neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
+24
miss_sa_69
Poety
micko
dadoubloo
angel_keikoo
ion_ion
Amaria
soso_burrows
nath
LoveM-S
ponou
sara60
nestella
virginie
Sammy
collen
Astrid
valscof
Erin
kanako
chachou18
Kiara
cely06
ENNEADE
28 participants
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 6 sur 7
Page 6 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Super suite!!!!!
Elle n'a que ce qu'elle mérite Marianna
Bien fait pour elle
Mets vite la suite!!!!
Elle n'a que ce qu'elle mérite Marianna
Bien fait pour elle
Mets vite la suite!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ENNEADE a écrit:[M : elle te sort que je suis sur ta terrasse avec ta chemise et toi tu l’as croît ! J’hallucine !
W (souriant) : je ne t’ai pas parlé de la chemise Mariana !
Pauvre idiote, tu t'es fait cramé toute seule bon bon bon Went a été très ferme, très clair et sans pitié C'EST BIEN!! ça l'apprendra a cette tebé d'avoir voulut le berné , on l'a fait pas à lui et puis j'arrive pas a y croire que elle avait appelé les paparazzis pour prendre des photos de lui et elle a chacune de leur sortie elle est completement dérangé jtassure, c'était une psychopate,elle aurait peut être fait du mal a Lisa par finir ou bien elle va lui faire du mal ou bien c'est peut être elle qui a dit ce connard d'Eric de refaire son portrait a Lisa (non la je m'emballe) mais quoiqu'il en soit je suis sur qu'elle n'en a pas fini avec Lisa, quand Went s'absentera elle tentera quelque chose vu qu'elle est prête à tout pour l'avoir ...elle me choc elle a gaché une amitié de 10 ça me dégoute mais d'un côté elle me fait de la peine (oui moi même je me choc a dire ça) c'est vrai, elle le connait mieux que toutes les femmes qui sont sortit avec lui et pourtant elle n'a pas réussit ELLE a l'avoir jpense que plus le temps passait plus elle devenait accro donc du coup elle est devenu jalouse de toutes les copines de Went après tout on sait pas si elle y est pour quelque chose dans les autres ruptures (même si elle dit non) donc c'est devenu une rageuse, la pauvre quand même qui essaye de se faire pardonner mais Went ne veut rien entendre il est vraiment en colere surtout quand il lui a dit que si elle avait été un homme il lui aurait éclaté sa tronche, maintenant reste a savoir si il est prêt pardonné ckel a fait après tout faut savoir pardonné dans la vie et puis 10ans d'amitié qui partent en miette du jour au lendemain en plus pour ça je trouve ça dommage donc on verra... et puis c'est pas fini ya le compte de quelqu'un d'autre a réglé ERIC jlais pas oublier celui là, il merite la taule, mais d'abord faut lui faire la même chose qu'il a fait a Lisa JLACHE PAS L'AFFAIRE JVEUX LA CONFRONTATION AVEC LUI!! il va bien refaire surface et ce jour là !!
j'espere que t'as compris parce que j'ai la flemme de relire mon spitch!!
Merci pour cette suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
- Nombre de messages : 5178
Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ENNEADE a écrit:[M : elle te sort que je suis sur ta terrasse avec ta chemise et toi tu l’as croît ! J’hallucine !
W (souriant) : je ne t’ai pas parlé de la chemise Mariana !
Amaria a écrit:
Pauvre idiote, tu t'es fait cramé toute seule bon bon bon Went a été très ferme, très clair et sans pitié C'EST BIEN!! ça l'apprendra a cette tebé d'avoir voulut le berné , on l'a fait pas à lui et puis j'arrive pas a y croire que elle avait appelé les paparazzis pour prendre des photos de lui et elle a chacune de leur sortie elle est completement dérangé jtassure, c'était une psychopate,elle aurait peut être fait du mal a Lisa par finir ou bien elle va lui faire du mal ou bien c'est peut être elle qui a dit ce connard d'Eric de refaire son portrait a Lisa (non la je m'emballe) mais quoiqu'il en soit je suis sur qu'elle n'en a pas fini avec Lisa, quand Went s'absentera elle tentera quelque chose vu qu'elle est prête à tout pour l'avoir ...elle me choc elle a gaché une amitié de 10 ça me dégoute mais d'un côté elle me fait de la peine (oui moi même je me choc a dire ça) c'est vrai, elle le connait mieux que toutes les femmes qui sont sortit avec lui et pourtant elle n'a pas réussit ELLE a l'avoir jpense que plus le temps passait plus elle devenait accro donc du coup elle est devenu jalouse de toutes les copines de Went après tout on sait pas si elle y est pour quelque chose dans les autres ruptures (même si elle dit non) donc c'est devenu une rageuse, la pauvre quand même qui essaye de se faire pardonner mais Went ne veut rien entendre il est vraiment en colere surtout quand il lui a dit que si elle avait été un homme il lui aurait éclaté sa tronche, maintenant reste a savoir si il est prêt pardonné ckel a fait après tout faut savoir pardonné dans la vie et puis 10ans d'amitié qui partent en miette du jour au lendemain en plus pour ça je trouve ça dommage donc on verra... et puis c'est pas fini ya le compte de quelqu'un d'autre a réglé ERIC jlais pas oublier celui là, il merite la taule, mais d'abord faut lui faire la même chose qu'il a fait a Lisa JLACHE PAS L'AFFAIRE JVEUX LA CONFRONTATION AVEC LUI!! il va bien refaire surface et ce jour là !!
j'espere que t'as compris parce que j'ai la flemme de relire mon spitch!!
Merci pour cette suite
je viens de rattrapper mon retard !!!!!!! oufffff
je suis d 'accord avec toi , je lui aurai fait bouffer mon point a cette sale truite , une trainé
elle sait vendu elle meme !!!!!! cette pauvre tache
j ' en redemande encore
met la suite
enneade et contente de te relire
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
trop trop trop bien ta suite!!!!
pauvre Lisa qui avait tout préparer... c'est bien les mecs ça!!
vivement la suite!! je suis impatiente de la lire!!!!!!!!!!
pauvre Lisa qui avait tout préparer... c'est bien les mecs ça!!
vivement la suite!! je suis impatiente de la lire!!!!!!!!!!
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
J'ai enfin récupéré le net...
J'ai tout lu, c'est génial....
Encore..
La suite
J'ai tout lu, c'est génial....
Encore..
La suite
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
je vous mets la suite demain et après
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Mets nous en une longue alors
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Bon j'espère qu'elle vous plaira...
prévoyait le bain glacé pour vous rafraichir!!!
CHAP 17 :
http://www.radioblogclub.fr/open/94893/avril_lavigne/Avril%20Lavigne%20-%20Knock%20Knock%20Knockin%20on%20Heaven%27s%20Door
On passe la soirée ainsi, le CD passe en boucle. Je me sens bien. Pour la première fois depuis une éternité je me sens apaisé, serein… je crois que Lisa en est le principal secret. Je ne peux m’empêcher de la dévorer du regard ! Je me rends compte que chaque parcelle de son corps m’appelle, me réclame. L’ambiance est plus que romantique, tous les deux à moitié affalés sur le canapé, on se raconte nos vies avec simplicité. Je suis époustouflé par son passé de danseuse, ses connaissances en musique… elle décrypte chaques émotions sans problème. Mes mains progressent lentement sur ses jambes. Je me rends compte que je n’ai plus envie de parler et au fond de moi cela me surprend. Elle s’approche de moi. Elle est presque allongée sur moi, ses lèvres effleurant les miennes. Nos sourires complices s’entrechoquent ! Mes mains parcourent son dos, passent sous son t-shirt sans retenue. Je la sens fondre sur moi. Notre baiser s’approfondit, nos langues se cherchent, se trouvent, s’entrelacent… j’ai l’impression que mes tempes vont exploser tellement mon cœur bat vite.
Je me suis rarement sentie aussi bien avec un homme. C’est comme si plus rien n’existait autour de nous. J’ai rarement étais aussi entreprenante. Allongé sur son corps, mes mains passent langoureusement sous sa chemise. Mes mains frôlent à peine sa peau et je le sens tressaillir chaque fois. Ses mains qui caressent mon dos me font totalement perdre pied. C’est comme si un courant électrique venait chaque fois me choquer pour me faire prendre conscience du désir qui m’habite. Je me laisse aller totalement sur lui. Nos baisers se font de plus en plus transits, enivrants, animal… sa main dans mes cheveux me fait perdre la tête… je n’ose plus le regarder dans les yeux ! Ma main parcoure son visage, sa nuque… on se laisse envahir par le désir, je laisse échapper quelques gémissement de plaisir, des soupirs… je me sens totalement sienne. Il ne me lâche pas, ses mains se font de plus en plus appuyées, sa langue est de plus en plus provocatrice…je sens sa bouche bifurquer et prendre le chemin de mes joues, ma nuque… je m’abandonne totalement. Je n’arrive même plus à me concentrer pour lui procurer les mêmes sensations ! Je suis comme liquéfier sur place par le désir qu’il me procure…seuls quelques gémissements sourds sortent de moi, sans que je les contrôle.
Je sens son petit corps s’évanouir sous mes mains. Elle est si fragile tout d’un coup, j’aime quand elle est ainsi, qu’elle s’abandonne. J’ai comme l’impression qu’elle est un chat sauvage et qu’elle se laisse apprivoiser, qu’elle me donne l’autorisation de l’approcher. Je ne l’avais jamais tenue encore ainsi dans mes bras et je suis troublé. Je me rends compte qu’elle est minuscule, ma main enserre presque sa taille, l’autre englobe presque l’intégralité de sa tête. Je ne m’étais pas rendu compte de sa finesse. Qu’elle était plus petite que moi, c’est évident, mais là allongé sur moi, j’ai l’impression qu’elle est perdue, que je l’enveloppe totalement. Je la sens frissonner de plaisir sous l’impulsion de ma bouche sur son cou. Je n’ose presque pas descendre plus bas, comme si j’avais peur qu’elle sorte ses griffes tout d’un coup. Seulement sa main qui passe sur la proéminence de mon jean, me fait presque tourner la tête. Ma tête se penche en arrière, mes yeux se ferment… ce simple contact me fait halluciner. Une fois mon souffle repris, je reprends de plus belle l’exploration de son corps. Mes mains passent sous son débardeur et remonte doucement le long de son buste, entraînant au passage le bout de tissus. Une fois dans mes mains, je le laisse tomber par terre. Je regarde sa poitrine et je me rends compte qu’elle est tout simplement magnifique. Je n’ose plus la toucher. Elle me regarde amusée alors que je reste interdit. Elle se cambre légèrement et en profite pour défaire les quelques boutons encore fermés de ma chemise. Je ne peux m’empêcher de regarder son corps se mouvoir. Ma main sur son ventre, je me rends compte qu’il suffit seulement d’une de mes mains pour le recouvrir presque entièrement. Elle ouvre en grand ma chemise et pose sa peau si douce contre la mienne.
Je me fraye un passage langoureux sur son torse. Nos peaux se rencontrent enfin. J’ai comme l’impression qu’il frisonne sous cette sensation. Il se laisse aller. La tête projetée en arrière, ses yeux fermés, je le sens concentré, comme se délectant de cet instant. J’ondule sur son corps, laissant ma poitrine s’écraser à loisir contre sa peau. La fine dentelle de mon soutien-gorge est le dernier rempart. Mais cela à un coté encore plus sexy. Ses mains sont à peine posées sur moi, comme pour me suivre, alors que je rêve qu’elles se plaquent encore sur ma peau. Mes cheveux traînent eux aussi sur lui. Je ne me lasse pas de mettre au contact nos deux peaux, de les espacer pour mieux la redécouvrir. Je sens ses mains se plaquer dans mon dos et me retenir contre lui alors que j’allais de nouveau nous dessouder. Mes seins s’écrasent sur lui. Nos visages se font face. D’une main il englobe mon crâne pour attirer mes lèvres aux siennes alors que je sens son autre main s’immiscer entre ma peau et le tissu de mon jeans. ses doigts jouent nerveusement avec la dentelle de mon string. Je sens son souffle devenir de plus en plus court. J’essaye de reprendre la situation mais je ne peux pas, je ne peux pas résister à ses grands yeux bleus qui s’introduisent au plus profond de mon âme. Je décide alors de défaire les boutons de mon jeans, comme pour lui permettre d’aller au-delà des limites. Je sens sa main qui s’introduit entre le tissu et moi. Je tremble de tout mon être alors qu’il me serre encore plus contre lui. Il se fait de plus en plus fougueux, insatiable. C’est comme si on n’avait jamais eut ce genre de désir. Je sens mon ventre se tordre sous l’envie, cela en est presque douloureux.
Je sens le désir monter en elle. Elle se cambre à chaque mouvement de mes mains. Sa tête posée au creux de mon épaule. Je n’arrive plus à contenir le désir qui m’anime. Elle me rend fou. Sa peau si douce, cette odeur légèrement sucrée sur sa peau me grise. Lorsqu’elle marmonne mon prénom, c’est comme si elle voulait que je la délivre du supplice que je lui inflige. C’est à la foi doux et envoûtant. Je rapproche ses jambes de ma taille et retiens son corps tout contre moi alors que je me relève avec douceur. Mes lèvres n’arrivent pas à arrêter d’embrasser, mordiller son épaule. Sans un mot, ses jambes s’enserrent autour de ma taille. Tout est si simple, si parfait, si beau…
Je me sens défaillir. Ses dents qui raclent contre ma peau, sa bouche charnue qui me radouci instantanément. Je me sens si bien. Il me porte jusqu’à sa chambre. Je le vois un peu hésitant, un peu timide… pour la première fois. Il me pose délicatement sur son lit et je m’enfonce dans le moelleux de sa couette. Il reste au-dessus de moi. J’attrape ses lèvres avec vigueur. Je sens qu’il pousse vers le bas, mon jeans qui ne demandait qu’à être ôté. Mes mains se dirige vers le sien, mais la tension du tissu complique l’opération. On rigole tous les deux devant cet obstacle qui me résiste. Je le vois s’écarter de moi et l’enlever. Nos corps se retrouvent enfin, recommencent leur ballet… nos sous-vêtements volent dans la pièce sans que l’on y prête vraiment attention. alors que je m’abandonne dans ses bras, que ses lèvres explorent ma poitrine des flashs me reviennent en tête… je n’arrive pas à les rayer de mon esprit, ils se font de plus en plus violents, de plus en plus présents… j’essaye de rester concentrer sur Went mais mon esprit est totalement ailleurs.
Je la sens frémir sous mes caresses. Son corps ne réponds plus de la même manière, il tressaute, il se crispe. Je me relève et me mets face à elle. Nos regards se rencontrent et instantanément je comprends qu’il y a un problème mais quoi ? Je la regarde inquiet, mais elle évite mes yeux. Je bloque son visage avec ma main pour pouvoir la regarder et je distingue que ses yeux sont humides. Je ne comprends pas… il y a encore quelques secondes elle semblait ivre de désir et là elle est comme apeurée. Elle se jette contre moi. Ses bras m’enserrent et elle me fait presque mal. Je la sens si perdu. Si seulement je pouvais comprendre ce qui se passe. Je m’allonge sur le côté et elle reste figée contre moi. Je la serre un peu plus. Mes yeux se ferment, je soupire. Peut-être que je vais trop vite, que tout va trop vite. Je passe ma main dans ses cheveux. J’ai l’impression qu’elle essaye de me dire quelque chose mais rien ne sort. Je repense à nous, à cette soirée dans son jardin, lorsque je l’ai revue… couverte de bleu. Je réalise soudain que ce soir là son chemisier était déchiré, elle sortait de sa chambre… mais qu’est-ce que je suis bête ! Ce détraqué a abusé d’elle, il l’a… je la serre un peu plus contre moi. Je me sens mal, tout d’un coup. Je n’avais jamais pensé que ceci pouvait lui être arrivé, on en a jamais parlé. Elle relève enfin la tête et j’essaye de lui sourire. Je la vois plus fragile que jamais. Mais je vois aussi une telle détermination dans ses yeux.
W (passant sa main sur son visage) : je suis désolé. On prendra tout notre temps.
L (se mordillant les lèvres) : je m’en veux, j’aurais du lui résister.
W (la serrant fort contre lui) : tu plaisantes, tu es une demi-portion ! Mais je te promets qu’il ne s’approchera plus de toi.
L (dans un soupirs) : j’en ai envie.
W : on a le temps.
L (relevant la tête pour plonger son regard dans les sien) : je ne veux pas qu’il gagne… je ne le laisserai pas gâcher ce qu’il y a entre nous.
W : je ne veux pas que tu te forces, cela …
Je ne le laisse pas finir sa phrase et je m’empare de ses lèvres. Mes mains se baladent de nouveau sur son corps et je le sens se retenir. Je le retourne et il se laisse faire. Je me retrouve assise sur lui et je prends ses mains dans les siennes. Je le guide. Son regard est indécis, timide. Mais le mien est déterminé. J’ai envie de cet homme. J’ai envie de ressentir ce que j’ai ressenti quelques minutes plus tôt. Je sens que je pourrais tout surmonter avec lui, tous mes fantômes, tous mes démons. Mes mains le guident toujours et je le sens reprendre confiance. Mais son regard coquin m’incite à continuer à le guider. Il n’en faut pas plus pour que le désir se réveille, avec les mêmes papillons dans le corps. Je le laisse et concentre mes mains sur lui. Il se fait doux, tendre, délicat. J’entr’aperçois son regard mutin mais il me laisse aller à mon rythme. Seulement je me rends compte que mon attirance reprends de plus belle. J’ondule sur lui comme pour lui signifier d’aller au stade supérieur mais il ne fait rien. Allongée sur lui, je lui susurre à l’oreille.
L (haletante) : t’as des capotes ?
W (dans un murmure) : dans le tiroir du chevet.
L : ok.
W (surpris) : maintenant ?
L : tu ne…
Je lui pose mon index sur les lèvres pour qu’elle ne dise pas un mot de plus. Elle serait capable de m’engueuler. Je fais un demi-tour dans le lit. Dans ma précipitation je déverse la boîte dans le lit. Elle me regarde amusé et je hausse les épaules devant ce constat. Je la contemple. Allongée sous moi, elle est si désirable. Je la prends dans mes bras, je la serre fort contre moi. J’entre doucement en elle, je bouge à peine. Elle ondule légèrement. Nos regards se trouvent et restent figés. Je veille tous signes, je la laisse faire en faite. Mais je la sens partir, frémir sous cette douce sensation qui nous submerge. Mes mains parcourent langoureusement ces courbes. Nos mouvements s’accordent vite et on se laisse bercer par nos inspirations. Je me sens bien. On prend tout notre temps. Le plaisir se décuple à chaque instant. Elle m’incite à m’abandonner un peu plus.
Je le sens hésitant. Mais il est si tendre et doux. Je n’ai jamais ressenti quelques chose de semblable avec un autre. C’est comme s’il devinait mes envies, mes attentes. On n’arrive pas à ne pas se toucher, s’embrasser… on enfoui nos gémissements dans nos baisers. Je me sens heureuse, aimée… je le sens plus vif, plus ardent alors que je suis au bord du précipice. Nos corps ne se contrôlent plus. Ils ne cherchent qu’à atteindre ce plaisir auquel ils aspirent. Mon prénom dans sa bouche paraît si sensuel. C’est comme une invitation. On ne maîtrise plus rien. On se laisse envahir par cette chaleur à la fois douce, brûlante, qui nous irradient toute la colonne, qui nous tétanise le corps… qui nous fait accélérer le cœur au point qu’on a l’impression qu’il va exploser, qui nous fait arrêter de respirer !
Il s’allonge tous contre moi et me prend immédiatement dans ses bras. Il a un sourire sur le visage que je ne lui connais pas. Il a l’air si serein. J’aimerai juste avoir la même expression sur mon visage, qui sait… Je ne peux m’empêcher de passer mes mains sur son visage, sur son torse et il n’arrête pas de rigoler.
L : je te chatouille ?
W (souriant) : un peu.
L (arrêtant de bouger) : désolé.
W : continue, j’aime bien.
L : Wentworth, je n’ai jamais…
W (posant son index sur ses lèvres) : chut, moi non plus.
L (hésitante) : c’est toujours ainsi avec toi !
W (joyeux): du moment où c’est avec toi que je joue !
L (se blottissant un peu plus contre lui) : je suis contente que l’on est continué.
W : je suis bien obligé de te dire que moi aussi. Mais …
L (l’imitant avec son index) : chut, tu as été parfait !
W (passant ses mains dans son dos) : merci mais sans toi je n’y serais pas arrivé !
L : on fait une bonne équipe, alors !
W (satisfait) : mouai !
L (l’embrassant) : une équipe que j’aime en tout cas !
W (retirant ses cheveux de son visage) : pas autant que moi ! Ta cheville ça va ?
L : j’ai le meilleur des infirmiers pour me soigner et il a traitement expérimental très efficace !
W (coquin) : ah bon ! Il te faudrait peut-être un traitement régulier ?
L (se mettant sur lui) : et abondant !
Leurs corps se frôlent de nouveau, leurs mains se baladent inlassablement sur leurs corps encore en sueurs. Ils sont attirés comme des aimants. Leurs corps se découvrent et se cherchent sans cesse.
prévoyait le bain glacé pour vous rafraichir!!!
CHAP 17 :
http://www.radioblogclub.fr/open/94893/avril_lavigne/Avril%20Lavigne%20-%20Knock%20Knock%20Knockin%20on%20Heaven%27s%20Door
On passe la soirée ainsi, le CD passe en boucle. Je me sens bien. Pour la première fois depuis une éternité je me sens apaisé, serein… je crois que Lisa en est le principal secret. Je ne peux m’empêcher de la dévorer du regard ! Je me rends compte que chaque parcelle de son corps m’appelle, me réclame. L’ambiance est plus que romantique, tous les deux à moitié affalés sur le canapé, on se raconte nos vies avec simplicité. Je suis époustouflé par son passé de danseuse, ses connaissances en musique… elle décrypte chaques émotions sans problème. Mes mains progressent lentement sur ses jambes. Je me rends compte que je n’ai plus envie de parler et au fond de moi cela me surprend. Elle s’approche de moi. Elle est presque allongée sur moi, ses lèvres effleurant les miennes. Nos sourires complices s’entrechoquent ! Mes mains parcourent son dos, passent sous son t-shirt sans retenue. Je la sens fondre sur moi. Notre baiser s’approfondit, nos langues se cherchent, se trouvent, s’entrelacent… j’ai l’impression que mes tempes vont exploser tellement mon cœur bat vite.
Je me suis rarement sentie aussi bien avec un homme. C’est comme si plus rien n’existait autour de nous. J’ai rarement étais aussi entreprenante. Allongé sur son corps, mes mains passent langoureusement sous sa chemise. Mes mains frôlent à peine sa peau et je le sens tressaillir chaque fois. Ses mains qui caressent mon dos me font totalement perdre pied. C’est comme si un courant électrique venait chaque fois me choquer pour me faire prendre conscience du désir qui m’habite. Je me laisse aller totalement sur lui. Nos baisers se font de plus en plus transits, enivrants, animal… sa main dans mes cheveux me fait perdre la tête… je n’ose plus le regarder dans les yeux ! Ma main parcoure son visage, sa nuque… on se laisse envahir par le désir, je laisse échapper quelques gémissement de plaisir, des soupirs… je me sens totalement sienne. Il ne me lâche pas, ses mains se font de plus en plus appuyées, sa langue est de plus en plus provocatrice…je sens sa bouche bifurquer et prendre le chemin de mes joues, ma nuque… je m’abandonne totalement. Je n’arrive même plus à me concentrer pour lui procurer les mêmes sensations ! Je suis comme liquéfier sur place par le désir qu’il me procure…seuls quelques gémissements sourds sortent de moi, sans que je les contrôle.
Je sens son petit corps s’évanouir sous mes mains. Elle est si fragile tout d’un coup, j’aime quand elle est ainsi, qu’elle s’abandonne. J’ai comme l’impression qu’elle est un chat sauvage et qu’elle se laisse apprivoiser, qu’elle me donne l’autorisation de l’approcher. Je ne l’avais jamais tenue encore ainsi dans mes bras et je suis troublé. Je me rends compte qu’elle est minuscule, ma main enserre presque sa taille, l’autre englobe presque l’intégralité de sa tête. Je ne m’étais pas rendu compte de sa finesse. Qu’elle était plus petite que moi, c’est évident, mais là allongé sur moi, j’ai l’impression qu’elle est perdue, que je l’enveloppe totalement. Je la sens frissonner de plaisir sous l’impulsion de ma bouche sur son cou. Je n’ose presque pas descendre plus bas, comme si j’avais peur qu’elle sorte ses griffes tout d’un coup. Seulement sa main qui passe sur la proéminence de mon jean, me fait presque tourner la tête. Ma tête se penche en arrière, mes yeux se ferment… ce simple contact me fait halluciner. Une fois mon souffle repris, je reprends de plus belle l’exploration de son corps. Mes mains passent sous son débardeur et remonte doucement le long de son buste, entraînant au passage le bout de tissus. Une fois dans mes mains, je le laisse tomber par terre. Je regarde sa poitrine et je me rends compte qu’elle est tout simplement magnifique. Je n’ose plus la toucher. Elle me regarde amusée alors que je reste interdit. Elle se cambre légèrement et en profite pour défaire les quelques boutons encore fermés de ma chemise. Je ne peux m’empêcher de regarder son corps se mouvoir. Ma main sur son ventre, je me rends compte qu’il suffit seulement d’une de mes mains pour le recouvrir presque entièrement. Elle ouvre en grand ma chemise et pose sa peau si douce contre la mienne.
Je me fraye un passage langoureux sur son torse. Nos peaux se rencontrent enfin. J’ai comme l’impression qu’il frisonne sous cette sensation. Il se laisse aller. La tête projetée en arrière, ses yeux fermés, je le sens concentré, comme se délectant de cet instant. J’ondule sur son corps, laissant ma poitrine s’écraser à loisir contre sa peau. La fine dentelle de mon soutien-gorge est le dernier rempart. Mais cela à un coté encore plus sexy. Ses mains sont à peine posées sur moi, comme pour me suivre, alors que je rêve qu’elles se plaquent encore sur ma peau. Mes cheveux traînent eux aussi sur lui. Je ne me lasse pas de mettre au contact nos deux peaux, de les espacer pour mieux la redécouvrir. Je sens ses mains se plaquer dans mon dos et me retenir contre lui alors que j’allais de nouveau nous dessouder. Mes seins s’écrasent sur lui. Nos visages se font face. D’une main il englobe mon crâne pour attirer mes lèvres aux siennes alors que je sens son autre main s’immiscer entre ma peau et le tissu de mon jeans. ses doigts jouent nerveusement avec la dentelle de mon string. Je sens son souffle devenir de plus en plus court. J’essaye de reprendre la situation mais je ne peux pas, je ne peux pas résister à ses grands yeux bleus qui s’introduisent au plus profond de mon âme. Je décide alors de défaire les boutons de mon jeans, comme pour lui permettre d’aller au-delà des limites. Je sens sa main qui s’introduit entre le tissu et moi. Je tremble de tout mon être alors qu’il me serre encore plus contre lui. Il se fait de plus en plus fougueux, insatiable. C’est comme si on n’avait jamais eut ce genre de désir. Je sens mon ventre se tordre sous l’envie, cela en est presque douloureux.
Je sens le désir monter en elle. Elle se cambre à chaque mouvement de mes mains. Sa tête posée au creux de mon épaule. Je n’arrive plus à contenir le désir qui m’anime. Elle me rend fou. Sa peau si douce, cette odeur légèrement sucrée sur sa peau me grise. Lorsqu’elle marmonne mon prénom, c’est comme si elle voulait que je la délivre du supplice que je lui inflige. C’est à la foi doux et envoûtant. Je rapproche ses jambes de ma taille et retiens son corps tout contre moi alors que je me relève avec douceur. Mes lèvres n’arrivent pas à arrêter d’embrasser, mordiller son épaule. Sans un mot, ses jambes s’enserrent autour de ma taille. Tout est si simple, si parfait, si beau…
Je me sens défaillir. Ses dents qui raclent contre ma peau, sa bouche charnue qui me radouci instantanément. Je me sens si bien. Il me porte jusqu’à sa chambre. Je le vois un peu hésitant, un peu timide… pour la première fois. Il me pose délicatement sur son lit et je m’enfonce dans le moelleux de sa couette. Il reste au-dessus de moi. J’attrape ses lèvres avec vigueur. Je sens qu’il pousse vers le bas, mon jeans qui ne demandait qu’à être ôté. Mes mains se dirige vers le sien, mais la tension du tissu complique l’opération. On rigole tous les deux devant cet obstacle qui me résiste. Je le vois s’écarter de moi et l’enlever. Nos corps se retrouvent enfin, recommencent leur ballet… nos sous-vêtements volent dans la pièce sans que l’on y prête vraiment attention. alors que je m’abandonne dans ses bras, que ses lèvres explorent ma poitrine des flashs me reviennent en tête… je n’arrive pas à les rayer de mon esprit, ils se font de plus en plus violents, de plus en plus présents… j’essaye de rester concentrer sur Went mais mon esprit est totalement ailleurs.
Je la sens frémir sous mes caresses. Son corps ne réponds plus de la même manière, il tressaute, il se crispe. Je me relève et me mets face à elle. Nos regards se rencontrent et instantanément je comprends qu’il y a un problème mais quoi ? Je la regarde inquiet, mais elle évite mes yeux. Je bloque son visage avec ma main pour pouvoir la regarder et je distingue que ses yeux sont humides. Je ne comprends pas… il y a encore quelques secondes elle semblait ivre de désir et là elle est comme apeurée. Elle se jette contre moi. Ses bras m’enserrent et elle me fait presque mal. Je la sens si perdu. Si seulement je pouvais comprendre ce qui se passe. Je m’allonge sur le côté et elle reste figée contre moi. Je la serre un peu plus. Mes yeux se ferment, je soupire. Peut-être que je vais trop vite, que tout va trop vite. Je passe ma main dans ses cheveux. J’ai l’impression qu’elle essaye de me dire quelque chose mais rien ne sort. Je repense à nous, à cette soirée dans son jardin, lorsque je l’ai revue… couverte de bleu. Je réalise soudain que ce soir là son chemisier était déchiré, elle sortait de sa chambre… mais qu’est-ce que je suis bête ! Ce détraqué a abusé d’elle, il l’a… je la serre un peu plus contre moi. Je me sens mal, tout d’un coup. Je n’avais jamais pensé que ceci pouvait lui être arrivé, on en a jamais parlé. Elle relève enfin la tête et j’essaye de lui sourire. Je la vois plus fragile que jamais. Mais je vois aussi une telle détermination dans ses yeux.
W (passant sa main sur son visage) : je suis désolé. On prendra tout notre temps.
L (se mordillant les lèvres) : je m’en veux, j’aurais du lui résister.
W (la serrant fort contre lui) : tu plaisantes, tu es une demi-portion ! Mais je te promets qu’il ne s’approchera plus de toi.
L (dans un soupirs) : j’en ai envie.
W : on a le temps.
L (relevant la tête pour plonger son regard dans les sien) : je ne veux pas qu’il gagne… je ne le laisserai pas gâcher ce qu’il y a entre nous.
W : je ne veux pas que tu te forces, cela …
Je ne le laisse pas finir sa phrase et je m’empare de ses lèvres. Mes mains se baladent de nouveau sur son corps et je le sens se retenir. Je le retourne et il se laisse faire. Je me retrouve assise sur lui et je prends ses mains dans les siennes. Je le guide. Son regard est indécis, timide. Mais le mien est déterminé. J’ai envie de cet homme. J’ai envie de ressentir ce que j’ai ressenti quelques minutes plus tôt. Je sens que je pourrais tout surmonter avec lui, tous mes fantômes, tous mes démons. Mes mains le guident toujours et je le sens reprendre confiance. Mais son regard coquin m’incite à continuer à le guider. Il n’en faut pas plus pour que le désir se réveille, avec les mêmes papillons dans le corps. Je le laisse et concentre mes mains sur lui. Il se fait doux, tendre, délicat. J’entr’aperçois son regard mutin mais il me laisse aller à mon rythme. Seulement je me rends compte que mon attirance reprends de plus belle. J’ondule sur lui comme pour lui signifier d’aller au stade supérieur mais il ne fait rien. Allongée sur lui, je lui susurre à l’oreille.
L (haletante) : t’as des capotes ?
W (dans un murmure) : dans le tiroir du chevet.
L : ok.
W (surpris) : maintenant ?
L : tu ne…
Je lui pose mon index sur les lèvres pour qu’elle ne dise pas un mot de plus. Elle serait capable de m’engueuler. Je fais un demi-tour dans le lit. Dans ma précipitation je déverse la boîte dans le lit. Elle me regarde amusé et je hausse les épaules devant ce constat. Je la contemple. Allongée sous moi, elle est si désirable. Je la prends dans mes bras, je la serre fort contre moi. J’entre doucement en elle, je bouge à peine. Elle ondule légèrement. Nos regards se trouvent et restent figés. Je veille tous signes, je la laisse faire en faite. Mais je la sens partir, frémir sous cette douce sensation qui nous submerge. Mes mains parcourent langoureusement ces courbes. Nos mouvements s’accordent vite et on se laisse bercer par nos inspirations. Je me sens bien. On prend tout notre temps. Le plaisir se décuple à chaque instant. Elle m’incite à m’abandonner un peu plus.
Je le sens hésitant. Mais il est si tendre et doux. Je n’ai jamais ressenti quelques chose de semblable avec un autre. C’est comme s’il devinait mes envies, mes attentes. On n’arrive pas à ne pas se toucher, s’embrasser… on enfoui nos gémissements dans nos baisers. Je me sens heureuse, aimée… je le sens plus vif, plus ardent alors que je suis au bord du précipice. Nos corps ne se contrôlent plus. Ils ne cherchent qu’à atteindre ce plaisir auquel ils aspirent. Mon prénom dans sa bouche paraît si sensuel. C’est comme une invitation. On ne maîtrise plus rien. On se laisse envahir par cette chaleur à la fois douce, brûlante, qui nous irradient toute la colonne, qui nous tétanise le corps… qui nous fait accélérer le cœur au point qu’on a l’impression qu’il va exploser, qui nous fait arrêter de respirer !
Il s’allonge tous contre moi et me prend immédiatement dans ses bras. Il a un sourire sur le visage que je ne lui connais pas. Il a l’air si serein. J’aimerai juste avoir la même expression sur mon visage, qui sait… Je ne peux m’empêcher de passer mes mains sur son visage, sur son torse et il n’arrête pas de rigoler.
L : je te chatouille ?
W (souriant) : un peu.
L (arrêtant de bouger) : désolé.
W : continue, j’aime bien.
L : Wentworth, je n’ai jamais…
W (posant son index sur ses lèvres) : chut, moi non plus.
L (hésitante) : c’est toujours ainsi avec toi !
W (joyeux): du moment où c’est avec toi que je joue !
L (se blottissant un peu plus contre lui) : je suis contente que l’on est continué.
W : je suis bien obligé de te dire que moi aussi. Mais …
L (l’imitant avec son index) : chut, tu as été parfait !
W (passant ses mains dans son dos) : merci mais sans toi je n’y serais pas arrivé !
L : on fait une bonne équipe, alors !
W (satisfait) : mouai !
L (l’embrassant) : une équipe que j’aime en tout cas !
W (retirant ses cheveux de son visage) : pas autant que moi ! Ta cheville ça va ?
L : j’ai le meilleur des infirmiers pour me soigner et il a traitement expérimental très efficace !
W (coquin) : ah bon ! Il te faudrait peut-être un traitement régulier ?
L (se mettant sur lui) : et abondant !
Leurs corps se frôlent de nouveau, leurs mains se baladent inlassablement sur leurs corps encore en sueurs. Ils sont attirés comme des aimants. Leurs corps se découvrent et se cherchent sans cesse.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
magnifique , parfait enneade !!!!!
:tucartonnes: et merci enneade trop bien
c 'est tres chaud !!!!!!! whaiii la douche
j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
:tucartonnes: et merci enneade trop bien
c 'est tres chaud !!!!!!! whaiii la douche
j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
T'as raison un bon bain bien glacé ne me fera pas de mal je pense
C'est vraiment triste ce qui est arrivé à Lisa
Mets vite la suite!!!!!!!!!
C'est vraiment triste ce qui est arrivé à Lisa
Mets vite la suite!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
et voilà nos deux compaires sont ensembles, tranquilles... tout va bien!!
merci à vous toutes pour vos comms.... au début cette fic devait juste être un petit délires mais vous l'avait fait grandir bien plus vite que je ne l'aurais espérer!!
vu qu'ils ont mis du temps avant de se trouver... j'ai fait LA partie!!! en espérant que vos joues ne soient pas trop rougies
encore un gros merci pour vos comms sans eux... je ne serais pas là.... à chaque fois je les attends avec impatience!! c'est ma drogue
bon maintenant je vous dis au 3 septembre pour la nouvelle saison de neighbors...
je vous promets que je serai là avec du suspens, de la trahison, l'angoisse et du S**
merci à vous toutes pour vos comms.... au début cette fic devait juste être un petit délires mais vous l'avait fait grandir bien plus vite que je ne l'aurais espérer!!
vu qu'ils ont mis du temps avant de se trouver... j'ai fait LA partie!!! en espérant que vos joues ne soient pas trop rougies
encore un gros merci pour vos comms sans eux... je ne serais pas là.... à chaque fois je les attends avec impatience!! c'est ma drogue
bon maintenant je vous dis au 3 septembre pour la nouvelle saison de neighbors...
je vous promets que je serai là avec du suspens, de la trahison, l'angoisse et du S**
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Tu vois, je viens de rattraper mon retard de ma deuxième fic et je suis
encore, je me languie la suite ...
encore, je me languie la suite ...
Erin- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 99
Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Tu me donne toujours ausssi chaud ma chérie (a croire.... ) viiivement la suiiite tu cartonne
miss_sa_69- De retour à Chicago
- Nombre de messages : 2190
Age : 34
Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Nous sommes le 4 septembre !!!!
M'aurais-tu oublier, car je peux t'assurer que moi, je ne t'ai pas oublié !!!
Une suite
M'aurais-tu oublier, car je peux t'assurer que moi, je ne t'ai pas oublié !!!
Une suite
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
la suite !!
je suis impatiente !!!
je suis impatiente !!!
micko- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1073
Localisation : dans la loge de Mr Miller
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
bon je bloque un peu donc voilà... j'espère que vous ne serez pas trop déçu... la suite sera mieux
CHAP 18 :
Je me réveille et me blotti dans la couette. Mes mains le cherchent mais personne. Je me lève d’un bon et me rends compte que je suis toute seule. J’espère que c’est pour me préparer le petit-déjeuner. Ma tête tombe lourdement dans l’oreiller. Je n’ai pas envie de me lever, de quitter ce lit, ses draps, cette chambre… je me remémore la tendresse de cette nuit et je sens mes joues cramoisies alors que je souris comme une bécasse. Je tourne et me retourne dans ce lit, trop grand à mon goût, afin de m’enivrer de son odeur. J’entends alors des bruits provenant de l’extérieur. Je me relève, la tête dans le cirage. Je passe sur moi, une chemise de Went qui traîne par terre. Je ne me sens pas encore trop réveillée, mes yeux ont du mal à s’ouvrir, j’ai l’impression d’avoir une haleine de dragon ! Je sors de la chambre et me dirige vers les paroles qui viennent à mes oreilles. Je ne comprends pas trop, je distingue une voix de femme… mon sang ne fait qu’un tour. J’accélère le pas et le retrouve dans mon champ de vision. Il est là à boire le café avec une femme. Elle semble proche, trop proche de lui ! Je me fige et le scrute, le dissèque… elle lui prend la main, leurs regards sont tendres !! Fallait me dire qu’il préférait les vieilles ! Elle me remarque et esquisse un petit sourire. En plus elle se fout de ma gueule ! Il regarde du coup dans ma direction. Il me sourit ce bêta, tu vas voir, il va vite disparaître ! Il s’avance vers moi, je ne bouge pas. Son regard est malicieux. L’un en face de l’autre, je ne desserre pas les dents. Nos doigts se trouvent. Les mains le long de nos corps, on reste ainsi. Il me regarde avec étonnement alors qu’il voit mes yeux noirs. Il sourit, je déteste, il est si sur de lui… je le déteste quand il est ainsi.
W (lui déposant un baiser sur le front) : salut !
L (furibonde) : je ne te…
W (lui posant son index sur les lèvres et souriant) : Chut ! Lisa… (Se décalant sur le côté) Lisa ma mère, maman je te présente Lisa.
L (ne sachant plus où se mettre) : bonjour.
Roxane : enchantée.
W : on ne t’a pas réveillé au moins ?
L (triturant sa chemise) : non, je… je vais m’habiller.
Je la regarde partir amuser. Je crois bien qu’elle s’est fait des films. Je me demande comment elle fait pour être aussi peu sûr d’elle. Elle part presque en courant dans la chambre. Je remarque au moins que sa cheville va mieux. Je vais pour me rasseoir lorsque je croise le regard amusé de ma mère.
R (gênée) : tu aurais du me dire, je ne serai pas resté.
W : eh ! Il n’y a pas de problème.
R : ça fait longtemps ?
W (grand sourire) : hier.
R : Went ce n’est pas avec des aventures d’un soir que…
W : stop. Ça fait deux semaines que l’on vit ensemble.
R (manquant de s’étouffer) : quoi ?
W : elle avait une cheville cassée donc elle est venue à la maison et hier on a discuté de choses et on est ensemble. Tu ne sauras rien de plus !
R (intriguée) : c’est sérieux ?
W : maman !
R (amusée) : si cela ne l’était pas elle ne serait pas là, ou bien tu m’aurais dit que l’on se rejoignait plus tard !
W : perspicace !
R (inquiète) : mon chéri, ne le prends pas mal… elle a l’air très bien mais le fait que tu sois reconnu ne l’attire pas ?
W : non ne t’inquiète pas.
R : cela me fait du souci, je ne veux pas que tu souffres !
W : si je te dis que les premières fois où l’on s’est vu, on a failli s’étriper, ça te rassure ?
R : elle… t’a tenu tête ! Mais…
W : Elle a un sale caractère et on avait pas mal d’aprioris tous les deux… mais elle a l’avantage de me remettre en place et vite fait !
R : on ne dirait pas… elle semble si fragile !
W : il ne faut jamais se fier aux apparences !
Je reviens habillé le plus simple du monde, comme d’habitude quoi. Un jean, un débardeur. Je les retrouve en pleine conversation toujours sur le bar de la cuisine. Went me tend automatiquement mon café. Je souris devant son attention.
L (timidement) : Merci. Je vais travailler un peu.
W (lui prenant la main) : tu peux rester.
L : non, je ne veux pas vous déranger et puis il faut que j’appelle mon chef pour voir où on en est !
W : comme tu veux !
L (effleurant la commissure de ses lèvres) : à tout à l’heure.
Je m’enferme dans son bureau, mon mug à la main. Je ne cesse de dessiner. Pour la première fois depuis des jours j’ai l’impression de faire des choses bien, belles… enfin !
Les journées passent et on habite à moitié chez lui, à moitié chez moi. C’est si simple. Je me rends compte que tout est facile avec lui. On n’arrête pas de si disputer pour savoir où on mange, où on dort mais en fait, je crois que cela nous amuse. Et puis même si cette vie ensemble nous ravi, on se rend compte tous les deux que l’on a besoin de notre indépendance. On a vécu trop longtemps seul, aussi bien lui que moi, pour pouvoir être en permanence ensemble. On n’a pas envie de se jeter dans la gueule du loup. On n’a pas envie de prendre de risque, pas envie que notre histoire se consume tel un feu de paille. Les plus étonnés de cette situation sont Fred et Amaury qui ne comprennent pas trop ! Mais ils arrivent toujours à nous trouver !
Ce soir on a rendez-vous avec Fred à son studio de danse. Il veut absolument me montrer la chorégraphie qu’il vient de mettre au point pour le nouveau clip de Ciara, «like a boy ». Went et Amaury qui doivent faire de photos promo dans un studio tout proche vont me rejoindre. J’arrive et j’ai presque un pincement au cœur avant de rentrer. Je me sens si fière de lui. Il réalise son rêve. Notre vie en France me revient instantanément en mémoire. Je me surprends à calculer. Depuis combien de temps on se connaît… cela doit faire presque quinze ans ! C’était lorsque je suis rentré au ballet de l’opéra. Cela fait si longtemps. On était tous les deux, les deux grands espoirs. On a tout partagé ensemble, la souffrance, les entraînements tard dans la nuit ou tôt le matin, l’ovation de la foule… c’était un autre monde ! Il a quitté la France deux ans avant moi, pour venir ici ! Réaliser son rêve ! Je l’ai suivi car je ne savais pas vraiment où aller, il est ma famille !
Je rentre dans la salle et la musique à fond me transcende. Je le regarde émerveillé. Il danse si bien, il est si pro… j’ai toujours trouvé qu’à haut niveau, les mecs étaient supérieurs aux filles en danse. Ils sont beaucoup plus perfectionnistes. Lui peut passer des heures à peaufiner la position d’un doigt alors qu’une nana le ferait à l’instinct et ça irait bien ! Je reste dans mon coin. J’observe, avec un brin de nostalgie mais tellement de fierté. Tout d’un coup je sens un souffle chaud dans mon cou. Went me serre tout contre lui.
W (à l’oreille) : ça va ?
L : oui.
A : c’est hallucinant !
L : ah bon !
A : purée, t’as vu comme ils dansent !
W : on en est loin !
L : ça s’apprend.
La musique s’arrête. Fred décrète une pause. Il nous fait signe de nous rapprocher. Une odeur me touche les narines. Pour certain c’est juste un mélange d’effluves corporels, pour moi cela représente le travail, la rigueur de l’exercice. Je me rends compte que cette odeur m’avait manqué.
F (stressé) : je suis content que vous ayez pu venir. Mais on a pris du retard, je ne sais pas si on va pouvoir manger ensemble !
A : merde, Jess, Sarah et Josh doivent nous rejoindre.
L (boudant) : c’est comme d’hab., avec toi !
F (la prenant par les épaules): viens là, toi !
Ciara : excusez-moi. Mais si tu veux, on peut reprendre demain !
F : non. Au fait Ciara je te présente Lisa, Went, Amaury.
C (timide) : vous… vous êtes Lisa-lou Mirabilis ! Je suis enchantée de vous rencontrer. Fred tu aurais pu me prévenir.
F : pourquoi tu connais cette tête de mule !
C (admiratrice) : si… je vous aie vu à l’opéra de Paris, dans le Lac des Cygnes… vous étiez fantastique.
L (gênée) : merci.
C : on continue alors Fred ? Bon, j’y retourne. J’espère que l’on pourra se revoir.
L : moi aussi.
W (amusé) : eh ! Je ne pensais pas être en si bonne compagnie !
L (lui tapant dans l’épaule) : arrête !
W : tu me caches d’autres choses ?
F (hésitant) : Lisa tu peux danser ou pas ?
L : j’ai vu le médecin ce matin et il m’a donné son feu vert, mais je dois y aller mollo !
F (épuisé) : j’aimerai que tu leur montres deux, trois pas… car je n’en peut plus d’expliquer… j’ai l’impression que cela ne rentre pas !
L : je n’ai rien à me mettre !
F : ton vestiaire est toujours là… avec toutes tes affaires !
L : ça ne te dérange pas Went ?
W : non, mais pas de folie.
L : promis !
Elle revient sur l’estrade. Elle est dans un coin elle s’échauffe. Fred nous explique qu’elle en a au moins pour une demi-heure juste pour pouvoir danser. Il la connaît presque par cœur. Il nous explique que si elle fait moins, elle risque de se faire mal. Alors que les autres filles sont allongées par terre, elle met du classique et commence ses exercices. Elle semble encore plus belle. Je comprends alors d’où viens sa grâce. On dirait les poupées qui sont dans les boîtes à musique. Je la regarde admiratif. Tout lui semble si facile. On n'a pas l’impression que c’est un effort pour elle. Les autres filles la fixent avec un regard étrange. Certaines l’admirent, d’autres sont plus méprisantes. J’entends les murmures qui arrivent à mes oreilles. Je n’en revient pas, toutes la connaissent. Pour une fois, on ne me voit pas. Par contre elle est au centre de toutes les conversations.
W (curieux) : Fred, tu peux m’expliquer ?
F : quoi ?
W : j’ai l’impression qu’ici tout le monde la connaît ?
F (riant) : elle n’a pas du t’en parler. Mais Lisa a était l’une des meilleures danseuses. Dans le milieu c’était devenu une référence. Comment te dire, Lisa est à la base une danseuse de classique mais en fait, elle peut tout danser et presque à la perfection. Tu lui montres et elle reproduit. C’est fascinant.
W : elle m’a dit que sa carrière s’est arrêtée après être tombé dans le coma pendant deux jours avant un examen à l’opéra de Paris.
F (étonné) : je suis surpris qu’elle te l’ai dit. Peu de gens le savent !
W : oui mais j’ai l’impression qu’elle a oubliée de me parler de tout le reste.
F : elle allait devenir étoile. C’était qu’une question de temps. En même temps, elle a tourné pour des clips, intégrée des troupes de danse moderne… elle aurait pu faire ce qu’elle voulait. Tout le monde se l’arracher.
W : et il y a eut son séjour à l’hôpital !
F : non, cela à compromis ces chances à l’opéra mais pas pour le reste. Elle a arrêté du jour au lendemain, elle voulait faire autre chose. D’un côté, elle a bien fait. Car sinon, c’est troubles auraient continuer. Mais elle est si douée !
W : je croyais qu’elle c’était blessée, qu’elle n’avait plus les capacités pour danser et qu’elle s’était reconvertie !
F : je ne sais pas les vrais raisons. Et si j’étais toi je ne les chercherais pas. Elle se braque dès qu’on aborde le sujet.
W : merci du conseil.
F : bon, vaut mieux que j’y retourne.
Fred lui explique la chorégraphie. Avec Amaury on reste assis dans un coin. Elle défait ses chaussons et enfile des baskets. Je suis surpris de la manière dont elle change d’attitude. On dirait une comédienne. Elle prend la place principale et Ciara la regarde méticuleusement. Je suis abasourdi. Je la vois danser et tout prend une autre dimension. Alors qu’elle est toute petite, elle a un charisme de dingue. Elle insuffle une énergie folle. C’est comme un moteur. Je ne sais plus combien de fois j’ai vu cette chorégraphie. Je n’arrive pas à m'en lasser du moment que c’est elle. Fred est enfin satisfait du travail.
Je suis exténué mais si contente. Cela m’a fait un bien fou de danser pour Fred. Je me suis amusée comme une folle. Je m’étire tranquillement quand une danseuse vient me voir. Elle à l’air de ne pas savoir par ou commencer. Je me demande bien ce qu’elle veut !
L : oui ?
Danseuse (hésitante) : excusez-moi mais … je me demandais si… enfin voilà, je passe la semaine prochaine le concours pour rentrer dans le ballet classique de San Francisco et je me demandais si vous … ça m’aiderai de vous voir danser sur l’exercice imposé !
L (se levant) : c’est quoi ?
Danseuse : Casse-noisettes de Tchaïkovski.
L (souriante) : mon préféré. Quelle variation ?
Danseuse (n’y croyant pas) : la seconde. Vous…
L : une fois, alors regarde bien.
Elle me tend le CD. Je me dirige vers la chaîne hi-fi. Je sais que je ne devrais pas, mais je ne peux pas refuser. Je mets mes pointes. Cela fait un mal de chien ! ça fait au moins deux ans, que je ne les avais pas mises ! Je me mets au centre de la scène, face à elle. Elle me scrute comme je le faisais des années auparavant. J’inspire un grand coup et la première note retentit.
Je me retourne étant donné le regard ahuri de Fred. Elle est là au milieu, seule. Des notes de classique résonnent dans la salle. Je suis surpris par sa prestance. Elle ne bouge pas, pas encore mais rempli l’espace. Sur ces pointes, elle est immobile. Comme si elle attendait le feu vert ! Elle est si concentrée, si stoïque. Elle qui est si impulsive, qui court toujours dans tous les sens… on dirait son opposé. Je reconnais immédiatement Tchaïkovski, Casse-noisettes. Je regarde Fred et Amaury et constate que l’on est tous les trois aussi surpris. Fred esquisse un sourire étrange.
F (tout fier) : Messieurs, préparez-vous à recevoir la claque de votre vie !
Elle bouge enfin et je suis conquis. C’est magique. Elle vole presque dans les airs. Elle est si belle, si fragile… mon cerveau n’arrive plus à analyser. Elle est tout simplement sublime. Je la regarde religieusement. Elle évolue avec tellement de finesse. Elle s’arrête. Quel dommage, je pourrais la regarder pendant des heures. Je me rends compte qu’une danseuse la prend à partie, elle lui explique certain pas… elle a du lui montrer ! Je me faufile derrière elle dans le bureau de Fred où elle se change. Le bruit de la porte la fait sursauter. Elle n’a pas le temps de se retourner que je l’enserre dans mes bras.
L : tu m’as fait une peur bleue !
W (la tête enfouie dans ses cheveux) : somptueuse.
L : quoi ? Laisse-moi, je dois finir de m’habiller.
W : quand tu danses… tu es… somptueuse !
L (confuse) : merci.
W : encore un secret dévoilé chère voisine !
L : je…
W : tu m’avais caché que tu étais si douée et si connut !
L (le taquinant) : arrêtes… et puis, je ne voulais pas que tu sortes avec moi pour ma notoriété !
W : ah ! Je ferais mieux de te laisser.
L : merci Went.
Mon téléphone se met à vibrer. Bon, je sais que je ne devrais pas. Cela va gâcher la sublime journée que je viens de passer. Soit c’est le boulot, soit encore un sondage que je vais expédier vite fais ! Numéro masqué… bon allez !
L : allô !
Voix masculine : Lisa, c’est moi.
CHAP 18 :
Je me réveille et me blotti dans la couette. Mes mains le cherchent mais personne. Je me lève d’un bon et me rends compte que je suis toute seule. J’espère que c’est pour me préparer le petit-déjeuner. Ma tête tombe lourdement dans l’oreiller. Je n’ai pas envie de me lever, de quitter ce lit, ses draps, cette chambre… je me remémore la tendresse de cette nuit et je sens mes joues cramoisies alors que je souris comme une bécasse. Je tourne et me retourne dans ce lit, trop grand à mon goût, afin de m’enivrer de son odeur. J’entends alors des bruits provenant de l’extérieur. Je me relève, la tête dans le cirage. Je passe sur moi, une chemise de Went qui traîne par terre. Je ne me sens pas encore trop réveillée, mes yeux ont du mal à s’ouvrir, j’ai l’impression d’avoir une haleine de dragon ! Je sors de la chambre et me dirige vers les paroles qui viennent à mes oreilles. Je ne comprends pas trop, je distingue une voix de femme… mon sang ne fait qu’un tour. J’accélère le pas et le retrouve dans mon champ de vision. Il est là à boire le café avec une femme. Elle semble proche, trop proche de lui ! Je me fige et le scrute, le dissèque… elle lui prend la main, leurs regards sont tendres !! Fallait me dire qu’il préférait les vieilles ! Elle me remarque et esquisse un petit sourire. En plus elle se fout de ma gueule ! Il regarde du coup dans ma direction. Il me sourit ce bêta, tu vas voir, il va vite disparaître ! Il s’avance vers moi, je ne bouge pas. Son regard est malicieux. L’un en face de l’autre, je ne desserre pas les dents. Nos doigts se trouvent. Les mains le long de nos corps, on reste ainsi. Il me regarde avec étonnement alors qu’il voit mes yeux noirs. Il sourit, je déteste, il est si sur de lui… je le déteste quand il est ainsi.
W (lui déposant un baiser sur le front) : salut !
L (furibonde) : je ne te…
W (lui posant son index sur les lèvres et souriant) : Chut ! Lisa… (Se décalant sur le côté) Lisa ma mère, maman je te présente Lisa.
L (ne sachant plus où se mettre) : bonjour.
Roxane : enchantée.
W : on ne t’a pas réveillé au moins ?
L (triturant sa chemise) : non, je… je vais m’habiller.
Je la regarde partir amuser. Je crois bien qu’elle s’est fait des films. Je me demande comment elle fait pour être aussi peu sûr d’elle. Elle part presque en courant dans la chambre. Je remarque au moins que sa cheville va mieux. Je vais pour me rasseoir lorsque je croise le regard amusé de ma mère.
R (gênée) : tu aurais du me dire, je ne serai pas resté.
W : eh ! Il n’y a pas de problème.
R : ça fait longtemps ?
W (grand sourire) : hier.
R : Went ce n’est pas avec des aventures d’un soir que…
W : stop. Ça fait deux semaines que l’on vit ensemble.
R (manquant de s’étouffer) : quoi ?
W : elle avait une cheville cassée donc elle est venue à la maison et hier on a discuté de choses et on est ensemble. Tu ne sauras rien de plus !
R (intriguée) : c’est sérieux ?
W : maman !
R (amusée) : si cela ne l’était pas elle ne serait pas là, ou bien tu m’aurais dit que l’on se rejoignait plus tard !
W : perspicace !
R (inquiète) : mon chéri, ne le prends pas mal… elle a l’air très bien mais le fait que tu sois reconnu ne l’attire pas ?
W : non ne t’inquiète pas.
R : cela me fait du souci, je ne veux pas que tu souffres !
W : si je te dis que les premières fois où l’on s’est vu, on a failli s’étriper, ça te rassure ?
R : elle… t’a tenu tête ! Mais…
W : Elle a un sale caractère et on avait pas mal d’aprioris tous les deux… mais elle a l’avantage de me remettre en place et vite fait !
R : on ne dirait pas… elle semble si fragile !
W : il ne faut jamais se fier aux apparences !
Je reviens habillé le plus simple du monde, comme d’habitude quoi. Un jean, un débardeur. Je les retrouve en pleine conversation toujours sur le bar de la cuisine. Went me tend automatiquement mon café. Je souris devant son attention.
L (timidement) : Merci. Je vais travailler un peu.
W (lui prenant la main) : tu peux rester.
L : non, je ne veux pas vous déranger et puis il faut que j’appelle mon chef pour voir où on en est !
W : comme tu veux !
L (effleurant la commissure de ses lèvres) : à tout à l’heure.
Je m’enferme dans son bureau, mon mug à la main. Je ne cesse de dessiner. Pour la première fois depuis des jours j’ai l’impression de faire des choses bien, belles… enfin !
Les journées passent et on habite à moitié chez lui, à moitié chez moi. C’est si simple. Je me rends compte que tout est facile avec lui. On n’arrête pas de si disputer pour savoir où on mange, où on dort mais en fait, je crois que cela nous amuse. Et puis même si cette vie ensemble nous ravi, on se rend compte tous les deux que l’on a besoin de notre indépendance. On a vécu trop longtemps seul, aussi bien lui que moi, pour pouvoir être en permanence ensemble. On n’a pas envie de se jeter dans la gueule du loup. On n’a pas envie de prendre de risque, pas envie que notre histoire se consume tel un feu de paille. Les plus étonnés de cette situation sont Fred et Amaury qui ne comprennent pas trop ! Mais ils arrivent toujours à nous trouver !
Ce soir on a rendez-vous avec Fred à son studio de danse. Il veut absolument me montrer la chorégraphie qu’il vient de mettre au point pour le nouveau clip de Ciara, «like a boy ». Went et Amaury qui doivent faire de photos promo dans un studio tout proche vont me rejoindre. J’arrive et j’ai presque un pincement au cœur avant de rentrer. Je me sens si fière de lui. Il réalise son rêve. Notre vie en France me revient instantanément en mémoire. Je me surprends à calculer. Depuis combien de temps on se connaît… cela doit faire presque quinze ans ! C’était lorsque je suis rentré au ballet de l’opéra. Cela fait si longtemps. On était tous les deux, les deux grands espoirs. On a tout partagé ensemble, la souffrance, les entraînements tard dans la nuit ou tôt le matin, l’ovation de la foule… c’était un autre monde ! Il a quitté la France deux ans avant moi, pour venir ici ! Réaliser son rêve ! Je l’ai suivi car je ne savais pas vraiment où aller, il est ma famille !
Je rentre dans la salle et la musique à fond me transcende. Je le regarde émerveillé. Il danse si bien, il est si pro… j’ai toujours trouvé qu’à haut niveau, les mecs étaient supérieurs aux filles en danse. Ils sont beaucoup plus perfectionnistes. Lui peut passer des heures à peaufiner la position d’un doigt alors qu’une nana le ferait à l’instinct et ça irait bien ! Je reste dans mon coin. J’observe, avec un brin de nostalgie mais tellement de fierté. Tout d’un coup je sens un souffle chaud dans mon cou. Went me serre tout contre lui.
W (à l’oreille) : ça va ?
L : oui.
A : c’est hallucinant !
L : ah bon !
A : purée, t’as vu comme ils dansent !
W : on en est loin !
L : ça s’apprend.
La musique s’arrête. Fred décrète une pause. Il nous fait signe de nous rapprocher. Une odeur me touche les narines. Pour certain c’est juste un mélange d’effluves corporels, pour moi cela représente le travail, la rigueur de l’exercice. Je me rends compte que cette odeur m’avait manqué.
F (stressé) : je suis content que vous ayez pu venir. Mais on a pris du retard, je ne sais pas si on va pouvoir manger ensemble !
A : merde, Jess, Sarah et Josh doivent nous rejoindre.
L (boudant) : c’est comme d’hab., avec toi !
F (la prenant par les épaules): viens là, toi !
Ciara : excusez-moi. Mais si tu veux, on peut reprendre demain !
F : non. Au fait Ciara je te présente Lisa, Went, Amaury.
C (timide) : vous… vous êtes Lisa-lou Mirabilis ! Je suis enchantée de vous rencontrer. Fred tu aurais pu me prévenir.
F : pourquoi tu connais cette tête de mule !
C (admiratrice) : si… je vous aie vu à l’opéra de Paris, dans le Lac des Cygnes… vous étiez fantastique.
L (gênée) : merci.
C : on continue alors Fred ? Bon, j’y retourne. J’espère que l’on pourra se revoir.
L : moi aussi.
W (amusé) : eh ! Je ne pensais pas être en si bonne compagnie !
L (lui tapant dans l’épaule) : arrête !
W : tu me caches d’autres choses ?
F (hésitant) : Lisa tu peux danser ou pas ?
L : j’ai vu le médecin ce matin et il m’a donné son feu vert, mais je dois y aller mollo !
F (épuisé) : j’aimerai que tu leur montres deux, trois pas… car je n’en peut plus d’expliquer… j’ai l’impression que cela ne rentre pas !
L : je n’ai rien à me mettre !
F : ton vestiaire est toujours là… avec toutes tes affaires !
L : ça ne te dérange pas Went ?
W : non, mais pas de folie.
L : promis !
Elle revient sur l’estrade. Elle est dans un coin elle s’échauffe. Fred nous explique qu’elle en a au moins pour une demi-heure juste pour pouvoir danser. Il la connaît presque par cœur. Il nous explique que si elle fait moins, elle risque de se faire mal. Alors que les autres filles sont allongées par terre, elle met du classique et commence ses exercices. Elle semble encore plus belle. Je comprends alors d’où viens sa grâce. On dirait les poupées qui sont dans les boîtes à musique. Je la regarde admiratif. Tout lui semble si facile. On n'a pas l’impression que c’est un effort pour elle. Les autres filles la fixent avec un regard étrange. Certaines l’admirent, d’autres sont plus méprisantes. J’entends les murmures qui arrivent à mes oreilles. Je n’en revient pas, toutes la connaissent. Pour une fois, on ne me voit pas. Par contre elle est au centre de toutes les conversations.
W (curieux) : Fred, tu peux m’expliquer ?
F : quoi ?
W : j’ai l’impression qu’ici tout le monde la connaît ?
F (riant) : elle n’a pas du t’en parler. Mais Lisa a était l’une des meilleures danseuses. Dans le milieu c’était devenu une référence. Comment te dire, Lisa est à la base une danseuse de classique mais en fait, elle peut tout danser et presque à la perfection. Tu lui montres et elle reproduit. C’est fascinant.
W : elle m’a dit que sa carrière s’est arrêtée après être tombé dans le coma pendant deux jours avant un examen à l’opéra de Paris.
F (étonné) : je suis surpris qu’elle te l’ai dit. Peu de gens le savent !
W : oui mais j’ai l’impression qu’elle a oubliée de me parler de tout le reste.
F : elle allait devenir étoile. C’était qu’une question de temps. En même temps, elle a tourné pour des clips, intégrée des troupes de danse moderne… elle aurait pu faire ce qu’elle voulait. Tout le monde se l’arracher.
W : et il y a eut son séjour à l’hôpital !
F : non, cela à compromis ces chances à l’opéra mais pas pour le reste. Elle a arrêté du jour au lendemain, elle voulait faire autre chose. D’un côté, elle a bien fait. Car sinon, c’est troubles auraient continuer. Mais elle est si douée !
W : je croyais qu’elle c’était blessée, qu’elle n’avait plus les capacités pour danser et qu’elle s’était reconvertie !
F : je ne sais pas les vrais raisons. Et si j’étais toi je ne les chercherais pas. Elle se braque dès qu’on aborde le sujet.
W : merci du conseil.
F : bon, vaut mieux que j’y retourne.
Fred lui explique la chorégraphie. Avec Amaury on reste assis dans un coin. Elle défait ses chaussons et enfile des baskets. Je suis surpris de la manière dont elle change d’attitude. On dirait une comédienne. Elle prend la place principale et Ciara la regarde méticuleusement. Je suis abasourdi. Je la vois danser et tout prend une autre dimension. Alors qu’elle est toute petite, elle a un charisme de dingue. Elle insuffle une énergie folle. C’est comme un moteur. Je ne sais plus combien de fois j’ai vu cette chorégraphie. Je n’arrive pas à m'en lasser du moment que c’est elle. Fred est enfin satisfait du travail.
Je suis exténué mais si contente. Cela m’a fait un bien fou de danser pour Fred. Je me suis amusée comme une folle. Je m’étire tranquillement quand une danseuse vient me voir. Elle à l’air de ne pas savoir par ou commencer. Je me demande bien ce qu’elle veut !
L : oui ?
Danseuse (hésitante) : excusez-moi mais … je me demandais si… enfin voilà, je passe la semaine prochaine le concours pour rentrer dans le ballet classique de San Francisco et je me demandais si vous … ça m’aiderai de vous voir danser sur l’exercice imposé !
L (se levant) : c’est quoi ?
Danseuse : Casse-noisettes de Tchaïkovski.
L (souriante) : mon préféré. Quelle variation ?
Danseuse (n’y croyant pas) : la seconde. Vous…
L : une fois, alors regarde bien.
Elle me tend le CD. Je me dirige vers la chaîne hi-fi. Je sais que je ne devrais pas, mais je ne peux pas refuser. Je mets mes pointes. Cela fait un mal de chien ! ça fait au moins deux ans, que je ne les avais pas mises ! Je me mets au centre de la scène, face à elle. Elle me scrute comme je le faisais des années auparavant. J’inspire un grand coup et la première note retentit.
Je me retourne étant donné le regard ahuri de Fred. Elle est là au milieu, seule. Des notes de classique résonnent dans la salle. Je suis surpris par sa prestance. Elle ne bouge pas, pas encore mais rempli l’espace. Sur ces pointes, elle est immobile. Comme si elle attendait le feu vert ! Elle est si concentrée, si stoïque. Elle qui est si impulsive, qui court toujours dans tous les sens… on dirait son opposé. Je reconnais immédiatement Tchaïkovski, Casse-noisettes. Je regarde Fred et Amaury et constate que l’on est tous les trois aussi surpris. Fred esquisse un sourire étrange.
F (tout fier) : Messieurs, préparez-vous à recevoir la claque de votre vie !
Elle bouge enfin et je suis conquis. C’est magique. Elle vole presque dans les airs. Elle est si belle, si fragile… mon cerveau n’arrive plus à analyser. Elle est tout simplement sublime. Je la regarde religieusement. Elle évolue avec tellement de finesse. Elle s’arrête. Quel dommage, je pourrais la regarder pendant des heures. Je me rends compte qu’une danseuse la prend à partie, elle lui explique certain pas… elle a du lui montrer ! Je me faufile derrière elle dans le bureau de Fred où elle se change. Le bruit de la porte la fait sursauter. Elle n’a pas le temps de se retourner que je l’enserre dans mes bras.
L : tu m’as fait une peur bleue !
W (la tête enfouie dans ses cheveux) : somptueuse.
L : quoi ? Laisse-moi, je dois finir de m’habiller.
W : quand tu danses… tu es… somptueuse !
L (confuse) : merci.
W : encore un secret dévoilé chère voisine !
L : je…
W : tu m’avais caché que tu étais si douée et si connut !
L (le taquinant) : arrêtes… et puis, je ne voulais pas que tu sortes avec moi pour ma notoriété !
W : ah ! Je ferais mieux de te laisser.
L : merci Went.
Mon téléphone se met à vibrer. Bon, je sais que je ne devrais pas. Cela va gâcher la sublime journée que je viens de passer. Soit c’est le boulot, soit encore un sondage que je vais expédier vite fais ! Numéro masqué… bon allez !
L : allô !
Voix masculine : Lisa, c’est moi.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
tro biiiiien
j'ai adoré cette dérniére partie , vraiment superbement décrite !!!!
on y était tout a fait
j'éspére qu'elle va se reméttre a fond dans la danse
j'ai vraiment adoré cette scéne
je suis sur que c son ex qui l'appéle sa gache tooout !!!
j'ai hate de lire al suite
j'éspére que tu nous prépare rien de maquiavélique !!!
vita la suite et j'ai vraiment aimé cett partie sa fait 5 fois que je le dit je c lol bisous
j'ai adoré cette dérniére partie , vraiment superbement décrite !!!!
on y était tout a fait
j'éspére qu'elle va se reméttre a fond dans la danse
j'ai vraiment adoré cette scéne
je suis sur que c son ex qui l'appéle sa gache tooout !!!
j'ai hate de lire al suite
j'éspére que tu nous prépare rien de maquiavélique !!!
vita la suite et j'ai vraiment aimé cett partie sa fait 5 fois que je le dit je c lol bisous
dadoubloo- Origami de Michael
- Nombre de messages : 147
Date d'inscription : 24/06/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
dadoubloo a écrit:tro biiiiien
j'ai adoré cette dérniére partie , vraiment superbement décrite !!!!
on y était tout a fait
j'éspére qu'elle va se reméttre a fond dans la danse
j'ai vraiment adoré cette scéne
je suis sur que c son ex qui l'appéle sa gache tooout !!!
j'ai hate de lire al suite
j'éspére que tu nous prépare rien de maquiavélique !!!
vita la suite et j'ai vraiment aimé cett partie sa fait 5 fois que je le dit je c lol bisous
je suis d 'accord avec toi !!!!!!!!!
merci
trop bien cette partie
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Cette suite est superbe...
Je ne sais pas quoi dire d'autre, je veux juste la suite
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
enneade enneade enneade que dire apres sa??? ah oui sa
c'est magnifique faut pas douter comme sa !!!!!
lisa qui est jalouse de la mere de went
mais le coup de telephone me parait trop suspect!!!!!
qui est ce???
vivement la suite en tout cas je l'attend avec impatience
c'est magnifique faut pas douter comme sa !!!!!
lisa qui est jalouse de la mere de went
mais le coup de telephone me parait trop suspect!!!!!
qui est ce???
vivement la suite en tout cas je l'attend avec impatience
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ouou je le sent pas là c'est l'autre brute qui ramène sa fraise!!!
en tout cas j'aime beaucou ta fic et j'attends vite la suite!
en tout cas j'aime beaucou ta fic et j'attends vite la suite!
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
- Nombre de messages : 532
Age : 34
Localisation : Dans la chambre de went
Date d'inscription : 12/08/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
elle est tro bien ta fanfic
mais a quand la suite ALLLER MET UNE SUITE STP
mais a quand la suite ALLLER MET UNE SUITE STP
wentchad- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 08/09/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
bon j'ai quand réussi à faire un petit truc aujourd'hui... car trop de truc à faire
c'est un peu vite fait donc il y a surement des fautes
CHAP 19:
On est au resto comme prévu mais je ne mange rien. Je n’arrive pas à me concentré sur autre chose que ce coup de téléphone ; pourquoi maintenant, alors que la vie me semble si facile, alors que je pensais en avoir fini avec mes problèmes. L’endroit est des plus calme et feutré. Presque une ambiance bar des années 20, tout en bois. Il ne manque plus que les fumées de cigarettes de partout et on s’y croirait. Je suis surprise que personne ne viennent aborder Went, Amaury et Sarah. Ils sont tous trois super à l’aise. Je suppose qu’ils viennent régulièrement ici. Josh nous à rejoint ainsi que Jess. Ils sont tous à rire aux éclats et moi je ne fais que les imiter. Apparemment cela fait illusion, du moins pour un temps je suppose. Je joue avec ce qui à dans mon assiette, plus que je ne mange. On pourrait le penser puisque mon plat est totalement coupé en minuscules morceaux, que tout a étaient chamboulés… mais seul quelques infimes bouchées sont parvenues à ma bouche. J’essaye de ne pas y penser mais je n’y arrive pas. C’est comme une obsession.
W (doucement) : Lisa !
Went me fait revenir à la réalité. Il me regarde avec ces grands yeux bleus. Je lui souris. Son regard est un peu inquiet. Je le vois me tendre sa fourchette, avec un bout du poisson qu’il a commandé.
W : goutte, c’est super bon !
L : je…
W (les yeux plissés) : s’il te plaît !
Il me regarde avec la même intensité qu’à notre premier rendez-vous, pour mon anniversaire. Je dois être toute rouge. Sa fourchette s’immisce dans ma bouche et je dois bien avouer que cela est délicieux. Je sens son regard sur moi. Il ne me quitte pas des yeux. Son bras passe autour de mon cou. Ses lèvres chaudes viennent tendrement embrasser ma tempe.
W (avec un petit sourire) : je ne peux pas toujours te faire manger !
L (baissant le regard) : je sais.
Il reprend sa discussion avec Amaury. Il sait très bien que je ne vais pas bien mais il se doute que si j’avais voulu en parler je l’aurais fait et que rien ne sert à me forcer. Ma tête posée sur son épaule, je me sens bien, apaisée mais pour combien de temps. Durant le reste de la soirée, je reste ainsi. J’essaye de faire bonne figure mais je n’ai pas envie de m’amuser. On se quitte tous sur le parking du restaurant. Went nous ramène à la maison. Je n’ai pas envie de parler, j’ai besoin de faire le point.
L : je peux mettre la musique ?
W : bien sur.
Je fais le tour des C.D. et me décide pour ce bon vieux Lou Reed. Je monte le volume comme pour m’enivrer un peu plus de la musique. Il me regarde mais ne dit rien.
Elle a mis la musique a fond dans la voiture, comme si cela pouvait l’empêcher de me parler. Depuis que je l’ai quitté pour qu’elle se change, elle ne cesse d’être distante, perdue dans ses pensées, triste. Je me demande ce que j’ai peu faire ou dire pour qu’elle soit ainsi. J’ai bien remarquer qu’elle n’avait rien mangé à table, mais que faire. Je ne peux pas non plus la chaperonner tout le temps ! Je me gare devant la maison. Elle ne remarque même pas que l’on est arrivé.
W : eh ! On est arrivé.
L : ah ! je suis désolé, j’étais…
W : perdue dans tes pensées. J’avais remarqué.
Je sors de la voiture. On se retrouve tous les deux devant nos portes d’entrée. Que faire ! J’ai envie d’être seule, mais je ne veux pas le froisser. Je me sens si bête à cet instant !
L : je suis désolé, je ne suis pas de bonne compagnie ce soir.
W (posant son front contre le sien) : eh ! C’est moi ? si je t’ai dit quelque chose qui…
L (lui prenant les mains) : non, Went au contraire tu es un ange ! C’est juste que… j’aie besoin d’être un peu seul ce soir.
W (l'embrassant) : ok. Mais si tu veux parler, je suis là.
L : merci.
W (la serrant dans ses bras) : tiens prends ma clé. Si tu as envie ou besoin tu montes, d’accord.
L (se pressant encore plus contre lui) : d’accord. Je suis désolé.
W : je suis là, d’accord !
L : ouais !
W (l'embrassant sur le front) : fais de beaux rêves.
L : toi aussi.
On s’embrasse à peine. C’est une sensation bizarre comme s’il respectait mon besoin d’espace, de me retrouver. J’aurais crut devoir me battre, argumenter mais au contraire. J’ai bien d’autres choses à penser que cela. Si seulement je pouvais prendre une décision, en parler mais qui pourrait comprendre.
Flash-back :
Coup de téléphone :
L : allô !
Voix masculine : Lisa, c’est moi.
L : Chris ?
C : salut p’tite sœur.
L (toute heureuse) : comment tu vas ?
C : ça va. Et toi ?
L : super bien. Mais tu es où ?
C : à Paris.
L : pendant un instant j’ai crut que tu étais à L.A. !
C : j’aurais bien aimé. Ton boulot ça marche ?
L (sur la défensive) : Chris qu’est-ce qu’il y a ?
C : quoi ?
L : deux ans que l’on ne s’est pas parlé et là tu m’appelles de Paris pour prendre des nouvelles ! Tu me prends pour un lapin de six semaines ?
C (gêné) : euh ! ben, je ne devrais pas te le dire. Le grand-père est à l’hôpital.
L : il va bien ?
C : non. Il a fait un accident cardio vasculaire. Il est dans le coma.
L : je vois.
C : faut que tu viennes !
L (sèche) : Chris ce n’est pas possible, tu le sais.
C : s’il n’a pas repris connaissance dans trois jour ils vont débrancher les machines, donc si tu veux le voir c’est maintenant.
L : les parents sont au courant de ton coup de téléphone ?
C : non.
L : chris, ce n’est pas une bonne idée. La dernière fois cela a fini en carnage.
C : oui mais là… ils feront abstraction de tout cela.
L : non Chris. Je suis la fille indigne. Celle qui a raté sa vie. Celle qui va d’échec en échec. Je suis une moins que rien.
C : fait le pour le grand-père !
L : tu sais jouer sur la corde sensible toi !
C : tu le regretteras si tu ne viens pas.
L : et si je viens se sera la guerre.
C : réfléchis-y ! Il y a un avion qui décolle de LA demain à 11h, ce sera le dernier que tu puisses prendre pour arriver à temps.
L : je verrais.
C : faut que je te laisse.
L : Chris…. Merci.
C : de rien.
Fin Flash-back.
c'est un peu vite fait donc il y a surement des fautes
CHAP 19:
On est au resto comme prévu mais je ne mange rien. Je n’arrive pas à me concentré sur autre chose que ce coup de téléphone ; pourquoi maintenant, alors que la vie me semble si facile, alors que je pensais en avoir fini avec mes problèmes. L’endroit est des plus calme et feutré. Presque une ambiance bar des années 20, tout en bois. Il ne manque plus que les fumées de cigarettes de partout et on s’y croirait. Je suis surprise que personne ne viennent aborder Went, Amaury et Sarah. Ils sont tous trois super à l’aise. Je suppose qu’ils viennent régulièrement ici. Josh nous à rejoint ainsi que Jess. Ils sont tous à rire aux éclats et moi je ne fais que les imiter. Apparemment cela fait illusion, du moins pour un temps je suppose. Je joue avec ce qui à dans mon assiette, plus que je ne mange. On pourrait le penser puisque mon plat est totalement coupé en minuscules morceaux, que tout a étaient chamboulés… mais seul quelques infimes bouchées sont parvenues à ma bouche. J’essaye de ne pas y penser mais je n’y arrive pas. C’est comme une obsession.
W (doucement) : Lisa !
Went me fait revenir à la réalité. Il me regarde avec ces grands yeux bleus. Je lui souris. Son regard est un peu inquiet. Je le vois me tendre sa fourchette, avec un bout du poisson qu’il a commandé.
W : goutte, c’est super bon !
L : je…
W (les yeux plissés) : s’il te plaît !
Il me regarde avec la même intensité qu’à notre premier rendez-vous, pour mon anniversaire. Je dois être toute rouge. Sa fourchette s’immisce dans ma bouche et je dois bien avouer que cela est délicieux. Je sens son regard sur moi. Il ne me quitte pas des yeux. Son bras passe autour de mon cou. Ses lèvres chaudes viennent tendrement embrasser ma tempe.
W (avec un petit sourire) : je ne peux pas toujours te faire manger !
L (baissant le regard) : je sais.
Il reprend sa discussion avec Amaury. Il sait très bien que je ne vais pas bien mais il se doute que si j’avais voulu en parler je l’aurais fait et que rien ne sert à me forcer. Ma tête posée sur son épaule, je me sens bien, apaisée mais pour combien de temps. Durant le reste de la soirée, je reste ainsi. J’essaye de faire bonne figure mais je n’ai pas envie de m’amuser. On se quitte tous sur le parking du restaurant. Went nous ramène à la maison. Je n’ai pas envie de parler, j’ai besoin de faire le point.
L : je peux mettre la musique ?
W : bien sur.
Je fais le tour des C.D. et me décide pour ce bon vieux Lou Reed. Je monte le volume comme pour m’enivrer un peu plus de la musique. Il me regarde mais ne dit rien.
Elle a mis la musique a fond dans la voiture, comme si cela pouvait l’empêcher de me parler. Depuis que je l’ai quitté pour qu’elle se change, elle ne cesse d’être distante, perdue dans ses pensées, triste. Je me demande ce que j’ai peu faire ou dire pour qu’elle soit ainsi. J’ai bien remarquer qu’elle n’avait rien mangé à table, mais que faire. Je ne peux pas non plus la chaperonner tout le temps ! Je me gare devant la maison. Elle ne remarque même pas que l’on est arrivé.
W : eh ! On est arrivé.
L : ah ! je suis désolé, j’étais…
W : perdue dans tes pensées. J’avais remarqué.
Je sors de la voiture. On se retrouve tous les deux devant nos portes d’entrée. Que faire ! J’ai envie d’être seule, mais je ne veux pas le froisser. Je me sens si bête à cet instant !
L : je suis désolé, je ne suis pas de bonne compagnie ce soir.
W (posant son front contre le sien) : eh ! C’est moi ? si je t’ai dit quelque chose qui…
L (lui prenant les mains) : non, Went au contraire tu es un ange ! C’est juste que… j’aie besoin d’être un peu seul ce soir.
W (l'embrassant) : ok. Mais si tu veux parler, je suis là.
L : merci.
W (la serrant dans ses bras) : tiens prends ma clé. Si tu as envie ou besoin tu montes, d’accord.
L (se pressant encore plus contre lui) : d’accord. Je suis désolé.
W : je suis là, d’accord !
L : ouais !
W (l'embrassant sur le front) : fais de beaux rêves.
L : toi aussi.
On s’embrasse à peine. C’est une sensation bizarre comme s’il respectait mon besoin d’espace, de me retrouver. J’aurais crut devoir me battre, argumenter mais au contraire. J’ai bien d’autres choses à penser que cela. Si seulement je pouvais prendre une décision, en parler mais qui pourrait comprendre.
Flash-back :
Coup de téléphone :
L : allô !
Voix masculine : Lisa, c’est moi.
L : Chris ?
C : salut p’tite sœur.
L (toute heureuse) : comment tu vas ?
C : ça va. Et toi ?
L : super bien. Mais tu es où ?
C : à Paris.
L : pendant un instant j’ai crut que tu étais à L.A. !
C : j’aurais bien aimé. Ton boulot ça marche ?
L (sur la défensive) : Chris qu’est-ce qu’il y a ?
C : quoi ?
L : deux ans que l’on ne s’est pas parlé et là tu m’appelles de Paris pour prendre des nouvelles ! Tu me prends pour un lapin de six semaines ?
C (gêné) : euh ! ben, je ne devrais pas te le dire. Le grand-père est à l’hôpital.
L : il va bien ?
C : non. Il a fait un accident cardio vasculaire. Il est dans le coma.
L : je vois.
C : faut que tu viennes !
L (sèche) : Chris ce n’est pas possible, tu le sais.
C : s’il n’a pas repris connaissance dans trois jour ils vont débrancher les machines, donc si tu veux le voir c’est maintenant.
L : les parents sont au courant de ton coup de téléphone ?
C : non.
L : chris, ce n’est pas une bonne idée. La dernière fois cela a fini en carnage.
C : oui mais là… ils feront abstraction de tout cela.
L : non Chris. Je suis la fille indigne. Celle qui a raté sa vie. Celle qui va d’échec en échec. Je suis une moins que rien.
C : fait le pour le grand-père !
L : tu sais jouer sur la corde sensible toi !
C : tu le regretteras si tu ne viens pas.
L : et si je viens se sera la guerre.
C : réfléchis-y ! Il y a un avion qui décolle de LA demain à 11h, ce sera le dernier que tu puisses prendre pour arriver à temps.
L : je verrais.
C : faut que je te laisse.
L : Chris…. Merci.
C : de rien.
Fin Flash-back.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
magnifique !!!!!!
c 'est triste de la voir comme ca !!!!
lisa parle a went !!!!! il doit savoir ce qui va pas !!!!
tu sais ce que je veux c 'est la suite !!!!!
met vite la suite
c 'est triste de la voir comme ca !!!!
lisa parle a went !!!!! il doit savoir ce qui va pas !!!!
tu sais ce que je veux c 'est la suite !!!!!
met vite la suite
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Page 6 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 6 sur 7
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum