neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ENNEADE a écrit:Amaria a écrit:ENNEADE a écrit:[size=12]Amaria... tu me déçois beaucoup... relis le 1er paragraphe du 1er chapitre!!!! je crois tu aura ta réponse!!!
Nooooooon me dit pas ça steplait j'ai relus le début mais j'ai toujours pas compris, la piscine appartient a qui?? Pourquoi ils sont dans la même maison mais ils n'ont pas la même entrée?? jte jure que jfais pas exprès çac'est moi tout craché j'arrive pas à comprendre les trucs simple en fait jcomprend jamais rien mille pardon Enneade
bon alors ils habitent dans une maison... qui est divisée en 2 apparts
avec deux portes d'entrée...
une pour Lisa qui ammène direct à son appart qui donne sur le jardin et la piscine.
une autre porte pour Went qui donne sur des ecalier qui emmène à son appart au dessus avec méga terrasse du coup....
pas de garage mais un passage sur le côté de la maison qui donne un accès direct au jardin...
donc normalement Went n'a pas accès à la piscine mais Lisa ne veut pas faire sa radine donc elle propose...
petite pelouse devant la maison... et oui le style à l'américain!!!
tu as d'autre question Amaria... peut-être que je vais faire des plans si j'ai le temps
Merci pour cette explication, tu me fait marré quant tu dit que tu va faire des plans, tu es accro a Michael toi, l'architechture t'interesse maintenant?? est ce que tu va faire les plans sur ton corps?? ok je mais avant oui j'ai une question a quand la suite??
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Amaria!!! la suite c'est maintenant
CHAP 9 :
http://www.radioblogclub.fr/open/121465/shania_twain/Shania%20Twain%20-%20You%27re%20Still%20the%20One
On ne cesse de se regarder de biais. J’ai l’impression d’être toute rouge et j’espère que c’est juste une sensation. J’essaye de trouver une conversation pas trop inintéressante mais malheureusement on ne parle que de futilité. Mais dans un certain sens cela m’arrange, je n’ai pas besoin de me dévoiler comme cela. Je me lève sous son regard ébahi.
L : je vais chercher à manger. Tu passes à table !
W (hésitant) : on pourrait peut-être manger ici ?
L (joviale) : oui si tu veux. J’amène le plat. Baguette ou fourchette ?
W : les deux si cela ne te dérange pas. Tu as besoin d’aide ?
L : non !
Je reviens une minute plus tard avec tous entre les mains. Je dépose le plat remplis de sushis et makis au centre du lit. Je lui tends ses couverts. Nos doigts se frôlent et je sens cette chaleur m’envahir, comme à chaque contact. Mes yeux se baissent instantanément et fixent autres choses.
W : on pioche dans le plat alors ?
L (gênée) : à part si cela te dérange ?
W (souriant) : non au contraire. C’est moins solennel !
L : par contre je n’ouvre pas de vin, on fini ta bouteille !
W : ça me va !
On commence à piocher tous les deux dans le plat qui nous fait face et on s’observe tel deux adolescents. Je remarque son sourire alors que je déguste littéralement chaque bouchée. Nos baguettes s’entrechoquent parfois, mais c’est tout aussi troublant que lorsque ce sont nos peaux. Il me semble à des années lumière de l’augure personnage que j’avais vu auparavant. Il est beaucoup plus décontracté, plus souriant, moins hautain, beaucoup plus naturel.
L : oh non, c’est mon préféré !
W : vraiment ?
Alors qu’il allait prendre le dernier sushi aux crevettes, je vois sa baguette faire demi-tour et venir en direction de ma bouche. Je me sens si bête ! C’est si romantique. Je n’ose pas prendre ce qu’il me propose mais son regard me fait comprendre qu’il ne fera rien pour me contrarier. Je m’avance légèrement, mes lèvres s’entrouvrent et nos regards ne se quittent plus. Je sens des papillons dans mon ventre comme rarement. Je croque la moitié du sushis et le regarde amusé. Il me sourit de plus belle. Je lui fais signe de la main que je partage avec lui et me regarde encore plus interdis. Je le vois alors manger sa moitié et nos regards ne peuvent se détacher l’un de l’autre. On finit le repas ainsi à se nourrir l’un l’autre sans même émettre un son, seul nos regards communiquent. Tout est si naturel, si simple. Chaque bouchée me fait frissonner. Seulement je ne sais pas trop si ce n’est pas le ton incendiaire de ces yeux qui me fait cela. J’espère juste que mon regard le rende dans le même état.
Je n’arrive plus à me concentrer. Ses yeux me regardent avec une telle obstination. D’habitude, elles baissent les yeux mais pas elle, elle supporte mon regard. Et cela me trouble comme jamais. Ses cheveux bougent malgré elle, à cause du petit vent qui vient de se lever. Son odeur vient chatouiller mon nez. Je commence à ne plus savoir que faire. Je meurs d’envie d’aller plus loin, de la serrer contre moi mais en même temps… elle est si différente des autres fois. Elle ressemble beaucoup plus à la personne dont me parlent Amaury et Sarah. Elle est naturelle, fraîche, dynamique, intelligente… arrêtes mon vieux, une fille pareil ne doit pas être seule. Mais je succombe sous le numéro de séduction que l’on a mis en place malgré nous. Ce silence est loin d’être pesant, au contraire il est relaxant. Seule la musique qui vient du salon nous perturbe. Je me suis rarement senti autant en confiance avec une femme surtout depuis PB. Ses lèvres qui s’entrouvrent chaque fois que j’avance mes baguettes vers elle sont comme des baisers qu’elle me donne. Je suis médusé par sa décontraction, son sourire. Je me laisse faire et me laisse me faire nourrir. Son regard est un petit peu plus malicieux lorsque ses baguettes s’approchent de mes lèvres. Je suis si bien que je pourrais rester ainsi jusqu’à la fin de mes jours. Alors que je vais pour lui attraper quelques choses dans le plat, je remarque qu’il est vide. Sans même sans rendre compte on a déjà tout manger. Nos regards se font attristés par la fin programmée de ce moment. Je ne bouge plus. Je ne veux pas rompre ce charme qui s’est installé entre nous.
L : tu veux un dessert ?
W : oui.
Je la vois se relever, un sourire aux lèvres. Elle disparaît ainsi dans son appart. Je me sens si seul tout d’un coup. Je passe mes mains sur mon visage pour reprendre un peu mes esprits.
Je me dirige vite fais dans la cuisine. J’essaye de calmer les ardeurs de mon cœur. Il faut dire que ces derniers moments furent plus qu’intenses. Je n’aurais jamais crut qu’un homme pouvait être aussi doux et romantique mais surtout aussi irrésistible. Une chose est sur c’est le meilleur anniversaire de ma vie. Je sors du frigo la mousse au chocolat que j’avais faites pour Tom, un paquet de gâteau… et voilà. Je reviens auprès de lui et je le vois allongé sur le dos, ses mains sur son visage. Je me demande ce qui peut lui passer par la tête. Il se retourne aussi tôt vers moi, un sourire s’affichant en même temps sur son visage. Je m’assois pour mettre le saladier entre nous.
L : je vais chercher des cuillères !
Il me retient le poignet d’une main. Et me tend de l’autre un biscuit qu’il a trempé dans la mousse. Je ne peux m’empêcher de me pincer les lèvres devant ce spectacle si attendrissant et sensuel. Comme une gamine je dévore le gâteau et fais de même pour lui. On recommence notre petit jeu, seulement parfois je nettoie au passage ses doigts légèrement chocolatés. Ce qui à chaque fois lui fait ouvrir en grands ces yeux bleus magnifiques. On a presque mangé la moitié du saladier. Je n’ai jamais autant mangé de ma vie. Il se rapproche, les yeux rivés sur mes lèvres. A quelques centimètres l’un de l’autre, je sens son souffle devenir plus rapide tout comme le mien. Son index caresse légèrement la commissure de mes lèvres. Je vois qu’il le met à sa bouche et déguste de ce fait le chocolat qui était resté sur ma peau. Je sens que mon cœur va exploser. Il me regarde si intensément et je ne peux m’empêcher de me pincer les lèvres et de passer ma langue furtivement là où il a posé son doigt. Sa main se pose sur ma hanche et je m’approche un peu plus de lui. Nos regards ne peuvent se séparer. Nos visages s’approchent dangereusement jusqu’à ce que nos lèvres se joignent enfin. J’ai l’impression de défaillir. C’est comme une explosion de saveurs et de sentiments. Mes mains parcourent immédiatement son dos et son crâne piquant. Seuls des petits soupirs émanent de nous. Nos langues se cherchent, se trouvent enfin… et on s’abandonne dans ce tourbillon qui nous submerge. Je sens que rien ne peut arrêter ce que nous avons commencer. Ses mains se font discrètes. Une d’elles passe légèrement dans mon dos alors que l’autre reste accroché à ma hanche. Nos lèvres se séparent enfin, il pose son front contre le mien. On sourit tous les deux.
W : je n’avais pas prévu.
L : moi non plus.
W : tu crois que cela va nous mener où ?
L (espiègle) : je ne sais pas. Pour ce soir en tout cas pas dans ta chambre !
W (se détachant et instaurant une distance entre eux) : ce n’est pas ce que je voulais dire.
L : je sais mais je préfère que ce soit clair.
W (souriant) : quoique je ne dirais pas non, pour la tienne !
L (se rapprochant de lui) : non plus.
W : tu veux y aller en douceur !
L : pas forcément. C’est juste que …
W : dis-moi !
L : la fille, la brune…
W : Mariana ?
L : oui, c’est sérieux entre vous ? je ne suis pas le genre de fille qui brise les couples…
W (mettant son index sur sa bouche) : stop ! C’est juste une amie, rien de plus. OK ?
L (posant son visage dans la main de Went) : vraiment ?
W : je te le jure. Je ne suis pas le genre à courir après plusieurs lièvres ! On s’entend extrêmement bien mais c’est tout.
Il me prend tout contre lui dans ses bras. Ainsi allongé dans les bras l’un de l’autre, je me sens si sereine, si bien. Tellement bien.
Je sens sa respiration ralentir petit à petit. Je n’ai pas le cœur de défaire mes bras autour d’elle. C’est comme si je découvrais de nouveau l’amour. Je ne veux pour rien au monde me défaire d’elle. Elle se rapproche encore plus de moi, ses jambes s’entrelacent aux miennes. Je remarque un plaid qui traîne sur le côté. Je lui pose sur elle, pour pas qu’elle prenne froid. Elle est tout aussi belle quand elle dort. Je me laisse bercer par sa respiration et mes paupières se font de plus en plus lourdes.
CHAP 9 :
http://www.radioblogclub.fr/open/121465/shania_twain/Shania%20Twain%20-%20You%27re%20Still%20the%20One
On ne cesse de se regarder de biais. J’ai l’impression d’être toute rouge et j’espère que c’est juste une sensation. J’essaye de trouver une conversation pas trop inintéressante mais malheureusement on ne parle que de futilité. Mais dans un certain sens cela m’arrange, je n’ai pas besoin de me dévoiler comme cela. Je me lève sous son regard ébahi.
L : je vais chercher à manger. Tu passes à table !
W (hésitant) : on pourrait peut-être manger ici ?
L (joviale) : oui si tu veux. J’amène le plat. Baguette ou fourchette ?
W : les deux si cela ne te dérange pas. Tu as besoin d’aide ?
L : non !
Je reviens une minute plus tard avec tous entre les mains. Je dépose le plat remplis de sushis et makis au centre du lit. Je lui tends ses couverts. Nos doigts se frôlent et je sens cette chaleur m’envahir, comme à chaque contact. Mes yeux se baissent instantanément et fixent autres choses.
W : on pioche dans le plat alors ?
L (gênée) : à part si cela te dérange ?
W (souriant) : non au contraire. C’est moins solennel !
L : par contre je n’ouvre pas de vin, on fini ta bouteille !
W : ça me va !
On commence à piocher tous les deux dans le plat qui nous fait face et on s’observe tel deux adolescents. Je remarque son sourire alors que je déguste littéralement chaque bouchée. Nos baguettes s’entrechoquent parfois, mais c’est tout aussi troublant que lorsque ce sont nos peaux. Il me semble à des années lumière de l’augure personnage que j’avais vu auparavant. Il est beaucoup plus décontracté, plus souriant, moins hautain, beaucoup plus naturel.
L : oh non, c’est mon préféré !
W : vraiment ?
Alors qu’il allait prendre le dernier sushi aux crevettes, je vois sa baguette faire demi-tour et venir en direction de ma bouche. Je me sens si bête ! C’est si romantique. Je n’ose pas prendre ce qu’il me propose mais son regard me fait comprendre qu’il ne fera rien pour me contrarier. Je m’avance légèrement, mes lèvres s’entrouvrent et nos regards ne se quittent plus. Je sens des papillons dans mon ventre comme rarement. Je croque la moitié du sushis et le regarde amusé. Il me sourit de plus belle. Je lui fais signe de la main que je partage avec lui et me regarde encore plus interdis. Je le vois alors manger sa moitié et nos regards ne peuvent se détacher l’un de l’autre. On finit le repas ainsi à se nourrir l’un l’autre sans même émettre un son, seul nos regards communiquent. Tout est si naturel, si simple. Chaque bouchée me fait frissonner. Seulement je ne sais pas trop si ce n’est pas le ton incendiaire de ces yeux qui me fait cela. J’espère juste que mon regard le rende dans le même état.
Je n’arrive plus à me concentrer. Ses yeux me regardent avec une telle obstination. D’habitude, elles baissent les yeux mais pas elle, elle supporte mon regard. Et cela me trouble comme jamais. Ses cheveux bougent malgré elle, à cause du petit vent qui vient de se lever. Son odeur vient chatouiller mon nez. Je commence à ne plus savoir que faire. Je meurs d’envie d’aller plus loin, de la serrer contre moi mais en même temps… elle est si différente des autres fois. Elle ressemble beaucoup plus à la personne dont me parlent Amaury et Sarah. Elle est naturelle, fraîche, dynamique, intelligente… arrêtes mon vieux, une fille pareil ne doit pas être seule. Mais je succombe sous le numéro de séduction que l’on a mis en place malgré nous. Ce silence est loin d’être pesant, au contraire il est relaxant. Seule la musique qui vient du salon nous perturbe. Je me suis rarement senti autant en confiance avec une femme surtout depuis PB. Ses lèvres qui s’entrouvrent chaque fois que j’avance mes baguettes vers elle sont comme des baisers qu’elle me donne. Je suis médusé par sa décontraction, son sourire. Je me laisse faire et me laisse me faire nourrir. Son regard est un petit peu plus malicieux lorsque ses baguettes s’approchent de mes lèvres. Je suis si bien que je pourrais rester ainsi jusqu’à la fin de mes jours. Alors que je vais pour lui attraper quelques choses dans le plat, je remarque qu’il est vide. Sans même sans rendre compte on a déjà tout manger. Nos regards se font attristés par la fin programmée de ce moment. Je ne bouge plus. Je ne veux pas rompre ce charme qui s’est installé entre nous.
L : tu veux un dessert ?
W : oui.
Je la vois se relever, un sourire aux lèvres. Elle disparaît ainsi dans son appart. Je me sens si seul tout d’un coup. Je passe mes mains sur mon visage pour reprendre un peu mes esprits.
Je me dirige vite fais dans la cuisine. J’essaye de calmer les ardeurs de mon cœur. Il faut dire que ces derniers moments furent plus qu’intenses. Je n’aurais jamais crut qu’un homme pouvait être aussi doux et romantique mais surtout aussi irrésistible. Une chose est sur c’est le meilleur anniversaire de ma vie. Je sors du frigo la mousse au chocolat que j’avais faites pour Tom, un paquet de gâteau… et voilà. Je reviens auprès de lui et je le vois allongé sur le dos, ses mains sur son visage. Je me demande ce qui peut lui passer par la tête. Il se retourne aussi tôt vers moi, un sourire s’affichant en même temps sur son visage. Je m’assois pour mettre le saladier entre nous.
L : je vais chercher des cuillères !
Il me retient le poignet d’une main. Et me tend de l’autre un biscuit qu’il a trempé dans la mousse. Je ne peux m’empêcher de me pincer les lèvres devant ce spectacle si attendrissant et sensuel. Comme une gamine je dévore le gâteau et fais de même pour lui. On recommence notre petit jeu, seulement parfois je nettoie au passage ses doigts légèrement chocolatés. Ce qui à chaque fois lui fait ouvrir en grands ces yeux bleus magnifiques. On a presque mangé la moitié du saladier. Je n’ai jamais autant mangé de ma vie. Il se rapproche, les yeux rivés sur mes lèvres. A quelques centimètres l’un de l’autre, je sens son souffle devenir plus rapide tout comme le mien. Son index caresse légèrement la commissure de mes lèvres. Je vois qu’il le met à sa bouche et déguste de ce fait le chocolat qui était resté sur ma peau. Je sens que mon cœur va exploser. Il me regarde si intensément et je ne peux m’empêcher de me pincer les lèvres et de passer ma langue furtivement là où il a posé son doigt. Sa main se pose sur ma hanche et je m’approche un peu plus de lui. Nos regards ne peuvent se séparer. Nos visages s’approchent dangereusement jusqu’à ce que nos lèvres se joignent enfin. J’ai l’impression de défaillir. C’est comme une explosion de saveurs et de sentiments. Mes mains parcourent immédiatement son dos et son crâne piquant. Seuls des petits soupirs émanent de nous. Nos langues se cherchent, se trouvent enfin… et on s’abandonne dans ce tourbillon qui nous submerge. Je sens que rien ne peut arrêter ce que nous avons commencer. Ses mains se font discrètes. Une d’elles passe légèrement dans mon dos alors que l’autre reste accroché à ma hanche. Nos lèvres se séparent enfin, il pose son front contre le mien. On sourit tous les deux.
W : je n’avais pas prévu.
L : moi non plus.
W : tu crois que cela va nous mener où ?
L (espiègle) : je ne sais pas. Pour ce soir en tout cas pas dans ta chambre !
W (se détachant et instaurant une distance entre eux) : ce n’est pas ce que je voulais dire.
L : je sais mais je préfère que ce soit clair.
W (souriant) : quoique je ne dirais pas non, pour la tienne !
L (se rapprochant de lui) : non plus.
W : tu veux y aller en douceur !
L : pas forcément. C’est juste que …
W : dis-moi !
L : la fille, la brune…
W : Mariana ?
L : oui, c’est sérieux entre vous ? je ne suis pas le genre de fille qui brise les couples…
W (mettant son index sur sa bouche) : stop ! C’est juste une amie, rien de plus. OK ?
L (posant son visage dans la main de Went) : vraiment ?
W : je te le jure. Je ne suis pas le genre à courir après plusieurs lièvres ! On s’entend extrêmement bien mais c’est tout.
Il me prend tout contre lui dans ses bras. Ainsi allongé dans les bras l’un de l’autre, je me sens si sereine, si bien. Tellement bien.
Je sens sa respiration ralentir petit à petit. Je n’ai pas le cœur de défaire mes bras autour d’elle. C’est comme si je découvrais de nouveau l’amour. Je ne veux pour rien au monde me défaire d’elle. Elle se rapproche encore plus de moi, ses jambes s’entrelacent aux miennes. Je remarque un plaid qui traîne sur le côté. Je lui pose sur elle, pour pas qu’elle prenne froid. Elle est tout aussi belle quand elle dort. Je me laisse bercer par sa respiration et mes paupières se font de plus en plus lourdes.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
ouaiiiiiiiiiiii enfin!!!
sont trop chou tout les 2! alors dans quel chambre??
la suite stp!!! c'est trop bien!!!!!!!
sont trop chou tout les 2! alors dans quel chambre??
la suite stp!!! c'est trop bien!!!!!!!
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
magnifique !!!!!! tres sensuelle !!!!!
j ' adore leur jeux avec la nourriture !!!! tres romantique
ils sont sous le charme de l ' un de l ' autre
il y a de quoi etre au ange !!!!!!
met vite la suite !!!!!!
merci enneade !!!!!!! j ' en reve !!!!!!
j ' adore leur jeux avec la nourriture !!!! tres romantique
ils sont sous le charme de l ' un de l ' autre
il y a de quoi etre au ange !!!!!!
met vite la suite !!!!!!
merci enneade !!!!!!! j ' en reve !!!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
je viens de rattraper les deux suites, je les avait encore pas vu, honte sur moi
ça marche toujours la mousse au chocolat, essaie la salade de fruit aussi
c'était super bien décrit, et j'en ai eu des frissons quand ils se sont embrassés surtout que je ne m'y attendais pas vraiment
je me suis dit qu'avec ton sadisme, quelqu'un allait les déranger ou que la pluie allait tomber...........
Alors maintenant, vivement la suite et la nuit
ça marche toujours la mousse au chocolat, essaie la salade de fruit aussi
c'était super bien décrit, et j'en ai eu des frissons quand ils se sont embrassés surtout que je ne m'y attendais pas vraiment
je me suis dit qu'avec ton sadisme, quelqu'un allait les déranger ou que la pluie allait tomber...........
Alors maintenant, vivement la suite et la nuit
collen- Déchiffre l'origami
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neighbors CHAP 9 (MAJ 11/7)
C'était trop mignon , surtout Went qui lui explique que Marianna n'est qu'une amie...
Mets vite une suite
Mets vite une suite
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : Ailleurs
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Wouahhhhhhhhhhhhhhhh super ils sont trop mignon tous les deux!!!
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Sont trop trop chou tous les deux .... AAAAAAAAHHHHH vite la suite !
nath- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Aller moi aussi jvais faire la même chose dans mon parc, c'est trop attendrissant ce passage, c'est bien ils ont franchi un cap, faut y aller en douceur, mais est ce que Marianna ne va pas piqué une crise?? vu comment elle regarde Lisa a chaque fois
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
bon je ne fais pas ma grêve!!! je vous mets déjà une petite suite ici... je sens que vous allez aimer
CHAP 10 :
Mes yeux s’ouvrent lentement. La lumière m’aveugle. Je me sens toute vaseuse. Je sens un corps contre le mien. J’entrouvre un peu plus mes paupières et je me rends compte que je me suis endormi dehors, dans ses bras. Je tourne doucement la tête et je vois son visage angélique posé à côté du mien. Ses paupières oscillent légèrement. Je ne voulais pas le réveiller. Je vois un petit sourire s’esquisser au coin de ses lèvres. Ses bras me serrent un peu plus contre lui. Je me laisse happer par la sensation de douceur qu’il me procure. Ses yeux ont du mal à s’ouvrir mais il me regarde.
W : bonjour.
L : je ne voulais te réveiller.
W (s'étirant) : t’inquiète. Tu as bien dormi ?
L : je suis désolé. Mais j’étais vraiment épuisé et…
W (la coupant) : j’ai adoré que tu t’endormes auprès de moi et j’apprécie encore plus que l’on se réveille l’un à côté de l’autre.
L (resserant ses bras autour de son torse) : je suis bien près de toi.
W : j’espère car je ne suis pas prêt de te laisser t’éloigner.
L : malgré mon sale caractère et le fait qu’au début c’était assez tendu !
W : je crois que j’adore les filles qui ont du caractère et qui me tienne tête. Surtout quand elles sont aussi douces que toi en réalité ! Et puis, je n’ai pas été des plus sympa non plus !
L : oui, un peu froid tout de même !
Il me regarde avec ce sourire qui me fait craquer. Sans que j’ai eut le temps de réaliser, il m’a retourné sur le dos et me domine. Alors que ses mains me chatouillent les flancs, je me tords sous son corps puissant. Il me regarde concentré sur son action. Mais sans attendre plus, il s’empare de mes lèvres. Un baiser fougueux et audacieux commence. Je n’arrive pas à me défaire et je n’en ai pas envie. Nos mains se baladent langoureusement sur nos corps encore endormis. On essaye de reprendre nos souffles et mes yeux tombent alors que le cadran de sa montre. Je sens que mes yeux sont en train de tomber.
L : oh ! Merde, je dois y aller.
W : quoi ? j’ai fait …
L (courant vers l’intérieur de l’appartement) : je bosse aujourd’hui.
W (s’écroulant sur le lit) : ah !
Putain de merde, je dois être dans un quart d’heure à la boutique. Je déverse la moitié de mon armoire sur mon lit pour arriver à m’habiller. Je dois être ultra mode, branchée au boulot. J’attrape une petite robe blanche un peu style empire qui m’arrive un peu au-dessus de genoux. Je remonte vite fait mes cheveux et fait tomber quelques mèches. Je file vers la salle de bain pour me maquiller. Dès que je sors, je le vois accoudé au mur du couloir. Il est là à m’observer et je le regarde désemparé. Je n’ai jamais eut aussi pu envie d’aller travailler. Mais je me dis que ce soir sera vite là. Je m’avance timidement vers lui alors qu’il me regarde toujours avec ce petit œil malicieux. Ses bras enserrent ma taille. Je me tends sur la pointe des pieds pour déposer mes lèvres sur les siennes mais je remarque qu’il est obligé de se pencher pour que je puisse l’atteindre. Son sourire me transporte dans un autre monde mais je dois rester concentré.
L : on dîne ensemble ce soir ?
W (peiné) : euh ! désolé mais…
L (déçue) : tu as autre chose de prévu. Ce n’est pas grave, on peut remettre ça !
W (laissant ses doigts parcourir son visage) : non, c’est que mon avion décolle à 12h pour Dallas. Mais promis, je rentre samedi matin et je passe tout mon week-end avec toi !
L (se serrant contre lui) : d’accord. Tu vas me manquer.
W : tu ferais mieux d’y aller. Je t’appelle ce soir, d’accord.
L (ouvrant la porte d’entrée) : oui. Tiens c’est mon numéro. Fais un bon voyage.
W : travaille bien.
Il m’embrasse une dernière fois sur le pas de ma porte. Je sens qu’il est aussi déçu que moi que l’on se sépare ainsi. Je lui vole un dernier baiser ce qui le fait sourire et cours pour essayer d’arriver avec le moins de retard possible.
Une semaine qu’on passe nos soirées au téléphone ensemble. J’ai tellement hâte d’être à demain. Je me suis arrangé avec Jess pour commencer plus tôt et finir à midi. Histoire que l’on puisse être ensemble un peu plus longtemps. Depuis ce matin je travaille au ralenti, j’ai la tête ailleurs. Heureusement que la journée est calme, cela me permet de dessiner un peu mes créations. Alors que je range deux, trois vêtements qui sont en cabine je vois arriver un homme directement vers moi. Je le reconnais à peine mais dès qu’il arrive à ma hauteur je reconnais Paul Scheuring.
P (brut) : Lisa, je peux vous parler ?
L (surprise) : oui, bien sûr. Vous n’êtes pas à Dallas ?
P : non, j’avais des petites choses à régler ici. Voilà, on peut discuter tranquille ici ?
L : oui bien sûr. Je suis toute seule en ce moment. Les autres filles sont en pause.
P (rassuré) : parfait. Voilà, j’ai vraiment apprécier votre travail la dernière fois et Sarah ne jure que par vous.
L (gênée) : merci mais elle en fait toujours un peu trop !
P (droit dans les yeux) : voilà, je vous propose de travailler avec nous. La costumière est partie sur un autre projet et j’aimerai que vous la remplaciez. Vous aurez la charge d’habiller les acteurs pour la série et les soirées officielles. Ça vous tente ?
L (ahurie) : ben ! Je ne sais pas. J’adore mon travail ici et…
P (persuasif) : Amaury m’a parlé de vos créations. Ce serait une chance pour vous de les faire connaître. Réfléchissez-y et donnez-moi votre réponse dimanche soir. Le tournage reprend lundi, donc si vous êtes partantes ! !
L : c’est… je ne sais pas quoi vous dire.
P : Appelez-moi dimanche. Et puis parlez en avec Amaury et Sarah ou même Went, ils vous expliqueront. Sarah rentre ce soir et les garçons aussi normalement. Ils ont mis les bouchées doubles.
L (effarée) : merci. Je vous appelle. Promis.
La journée se passe et je suis sur un petit nuage. Je me dis que cette proposition est unique et énorme. Elle pourrait me permettre d me faire un nom. De plus si j’ai bien compris, il se peut que Went rentre ce soir. Je suppose qu’il ne m’a rien dit car il n’était pas sur. Je rêvasse chez moi et passe ma nuit à réfléchir. Je m’endors hésitante sur le canapé. Quoi faire sauter sur cette opportunité et allié peut-être vie professionnelle et affective ou rester ainsi !
Je me réveille péniblement et l’horloge de la cuisine m’indique 6h du matin. Je suis total dans le brouillard. Je m’étire et me dirige vers la cafetière avec la même incertitude qu’en m’endormant. Même si j’ai une petite préférence pour aller à Dallas. Alors que je me verse mon café je remarque que la voiture de Went est garée dans l’allée. Il a du rentrer cette nuit assez tard car je ne l’ai pas entendu. Je vais dans le jardin pour profiter de la douceur de lever du jour. Je m’assois sur un transat au bord de la piscine, mon mug dans une main, un croissant dans l’autre. Je regarde alors vite fait sa terrasse mais je ne vois rien à part ses volets ouverts. Il est là ! Je plonge mon regard dans ma tasse en rêvassant à la journée que l’on va passer.
Des bruits me sortent de ma rêverie. Des gémissements rauques, un nom qui revient sans cesse : Wenty. Mes yeux fixent l’endroit d’où le son vient et je me demande si je ne deviens pas folle. Je n’arrive plus à penser, je suis horrifiée, pétrifiée. Au bout de cinq minutes qui me semblent des heures je vois une femme qui sort de sa chambre qui donne sur la terrasse. Simplement habillée d’une chemise, d’homme. Elle fume une clope de manière nonchalante en me tournant le dos. Mais je remarque que c’est elle. Celle qui n’est qu’une amie : Marianna.
Je me dirige vers ma chambre en pleur. Je ne sais pas pourquoi mes larmes sont montées aussi vite et pourquoi je n’arrive pas à les retenir. Je me suis juste encore une fois fais berner par un type. Je prends un sac, deux trois affaires. J’enfile mon jean et un t-shirt. Je sors de chez moi et téléphone à Jess sans plus attendre, sans même prendre le soin de vérifier l’heure qu’il est.
Jess (toute petite voix) : allô, Lisa ?
L (essayant de maîtriser ses sanglots) : je ne vais pas au boulot aujourd’hui. Je ne peux pas. J’ai besoin de prendre l’air.
Jess : Lisa qu’est-ce qui se passe. C’est Eric ?
L : non, j’ai juste besoin de me changer les idées. Je te rappelle.
Amaury : ça va ?
L : tu es… toi et Amaury ?
Jess : je t’expliquerai mais dis-moi ce que tu as ?
L : rien. Désolé de vous avoir dérangé !
Je démarre en trombe ma voiture. Je me dis qu’une fois de plus je me suis fait avoir. Je roule sans vraiment savoir où je vais. Une chose est sûr il était là. Sa voiture est garée devant la maison. Amaury devait rentrer avec cet abruti et lui il était à LA donc l’autre espèce de… aussi ! !
CHAP 10 :
Mes yeux s’ouvrent lentement. La lumière m’aveugle. Je me sens toute vaseuse. Je sens un corps contre le mien. J’entrouvre un peu plus mes paupières et je me rends compte que je me suis endormi dehors, dans ses bras. Je tourne doucement la tête et je vois son visage angélique posé à côté du mien. Ses paupières oscillent légèrement. Je ne voulais pas le réveiller. Je vois un petit sourire s’esquisser au coin de ses lèvres. Ses bras me serrent un peu plus contre lui. Je me laisse happer par la sensation de douceur qu’il me procure. Ses yeux ont du mal à s’ouvrir mais il me regarde.
W : bonjour.
L : je ne voulais te réveiller.
W (s'étirant) : t’inquiète. Tu as bien dormi ?
L : je suis désolé. Mais j’étais vraiment épuisé et…
W (la coupant) : j’ai adoré que tu t’endormes auprès de moi et j’apprécie encore plus que l’on se réveille l’un à côté de l’autre.
L (resserant ses bras autour de son torse) : je suis bien près de toi.
W : j’espère car je ne suis pas prêt de te laisser t’éloigner.
L : malgré mon sale caractère et le fait qu’au début c’était assez tendu !
W : je crois que j’adore les filles qui ont du caractère et qui me tienne tête. Surtout quand elles sont aussi douces que toi en réalité ! Et puis, je n’ai pas été des plus sympa non plus !
L : oui, un peu froid tout de même !
Il me regarde avec ce sourire qui me fait craquer. Sans que j’ai eut le temps de réaliser, il m’a retourné sur le dos et me domine. Alors que ses mains me chatouillent les flancs, je me tords sous son corps puissant. Il me regarde concentré sur son action. Mais sans attendre plus, il s’empare de mes lèvres. Un baiser fougueux et audacieux commence. Je n’arrive pas à me défaire et je n’en ai pas envie. Nos mains se baladent langoureusement sur nos corps encore endormis. On essaye de reprendre nos souffles et mes yeux tombent alors que le cadran de sa montre. Je sens que mes yeux sont en train de tomber.
L : oh ! Merde, je dois y aller.
W : quoi ? j’ai fait …
L (courant vers l’intérieur de l’appartement) : je bosse aujourd’hui.
W (s’écroulant sur le lit) : ah !
Putain de merde, je dois être dans un quart d’heure à la boutique. Je déverse la moitié de mon armoire sur mon lit pour arriver à m’habiller. Je dois être ultra mode, branchée au boulot. J’attrape une petite robe blanche un peu style empire qui m’arrive un peu au-dessus de genoux. Je remonte vite fait mes cheveux et fait tomber quelques mèches. Je file vers la salle de bain pour me maquiller. Dès que je sors, je le vois accoudé au mur du couloir. Il est là à m’observer et je le regarde désemparé. Je n’ai jamais eut aussi pu envie d’aller travailler. Mais je me dis que ce soir sera vite là. Je m’avance timidement vers lui alors qu’il me regarde toujours avec ce petit œil malicieux. Ses bras enserrent ma taille. Je me tends sur la pointe des pieds pour déposer mes lèvres sur les siennes mais je remarque qu’il est obligé de se pencher pour que je puisse l’atteindre. Son sourire me transporte dans un autre monde mais je dois rester concentré.
L : on dîne ensemble ce soir ?
W (peiné) : euh ! désolé mais…
L (déçue) : tu as autre chose de prévu. Ce n’est pas grave, on peut remettre ça !
W (laissant ses doigts parcourir son visage) : non, c’est que mon avion décolle à 12h pour Dallas. Mais promis, je rentre samedi matin et je passe tout mon week-end avec toi !
L (se serrant contre lui) : d’accord. Tu vas me manquer.
W : tu ferais mieux d’y aller. Je t’appelle ce soir, d’accord.
L (ouvrant la porte d’entrée) : oui. Tiens c’est mon numéro. Fais un bon voyage.
W : travaille bien.
Il m’embrasse une dernière fois sur le pas de ma porte. Je sens qu’il est aussi déçu que moi que l’on se sépare ainsi. Je lui vole un dernier baiser ce qui le fait sourire et cours pour essayer d’arriver avec le moins de retard possible.
Une semaine qu’on passe nos soirées au téléphone ensemble. J’ai tellement hâte d’être à demain. Je me suis arrangé avec Jess pour commencer plus tôt et finir à midi. Histoire que l’on puisse être ensemble un peu plus longtemps. Depuis ce matin je travaille au ralenti, j’ai la tête ailleurs. Heureusement que la journée est calme, cela me permet de dessiner un peu mes créations. Alors que je range deux, trois vêtements qui sont en cabine je vois arriver un homme directement vers moi. Je le reconnais à peine mais dès qu’il arrive à ma hauteur je reconnais Paul Scheuring.
P (brut) : Lisa, je peux vous parler ?
L (surprise) : oui, bien sûr. Vous n’êtes pas à Dallas ?
P : non, j’avais des petites choses à régler ici. Voilà, on peut discuter tranquille ici ?
L : oui bien sûr. Je suis toute seule en ce moment. Les autres filles sont en pause.
P (rassuré) : parfait. Voilà, j’ai vraiment apprécier votre travail la dernière fois et Sarah ne jure que par vous.
L (gênée) : merci mais elle en fait toujours un peu trop !
P (droit dans les yeux) : voilà, je vous propose de travailler avec nous. La costumière est partie sur un autre projet et j’aimerai que vous la remplaciez. Vous aurez la charge d’habiller les acteurs pour la série et les soirées officielles. Ça vous tente ?
L (ahurie) : ben ! Je ne sais pas. J’adore mon travail ici et…
P (persuasif) : Amaury m’a parlé de vos créations. Ce serait une chance pour vous de les faire connaître. Réfléchissez-y et donnez-moi votre réponse dimanche soir. Le tournage reprend lundi, donc si vous êtes partantes ! !
L : c’est… je ne sais pas quoi vous dire.
P : Appelez-moi dimanche. Et puis parlez en avec Amaury et Sarah ou même Went, ils vous expliqueront. Sarah rentre ce soir et les garçons aussi normalement. Ils ont mis les bouchées doubles.
L (effarée) : merci. Je vous appelle. Promis.
La journée se passe et je suis sur un petit nuage. Je me dis que cette proposition est unique et énorme. Elle pourrait me permettre d me faire un nom. De plus si j’ai bien compris, il se peut que Went rentre ce soir. Je suppose qu’il ne m’a rien dit car il n’était pas sur. Je rêvasse chez moi et passe ma nuit à réfléchir. Je m’endors hésitante sur le canapé. Quoi faire sauter sur cette opportunité et allié peut-être vie professionnelle et affective ou rester ainsi !
Je me réveille péniblement et l’horloge de la cuisine m’indique 6h du matin. Je suis total dans le brouillard. Je m’étire et me dirige vers la cafetière avec la même incertitude qu’en m’endormant. Même si j’ai une petite préférence pour aller à Dallas. Alors que je me verse mon café je remarque que la voiture de Went est garée dans l’allée. Il a du rentrer cette nuit assez tard car je ne l’ai pas entendu. Je vais dans le jardin pour profiter de la douceur de lever du jour. Je m’assois sur un transat au bord de la piscine, mon mug dans une main, un croissant dans l’autre. Je regarde alors vite fait sa terrasse mais je ne vois rien à part ses volets ouverts. Il est là ! Je plonge mon regard dans ma tasse en rêvassant à la journée que l’on va passer.
Des bruits me sortent de ma rêverie. Des gémissements rauques, un nom qui revient sans cesse : Wenty. Mes yeux fixent l’endroit d’où le son vient et je me demande si je ne deviens pas folle. Je n’arrive plus à penser, je suis horrifiée, pétrifiée. Au bout de cinq minutes qui me semblent des heures je vois une femme qui sort de sa chambre qui donne sur la terrasse. Simplement habillée d’une chemise, d’homme. Elle fume une clope de manière nonchalante en me tournant le dos. Mais je remarque que c’est elle. Celle qui n’est qu’une amie : Marianna.
Je me dirige vers ma chambre en pleur. Je ne sais pas pourquoi mes larmes sont montées aussi vite et pourquoi je n’arrive pas à les retenir. Je me suis juste encore une fois fais berner par un type. Je prends un sac, deux trois affaires. J’enfile mon jean et un t-shirt. Je sors de chez moi et téléphone à Jess sans plus attendre, sans même prendre le soin de vérifier l’heure qu’il est.
Jess (toute petite voix) : allô, Lisa ?
L (essayant de maîtriser ses sanglots) : je ne vais pas au boulot aujourd’hui. Je ne peux pas. J’ai besoin de prendre l’air.
Jess : Lisa qu’est-ce qui se passe. C’est Eric ?
L : non, j’ai juste besoin de me changer les idées. Je te rappelle.
Amaury : ça va ?
L : tu es… toi et Amaury ?
Jess : je t’expliquerai mais dis-moi ce que tu as ?
L : rien. Désolé de vous avoir dérangé !
Je démarre en trombe ma voiture. Je me dis qu’une fois de plus je me suis fait avoir. Je roule sans vraiment savoir où je vais. Une chose est sûr il était là. Sa voiture est garée devant la maison. Amaury devait rentrer avec cet abruti et lui il était à LA donc l’autre espèce de… aussi ! !
ENNEADE- Retrouve Steadman
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neighbors CHAP 10 (MAJ 13/7)
Oh! non!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tu peux tout de même pas leur faire ca, je suis sure qu'il s'agit d'un gros malentendu, Went ne peut pas être ce genre d'homme tout de même, même dans une fic!!!!
Mets vite une suite stp!!!!!
Mets vite une suite stp!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
magnifque suite !!!!!!!
moi aussi mon homme me fait sa , je le prendrais tres tres mal , : furieuse meme
et j ' irai l ' etriper cette petasse !!!!! et a lui je lui ferrai la peau
c 'est dure pour lisa !!!!!! la pauvre
tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!
met la suite , met la suite !!!!!!!!
bise
moi aussi mon homme me fait sa , je le prendrais tres tres mal , : furieuse meme
et j ' irai l ' etriper cette petasse !!!!! et a lui je lui ferrai la peau
c 'est dure pour lisa !!!!!! la pauvre
tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!
met la suite , met la suite !!!!!!!!
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
QUE TU ES SADIQUE, QUAND MEME !!!!!!
BON TU AS UN WEEK END POUR ARRANGER CA
J'ADORE, TU LE SAIS CONTINU
BON TU AS UN WEEK END POUR ARRANGER CA
J'ADORE, TU LE SAIS CONTINU
Erin- Admis à l'infirmerie
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Mais qu'est ce quel fou chez lui Marianna??? voilà maintenant elle va gaché leur week-end, et la mienne par la même occasion jvais lui faire sa fête a cette espece de trainé
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
La suite
Tu peux pas faire ca !!!
Vite une suite !!!!
Tu peux pas faire ca !!!
Vite une suite !!!!
Astrid- En route pour la frontière
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
alors une suite ici aussi pour aujourd'hui!!
chap 11 :
Presque deux mois que je n’ai pas remis les pieds à Los Angeles. Deux mois que je suis partis sans regarder en arrière, vers New-York. Je suis resté trois jours enfermé chez Fred à pleurer comme une madeleine alors que je suis à peine sorti un soir avec lui, mais j’avais si confiance en lui. Le lundi j’ai décliné l’offre de Paul Scheuring qui malgré le fait que se soit par téléphone n’en croyait pas ses oreilles. Puis j’ai pris le premier avion pour New-York. Seul Jess et Fred savent où je suis. Mais voilà, je dois rendre cet appartement ou bien accepter de revenir pour travailler dans la succursale de LA. Ah ! Oui, j’ai quitté mon boulot aussi !! Je ne voulais plus avoir le moindre contact avec lui. Je me retrouve devant cette porte et tout se trouble. Je n’ai pas envie d’aller plus loin mais je dois prendre ma décision. Seulement mon boss aimerait que je supervise les créations depuis LA… comme si cela n’était pas assez compliqué !! Quoique je peux rester ici et emménager ailleurs ! Je ne sais pas grand-chose de ce qui se passe dans le coin depuis. Amaury a essayé de savoir mais je ne lui aie rien dit et j’ai prétexté une incompatibilité d’humeur… qu’il a gentiment gobé, sans me poser de questions. Mais il sait que je l’aime beaucoup et je ne veux pas que par ma faute son amitié soit gâché avec Went. J’ouvre la porte et je retrouve plein de cartons. Jess et Fred m’avaient dis qu’ils avaient essayé de faire au mieux pour que je puisse quitter les lieux. Aucune voiture, ses volets sont fermés. Amaury ne m’a pas menti. Ils sont en Floride tout le mois pour tourner la fin de la saison, donc ils ne font pas les allers-retours aussi souvent. Au bout de quelques minutes, je me rends compte que mon appartement, mon chez moi m’avait manqué. Je commence à me dire que j’aimerai rester ici, que je pourrais le faire, je tournoi dans mon salon. Je vais vers ma chaine qui est encore branché et je mets un CD de classique, le Lac des cygnes, de Tchaïkovski et je me mets à danser au milieu de mon salon. Mais sans mes pointes, c’est beaucoup moins faciles. J’entends du bruit à la porte et je vais voir. Je Vois Jess à ma porte avec un grand sourire.
J (les deux poings sur les hanches et hilare) : alors ma grande, tu restes ou tu te barres ?
L (haussant les épaules) : je ne sais pas !!
J (la prenant dans ses bras) : faudrait savoir, tu ne crois pas !
Au même moment, juste derrière elle, je vois Eric qui avance. Jess se retourne et leurs regards se croisent et comme chaque fois les étincelles pullulent. Je vois le regard sombre de Jess qui me foudroie alors qu’Eric rentre dans l’appartement en me déposant un baiser sur la joue.
J (furibonde) : tu te fous de moi là, tu t’es remise avec lui ?
L (calme) : Jess, je sais que… il a changé, d’accord. Laisse-lui une chance.
J : quand Fred ou Amaury le seront, ils seront furieux ! Merde la dernière fois, ce n’était pas beau à voir.
L : il ne se drogue plus.
J : fais comme tu veux mais ne te pleins pas !
L : promis !
J : je te laisse. Je vais rentrer.
L : ok. Je t’appelle pour te dire, ce que je fais !
J : oui, si tu veux demain soir Amaury sera rentré, donc on dîne ensemble.
L : il…
J : lui seul, rentre ! Tu ferais mieux de tirer tout ça au clair avant que ça n’aille trop loin. (Lançant un œil vers Eric)
Je la laisse partir et je continue à faire mes cartons sous le regard attentif d’Eric. Même s’il à des défauts, je sais qu’il est sincère avec moi et qu’il veut vraiment nous redonner une chance. Je laisse passer ainsi la soirée et le lendemain sans même chercher à analyser quoique se soit. Je profite pleinement de ma journée avec Eric et il me fait vite comprendre qu’il ne préfère pas s’imposer pour la petite soirée car il trouve que cela est trop tôt. Les autres ne l’accepteront pas.
Je m’habille comme d’habitude décontracte et Jess vient me chercher. De cette façon Eric n’est pas cloisonné dans l’appartement. Je passe la soirée chez Amaury qui est ravi de me revoir. J’ai l’impression que cela fait une éternité que je ne l’ai pas vu. Je leur raconte ma vie New-Yorkaise dans une des plus prestigieuses maisons de couture. Ils sont ravis pour moi mais bien sûr j’omets délibérément de parler du retour d’Eric dans ma vie. A ma grande surprise, pour le dessert Sarah viens nous voir. Je regarde Amaury d’un air suspicieux et il m’informe que mon cher voisin, comme il aime à l’appeler et bloqué en Floride pour des prises de vues. Sarah est resplendissante et la grossesse lui va à merveille. Elle me demande au bout de moult chemins détournés si je ne peux pas l’accompagner demain faire les boutiques car elle doit s’habiller pour une soirée. On se donne alors rendez-vous le lendemain chez moi.
Lorsqu’Amaury me raccompagne, je suis soulagé de voir que la lumière est éteinte, donc pas d’explication à lui donner. Il me sert dans ses bras et me dis qu’il aimerait vraiment que je reste ici.je lui sourit et le quitte. Je ferme la porte doucement et je le vois face à moi. Son regard est noir, dur. Sans même que j’ai le temps de prononcé un mot, je sens son poing qui s’abat sur ma tempe et qui me cloue au sol.
E : c’est qui se mec ? Tu n’es qu’une pute !
J’essaye de me relever mais il m’attrape fortement le bras et me bloque contre le mur.
E : tu couches avec ?
L : non, c’est le copain de Jess ! Je t’en supplie !
J’ai à peine le temps de finir ma phrase que sa main claque sur mon visage, puis sur mes côtes. Il me traîne jusque dans ma chambre, sur mon lit…
Le lendemain, je m’extirpe tant bien que mal de mon lit… je regarde tout autour de moi et je ne vois personne. Il n’est plus là. Je soupirs de soulagement. Je regarde ma montre et remarque qu’encore une fois je me suis transformé en marmotte. J’ai à peine le temps de me regarder dans le miroir de la chambre que j’entends la sonnette retentir, Sarah ! Oh mon dieu ! J’enfile un peignoir et rabats mes cheveux sur mon visage et je fonce lui ouvrir. Je lui dis à peine bonjour et file sous la douche en prétextant une panne de réveil. Je regarde mon visage et me rends bien compte que même avec du fond de teint, cela sera difficile à faire passer. Je reviens vers elle maquillé, un jean et une chemise. Son regard se fixe aussitôt sur ma tempe bleutée et boursouflée. Je la regarde en lui suppliant de ne pas poser de questions. Nos regards se croisent et elle baisse le sien en résignation. Je me sens mal de lui faire ceci mais je ne peux pas lui répondre.
Je rentre du shopping plus tard que j’aurais pensé. Il est presque 20h et Sarah ne voulais pas que je rentre seule. J’aurais voulu lui demandé de ne rien dire à Amaury mais je n’ai pas osé. Je vois Eric chez moi, affalé dans le canapé entre les cartons. Je remarque des traces blanches sur la table basse. Je soupire devant le constat de cet échec. Je n’arrive pas à me dire qu’il n’a pas changé dans le fond. Son regard sombre me foudroie une nouvelle fois. Avant même qu’il ne me pose la moindre question, je devance.
L : j’étais avec Sarah, elle avait besoin de conseil pour s’habiller pour une soirée.
E : oui. Un latino, un métis… tu t’ennuis pas ici. Je comprends pourquoi tu ne voulais pas que je vienne.
L : quoi mais de quoi tu me parles ?
E : ne te moques pas de moi ! Tu croyais que je ne verrais rien ! Tu te l’es fais l’autre nègre ? Tu aimes l’exotisme maintenant. Tu aurais du le dire !
Avant même d’avoir le temps de dire quelque chose je sens sa main qui atterrit sur ma peau, mes cheveux qui se font tirer. Ses coups se font de plus en plus violents. Quoique de toute façon avec mon gabarit de poids plume cela ne fait pas une grande différence. Ces mots sont de plus en plus rudes, acres… j’ai envie de vomir…ma tête tournois ! Je me suis fais prendre à mon propre piège. Il a sut retrouver les mots pour me séduire alors que j’étais faible et là il redevient l’homme que j’avais quitté et peut-être pire encore. Ma tête tournois de plus en plus, je me sens mal…
Des bruits incessants me cognent dans le crâne, mes yeux ont du mal à s’ouvrir. Je me sens faible. Je regarde autour de moi mais je ne le vois plus. Les bruits ont cessés. J’essaye de me lever. Il faut que je mette de la glace sur mon visage, il faut que je sorte d’ici mais pour aller où ? Je remarque que mon chemisier est en lambeaux, mon jean à valser dans la chambre. Je me maudis encore plus. J’enfile mon peignoir kimono et je m’avance comme je peux dans le couloir. J’entends des voix, je les reconnais.
E (grand sourire) : Vous êtes sont voisins, enchanté de vous rencontrer. Elle est dans son bain mais je peux vous aider ?
W : oui j’ai besoin de sucre. J’ai oublié d’en acheter. Je suis distrait par fois.
E : je suis désolé mais cela doit être dans les cartons. Oui, on déménage bientôt, vous comprenez ?
W : oui. Cela fait longtemps qu’elle n’est plus ici. Vous lui direz juste que ses amis…
Je n’arrive pas à le croire il est là à se pavaner devant cette porte alors qu’il vient de me foutre en l’air. Je ne sais plus quoi faire, si j’avance et que Went me voit ainsi mais d’un autre côté, me demandé du sucre… je trouve cela louche et puis je croyais qu’il était en Floride…
je m’appuis contre le mur et je bute contre un carton, ce qui fait un bruit monstre. Le regard d’Eric me foudroie sur place. Je suis morte de peur par ses yeux qui me transpercent. A ce moment je n’arrive plus à bouger alors que je devrais courir de toutes mes forces pour m’enfuir d’ici. C’est alors que Went en profite pour faire un pas dans l’appartement et dirige son regard dans ma direction. Je vois la haine dans le sien mais pas la même. Ses mâchoires se crispent. J’ai à peine le temps de cligner les paupières qu’Eric est maintenu contre le mur écrasé sous le poids de Went qui le maintient fortement au niveau du col. J’entends à peine ce qu’il lui dit que ma tête tourne de nouveau.
J’ai du mal à rester concentrer. J’entends juste Eric profaner des menaces envers moi, et Went qui se dirige vers moi. Ma tête tombe littéralement sur son torse. Son odeur, sa chaleur… je me rends compte que je fuyais tout ceci car cela avait était trop agréable. Ses bras m’enserrent légèrement.
W (lui caressant les cheveux) : ça va aller. Il ne te touchera plus.
L: comment tu as su ?
W : Sarah a téléphoné à Amaury alors que j’étais avec lui sur son portable. Il ne devrait plus tarder.
L : merci.
W : pourquoi ? Lisa! Lisa !
Je l’écarte légèrement de moi et me rend compte qu’elle à perdu connaissance.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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neighbors CHAP 11 (MAJ 16/7)
Pauvre Lisa!!!! J'allais cet Eric, mais Went s'en est déjà occupé, il est vraiment génial d'être venu à son secours:in love:
Mets vite une suite!!!!
Mets vite une suite!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
alalallalallalalal c'est tro bien !!!!! oups ... c'est pas se que je voulais dire !!! j'adore vraiment a la folie ton histoire et je te supli de méttre une suite avant mercredi (je par mercredi ) méme une se soir je suis sur que tu peut faire sa !!!!! je t'en suppliiiiii
eric je l'aurai buté qel connard drogué violent salooooop
je le hai !!!!!!!
pauvre lisa ..... went tu a intéré a nous donner des esplication !!!!! non mais franchement !!!!! tien toi aussi tu le mérite aprés tout
heureusement qu'il la sauvait !!!!!! c'est le plus fort !!!!!! il l'aime toujours si il a fraper eric non ? donc sa veut dire que mariana est une salop et qu'il a jamais couché avec elle ? dit c'est sa non ???
bon aller je te demande vraiment a genoux en léchant le sol (c'est une image ) de me méttre une autre suite !!!!!
eric je l'aurai buté qel connard drogué violent salooooop
je le hai !!!!!!!
pauvre lisa ..... went tu a intéré a nous donner des esplication !!!!! non mais franchement !!!!! tien toi aussi tu le mérite aprés tout
heureusement qu'il la sauvait !!!!!! c'est le plus fort !!!!!! il l'aime toujours si il a fraper eric non ? donc sa veut dire que mariana est une salop et qu'il a jamais couché avec elle ? dit c'est sa non ???
bon aller je te demande vraiment a genoux en léchant le sol (c'est une image ) de me méttre une autre suite !!!!!
dadoubloo- Origami de Michael
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
oh la pauvre !! heuresement que Went est arrivé
vivement la suite!!!!!
vivement la suite!!!!!
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
put*in , mais qu 'elle conn*rd ce eric !!!!!!!!!!!!!
je l ' aurai caster ce sale putois !!!!!!!
heureusement que went est arriver a temps , went va plus la laisser
la pauvre lisa !!!!!!
tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!!
met vite la suite !!!!!!!!
je l ' aurai caster ce sale putois !!!!!!!
heureusement que went est arriver a temps , went va plus la laisser
la pauvre lisa !!!!!!
tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!!
met vite la suite !!!!!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
je suis trop triste, elle ne mérite pas çà la pauvre !
Allez, c'est vraiment toujours aussi bien et quand on arrive au bout, on a toujours ha^te d'etre déjà à la prochaine, un mélange de frustration et de désir...
Continue !
Allez, c'est vraiment toujours aussi bien et quand on arrive au bout, on a toujours ha^te d'etre déjà à la prochaine, un mélange de frustration et de désir...
Continue !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
virginie a écrit:put*in , mais qu 'elle conn*rd ce eric !!!!!!!!!!!!!
je l ' aurai caster ce sale putois !!!!!!!
heureusement que went est arriver a temps , went va plus la laisser
la pauvre lisa !!!!!!
tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!!
met vite la suite !!!!!!!!
Tu m'enlève les mots de la bouche!!!!!!!
Je redemande une suite en URGENCEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: neighbors CHAP23 stop plus de lectrice...la suite ailleurs!
Vite vite vite!
La suite!
La suite!
Astrid- En route pour la frontière
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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