valscof, j'adore tes petites analyses ! çà m efait super plaisir de te voir si inspiré et çà em permets de relire cette fic que j'ai écrite il y a un moment déjà !
Merci aussi à toi Enneade et saches que moi aussi je suis une addict de tes créations littéraires
Donc j'espère que çà va vous plaire...pas sur vu le titre !
Dimanche 2 Mars 2008 – Los Angeles – 09 :00 am, heure locale
Les rideaux électriques se lèvent doucement sur la chambre en désordre ou il a dormi quelques heures. Il descend les escaliers, attrape un coca dans le frigo et part le déguster sur la terrasse. La température est déjà agréable et il décide d’aller faire un footing pour se remettre d’aplomb après les émotions de la veille et surtout les abus d’alcool. Sa tête le fait encore souffrir et une aspirine ne serait pas malvenue. Après une rapide préparation, baskets au pieds, il se faufile le long du trottoir et parcoure plusieurs kilomètres en longeant les maisons des stars toutes les plus en vue d’hollywood. Il se vide la tête, il veut se sentir harassé, épuisé...
Quelques heures plus tard, quelques pâtés de maison plus loin
Lilie sort lentement du sommeil alors qu’une voix s’échappe de derrière sa porte de chambre. Emergeant à peine, elle distingue vaguement la voix de Sandra qui l’interpelle.
S : eh oh la marmotte ! Si tu crois que c’est en dormant toute la journée que t’échapperas à ton destin !
L : je me lève la furie...une minute... !
Lilie n’eu pas le temps de faire un mouvement que ses volets étaient déjà ouverts et que Sandra se tenait face à elle.
S : bien dormi ?
L : pas trop mal...oui.
S : parfait, tu es prête ?
L : pour quoi au juste ?
S : on prends l’avion pour Dallas tout à l’heure...petit changement de programme ! Je ne t’en dis pas plus...
L : mais je dois rentrer à Paris moi !
S : non tu es en congés !
L : c’est çà et Pierre va me trucider aussi...
S : il est au courant, je l’ai appelé il y a une heure...
L : quand tu as décidé quelque chose ! Mais tu ne voulais pas que je voie Wentworth aujourd’hui ?
S : justement si...alors va te préparer nous partons dans une heure.
Lilie était complètement décontenancé par les manigances de son amie mais avait fini par éclater de rire quand elle l’avait vu prendre son air sérieux d’entremetteuse.
L : tu es terrible !
S : puisque tu paniques quand les choses sont simples, on va compliquer un peu la donne.
Lilie secoue la tête étonnée de voir son amie si encline à la faire réagir sur ses sentiments. Elle file se préparer et les rejoint trente cinq minutes plus tard en bas avec ses affaires. Il est presque trois heures de l’après midi et l’avion doit décoller dans une heure.
A : en route chiquita !
Ils prennent un taxi jusqu'à l’aéroport, et laisse Lilie embarquer seule dans l’avion d’un regard amusé qui commence sérieusement à l’énerver.
S : à plus tard, on te rejoint ! T’inquiètes pas tout est prévu !
Lilie panique un peu et attends patiemment le décollage regard vissé dans le hublot de l’avion. Elle se demande bien ce qu’ils ont pu lui réserver de si exceptionnel et pourquoi elle se retrouve seule dans cet avion ? Autant de mystère ne lui inspire rien de bon.
- je peux ?
Elle ferme les yeux puis les rouvres dans la direction opposée pour être sur que la voix qu’elle a entendue s’adresser à elle correspond bien au visage auquel elle s’attends.
L : c’est une blague ?
W : non...alors c’est toi qui finalement prends l’avion avec moi...je pensais voir Amaury.
L : tu es dans le coup ?!!!
W : tu peux m’expliquer ? Quel coup ?
L : Ils m’ont réveillée ce matin et n’ont rien voulu me dire, ils m’ont juste ordonné de les suivre, ils m’ont emmenée à l’aéroport et m’ont mis dans cet avion sans aucune explication...
W : je n’était pas au courant...Amaury m’a juste appelé pour me demander à quelle heure je prenais l’avion et s’il pouvait se joindre à moi...mais tu peux encore t’enfuir si tu veux...nous sommes encore au sol.
L : tu es drôle là !
W : désolé, c’est sorti tout seul...je suis désolé pour hier soir, je ne sais pas ce qui m’a pris...j’ai été pris dans un élan, j’avais bu pas mal d’alcool et te retrouver là...çà ne se reproduira plus, je m’excuses de t’avoir entraînée dans ce baiser.
Lilie sentait son cœur se serrer à nouveau. L’alcool était donc le seul responsable ? Il s’excusait ? Cela ne se reproduirai plus ? Dommage pensa-t-elle...
L : ne t’excuse pas, je ne t’ai pas repoussé mais je suis heureuse que nous ayons cette conversation et que nous puissions mettre tout cela à plat. Je serais vraiment peinée d’être fâchée avec toi.
L’hôtesse leur demanda de boucler leur ceinture et le vol commença. Ils essayèrent de clarifier la situation mais Went se gardait bien de lui avouer qu’il savait qu’elle n’avait personne. Il lui parla un peu de Rachel pour se rassurer mais resta évasif sur son absence la veille au soir...
Au bout d’une demi-heure, elle sentit la joue de went tomber sur son épaule et vit qu’il dormait. Elle ne le repoussa pas et cala sa tête contre la sienne pour tenter de dormir aussi.
Le sommeil l’emporta à son tour et lorsqu’elle se réveilla doucement elle sentit ses bras qui l’entouraient. Il était éveillé et regardait une vidéo bras reposé sur l’épaule de Lilie pour ne pas la réveiller en tentant de se dégager.
Elle se redressa quelque peu gênée de leur proximité et l’hôtesse s’approcha d’eux pour leur souhaiter un bon séjour à Dallas. L’avion venait de se poser.
W : tu as bien dormie ?
L : merci oui...
W : tu restes longtemps ?
L : je ne sais pas...mais !!!
W : quoi ?
L : si Amaury et Sandra ne sont pas là, où vais-je aller ?
W : tu m’as fait peur ! C’est que çà ! Je t’emmène ! Je sais me tenir tu sais.
L : d’accord.
Went et Lilie grimpèrent dans sa voiture. Il s’arrêta acheter des hamburgers à un drive et filèrent en direction de chez lui. Il était à peu près 09 :00 et la nuit était tombée. Le voyage fut silencieux mais rapide. Arrivée devant chez lui, Lilie descendit de voiture et croisa le regard de Dominic incrédule qui passait justement en voiture à ce moment là.
W : j’espère que tu as faim ?
L : je suis affamée !
Lilie déposa ses affaires dans la chambre d’amis et ils dînèrent de bon cœur. Deux bières chacun aidèrent à détendre quelques peu l’atmosphère tendue qui régnait entre eux. C’est alors que le téléphone de went sonna.
W : excuses moi, c’est ma sœur...allo ?
L : Went ! C’est un calvaire de t’avoir au téléphone !
W : je suis arrivé il y a à peine une heure de L.A, c’est normal.
L : j’ai eu Rachel au téléphone, tu peux me dire ce qui se passe ?
W : non là je ne peux rien te dire...
L : tu es une vraie calamité frangin ! T’es pas seul ?!
W : non
L : elle est avec toi c’est çà ?
W : c’est un peu compliqué là...mais oui
L : T’as pas assez souffert ? T’’es sado ou quoi ?
W : non, il y a eu du nouveau...tout est arrangé... il faut que je te laisse.
L : Went !
Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit d’autre qu’il avait déjà raccroché.
Il se retourna vers le salon et Lilie n’était plus là. Accoudée à la fenêtre, elle regardait l’épaisse couche de neige qui recouvrait les trottoirs.
W : tu es pensive...qu’est-ce qui se passe ?
L : c’était bien ta sœur ?
W : oui, Rachel l’a appelée, elle s’inquiète pour moi. C’est un peu normal.
L : c’est encore de ma faute...je ne te mérite pas, même comme ami.
W : Rachel est partie d’elle-même Lilie. Elle a compris bien avant nous.
Il se rapprochait dangereusement d’elle et se stoppa à une vingtaine de centimètres d’elle. Elle pouvait sentir son odeur suave, mélange de parfum léger et sa propre odeur corporelle. De puissantes décharges d’adrénaline se déversaient dans son corps alors qu’il n’avait encore fait aucun geste ni eu aucune parole dans sa direction.
L : je crois que nous en avons déjà parlé Went.
W : non, je n’ai pas tout dit, je t’ai menti comme tu m’as menti.
L : à quel propos ? Je peux savoir ?
Elle restait complètement bloquée par cette révélation, quel mensonge ? De quoi voulait-il parler ? Un frisson lui parcouru tout le corps.
W : le mensonge de Sofia.
Lilie sentait ses jambes trembler et ses pommettes rougir de honte. Il savait, depuis jeudi il savait et il l’avait fait poireauter comme une godiche ! Les tremblements et la honte firent bientôt place à la colère.
L : tu le savais ! Je me disais bien aussi que ton changement d’attitude était bizarre...tu ne manques pas de culot.
Il l’empoigna alors qu’elle s’apprêtait à reculer dans la pièce pour ne pas subir sa proximité.
W : non, tu vas m’écouter maintenant. Ne retourne pas la situation à ton avantage ! Tu as fait mentir Sofia pour te débarrasser de moi et ne pas m’affronter. Je sais que tu m’aimes Lilie, arrête de le nier ! Je t’ai détesté oui et je te détestais encore il y a trois jours mais j’ai appris la vérité et j’ai réfléchis. J’ai retourné la situation dans tout les sens. Oui j’aime Rachel, je l’aime parce qu’elle a toujours été là dans les moments difficiles que tu m’a fait traversé, parce qu’elle m’a écouté et sorti de l’alcool dans lequel j’étais en train de sombrer. Mais tu sais très bien pardessus tout que c’est toi que j’aime comme un fou ! Rachel n’a jamais été qu’une issue de secours même si çà va me tuer de le lui dire !
Lilie sentait sa tête tourner et son sang crépiter dans ses veines. La rage avec laquelle Went lui vidait son sac n’avait été que trop longtemps contenue. Il s’était dangereusement rapproché encore et tenait toujours aussi fermement le poignet de Lilie qui avait cessé de lutter et scrutait ébahi son regard si perçant et si en colère.
W : Il ne faut plus se faire du mal tu comprends, il faut l’accepter.
Le ton de sa voix s’était radouci alors que des larmes perlaient aux coins des yeux de Lilie qui était devenue toute rouge.
L : je....je...
W : regardes moi en face dans les yeux et ose me dire que tu ne ressens plus rien pour moi, oses !
Les yeux de Went crachaient des éclairs et toute sa colère s’exprimait si fort que Lilie en avait le vertige. Pourquoi s’acharnait-il sur elle ainsi ? Il avait du beaucoup souffrir ces 4 derniers mois pour réagir ainsi.
L : je ne peux pas...
W : quoi ? Tu ne peux pas quoi !!! Dis le bon sang ! Parles moi et arrête de me fuir tout le temps ! Arrête de douter de toi comme çà, je t’aime tu m’entends, je t’aime !
Les larmes de Lilie enveloppèrent son doux visage torturé et elle tomba à genoux sur le sol, épuisée et à bout de force, à bout de sentiment. Le corps ravagé de sursauts, elle manqua plusieurs respirations et haletait difficilement. Wentworth la souleva contre lui et la déposa sur le sofa. Elle tenta vainement de parler mais il posa ses doigts sur sa bouche pour l’en empêcher. Il lui passa tendrement un linge frais sur le visage et l’aida à boire et reprendre sa respiration. Après le gros coup de colère qu’il avait eu, ses gestes étaient d’une tendresse infinie. Il la consola en posant sa tête contre son torse et caressa ses cheveux jusqu'à ce qu’elle s’endorme. Il la monta ensuite dans la chambre et resta à coté d’elle alors qu’elle dormait, le corps encore parcouru de sursauts réguliers. Il se sentait coupable de l’avoir bousculée mais attendait tellement de réponses de sa part. Pourquoi les avait-elle fait souffrir autant ?
Il resta ainsi un moment, à contempler son visage bouffie de larmes et pourtant si attirant. Au bout d’une heure, voyant que son corps s’était calmé, il reprit le chemin de sa propre chambre et sombra dans le sommeil.
Une heure à peine s’était écoulée qu’il fut réveillé brutalement par des hurlements provenant de la chambre de Lilie. Il s’y précipita et la découvrit en sueur sortant d’un cauchemar. Il la serra fort contre lui et tenta de l’apaiser par ses paroles alors que le corps de Lilie convulsait à nouveau.
W : çà va aller, ne t’inquiètes plus je suis là.
L : ne me laisse plus Went, ne me laisses plus...
W : il n’en est pas question, je suis là, calme toi...
Elle tentait pour lui répondre de lutter contre sa respiration capricieuse. Au bout de quelques minutes, elle se dégagea légèrement, fixa son regard plein d’amour et lui sourit faiblement.
L : je t’aime...ne me laisse plus.
Went lui sourit dans un profond soupir d’incompréhension et de soulagement.
W : c’était si dur de me le dire...je t’aime aussi Lilie, je t’aime à en crever !
Elle le serra plus fort, enfouissant sa tête contre son épaule et senti son corps se détendre instantanément, abandonnant tensions et convulsions, acceptant enfin ses sentiments, en paix avec elle-même...
je vous ai bien eues là...
Un peu de répit, mai rien n'est jamais définitif !
J'attends vos coms, comme d'hab !
Je ne voudrais pas que vous miner le moral pour la soirée !
Merci Valscof, j'adore tes petites analyses ! çà m efait super plaisir de te voir si inspiré et çà em permets de relire cette fic que j'ai écrite il y a un moment déjà !
Merci aussi à toi Enneade et saches que moi aussi je suis une addict de tes créations littéraires
Donc j'espère que çà va vous plaire...pas sur vu le titre !
CHAPITRE 25 Torture
Dimanche 2 Mars 2008 – Los Angeles – 09 :00 am, heure locale
Les rideaux électriques se lèvent doucement sur la chambre en désordre ou il a dormi quelques heures. Il descend les escaliers, attrape un coca dans le frigo et part le déguster sur la terrasse. La température est déjà agréable et il décide d’aller faire un footing pour se remettre d’aplomb après les émotions de la veille et surtout les abus d’alcool. Sa tête le fait encore souffrir et une aspirine ne serait pas malvenue. Après une rapide préparation, baskets au pieds, il se faufile le long du trottoir et parcoure plusieurs kilomètres en longeant les maisons des stars toutes les plus en vue d’hollywood. Il se vide la tête, il veut se sentir harassé, épuisé...
Quelques heures plus tard, quelques pâtés de maison plus loin
Lilie sort lentement du sommeil alors qu’une voix s’échappe de derrière sa porte de chambre. Emergeant à peine, elle distingue vaguement la voix de Sandra qui l’interpelle.
S : eh oh la marmotte ! Si tu crois que c’est en dormant toute la journée que t’échapperas à ton destin !
L : je me lève la furie...une minute... !
Lilie n’eu pas le temps de faire un mouvement que ses volets étaient déjà ouverts et que Sandra se tenait face à elle.
S : bien dormi ?
L : pas trop mal...oui.
S : parfait, tu es prête ?
L : pour quoi au juste ?
S : on prends l’avion pour Dallas tout à l’heure...petit changement de programme ! Je ne t’en dis pas plus...
L : mais je dois rentrer à Paris moi !
S : non tu es en congés !
L : c’est çà et Pierre va me trucider aussi...
S : il est au courant, je l’ai appelé il y a une heure...
L : quand tu as décidé quelque chose ! Mais tu ne voulais pas que je voie Wentworth aujourd’hui ?
S : justement si...alors va te préparer nous partons dans une heure.
Lilie était complètement décontenancé par les manigances de son amie mais avait fini par éclater de rire quand elle l’avait vu prendre son air sérieux d’entremetteuse.
L : tu es terrible !
S : puisque tu paniques quand les choses sont simples, on va compliquer un peu la donne.
Lilie secoue la tête étonnée de voir son amie si encline à la faire réagir sur ses sentiments. Elle file se préparer et les rejoint trente cinq minutes plus tard en bas avec ses affaires. Il est presque trois heures de l’après midi et l’avion doit décoller dans une heure.
A : en route chiquita !
Ils prennent un taxi jusqu'à l’aéroport, et laisse Lilie embarquer seule dans l’avion d’un regard amusé qui commence sérieusement à l’énerver.
S : à plus tard, on te rejoint ! T’inquiètes pas tout est prévu !
Lilie panique un peu et attends patiemment le décollage regard vissé dans le hublot de l’avion. Elle se demande bien ce qu’ils ont pu lui réserver de si exceptionnel et pourquoi elle se retrouve seule dans cet avion ? Autant de mystère ne lui inspire rien de bon.
- je peux ?
Elle ferme les yeux puis les rouvres dans la direction opposée pour être sur que la voix qu’elle a entendue s’adresser à elle correspond bien au visage auquel elle s’attends.
L : c’est une blague ?
W : non...alors c’est toi qui finalement prends l’avion avec moi...je pensais voir Amaury.
L : tu es dans le coup ?!!!
W : tu peux m’expliquer ? Quel coup ?
L : Ils m’ont réveillée ce matin et n’ont rien voulu me dire, ils m’ont juste ordonné de les suivre, ils m’ont emmenée à l’aéroport et m’ont mis dans cet avion sans aucune explication...
W : je n’était pas au courant...Amaury m’a juste appelé pour me demander à quelle heure je prenais l’avion et s’il pouvait se joindre à moi...mais tu peux encore t’enfuir si tu veux...nous sommes encore au sol.
L : tu es drôle là !
W : désolé, c’est sorti tout seul...je suis désolé pour hier soir, je ne sais pas ce qui m’a pris...j’ai été pris dans un élan, j’avais bu pas mal d’alcool et te retrouver là...çà ne se reproduira plus, je m’excuses de t’avoir entraînée dans ce baiser.
Lilie sentait son cœur se serrer à nouveau. L’alcool était donc le seul responsable ? Il s’excusait ? Cela ne se reproduirai plus ? Dommage pensa-t-elle...
L : ne t’excuse pas, je ne t’ai pas repoussé mais je suis heureuse que nous ayons cette conversation et que nous puissions mettre tout cela à plat. Je serais vraiment peinée d’être fâchée avec toi.
L’hôtesse leur demanda de boucler leur ceinture et le vol commença. Ils essayèrent de clarifier la situation mais Went se gardait bien de lui avouer qu’il savait qu’elle n’avait personne. Il lui parla un peu de Rachel pour se rassurer mais resta évasif sur son absence la veille au soir...
Au bout d’une demi-heure, elle sentit la joue de went tomber sur son épaule et vit qu’il dormait. Elle ne le repoussa pas et cala sa tête contre la sienne pour tenter de dormir aussi.
Le sommeil l’emporta à son tour et lorsqu’elle se réveilla doucement elle sentit ses bras qui l’entouraient. Il était éveillé et regardait une vidéo bras reposé sur l’épaule de Lilie pour ne pas la réveiller en tentant de se dégager.
Elle se redressa quelque peu gênée de leur proximité et l’hôtesse s’approcha d’eux pour leur souhaiter un bon séjour à Dallas. L’avion venait de se poser.
W : tu as bien dormie ?
L : merci oui...
W : tu restes longtemps ?
L : je ne sais pas...mais !!!
W : quoi ?
L : si Amaury et Sandra ne sont pas là, où vais-je aller ?
W : tu m’as fait peur ! C’est que çà ! Je t’emmène ! Je sais me tenir tu sais.
L : d’accord.
Went et Lilie grimpèrent dans sa voiture. Il s’arrêta acheter des hamburgers à un drive et filèrent en direction de chez lui. Il était à peu près 09 :00 et la nuit était tombée. Le voyage fut silencieux mais rapide. Arrivée devant chez lui, Lilie descendit de voiture et croisa le regard de Dominic incrédule qui passait justement en voiture à ce moment là.
W : j’espère que tu as faim ?
L : je suis affamée !
Lilie déposa ses affaires dans la chambre d’amis et ils dînèrent de bon cœur. Deux bières chacun aidèrent à détendre quelques peu l’atmosphère tendue qui régnait entre eux. C’est alors que le téléphone de went sonna.
W : excuses moi, c’est ma sœur...allo ?
L : Went ! C’est un calvaire de t’avoir au téléphone !
W : je suis arrivé il y a à peine une heure de L.A, c’est normal.
L : j’ai eu Rachel au téléphone, tu peux me dire ce qui se passe ?
W : non là je ne peux rien te dire...
L : tu es une vraie calamité frangin ! T’es pas seul ?!
W : non
L : elle est avec toi c’est çà ?
W : c’est un peu compliqué là...mais oui
L : T’as pas assez souffert ? T’’es sado ou quoi ?
W : non, il y a eu du nouveau...tout est arrangé... il faut que je te laisse.
L : Went !
Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit d’autre qu’il avait déjà raccroché.
Il se retourna vers le salon et Lilie n’était plus là. Accoudée à la fenêtre, elle regardait l’épaisse couche de neige qui recouvrait les trottoirs.
W : tu es pensive...qu’est-ce qui se passe ?
L : c’était bien ta sœur ?
W : oui, Rachel l’a appelée, elle s’inquiète pour moi. C’est un peu normal.
L : c’est encore de ma faute...je ne te mérite pas, même comme ami.
W : Rachel est partie d’elle-même Lilie. Elle a compris bien avant nous.
Il se rapprochait dangereusement d’elle et se stoppa à une vingtaine de centimètres d’elle. Elle pouvait sentir son odeur suave, mélange de parfum léger et sa propre odeur corporelle. De puissantes décharges d’adrénaline se déversaient dans son corps alors qu’il n’avait encore fait aucun geste ni eu aucune parole dans sa direction.
L : je crois que nous en avons déjà parlé Went.
W : non, je n’ai pas tout dit, je t’ai menti comme tu m’as menti.
L : à quel propos ? Je peux savoir ?
Elle restait complètement bloquée par cette révélation, quel mensonge ? De quoi voulait-il parler ? Un frisson lui parcouru tout le corps.
W : le mensonge de Sofia.
Lilie sentait ses jambes trembler et ses pommettes rougir de honte. Il savait, depuis jeudi il savait et il l’avait fait poireauter comme une godiche ! Les tremblements et la honte firent bientôt place à la colère.
L : tu le savais ! Je me disais bien aussi que ton changement d’attitude était bizarre...tu ne manques pas de culot.
Il l’empoigna alors qu’elle s’apprêtait à reculer dans la pièce pour ne pas subir sa proximité.
W : non, tu vas m’écouter maintenant. Ne retourne pas la situation à ton avantage ! Tu as fait mentir Sofia pour te débarrasser de moi et ne pas m’affronter. Je sais que tu m’aimes Lilie, arrête de le nier ! Je t’ai détesté oui et je te détestais encore il y a trois jours mais j’ai appris la vérité et j’ai réfléchis. J’ai retourné la situation dans tout les sens. Oui j’aime Rachel, je l’aime parce qu’elle a toujours été là dans les moments difficiles que tu m’a fait traversé, parce qu’elle m’a écouté et sorti de l’alcool dans lequel j’étais en train de sombrer. Mais tu sais très bien pardessus tout que c’est toi que j’aime comme un fou ! Rachel n’a jamais été qu’une issue de secours même si çà va me tuer de le lui dire !
Lilie sentait sa tête tourner et son sang crépiter dans ses veines. La rage avec laquelle Went lui vidait son sac n’avait été que trop longtemps contenue. Il s’était dangereusement rapproché encore et tenait toujours aussi fermement le poignet de Lilie qui avait cessé de lutter et scrutait ébahi son regard si perçant et si en colère.
W : Il ne faut plus se faire du mal tu comprends, il faut l’accepter.
Le ton de sa voix s’était radouci alors que des larmes perlaient aux coins des yeux de Lilie qui était devenue toute rouge.
L : je....je...
W : regardes moi en face dans les yeux et ose me dire que tu ne ressens plus rien pour moi, oses !
Les yeux de Went crachaient des éclairs et toute sa colère s’exprimait si fort que Lilie en avait le vertige. Pourquoi s’acharnait-il sur elle ainsi ? Il avait du beaucoup souffrir ces 4 derniers mois pour réagir ainsi.
L : je ne peux pas...
W : quoi ? Tu ne peux pas quoi !!! Dis le bon sang ! Parles moi et arrête de me fuir tout le temps ! Arrête de douter de toi comme çà, je t’aime tu m’entends, je t’aime !
Les larmes de Lilie enveloppèrent son doux visage torturé et elle tomba à genoux sur le sol, épuisée et à bout de force, à bout de sentiment. Le corps ravagé de sursauts, elle manqua plusieurs respirations et haletait difficilement. Wentworth la souleva contre lui et la déposa sur le sofa. Elle tenta vainement de parler mais il posa ses doigts sur sa bouche pour l’en empêcher. Il lui passa tendrement un linge frais sur le visage et l’aida à boire et reprendre sa respiration. Après le gros coup de colère qu’il avait eu, ses gestes étaient d’une tendresse infinie. Il la consola en posant sa tête contre son torse et caressa ses cheveux jusqu'à ce qu’elle s’endorme. Il la monta ensuite dans la chambre et resta à coté d’elle alors qu’elle dormait, le corps encore parcouru de sursauts réguliers. Il se sentait coupable de l’avoir bousculée mais attendait tellement de réponses de sa part. Pourquoi les avait-elle fait souffrir autant ?
Il resta ainsi un moment, à contempler son visage bouffie de larmes et pourtant si attirant. Au bout d’une heure, voyant que son corps s’était calmé, il reprit le chemin de sa propre chambre et sombra dans le sommeil.
Une heure à peine s’était écoulée qu’il fut réveillé brutalement par des hurlements provenant de la chambre de Lilie. Il s’y précipita et la découvrit en sueur sortant d’un cauchemar. Il la serra fort contre lui et tenta de l’apaiser par ses paroles alors que le corps de Lilie convulsait à nouveau.
W : çà va aller, ne t’inquiètes plus je suis là.
L : ne me laisse plus Went, ne me laisses plus...
W : il n’en est pas question, je suis là, calme toi...
Elle tentait pour lui répondre de lutter contre sa respiration capricieuse. Au bout de quelques minutes, elle se dégagea légèrement, fixa son regard plein d’amour et lui sourit faiblement.
L : je t’aime...ne me laisse plus.
Went lui sourit dans un profond soupir d’incompréhension et de soulagement.
W : c’était si dur de me le dire...je t’aime aussi Lilie, je t’aime à en crever !
Elle le serra plus fort, enfouissant sa tête contre son épaule et senti son corps se détendre instantanément, abandonnant tensions et convulsions, acceptant enfin ses sentiments, en paix avec elle-même...
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je vous ai bien eues là...
Un peu de répit, mai rien n'est jamais définitif !
J'attends vos coms, comme d'hab !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ahhhhhhhhhhhh! Enfin depuis le temps que j'attends ca!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est trop génial qu'ils se soient réconciliés, merci pour cette suite, et mets en vite une autre, j'adore grave ta fic moi!!!!
J'éspère que tu ne nous prépres pas une nouvelle dispute!!!
C'est trop génial qu'ils se soient réconciliés, merci pour cette suite, et mets en vite une autre, j'adore grave ta fic moi!!!!
Un peu de répit, mai rien n'est jamais définitif !
J'éspère que tu ne nous prépres pas une nouvelle dispute!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
OK elle l'a dit ... c'est trop intense... j'imagine trop bien Went qui passe de la rage à la tendresse!!!
seulement qu'est-ce que tu nous prépares????
le visage incrédule de Dom, le coup de fil de sa soeur!!!! je sens un coup sadique de ta part
seulement qu'est-ce que tu nous prépares????
le visage incrédule de Dom, le coup de fil de sa soeur!!!! je sens un coup sadique de ta part
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ayait elle lui a enfin dit je t'aime elle a mit du temps mais elle l'a fait!!!!!
Ils peuvent remercier Sandra et Amaury!!!
AH qu'est ce qu'ils sont mignon!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEE
Ils peuvent remercier Sandra et Amaury!!!
AH qu'est ce qu'ils sont mignon!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Je t'avoue que quand j'ai lu le titre du chapitre, j'ai eu un peu peur pour l'avenir du couple Went Lilie. Tu as continué à jouer avec nos nerfs
Ensuite, j'ai vraiment bien compris le titre de ton chapitre quand j'ai vu la colère de Went, ses explications, celles qu'il demandait à Lilie. C'était fort. Je crois que c'était nécessaire pour Lilie, même si elle en a souffert jusque dans sa chair, mais c'était le seul moyen de la faire réagir et agir. Elle a enfin compris
Bon, à mon avis, tout n'est pas encore gagné car il y a cette Rachel qui ne va sûrement pas apprécier et puis, on ne sait pas vraiment pourquoi cette peur de l'abandon, d'exprimer ses sentiments, de ne pas se laisser aller au bonheur est si présent chez Lilie.
Je me suis dit Il ne faut pas que ça bloque Lilie qui a déjà du mal à lui dire qu'elle ne peut vivre sans lui mais non, elle réussit finalement à faire timidement un pas vers luiLilie sentait son cœur se serrer à nouveau. L’alcool était donc le seul responsable ? Il s’excusait ? Cela ne se reproduirait plus ? Dommage pensa-t-elle...
L : ne t’excuse pas, je ne t’ai pas repoussé mais je suis heureuse que nous ayons cette conversation et que nous puissions mettre tout cela à plat.
Je ne pense pas que tout ira aussi bien et aussi vite qu'il le pense et le dit à sa soeur, mais enfin, il retrouve un vrai espoirW : non, il y a eu du nouveau...tout est arrangé... il faut que je te laisse.
Ensuite, j'ai vraiment bien compris le titre de ton chapitre quand j'ai vu la colère de Went, ses explications, celles qu'il demandait à Lilie. C'était fort. Je crois que c'était nécessaire pour Lilie, même si elle en a souffert jusque dans sa chair, mais c'était le seul moyen de la faire réagir et agir. Elle a enfin compris
Les yeux de Went crachaient des éclairs et toute sa colère s’exprimait si fort que Lilie en avait le vertige. Pourquoi s’acharnait-il sur elle ainsi ? Il avait du beaucoup souffrir ces 4 derniers mois pour réagir ainsi.
Pourtant, ça ne doit pas être si difficile de dire "Wentworth, je t'aime", non ? J'adore, Wentworth sort tout ce qu'il a sur le coeur, la pousse dans ses derniers retranchements puis après, immédiatement, il est tendre, protecteur et va jusqu'à la laisser seule dans la chambre, sans profiter de la situation. Il lui donne du temps...W : c’était si dur de me le dire...je t’aime aussi Lilie, je t’aime à en crever !
Bon, à mon avis, tout n'est pas encore gagné car il y a cette Rachel qui ne va sûrement pas apprécier et puis, on ne sait pas vraiment pourquoi cette peur de l'abandon, d'exprimer ses sentiments, de ne pas se laisser aller au bonheur est si présent chez Lilie.
J'aime cette impression de calme, de douceur...mais ce ne sera peut-être que provisoire ?Elle le serra plus fort, enfouissant sa tête contre son épaule et senti son corps se détendre instantanément, abandonnant tensions et convulsions, acceptant enfin ses sentiments, en paix avec elle-même...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ha ENFIN IL ETAIT TEMPS ces 2 là étaient vraiment têtu!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Allez, un ptit chapitre pour bien commencer le week end !
Lorsque Lilie ouvre les yeux en ce froid lundi matin de Mars, elle constate avec effroi qu’elle est seul dans le grand lit. Elle se souvient de la terrible soirée d’hier, de la colère de Went et de leurs aveux. Elle a versé toutes les larmes de son corps avant de réussir à lui dire qu’elle l’aimait. Il a réussi se dit-elle, il a réussi à me faire craquer. Un large sourire attendri éclaire son visage tandis que ses yeux cherchent une trace de lui...
Elle se lève et descend les escaliers mais pas un bruit dans la maison...elle ne voit pas la voiture dans l’allée et commence à s’inquiéter lorsqu’elle remarque le petit mot laissé sur le bar. Elle s’approche et prend le petit bout de papier griffonné entre ses doigts.
« Lilie, je suis parti tôt et j’ai réussi à ne pas te réveiller je suis fier de moi ! J’ai de longues scènes à tourner aujourd’hui mais j’espère ne pas rentrer trop tard. Il y a tout ce qu’il faut pour toi ici, fais comme chez toi, tu es chez toi d’ailleurs. Je suis un peu nul de te laisser seule après la soirée d’hier et je n’ai pas beaucoup dormi, pourtant je suis en super forme. Tu vas me manquer aujourd’hui et j’espère que tu seras encore là ce soir...que tu ne te seras pas enfuie...ma Cendrillon, je t’aime... »
Lilie repose le bout de papier émue mais joyeuse. Elle sent que la journée va être longue. Après un café et une bonne douche, elle scrute alentour pour tenter d’apercevoir si Amaury et Sandra sont dans les parages mais ne voit personne. Elle regarde un peu la télé, zappe et remarque que finalement la cuisine de Went ne contient pas grand-chose à manger. Il va falloir y remédier pense-t-elle...
Elle sent alors quelque chose vibrer sur le sofa dans son dos. Elle attrape l’objet, un téléphone portable et décroche.
L : allo ?
- qui est à l’appareil ?
L : Aline Etura.
- où est Wentworth ? Qui êtes vous ?
L : une amie, je pense qu’il a oublié son portable...
- je suis son agent, Prisca. J’ai des scripts à lui remettre pour des propositions de films intéressants. Je voulais passer le voir mais il tourne peut-être aujourd’hui ?
L : en effet, il va tourner une bonne partie de l ajournée...
- je peux passer chez lui vous les remettre ?
L : sans problèmes...
- merci, je serais là d’ici une demi-heure.
Elles raccrochent simultanément et Lilie se replonge dans l’étude de la vaste grille télévisuelle américaine. Alors qu’elle finit par trouver un programme intéressant, on toque à la porte.
L : j’arrive !
Elle ouvre et constate la mine joyeuse de Sandra en face d’elle.
S : alors ?
L : alors je vais te tuer !
Elle laisse Sandra entrer avec son sourire perché.
S : je constate que tu es encore en vie et en pleine forme ????
L : je devrais vous tuer tous les deux ! Je suis vraiment passée pour ....
S : halte à la violence ! Alors ?
L : alors je l’aime
Sandra explose de joie et lui saute dans les bras pour l’entraîner dans une danse de folie.
S : je le savais, je l’avais dis à Amaury !
L : il n’est pas avec toi d’ailleurs ? J’aurais deux mots à lui dire...
S : il t’a dis alors...
L : il a mis le temps mais oui ! Nous avons eu une violente scène et quand il a fini par se calmer je me suis endormie, les nerfs en pelote puis j’ai fait un cauchemar et il est venu me consoler. C’est à ce moment que j’ai craqué.
S : alors tu vas rester ?!!!!
L : je n’ai pas dit çà ! J’ai ma vie à Paris et faire un trait dessus ne m’a pas réussi la dernière fois, je ne veux pas précipiter les choses...
S : en tous cas je suis vraiment contente...mais Rachel ?
L : il ne m’en a pas parlé, il m’a juste avoué qu’il l’aimait aussi mais pas de la même manière. J’ai beaucoup de peine pour elle, elle a été là pour le soutenir quand il allait mal à cause de moi et maintenant elle va souffrir à son tour par ma faute.
S : ne t’apitoie pas pour elle, quand on ne veut pas souffrir et se ramasser, on ne sort pas avec un mec qui pleure l’amour de sa vie. Elle savait que c’était risqué...
L : tu as toujours réponse à tout !
S : je vais au studio, tu m’accompagnes ?
L : je ne peux pas, j’attends Prisca, l’agent de Went, elle doit lui apporter des scripts de films.
S : ok alors je te laisse, à plus tard...
Prisca passa peu de temps après et Lilie resta toute la journée à faire un peu de ménage car le pavillon en avait bien besoin...
Studio de Dallas – pendant la pause déjeuner
Went s’était rendu compte qu’il n’avait pas son portable et était furax contre lui-même. Il emprunta celui d’Amaury dans le but de contacter Rachel car il ne voulait pas faire traîner les choses, il voulait être honnête avec elle, elle méritait bien çà.
Plusieurs sonneries tombèrent dans l’oubli avant qu’elle décroche.
R : allo ?
W : Rachel, c’est Went !
R : bonjour, comment vas-tu ?
W : bien merci, et toi ?
R : çà va mais je me doute que tu ne m’appelle pas juste pour çà ?
W : non, en effet. Je suis désolé pour la soirée Rachel mais tu as raison, je suis toujours amoureux d’elle.
R : tu ne m’apprends rien là...
W : nous nous sommes revus et je ne peux pas faire une croix sur elle tu comprends ? Je voulais te le dire de vive voix avant que tu l’apprennes par les magazines ou personnes interposées. Je suis désolé.
R : elle a déjà repris son territoire c’est çà ? Je m’en doutais qu’elle finirait par te remettre le grappin dessus, tu vas encore souffrir Went mais je peux t’assurer que je ne serais pas là pour ramasser les miettes, adieu !
W : Rachel !
Elle avait déjà raccroché, furieuse d’être plaquée de la sorte. Il ne pouvait la blâmer. Il se sentait soulagé, il pensait à Lilie un sourire satisfait sur les lèvres mais n’arrivait pas à réaliser qu’elle avait enfin dormie dans ses bras la nuit passée et qu’il allait la retrouver ce soir, peut-être tard mais peu importe, rien ne lui arracherait son sourire aujourd’hui.
Au même moment, une main vient se plaquer sur son épaule.
A : eh ! hombre ! T’as le sourire dis donc...
W : çà se voit tant que çà ?
D : eh les mecs ! un café ?
Dom venait de les rejoindre.
W : c’est pas de refus je suis naze.
D : forcément t’as pas du beaucoup dormir, je t’ai vu hier soir rentré avec Lilie ! Tu nous avais caché çà...
W : non, pas du tout mais demande à Amaury l’entremetteur...
A : c’était une idée de Sandra !
D : je peux avoir la traduction ?
W : il nous a forcé la main en nous faisant prendre l’avion ensemble et sont restés à L.A alors Lilie s’est retrouvée seule avec moi ici, je n’allais pas la laisser à la rue !
A : gentleman va !
D : oui en gros il t’a grave arrangé le coup ! Çà a marché au moins ?
W : chut chut ennemi en vue.
Il aperçut Sandra s’approcher d’eux souriante.
S : t’as la banane dis donc !
W : très drôle ! Mais merci !
S : mais de rien. C’était avec plaisir ! Çà fait plaisir de vous voir tout les deux avec le sourire !
W : tu l’as vue ?
S : bien sur ! J’en viens...elle est rayonnante !
Brett ne tarda pas à venir les interrompre pour les différentes scènes qui restaient à tourner. Sandra discuta à peu près une heure avec Paul et rentra voir Lilie avec qui elle devait aller faire quelques courses.
Elles se séparèrent en fin d’après midi et Lilie s’attela à faire la cuisine avant que Went ne rentre. Elle s’allongea ensuite sur le sofa et zappa sur la télé en tapotant ses doigts d’impatience. Une heure, deux heures et personne. Elle finit par s’endormir lasse d’attendre.
Went se dépêchait mais le tournage s’était éternisé car Brett n’était pas satisfait des prises. Il gara la voiture dans l’allée et aperçut la lumière du salon. Le verrou n’était pas enclenché et il ouvrit délicatement la porte qui lui découvrit une Lilie endormie. Il s’approcha doucement et joua avec son nez contre le sien. Cela la chatouilla et elle émergea doucement de sa sieste. Je pars en laissant Cendrillon dans mon lit et je retrouve la belle au bois dormant !
Lilie rie amusée par ses remarques et lui attrape la main pour regarder sa montre avant de sauter du sofa quand elle croit se tromper en lisant l’heure.
L : 10h45 ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ?
W : journée olympique avec Brett !
L : tu dois être fatigué.
Il s’approche d’elle et enserre sa taille devenue plus fine pour qu’elle se rapproche de lui. Il lui chuchote quelques mots de sa voix rauque et sensuelle.
W : je suis fatigué mais pas pour tout...
Elle se recule pour lui rendre son sourire malicieux et l’embrasser tendrement. Il lui rend son baiser qui devient plus fougueux et plus entreprenant au fur et à mesure que leurs lèvres se rencontrent. Les mains sur sa taille, il se sent perdre tout contrôle au contact du corps de Lilie qui se rapproche et se colle de plus en plus contre le sien. Elle maintient ses mains dans le haut de sa nuque et s’écarte doucement dans un sourire immense et satisfait.
L : j’avais oublié comme tu embrassais...
Il enfoui son visage dans son cou et y dépose milles baisers alors qu’elle enserre son torse et pousse de petits gémissements de plaisir quand il mordille le lobe de son oreille avant de lui chuchoter de sa voix sexy.
W : et est-ce que tu as oublié comme je te fais l’amour ?
Rentrant dan son jeu, elle lui lance un regard coquin et l’embrasse.
L : cela fait si longtemps...
W : nous allons remédier à çà...
Il se retourne et donne un cou de verrou puis la soulève et la porte jusqu'à la chambre. Il la dépose tendrement sur le lit s’installe au dessus d’elle et écarte amoureusement une mèche de cheveux rebelle qu’il place derrière son oreille. Il embrasse son visage tandis qu’elle déboutonne sa chemise lentement, caressant une parcelle de peau libérée après chaque bouton qui cède. Il s’attaque à son chemisier puis à son soutien gorge et embrasse goulûment sa poitrine lorsqu’elle se libère devant lui. Lilie caresse son dos et plante délicieusement ses ongles dans ses reins alors qu’il embrasse chaque sein avec appétit. Elle se cambre et gémit et ils font rapidement volé le reste de leur vêtements au sol. Ils sentent chacun le désir de l’autre devenir plus violent, plus pressant et se collent l’un l’autre un peu plus encore.
Elle le fait basculer sur le coté et se redresse sur lui dans un élan pour prendre le dessus sur la situation. Il se laisse docilement faire, curieux de ce qu’elle veut bien lui réserver. Alors que Went tente de faire durer le plaisir en retardant leur étreinte, Lilie recommence à l’embrasser, de plus en plus goulûment, agitant son corps contre le sien et faisant naître de terribles pulsions chez Wentworth.
W : tu veux me rendre fou !
L : tu as tout compris...
Il se redresse et la fait rebasculer pour se retrouver sur elle à nouveau. Il l’embrasse longuement tandis qu’elle tien son visage entre se mains et que leur intimité se rapproche. Il la pénètre quelques secondes plus tard, savourant la douce chaleur qui s’offre à lui à ce moment. Son visage emprisonné dans les mains de Lilie, il fixe son regard et sourit du bonheur qu’il ressent à ce moment là.
Quand il reprend ses lèvres avec passion, elle vient placer ses mains sur ses reins et insiste son mouvement pour qu’il se libère. Comprenant son attente, il se laisse complètement aller et gémit de tout son être quand le plaisir le terrasse. Lilie serre de toutes ses forces ses mains sur ses fesses et se cambre pour l’attirer un peu plus en elle alors qu’elle sent une vague de chaleur prendre possession de son corps et la soulever dans un cri étouffé.
Essoufflé et épuisé, Went se retire et embrasse son nombril avant de venir mourir un baiser sur sa joue.
W : je t’aime
L : je t’aime aussi Mr Miller...et oui j’avais oublié !
W : quoi ?
L : à quel point tu faisais bien l’amour !
Went se lève et lui balance un oreiller sur la figure alors qu’elle tente de le rattraper. Elle fulmine puis explose de rire devant la tenue d’Adam de son amant.
W : je peux savoir ce qu’il y a de si drôle ???
L : je crois que tu as la marque de mes ongles sur les fesses !
Il se retourne, regarde et constate amusé des petites griffures sur sa peau rougie. Il rie à son tour. Reprenant rapidement son sérieux il grimace en lui lançant un « tigresse ! » amusé.
Alors, heureuses ?????
CHAPITRE 26 RENAISSANCE
Lorsque Lilie ouvre les yeux en ce froid lundi matin de Mars, elle constate avec effroi qu’elle est seul dans le grand lit. Elle se souvient de la terrible soirée d’hier, de la colère de Went et de leurs aveux. Elle a versé toutes les larmes de son corps avant de réussir à lui dire qu’elle l’aimait. Il a réussi se dit-elle, il a réussi à me faire craquer. Un large sourire attendri éclaire son visage tandis que ses yeux cherchent une trace de lui...
Elle se lève et descend les escaliers mais pas un bruit dans la maison...elle ne voit pas la voiture dans l’allée et commence à s’inquiéter lorsqu’elle remarque le petit mot laissé sur le bar. Elle s’approche et prend le petit bout de papier griffonné entre ses doigts.
« Lilie, je suis parti tôt et j’ai réussi à ne pas te réveiller je suis fier de moi ! J’ai de longues scènes à tourner aujourd’hui mais j’espère ne pas rentrer trop tard. Il y a tout ce qu’il faut pour toi ici, fais comme chez toi, tu es chez toi d’ailleurs. Je suis un peu nul de te laisser seule après la soirée d’hier et je n’ai pas beaucoup dormi, pourtant je suis en super forme. Tu vas me manquer aujourd’hui et j’espère que tu seras encore là ce soir...que tu ne te seras pas enfuie...ma Cendrillon, je t’aime... »
Lilie repose le bout de papier émue mais joyeuse. Elle sent que la journée va être longue. Après un café et une bonne douche, elle scrute alentour pour tenter d’apercevoir si Amaury et Sandra sont dans les parages mais ne voit personne. Elle regarde un peu la télé, zappe et remarque que finalement la cuisine de Went ne contient pas grand-chose à manger. Il va falloir y remédier pense-t-elle...
Elle sent alors quelque chose vibrer sur le sofa dans son dos. Elle attrape l’objet, un téléphone portable et décroche.
L : allo ?
- qui est à l’appareil ?
L : Aline Etura.
- où est Wentworth ? Qui êtes vous ?
L : une amie, je pense qu’il a oublié son portable...
- je suis son agent, Prisca. J’ai des scripts à lui remettre pour des propositions de films intéressants. Je voulais passer le voir mais il tourne peut-être aujourd’hui ?
L : en effet, il va tourner une bonne partie de l ajournée...
- je peux passer chez lui vous les remettre ?
L : sans problèmes...
- merci, je serais là d’ici une demi-heure.
Elles raccrochent simultanément et Lilie se replonge dans l’étude de la vaste grille télévisuelle américaine. Alors qu’elle finit par trouver un programme intéressant, on toque à la porte.
L : j’arrive !
Elle ouvre et constate la mine joyeuse de Sandra en face d’elle.
S : alors ?
L : alors je vais te tuer !
Elle laisse Sandra entrer avec son sourire perché.
S : je constate que tu es encore en vie et en pleine forme ????
L : je devrais vous tuer tous les deux ! Je suis vraiment passée pour ....
S : halte à la violence ! Alors ?
L : alors je l’aime
Sandra explose de joie et lui saute dans les bras pour l’entraîner dans une danse de folie.
S : je le savais, je l’avais dis à Amaury !
L : il n’est pas avec toi d’ailleurs ? J’aurais deux mots à lui dire...
S : il t’a dis alors...
L : il a mis le temps mais oui ! Nous avons eu une violente scène et quand il a fini par se calmer je me suis endormie, les nerfs en pelote puis j’ai fait un cauchemar et il est venu me consoler. C’est à ce moment que j’ai craqué.
S : alors tu vas rester ?!!!!
L : je n’ai pas dit çà ! J’ai ma vie à Paris et faire un trait dessus ne m’a pas réussi la dernière fois, je ne veux pas précipiter les choses...
S : en tous cas je suis vraiment contente...mais Rachel ?
L : il ne m’en a pas parlé, il m’a juste avoué qu’il l’aimait aussi mais pas de la même manière. J’ai beaucoup de peine pour elle, elle a été là pour le soutenir quand il allait mal à cause de moi et maintenant elle va souffrir à son tour par ma faute.
S : ne t’apitoie pas pour elle, quand on ne veut pas souffrir et se ramasser, on ne sort pas avec un mec qui pleure l’amour de sa vie. Elle savait que c’était risqué...
L : tu as toujours réponse à tout !
S : je vais au studio, tu m’accompagnes ?
L : je ne peux pas, j’attends Prisca, l’agent de Went, elle doit lui apporter des scripts de films.
S : ok alors je te laisse, à plus tard...
Prisca passa peu de temps après et Lilie resta toute la journée à faire un peu de ménage car le pavillon en avait bien besoin...
Studio de Dallas – pendant la pause déjeuner
Went s’était rendu compte qu’il n’avait pas son portable et était furax contre lui-même. Il emprunta celui d’Amaury dans le but de contacter Rachel car il ne voulait pas faire traîner les choses, il voulait être honnête avec elle, elle méritait bien çà.
Plusieurs sonneries tombèrent dans l’oubli avant qu’elle décroche.
R : allo ?
W : Rachel, c’est Went !
R : bonjour, comment vas-tu ?
W : bien merci, et toi ?
R : çà va mais je me doute que tu ne m’appelle pas juste pour çà ?
W : non, en effet. Je suis désolé pour la soirée Rachel mais tu as raison, je suis toujours amoureux d’elle.
R : tu ne m’apprends rien là...
W : nous nous sommes revus et je ne peux pas faire une croix sur elle tu comprends ? Je voulais te le dire de vive voix avant que tu l’apprennes par les magazines ou personnes interposées. Je suis désolé.
R : elle a déjà repris son territoire c’est çà ? Je m’en doutais qu’elle finirait par te remettre le grappin dessus, tu vas encore souffrir Went mais je peux t’assurer que je ne serais pas là pour ramasser les miettes, adieu !
W : Rachel !
Elle avait déjà raccroché, furieuse d’être plaquée de la sorte. Il ne pouvait la blâmer. Il se sentait soulagé, il pensait à Lilie un sourire satisfait sur les lèvres mais n’arrivait pas à réaliser qu’elle avait enfin dormie dans ses bras la nuit passée et qu’il allait la retrouver ce soir, peut-être tard mais peu importe, rien ne lui arracherait son sourire aujourd’hui.
Au même moment, une main vient se plaquer sur son épaule.
A : eh ! hombre ! T’as le sourire dis donc...
W : çà se voit tant que çà ?
D : eh les mecs ! un café ?
Dom venait de les rejoindre.
W : c’est pas de refus je suis naze.
D : forcément t’as pas du beaucoup dormir, je t’ai vu hier soir rentré avec Lilie ! Tu nous avais caché çà...
W : non, pas du tout mais demande à Amaury l’entremetteur...
A : c’était une idée de Sandra !
D : je peux avoir la traduction ?
W : il nous a forcé la main en nous faisant prendre l’avion ensemble et sont restés à L.A alors Lilie s’est retrouvée seule avec moi ici, je n’allais pas la laisser à la rue !
A : gentleman va !
D : oui en gros il t’a grave arrangé le coup ! Çà a marché au moins ?
W : chut chut ennemi en vue.
Il aperçut Sandra s’approcher d’eux souriante.
S : t’as la banane dis donc !
W : très drôle ! Mais merci !
S : mais de rien. C’était avec plaisir ! Çà fait plaisir de vous voir tout les deux avec le sourire !
W : tu l’as vue ?
S : bien sur ! J’en viens...elle est rayonnante !
Brett ne tarda pas à venir les interrompre pour les différentes scènes qui restaient à tourner. Sandra discuta à peu près une heure avec Paul et rentra voir Lilie avec qui elle devait aller faire quelques courses.
Elles se séparèrent en fin d’après midi et Lilie s’attela à faire la cuisine avant que Went ne rentre. Elle s’allongea ensuite sur le sofa et zappa sur la télé en tapotant ses doigts d’impatience. Une heure, deux heures et personne. Elle finit par s’endormir lasse d’attendre.
Went se dépêchait mais le tournage s’était éternisé car Brett n’était pas satisfait des prises. Il gara la voiture dans l’allée et aperçut la lumière du salon. Le verrou n’était pas enclenché et il ouvrit délicatement la porte qui lui découvrit une Lilie endormie. Il s’approcha doucement et joua avec son nez contre le sien. Cela la chatouilla et elle émergea doucement de sa sieste. Je pars en laissant Cendrillon dans mon lit et je retrouve la belle au bois dormant !
Lilie rie amusée par ses remarques et lui attrape la main pour regarder sa montre avant de sauter du sofa quand elle croit se tromper en lisant l’heure.
L : 10h45 ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ?
W : journée olympique avec Brett !
L : tu dois être fatigué.
Il s’approche d’elle et enserre sa taille devenue plus fine pour qu’elle se rapproche de lui. Il lui chuchote quelques mots de sa voix rauque et sensuelle.
W : je suis fatigué mais pas pour tout...
Elle se recule pour lui rendre son sourire malicieux et l’embrasser tendrement. Il lui rend son baiser qui devient plus fougueux et plus entreprenant au fur et à mesure que leurs lèvres se rencontrent. Les mains sur sa taille, il se sent perdre tout contrôle au contact du corps de Lilie qui se rapproche et se colle de plus en plus contre le sien. Elle maintient ses mains dans le haut de sa nuque et s’écarte doucement dans un sourire immense et satisfait.
L : j’avais oublié comme tu embrassais...
Il enfoui son visage dans son cou et y dépose milles baisers alors qu’elle enserre son torse et pousse de petits gémissements de plaisir quand il mordille le lobe de son oreille avant de lui chuchoter de sa voix sexy.
W : et est-ce que tu as oublié comme je te fais l’amour ?
Rentrant dan son jeu, elle lui lance un regard coquin et l’embrasse.
L : cela fait si longtemps...
W : nous allons remédier à çà...
Il se retourne et donne un cou de verrou puis la soulève et la porte jusqu'à la chambre. Il la dépose tendrement sur le lit s’installe au dessus d’elle et écarte amoureusement une mèche de cheveux rebelle qu’il place derrière son oreille. Il embrasse son visage tandis qu’elle déboutonne sa chemise lentement, caressant une parcelle de peau libérée après chaque bouton qui cède. Il s’attaque à son chemisier puis à son soutien gorge et embrasse goulûment sa poitrine lorsqu’elle se libère devant lui. Lilie caresse son dos et plante délicieusement ses ongles dans ses reins alors qu’il embrasse chaque sein avec appétit. Elle se cambre et gémit et ils font rapidement volé le reste de leur vêtements au sol. Ils sentent chacun le désir de l’autre devenir plus violent, plus pressant et se collent l’un l’autre un peu plus encore.
Elle le fait basculer sur le coté et se redresse sur lui dans un élan pour prendre le dessus sur la situation. Il se laisse docilement faire, curieux de ce qu’elle veut bien lui réserver. Alors que Went tente de faire durer le plaisir en retardant leur étreinte, Lilie recommence à l’embrasser, de plus en plus goulûment, agitant son corps contre le sien et faisant naître de terribles pulsions chez Wentworth.
W : tu veux me rendre fou !
L : tu as tout compris...
Il se redresse et la fait rebasculer pour se retrouver sur elle à nouveau. Il l’embrasse longuement tandis qu’elle tien son visage entre se mains et que leur intimité se rapproche. Il la pénètre quelques secondes plus tard, savourant la douce chaleur qui s’offre à lui à ce moment. Son visage emprisonné dans les mains de Lilie, il fixe son regard et sourit du bonheur qu’il ressent à ce moment là.
Quand il reprend ses lèvres avec passion, elle vient placer ses mains sur ses reins et insiste son mouvement pour qu’il se libère. Comprenant son attente, il se laisse complètement aller et gémit de tout son être quand le plaisir le terrasse. Lilie serre de toutes ses forces ses mains sur ses fesses et se cambre pour l’attirer un peu plus en elle alors qu’elle sent une vague de chaleur prendre possession de son corps et la soulever dans un cri étouffé.
Essoufflé et épuisé, Went se retire et embrasse son nombril avant de venir mourir un baiser sur sa joue.
W : je t’aime
L : je t’aime aussi Mr Miller...et oui j’avais oublié !
W : quoi ?
L : à quel point tu faisais bien l’amour !
Went se lève et lui balance un oreiller sur la figure alors qu’elle tente de le rattraper. Elle fulmine puis explose de rire devant la tenue d’Adam de son amant.
W : je peux savoir ce qu’il y a de si drôle ???
L : je crois que tu as la marque de mes ongles sur les fesses !
Il se retourne, regarde et constate amusé des petites griffures sur sa peau rougie. Il rie à son tour. Reprenant rapidement son sérieux il grimace en lui lançant un « tigresse ! » amusé.
***
Alors, heureuses ?????
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Wahou... oui, l'extase...
Astrid- En route pour la frontière
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Wentfan Storie (13/07/07 18h39) Chap 26 Renaissance
Ouahhhhhhhhhhhhhhhhh! C'est supeeeeeeer! je suis hper contente là, ouf, enfin ils se sont retrouvés:in love: , c'est trop génial, ta suite était vraiment sublime mets en vite une autre, mais attention, je ne veux plus de disputes entre Lilie et Went compris????
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : Ailleurs
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
soso_burrows a écrit:
S : ne t’apitoie pas pour elle, quand on ne veut pas souffrir et se ramasser, on ne sort pas avec un mec qui pleure l’amour de sa vie. Elle savait que c’était risqué...
c'est tellement vrai cette phrase, même si elle me fait de la peine Rachel, mais fallait s'y attendre ma pauvre!
Went cest un vrai coquin, et la trace sur ses fesses
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
voilà la suite du jour, pour ceux qui auront la volonté d'abandonner le soleil où qui sont enfermés malgré eux ! Bonne journée !
Alors que Wentworth sort de la salle de bain vêtu d’un simple caleçon, il remarque que Lilie n’est plus dans la chambre.
Il descend et la trouve accoudée au bar en train de boire un verre d’eau, simplement vêtue de sa chemise. Elle se retourne et lui sourit.
L : tu as faim ?
W : je suis affamé !
L : çà tombe bien je t’avais amoureusement préparé un repas...
W : tu cuisines toi ?
L : tu ne me connaissais pas encore ce talent n’est-ce pas !? Oui je cuisine Mr Miller moi ! Je suis française au cas où tu l’oublierais !
W : et qu’a préparé mon petit marmiton ?
L : une salade et un tiramisu.
Il explose de rire et jette sa tête en arrière.
L : je ne vois pas ce qu’il y a de drôle ?
W : le Tiramisu c’est français çà ?
L : c’est çà moque toi ! De toute façon, vous les américains vous ne connaissez rien à la cuisine ! On en reparlera quand tu l’auras goûté...
Complètement conquis, il s’amuse de la voir ainsi prendre la mouche. Elle se rapproche de lui tout sourire, une assiette dans la main. Elle découpe un bout avec une cuiller et lui fourre dans la bouche. Il ferme les yeux et pousse un petit gémissement de plaisir.
L : alors ?
W : tu as raison, c’est divin !
L : je te l’avais bien dit !
W : d’où tiens tu cette recette ?
L : la mère de Sofia ! Elle est italienne et elle m’a appris beaucoup de recettes qu’elle est fière de m’avoir transmises car Sofia est une catastrophe en cuisine.
Alors qu’il continue goulûment d’enfourner des bouchées de l’incroyable pâtisserie, Lilie s’en sert un morceau et le rejoint près du bar.
W : comment va Sofia d’ailleurs ?
L : elle est au ski avec ses parents dans les Alpes italiennes.
W : au ski ? Elle marche ?
L : oui, parfaitement et sans assistance depuis trois semaines !
W : c’est merveilleux ! Cela doit te soulager non ?
L : oui c’était devenu pesant. Tu sais, elle a toujours été de ton coté et je ne l’écoutai pas.
W : qu’est-ce que tu comptes faire ?
L : des allers-retours !
W : tu ne veux pas rester ici avec moi ?
L : je t’aime Went, mais tu sais comme moi que si on veut que çà marche il me faut mon indépendance. Tu me vois t’attendre chaque soir avec un petit repas tout prêt ?
W : tu as ton travail ici aussi tu sais !
L : oui mais j’ai aussi celui à Paris auquel je tiens et mes amis, ma famille !
Lilie sent de la déception dans son regard lorsqu’il repose ses yeux sur la dernière bouchée de gâteau dans son assiette. Il est déçu, oui, mais il sait aussi qu’elle a raison.
W : tu vas rester un peu quand même ?
L : jusqu’à la fin de semaine promis ! C’est un peu notre lune de miel !
W : arrêtes tu vas me tenter !
Il la fixe de son regard malicieux et laisse son regard se promener de son visage à ses pieds en s’attardant sur certaines parties de son corps. Elle sent ses pommettes se roser et recule vers le frigo.
L : tu as soif ? Une bière peut-être ?
W : pas d’alcool merci...de l’eau sera très bien !
Il n’a cessé de la regarder et la gêne s’empare de plus en plus de Lilie.
L : qu’est-ce qu’il y a ?
W : je ne pensais pas que mes chemises pouvaient être aussi sexy...
L : Went ! Un autre bout de gâteau te calmera peut-être ?
W : il se rapproche d’elle, l’embrasse et commence malicieusement à déboutonner la chemise en lui murmurant à l’oreille « je prendrai bien du rab mais pas de gâteau ».
Lilie lui sourit amusée et répond à ses baisers en même temps qu’il l’entraîne près du sofa sur le tapis du salon.
A peine assouvi, le désir réveille à nouveau leurs corps trop longtemps séparés. Il se penche sur elle et termine d’ôter le plus délicatement possible le peu de vêtement que porte encore Lilie. Après de multiples caresses et baisers sur leurs corps brûlants, ils font à nouveau l’amour comme si c’était la première et peut-être la dernière fois.
Le corps apaisé mais haletant, il dépose un dernier baiser sur son front avant d’écrouler sa tête sur sa poitrine, épuisé.
Lorsque Lilie ouvre brutalement les yeux, le lendemain matin, des coups sont donnés sur la porte d’entrée suivit des paroles d’Amaury. Lilie secoue Went qui semble encore dormir profondément et réagi bien vite qu’il s’est loupé en regardant sa montre.
W : merde ! Il est 8 heures !
Les coups tambourinent toujours et Went se décide à aller ouvrir alors que Lilie s’est sauvée dans la salle de bain.
Lorsque Amaury le découvre, en caleçon et les yeux encore collés de sommeil, il est prêt à éclater de rire.
A : je vois que la nuit a été longue, ou trop courte !
W : Amaury ! Tu veux entrer ? Il fait un froid de canard ici !
A ! Merci, mais t’as vu l’heure ? Ton réveil est en panne ?
W : oui...on va dire çà.
Alors même qu’il a invité Amaury à entrer, il réalise le capharnaüm laissé par leurs ébats de la veille. Chemise, sous vêtements, restes de gâteau et coussins aux quatre coins de la pièce. Amaury se retient de rire mais ne peut empêcher son visage d’afficher un franc sourire amusé alors que Went rougit de la situation.
A : vous vous amusez bien dis donc...
Went ne répond rien et reste dans sa gêne alors qu’il tente de ramasser quelques effets gênants. Il s’apprête à préparer du café au moment ou Lilie redescends, fraîchement douchée et en peignoir.
L : bonjour Amaury
A : bonjour Lilie ! En forme ?
Il ne peut s’empêcher de lui faire un clin d’œil complice alors qu’elle constate la mine fatiguée et gênée de Went.
L : çà te dérange pas si je fais le café ?
Went n’a pas le temps de répliquer qu’elle a déjà pris possession de la machine. Il regarde Amaury décontenancé.
L : un café Amaury ?
W : méfie toi tu vas pas dormir pendant deux jours...
L : Went !
A : avec plaisir Lilie, j’aime le café à réveiller les morts et je crois Went que çà te ferais pas de mal, on a encore une longue journée devant nous...
Ils rient de bons cœur et avalent rapidement le précieux liquide avant de se précipiter dans la voiture d’Amaury pour aller au studio ou ils ont déjà presque une heure de retard.
Lilie va en profiter pour s’occuper d’elle et se faire une beauté alors que Went lui a laissé le 4x4. elle passera plus tard au studio, car elle doit de toute façon voir Paul pour discuter du scénario du dernier épisode qui est presque bouclé.
Alors ? Pas trop gnan gnan ?
et bonne fête à tous les français
CHAPITRE 26 PART2
Alors que Wentworth sort de la salle de bain vêtu d’un simple caleçon, il remarque que Lilie n’est plus dans la chambre.
Il descend et la trouve accoudée au bar en train de boire un verre d’eau, simplement vêtue de sa chemise. Elle se retourne et lui sourit.
L : tu as faim ?
W : je suis affamé !
L : çà tombe bien je t’avais amoureusement préparé un repas...
W : tu cuisines toi ?
L : tu ne me connaissais pas encore ce talent n’est-ce pas !? Oui je cuisine Mr Miller moi ! Je suis française au cas où tu l’oublierais !
W : et qu’a préparé mon petit marmiton ?
L : une salade et un tiramisu.
Il explose de rire et jette sa tête en arrière.
L : je ne vois pas ce qu’il y a de drôle ?
W : le Tiramisu c’est français çà ?
L : c’est çà moque toi ! De toute façon, vous les américains vous ne connaissez rien à la cuisine ! On en reparlera quand tu l’auras goûté...
Complètement conquis, il s’amuse de la voir ainsi prendre la mouche. Elle se rapproche de lui tout sourire, une assiette dans la main. Elle découpe un bout avec une cuiller et lui fourre dans la bouche. Il ferme les yeux et pousse un petit gémissement de plaisir.
L : alors ?
W : tu as raison, c’est divin !
L : je te l’avais bien dit !
W : d’où tiens tu cette recette ?
L : la mère de Sofia ! Elle est italienne et elle m’a appris beaucoup de recettes qu’elle est fière de m’avoir transmises car Sofia est une catastrophe en cuisine.
Alors qu’il continue goulûment d’enfourner des bouchées de l’incroyable pâtisserie, Lilie s’en sert un morceau et le rejoint près du bar.
W : comment va Sofia d’ailleurs ?
L : elle est au ski avec ses parents dans les Alpes italiennes.
W : au ski ? Elle marche ?
L : oui, parfaitement et sans assistance depuis trois semaines !
W : c’est merveilleux ! Cela doit te soulager non ?
L : oui c’était devenu pesant. Tu sais, elle a toujours été de ton coté et je ne l’écoutai pas.
W : qu’est-ce que tu comptes faire ?
L : des allers-retours !
W : tu ne veux pas rester ici avec moi ?
L : je t’aime Went, mais tu sais comme moi que si on veut que çà marche il me faut mon indépendance. Tu me vois t’attendre chaque soir avec un petit repas tout prêt ?
W : tu as ton travail ici aussi tu sais !
L : oui mais j’ai aussi celui à Paris auquel je tiens et mes amis, ma famille !
Lilie sent de la déception dans son regard lorsqu’il repose ses yeux sur la dernière bouchée de gâteau dans son assiette. Il est déçu, oui, mais il sait aussi qu’elle a raison.
W : tu vas rester un peu quand même ?
L : jusqu’à la fin de semaine promis ! C’est un peu notre lune de miel !
W : arrêtes tu vas me tenter !
Il la fixe de son regard malicieux et laisse son regard se promener de son visage à ses pieds en s’attardant sur certaines parties de son corps. Elle sent ses pommettes se roser et recule vers le frigo.
L : tu as soif ? Une bière peut-être ?
W : pas d’alcool merci...de l’eau sera très bien !
Il n’a cessé de la regarder et la gêne s’empare de plus en plus de Lilie.
L : qu’est-ce qu’il y a ?
W : je ne pensais pas que mes chemises pouvaient être aussi sexy...
L : Went ! Un autre bout de gâteau te calmera peut-être ?
W : il se rapproche d’elle, l’embrasse et commence malicieusement à déboutonner la chemise en lui murmurant à l’oreille « je prendrai bien du rab mais pas de gâteau ».
Lilie lui sourit amusée et répond à ses baisers en même temps qu’il l’entraîne près du sofa sur le tapis du salon.
A peine assouvi, le désir réveille à nouveau leurs corps trop longtemps séparés. Il se penche sur elle et termine d’ôter le plus délicatement possible le peu de vêtement que porte encore Lilie. Après de multiples caresses et baisers sur leurs corps brûlants, ils font à nouveau l’amour comme si c’était la première et peut-être la dernière fois.
Le corps apaisé mais haletant, il dépose un dernier baiser sur son front avant d’écrouler sa tête sur sa poitrine, épuisé.
Lorsque Lilie ouvre brutalement les yeux, le lendemain matin, des coups sont donnés sur la porte d’entrée suivit des paroles d’Amaury. Lilie secoue Went qui semble encore dormir profondément et réagi bien vite qu’il s’est loupé en regardant sa montre.
W : merde ! Il est 8 heures !
Les coups tambourinent toujours et Went se décide à aller ouvrir alors que Lilie s’est sauvée dans la salle de bain.
Lorsque Amaury le découvre, en caleçon et les yeux encore collés de sommeil, il est prêt à éclater de rire.
A : je vois que la nuit a été longue, ou trop courte !
W : Amaury ! Tu veux entrer ? Il fait un froid de canard ici !
A ! Merci, mais t’as vu l’heure ? Ton réveil est en panne ?
W : oui...on va dire çà.
Alors même qu’il a invité Amaury à entrer, il réalise le capharnaüm laissé par leurs ébats de la veille. Chemise, sous vêtements, restes de gâteau et coussins aux quatre coins de la pièce. Amaury se retient de rire mais ne peut empêcher son visage d’afficher un franc sourire amusé alors que Went rougit de la situation.
A : vous vous amusez bien dis donc...
Went ne répond rien et reste dans sa gêne alors qu’il tente de ramasser quelques effets gênants. Il s’apprête à préparer du café au moment ou Lilie redescends, fraîchement douchée et en peignoir.
L : bonjour Amaury
A : bonjour Lilie ! En forme ?
Il ne peut s’empêcher de lui faire un clin d’œil complice alors qu’elle constate la mine fatiguée et gênée de Went.
L : çà te dérange pas si je fais le café ?
Went n’a pas le temps de répliquer qu’elle a déjà pris possession de la machine. Il regarde Amaury décontenancé.
L : un café Amaury ?
W : méfie toi tu vas pas dormir pendant deux jours...
L : Went !
A : avec plaisir Lilie, j’aime le café à réveiller les morts et je crois Went que çà te ferais pas de mal, on a encore une longue journée devant nous...
Ils rient de bons cœur et avalent rapidement le précieux liquide avant de se précipiter dans la voiture d’Amaury pour aller au studio ou ils ont déjà presque une heure de retard.
Lilie va en profiter pour s’occuper d’elle et se faire une beauté alors que Went lui a laissé le 4x4. elle passera plus tard au studio, car elle doit de toute façon voir Paul pour discuter du scénario du dernier épisode qui est presque bouclé.
***
Alors ? Pas trop gnan gnan ?
et bonne fête à tous les français
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Wentfan Storie (14/07/07 15h18) Chap 26 Renaissance
Ah ca fait plaisir cette suite, j'aime ces moments ouils sont ensembles et heureux!!!!
Mets vite une AUTRE suite!!!!!
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
ça fait plaisir des les voirs comme ça
il fait super beau t'as raison LE SOLEIL EST DE RETOUR ,jsuis allez faire du shopping, et ce soir je sort! et si toi tu sort pas (ce serait dommage) j'espere que yora une suite a mon retour
il fait super beau t'as raison LE SOLEIL EST DE RETOUR ,jsuis allez faire du shopping, et ce soir je sort! et si toi tu sort pas (ce serait dommage) j'espere que yora une suite a mon retour
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
non c'est pas gnan-gnan... c'est trop cute au contraire!!!
bon les voilà reparti sur la bonne voix
mais une phrase me chiffone, devrai-je y vois du sadisme de ta part ou bien tu me fais tourner en bourrique :
bon les voilà reparti sur la bonne voix
mais une phrase me chiffone, devrai-je y vois du sadisme de ta part ou bien tu me fais tourner en bourrique :
ils font à nouveau l’amour comme si c’était la première et peut-être la dernière fois.
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Allez, encore une petite suite...
Plusieurs semaines après...
Lilie pianote avec ardeur sur son clavier pour envoyer à temps le contrat de production qu’elle tente de remporter pour la boite pour laquelle elle travaille sur Paris. Cela fera bientôt trois semaines qu’elle ne l’a pas vu. Le tournage de la saison 3 s’est terminé début Mars et depuis Went s’est envolé pour New York ou il tourne un long métrage pour un des meilleurs réalisateur en vue à Hollywood. Elle est ravie pour lui, satisfaite que le travail qu’il a mis des années à faire reconnaître porte enfin ses fruits et que le cinéma lui ouvre ses bras.
Il est donc officiellement en vacances de Prison Break mais en acceptant ce rôle, il n’a pu rejoindre Lilie à Paris comme ils se l’étaient promis. Ce tournage a du bon et lui a permis de revoir un peu plus ses parents et l’une de ses sœurs qui vivent là bas, là ou il a grandi.
Les premières semaines où ils se sont remis ensemble ont été magiques mais aussi très dures pour Lilie qui avait énormément de mal à se concentrer sur son travail, ses contrats, ses rendez-vous et faire face aux fans de Went et aux journalistes people. Alors que Lilie tentait de le prendre avec humour et détente, Went a vraiment fini par se fâcher car chacun de leurs pas à L.A devenait une course à la tranquillité.
Harassé et agacé, il avait finalement décidé d’annoncer officiellement en conférence de presse sa relation avec Lilie. Voulant toujours protéger sa vie privée, il s’était montré discret, secret et la presse s’était déchaînée, laissant courir les plus folles rumeurs, parlant même d’homosexualité alors que celui démentait formellement. Toutes les connaissances féminines de son entourage en avaient subi les conséquences en se montrant avec lui...
...jusqu’a cette interview de Mars 2008...
Flash back
W : ............................
- Wentworth, votre métier prends tout votre temps, ce n’est pas évident de se construire une vie d’homme avec un tel emploi du temps ?
W : non, c’est vrai mais comme le tournage de la série se déroule toujours au même endroit pour plusieurs épisodes d’affilée et que nous y avons chacun un pied à terre, cela facilite les choses...
- cela ne facilite quand même pas vos relations avec les femmes.
W : je n’ai pas de « relations avec les femmes », une seule me suffit !
- vous êtes en train de nous dire que vous n’êtes définitivement plus un cœur à prendre ?
W : exactement !
- je pense que vous allez faire pleurer dans les chaumières en avouant cela !
W : je vais avoir 36 ans et je pense qu’il est temps pour moi de passer la seconde...
- peut-on connaître l’heureuse élue ?
W : vous la connaissez déjà, nous faisons sans arrêt la couverture des magazines actuellement...
- Aline Etura, bien sur ! Mais vous faisiez déjà la une des magazines avec elle en octobre dernier et quelques semaines après l’on vous voyait en galante compagnie avec Rachel Bilson !
W : nous nous sommes quittés sur un malentendu, c’est arrangé.
- alors qu’entendez-vous par « passez la seconde », vous mariez, avoir des enfants ? Elle semble plus jeune que vous...
W : il est vrai que j’y pense vu mon âge mais ce n’est pas d’actualité avec mon métier...
- vous l’avez rencontrée parce qu’elle était scénariste pour Prison Break si mes sources sont bonnes ?
W : non, avant.
-le fait que vous viviez seul entretient pourtant le doute...
W : elle a son propre travail en dehors de PB et vit la moitié du temps en France. Elle vient me voir dès qu’elle peut et j’en fais autant de mon coté...
-...............................................
Fin du flash-back
Lorsque Sofia était par hasard tombée sur cette interview quelques jours plus tard, elle avait appelé Lilie de toutes ses forces et elles avaient assisté ensemble à ces aveux dans les formes. Sofia restait scotchée et Lilie bien trop émue pour lui faire part de ses impressions.
S : mon dieu, t’as vue il l’a fait !
L : super ! Bientôt je ne pourrais même plus sortir de chez moi ! Tout le monde va me sauter dessus et m’épier pour tenter de l’apercevoir...
S : non mais t’as entendu ce qu’il a dit, mariage, bébé...
L : il a dit que ce n’était pas le moment avec son métier et tu crois que c’est le moment pour moi ? On est ensemble à nouveau depuis 3 semaines et il s’envole en ce moment même pour New York ou il va tourner un film pendant deux mois !
S : je serais contente d’être tata d’un petit Wenty !
L : oui et bien à mon avis de l’eau aura coulée sous les ponts d’ici là...
La conversation en était restée là. Oui, certes elle était touchée de ses déclarations même si elles l’effrayaient un peu mais un bébé, un mariage, quelle idée !
Dimanche 27 avril 2008 – 21h00 – Paris
Alors qu’elle goûtait à un peu de répit devant son écran de télé, son téléphone se mit à vibrer. Elle décrocha.
L : allo ?
W : c’est moi.
L : Went ! Je suis contente d’entendre ta voix !
W : je viens d’arriver à New York, je suis chez mes parents, ma sœur est venue me chercher à l’aéroport et nous déjeunons en famille. Tu me manques...
L : tu me manques aussi...terriblement !
W : je t’aime
L : moi aussi.
W : ma mère te passe le bonjour et veux savoir quand ils pourront te voir...si tu étais là le week-end prochain...
L : çà sent les présentations officielles ton rencard !
W : tu connais déjà ma mère, elle veut juste t’inviter quelques jours vu que je suis sur place.
L : mais il y aura qui exactement ?
W : si tu viens, tout le monde ! Mes parents et ma sœur de New York avec son mari. Ma mère rêve de ce genre de dîner depuis que je suis en âge de lui ramener une belle fille !
L : et combien lui en as-tu ramener jusqu’à maintenant ?
W : aucune, j’attendais d’être sur de moi.
L : sûr de quoi ?
W : d’emmener avec moi la seule et unique femme avec qui je me vois partager ma vie.
Lilie manque un battement et une respiration, elle se dit qu’il est finalement très doué pour partager ses sentiments par appareils interposés. Went sent le silence s’installer et ne veut pas la faire paniquer.
W : Lilie, çà va ?
L : oui oui, très bien, je suis juste un peu...surprise ! Je...je ne sais pas quoi dire...
W : tu pourrais commencer par me dire que tu seras à JFK samedi prochain dans la matinée.
L : ce sera tout ?
W : non, tu pourrais aussi laisser quelques affaires à toi à L.A, çà t’éviterait d’être trop chargée à chaque fois...
L : je t’aime
W : çà veut dire oui ?
L : oui...
Alors je contin,ue dans ce sens ou vous en avez assez ???
De toute façon, c'est déjà écrit...
J'attends vos coms !
CHAPITRE 27
Plusieurs semaines après...
Lilie pianote avec ardeur sur son clavier pour envoyer à temps le contrat de production qu’elle tente de remporter pour la boite pour laquelle elle travaille sur Paris. Cela fera bientôt trois semaines qu’elle ne l’a pas vu. Le tournage de la saison 3 s’est terminé début Mars et depuis Went s’est envolé pour New York ou il tourne un long métrage pour un des meilleurs réalisateur en vue à Hollywood. Elle est ravie pour lui, satisfaite que le travail qu’il a mis des années à faire reconnaître porte enfin ses fruits et que le cinéma lui ouvre ses bras.
Il est donc officiellement en vacances de Prison Break mais en acceptant ce rôle, il n’a pu rejoindre Lilie à Paris comme ils se l’étaient promis. Ce tournage a du bon et lui a permis de revoir un peu plus ses parents et l’une de ses sœurs qui vivent là bas, là ou il a grandi.
Les premières semaines où ils se sont remis ensemble ont été magiques mais aussi très dures pour Lilie qui avait énormément de mal à se concentrer sur son travail, ses contrats, ses rendez-vous et faire face aux fans de Went et aux journalistes people. Alors que Lilie tentait de le prendre avec humour et détente, Went a vraiment fini par se fâcher car chacun de leurs pas à L.A devenait une course à la tranquillité.
Harassé et agacé, il avait finalement décidé d’annoncer officiellement en conférence de presse sa relation avec Lilie. Voulant toujours protéger sa vie privée, il s’était montré discret, secret et la presse s’était déchaînée, laissant courir les plus folles rumeurs, parlant même d’homosexualité alors que celui démentait formellement. Toutes les connaissances féminines de son entourage en avaient subi les conséquences en se montrant avec lui...
...jusqu’a cette interview de Mars 2008...
Flash back
W : ............................
- Wentworth, votre métier prends tout votre temps, ce n’est pas évident de se construire une vie d’homme avec un tel emploi du temps ?
W : non, c’est vrai mais comme le tournage de la série se déroule toujours au même endroit pour plusieurs épisodes d’affilée et que nous y avons chacun un pied à terre, cela facilite les choses...
- cela ne facilite quand même pas vos relations avec les femmes.
W : je n’ai pas de « relations avec les femmes », une seule me suffit !
- vous êtes en train de nous dire que vous n’êtes définitivement plus un cœur à prendre ?
W : exactement !
- je pense que vous allez faire pleurer dans les chaumières en avouant cela !
W : je vais avoir 36 ans et je pense qu’il est temps pour moi de passer la seconde...
- peut-on connaître l’heureuse élue ?
W : vous la connaissez déjà, nous faisons sans arrêt la couverture des magazines actuellement...
- Aline Etura, bien sur ! Mais vous faisiez déjà la une des magazines avec elle en octobre dernier et quelques semaines après l’on vous voyait en galante compagnie avec Rachel Bilson !
W : nous nous sommes quittés sur un malentendu, c’est arrangé.
- alors qu’entendez-vous par « passez la seconde », vous mariez, avoir des enfants ? Elle semble plus jeune que vous...
W : il est vrai que j’y pense vu mon âge mais ce n’est pas d’actualité avec mon métier...
- vous l’avez rencontrée parce qu’elle était scénariste pour Prison Break si mes sources sont bonnes ?
W : non, avant.
-le fait que vous viviez seul entretient pourtant le doute...
W : elle a son propre travail en dehors de PB et vit la moitié du temps en France. Elle vient me voir dès qu’elle peut et j’en fais autant de mon coté...
-...............................................
Fin du flash-back
Lorsque Sofia était par hasard tombée sur cette interview quelques jours plus tard, elle avait appelé Lilie de toutes ses forces et elles avaient assisté ensemble à ces aveux dans les formes. Sofia restait scotchée et Lilie bien trop émue pour lui faire part de ses impressions.
S : mon dieu, t’as vue il l’a fait !
L : super ! Bientôt je ne pourrais même plus sortir de chez moi ! Tout le monde va me sauter dessus et m’épier pour tenter de l’apercevoir...
S : non mais t’as entendu ce qu’il a dit, mariage, bébé...
L : il a dit que ce n’était pas le moment avec son métier et tu crois que c’est le moment pour moi ? On est ensemble à nouveau depuis 3 semaines et il s’envole en ce moment même pour New York ou il va tourner un film pendant deux mois !
S : je serais contente d’être tata d’un petit Wenty !
L : oui et bien à mon avis de l’eau aura coulée sous les ponts d’ici là...
La conversation en était restée là. Oui, certes elle était touchée de ses déclarations même si elles l’effrayaient un peu mais un bébé, un mariage, quelle idée !
Dimanche 27 avril 2008 – 21h00 – Paris
Alors qu’elle goûtait à un peu de répit devant son écran de télé, son téléphone se mit à vibrer. Elle décrocha.
L : allo ?
W : c’est moi.
L : Went ! Je suis contente d’entendre ta voix !
W : je viens d’arriver à New York, je suis chez mes parents, ma sœur est venue me chercher à l’aéroport et nous déjeunons en famille. Tu me manques...
L : tu me manques aussi...terriblement !
W : je t’aime
L : moi aussi.
W : ma mère te passe le bonjour et veux savoir quand ils pourront te voir...si tu étais là le week-end prochain...
L : çà sent les présentations officielles ton rencard !
W : tu connais déjà ma mère, elle veut juste t’inviter quelques jours vu que je suis sur place.
L : mais il y aura qui exactement ?
W : si tu viens, tout le monde ! Mes parents et ma sœur de New York avec son mari. Ma mère rêve de ce genre de dîner depuis que je suis en âge de lui ramener une belle fille !
L : et combien lui en as-tu ramener jusqu’à maintenant ?
W : aucune, j’attendais d’être sur de moi.
L : sûr de quoi ?
W : d’emmener avec moi la seule et unique femme avec qui je me vois partager ma vie.
Lilie manque un battement et une respiration, elle se dit qu’il est finalement très doué pour partager ses sentiments par appareils interposés. Went sent le silence s’installer et ne veut pas la faire paniquer.
W : Lilie, çà va ?
L : oui oui, très bien, je suis juste un peu...surprise ! Je...je ne sais pas quoi dire...
W : tu pourrais commencer par me dire que tu seras à JFK samedi prochain dans la matinée.
L : ce sera tout ?
W : non, tu pourrais aussi laisser quelques affaires à toi à L.A, çà t’éviterait d’être trop chargée à chaque fois...
L : je t’aime
W : çà veut dire oui ?
L : oui...
***
Alors je contin,ue dans ce sens ou vous en avez assez ???
De toute façon, c'est déjà écrit...
J'attends vos coms !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
ils sont trop mignons... je craque complet
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Wentfan Storie (16/07/07 11h26) Chap 27
Ils sont trop mimi, surtout l'interview ca m'a beaucoup plu!!
Mets vite une suite!!!
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angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui !
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
ça y est, j'ai rattrapé mon retard. ça a l'air d'aller dans le bon sens pour eux mais, comme Enneade, certains petits passages me font penser que tout ne sera pas lisse et qu'il faut ecore s'attendre à quelques accrocs entre eux. Lilie est heureuses mais elle n'a pas l'air d'être prête à aller aussi vite que Wentworth.
Que vas-tu nous réserver ?
Que vas-tu nous réserver ?
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Allez, une suite pour rester dans le même esprit !
Lilie venait à peine de raccrocher qu’elle sentait sa tête tourner et son cœur valser contre les parois de sa poitrine. Sofia venait de rentrer et lorsqu’elle croisa le regard de sa colocataire, assise dans le salon le regard perdu dans le vide, elle se demandait bien ce qui avait pu lui arriver.
S : eh oh ? Allo la terre, ici la lune ! Tu te sens bien ?
Lilie tourna la tête machinalement dans sa direction, un sourire figé sur les lèvres.
L : oui çà va...
S : on dirait pas...laisse moi deviner ? Wentworth ! Bonne pioche ch’uis trop la meilleure ! Que s’est-il passé encore ? Vous avez rompu ?
L : Sofia !
S : quoi, tu en fais des mystères ! Raconte...
L : il m’attend à New York samedi prochain dans la matinée pour que l’on passe le week end chez ses parents. Il veut me les présenter ainsi que sa sœur. Il m’a aussi demandé de laisser des affaires à moi chez lui à L.A pour que je m’y sente un peu plus chez moi.
S : oui, ce qui m’inquiètes maintenant c’est ce que tu lui as répondu chérie...
L : que je l’aimais...
S : et il a dit quoi lui ?
L : il m’a demandé si çà voulait dire oui et je lui ai dit oui.
S : alors pourquoi tu fais cette tête, je peux savoir ?
L : je me sens toute bizarre...je...je n’ai pas peur...
S : alors c’est parfait, tu déménages quand ?
L : je ne déménage pas !
S : alors là j’ai pas eu la traduc ??? Tu dois pas amener tes affaires chez lui ?
L : en partie...mais mon lieu de résidence officiel restera Paris.
S : ah...
L : je me trompe, mais j’aurais presque l’impression que t’a envie de me voir dégager ?
S : c’est pas çà mais...Tom voudrait pouvoir venir plus souvent...
L : parce que ma présence l’en empêches ?
S : non mais, il voudrait rester plus souvent « dormir » et pas seulement quand tu n’es pas là...
L : Tom....mon Tom et toi, c’est pas vrai !?
S : c’est pas vraiment ton Tom Lilie...et on est ensemble depuis 4 mois, on voulait rien te dire car tu étais trop triste il y a quelques semaines et que depuis je ne voulais pas m’attirer tes foudres...
L : mon dieu, mon meilleur ami avec ma meilleure amie...
S : tu sais Lilie, je l’aime vraiment !
Lilie ne tenta pas de tergiverser sur une relation qui ne la regardait pas et leur souhaita juste bonne chance...
Samedi 2 mai 2007 – 11 :30 am – Aéroport JFK New York
Lilie vient de débarquer et descends lentement le tapis roulant de l’aéroport ou elle tente vainement d’apercevoir Went après trois semaines d’absence intolérable. Elle l’aperçoit quelques secondes plus tard, entouré d’une horde de fans qui lui réclament photos et autographes. Lorsqu’il arrive enfin à relever la tête et l’apercevoir se rapprocher, il s’excuse et leur fausse compagnie pour la rejoindre sous leurs regards ébahis et presque haineux lorsqu’elle croise leur regards.
Went se rapproche et l’embrasse à pleine bouche alors qu’elle laisse nonchalamment son sac tomber par terre pour le prendre par le cou. Elle respire enfin son odeur et sa chaleur et une vague de plaisir l’envahi à cet instant. Ils se séparent après un baiser passionné et non moins public pour les personnes qui les entourent.
L : je suis tellement heureuse d’être ici avec toi ! Tu m’as manqué Miller !
W : Toi aussi Melle Etura, j’ai cru devenir dingue ici tout seul...
Went remarques le visage un peu gêné et soucieux de Lilie.
W : quelque chose ne va pas ?
L : je suis un peu nerveuse de rencontrer tes parents, ta sœur...et ces gens autours de nous tu vois...
W : ne t’inquiètes pas, j’ai briefé ma mère, elle devrait rester correcte...et tu sais qu’elle t’adore !
L : même après notre rupture ? Et il y a ton père...et ta sœur...
W : Mon père !
Il explose de rire en même temps qu’il prononce ces mots
W : mon père, il y a pas plus tranquille...un miracle car pour supporter ma furie de mère... ! Et mes sœurs !
L : oui et bien moi je stresse Miller ! Ce n’est pas drôle de te moquer, je suis intimidée, c’est très officiel tout çà...
W : je ne te dirais pas le contraire, tu sais j’ai 36 ans et je n’ai jamais été aussi sur de moi...mais cela reste la première fois que je fais un truc pareil...
Lilie l’embrasse tandis qu’ils montent dans le taxi en direction de la maison des parents de Went à une trentaine de kilomètres...
Quand le taxi s’immobilise devant la grande maison bordée d’arbres et de pelouse, ils descendent et Went attrape le sac de Lilie dans une main et serre sa main fort dans sa paume.
W : çà va aller...
L : je t’aime
Il lui sourit et sonne à la porte ou derrière, la voix de sa mère se fait entendre et de plus en plus proche.
J : j’arrive !
Elle ouvre et saute sur Lilie qu’elle embrasse chaleureusement.
L : bonjour Mme Miller...
J : ah non Lilie, pas de çà avec moi, vous vous souvenez, Joy çà ira très bien...
L : alors ravie de vous revoir Joy !
Ils entrèrent et ils saluèrent le reste de la famille déjà présent, sur le pied de guerre à attendre « la fameuse » qui avait réussi à conquérir le cœur de Went.
W : papa, je te présente Aline, que tout le monde appelle Lilie, Lilie, voici mon père, Wentworth comme moi.
Lilie le salua et il s’approcha pour l’embrasser.
Papa Went : je suis enchanté et c’est comme çà qu’on se salue en France n’est-ce pas ?
Lilie lui rend son sourire et son étreinte chaleureuse. Went se tourne alors vers le jeune couple à leur gauche.
W : Lilie, je te présente ma sœur Gillian et son mari, Josh.
Ils se saluent encore une fois avant d’être interrompus par Joy qui accélère tout le monde.
J : bon, Went, tu pourrais peut-être aider ta fiancée à s’installer dans votre chambre !
Il rougit à l’évocation de sa mère et entraîne Lilie à sa suite, trop heureux et impatient de récolter ses premières impressions. Elle sent que le week-end va être spécial, une grande nouveauté pour elle qui n’a jamais rencontré la famille d’un quelconque ex petit ami. Mais Wentworth n’est pas quelconque, elle le sait bien.
Ils entrent dans sa chambre, la parfaite chambre de jeune américain étudiant. Il sent le regard de Lilie errer dans la pièce à la recherche d’indices, de preuves...
W : qu’y a t il ?
L : je recherche des traces de ton passé...
W : nous n’habitions pas ici quand j’étais ado. Mes parents ont acheté cette maison il y deux ans seulement. Ma mère a choisi la déco et a remis les affaires que j’avais laissé quand je les avait quittés, étudiant. Mais pourquoi ?
L : comme çà, disons que ta « fiancée » a juste envie de te connaître...
W : tu ne l’as pas mal pris ?
L : mal pris ? Flattée tu veux dire...
Elle lui adresse un clin d’œil complice tandis qu’elle s’approche du bureau au dessus duquel trône quelques photos du passé de Went, passé de lycée et d’université ou déjà son physique devait faire des ravages...
Elle sent tout à coup deux bras l’enlacer et la forcer à lui faire face. A peine a-t-elle le temps d’apercevoir son regard qu’il prend possession de sa bouche dans un baiser langoureux et plein de désir. Lilie s’abandonne et y répond ardemment alors que les mains de Went descendent le long de ses reins et encore plus bas. Après une vague d’émotions, elle sent le creux de son ventre s’éveiller à son contact et elle sait qu’elle ne pourra pas résister plus longtemps si elle ne met pas fin au supplice de suite.
L : Went...tes parents nous attendent... !
Alors qu’il remonte sa bouche pleines de baisers le long de son cou il s’arrête au niveau de son oreille et chuchote.
W : je ne peux plus attendre Lilie, je t’aime et je t’attends depuis trois semaines.
L : tes parents peuvent entrer d’un moment à l’autre !
W : non...j’ai fermé la porte derrière nous...
Les assauts de ses baisers se font de plus en plus insistants et brûlants. Les gargouillements de son ventre ne l’aidant pas, Lilie sent le mur de la chambre contre son dos tandis que Went lui ôte déjà son tee-shirt pour s’attaquer à sa fine poitrine qui s’offre à lui gonflée de désir. Elle cille légèrement alors que le tissu de sa jupe remonte dangereusement sous des mains habiles. Le tissu sur les hanches, elle ne peut s’empêcher d’échapper un petit gémissement quand elle sent la dentelle de ses dessous céder face aux doigts entreprenants de Went. Il s’arrête un instant et fixe son regard pour y chercher un signe, un consentement. Il l’obtient tout de suite alors qu’elle reprend possession de ses lèvres et les lui mordille d’impatience. Il la soulève, l’obligeant à passer ses jambes autour de ses hanches et la porte délicatement jusqu’au lit ou il la couche en travers avant de se reposer sur elle. Il inonde chaque partie de son corps de baisers enflammés jusqu'à son intimité. Lilie serre fort l’oreiller à chaque soubresaut de plaisir qui l’envahit pour éviter d’être trop bruyante. Went se débarrasse rapidement de son jean et prend possession de Lilie alors que sa respiration se saccade et que quelques gémissements lui échappent. Chaque va et vient dans son corps donne à Lilie une impression de plénitude et de bonheur qu’elle voudrait que jamais cela ne finisse.
Il accélère son étreinte et ils atteignent tout les deux l’extase suprême sous les perles de sueurs à leur front et leur sourire si satisfait à leurs lèvres. Went l’embrasse alors qu’un petit rire nerveux la reprend.
L : tu as osé...
W : je ne pouvais pas attendre...cela fait trois semaines que je t’imagine à Paris avec tout ces regards sur toi et ces hommes qui te voient alors que je suis si loin...je voulais que tu sois à moi tout de suite...
L : tu n’as rien à craindre des autres hommes Wentworth...
Il s’apprête à répondre lorsque deux coups secs sont frappés contre la porte.
J : Went, Lilie ? Que faites-vous ? Nous vous attendons pour passer à table !
W : oui maman, Lilie voulait juste se rafraîchir un peu avant de passer à table !
J : Très bien, nous vous attendons.
Alors qu’ils entendent les pas s’éloigner, ils ne peuvent s’empêcher de pouffer de rire comme deux adolescents pris en flagrant délit...
Ils se rhabillent et tentent de redonner un semblant de tenue à leur allure avant de rejoindre la famille de Went au rée de chaussée...
çà va, pas trop choquée par ce coquin de Went ?
CHAPITRE 27 SUITE
Lilie venait à peine de raccrocher qu’elle sentait sa tête tourner et son cœur valser contre les parois de sa poitrine. Sofia venait de rentrer et lorsqu’elle croisa le regard de sa colocataire, assise dans le salon le regard perdu dans le vide, elle se demandait bien ce qui avait pu lui arriver.
S : eh oh ? Allo la terre, ici la lune ! Tu te sens bien ?
Lilie tourna la tête machinalement dans sa direction, un sourire figé sur les lèvres.
L : oui çà va...
S : on dirait pas...laisse moi deviner ? Wentworth ! Bonne pioche ch’uis trop la meilleure ! Que s’est-il passé encore ? Vous avez rompu ?
L : Sofia !
S : quoi, tu en fais des mystères ! Raconte...
L : il m’attend à New York samedi prochain dans la matinée pour que l’on passe le week end chez ses parents. Il veut me les présenter ainsi que sa sœur. Il m’a aussi demandé de laisser des affaires à moi chez lui à L.A pour que je m’y sente un peu plus chez moi.
S : oui, ce qui m’inquiètes maintenant c’est ce que tu lui as répondu chérie...
L : que je l’aimais...
S : et il a dit quoi lui ?
L : il m’a demandé si çà voulait dire oui et je lui ai dit oui.
S : alors pourquoi tu fais cette tête, je peux savoir ?
L : je me sens toute bizarre...je...je n’ai pas peur...
S : alors c’est parfait, tu déménages quand ?
L : je ne déménage pas !
S : alors là j’ai pas eu la traduc ??? Tu dois pas amener tes affaires chez lui ?
L : en partie...mais mon lieu de résidence officiel restera Paris.
S : ah...
L : je me trompe, mais j’aurais presque l’impression que t’a envie de me voir dégager ?
S : c’est pas çà mais...Tom voudrait pouvoir venir plus souvent...
L : parce que ma présence l’en empêches ?
S : non mais, il voudrait rester plus souvent « dormir » et pas seulement quand tu n’es pas là...
L : Tom....mon Tom et toi, c’est pas vrai !?
S : c’est pas vraiment ton Tom Lilie...et on est ensemble depuis 4 mois, on voulait rien te dire car tu étais trop triste il y a quelques semaines et que depuis je ne voulais pas m’attirer tes foudres...
L : mon dieu, mon meilleur ami avec ma meilleure amie...
S : tu sais Lilie, je l’aime vraiment !
Lilie ne tenta pas de tergiverser sur une relation qui ne la regardait pas et leur souhaita juste bonne chance...
Samedi 2 mai 2007 – 11 :30 am – Aéroport JFK New York
Lilie vient de débarquer et descends lentement le tapis roulant de l’aéroport ou elle tente vainement d’apercevoir Went après trois semaines d’absence intolérable. Elle l’aperçoit quelques secondes plus tard, entouré d’une horde de fans qui lui réclament photos et autographes. Lorsqu’il arrive enfin à relever la tête et l’apercevoir se rapprocher, il s’excuse et leur fausse compagnie pour la rejoindre sous leurs regards ébahis et presque haineux lorsqu’elle croise leur regards.
Went se rapproche et l’embrasse à pleine bouche alors qu’elle laisse nonchalamment son sac tomber par terre pour le prendre par le cou. Elle respire enfin son odeur et sa chaleur et une vague de plaisir l’envahi à cet instant. Ils se séparent après un baiser passionné et non moins public pour les personnes qui les entourent.
L : je suis tellement heureuse d’être ici avec toi ! Tu m’as manqué Miller !
W : Toi aussi Melle Etura, j’ai cru devenir dingue ici tout seul...
Went remarques le visage un peu gêné et soucieux de Lilie.
W : quelque chose ne va pas ?
L : je suis un peu nerveuse de rencontrer tes parents, ta sœur...et ces gens autours de nous tu vois...
W : ne t’inquiètes pas, j’ai briefé ma mère, elle devrait rester correcte...et tu sais qu’elle t’adore !
L : même après notre rupture ? Et il y a ton père...et ta sœur...
W : Mon père !
Il explose de rire en même temps qu’il prononce ces mots
W : mon père, il y a pas plus tranquille...un miracle car pour supporter ma furie de mère... ! Et mes sœurs !
L : oui et bien moi je stresse Miller ! Ce n’est pas drôle de te moquer, je suis intimidée, c’est très officiel tout çà...
W : je ne te dirais pas le contraire, tu sais j’ai 36 ans et je n’ai jamais été aussi sur de moi...mais cela reste la première fois que je fais un truc pareil...
Lilie l’embrasse tandis qu’ils montent dans le taxi en direction de la maison des parents de Went à une trentaine de kilomètres...
Quand le taxi s’immobilise devant la grande maison bordée d’arbres et de pelouse, ils descendent et Went attrape le sac de Lilie dans une main et serre sa main fort dans sa paume.
W : çà va aller...
L : je t’aime
Il lui sourit et sonne à la porte ou derrière, la voix de sa mère se fait entendre et de plus en plus proche.
J : j’arrive !
Elle ouvre et saute sur Lilie qu’elle embrasse chaleureusement.
L : bonjour Mme Miller...
J : ah non Lilie, pas de çà avec moi, vous vous souvenez, Joy çà ira très bien...
L : alors ravie de vous revoir Joy !
Ils entrèrent et ils saluèrent le reste de la famille déjà présent, sur le pied de guerre à attendre « la fameuse » qui avait réussi à conquérir le cœur de Went.
W : papa, je te présente Aline, que tout le monde appelle Lilie, Lilie, voici mon père, Wentworth comme moi.
Lilie le salua et il s’approcha pour l’embrasser.
Papa Went : je suis enchanté et c’est comme çà qu’on se salue en France n’est-ce pas ?
Lilie lui rend son sourire et son étreinte chaleureuse. Went se tourne alors vers le jeune couple à leur gauche.
W : Lilie, je te présente ma sœur Gillian et son mari, Josh.
Ils se saluent encore une fois avant d’être interrompus par Joy qui accélère tout le monde.
J : bon, Went, tu pourrais peut-être aider ta fiancée à s’installer dans votre chambre !
Il rougit à l’évocation de sa mère et entraîne Lilie à sa suite, trop heureux et impatient de récolter ses premières impressions. Elle sent que le week-end va être spécial, une grande nouveauté pour elle qui n’a jamais rencontré la famille d’un quelconque ex petit ami. Mais Wentworth n’est pas quelconque, elle le sait bien.
Ils entrent dans sa chambre, la parfaite chambre de jeune américain étudiant. Il sent le regard de Lilie errer dans la pièce à la recherche d’indices, de preuves...
W : qu’y a t il ?
L : je recherche des traces de ton passé...
W : nous n’habitions pas ici quand j’étais ado. Mes parents ont acheté cette maison il y deux ans seulement. Ma mère a choisi la déco et a remis les affaires que j’avais laissé quand je les avait quittés, étudiant. Mais pourquoi ?
L : comme çà, disons que ta « fiancée » a juste envie de te connaître...
W : tu ne l’as pas mal pris ?
L : mal pris ? Flattée tu veux dire...
Elle lui adresse un clin d’œil complice tandis qu’elle s’approche du bureau au dessus duquel trône quelques photos du passé de Went, passé de lycée et d’université ou déjà son physique devait faire des ravages...
Elle sent tout à coup deux bras l’enlacer et la forcer à lui faire face. A peine a-t-elle le temps d’apercevoir son regard qu’il prend possession de sa bouche dans un baiser langoureux et plein de désir. Lilie s’abandonne et y répond ardemment alors que les mains de Went descendent le long de ses reins et encore plus bas. Après une vague d’émotions, elle sent le creux de son ventre s’éveiller à son contact et elle sait qu’elle ne pourra pas résister plus longtemps si elle ne met pas fin au supplice de suite.
L : Went...tes parents nous attendent... !
Alors qu’il remonte sa bouche pleines de baisers le long de son cou il s’arrête au niveau de son oreille et chuchote.
W : je ne peux plus attendre Lilie, je t’aime et je t’attends depuis trois semaines.
L : tes parents peuvent entrer d’un moment à l’autre !
W : non...j’ai fermé la porte derrière nous...
Les assauts de ses baisers se font de plus en plus insistants et brûlants. Les gargouillements de son ventre ne l’aidant pas, Lilie sent le mur de la chambre contre son dos tandis que Went lui ôte déjà son tee-shirt pour s’attaquer à sa fine poitrine qui s’offre à lui gonflée de désir. Elle cille légèrement alors que le tissu de sa jupe remonte dangereusement sous des mains habiles. Le tissu sur les hanches, elle ne peut s’empêcher d’échapper un petit gémissement quand elle sent la dentelle de ses dessous céder face aux doigts entreprenants de Went. Il s’arrête un instant et fixe son regard pour y chercher un signe, un consentement. Il l’obtient tout de suite alors qu’elle reprend possession de ses lèvres et les lui mordille d’impatience. Il la soulève, l’obligeant à passer ses jambes autour de ses hanches et la porte délicatement jusqu’au lit ou il la couche en travers avant de se reposer sur elle. Il inonde chaque partie de son corps de baisers enflammés jusqu'à son intimité. Lilie serre fort l’oreiller à chaque soubresaut de plaisir qui l’envahit pour éviter d’être trop bruyante. Went se débarrasse rapidement de son jean et prend possession de Lilie alors que sa respiration se saccade et que quelques gémissements lui échappent. Chaque va et vient dans son corps donne à Lilie une impression de plénitude et de bonheur qu’elle voudrait que jamais cela ne finisse.
Il accélère son étreinte et ils atteignent tout les deux l’extase suprême sous les perles de sueurs à leur front et leur sourire si satisfait à leurs lèvres. Went l’embrasse alors qu’un petit rire nerveux la reprend.
L : tu as osé...
W : je ne pouvais pas attendre...cela fait trois semaines que je t’imagine à Paris avec tout ces regards sur toi et ces hommes qui te voient alors que je suis si loin...je voulais que tu sois à moi tout de suite...
L : tu n’as rien à craindre des autres hommes Wentworth...
Il s’apprête à répondre lorsque deux coups secs sont frappés contre la porte.
J : Went, Lilie ? Que faites-vous ? Nous vous attendons pour passer à table !
W : oui maman, Lilie voulait juste se rafraîchir un peu avant de passer à table !
J : Très bien, nous vous attendons.
Alors qu’ils entendent les pas s’éloigner, ils ne peuvent s’empêcher de pouffer de rire comme deux adolescents pris en flagrant délit...
Ils se rhabillent et tentent de redonner un semblant de tenue à leur allure avant de rejoindre la famille de Went au rée de chaussée...
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çà va, pas trop choquée par ce coquin de Went ?
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Wentfan Storie (16/07/07 21h43) Chap 27 suite
Tu rigoles?! Moi choquée?!! pas du tout
J'adoreeeeeeeeeeeee!!!! Mets vite une suite
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angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
On voit que Sofia connaît bien Lilie. Elle se méfieS : on dirait pas...laisse moi deviner ? Wentworth ! Bonne pioche ch’uis trop la meilleure ! Que s’est-il passé encore ? Vous avez rompu ?
S : oui, ce qui m’inquiètes maintenant c’est ce que tu lui as répondu chérie...
Elle progresse notre petite Lilie. Elle semble enfin se laisser aller et le fait que Sofia et Tom soient ensemble devrait sûrement l'aider à se décider à déménager prochainement, non ?L : je me sens toute bizarre...je...je n’ai pas peur...
Nous aussiMais Wentworth n’est pas quelconque, elle le sait bien.
Enfin, elle s'est plutôt réchauffée ! J'adore les voir coquins tous les 2J : Went, Lilie ? Que faites-vous ? Nous vous attendons pour passer à table !
W : oui maman, Lilie voulait juste se rafraîchir un peu avant de passer à table !
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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