neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
oh pauvre lisa !!!!
il faut qu'elle en parle a went il sera la reconforter et il poura l'accompagner a paris??c'est une bonne idée ??
continues j'adore !!!
il faut qu'elle en parle a went il sera la reconforter et il poura l'accompagner a paris??c'est une bonne idée ??
continues j'adore !!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Pauvre Lisa.
Il faut qu'elle en parle à Went, lui il pourra lui donner un bon conseil
Je me demande quelle sera sa décision
Vivement la suite!!!!!
Il faut qu'elle en parle à Went, lui il pourra lui donner un bon conseil
Je me demande quelle sera sa décision
Vivement la suite!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Mais oui avec son chéri s'arranger!!!
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ira-t-elle ou non?
la rejoindra-t-il ou pas?
merci pour vos comms
CHAP 20 :
J’entrouvre les yeux et la lumière du jour m’oblige à les tenir fermé. Je m’étire dans le lit et je me rends compte que je suis seul. Pour la première fois depuis deux semaines, je me réveille seul. C’est une sensation étrange. Elle me manque tellement. Je me suis habitué à son odeur, ses petites mains sur moi, ses pieds tous froids au fond du lit. Je présume qu’elle avait besoin de réfléchir. Je regarde l’heure et me je me rends compte que mon avion décolle dans moins de deux heures. Je me lève et la vois assise dans son jardin. Elle semble toujours aussi perdue. Si seulement elle voulait me parler. Mais je sais que la brusquer ne fera que l’éloigner davantage de moi. Si seulement je ne devais pas reprendre le tournage en Floride. Je commence à faire mon sac et je me rends compte que je dois al voir avant de partir, je dois lui parler, la serrer tout contre moi. Je prends deux tasses avec des capuccino et descend la rejoindre. J’avance vers elle et elle ne m’entend pas. Ses cheveux sont vaguement attachés, elle porte une de mes chemises mais les boutons ne sont pas alignés. Ses yeux sont rouges, cerné. Elle n’a pas du dormir de la nuit.
L (surprise) : Went.
W (doucement) : bonjour.
L : c’est qu’elle heure ?
W : 9 heures.
L (inquiète) : déjà. Mais… ton avion ?
W : il est à 10h30.
L (regardant la tasse) : c’est pour moi ?
W (amusé) : si j’ai un bisou.
Je me lève et me tends au maximum pour attraper ses lèvres. Elles s’accrochent enfin. Cette sensation est si douce, voluptueuse. J’en avais besoin plus que je ne le pensais. Mes bras l’encercle et je me blottis contre lui.
L : tu m’as manqué.
W : toi aussi.
L : je suis désolé, je dois avoir une mine épouvantable.
W (soucieux) : tu as surtout la bouille de quelqu’un de fatiguée et de perdue.
L (haussant les sourcils) : ça ne doit pas être beau à voir alors !
Je sens ses lèvres fusionner de nouveau sur les miennes. C’est si bon et enivrant. Il se détache de moi et me tend la tasse qu’il m’a préparée. Il s’assoit dans le transat que j’occupais quelques minutes auparavant. Je me cale contre lui.
L : tu reviens quand ?
W (m’embrassant les cheveux) : samedi matin. J’ai une bonne raison de rentrer à la maison à présent.
L : ah !
W : tu ne veux pas m’en parler ?
L : non, c’est compliqué et je préfère qu’on profite des derniers instants que l’on a avant que tu partes.
W : vu comme cela.
On reste ainsi un bon moment à parler de tout et de rien, blottie l’un contre l’autre. J’en oublierais presque mes soucis. J’aime tellement être auprès de lui, il est si rassurant, si protecteur. Je somnole presque dans ses bras.
W (à regret) : va falloir que j’y aille.
L : déjà !
W : c’est 9h45 et mon avion décolle dans trois quarts d’heure !
L (se levant d’un bon) : tu vas être en retard.
W (calme) : non ne t’inquiète pas… ils commencent à me connaître là-bas !
L (boudant) : elles…
W (réjouit) : jalouse ?
L (ouvrant de grands yeux ) : non !
Il m’enserre dans ses bras et me porte jusqu’à l’intérieur. Mes jambes s’enroulent autour de sa taille. Nos baisers se font intenses. On profite de chaque instant comme si c’était le dernier.
L (se détachant) : faut que tu y ailles !
W (continuant de l’embrasser) : je t’appelle quand j’atterris.
L : d’accord. Et pas de bêtises !
W (prenant son visage dans ses mains) : tu prends soin de toi. Et si tu veux me parler, tu m’appelles quelle que soit l’heure !
L (serrant sa main dans la sienne) : promis.
Il prend son sac qu’il avait laissé dans l’entrée. Et je le regarde partir. Mes yeux sont tous embués. Je ne pensais pas que cette séparation serait aussi difficile à vivre. Je me retrouve à présent vraiment seul. Je regarde l’heure et je me rends compte que je dois vite prendre ma décision. Je fonce dans ma chambre, ouvre ma valise et prends deux trois affaires. Je sais que je ne devrais pas, que je vais encore compliquer les choses mais je dois y aller, je dois aller le voir, sinon je ne pourrais jamais me regarder en face. Quoi qu’il en coûte !
Cela fait des heures que j’essaye de l’appeler, à la maison, sur son portable personne. Je commence à m’inquiéter. Ce n’est pas dans ses habitudes de ne pas répondre. Elle est complètement accro au téléphone. Pire que moi. Cela me stresse tellement que je me fumerai bien une clope. Non, il ne faut pas… si tu en fumes une, tu vas en fumer deux et se sera reparti pour le paquet entier. Merde Lisa, mais qu’est-ce que tu fous. De toute façon je n’arriverai pas à dormir en ne l’ayant pas eut. Je rappelle pour l’énième fois. Sa sonne et rien… je raccroche et envoi voler ce maudit téléphone en travers de la pièce. Je n’y crois pas ! Je me laisse tomber sur le canapé et j’entends la sonnerie. Je cours comme un con pour retrouver ce foutu téléphone. C’est elle !
W (énervé) : t’étais où ? Ça fait des heures que je t’appelle !
L : désolé. Je l’avais coupé.
W : j’avais remarqué, mais à la maison tu ne répondais pas non plus !
L (toute timide) : c’est parce que je n’y suis pas.
W : tu es où ?
L : Went, je suis désolée j’aurais dû te le dire mais j’ai pris cette décision sur un coup de tête. Je suis à Paris.
W : quoi ? Mais…
L (la voix cassée) : Mon grand-père est à l’hôpital et il va mourir. Je dois le voir.
W (troublé) : je suis désolé. Mais c’est pour cela que tu n’étais pas bien hier soir ?
L : oui, mon frère m’a appelé hier avant qu’on parte au restaurant pour me le dire. J’aurais du t’en parler.
W : non… c’est bon. Je comprends. Je veux juste que tu prennes soin de toi, d’accord.
L : oui, ne t’inquiètes pas.
W : tu es à l’hôtel ?
L : non, Fred a un studio sur Paris donc je squatte chez lui.
W : d’accord.
L : Il doit être tard pour toi, je ferai mieux de te laisser dormir.
W : d’accord. Tu me rappelles quand tu en as besoin. Je suis là.
L (la voix de plus en plus étranglée) : à demain.
W : je t’embrasse.
Je suis déboussolé par ce qu’elle vient de me dire. Je n’arrive pas croire qu’elle ne m’ait rien dit. J’ai compris que les relations avec sa famille sont plus que tendues. C’est pour cela sûrement, qu’elle avait besoin de prendre son temps pour y réfléchir. Je m’en veux tellement de ne pas être auprès d’elle. J’aimerai tellement lui faire comprendre qu’elle n’est pas seule pour affronter tout ceci. Et si…je dois avoir son numéro…
W : Fred, c’est Went. Je ne te dérange pas ?
F : non. Ça va.
W : j’aurais besoin que tu me rendes un petit service !
F : oui si je peux !
W : Lisa est chez toi à Paris et…
F : oui elle y est pour son boulot, un truc de dernière minute !
W (surpris) : pour son boulot… Euh ! Oui. Je voudrais l’adresse pour pouvoir lui envoyer des fleurs !
F : pas de soucis tu as de quoi noter ?
Je raccroche et regarde minutieusement l’adresse que je viens de noter. Elle ne lui à pas donner la vraie raison de son départ alors qu’à moi, oui. C’est qu’elle doit avoir confiance en moi, mais aussi que cela est très important. Si elle a menti à Fred sur son départ, c’est qu’elle devait penser qu’il ne serait pas d’accord ou qu’il s’inquiéterait outre mesure. Je regarde autour de moi et je commence à comprendre ce que j’ai envie de faire à cet instant. Ce que mon cœur me dicte.
Le lendemain matin à Paris :
Je me réveille dans le coltar. Le décalage horaire est rude. Je suis toute pâteuse. Je me fais couler mon café. La machine mets deux plombes. Je reste bloqué à la regarder, comme si ça pouvait aller plus vite. Je regarde ma montre et constate avec horreur qu’il est en fait 10h du matin. J’ai l’impression qu’il est quatre heures. J’ai de la peine à m’étirer. J’entends du bruit à la porte. Je me demande bien qui peut venir me déranger. Peut-être un voisin intrigué par ma présence. Je me dis qu’avec la touche que je dois avoir, il va partir en courant !
J’ouvre la porte avec précaution. On n'est jamais trop prudente. Je le vois là en face de moi. Mes yeux s’ouvrent en grand. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer d le voir ici. Il sort de derrière son dos un énorme bouquet de rose. Elles sont de toutes les couleurs. C’est magnifique !
W (avec un grand sourire) : je peux rentrer !
L (n’en revenant pas ) : oui. Mais qu’est-ce que tu fais là ?
W (l’embrassant) : je suis là où je dois être.
L (pétrifiée) : et le tournage ? Ne me dis pas que tu les as plantés !
W : je ne dis pas, alors !
L : t’es dingue. Tu te rends compte.
W (posant son index sur ses lèvres) : chutt. Ça sent bon, café ?
L (enjouée) : tu en veux ?
W : si c’est toi qui l’as fais, je ne vais pas dormir pendant une semaine !
Je prends juste le temps de déposer le bouquet sur le bar de la cuisine et je me blotti contre lui. C’est si bon, enivrant. Je me sens si bien avec lui. Je n’en reviens pas de ce qu’il vient de faire. Il est complètement fou. Je sens ses mains dans mon dos qui me soulève. J’enfouis ma tête dans son épaule. Je me sens si légère tout d’un coup. Je sens mes larmes monter, je n’arrive pas à les réfréner. Il me serre encore un peu plus contre lui. Sa bouche déposant de doux baisers dans mes cheveux.
L : je suis contente que tu sois là.
W : j’avais besoin d’être auprès de toi. Et puis, je suis sûr que le livreur aurait essayé de te draguer ! (lui lançant un clin d’œil)
L : merci pour les fleurs. Elles sont magnifiques.
W : je ne savais pas laquelle tu préférais, donc tu en as une de chaque !
L (plongeant son regard dans le sien) : merci d’être venu. Je me rends compte que j’en avais terriblement besoin. Mais comment as-tu fait pour savoir l’adresse ?
W : je l’ai demandé à Fred ! Et je tiens à te préciser que ce n’est pas beau de mentir !
L (baissant le regard) : oui je sais. Mais s’il savait la vérité, il serait furieux.
W : c’est à se point avec ta famille ?
L : tu auras bien le temps de le voir. Bon, je ferais mieux de m’habiller si je veux aller à l’hôpital.
W (douteux) : tu veux que je vienne ?
L : je crois.
Je me rends compte que depuis qu’il est là, je me sens mieux. Mais je m’en veux terriblement. Il met sa carrière en péril à cause de moi. Je me doute que Paul et Brett ne sont pas au courant et qu’ils ne seront pas d’accord. J’ai adoré sa tête lorsque l’on est descendu au garage pour prendre la voiture et qu’il a vu la Smart. J’ai crut qu’il allait tomber à la renverse. Mais c’est tellement pratique à Paris pour se garer. Au début il n’avait pas l’air super confiant, mais en deux minutes il était hilare par ma manière de conduire. C’est vrai qu’ici c’est beaucoup moins discipliné qu’à LA. Je jure comme un chartier à chaque carrefour et chaque fois il est explosé de rire. A cette vitesse il aura un vocabulaire en français très particulier.
Lorsqu’on arrive à l’hôpital, il n’y a personne. Je rentre dans la chambre et je le vois étendue là, sur ce lit. Du scotche sur les yeux pour maintenir ses paupières fermées. Des tonnes d’appareils branchés à lui. Instantanément je serre la main de Went. J’ose à peine m’avancer. Moi qui déteste les hôpitaux, là je suis servie. Entre les respirateurs, les piqûres automatiques et tout et tout ! J’avance timidement et m’assois sur la chaise qui se trouve à côté de son lit. Je m’assois et ne sais pas quoi dire ou faire. Tout est si abstrait. Lui qui me paraissait comme une force de la nature ma paraît si fragile à présent. Je reste ainsi à le regarder. Je fige une dernière image. Je lui dépose un baiser sur le front, le dernier. Went est debout au fond de la pièce. Il à l’air triste. Je me blottis légèrement contre lui.
L (dans un murmure) : on y va ?
Au moment de partir, la porte s’ouvre et je tombe nez à nez avec mes parents et Chris. Je les regarde avec effroi. J’ai l’impression d’avoir été pris en faute. Alors que j’ai le droit d’être ici. Mes parents me regardent de haut et de biais. C’est pire que tout. Ils scrutent Went de la même manière, froidement. Ils avancent sans même un mot. Seul Chris daigne me parler.
C (tout bas) : je suis content que tu sois là.
L (les larmes aux yeux) : je t’avais prévenu. On y allait de toute façon.
C : ils vont arrêter les machines.
L (crispant les mâchoires) : d’accord.
Père de Lisa (sec) : Christophe ! Tu n’as pas à lui parler !
C : papa !
Père de Lisa : je présume que c’est toi qui lui as dit ?
C : elle devait le savoir, c’est son grand-père.
Père de Lisa : elle ne fait pas partie de notre famille !
L (lui prenant le bras) : laisse tomber Chris, de toute façon je m’en vais.
Père de Lisa (hautain) : tu ferais mieux de partir avant que j’appelle la sécurité !
L (sortant de ses gonds) : tu te fous de ma gueule là ! J’ai autant le droit d’être ici que n’importe qui !
Père de Lisa (hurlant) : Elisabeth-Louise ! Tu n’as aucun droit ! Et sache que ta présence ici n’est pas justifiée.
L (glaciale) : vas te faire !
Je vois la main de mon père monter, je sens que je vais m’en prendre une ! Je ferme les yeux un instant, en me disant que cela passera plus vite. Mais rien n’arrive. Je vois Went, à côté de moi qui lui tiens le poignet. Son regard est noir ! Jamais je ne l’avais vu ainsi.
W (calme) : je ne comprends rien à ce que vous racontez, mais vous ne la toucherez pas !
Père de Lisa (autoritaire): lâchez-moi !
L (éteinte) : Went, on y va.
Je le vois défaire son emprise. Son bras passe dans mon dos et me dirige sûrement vers la porte. Je me rends compte à cet instant que j’ai besoin de lui, que sans lui tout aurait encore dégénéré. Je reste sans voix, par sa présence, son aplomb. Tous les deux muets on se dirige vers la voiture. Je lui tends les clés car je ne suis pas en état de conduire. Il me regarde incrédule. Je me blottis contre lui et sans que j’y fasse gare, je suis tremblotante dans ses bras, pleurant toutes les larmes de mon corps. Il me serre tout contre lui, me protège de tout son corps. Je me sens couvé, choyé comme peu de fois. C’est si simple d’être avec lui, d’affronter ceci avec lui à mes côtés.
la rejoindra-t-il ou pas?
merci pour vos comms
CHAP 20 :
J’entrouvre les yeux et la lumière du jour m’oblige à les tenir fermé. Je m’étire dans le lit et je me rends compte que je suis seul. Pour la première fois depuis deux semaines, je me réveille seul. C’est une sensation étrange. Elle me manque tellement. Je me suis habitué à son odeur, ses petites mains sur moi, ses pieds tous froids au fond du lit. Je présume qu’elle avait besoin de réfléchir. Je regarde l’heure et me je me rends compte que mon avion décolle dans moins de deux heures. Je me lève et la vois assise dans son jardin. Elle semble toujours aussi perdue. Si seulement elle voulait me parler. Mais je sais que la brusquer ne fera que l’éloigner davantage de moi. Si seulement je ne devais pas reprendre le tournage en Floride. Je commence à faire mon sac et je me rends compte que je dois al voir avant de partir, je dois lui parler, la serrer tout contre moi. Je prends deux tasses avec des capuccino et descend la rejoindre. J’avance vers elle et elle ne m’entend pas. Ses cheveux sont vaguement attachés, elle porte une de mes chemises mais les boutons ne sont pas alignés. Ses yeux sont rouges, cerné. Elle n’a pas du dormir de la nuit.
L (surprise) : Went.
W (doucement) : bonjour.
L : c’est qu’elle heure ?
W : 9 heures.
L (inquiète) : déjà. Mais… ton avion ?
W : il est à 10h30.
L (regardant la tasse) : c’est pour moi ?
W (amusé) : si j’ai un bisou.
Je me lève et me tends au maximum pour attraper ses lèvres. Elles s’accrochent enfin. Cette sensation est si douce, voluptueuse. J’en avais besoin plus que je ne le pensais. Mes bras l’encercle et je me blottis contre lui.
L : tu m’as manqué.
W : toi aussi.
L : je suis désolé, je dois avoir une mine épouvantable.
W (soucieux) : tu as surtout la bouille de quelqu’un de fatiguée et de perdue.
L (haussant les sourcils) : ça ne doit pas être beau à voir alors !
Je sens ses lèvres fusionner de nouveau sur les miennes. C’est si bon et enivrant. Il se détache de moi et me tend la tasse qu’il m’a préparée. Il s’assoit dans le transat que j’occupais quelques minutes auparavant. Je me cale contre lui.
L : tu reviens quand ?
W (m’embrassant les cheveux) : samedi matin. J’ai une bonne raison de rentrer à la maison à présent.
L : ah !
W : tu ne veux pas m’en parler ?
L : non, c’est compliqué et je préfère qu’on profite des derniers instants que l’on a avant que tu partes.
W : vu comme cela.
On reste ainsi un bon moment à parler de tout et de rien, blottie l’un contre l’autre. J’en oublierais presque mes soucis. J’aime tellement être auprès de lui, il est si rassurant, si protecteur. Je somnole presque dans ses bras.
W (à regret) : va falloir que j’y aille.
L : déjà !
W : c’est 9h45 et mon avion décolle dans trois quarts d’heure !
L (se levant d’un bon) : tu vas être en retard.
W (calme) : non ne t’inquiète pas… ils commencent à me connaître là-bas !
L (boudant) : elles…
W (réjouit) : jalouse ?
L (ouvrant de grands yeux ) : non !
Il m’enserre dans ses bras et me porte jusqu’à l’intérieur. Mes jambes s’enroulent autour de sa taille. Nos baisers se font intenses. On profite de chaque instant comme si c’était le dernier.
L (se détachant) : faut que tu y ailles !
W (continuant de l’embrasser) : je t’appelle quand j’atterris.
L : d’accord. Et pas de bêtises !
W (prenant son visage dans ses mains) : tu prends soin de toi. Et si tu veux me parler, tu m’appelles quelle que soit l’heure !
L (serrant sa main dans la sienne) : promis.
Il prend son sac qu’il avait laissé dans l’entrée. Et je le regarde partir. Mes yeux sont tous embués. Je ne pensais pas que cette séparation serait aussi difficile à vivre. Je me retrouve à présent vraiment seul. Je regarde l’heure et je me rends compte que je dois vite prendre ma décision. Je fonce dans ma chambre, ouvre ma valise et prends deux trois affaires. Je sais que je ne devrais pas, que je vais encore compliquer les choses mais je dois y aller, je dois aller le voir, sinon je ne pourrais jamais me regarder en face. Quoi qu’il en coûte !
Cela fait des heures que j’essaye de l’appeler, à la maison, sur son portable personne. Je commence à m’inquiéter. Ce n’est pas dans ses habitudes de ne pas répondre. Elle est complètement accro au téléphone. Pire que moi. Cela me stresse tellement que je me fumerai bien une clope. Non, il ne faut pas… si tu en fumes une, tu vas en fumer deux et se sera reparti pour le paquet entier. Merde Lisa, mais qu’est-ce que tu fous. De toute façon je n’arriverai pas à dormir en ne l’ayant pas eut. Je rappelle pour l’énième fois. Sa sonne et rien… je raccroche et envoi voler ce maudit téléphone en travers de la pièce. Je n’y crois pas ! Je me laisse tomber sur le canapé et j’entends la sonnerie. Je cours comme un con pour retrouver ce foutu téléphone. C’est elle !
W (énervé) : t’étais où ? Ça fait des heures que je t’appelle !
L : désolé. Je l’avais coupé.
W : j’avais remarqué, mais à la maison tu ne répondais pas non plus !
L (toute timide) : c’est parce que je n’y suis pas.
W : tu es où ?
L : Went, je suis désolée j’aurais dû te le dire mais j’ai pris cette décision sur un coup de tête. Je suis à Paris.
W : quoi ? Mais…
L (la voix cassée) : Mon grand-père est à l’hôpital et il va mourir. Je dois le voir.
W (troublé) : je suis désolé. Mais c’est pour cela que tu n’étais pas bien hier soir ?
L : oui, mon frère m’a appelé hier avant qu’on parte au restaurant pour me le dire. J’aurais du t’en parler.
W : non… c’est bon. Je comprends. Je veux juste que tu prennes soin de toi, d’accord.
L : oui, ne t’inquiètes pas.
W : tu es à l’hôtel ?
L : non, Fred a un studio sur Paris donc je squatte chez lui.
W : d’accord.
L : Il doit être tard pour toi, je ferai mieux de te laisser dormir.
W : d’accord. Tu me rappelles quand tu en as besoin. Je suis là.
L (la voix de plus en plus étranglée) : à demain.
W : je t’embrasse.
Je suis déboussolé par ce qu’elle vient de me dire. Je n’arrive pas croire qu’elle ne m’ait rien dit. J’ai compris que les relations avec sa famille sont plus que tendues. C’est pour cela sûrement, qu’elle avait besoin de prendre son temps pour y réfléchir. Je m’en veux tellement de ne pas être auprès d’elle. J’aimerai tellement lui faire comprendre qu’elle n’est pas seule pour affronter tout ceci. Et si…je dois avoir son numéro…
W : Fred, c’est Went. Je ne te dérange pas ?
F : non. Ça va.
W : j’aurais besoin que tu me rendes un petit service !
F : oui si je peux !
W : Lisa est chez toi à Paris et…
F : oui elle y est pour son boulot, un truc de dernière minute !
W (surpris) : pour son boulot… Euh ! Oui. Je voudrais l’adresse pour pouvoir lui envoyer des fleurs !
F : pas de soucis tu as de quoi noter ?
Je raccroche et regarde minutieusement l’adresse que je viens de noter. Elle ne lui à pas donner la vraie raison de son départ alors qu’à moi, oui. C’est qu’elle doit avoir confiance en moi, mais aussi que cela est très important. Si elle a menti à Fred sur son départ, c’est qu’elle devait penser qu’il ne serait pas d’accord ou qu’il s’inquiéterait outre mesure. Je regarde autour de moi et je commence à comprendre ce que j’ai envie de faire à cet instant. Ce que mon cœur me dicte.
Le lendemain matin à Paris :
Je me réveille dans le coltar. Le décalage horaire est rude. Je suis toute pâteuse. Je me fais couler mon café. La machine mets deux plombes. Je reste bloqué à la regarder, comme si ça pouvait aller plus vite. Je regarde ma montre et constate avec horreur qu’il est en fait 10h du matin. J’ai l’impression qu’il est quatre heures. J’ai de la peine à m’étirer. J’entends du bruit à la porte. Je me demande bien qui peut venir me déranger. Peut-être un voisin intrigué par ma présence. Je me dis qu’avec la touche que je dois avoir, il va partir en courant !
J’ouvre la porte avec précaution. On n'est jamais trop prudente. Je le vois là en face de moi. Mes yeux s’ouvrent en grand. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer d le voir ici. Il sort de derrière son dos un énorme bouquet de rose. Elles sont de toutes les couleurs. C’est magnifique !
W (avec un grand sourire) : je peux rentrer !
L (n’en revenant pas ) : oui. Mais qu’est-ce que tu fais là ?
W (l’embrassant) : je suis là où je dois être.
L (pétrifiée) : et le tournage ? Ne me dis pas que tu les as plantés !
W : je ne dis pas, alors !
L : t’es dingue. Tu te rends compte.
W (posant son index sur ses lèvres) : chutt. Ça sent bon, café ?
L (enjouée) : tu en veux ?
W : si c’est toi qui l’as fais, je ne vais pas dormir pendant une semaine !
Je prends juste le temps de déposer le bouquet sur le bar de la cuisine et je me blotti contre lui. C’est si bon, enivrant. Je me sens si bien avec lui. Je n’en reviens pas de ce qu’il vient de faire. Il est complètement fou. Je sens ses mains dans mon dos qui me soulève. J’enfouis ma tête dans son épaule. Je me sens si légère tout d’un coup. Je sens mes larmes monter, je n’arrive pas à les réfréner. Il me serre encore un peu plus contre lui. Sa bouche déposant de doux baisers dans mes cheveux.
L : je suis contente que tu sois là.
W : j’avais besoin d’être auprès de toi. Et puis, je suis sûr que le livreur aurait essayé de te draguer ! (lui lançant un clin d’œil)
L : merci pour les fleurs. Elles sont magnifiques.
W : je ne savais pas laquelle tu préférais, donc tu en as une de chaque !
L (plongeant son regard dans le sien) : merci d’être venu. Je me rends compte que j’en avais terriblement besoin. Mais comment as-tu fait pour savoir l’adresse ?
W : je l’ai demandé à Fred ! Et je tiens à te préciser que ce n’est pas beau de mentir !
L (baissant le regard) : oui je sais. Mais s’il savait la vérité, il serait furieux.
W : c’est à se point avec ta famille ?
L : tu auras bien le temps de le voir. Bon, je ferais mieux de m’habiller si je veux aller à l’hôpital.
W (douteux) : tu veux que je vienne ?
L : je crois.
Je me rends compte que depuis qu’il est là, je me sens mieux. Mais je m’en veux terriblement. Il met sa carrière en péril à cause de moi. Je me doute que Paul et Brett ne sont pas au courant et qu’ils ne seront pas d’accord. J’ai adoré sa tête lorsque l’on est descendu au garage pour prendre la voiture et qu’il a vu la Smart. J’ai crut qu’il allait tomber à la renverse. Mais c’est tellement pratique à Paris pour se garer. Au début il n’avait pas l’air super confiant, mais en deux minutes il était hilare par ma manière de conduire. C’est vrai qu’ici c’est beaucoup moins discipliné qu’à LA. Je jure comme un chartier à chaque carrefour et chaque fois il est explosé de rire. A cette vitesse il aura un vocabulaire en français très particulier.
Lorsqu’on arrive à l’hôpital, il n’y a personne. Je rentre dans la chambre et je le vois étendue là, sur ce lit. Du scotche sur les yeux pour maintenir ses paupières fermées. Des tonnes d’appareils branchés à lui. Instantanément je serre la main de Went. J’ose à peine m’avancer. Moi qui déteste les hôpitaux, là je suis servie. Entre les respirateurs, les piqûres automatiques et tout et tout ! J’avance timidement et m’assois sur la chaise qui se trouve à côté de son lit. Je m’assois et ne sais pas quoi dire ou faire. Tout est si abstrait. Lui qui me paraissait comme une force de la nature ma paraît si fragile à présent. Je reste ainsi à le regarder. Je fige une dernière image. Je lui dépose un baiser sur le front, le dernier. Went est debout au fond de la pièce. Il à l’air triste. Je me blottis légèrement contre lui.
L (dans un murmure) : on y va ?
Au moment de partir, la porte s’ouvre et je tombe nez à nez avec mes parents et Chris. Je les regarde avec effroi. J’ai l’impression d’avoir été pris en faute. Alors que j’ai le droit d’être ici. Mes parents me regardent de haut et de biais. C’est pire que tout. Ils scrutent Went de la même manière, froidement. Ils avancent sans même un mot. Seul Chris daigne me parler.
C (tout bas) : je suis content que tu sois là.
L (les larmes aux yeux) : je t’avais prévenu. On y allait de toute façon.
C : ils vont arrêter les machines.
L (crispant les mâchoires) : d’accord.
Père de Lisa (sec) : Christophe ! Tu n’as pas à lui parler !
C : papa !
Père de Lisa : je présume que c’est toi qui lui as dit ?
C : elle devait le savoir, c’est son grand-père.
Père de Lisa : elle ne fait pas partie de notre famille !
L (lui prenant le bras) : laisse tomber Chris, de toute façon je m’en vais.
Père de Lisa (hautain) : tu ferais mieux de partir avant que j’appelle la sécurité !
L (sortant de ses gonds) : tu te fous de ma gueule là ! J’ai autant le droit d’être ici que n’importe qui !
Père de Lisa (hurlant) : Elisabeth-Louise ! Tu n’as aucun droit ! Et sache que ta présence ici n’est pas justifiée.
L (glaciale) : vas te faire !
Je vois la main de mon père monter, je sens que je vais m’en prendre une ! Je ferme les yeux un instant, en me disant que cela passera plus vite. Mais rien n’arrive. Je vois Went, à côté de moi qui lui tiens le poignet. Son regard est noir ! Jamais je ne l’avais vu ainsi.
W (calme) : je ne comprends rien à ce que vous racontez, mais vous ne la toucherez pas !
Père de Lisa (autoritaire): lâchez-moi !
L (éteinte) : Went, on y va.
Je le vois défaire son emprise. Son bras passe dans mon dos et me dirige sûrement vers la porte. Je me rends compte à cet instant que j’ai besoin de lui, que sans lui tout aurait encore dégénéré. Je reste sans voix, par sa présence, son aplomb. Tous les deux muets on se dirige vers la voiture. Je lui tends les clés car je ne suis pas en état de conduire. Il me regarde incrédule. Je me blottis contre lui et sans que j’y fasse gare, je suis tremblotante dans ses bras, pleurant toutes les larmes de mon corps. Il me serre tout contre lui, me protège de tout son corps. Je me sens couvé, choyé comme peu de fois. C’est si simple d’être avec lui, d’affronter ceci avec lui à mes côtés.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Whaaaaaaa! Pauvre Lisa
Maintenant qu'elle à Paris elle pourrait peut-être essayer de tout arranger avec sa famille non?
Enfin c'est pas aussi facile à dire qu'à faire, je sais, mais il faudrait peut-être qu'elle saisisse cette occasion pour faire la paix avec sa famille
Je me demande surtout d'abord quel est le problème qui l'a éloigné autant de sa famille, et pourquoi est ce que son père dit qu'elle n'en fait plsu partie
Vivement la suite!!!!!
Maintenant qu'elle à Paris elle pourrait peut-être essayer de tout arranger avec sa famille non?
Enfin c'est pas aussi facile à dire qu'à faire, je sais, mais il faudrait peut-être qu'elle saisisse cette occasion pour faire la paix avec sa famille
Je me demande surtout d'abord quel est le problème qui l'a éloigné autant de sa famille, et pourquoi est ce que son père dit qu'elle n'en fait plsu partie
Vivement la suite!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
waouw quelle suite (comme d'hab' touours aussi geniale!!)
pauvre lisa elle a des parents speciaux pourquoi ils la renient comme sa (j'espere qu'ils ont une bonne raison mais quand meme y'a des limtes!!!)
heureusement que went etait la sinon elle aurai recu la baffe du siecle!!!!
aller went il va la reconforter de toute maniere il a carrement arrete sa carriere pour venir la rejopindre a paris!!
a quand la suite???
pauvre lisa elle a des parents speciaux pourquoi ils la renient comme sa (j'espere qu'ils ont une bonne raison mais quand meme y'a des limtes!!!)
heureusement que went etait la sinon elle aurai recu la baffe du siecle!!!!
aller went il va la reconforter de toute maniere il a carrement arrete sa carriere pour venir la rejopindre a paris!!
a quand la suite???
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
C'est trop triste mais telllement beau.
Cette suite est ... y'a même plus de mots tellement j'aime tes fics.
Encore une stp
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
merci les filles...
CHAP 21 :
On rentre enfin à l’appartement. Aucun mot n’a été échangé durant tout le trajet. Je le sens si soucieux, si ferme depuis notre départ. Il a conduit super doucement, sûrement qu’il n’est pas très habitué à la conduite à la française. Je le sens lui aussi perdu dans ses pensées. Ma main est restée accrocher à la sienne sur le levier de vitesse. Je m’y cramponne comme si cela était une bouée de sauvetage. Elle me tient hors de l’eau. On monte les cinq étages en silence. Il commence à devenir pesant, mais d’un autre côté, je ne sais pas trop quoi dire. Comment lui expliquer ce qu’il a vu ? Je pose mes affaires en vrac et je le vois s’installer directement dans le canapé. Je ne sais pas vraiment quoi faire ! Je m’installe à son côté. Assise tout contre lui, je lui fais face, ma tête calée contre son torse. Je sens immédiatement ses bras m’enserrer. J’aurais presque envie que le temps s’arrête. Mes yeux se ferment et je ne peux contrôler les quelques larmes qui viennent choir sur sa chemise. Elle sera bonne pour un bon nettoyage, vu les taches de mascara. Il avait beau l’air waterproof, il n’a pas résisté ! Ses mains se promènent dans mon dos. Je m’abandonne totalement sous cette sensation.
J’ai de la peine à y croire. Je me suis endormie. Je me réveille un peu dans le pâté, toute déboussolée. Il est dans la cuisine et il a changé sa chemise pour un t-shirt. Je souris. Il est si beau, si doux. Parfois je me dis que je n’aimerai pas le voir en colère. Le peu de colère que j’ai vu en lui était maîtrisée. Si un jour il explose, il vaut mieux ne pas être dans les parages à mon avis.
W : bien dormis ?
L (se frottant les yeux) : désolé !
W : non, c’est que tu devais en avoir besoin. Tiens !
L : un chocolat chaud !
W (la prenant dans ses bras) : je ne connais rien de mieux pour aller mieux.
L : et puis avec ce temps, c’est assez adéquat. (plongeant son regard navré vers la fenêtre détrempée par la pluie).
W : moi qui pensais faire des visites c’est loupé !
L (surprise) : si tu veux, on sort !
W : Eh ! Je plaisante. Je suis très bien ici. Et si je suis à Paris, c’est pour toi et non pour le tourisme.
L : merci. C’est qu’elle heure ?
W : 19h !
L (effarée) : mais j’ai dormi toute l’après-midi ! Tu as faim ?
W : un peu.
L : tu veux manger quoi ?
W : Prends-toi pas la tête, on se fait livrer deux pizzas, ça ira bien !
L (doucement) : une suffira !
W (à son oreille) : tu mangeras !
L : je piquerais dans la tienne.
W (baissant les yeux) : ok, je n’ai pas envie de me battre.
L : Went, je me connais et si …
W (inquiet) : si quoi…
L (désespérée) : je vais à peu près bien, donc ne me force pas à me faire plus de mal !
W : si je te force à manger un peu, je te ferais du mal ?
L (baissant son regard) : je mangerais, ne t’inquiète pas… mais je me connais et je sais que si je mange au-delà de ce que je veux, je ferais quelque chose dont je n’ai pas envie.
W (la serrant contre lui) : je vois, c’est bon. Je suis désolé. Tu sais pour moi, c’est nouveau tout cela et je ne maîtrise pas bien.
L : pour moi c’est la routine. Je te dirais si cela ne va pas. Je te le promets.
Je le vois enfiler ses chaussures et descendre chercher une pizza. J’imagine d’ici la tête du pizzaoïlo lorsqu’il le verra ! Je me blottis dans la couverture qu’il m’avait mise dessus pour dormir. Il est si attentionné. Il revient à peine dix minutes plus tard tout fier avec sa pizza. On s’assoit l’un à côté de l’autre et je commence doucement à me nourrir. Je sais que je dois manger mais je n’y arrive pas. Je commence à disséquer les aliments à les trier par ordre dans lesquels je vais les manger. J’ose à peine le regarder, je dois lui paraître complètement folle. Au bout de presque trois quarts d’heure j’ai enfin fini ma part. Cela en est presque un soulagement. Je risque de nouveaux à le regarder et il me sourit. Moi qui croyais y lire de la pitié, de la désolation, je n’y vois que gaieté.
W (amusé) : la prochaine fois tu as intérêt à la manger plus vite, sinon je te la pique !
L (vorace) : eh ! C’était mon bout. Toi tu avais tout le reste pour t’empiffrer !
W (lui lançant un clin d’œil) : je ne te propose pas de dessert !
L : trop drôle !
W (avec un regard coquin) : dommage.
Je le regarde partir dans la cuisine avec les couverts et l’emballage. C’est bizarre comment je me sens bien avec lui. D’habitude j’aurais été encore plus mal à l’aise de manger ainsi devant quelqu’un, mais avec lui. C’est comme si je n’avais pas envie de me cacher, comme si lui montrer était en fait plus facile que d’expliquer. Je n’ai pas envie de lui cacher mes faiblesses, mes blessures… du moins pas toutes. Moi qui me suis fait une solide carapace, j’ai un besoin accru qu’il me protège. Il revient et je me cale automatiquement dans ses bras. C’est le seul endroit où je me sente réellement bien depuis ce matin.
L(hésitante) : tu veux savoir ?
W : quoi ?
L : pourquoi c’est ainsi avec mes parents !
W (ses mains jouant dans mes cheveux) : pas si tu n’en as pas envie.
L (plongeant son regard dans le sien) : merci de m’avoir défendu.
W (affecté) : j’avais peur que tu prennes mal le fait que je m’occupe de tes affaires. Mais je n’ai pas pu faire autrement. Je veux juste savoir une chose. Est-ce que tes parents te battaient ?
L (étonnée) : non. Disons que plus j’ai grandi et plus le seul moyen de communiquer pour mon père était de me foutre une gifle. Histoire de me calmer. Je reconnais que je suis loin d’être parfaite et que j’ai un sale caractère. Je m’emporte vite et encore plus si je discute avec mon père.
W (la taquinant) : c’est vrai que tu ne manques pas de caractère ! Quoiqu’en ce moment, il a un peu disparu !
L : pourquoi tu ne veux pas savoir ?
W (plongeant son regard dans le sien) : j’aimerai savoir, mais que si toi tu as envie de m’en parler. J’aime le fait que tu ne t’immisces pas dans ma vie, que tu respectes mon jardin secret et je fais de même avec toi. Si tu veux en parler, je serai là.
L (haussant les épaules) : c’est tellement compliqué. Tout d’abord je suis la seule fille. J’ai deux grand-frères. Et on m’a toujours fait comprendre que je n’étais pas vraiment prévu, que j’étais un accident. Je viens d’une famille assez bourgeoise.
W (chamailleur) : j’ai crut comprendre Elisabeth-Louise !
L (le pointant du doigts) : ne te moques pas Wentworth !
W (l’embrassant) : bon ok, niveau prénoms nos parents sont aussi nuls les uns que les autres !
L : mais saches que si un jour quelqu’un connaît mon véritable prénom, je te tue !
W (réjoui) : ah ! Le revoilà le sale caractère.
L (les larmes aux yeux) : je te disais… oui, famille bourgeoise et j’ai été élevé à être le meilleur, le numéro un. Par exemple mes frères n’ont pas eut le choix de leurs études. Ils devaient faire des études scientifiques. Ils ont fait de grandes écoles, les meilleures. De toute façon il n’avait pas vraiment le choix. A la maison c’était pas de sorties, pas de filles… cela pourrait déconcentrer des études. Maintenant ils sont tous les deux ingénieurs mais dans des trucs de fous. Christophe que tu as vu ce matin travaille dans l’aérospatiale et Matthieu lui conçoit des vaccins. Ne m’en demande pas plus, je n’y comprends rien dans leurs trucs. Alors imagine, moi au milieu de tout cela. J’étais une bille en maths, par contre je m’éclatais en lettres et en langues. Mais surtout il y avait la danse. J’avais le droit au même traitement de faveur que les autres, je pouvais faire ma danse mais à condition d’être la numéro un. J’ai vite multipliée les entraînements et j’ai incorporé le ballet de l’opéra. J’étais la plus jeune. Mais cela ne suffisait pas pour eux. Il fallait que je sois étoile à l’opéra de Paris. Sinon, j’étais une moins que rien. J’ai bossé des années comme une dingue pour y arriver. Et puis il y a eut l’anorexie. Ils n’ont jamais rien voulu voir pour eux, cela faisait partie du truc. Pour être danseuse, il faut être ainsi alors soit. Même lorsque je me suis retrouvé à l’hôpital, ils ne comprenaient pas. Pour eux c’était de la comédie. J’étais danseuse et je faisais attention à ma ligne. Mais lorsqu’ils ont appris que je ne pourrais plus faire de classique, ça était fini. J’étais une ratée, qui se complaisait dans l’oisiveté pour eux. Car la danse n’était pas un métier alors si même cela je n’y arrivais pas ! J’ai toujours été en affrontement avec mes parents, je me rebellais constamment. Mais cela ne faisait qu’empirer les choses. Et un jour j’ai étais prise pour tourner dans un clip. C’était super beau. En fait, mon corps était maquillé en argenté foncé et je dansais de dos. On ne voyait presque rien et puis c’était de la danse, vraiment. Ils sont tombés dessus et là ça a été fini. J’étais pire qu’une pute à leurs yeux. La seule phrase que m’a dite ma mère ça a été «mais ma fille comment allons nous faire pour te marier ? ». J’ai crut que j’allais mourir. Ils pensaient à me marier. J’avais à peine 25 ans. Ils m’ont foutu dehors lorsque je leur ai dit que cela n’était pas dans mes intentions. J’étais devenue à leurs yeux une épave, une fille facile ! Après Fred m’a hébergé un temps, j’ai fait des petits boulots et il y a deux ans je suis venu aux Etats-Unis et la suite…tu connais.
W : moi qui pensais que mes parents étaient stricts !
L (la voix brisée) : t’as rien vu, je te le promets. J’avais obligation de jouer du violon, de faire de l’équitation et du tennis. Fallait être au niveau.
W (la resserrant un peu plus contre lui) : et depuis ce jour tu ne les as jamais revus ?
L : Si, mais chaque fois cela c’est fini en bain de sang. On ne peut pas parler avec eux. Le seul qui me comprenait et qui était fier de moi était mon grand-père.
W : je suis désolé.
L (angoissée) : Went j’ai peur. Je me rends bien compte que les problèmes que j’ai avec la nourriture sont beaucoup liés à mes relations avec ma famille. J’ai peur qu’en étant ici, de ne pas faire face. Je vois bien que je retombe petit à petit dans de vieux piège.
W (troublé) : je serais là. Je ne suis pas près de laisser la plus belle des fleurs se faner.
L (recroquevillée contre lui) : mais c’est tellement étrange et jouissif. Cette sensation de maîtrise. Tu gère tout, tu contrôle jusqu’à ton corps. Et contrairement à ce que les gens pensent, tu ne t’affaiblis pas vraiment. Ton cerveau cogite encore plus, ton corps est comme dopé. C’est transcendant. Et c’est ce qui me fait peur. J’ai peur de ne pas m’en rendre compte, de ne pas le voir arriver.
W (ne lâchant pas son emprise) : je pense qu’au contraire tu en es parfaitement consciente. Je serai là. Je ne te chaponnerai pas, je te le promets. Mais je serai à ton côté. Et je me dis que plus vite on sera à la maison et mieux ce sera !
L : je crois aussi.
Je reste ainsi blottis dans ses bras. Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter un homme pareil. Il est si compréhensif. Il ne juge pas, il ne critique pas il me prend tel que je suis avec mes défauts. Je me sens si bien dans ses bras.
CHAP 21 :
On rentre enfin à l’appartement. Aucun mot n’a été échangé durant tout le trajet. Je le sens si soucieux, si ferme depuis notre départ. Il a conduit super doucement, sûrement qu’il n’est pas très habitué à la conduite à la française. Je le sens lui aussi perdu dans ses pensées. Ma main est restée accrocher à la sienne sur le levier de vitesse. Je m’y cramponne comme si cela était une bouée de sauvetage. Elle me tient hors de l’eau. On monte les cinq étages en silence. Il commence à devenir pesant, mais d’un autre côté, je ne sais pas trop quoi dire. Comment lui expliquer ce qu’il a vu ? Je pose mes affaires en vrac et je le vois s’installer directement dans le canapé. Je ne sais pas vraiment quoi faire ! Je m’installe à son côté. Assise tout contre lui, je lui fais face, ma tête calée contre son torse. Je sens immédiatement ses bras m’enserrer. J’aurais presque envie que le temps s’arrête. Mes yeux se ferment et je ne peux contrôler les quelques larmes qui viennent choir sur sa chemise. Elle sera bonne pour un bon nettoyage, vu les taches de mascara. Il avait beau l’air waterproof, il n’a pas résisté ! Ses mains se promènent dans mon dos. Je m’abandonne totalement sous cette sensation.
J’ai de la peine à y croire. Je me suis endormie. Je me réveille un peu dans le pâté, toute déboussolée. Il est dans la cuisine et il a changé sa chemise pour un t-shirt. Je souris. Il est si beau, si doux. Parfois je me dis que je n’aimerai pas le voir en colère. Le peu de colère que j’ai vu en lui était maîtrisée. Si un jour il explose, il vaut mieux ne pas être dans les parages à mon avis.
W : bien dormis ?
L (se frottant les yeux) : désolé !
W : non, c’est que tu devais en avoir besoin. Tiens !
L : un chocolat chaud !
W (la prenant dans ses bras) : je ne connais rien de mieux pour aller mieux.
L : et puis avec ce temps, c’est assez adéquat. (plongeant son regard navré vers la fenêtre détrempée par la pluie).
W : moi qui pensais faire des visites c’est loupé !
L (surprise) : si tu veux, on sort !
W : Eh ! Je plaisante. Je suis très bien ici. Et si je suis à Paris, c’est pour toi et non pour le tourisme.
L : merci. C’est qu’elle heure ?
W : 19h !
L (effarée) : mais j’ai dormi toute l’après-midi ! Tu as faim ?
W : un peu.
L : tu veux manger quoi ?
W : Prends-toi pas la tête, on se fait livrer deux pizzas, ça ira bien !
L (doucement) : une suffira !
W (à son oreille) : tu mangeras !
L : je piquerais dans la tienne.
W (baissant les yeux) : ok, je n’ai pas envie de me battre.
L : Went, je me connais et si …
W (inquiet) : si quoi…
L (désespérée) : je vais à peu près bien, donc ne me force pas à me faire plus de mal !
W : si je te force à manger un peu, je te ferais du mal ?
L (baissant son regard) : je mangerais, ne t’inquiète pas… mais je me connais et je sais que si je mange au-delà de ce que je veux, je ferais quelque chose dont je n’ai pas envie.
W (la serrant contre lui) : je vois, c’est bon. Je suis désolé. Tu sais pour moi, c’est nouveau tout cela et je ne maîtrise pas bien.
L : pour moi c’est la routine. Je te dirais si cela ne va pas. Je te le promets.
Je le vois enfiler ses chaussures et descendre chercher une pizza. J’imagine d’ici la tête du pizzaoïlo lorsqu’il le verra ! Je me blottis dans la couverture qu’il m’avait mise dessus pour dormir. Il est si attentionné. Il revient à peine dix minutes plus tard tout fier avec sa pizza. On s’assoit l’un à côté de l’autre et je commence doucement à me nourrir. Je sais que je dois manger mais je n’y arrive pas. Je commence à disséquer les aliments à les trier par ordre dans lesquels je vais les manger. J’ose à peine le regarder, je dois lui paraître complètement folle. Au bout de presque trois quarts d’heure j’ai enfin fini ma part. Cela en est presque un soulagement. Je risque de nouveaux à le regarder et il me sourit. Moi qui croyais y lire de la pitié, de la désolation, je n’y vois que gaieté.
W (amusé) : la prochaine fois tu as intérêt à la manger plus vite, sinon je te la pique !
L (vorace) : eh ! C’était mon bout. Toi tu avais tout le reste pour t’empiffrer !
W (lui lançant un clin d’œil) : je ne te propose pas de dessert !
L : trop drôle !
W (avec un regard coquin) : dommage.
Je le regarde partir dans la cuisine avec les couverts et l’emballage. C’est bizarre comment je me sens bien avec lui. D’habitude j’aurais été encore plus mal à l’aise de manger ainsi devant quelqu’un, mais avec lui. C’est comme si je n’avais pas envie de me cacher, comme si lui montrer était en fait plus facile que d’expliquer. Je n’ai pas envie de lui cacher mes faiblesses, mes blessures… du moins pas toutes. Moi qui me suis fait une solide carapace, j’ai un besoin accru qu’il me protège. Il revient et je me cale automatiquement dans ses bras. C’est le seul endroit où je me sente réellement bien depuis ce matin.
L(hésitante) : tu veux savoir ?
W : quoi ?
L : pourquoi c’est ainsi avec mes parents !
W (ses mains jouant dans mes cheveux) : pas si tu n’en as pas envie.
L (plongeant son regard dans le sien) : merci de m’avoir défendu.
W (affecté) : j’avais peur que tu prennes mal le fait que je m’occupe de tes affaires. Mais je n’ai pas pu faire autrement. Je veux juste savoir une chose. Est-ce que tes parents te battaient ?
L (étonnée) : non. Disons que plus j’ai grandi et plus le seul moyen de communiquer pour mon père était de me foutre une gifle. Histoire de me calmer. Je reconnais que je suis loin d’être parfaite et que j’ai un sale caractère. Je m’emporte vite et encore plus si je discute avec mon père.
W (la taquinant) : c’est vrai que tu ne manques pas de caractère ! Quoiqu’en ce moment, il a un peu disparu !
L : pourquoi tu ne veux pas savoir ?
W (plongeant son regard dans le sien) : j’aimerai savoir, mais que si toi tu as envie de m’en parler. J’aime le fait que tu ne t’immisces pas dans ma vie, que tu respectes mon jardin secret et je fais de même avec toi. Si tu veux en parler, je serai là.
L (haussant les épaules) : c’est tellement compliqué. Tout d’abord je suis la seule fille. J’ai deux grand-frères. Et on m’a toujours fait comprendre que je n’étais pas vraiment prévu, que j’étais un accident. Je viens d’une famille assez bourgeoise.
W (chamailleur) : j’ai crut comprendre Elisabeth-Louise !
L (le pointant du doigts) : ne te moques pas Wentworth !
W (l’embrassant) : bon ok, niveau prénoms nos parents sont aussi nuls les uns que les autres !
L : mais saches que si un jour quelqu’un connaît mon véritable prénom, je te tue !
W (réjoui) : ah ! Le revoilà le sale caractère.
L (les larmes aux yeux) : je te disais… oui, famille bourgeoise et j’ai été élevé à être le meilleur, le numéro un. Par exemple mes frères n’ont pas eut le choix de leurs études. Ils devaient faire des études scientifiques. Ils ont fait de grandes écoles, les meilleures. De toute façon il n’avait pas vraiment le choix. A la maison c’était pas de sorties, pas de filles… cela pourrait déconcentrer des études. Maintenant ils sont tous les deux ingénieurs mais dans des trucs de fous. Christophe que tu as vu ce matin travaille dans l’aérospatiale et Matthieu lui conçoit des vaccins. Ne m’en demande pas plus, je n’y comprends rien dans leurs trucs. Alors imagine, moi au milieu de tout cela. J’étais une bille en maths, par contre je m’éclatais en lettres et en langues. Mais surtout il y avait la danse. J’avais le droit au même traitement de faveur que les autres, je pouvais faire ma danse mais à condition d’être la numéro un. J’ai vite multipliée les entraînements et j’ai incorporé le ballet de l’opéra. J’étais la plus jeune. Mais cela ne suffisait pas pour eux. Il fallait que je sois étoile à l’opéra de Paris. Sinon, j’étais une moins que rien. J’ai bossé des années comme une dingue pour y arriver. Et puis il y a eut l’anorexie. Ils n’ont jamais rien voulu voir pour eux, cela faisait partie du truc. Pour être danseuse, il faut être ainsi alors soit. Même lorsque je me suis retrouvé à l’hôpital, ils ne comprenaient pas. Pour eux c’était de la comédie. J’étais danseuse et je faisais attention à ma ligne. Mais lorsqu’ils ont appris que je ne pourrais plus faire de classique, ça était fini. J’étais une ratée, qui se complaisait dans l’oisiveté pour eux. Car la danse n’était pas un métier alors si même cela je n’y arrivais pas ! J’ai toujours été en affrontement avec mes parents, je me rebellais constamment. Mais cela ne faisait qu’empirer les choses. Et un jour j’ai étais prise pour tourner dans un clip. C’était super beau. En fait, mon corps était maquillé en argenté foncé et je dansais de dos. On ne voyait presque rien et puis c’était de la danse, vraiment. Ils sont tombés dessus et là ça a été fini. J’étais pire qu’une pute à leurs yeux. La seule phrase que m’a dite ma mère ça a été «mais ma fille comment allons nous faire pour te marier ? ». J’ai crut que j’allais mourir. Ils pensaient à me marier. J’avais à peine 25 ans. Ils m’ont foutu dehors lorsque je leur ai dit que cela n’était pas dans mes intentions. J’étais devenue à leurs yeux une épave, une fille facile ! Après Fred m’a hébergé un temps, j’ai fait des petits boulots et il y a deux ans je suis venu aux Etats-Unis et la suite…tu connais.
W : moi qui pensais que mes parents étaient stricts !
L (la voix brisée) : t’as rien vu, je te le promets. J’avais obligation de jouer du violon, de faire de l’équitation et du tennis. Fallait être au niveau.
W (la resserrant un peu plus contre lui) : et depuis ce jour tu ne les as jamais revus ?
L : Si, mais chaque fois cela c’est fini en bain de sang. On ne peut pas parler avec eux. Le seul qui me comprenait et qui était fier de moi était mon grand-père.
W : je suis désolé.
L (angoissée) : Went j’ai peur. Je me rends bien compte que les problèmes que j’ai avec la nourriture sont beaucoup liés à mes relations avec ma famille. J’ai peur qu’en étant ici, de ne pas faire face. Je vois bien que je retombe petit à petit dans de vieux piège.
W (troublé) : je serais là. Je ne suis pas près de laisser la plus belle des fleurs se faner.
L (recroquevillée contre lui) : mais c’est tellement étrange et jouissif. Cette sensation de maîtrise. Tu gère tout, tu contrôle jusqu’à ton corps. Et contrairement à ce que les gens pensent, tu ne t’affaiblis pas vraiment. Ton cerveau cogite encore plus, ton corps est comme dopé. C’est transcendant. Et c’est ce qui me fait peur. J’ai peur de ne pas m’en rendre compte, de ne pas le voir arriver.
W (ne lâchant pas son emprise) : je pense qu’au contraire tu en es parfaitement consciente. Je serai là. Je ne te chaponnerai pas, je te le promets. Mais je serai à ton côté. Et je me dis que plus vite on sera à la maison et mieux ce sera !
L : je crois aussi.
Je reste ainsi blottis dans ses bras. Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter un homme pareil. Il est si compréhensif. Il ne juge pas, il ne critique pas il me prend tel que je suis avec mes défauts. Je me sens si bien dans ses bras.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Toujours aussi bien ..
Décidément il est parfait le ptit Wenty
Encore une suite superbe
Décidément il est parfait le ptit Wenty
Encore une suite superbe
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pauvre lisa et ces parents ils sont vraiment mechants!!!!
heureusement que wenth est la et qu'il velle sur elle!!
sa lui a fais du bien de ce confier!!!
continues miss j'adore
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JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Les parents à Lisa sont vraiment dingues!
personne n'est parfait même eux, la preuve ils sont foutu leur fille dehors dès qu'isl sont su pour le clip, son père n'a pas hésité à la gifler, et ils n'ont jamais essayé de la comprendre
Heureusement que Went avec elle
Vievement la suite!!!!
personne n'est parfait même eux, la preuve ils sont foutu leur fille dehors dès qu'isl sont su pour le clip, son père n'a pas hésité à la gifler, et ils n'ont jamais essayé de la comprendre
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
les filles pour vos comms... même s'ils sont moin nombreux!! mais il restent les fidèles
CHAP 22 :
Pour la seconde fois je me réveille dans ses bras. Je me sens si bien. J’ai de la peine à me remémorer la soirée d’hier. Je ne me souviens m’être couché. J’ai du m’endormir sur lui, dans le canapé. Je lui jette un rapide coup d’œil et il s’étire avant de me sourire. Je me blottis un peu plus contre lui. C’est étrange, cette sensation que rien ne peu vous arriver lorsque vous êtes dans les bras de l’homme qu’on aime. Mais, je ne peux pas l’aimer, c’est trop tôt. Oui, j’ai des sentiments pour lui, mais est-ce de l’amour, le vrai. Je ne cherche pas plus à comprendre et m’enfouis dans le creux de son épaule. Il resserre son étreinte et pourrait presque m’étouffer. Cela fait deux nuits qu’il est ici et le pauvre doit être un peu déboussolé. Il n’est pas habitué à partager mon lit sans que rien ne se passe, sans câlin. Seulement d’une part je n’en ai pas vraiment envie et d’une autre, je m’endors avant même d’avoir atteint le matelas. Il semble si présent, patient. Dire qu’il y a encore une quinzaine de jour, je voulais l’écorché vif. Il me dépose un doux baiser dans mes cheveux et se lève. L’appartement est tellement petit, que je le vois dans la cuisine. Nu comme un vers, il traverse le salon en mettant son caleçon. Faut bien avouer qu’il n’y a rien à jeter, au contraire. Il est plus que parfait. Je le vois préparer le petit-déjeuner et revenir au lit avec son plateau. Il a du se lever de bonne heure car il a acheté des pains au chocolat !
W : bonjour ma puce !
L : puce ?
W : tiens, il te faut des forces pour aujourd’hui.
L : ah oui. Café s’il te plaît.
W (avec un sourire) : et pain au chocolat !
J’ai à peine le temps de faire une grimace que je le vois en couper un bout avec ses doigts et le placer entre ses lèvres et se diriger vers moi. Je souris devant son audace. Je ne peux m’empêcher de lui voler un baiser et par la même occasion le morceau de pain au chocolat. J’avoue que sa manière de me forcer à manger un peu et des plus efficace et bienfaitrice.
L (impatiente) : encore !
W (amusé) : je vais croire que c’est un prétexte pour me soudoyer des bisous !
L : j’avoue.
Il met un second bout entre ses lèvres. Je rigole tellement que je peux à peine l’attraper.
Quelques heures plus tard :
On est arrivé à l’église juste à l’heure. Lisa voulait au maximum éviter sa famille et je la comprends. Ils la regardent tous comme si elle avait la peste. Je comprends que ses problèmes sont plus liés à sa famille qu’à sa passion pour la danse. Bien qu’elle soit excessive, je me doute que ses parents ne sont pas innocents dans son envie de s’auto-détruire. Car il s’agit de cela. Toute la nuit, je n’ai fait qu’y penser. Et il s’agit de cela, se détruire pour exister. Quel paradoxe ! Même à cet instant, elle est belle à mes yeux. Simplement vêtue d’un tailleur pantalon noir et d’un trench noir, elle est parfaite. Elle allie cette grâce et cette élégance qui lui son propre. Mon bras dans son dos, la dirige tel un automate. Plus la journée passe et plus je me dis que j’ai bien fait de venir. Je ne sais pas où elle serait sinon. Assis à son côté, mon bras passe automatiquement autour d’elle. Je veux qu’elle se sente en sécurité, protégée. Personne ne viendra l’importuner tant que je serais là. Je sens bien les regards qui se portent sur nous, les messes basses qui pullulent. Mais je n’en ai que faire. Elle est mon trésor et je la protégerai de tout ceci. Son regard fixe le cercueil. Nos mains entrelacées, je ne peux m’empêcher de souffrir alors que je vois ses larmes couler le long de ses joues. Elle est si réservée, seules ses pleurs manifestent ses émotions. Aucuns mots, aucunes lamentations. Je ne la quitte pas d’une seconde. Je suis pire que son ombre. Et chaque fois que je m’écarte un peu, elle se reblottis immédiatement contre moi. Alors que nous allions quitter le cimetière, un homme vient vers nous. Je le regarde froidement. Je me demande ce qu’il lui veut.
Homme (lui serrant la main) : toutes mes condoléances Mademoiselle. Vous êtes Lisa, n’est-ce pas ?
L : oui.
Homme : voilà, je suis Maître Pascal. Le notaire de votre grand-père. La lecture du testament va se faire immédiatement et votre présence est requise.
L (abasourdie) : ma présence. Mais…
Notaire : vous nous suivez, mon bureau est juste en face.
L : bien sûr. Nous venons.
Je suis abasourdie. En quoi ma présence est nécessaire à cette lecture ? J’explique à Went ce qui se passe et il ne paraît pas très rassuré non plus. Je ne sais pas comment j’aurais fait sans lui. Il est si doux, patient et protecteur avec moi. Il maintient toujours une distance entre nous. Comme s’il ne voulait pas s’imposer. Je n’ai pas quitté ses bras de la journée, c’est mon refuge. Il respecte mon désir de silence, ma retenue. Mais je sens sa présence autour de moi. Il ne me lâche pas du regard, je le sais. Il veille sur moi tel un ange. Ce qui me réconforte encore plus. Une fois dans le bureau du notaire, je sens ses regards sombres qui se posent sur moi. Ceux de mes parents, de mon frère Mathieu. Chris lui est dans un coin et ne dis rien. Comme toujours il est tiraillé entre deux chaises. On s’assoit tous et la lecture commence. Went reste debout au fond de la pièce ; mais je le sens prêt à bondir au moindre éclat de voix. Je suis estomaqué par ce que j’entends. Mon grand-père m’a légué une grande partie de ses biens. Je ne dis rien et reste les yeux grands ouverts, je m’enfonce dans mon siège, mes pieds ne touche plus le sol.
Père de Lisa (furieux) : ce n’est pas possible. Maître, je conteste ce testament.
Notaire (calme) : vous ne pouvez rien aire. Il ne vous a pas déshérité. Vous avez la part minimale que la loi lui obligé. Lisa hérite de la maison à Paris et le l’intégralité des placements de votre père.
Père de Lisa : mais…
Notaire : c’est son droit.
Père de Lisa (se levant de sa chaise) : mais mes fils n’ont rien. Ce n’est pas normal !
Notaire : il n’y a aucune obligation là-dessus. Il devait au minimum vous léguer 30% de sa fortune. Ce qu’il a fait avec la maison en Bourgogne et les liquidités présentes sur son compte courant. Bon Lisa, je ne vais pas vous retenir plus longtemps. Si vous voulez bien signer les documents. Je ferais le nécessaire. Je vous remets les clés. Et voilà, vous pouvez partir.
L (signant les différents papiers) : merci maître.
Père de Lisa : tu es fière de toi ! tu as eut ce que tu voulais !
L (résignée) : tu es pathétique !
Mathieu (acide) : c’est bon Elisabeth, fait pas l’hypocrite. Tu voulais de l’argent et là tu en as assez ! Tu as fayoté avec le grand-père et cela a payé. Bravo !
L (en larmes) : et vous vous êtes pitoyable. Si vous voulez le pognon gardez-le !
Notaire : non Lisa. Votre grand-père fut formel. Si vous faites une donation envers un membre de votre famille, l’intégralité sera donnée à des œuvres de bienfaisances.
Père de Lisa : il avait tout prévu.
Notaire (avec un sourire) : pour vous bloquer et que sa petite-fille soit à l’abri !
L : excusez-nous mais on doit y aller. L’avion ne va pas nous attendre. Merci pour tout Maître.
Après avoir tout expliqué à Went on se regarde et on n'en croit pas nos oreilles. C’est tout simplement hallucinant. Je le regarde et je me sens bien. Et en effet, j’ai hâte de prendre le premier avion, pour rentrer chez moi, à Los Angeles. Car je ne m’en étais pas rendus compte mais Paris n’est plus ma maison. Je me rends compte que je viens de tirer un trait définitif sur cette ville. Jamais je ne pourrais y revenir. Pour des vacances peut-être ! On rentre vite au studio de Fred pour faire nos valises. Went est soulagé de voir mon entrain pour repartir. Pour l’énième fois depuis hier son téléphone sonne. Puisqu’il est au toilette, je regarde de qui provient cet appel, au cas ou se soit une urgence. C’est Paul ! Bon cela doit être une urgence !
L : allô !
P : qu’est-ce que tu fous à Paris, bordel ?
L (ouvrant de grands yeux) : pardon !
P (choqué) : vous êtes qui ?
L : Lisa !
P : euh ! Où est Went ?
L : dans trente secondes il pourra vous répondre.
P (sec) : d’accord !
Je vois le regard froid de Went me transpercer alors que je lui tends le téléphone. Il jette un coup d’œil pour voir qui c’est et il me fusille sur place. Je crois que je viens de faire une boulette.
W (dans un souffle) : Paul !
P (hurlant) : putain de bordel de merde ! Je peux savoir ce que tu fous à Paris avec une nana au lieu d’être sur le plateau ! Je te rappel qu’on boucle la saison dans trois semaine et monsieur se tire ! Tu penses à quoi ?
W (s’affalant dans le canapé) : je suis désolé mais c’était une urgence.
P (hystérique) : faire le joli cœur avec une fille n’est pas une urgence. Tourner avec Dom les scènes de votre arrivée au Panama, c’est une urgence !
W (perplexe) : comment tu sais que je suis à Paris et avec quelqu’un ?
P : tu es vraiment idiot ou quoi ? Tu n’es plus un anonyme ! Tous les canards des Etats-Unis font la une avec toi.
W : quoi, explique !
P (se calmant) : tu as étais pris en photos avec ta nana. Amaury m’a confirmé que tu sortais avec. On vous voit enlacés dans Paris.
W (nerveux) : tu peux m’expliquer un peu la photo ?
P : oui, vous êtes appuyés sur une petite voiture et elle est dans tes bras. On la voit à peine ! Pourquoi ?
W (se crispant) : rien. Elles ont étés prises hier après-midi. Ce sont vraiment des enflures !
P (acerbe) : tu croyais quoi ?
W (doucement) : Paul, si je suis parti c’est que Lisa vient de perdre son grand-père. On l’a enterré ce matin. Et la photo, on sortait de l’hôpital.
P (penaud) : oh merde. Je suis désolé mais pourquoi tu ne l’as pas dit ? On se serait arrangé.
W : je n’y aie pas pensé et puis je n’avais pas vraiment la tête à cela.
P : bon OK. On rattrapera le retard. Je peux compter sur toi lundi.
W : bien sûr !
P : je suis encore désolé.
W : c’est rien.
P : va falloir que tu la protèges. Votre retour ne sera pas de tout repos !
W : ouais. Merci.
P : Salut !
Il raccroche et il a l’air furax. Je ne l’ai jamais vu ainsi. Il se lève d’un bon et va préparer son sac. Je le regarde mais n’ose rien dire. Je crois qu’il m’en veut. Mais après tout s’il m’avait dit qu’il voulait faire le mort, je n’aurais pas répondu !
L (timide) : je suis désolé. Je ne décrocherais plus ton téléphone.
W (sec) : ça fait deux jours que je ne lui réponds pas et toi…
L (montant d’un ton) : t’avais qu’à me le dire que tu t’es enfui comme un voleur !
W (irrité) : j’ai tout plaqué pour toi et toi…
L : moi quoi ?
W : rien !
L : tu le dis oui ou…
W : on dirait que tu t‘en fous !
L (hurlant) : oh mais je ne t’ai rien demandé moi. Si tu es venu c’est que tu en avais envie !
W : je suis venu car je ne voulais pas que tu sois seule.
L : tu es venu pour toi. Pour conforter ton ego de mâle protecteur !
W (avec un regard doux) : salle conne !
L (lui souriant) : enfoiré !
W (la prenant dans ses bras) : viens là. Je suis désolé. Je ne sais même pas pourquoi je te hurle dessus !
L (déconfite) : ça fait du bien parfois de gueuler !
W (passant sa main dans ses cheveux) : je m’en veux.
L : Went dis-moi ! Il y a quelque chose ?
W (plongeant son regard dans le sien) : ils sont au courant !
L (apeurée) : ils… oh non, les journalistes !
W (triste) : on fait la une !
L : mais quand ?
W : hier, à la sortie de l’hôpital. Je suis désolé. Je ne voulais pas que ça arrive aussi vite.
L (montrant ses biceps) : ça va être du sport de rentrer à la maison alors ! Ça tombe bien, après deux jours avec ma famille, je pète le feu !
W (amusé) : ce n’est pas drôle !
L (hilare) : quoi je vais te protéger comme jamais ! On peut-être que je vais te violer devant eux, comme cela ils arrêteront de dire que tu es homo !
Nos lèvres se soudent et je me sens revivre. Le téléphone de Went résonne encore. Il regarde désespéré et décroche.
W : allô !
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Oh ils sont chiants ces journalistes .
Ils sont trop mimi a s'insulter , et Went qui la protège de tous.
Toujours aussi bien tes suites, moi j'en veux encore une
Ils sont trop mimi a s'insulter , et Went qui la protège de tous.
Toujours aussi bien tes suites, moi j'en veux encore une
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Ils sont trop mignons
Le père et le frère de Lisa m'enervent, heureusement que son grand-père a tout prévu dans son testament come quoi elle ne peut pas faire une donation à un membre de sa famille sinon l'intégralité sera donée à des oeuvres de bienfaisance
Vivement la suite!!!
Le père et le frère de Lisa m'enervent, heureusement que son grand-père a tout prévu dans son testament come quoi elle ne peut pas faire une donation à un membre de sa famille sinon l'intégralité sera donée à des oeuvres de bienfaisance
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angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
C'est toujours aussi génial !!
J'adore !!
Un petit coup de gueulade de temps en temps en temps ça ne peux pas leur faire du mal.
Par contre pour l'appel... je me demande qui est ce j'espère rien de grave
j'ai hâte de lire la suite !!
J'adore !!
Un petit coup de gueulade de temps en temps en temps ça ne peux pas leur faire du mal.
Par contre pour l'appel... je me demande qui est ce j'espère rien de grave
j'ai hâte de lire la suite !!
micko- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ou j'avais pris du retard ! ils sont trop mimi ensemble
mets nous vite la suite!!!
mets nous vite la suite!!!
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
merci les filles pour vos comms...
même s'il n'y a plus beaucou de comms je continues à vous poster des suites....mais peut-être pas indéfiniment
pour vous remercier voici une suite qui s'accompagne d'un bon bain glacé de préférence...
CHAP 23 :
On est dans l’avion. Je me retrouve pour la première fois de ma vie en classe affaire et je suis un peu mal à l’aise. Mais vu mon compagnon de voyage, je ne peux faire autrement. On se regarde amusé alors que l’hôtesse ne cesse de le fixer. Je me retiens bien de la tuer. Je déteste cette sensation lorsqu’une autre femme pose les yeux sur lui. Lorsqu’elles posent ce regard qui est plus une invitation à s’envoyer en l’air qu’autre chose. Je déteste être jalouse mais avec lui, c’est impossible. Elles se retournent toutes sur son passage. Au bout d’à peine une heure il s’est endormie, contre moi. Sa tête est tombée sur mes genoux. Ma main ne cesse ce caresser son crâne piquant. J’aime cette sensation de la materner, de le protéger car lui aussi en a besoin et peut-être plus que moi, plus que le gens ne peuvent le penser. Il se réfugie dans son silence. Ses interviews sont souvent floues, il évite de parler de sa vie privée mais surtout pour ne pas faire souffrir les gens qu’il connaît et lui-même. Je me demande pourquoi j’ai accepté de le suivre. J’aurais du le convaincre de rentrer à la maison. Mais au lieu de cela, je me retrouve dans cet avion qui va atterrir à Pittsburgh, en Pennsylvanie.
Flash-back:
W: allô!
P: Went c’est Paul. Je suis désolé de te déranger de nouveaux mais on vient d’avoir un problème.
W : quoi, tu as besoin de moi avant ?
P : en fait. Le tournage est arrêté pour une semaine. On vient d’avoir un énorme orage, une tornade en faîte. Et on a une bonne partie du décor qui s’est fait la belle ! On dirait que tu as de la chance !
W : je rentre de toute façon. Je serai là, lundi prochain.
P : je n’en doute pas. A plus.
W : salut.
Il raccroche et à l’air radieux. Je me demande bien ce qui peut le rendre aussi heureux.
L : Went !
W : bon, il y a eut un souci sur le tournage. J’ai une semaine de vacance.
L (lui sautant au cou) : c’est vrai. Tu restes une semaine avec moi ?
W : oui. Mais si tu veux, j’aimerai qu’on ne rentre pas à Los Angeles !
L (étonnée) : tu veux aller où ?
W (avec des petits yeux) : je me disais que vu qu’ils nous attendent autant aller ailleurs. On pourrait passer quelques jours chez ma mère, à Pittsburgh.
L : je…
W (avec un petit sourire) : elle n’est pas là. Elle est à New-York chez une de mes tantes avec ma sœur !
L : disons que je ne veux pas m’imposer.
W : on y sera bien, je te le promets.
L (l'embrassant): OK, c’est bon.
Fin flash-back.
On arrive en fin d’après midi et il fait un froid de canard. Faut dire que l’on est presque en campagne. La route défile et je me laisse guider. Je découvre le paysage et souris devant tous ses lotissements résidentiels, tellement cliché. On s’engouffre dans l’allée d’une belle maison bourgeoise. Il descend et viens faire le tour pour m’ouvrir la porte. Il me surprendra toujours avec ses petites attentions. On rentre et je suis surprise par la simplicité de la maison. Elle est magnifique. Il est amusé par ma réaction. Je n’entends rien, personne. Il commence à faire un tour et augmente le chauffage et allume la cheminée. C’est si romantique tout d’un coup. Rare ont été les fois ou je suis allait chez les parents de mes copains. En règles générales, on avait un chez-nous ! Il me fait faire le tour et je constate qu’elle est immense. Une fois à l’étage il me montre de loin les chambres de ses sœurs et de sa mère alors qu’il se dirige par ce que déduis sa chambre. Il ouvre la porte et me regarde amusé. J’entre sans vraiment lui prêter attention et regarde de partout. On dirait qu’il n’est presque jamais parti. Pleins de choses traînent à droite et à gauche. Je m’assois sur son lit et le regarde amusé.
L (battant des pieds dans le vide) : bon, on fait quoi maintenant !
W : comment ça ?
L (coquine) : je ne sais pas ! C’est toi le chef !
W : je ne sais pas. Je n’ai pas vraiment de plan.
L : ça tombe bien car moi j’en ai un !
W : ah bon !
Je lui tends la main et il s’assoit à mon côté. Je me dirige vers sa chaîne hi-fi et sors de mon sac un Cd. Il me regarde surpris !
L (déterminée) : personne ne viendra tu es sûr !
W (intrigué): personne !
Je laisse la lumière éteinte et seule la faible lueur du jour nous éclaire. C’est sous cette lumière que je le trouve le plus séduisants, le plus sexy. Il semble encore plus énigmatique. Debout face à lui, je me sens si femme, su désirable. Son regard se pose sur moi et cela me suffit pour me transporter dans un monde enivrant. Je remarque un léger sourire au coin de sa bouche. Je viens y déposer un baiser pour lui faire disparaître. Cette fois-ci, c’est moi qui aie les rennes et je compte bien le rendre dingue.
http://www.radioblogclub.fr/open/129773/far_away/Nickelback%20-%20Far%20Away
Face à lui, je le regarde dans les yeux, je ne le lâche pas. Il semble perplexe par la suite. La musique commence et je commence lascivement à me déhancher face à lui, très voluptueusement. Il me regarde surpris et moi je ne décroche pas mon regard du sien. Je le fixe. Je n’ai qu’une envie, me jeter sur lui, sur ses lèvres charnues qui m’appellent mais je ne le ferais pas. Je fais voler gentiment dans la pièce mon pull et il comprend à peu près mon manège. Il s’assoit amusé dans le fond de son lit, contre le mur. Il me regarde, me scrute et je ne lâche pas son regard. Je commence à déboutonner mon chemisier doucement, en jouant avec le tissu. Il sourit de plus en plus. Son regard décroche du mien. Il ne le supporte plus. Je me fais féline, sensuelle, pour lui. Mon chemisier se retrouve vite au sol et mon jeans commence à prendre le même chemin. Je me fais plus provocatrice, jouant avec mes sous-vêtements. Je le vois plonger sa tête entre ses mains. Il m’amuse, il est totalement déboussolé. En sous-vêtements, plus que sexy, je m’assois sur lui. Sa tête se relève automatique à ce contact. Il veut m’embrasser mais j’éloigne ma bouche. C’est moi qui commende, Monsieur. Je commence à déboutonner sa chemise avec ma bouche. Il me regarde surpris et comprend qu’il n’a pas fini d’être au supplice. A chaque bouton ouvert, je couvre son torse de baisers humides et tendres. L’odeur de sa peau est si enivrante. Chaque frôlement lui procurent un bien fou, je le sens, je l’entends. Mes mains ne viennent sur lui que pour lui ôter définitivement sa chemise. Il prend mes poignets entres ses mains et plaque la paume de mes mains sur lui. Il ferme les yeux, presque de soulagement de sentir nos peaux. Je n’ai toujours pas décroché mon regard de ses yeux. Je m’applique à sillonner de mes doigts chaque millimètre de sa peau, faire le contour de ses muscles. Il s’offre à moi et j’arrive de moins à me maîtriser.
Elle frôle mon torse avec se peau et je croix rêver. Je sens qu’elle s’est fait prendre à son propre piège. Elle semble ne plus vraiment maîtriser ses envies, ses pulsions. Elle frôle ma peau avec son torse et le contact de sa poitrine écrasé sur moi me fait tressaillir. Je ferme les yeux et savoure chaque instant. Elle est si douce, si féline. Je n’ose pas la toucher. Mes mains restent sagement de chaque côté de mes cuisses. Mes gémissements sont de plus en plus audibles, moins étouffés. Elle me retire mon jean. Et je commence à vaciller. Ses mains se baladent et ne cessent d’explorer mon corps dans les moindres recoins. Je la sens attentionnée, câline. Sa main s’attarde sous mon boxer et je commence à perdre le contrôle.
W (dans un souffle) : stop…
L (malicieuse) : comme tu veux !
Elle se rassoit sur moi et j’essaye pour l’énième fois d’avoir un baiser. Elle se laisse faire. Nos lèvres s’effleurent et c’est impressionnant. Cette sensation de douceur qui s’amplifie. Le fait d’en être privé décuple les sensations. Je veux la posséder. Nos langues se retrouvent et je ne la lâche pas. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle. C’est si enivrant, déroutant. Jamais une fille ne m’avait fait un effet pareil. Comme chaque fois je suis impressionné par sa fragilité, sa finesse dans ses instants. Mes mains se plaquent dans son dos et ne la lâche plus alors qu’elle gémit dans ma bouche. Je ne peux plus la laisser faire. Elle va me rendre dingue. Je la regarde amusé et je vois dans ses yeux qu’elle me laisse faire, qu’elle capitule mais à moitié.
Ses mains parcourent mon dos, descendent sur mes fesses qu’il emprisonne fermement pour me ramener un peu plus à lui. Je me sens défaillir sous cet assaut. Ses doigts se faufilent en moi et je ne peux réfréner un gémissement de plaisir. J’ondule de plus en plus contre lui et m’abandonne totalement. J’ai l’impression que cela fait des siècles que nous n’avions pas fais l’amour. La chaleur de son corps, l’odeur de sa peau, le son de sa voix. Tout me fait vibrer. Et la pression de ses bras autour de moi, me fais complètement péter un plomb. Je reste interdite alors que je sens mon désir se décupler sous l’agilité de ses doigts effilés. Mais je ne veux pas que cela se passe ainsi. D’un petit mouvement de bassin, il comprend et les retire. Ce qui à pour conséquences de m’arracher un râle de plaisir supplémentaire, ce qui le fait sourire davantage. Il défait plus ou moins son lit et je souris. Je veux rester ainsi. Je veux lui faire l’amour, lui donner du plaisir. Je lui retire son boxer et revient immédiatement face à lui. Il me sourit et je fonds davantage. Je m’assois sur lui et je me laisse glisser. Sa tête part en arrière et la mienne tournoie. On bouge à peine. Je le sens grossir davantage. Le plaisir devient brulant, incontrôlable. Il mordille ses lèvres et je ne peux m’empêcher de les lui reprendre. Sa main vient se caler dans ma nuque et il m’attire au plus près de lui. Mes déhanchements se font de plus en plus rapide, de plus en plus accentué. Je ne me souci de rien, juste de lui, de son plaisir que je sens grandir à chaque mouvement. C’est encore plus enivrant de m’occuper de lui. De le voir rendre les armes. Seulement son plaisir entraîne le mien et j’arrive de moins en moins à me coordonner. Il m’accompagne et je sens nos gémissements de plus en plus rauques se rejoignent. Toujours callé dans le fond de ses yeux, je cède et il me rejoint dans cette douce et violente sensation qui nous terrasse.
Je suis sidérée par ce qui vient de se passer. Nos deux corps en sueur se font faces. J’ai rarement éprouvé autant de désir pour un homme. Et là, c’étais à la fois si doux et puissant. Il me regarde pantois. Je crois qu’il ne s’y attendait pas. Faut dire que ses derniers jours je n’avais pas trop la tête à se genre de chose. Je me relève et il me prend immédiatement dans ses bras et m’allonge tout contre lui, dans son lit. On se regarde et on est tous les deux transits.
W (lui embrassant le front) : j’adore tes plans.
L : c’est vrai.
W (passant sa main dans ses cheveux) : tu me rends complètement dingue. Franchement, je n’ai jamais vécu un truc pareil !
L : moi non plus. Elle est pas mal cette chambre !
W (hilare) : ouais je l’aime bien.
L (froncant les yeux) : et les filles l’aiment bien ?
W (plongeant son regard dans le sien) : Lisa ! Premièrement, les filles que j’ai amenées ici sont celles avec qui je sortais au lycée. Et deuxièmement, depuis cette époque, seule deux ont du franchir cette porte !
L (surprise) : deux !
W : je ne suis pas du genre à ramener toute les filles à mes parents !
L : ça tombe alors bien il n’y a personne !
W (rougissant) : d’un certain côté, j’aurais eut du mal à ne pas faire de bruit !
L : Went !
Nos lèvres se retrouvent et je sens cette tendresse revenir. Nos mains se lient.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Whaou! ca c'est une suite merveilleuse
Moi aussi j'aime bien les plans de Lisa
J'ai comme une petite idée qui me trotte dans la tête depuis que j'ai lu qu'ils alalient chez la mère de went :
Vivement la suite!!!!!!
Et surtout continue de metrre des suites, ou sinon, , je suis trop fan de ta fic moi, tu peux pas l'abandonner
Moi aussi j'aime bien les plans de Lisa
J'ai comme une petite idée qui me trotte dans la tête depuis que j'ai lu qu'ils alalient chez la mère de went :
- Spoiler:
- Je me disais que peut-être la mère de went allait débarquer à l'improviste et comme ca Lisa pourrait peut-être faire sa connaissance
Vivement la suite!!!!!!
même s'il n'y a plus beaucou de comms je continues à vous poster des suites....mais peut-être pas indéfiniment
Et surtout continue de metrre des suites, ou sinon, , je suis trop fan de ta fic moi, tu peux pas l'abandonner
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
angel_keikoo mais vu que plus personne n'est interréssé... les suites ont ici:
http://pb-redemption.xooit.com/f19-Fan-Fiction.htm
http://pb-redemption.xooit.com/f19-Fan-Fiction.htm
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ENNEADE a écrit: angel_keikoo mais vu que plus personne n'est interréssé... les suites ont ici:
http://pb-redemption.xooit.com/f19-Fan-Fiction.htm
Je suis interressée moi, et j'ai déjà lu tes suites sur l'autre forum, même si j'aurais préferé que tu continues à en poster ici aussi, mais bon, je te comprends.
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Non moi je comprend pas tu peut pas t'areter comme ca je veut une suite moi sinon je vais pleurer et faire une grosse depression et tout ca de ta faute
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Sara59 vu que plus personne n'est interréssé... peut-être des lectrices amis aucun comms...
les suites ont ici:
http://pb-redemption.xooit.com/f19-Fan-Fiction.htm
si le coeur t'en dis...
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
je trouve que tu as bien raison Enneade...
Je poste ici, mais je suis bien plus présente sur un autre fofo et je dois dire que je suis un peu du meme avis...sans les éternelles et gentilles irréductibles qui laissent toujours un com, j'aurais laissé tomber depuis longtemps !
C'est quand meme bien la moindre des choses de laisser un petit com quand on sait le trvail que c'est pour l'auteur...
Rassure moi, tu vas pas t'arreter sur l'autre fofo hein ? Parce que là je me pends !
Gros bibs à toi !
Je poste ici, mais je suis bien plus présente sur un autre fofo et je dois dire que je suis un peu du meme avis...sans les éternelles et gentilles irréductibles qui laissent toujours un com, j'aurais laissé tomber depuis longtemps !
C'est quand meme bien la moindre des choses de laisser un petit com quand on sait le trvail que c'est pour l'auteur...
Rassure moi, tu vas pas t'arreter sur l'autre fofo hein ? Parce que là je me pends !
Gros bibs à toi !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
meme si je la suit aussi sur l'autre fofo j'aime bien dzl de ne pas avoir mis de com mais comme je l'ai deja dis sur d'autre fic j'ai eu des controles toute la semaine et pas eu l'occasion de poster des coms!!!!
c'est pour te dire que moi ou que tu sois j'y serais et n'abandone pas car moi tout comme d'autres (j'en suis sur qu'il y en a pas mal) je trouve ta fic mega geniale tu est un auteur qui a du talent!!!
et je suis d'accord avec soso( comme presque a chaque fois lol)
pour dire que c'est vrai que tu ecrit et que presque personne ne met de com sa degoute et sur se point je suis d'accord mais pense aussi que ta fic est mega bien je ne me lasse jamais de la lire !!!
voila miss ne te decourage pas tu as toujours tes FAN dont MOI sa c'est sur!!!!!
c'est pour te dire que moi ou que tu sois j'y serais et n'abandone pas car moi tout comme d'autres (j'en suis sur qu'il y en a pas mal) je trouve ta fic mega geniale tu est un auteur qui a du talent!!!
et je suis d'accord avec soso( comme presque a chaque fois lol)
pour dire que c'est vrai que tu ecrit et que presque personne ne met de com sa degoute et sur se point je suis d'accord mais pense aussi que ta fic est mega bien je ne me lasse jamais de la lire !!!
voila miss ne te decourage pas tu as toujours tes FAN dont MOI sa c'est sur!!!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Ohh bah non ...
Je sais que c'est rageant de pas avoir beaucoup de coms mais on ne peut pas toujours en mettre. JE suis moi aussi rentré dans une semaine où j'ai beaucoup de contrôle et je ne viens plus beaucoup sur le forum mais j'adore toujours autant tes fics.
Je les lis aussi sur un autre forum donc je verrais quand même les suites.
En tout cas, continue d'écrire aussi bien parce que je suis toujours après toi.
Je sais que c'est rageant de pas avoir beaucoup de coms mais on ne peut pas toujours en mettre. JE suis moi aussi rentré dans une semaine où j'ai beaucoup de contrôle et je ne viens plus beaucoup sur le forum mais j'adore toujours autant tes fics.
Je les lis aussi sur un autre forum donc je verrais quand même les suites.
En tout cas, continue d'écrire aussi bien parce que je suis toujours après toi.
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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