neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!

Merci!

Une autre!!!

Pauvre Lisa, je ne pensais pas que son état était aussi critique

Mets nous vite la suite!!!!!!!!!!

Alors quand on pagauge, on met des bottes et on avance donc....


LA SUITE, C'EST URGENT


STP, JE ME METS A GENOU !!!!!!!!!!!!!!

Super ! Bravo !

Alors oui on patauge à fond la ! bon Erin je vais suivre tes conseils et aller enfiler mes bottes

Alors comme ça Went n'y comprend rien... moi je continue d'espérer que Lisa s'est trompé sur son compte et qu'il n'a rien fait avec Mariana.
J'espère que Lisa lui laissera le temps de s'expliquer.

La suite !! j'adore vraiment !
est ce que je pourrais avoir une suite avant Samedi... je pars en vacs et je serai plus là pendant 3 semaines if it's possible of course

Went ne la laisse pas partir comme ca!!!!!!

Mets la suite Enneade et surtout les réconciliations

angel_keikoo a écrit:Went ne la laisse pas partir comme ca!!!!!!

Mets la suite Enneade et surtout les réconciliations

Ouaie, Went court après, tu la bloque et....

Merci, Enneade, comme toujours j'adore....

oh je pense pas que notre petite enneade nous ferait plaisir en imposant tout de suite un placage contre le mur suivis de pleins de baisers ardent et langoureux
elle est bien trop sadique pour ça

bon les bottes ont servis un peu, mais pas beaucoup
on patauge toujours autant ! espérons juste que Went va la rattraper, la collé contre le mur et... et lui demandé des explications.

Mais il est chou notre wenty à s'occuper d'elle comme il le fait
tout en tendresse

Merci pour cette suite ! j'ai hâte de lire la prochaine !
BRAVO !

C'est les comms qui me mettent dans cet état, j'espère que la suite aussi!

désole je suis trop pressée de lire la suite ! alors j'en redemande encore !

LA SUITE !! LA SUITE !!

dsl je suis trop gourmande de ta fic

Trop bien ta fic, j'adore

stp vite une suite

pour celles qui n'ont pas déserté le fofo!!!


CHAP 14 :

Cela fait deux semaines que je vis chez lui. je suis la plus distante possible avec lui. je me suis laissé attendrir le premier soir mais je me suis vite ressaisi. Il se demande ce qu’il a bien put faire… en tout cas une chose est certaine, c’est que c’est un très bon acteur, j’ai failli le croire. Mais je ne me laisserai pas berner une seconde fois. Depuis ce soir là, la consigne est clair, le minimum de contact et de paroles. Je m’évertue à être polie mais c’est tout… faut pas pousser non plus. Le seul hic c’est que je dois avouer que mes sentiments pour lui reste inchangé, malgré tout ce que j’essaye de me persuader, je l’aime bien, je le trouve attirant même. Mais faut pas rêver, il t’a menti dès le premier soir en te disant que cette fille n’étais qu’une amie, puis il a couché avec elle… alors que s’il avait une besoin présent il aurait pu frapper à ta porte ! ! en fait je me demande si c’est pas cela qui m’enrage le plus ! je m’enferme des journées entière dans son bureau et je crée des tenues les plus improbables les unes que les autres. C’est bizarre mais je me sens protéger dans cette pièce. Il y a un bureau ancien en noyer, des livres de partout, un micro-chaine avec plein de CD. Je passe en revue tous ces disques de classiques. Il faut bien avouer que là, il marque un point. Je ne sors que pour manger et encore, souvent il m’apporte mon assiette. Il se fait aussi plus distant avec moi. je remarque bien que cela ne l’enchante guère, mais c’est ce que je veux… souffrir, ça va, j’en ait ma dose ! si au début il essayait de me bousculer, de me forcer à lui parler, il a vite abandonner devant mes regards et mon ignorance. Je déambule chez lui toujours avec retenue, j’ai toujours peur de casser un truc ou je ne sais pas de le déranger. Alors que le bureau, je me le suis accaparé. Il est remplis maintenant de mes dessins, échantillons de tissus que l’on m’a livrés. Je m’étire dans le fauteuil en cuir et me dis que c’est bientôt l’heure de passer à table. Je sors de ma pièce et fais irruption dans le salon ou il est allongé dans le canapé à lire un bouquin. Je le regarde étonné. Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble si banal tout d’un coup, avec ses pieds nus qui dépassent des accoudoirs.

W : je fais livrer des pizzas, ça te vas ?
L : oui.
W : Mariana doit passer, on va se regarder un film, ça te tente ?
L : soupire. Un film ! non, j’ai pas mal de boulot encore.
W : comme tu veux.

J’entends la sonnette retentir. Il se lève d’un bon et me contourne pour ouvrir. Je savais bien que je la verrais cette gourde, mais je ne pensais pas aussi tôt. Elle rentre et me regarde de haut, avec ce regard que je lui connaît bien. Je lui rend l’appareil.

W : Mariana, je te présente Lisa, ma voisine.
M : oui, la vendeuse !
L (agacé): oui, celle sur qui votre café s’est renversé ! vous m’excusez, j’ai un ou deux trucs à finir. Tu m’appelles quand on mange ?
W : d’accord.
M (méfiante) : qu’est-ce qu’elle fout chez toi ?
W : elle a quelques problèmes et ne peux pas rester toute seule donc elle vit un peu chez moi.
M : comment ça un peu ?
W : on l’y a un peu forcé et disons que la cohabitation est rude.
M (hautaine) : permet moi d’en douter, elle te laisse il y a deux mois sans aucune nouvelle et aujourd’hui tu joues les gardes malades !
W : laisse tomber tu veux ! bon alors tu as louer quoi comme film ?
M : Papillon avec Steve McQueen !
W : c’est celui ou il veut s’évader du bagne de Cayenne,
M : exact ! !

Je me torture l’esprit depuis tout à l’heure. comment réagir face à elle ? dois-je le rembarrer, la mépriser, l’ignorer comme Went ou bien faire copine-copine ! ! ah ! je vais faire à l’instant, suivant comment elle se comporte. J’entends Went qui m’appelle et je débarque sur la terrasse où ils sont assis à table, avec les pizzas et une bouteille de vin. Je ne peux m’empêcher de la regarder de biais, surtout que je m’imagine bien lui renverser la bouteille sur son chemisier blanc. Je m’assois sans faire plus de bague. Je les entends parler et je me demande bien ce qu’il peut lui trouver. Elle suit la mode comme une bécasse.. du coup ça fait ringard, elle ne parle que du milieu de cinéma, de la production ! ! ! la tarte ! je suis presque transparente et cela me va à merveille. Je mange à peine. Je me rend compte que c’est sa présence que me noue l’estomac. je ne peux m’empêcher de la revoir ce fameux matin et je bloque. Je tris sur ma part de pizza les morceaux de viande, que je ne peux pas manger, que je ne veux pas ! je mange en fait un maximum de pâte et un minimum de garnitures ! ! je m’en rends compte et cela m’énerve au plus haut point. Je relève mon regard et vois les yeux de Went qui me fixent. Il me regarde avec appréhension et inquiétude. Je déteste encore plus ce regard. Je lui souris et mange tout de même ce que j’ai mis de côté soigneusement. Il souris. Je me rends compte qu’il faut que je surmonte sa présence, que je ne me laisse pas bouffer. Je vais pour retourner bosser lorsqu’elle me prends directement à parti.

M (mielleuse) : Lisa, Wenty m’a dis que vous travaillé à présent comme styliste ? et pour qui ?
L (sur la défensive) : pour Tom Ford au sein de Gucci.
M : il a vendu ses part de Gucci !
L : officiellement !
M : ça doit vous changer, en tout cas.
L (narquoise) : oui, on m’apporte mon café à présent !
M : et votre jambe, vous en avez encore pour longtemps ? ça à l’air grave !
L : on me l’enlève demain matin. Ce sera beaucoup plus simple pour tout le monde.
M : vous allez pouvoir retourner chez vous. Moi, j’aurait hâte à votre place de me retrouver dans mon cocon.
L : exactement ! et puis Went retrouvera sa liberté !
W (excédé) : oui ! comme si tu me dérangeais ?
L : je ferais mieux de retourner bosser.

Je m’enfuis alors dans ce bureau et je ne comprends pas ce qui se passe. C’est déroutant. On dirait de simples amis, je ne vois pas le même regard envers elle que Went a eut envers moi, cette soirée là. Je ne comprends plus rien. J’essaye de me focaliser sur mon travail mais je me rends compte que je n’arrive à rien, plus rien… en fait cela fait des jours que je ne crée plus rien d’intéressant…j’entends la porte d’entré qui claque. Merde il est déjà une heure du matin… je ne m’en était pas rendue compte. Et puis pourquoi n’est elle pas rester dormir avec lui, s’ils étaient ensemble ? en tout cas moi je ne le laisserais pas ! oh arrêtes de te tordre l’esprit avec ce mec, tu n’as pas besoin de cela en ce moment ! je me dirige vers mon lit et je constate de la lumière sous la porte de sa chambre. Je sens l’odeur de la cigarette, il doit fumer une clope…c’est son seul travers j’ai l’impression, quoiqu’un homme qui fume peut être encore pus sexy ! ! mais tu n’es pas croyable ma fille ! on a dit stoppe !
j’enfile ma chemise de nuit… heureusement que je mets un peignoir le matin car elle sinon il rigolerais bien… une nuisette en coton, à fines bretelles, avec des nounours ! ! et dire que je travaille dans la mode ! ! je me faufile sous les draps et défais méticuleusement mon attelle. Pour une nuit, de toute façon demain matin on me l’enlève, alors on est pas à quelques heures…
je trouve immédiatement le sommeil seulement mes cauchemars me hantent, je ne cessent de rêver à Eric, à Went, à Maylis… le grand amour de ma vie ! ! leurs visages se mêlent, se choquent dans ma tête, tous comme leur voix. Je dois m’agiter comme une folle dans mon lit ! ! c’est un véritable enfer, les coup de l’un, la tendresse de l’autre et le regard d’un autre… je me sens comme tiraillé, comme emprisonné.. j’essaye de me défaire de tout ceci, je me débats de toute mes forces pour que cela s’arrête, puis plus rien… Juste une énorme douleur au niveau de ma cheville.. Je hurle à ne peut plus pouvoir ! ! Je me suis vautré par terre… la lumière me défonce les yeux, je le vois près de moi, en caleçon… la tête dans le cirage…

Je la regarde effaré… je me demande bien ce qui s’est passé ici… c’est Beyrouth ! les draps sont totalement entortillés autour de ses jambes, elle est par terre, la tête contre le sol… j’ai de la peine à réagir, il est 4h du matin ! je m’avance vers elle, pour la remettre dans son lit. Je remarque qu’elle n’a pas son attelle. J’ai même pas la force de lui dire quoi que se soit. Je mets mes bras autour d’elle pour la soulever et elle se blotti contre moi. je sens ses larmes sous ma peau et je souffre de la voir ainsi. je reste un moment ainsi sans bouger. je m’assois par terre à ses côté et je la berce doucement dans mes bras. Elle pleure de plus en plus. Elle marmonne quelques trucs en français que je ne comprends pas ! je m’en veux presque de ne pas avoir mieux suivi mes cours ! nos regards se croisent et je vois toutes la souffrance qu’elle porte en elle, toute la haine… je passe toujours mes mains dans ses cheveux et elle me regarde effarée… pas désolé, pas contente, juste perplexe !

W : c’était un cauchemar, tout va bien.
L : pourquoi ? pourquoi tu …
W : dis moi ce que je t’ai fais ! dis moi pourquoi tu m’en veux !
L : arrête de faire ton innocent ! putain ! mais … tu m’as menti, trahi…
W : quoi ?
L : tu t’es envoyé en l’air avec ta copine. Tu croyais peut-être que je le saurais pas… vous vous foutez bien de ma gueule tous les deux !
W (effaré) : stop. J’ai couché avec qui ?
L : Went !
W : mais merde, ça fais plus de deux mois que je vis un enfer. Je ne pense qu’à toi, je ne sors pas de chez moi… je ne fais que travailler parce que tu es partis sans rien me dire. Je te retrouve avec un type qui à failli te tuer et toi tu me sors que j’ai couché avec une fille et que c’est pour cela que tu es parti !
L : je le sais !
W : et comment, je n’ai était avec personne depuis toi !
L : je l’ai vu Went, j’étais là !
W (nerveux) : de mieux en mieux… tu m’as vu au lit avec une autre fille !
L (sur d’elle) : non, pas exactement… j’ai vu une fille à moitié à poil sortir de ta chambre !
W : quand ?
L : le matin où tu devais rentrer ! un peu après 6h, pour être exact !
W (intrigué) : j’étais pas là. Mon avion à atterri à 10h !
L (énervée) : ne te fous pas de moi, ta voiture était là !
W : elle était au garage toute la semaine pour la révision. Il me l’ont ramené à domicile.
L (a bout de nerfs) : et pourquoi elle criait ton nom en jouissant et pourquoi était-elle là, tout court ?
W : j’en sais rien ! je … ne comprends pas. Je la connaît, j’ai l’impression que tu parles de quelqu’un de précis !
L (étranglée) : tu… Mariana !
W (distant) : il te faut de la glace pour ta cheville !

Je la laisse seule et me dirige vers la cuisine. Je ne sais pas qui penser par ce qu’elle vient de me dire ; elle semble si honnête, si fragile. Elle ne me ment pas, mais il ne peut en être autrement ! une chose est sur c’est que je n’étais pas là… je lui remplis une poche de glace, que j’enroule dans une serviette pour ne pas que cela lui fasse mal ! je vais pour me retourner auprès d’elle et ne sais plus comment me comporter. Elle pense que je l’ai trompé alors que non. Tout d’un coup tout me semble si clair, si limpide alors que c’est un bordel monstre. Je me dirige vers la commode de l’entrée. je fous le tiroir en l’air. je dois encore les avoir, je sais que je ne les ai pas jeter, j’ai juste camoufler ce qui traîner, j’ai pas fais le ménage ! les voici.

Il me prends dans ses bras. Je n’ai pas bougé. Je suis terrifié par le regard qu’il m’a lancé tout à l’heure. il me pose dans mon lit. Il dépose la poche de glace sur ma cheville je le sens distant. Son regard est froid. Je le vois hésitant. Il me lance en pleine figure des billets d’avions. il se retourne et ferme la porte de ma chambre. Je me sens super mal. Je ne sais pas vraiment ce qui se passe. Je n’ose pas les ouvrir. Je ferme les yeux alors que mes dois prennent le billet. Ce n’est pas possible. Ils date de ce jour là, il était dans l’avion à cette heure là ! alors c’était qui ? et … je me suis jamais sentie aussi mal de toute ma vie. C’est un véritable cauchemar. J’essaye de me lever, mais je n’arrive pas à poser le pied par terre. Je sautille jusqu’à sa chambre. Je frappe. Personne ne répond. Ma tête se bute contre la porte. Qu’est-ce que je fais ? allez courage, j’entre et je le vois allonger sur son lit, en travers. Il ne cille pas. Je m’avance un peu plus et je constate qu’il a la tête caché entre ses mains.

Je me relève d’un bout et constate avec fureur qu’elle est là devant moi, sautillant pour avancer sans mettre son pieds par terre, avec la poche de glace à la main. Son regard est baissé, elle ne sait plus vraiment ce qui se passe, comme moi.
W (cinglant) : tu veux vraiment que je t’engueule ?
L : je m’excuse…
W (lui tendant les bras) : viens t’asseoir. tu ne devrais pas être debout !

Je soupire de soulagement. Je m’assois à côté de lui. je ne sais pas vraiment quoi faire.

L (sanglotante) : je suis désolé. J’aurais du avoir confiance en toi.
W (les yeux humides) : tu aurais mais si ce que tu me dis est vrai… tout était contre moi !
L (assurée) : je t’assure que je te dis la vérité !
W (dépité) : je sais. Et donc j’ai un gros souci !
L : ouai.
W : c’est mon ami, je ne peux pas croire qu’elle est fait ça !
L (inquiète) : elle pourrait ?
W : elle a les clés car elle relève mon courrier quant je suis absent longtemps.
L : et puis elle est actrice donc elle peut très bien simuler le truc !
W (ahuri) : c’était aussi ressemblant !
L : parfaitement !

Il m’enserre tout contre lui et se laisse tomber sur le lit avec moi. je sens quelques larmes sur son visage. Je sens qu’il ne va pas bien. Il m’allonge tout contre lui. il cale la poche de glace contre ma cheville et ramène le drap sur nous. Je me sens si bien tout d’un coup. Je m’en veux tellement. C’est à cause de moi s’il est si mal. Seulement la fatigue et la pression qui redescend me font vite sombrer dans un profond sommeil.

Elle s’endort dans mes bras et pour la première fois depuis deux mois je me sens bien. Elle est dans mes bras. Je ne peux m’empêcher de penser à Mariana. Comment a-t-elle pu ? pourquoi ? je n’arrête pas de me torturer l’esprit. c’est pour cela qu’elle est parti, qu’elle s’est foutu en l’air ! Mariana l’a bousillée, lui a fait revivre l’enfer ! je ne peut m‘endormir. Je reste blotti contre elle, car cela m’apaise… et puis pour Lisa. Sinon, je serai déjà en train de frapper à la porte de Mariana pour avoir le fin mot de l’histoire. mais demain arrivera bien assez tôt !

mettez des comms ou je fais une dépression!!

moi je suis encore là !! bon après je ne serais plus là pour 3 semaines...

Génial !!!! Grandiose !! Super !! Fantastique !! Sublime !!

Je le savais ! Went n'aurait pas pu faire ça !
mais mariana au contraire... elle elle aurait pu le faire et elle l'a fait !

On voit qu'elle a du caractère cette petite Lisa, pas prête à se laisser aussi facilement attendrir, et dire qu'elle à envisager de faire

copine-copine

avec Mariana ! Heureusement qu'elle a renoncer

Maintenant li faut savoir pourquoi Mariana à fait ça
elle doit être jalouse ! jalouse de Lisa. Jalouse que Went ai trouvé quelqun d'autre qu'elle.
mais elle est vraiment sacrément dégueulasse de lui faire ça alors que c'est son meilleur ami !

j'ai hâte de voir la confrontation Went/mariana !

la suite !! surement à dans 3 semaines
ta fic enfin tes fics vont me manquer

merci encore

enfin réconcillier!!


c'est pas trop tot


vite la suite stp!!! je suis accro!!!!!!!!!!!

j ' ai rattraper mon retard , comme je suis sur paris '' en vacances "

magnifique suite

il se sont enfin reconcilier !!!!!!

mais c ' est une salope cette marianna ,

went il va lui faire bouffer sa mechanceté a cette garce

met vite la suite

please



enneade

Retard rattrapé, et qu'est ce que je vois, qu'un couillon a osé posé ses sales pattes sur la pauvre Lisa jusqu'a à l'envoyer a l'hosto mais c'est vraiment un connard de la pire espece, un junki en plus de ça jme demande pourquoi Lisa l'a repris sachant qu'elle avait été mise en garde, mais comme elle en voulait a Went ba elle n'a pas écouter et voilà maintenant cki lui est arrivé, faut lui faire manger ses cou*lles à ce ptit con d'Eric j'attend la confrontation avec IMPATIENCE maintenant venons en au cas de cette espece de folle furieuse de Marianna, non mais sérieux elle est completement tordu celle là de simulé des trucs pareil, elle a moitié nu chez Went sachant qu'il n'était pas là, mais voulait faire enragé Lisa, si elle était plus maline que ça elle aurait du réfléchire a 2 fois parce que ya eu des preuves pour prouvé que Went était dans l'avion pendant que l'autre idiote se baladait nu chez lui, bien fait pour sa face j'attend aussi sa confrontation avec Went et finissons avec cette chere Lisa je trouve qu'elle n'a pas été très correcte avec Went, il l'a sauvé des griffes d'Eric, ramené a l'hosto, a proposé de veiller sur elle, l'hébergé chez lui, prété son bureau, prépare sa bouffe,l'aide a s'habiller, se leve à 4h du mat pour aller la récupéré par terre, et elle tout ce qu'elle trouve a faire c'est de l'évité et de l'ignoré dans sa propre piaule, elle est completement zinzin celle là, le plus simple aurait été de demandé est ce que tu t'es tapé cette troufionne de Marianna??? au lieu de ça elle rêve de lui,de son corps,son odeur, de ses beaux yeux (en même temps je la comprend c'est Went) c'est bien qu'il lui ait balancé le billet en pleine figure et puis mince alors je viens de me rendre compte que j'ai fait du racontage de vie, alors que je voulais seulement dire:Halala trop contente qu'ils soient réconcilier jveux vite la suite!!! sur ce je sort j'en ai trop dit félicitation a toi Enneade si tu as lu ça jusqu'au bout!!

Superbe suite, surtout avec Lisa qui jure en francais

Heureusement que Went ne comprend pas

Mets vite la suite avec la confrontation Wents vs Marianna

c'est qu'elle est vraiment résistante cette Lisa, moi à sa place jcrois que je serait tombé dans les pommes, ou j'aurais pris la fuite, j'aurais même juré en chinois Went est vraiment trop trop chou maintenant jveux voir la confrontation avec cette gourdasse de Marianna j'espere qu'elle va en bavé, elle l'auras bien cherché on la fait pas à Went mais faut pas oublier aussi qu'il ya une autre personne a qui il faut réglé son compte ERIC jlais pas oublier celui là, faut l'éliminé

je te reposte un message là aussi étant donné que t'as l'air dépité

en tout cas, j'aime toujours autant

et je l'imagine bien juré en français en agrippant la chemise de went alors qu el emédecin et went n'y comprennent rien

alors vivement la suite !!!!!!