Erin - Par Amour
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ENNEADE
Erin
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Erin - Par Amour
magnifique suite !!!!!!!!
merci pour les suites
j ' espere que louane va vite avoir confiance en went !!!
parce qu 'il sont vraiment romantique !!!!!!
je suis impatiente de lire la suivante ,
met vite la suite , please
merci pour les suites
j ' espere que louane va vite avoir confiance en went !!!
parce qu 'il sont vraiment romantique !!!!!!
je suis impatiente de lire la suivante ,
met vite la suite , please
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Erin - Par Amour
j'aime beaucoup ta fic , on peut espérer une autre suite ce soir ??? louane va quand même pas repartir pour son boulot !elle peut en trouver près de chez went !!!
bref , j'attend ta suite avec impatience
bref , j'attend ta suite avec impatience
miss3382- Origami de Michael
- Nombre de messages : 114
Date d'inscription : 30/07/2007
Re: Erin - Par Amour
Super originale cette fiiiic franchement jadooore ne plus tu poste très souvent et tu postera surement se soir hein diit ?
Mais attend jespere qu'elle ne va pas le lacher pour son boulot elle peut en trouver en restant vek lui si elle cherche bien no ?
la suiiitee
Mais attend jespere qu'elle ne va pas le lacher pour son boulot elle peut en trouver en restant vek lui si elle cherche bien no ?
la suiiitee
miss_sa_69- De retour à Chicago
- Nombre de messages : 2190
Age : 34
Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Erin - Par Amour
MERCI LES FILLES, VOICI UNE DERNIERE SUITE AVANT LE WEEK END
Lundi 2 Avril 2007 – Maison de Wentworth – 5H20
Revêtue de la même chemise que la veille, Louane accompagna Wentworth à la porte, sa tasse de café à la main. Il se tourna vers elle, gravant cette vision de Louane sur le pas de sa porte, le regardant, lui, vêtue d’une de ses chemises. Mais surtout ce qu’il voulait se souvenir c’était de son sourire comblé.
W : Je vais te manquer ?
L : Beaucoup.
Elle avait l’impression d’être une épouse modèle disant adieu à son mari partant au travail. Mais elle n’était pas une épouse et il ne partait pas pour la journée mais pour la semaine.
P : Paul passera te chercher vers 9 H, tu as le temps de te recoucher.
L : Vouai !
Wentworth baissa la tête pour l’embrasser avec une infinie tendresse, puis il se redressa.
W : Je t’appellerai ce soir lorsque je serai arrivé à l’hôtel. Sinon on se voit samedi au gala.
L : Il me tarde déjà d’y être.
W : Et moi donc !
Il l’embrassa une dernière fois. Elle lui sourit et resta sur le seuil pour lui adresser un signe de la main quand sa voiture s’éloigna.
Lorsqu’elle referma la porte, elle décida de ne pas se recoucher mais de prendre un bain, remit sa robe de samedi et prit son petit déjeuner. Après avoir débarrassé et fait la vaisselle, elle ne trouva rien d’autre à faire que de regarder le panorama sur la terrasse. Elle se sentait dans une situation ambiguë : désormais plus qu’une invitée, elle n’osait pas encore agir comme si elle était chez elle. Elle sursauta lorsqu’on sonna à l’entrée de la propriété. Elle courut voir qui était là au visiophone, c’était Paul. Elle lui ouvrit et regarda l’heure. Il n’était que 8 H, Paul était en avance.
Lorsqu’il arriva à la porte, il se tenait sur le seuil, le visage souriant d’éloquence.
P : Bonjour Lou. Je vois que tu n’as trouvé le temps de te changer ce week-end ! Tu n’avais peut-être pas besoin d’être habillée...
L : Ca, ça ne te regarde pas.
Il riait de son air farouche.
P : Tu es prête ! Car je ne te ramène pas chez toi. Je t’emmène avec moi.
L : Ou ?
P : Je dois passer au Musée d’Art Moderne pour le gala de samedi.
Louane n’avait aucune envie de s’y rendre maintenant, rêvant de se changer. Mais elle ne protesta pas, elle aurait l’occasion de passer un peu de temps avec lui.
Après avoir tout fermé et mis l’alarme, ils partirent.
Arrivé sur place, Paul parla avec l’équipe chargée de l’organisation de la réception. Louane le suivit à travers plusieurs bureaux sans rien dire pendant plus d’une demi-heure. Elle souriait à chaque fois qu’il la présenta comme sa petite sœur. Ensuite Paul l’amena dans la salle servant à la réception, elle était magnifique, une scène était montée dans le fond. Louane regarda un homme de dos, donnant des ordres pour l’installation du matériel son. Il lui semblait familier...
P : Je voudrais te présenter quelqu’un.
A cet instant, l’homme, ayant entendu Paul, se retourna et Louane reconnu Bono. Elle sentit son cœur s’emballer.
Le chanteur vint à leur rencontre.
B : Paul, tu es bien matinal.
Ils se serrèrent la main.
P : Permet-moi de te présenter ma petite sœur qui est une te des plus grands fans.
Bono se tourna vers Louane en lui tendant la main.
B : Je suis toujours ravi de rencontrer une de mes admiratrices. Surtout lorsqu’elles sont aussi charmante.
Louane rougit de plaisir mais ne trouvait pas le courage d’ouvrir la bouche.
P : Louane qui perd ses moyens, alors là, c’est une première.
L : Je suis intimidée, je dois bien le reconnaître. Je vous ai vu plusieurs fois en concert mais je n’aurais jamais rêvé vous parler un jour.
B : Tu nous as vu en concert, où ?
L : La plupart en France mais lors du Vertigo Tour, je suis venu vous applaudir deux fois. Une fois à Nice et l’autre à Milan.
Bono lui saisit la main et la porta à ses lèvres.
B : Ahhh ! Une française. Mummm, j’aime beaucoup la France et je savais bien qu’elle renfermait des trésors comme toi. (en français)
Louane était sous le charme.
P : Louane ne l’écoute pas, c’est un séducteur-né.
Un technicien vint les interrompre pour parler à Bono.
B : Excusez-moi ! On se voit plus tard, dit-il en s’éloignant.
Louane n’en revenait pas.
L : Paul, merci pour cette incroyable rencontre. Je n’arrive pas à le croire.
Ils redescendirent de scène. Paul se tourna vers elle et l’embrassa.
P : Tu sais que j’aime te rendre heureuse. Tu peux rester là, si tu veux, le temps que je règle certains détails.
L : Tu ne crois pas que je vais déranger ?
P : Non, en plus ils vont commencer les répétitions.
L : Alors, je reste.
Une fois seule, elle fit le tour de la salle et se dirigea vers le fond de la scène, en enjambant précautionneusement les câbles qui lui barraient le chemin. Beaucoup de monde s’afférait autour d’elle. Elle les observa tout en fredonnant une des chansons de U2. Elle était encore sous le charme de sa rencontre avec leur leader.
B : Mais tu chante bien, en plus ! Elle se retourna vivement pour se retrouver face au groupe entier.
Devant son air surpris, Bono sourit, ravi de la faire rougir.
B : Je tenais à ce que tu rencontres le reste du groupe. IL se tourna vers ses amis. Les gars, je vous présente la sœur de Paul qui est aussi notre admiratrice préférée...
L : Louane...Louane Mendes.
Ils lui serrèrent tous la main en se présentant. Louane se demanda quand elle allait se réveiller.
B : Je me disais que tu aimerais assister à nos répétitions.
L : J’adorerai, dit-elle simplement.
Larry, le batteur, prit la parole.
LA : Tu auras même le droit de pousser la chansonnette avec Bono, si tu veux.
L : Mais je ne suis pas chanteuse !
The Edge : Tu chantais plutôt bien lorsque nous sommes arrivés.
B : Aller, viens ! Bono la prit par la main pour qu’elle les suive.
Elle les suivit et elle chanta. Ils furent tellement enchantés par sa voix qu’ils lui proposèrent de chanter une chanson avec eux, samedi. Ce qu’elle refusa catégoriquement. Il leur fallut beaucoup de persuasion et l’assistance de Paul pour qu’elle accepte. Elle était persuadée que c’était la pire idée qu’il soit. Comment pourrait-elle aligner deux mots devant tant de personnes. Mais intérieurement, elle se disait que ça serait le plus beau souvenir de sa vie.
Ils décidèrent que le duo se ferait sur « One ». Bono lui donna des conseils pour qu’elle pousse et place mieux sa voix.
En fin de journée, lorsque Paul la raccompagna chez elle, Louane était épuisée mais satisfaite d’elle. Grace aux conseils avisés des quatre hommes, sa voix avait pris de l’ampleur et du coffre. Il lui faudrait encore répéter pour que tout soit parfait.
En se garant devant l’hacienda, Paul se tourna vers elle avec sur son visage un sourire béat.
P : Tu as été merveilleuse aujourd’hui. Je suis très fier de toi. Tu as un véritable don pour le chant.
L : Tu crois ?
Elle avait encore du mal à penser que c’était une bonne idée.
P : Tu vas tous les bluffer. Fais-moi confiance.
Louane sourit malgré elle. Cette chanson était si merveilleuse et c’était un te honneur pour elle.
L : Je n’arrive toujours pas à le croire. Heureusement, demain, mercredi et jeudi, on fait de nouvelles répétitions.
P : Suzanne ne vas pas me croire !
L : Et je la comprends.
P : Wentworth non plus.
Louane prit son air de cachottière.
L : Paul, j’aimerai que tu n’en parles à personne en dehors de Suzanne. Je voudrais que ce soit une surprise pour tout le monde. Surtout pour Wentworth.
Paul éclata de rire en trouvant l’idée séduisante. Elle l’embrassa et se précipita vers la maison, elle ne pensait plus qu’à prendre une bonne douche et d’attendre l’appel de Wentworth avant de se mettre au lit.
Louane sortait de sa douche, elle s’étendit sur le canapé avec en main les paroles de la chanson. Elle était tellement excitée par ce qui lui arrivait, qu’elle se demandait comment elle arriverait à dormir.
Elle pensa que la semaine allait être courte pour qu’elle se sente à 100 % prête mais qu’elle allait aussi être longue, tellement elle avait hâte de voir la tête de Wentworth.
Le téléphone sonna.
L : Quand on parle du loup ! se dit-elle. Elle décrocha dès la première sonnerie. Oui, allô ?
W : Louane ? c’est Went.
L : Quelle bonne surprise !
W : N’est-ce pas ? répondit-il avec un sourire dans la voix. J’ai quelques minutes entre deux interviews. JE voulais savoir si tu allais bien et si ta journée avait été bonne.
L : J’ai passé une merveilleuse journée et toi ?
Elle ne voulait pas s’étendre sur le sujet.
W : Plus ou moins, répliqua-t-il en se rappelant qu’il avait eu du mal à penser à autre chose qu’à elle. Que fais-tu ?
Louane avait envie de jouer.
L : Actuellement, je suis absolument nue sous mon peignoir et parfumée de la tête aux pieds. Et puis, j’ai un Dvd sur l’art du massage et un baume sublime. Il ne me manque plus qu’un homme, nu lui aussi, allongé sur le tapis devant la cheminée, dont je masserai les épaules, ma poitrine, les hanches, avant de glisser mes mains...
W : Louane, murmura-t-il d’une voix rauque, la coupant sentant la réaction de tout son corps.
Elle rit doucement.
L : Tu n’es pas seul ? susurra-t-elle avec une intonation espiègle.
W : Exactement.
L : Bon, j’arrête. Je vais être sage. Allons, parle-moi de ta journée.
Went lui fit le récit de sa journée et ajouta :
W : Je vais avoir du mal à t’appeler cette semaine. Mon programma est chargé en plus du décalage horaire. Tu ne m’en veux pas ?
Elle se dit qu’elle n’aurait, comme ça, pas de mal à tenir sa langue.
L : Tu es tout pardonné !
W : De toute façon, on se voit samedi au gala. Ca passera vite.
L : Je considère ça comme une promesse.
W : Tu peux. Maintenant, je dois te quitter.
L : Adieu, murmura Louane. Tu me manques.
Les mots étaient sortis naturellement et elle se rendit compte que c’était vrai.
W : A moi-aussi.
Il raccrocha. Louane serra le téléphone contre elle quelques instants puis partit se coucher.
Elle s’endormie le sourire aux lèvres pensant à la tête que Went ferait samedi en la voyant sur scène.
Lundi 2 Avril 2007 – Maison de Wentworth – 5H20
Revêtue de la même chemise que la veille, Louane accompagna Wentworth à la porte, sa tasse de café à la main. Il se tourna vers elle, gravant cette vision de Louane sur le pas de sa porte, le regardant, lui, vêtue d’une de ses chemises. Mais surtout ce qu’il voulait se souvenir c’était de son sourire comblé.
W : Je vais te manquer ?
L : Beaucoup.
Elle avait l’impression d’être une épouse modèle disant adieu à son mari partant au travail. Mais elle n’était pas une épouse et il ne partait pas pour la journée mais pour la semaine.
P : Paul passera te chercher vers 9 H, tu as le temps de te recoucher.
L : Vouai !
Wentworth baissa la tête pour l’embrasser avec une infinie tendresse, puis il se redressa.
W : Je t’appellerai ce soir lorsque je serai arrivé à l’hôtel. Sinon on se voit samedi au gala.
L : Il me tarde déjà d’y être.
W : Et moi donc !
Il l’embrassa une dernière fois. Elle lui sourit et resta sur le seuil pour lui adresser un signe de la main quand sa voiture s’éloigna.
Lorsqu’elle referma la porte, elle décida de ne pas se recoucher mais de prendre un bain, remit sa robe de samedi et prit son petit déjeuner. Après avoir débarrassé et fait la vaisselle, elle ne trouva rien d’autre à faire que de regarder le panorama sur la terrasse. Elle se sentait dans une situation ambiguë : désormais plus qu’une invitée, elle n’osait pas encore agir comme si elle était chez elle. Elle sursauta lorsqu’on sonna à l’entrée de la propriété. Elle courut voir qui était là au visiophone, c’était Paul. Elle lui ouvrit et regarda l’heure. Il n’était que 8 H, Paul était en avance.
Lorsqu’il arriva à la porte, il se tenait sur le seuil, le visage souriant d’éloquence.
P : Bonjour Lou. Je vois que tu n’as trouvé le temps de te changer ce week-end ! Tu n’avais peut-être pas besoin d’être habillée...
L : Ca, ça ne te regarde pas.
Il riait de son air farouche.
P : Tu es prête ! Car je ne te ramène pas chez toi. Je t’emmène avec moi.
L : Ou ?
P : Je dois passer au Musée d’Art Moderne pour le gala de samedi.
Louane n’avait aucune envie de s’y rendre maintenant, rêvant de se changer. Mais elle ne protesta pas, elle aurait l’occasion de passer un peu de temps avec lui.
Après avoir tout fermé et mis l’alarme, ils partirent.
Arrivé sur place, Paul parla avec l’équipe chargée de l’organisation de la réception. Louane le suivit à travers plusieurs bureaux sans rien dire pendant plus d’une demi-heure. Elle souriait à chaque fois qu’il la présenta comme sa petite sœur. Ensuite Paul l’amena dans la salle servant à la réception, elle était magnifique, une scène était montée dans le fond. Louane regarda un homme de dos, donnant des ordres pour l’installation du matériel son. Il lui semblait familier...
P : Je voudrais te présenter quelqu’un.
A cet instant, l’homme, ayant entendu Paul, se retourna et Louane reconnu Bono. Elle sentit son cœur s’emballer.
Le chanteur vint à leur rencontre.
B : Paul, tu es bien matinal.
Ils se serrèrent la main.
P : Permet-moi de te présenter ma petite sœur qui est une te des plus grands fans.
Bono se tourna vers Louane en lui tendant la main.
B : Je suis toujours ravi de rencontrer une de mes admiratrices. Surtout lorsqu’elles sont aussi charmante.
Louane rougit de plaisir mais ne trouvait pas le courage d’ouvrir la bouche.
P : Louane qui perd ses moyens, alors là, c’est une première.
L : Je suis intimidée, je dois bien le reconnaître. Je vous ai vu plusieurs fois en concert mais je n’aurais jamais rêvé vous parler un jour.
B : Tu nous as vu en concert, où ?
L : La plupart en France mais lors du Vertigo Tour, je suis venu vous applaudir deux fois. Une fois à Nice et l’autre à Milan.
Bono lui saisit la main et la porta à ses lèvres.
B : Ahhh ! Une française. Mummm, j’aime beaucoup la France et je savais bien qu’elle renfermait des trésors comme toi. (en français)
Louane était sous le charme.
P : Louane ne l’écoute pas, c’est un séducteur-né.
Un technicien vint les interrompre pour parler à Bono.
B : Excusez-moi ! On se voit plus tard, dit-il en s’éloignant.
Louane n’en revenait pas.
L : Paul, merci pour cette incroyable rencontre. Je n’arrive pas à le croire.
Ils redescendirent de scène. Paul se tourna vers elle et l’embrassa.
P : Tu sais que j’aime te rendre heureuse. Tu peux rester là, si tu veux, le temps que je règle certains détails.
L : Tu ne crois pas que je vais déranger ?
P : Non, en plus ils vont commencer les répétitions.
L : Alors, je reste.
Une fois seule, elle fit le tour de la salle et se dirigea vers le fond de la scène, en enjambant précautionneusement les câbles qui lui barraient le chemin. Beaucoup de monde s’afférait autour d’elle. Elle les observa tout en fredonnant une des chansons de U2. Elle était encore sous le charme de sa rencontre avec leur leader.
B : Mais tu chante bien, en plus ! Elle se retourna vivement pour se retrouver face au groupe entier.
Devant son air surpris, Bono sourit, ravi de la faire rougir.
B : Je tenais à ce que tu rencontres le reste du groupe. IL se tourna vers ses amis. Les gars, je vous présente la sœur de Paul qui est aussi notre admiratrice préférée...
L : Louane...Louane Mendes.
Ils lui serrèrent tous la main en se présentant. Louane se demanda quand elle allait se réveiller.
B : Je me disais que tu aimerais assister à nos répétitions.
L : J’adorerai, dit-elle simplement.
Larry, le batteur, prit la parole.
LA : Tu auras même le droit de pousser la chansonnette avec Bono, si tu veux.
L : Mais je ne suis pas chanteuse !
The Edge : Tu chantais plutôt bien lorsque nous sommes arrivés.
B : Aller, viens ! Bono la prit par la main pour qu’elle les suive.
Elle les suivit et elle chanta. Ils furent tellement enchantés par sa voix qu’ils lui proposèrent de chanter une chanson avec eux, samedi. Ce qu’elle refusa catégoriquement. Il leur fallut beaucoup de persuasion et l’assistance de Paul pour qu’elle accepte. Elle était persuadée que c’était la pire idée qu’il soit. Comment pourrait-elle aligner deux mots devant tant de personnes. Mais intérieurement, elle se disait que ça serait le plus beau souvenir de sa vie.
Ils décidèrent que le duo se ferait sur « One ». Bono lui donna des conseils pour qu’elle pousse et place mieux sa voix.
En fin de journée, lorsque Paul la raccompagna chez elle, Louane était épuisée mais satisfaite d’elle. Grace aux conseils avisés des quatre hommes, sa voix avait pris de l’ampleur et du coffre. Il lui faudrait encore répéter pour que tout soit parfait.
En se garant devant l’hacienda, Paul se tourna vers elle avec sur son visage un sourire béat.
P : Tu as été merveilleuse aujourd’hui. Je suis très fier de toi. Tu as un véritable don pour le chant.
L : Tu crois ?
Elle avait encore du mal à penser que c’était une bonne idée.
P : Tu vas tous les bluffer. Fais-moi confiance.
Louane sourit malgré elle. Cette chanson était si merveilleuse et c’était un te honneur pour elle.
L : Je n’arrive toujours pas à le croire. Heureusement, demain, mercredi et jeudi, on fait de nouvelles répétitions.
P : Suzanne ne vas pas me croire !
L : Et je la comprends.
P : Wentworth non plus.
Louane prit son air de cachottière.
L : Paul, j’aimerai que tu n’en parles à personne en dehors de Suzanne. Je voudrais que ce soit une surprise pour tout le monde. Surtout pour Wentworth.
Paul éclata de rire en trouvant l’idée séduisante. Elle l’embrassa et se précipita vers la maison, elle ne pensait plus qu’à prendre une bonne douche et d’attendre l’appel de Wentworth avant de se mettre au lit.
Louane sortait de sa douche, elle s’étendit sur le canapé avec en main les paroles de la chanson. Elle était tellement excitée par ce qui lui arrivait, qu’elle se demandait comment elle arriverait à dormir.
Elle pensa que la semaine allait être courte pour qu’elle se sente à 100 % prête mais qu’elle allait aussi être longue, tellement elle avait hâte de voir la tête de Wentworth.
Le téléphone sonna.
L : Quand on parle du loup ! se dit-elle. Elle décrocha dès la première sonnerie. Oui, allô ?
W : Louane ? c’est Went.
L : Quelle bonne surprise !
W : N’est-ce pas ? répondit-il avec un sourire dans la voix. J’ai quelques minutes entre deux interviews. JE voulais savoir si tu allais bien et si ta journée avait été bonne.
L : J’ai passé une merveilleuse journée et toi ?
Elle ne voulait pas s’étendre sur le sujet.
W : Plus ou moins, répliqua-t-il en se rappelant qu’il avait eu du mal à penser à autre chose qu’à elle. Que fais-tu ?
Louane avait envie de jouer.
L : Actuellement, je suis absolument nue sous mon peignoir et parfumée de la tête aux pieds. Et puis, j’ai un Dvd sur l’art du massage et un baume sublime. Il ne me manque plus qu’un homme, nu lui aussi, allongé sur le tapis devant la cheminée, dont je masserai les épaules, ma poitrine, les hanches, avant de glisser mes mains...
W : Louane, murmura-t-il d’une voix rauque, la coupant sentant la réaction de tout son corps.
Elle rit doucement.
L : Tu n’es pas seul ? susurra-t-elle avec une intonation espiègle.
W : Exactement.
L : Bon, j’arrête. Je vais être sage. Allons, parle-moi de ta journée.
Went lui fit le récit de sa journée et ajouta :
W : Je vais avoir du mal à t’appeler cette semaine. Mon programma est chargé en plus du décalage horaire. Tu ne m’en veux pas ?
Elle se dit qu’elle n’aurait, comme ça, pas de mal à tenir sa langue.
L : Tu es tout pardonné !
W : De toute façon, on se voit samedi au gala. Ca passera vite.
L : Je considère ça comme une promesse.
W : Tu peux. Maintenant, je dois te quitter.
L : Adieu, murmura Louane. Tu me manques.
Les mots étaient sortis naturellement et elle se rendit compte que c’était vrai.
W : A moi-aussi.
Il raccrocha. Louane serra le téléphone contre elle quelques instants puis partit se coucher.
Elle s’endormie le sourire aux lèvres pensant à la tête que Went ferait samedi en la voyant sur scène.
Erin- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 99
Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: Erin - Par Amour
Mercredi 4 Avril 2007 – Los Angeles – 17H00
Paul et Louane revenaient des répétitions du gala. Louane était excitée à la perspective de monter sur scène avec ce groupe légendaire. Paul souriait devant son air de petite fille émerveillée.
L : Tu te rends compte de la chance que j’ai. Elle passait de l’euphorie à la peur en un claquement de doigts. Je ne serais jamais à la hauteur.
P : Si Bono t’a proposé se duo, c’est qu’il estime que tu as la voix qu’il faut. Ne stresse pas.
Il était le premier bluffé du changement qui s’était opéré dans la voix de Louane. Les conseils de Bono et de ses compères avaient transformé la voix de la jeune femme, la rendant plus rock.
L : Ne stresse pas ! Tu plaisantes, là ?
P : Went n’est toujours pas au courant ?
L : Non, je ne l’ai pas eu au téléphone depuis lundi et puis...c’est une surprise. On se rejoint directement sur place. Enfin si on peut dire ça, car interdiction de s’afficher ensemble.
Paul la regarda en souriant, il avait lui aussi une surprise pour elle.
P : Louane, ça ne t’ennuie pas si je m’arrête pour prendre une robe en ville.
L : Une Robe ?!
P : Pour Suzanne. Elle n’avait pas le temps et m’a demandé d’y aller pour elle. A propos, que vas-tu porter, toi ?
Elle avait été si occupée avec son duo, qu’elle n’y avait pas songé.
L : Je ne sais pas. Je porterais une tenue assez Rock pour le duo. Bono me la conseillé et j’ai absolument ce sui convient. Mais pour le gala...peut-être ma robe Calvin Klein bleu nuit.
P : Mumm
Lorsqu’ils arrivèrent à la boutique, Paul salua la vendeuse qui apportait déjà la robe.
P : Merci, dit-il en lui souriant et se tourna vers Louane : Qu’en penses-tu ?
Louane regarda la robe en question. Mélange de dentelle et de soie noire, la robe était merveilleuse. Elle couvrait juste ce qu’il fallait pour être convenable mais était terriblement sexy grâce au profond dos-nu et au décolleté en dentelle. Elle était longue, très longue.
L : Quelle coupe magnifique, dit-elle. Est-ce la robe de Suzanne ?
Elle fit un pas en avant pour palper la fine dentelle. C’était un magnifique tissu. Elle regarda l’étiquette « Calvin Klein ». Ce vêtement devait coûter une fortune.
L : C’est une splendeur. Tu es sûre que ce n’est pas la soirée des Oscar. Il va falloir que je choisisse ma robe la plus habillé, alors.
P : Pourquoi ne pas mettre celle-ci !
L : Mettre la robe de Suzanne ? Ne sois pas stupide.
Elle sourit à la vendeuse et commença à s’éloigner, mais Paul la saisit par le bras et lui murmura à l’oreille.
P : Va essayer ta nouvelle robe. C’est mon cadeau, Petit Cœur (en français).
Elle le regarda, frappée de stupeur.
L : Elle est pour moi.
P : Elle te plait ?
L : Je...Oh, Paul, elle est magnifique, merci. Oh, Mon Dieu !
P : va l’essayer, je veux voir !
Elle l’essaya et il vit. Tout était parfait, la coupe, le style, la couleur. Elle s’avança fièrement vers lui. Son bronzage récent et le sombre de la soie noir faisaient ressortir le vert de ses yeux. Et la dentelle noire du bustier moulait parfaitement ses formes sans parler de son profond dos-nu.
P : Seigneur, tu vas provoquer des arrêts cardiaques.
Il eut un sourire si émerveillé que même la vendeuse se mit à rire.
Samedi 7 Avril 2007 – Maison de Wentworth – 19H45
Wentworth finissait de s’habiller. Son avion avait atterri seulement quatre heures plus tôt. Il s’était empressé de rentrer pour se reposer, décalage horaire oblige et se préparer en vu du gala.
La semaine avait été longue et fatigante. Entre séances photo, interviews et émissions télévisées, il n’avait pas chômé et de se sentir enfin chez lui, lui procurait un bien-être reposant.
Il lui tardait aussi de voir Louane. Jamais il n’avait éprouvé ça auparavant : le besoin violent, possessif, dément de la voir, de la toucher, de rire avec elle, une passion volcanique qui s’emparait de tout son être et ne pouvait s’apaiser. Aucune autre femme ne l’avait enflammé du même désir.
Il venait de finir de se préparer, lorsque son portable sonna. C’était Dom, pensa-t-il. La FOX avait envoyé des limousines pour venir les chercher et les amener au gala. Paul s’était occupé de tout pour eux et le programme était établi depuis plusieurs mois. Wentworth partageait la sienne avec les Purcell.
En quittant la maison dans son smoking, il ne tenait plus en place d’impatience de retrouver sa belle. Mais son expression se transforma vite en surprise lorsque le chauffeur ouvrit la portière.
- Surprise !!!
Il croisa les regards de Dominic et Rebecca qui avaient l’air désolé.
W : Marianna, s’exclama-t-il. Que fais-tu là ? Je ne savais pas que tu venais.
M : En janvier, Paul m’a envoyé une invitation pour t’accompagner et je lui ai demandé d’organiser la surprise. Il ne faut pas en vouloir à Paul, il pensait te faire plaisir.
Wentworth ne savait pas s’il devait rire : Paul pensait que ça lui ferait plaisir. Mais à quel jeu jouait-il ? Il sentit que ce n’était pas une bonne idée d’escorter Marianna car Louane n’était surement pas au courant.
Marianna le regardait avec interrogation.
M : Ca n’a pas l’air de te faire tant plaisir que ça !!!
Me voulant pas attrister son amie et ne pouvant plus reculer, il lui sourit et l’embrassa avant de s’assoir en face d’elle, à côté de Dominic.
W : Tu sais que c’est toujours un plaisir de te servir de cavalier.
Dom envoya un regard à sa femme, qui comprenant entama une discussion animée avec sa voisine. Dominic se pencha vers son voisin qui était comme paralysé.
D : Louane n’est pas au courant ?
W : Comment voulais-tu que je lui dise puisque moi-même je n’étais pas au courant. Paul va avoir une explication à me donner.
D : Honnêtement, je ne le vois pas vouloir faire de la peine à Louane volontairement.
Ils échangèrent un regard chargé d’interrogation.
W : Je sens que l’on va passer une bonne soirée, murmura-t-il désabusé. Moi qui étais impatient de la revoir.
D : Toi, tu es amoureux !!
W : Ca se voit tant que ça, demanda-t-il surpris.
M : Qu’est ce qui se voit tant que ça ? Marianna s’était rapprochée de lui.
D : Sa fatigue à cause de son voyage. Dominic était rapidement venu en aide à son ami.
M : Mon pauvre !
Ils discutèrent le reste du trajet avec animation et bonne humeur.
En arrivant au Musée d’Art Moderne de Los Angeles, ils furent pris dans le tourbillon de l’évènement : des femmes, plus resplendissantes les unes que les autres dans de magnifiques robes, des bijoux scintillants de mille feux, des hommes d’une rare élégance dans de somptueuse tenue de soirée et sans oublier des photographes par dizaines se battant pour saisir l’instantané qui ferait choc dans les journaux du lendemain.
La petite famille de Prison Break, conviée à la soirée, se trouva rapidement au complet. Ils allaient rentrer sous les feux des projecteurs, ils attendaient leur tour pour fouler le tapis rouge menant à l’intérieur du musée.
Went regarda dans la direction de Paul, qui accueillait les invités avec les autres organisateurs. Il put apercevoir Suzanne mais il n’y avait aucune trace de Louane.
Pressés par la foule, Wentworth et Marianna se dirigèrent vers l’entrée, suivant de près l’équipe de la série. Les photographes présents mitraillèrent Wentworth et sa compagne de flash. Il imaginait déjà les gros titres du lendemain :
« Wentworth Miller de nouveau avec Marianna Claveno... »
« Le héros de prison break fait taire les rumeurs de son homosexualité en s’affichant avec son ancienne amie »
« Wentworth, Marianna, ils remettent ça... »
C’était du déjà-vu cent fois. Il s’en serait amusé s’il n’avait pas peur que cela blesse Louane. Il fallait qu’il la trouve rapidement pour la mettre au courant.
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BON WEEK-END, A LUNDI
Paul et Louane revenaient des répétitions du gala. Louane était excitée à la perspective de monter sur scène avec ce groupe légendaire. Paul souriait devant son air de petite fille émerveillée.
L : Tu te rends compte de la chance que j’ai. Elle passait de l’euphorie à la peur en un claquement de doigts. Je ne serais jamais à la hauteur.
P : Si Bono t’a proposé se duo, c’est qu’il estime que tu as la voix qu’il faut. Ne stresse pas.
Il était le premier bluffé du changement qui s’était opéré dans la voix de Louane. Les conseils de Bono et de ses compères avaient transformé la voix de la jeune femme, la rendant plus rock.
L : Ne stresse pas ! Tu plaisantes, là ?
P : Went n’est toujours pas au courant ?
L : Non, je ne l’ai pas eu au téléphone depuis lundi et puis...c’est une surprise. On se rejoint directement sur place. Enfin si on peut dire ça, car interdiction de s’afficher ensemble.
Paul la regarda en souriant, il avait lui aussi une surprise pour elle.
P : Louane, ça ne t’ennuie pas si je m’arrête pour prendre une robe en ville.
L : Une Robe ?!
P : Pour Suzanne. Elle n’avait pas le temps et m’a demandé d’y aller pour elle. A propos, que vas-tu porter, toi ?
Elle avait été si occupée avec son duo, qu’elle n’y avait pas songé.
L : Je ne sais pas. Je porterais une tenue assez Rock pour le duo. Bono me la conseillé et j’ai absolument ce sui convient. Mais pour le gala...peut-être ma robe Calvin Klein bleu nuit.
P : Mumm
Lorsqu’ils arrivèrent à la boutique, Paul salua la vendeuse qui apportait déjà la robe.
P : Merci, dit-il en lui souriant et se tourna vers Louane : Qu’en penses-tu ?
Louane regarda la robe en question. Mélange de dentelle et de soie noire, la robe était merveilleuse. Elle couvrait juste ce qu’il fallait pour être convenable mais était terriblement sexy grâce au profond dos-nu et au décolleté en dentelle. Elle était longue, très longue.
L : Quelle coupe magnifique, dit-elle. Est-ce la robe de Suzanne ?
Elle fit un pas en avant pour palper la fine dentelle. C’était un magnifique tissu. Elle regarda l’étiquette « Calvin Klein ». Ce vêtement devait coûter une fortune.
L : C’est une splendeur. Tu es sûre que ce n’est pas la soirée des Oscar. Il va falloir que je choisisse ma robe la plus habillé, alors.
P : Pourquoi ne pas mettre celle-ci !
L : Mettre la robe de Suzanne ? Ne sois pas stupide.
Elle sourit à la vendeuse et commença à s’éloigner, mais Paul la saisit par le bras et lui murmura à l’oreille.
P : Va essayer ta nouvelle robe. C’est mon cadeau, Petit Cœur (en français).
Elle le regarda, frappée de stupeur.
L : Elle est pour moi.
P : Elle te plait ?
L : Je...Oh, Paul, elle est magnifique, merci. Oh, Mon Dieu !
P : va l’essayer, je veux voir !
Elle l’essaya et il vit. Tout était parfait, la coupe, le style, la couleur. Elle s’avança fièrement vers lui. Son bronzage récent et le sombre de la soie noir faisaient ressortir le vert de ses yeux. Et la dentelle noire du bustier moulait parfaitement ses formes sans parler de son profond dos-nu.
P : Seigneur, tu vas provoquer des arrêts cardiaques.
Il eut un sourire si émerveillé que même la vendeuse se mit à rire.
v
Samedi 7 Avril 2007 – Maison de Wentworth – 19H45
Wentworth finissait de s’habiller. Son avion avait atterri seulement quatre heures plus tôt. Il s’était empressé de rentrer pour se reposer, décalage horaire oblige et se préparer en vu du gala.
La semaine avait été longue et fatigante. Entre séances photo, interviews et émissions télévisées, il n’avait pas chômé et de se sentir enfin chez lui, lui procurait un bien-être reposant.
Il lui tardait aussi de voir Louane. Jamais il n’avait éprouvé ça auparavant : le besoin violent, possessif, dément de la voir, de la toucher, de rire avec elle, une passion volcanique qui s’emparait de tout son être et ne pouvait s’apaiser. Aucune autre femme ne l’avait enflammé du même désir.
Il venait de finir de se préparer, lorsque son portable sonna. C’était Dom, pensa-t-il. La FOX avait envoyé des limousines pour venir les chercher et les amener au gala. Paul s’était occupé de tout pour eux et le programme était établi depuis plusieurs mois. Wentworth partageait la sienne avec les Purcell.
En quittant la maison dans son smoking, il ne tenait plus en place d’impatience de retrouver sa belle. Mais son expression se transforma vite en surprise lorsque le chauffeur ouvrit la portière.
- Surprise !!!
Il croisa les regards de Dominic et Rebecca qui avaient l’air désolé.
W : Marianna, s’exclama-t-il. Que fais-tu là ? Je ne savais pas que tu venais.
M : En janvier, Paul m’a envoyé une invitation pour t’accompagner et je lui ai demandé d’organiser la surprise. Il ne faut pas en vouloir à Paul, il pensait te faire plaisir.
Wentworth ne savait pas s’il devait rire : Paul pensait que ça lui ferait plaisir. Mais à quel jeu jouait-il ? Il sentit que ce n’était pas une bonne idée d’escorter Marianna car Louane n’était surement pas au courant.
Marianna le regardait avec interrogation.
M : Ca n’a pas l’air de te faire tant plaisir que ça !!!
Me voulant pas attrister son amie et ne pouvant plus reculer, il lui sourit et l’embrassa avant de s’assoir en face d’elle, à côté de Dominic.
W : Tu sais que c’est toujours un plaisir de te servir de cavalier.
Dom envoya un regard à sa femme, qui comprenant entama une discussion animée avec sa voisine. Dominic se pencha vers son voisin qui était comme paralysé.
D : Louane n’est pas au courant ?
W : Comment voulais-tu que je lui dise puisque moi-même je n’étais pas au courant. Paul va avoir une explication à me donner.
D : Honnêtement, je ne le vois pas vouloir faire de la peine à Louane volontairement.
Ils échangèrent un regard chargé d’interrogation.
W : Je sens que l’on va passer une bonne soirée, murmura-t-il désabusé. Moi qui étais impatient de la revoir.
D : Toi, tu es amoureux !!
W : Ca se voit tant que ça, demanda-t-il surpris.
M : Qu’est ce qui se voit tant que ça ? Marianna s’était rapprochée de lui.
D : Sa fatigue à cause de son voyage. Dominic était rapidement venu en aide à son ami.
M : Mon pauvre !
Ils discutèrent le reste du trajet avec animation et bonne humeur.
En arrivant au Musée d’Art Moderne de Los Angeles, ils furent pris dans le tourbillon de l’évènement : des femmes, plus resplendissantes les unes que les autres dans de magnifiques robes, des bijoux scintillants de mille feux, des hommes d’une rare élégance dans de somptueuse tenue de soirée et sans oublier des photographes par dizaines se battant pour saisir l’instantané qui ferait choc dans les journaux du lendemain.
La petite famille de Prison Break, conviée à la soirée, se trouva rapidement au complet. Ils allaient rentrer sous les feux des projecteurs, ils attendaient leur tour pour fouler le tapis rouge menant à l’intérieur du musée.
Went regarda dans la direction de Paul, qui accueillait les invités avec les autres organisateurs. Il put apercevoir Suzanne mais il n’y avait aucune trace de Louane.
Pressés par la foule, Wentworth et Marianna se dirigèrent vers l’entrée, suivant de près l’équipe de la série. Les photographes présents mitraillèrent Wentworth et sa compagne de flash. Il imaginait déjà les gros titres du lendemain :
« Wentworth Miller de nouveau avec Marianna Claveno... »
« Le héros de prison break fait taire les rumeurs de son homosexualité en s’affichant avec son ancienne amie »
« Wentworth, Marianna, ils remettent ça... »
C’était du déjà-vu cent fois. Il s’en serait amusé s’il n’avait pas peur que cela blesse Louane. Il fallait qu’il la trouve rapidement pour la mettre au courant.
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BON WEEK-END, A LUNDI
Erin- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 20/02/2007
Re: Erin - Par Amour
putainnnnn !!!!!!!! paul , tu joue a quoi !!!!! la
:ophj:paulllllll
il va falloir qu 'il a une bonne explication la !!!!!!!!
louane va le prendre tres mal !!!!!! je le sens pas du tout
elle va avoir raison de le detester !!!!!!
met vite la suite !!!!!! please
:ophj:paulllllll
il va falloir qu 'il a une bonne explication la !!!!!!!!
louane va le prendre tres mal !!!!!! je le sens pas du tout
elle va avoir raison de le detester !!!!!!
met vite la suite !!!!!! please
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Erin - Par Amour
ah je viens de rattraper mon retard!!
mais à quoi il s'amuse Paul? et est-ce bien lui qui est derrière tout ça????
bon il faut que tu nous mettes la suites car ils sont trop mignons
mais à quoi il s'amuse Paul? et est-ce bien lui qui est derrière tout ça????
bon il faut que tu nous mettes la suites car ils sont trop mignons
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Erin - Par Amour
MERCIIIIIII ENNEADE ET QUEL PLAISIR DE TE RETROUVER !!!!!!!!!!!!!!!!
TU TROUVERAS LA SUITE DE CETTE FIC SUR L'AUTRE FORUM .....
SUR CELUI-CI, J'AI BIEN PEUR DE NE PASSIONNER PERSONNE ALORS J'AI ARRETE.
TU TROUVERAS LA SUITE DE CETTE FIC SUR L'AUTRE FORUM .....
SUR CELUI-CI, J'AI BIEN PEUR DE NE PASSIONNER PERSONNE ALORS J'AI ARRETE.
Dernière édition par le Mer 5 Sep - 13:52, édité 1 fois
Erin- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 20/02/2007
Re: Erin - Par Amour
Ok je vais de l'autre côté
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Erin - Par Amour
Erin a écrit:
TU TROUVERAS LA SUITE DE CETTE FIC SUR L'AUTRE FORUM .....
SUR CELUI-CI, J'AI BIEN PEUR DE NE PATIONNER PERSONNE ALORS J'AI ARRETE.
NON POURQUOI ARRETER JE VEUT PAS MOI IL FAUT CONTINUER, JE VEUT UNE SUITE. ALLEZ CONTINUE STP
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: Erin - Par Amour
alors moi dsl mais moi je suis aussi!!!!alors si ça peut te remotiver:
ON VEUT LA SUITE!!
ON VEUT LA SUITE!!
Dernière édition par le Jeu 6 Sep - 21:38, édité 1 fois
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Localisation : Dans la chambre de went
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Re: Erin - Par Amour
scofieldgirl
tu peux modifier ton message et pas deformer le topic s t p
pour ce faire tu fait editer et tu enleve des point d 'interogation
merci sinon pour lire sa va pas etre cool
merci d 'avance
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Erin - Par Amour
ah euh dsl
oui je veux b1 mais c'est ou éditer je cherche mais...
oui je veux b1 mais c'est ou éditer je cherche mais...
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Localisation : Dans la chambre de went
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Erin - Par Amour
voili voilou et encore pardon
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Localisation : Dans la chambre de went
Date d'inscription : 12/08/2007
Re: Erin - Par Amour
c 'est pas grave
t 'inquiete pas !!!!!! sa peux arriver a tout le monde
t 'inquiete pas !!!!!! sa peux arriver a tout le monde
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Erin - Par Amour
j'ai lu plus haut que tu voulais arreter fic sur se fofo et ben moi je veux pas je la trouve plutoy original comme fic en plus went et louane sont trop mimi ensemble
alors stp met nous une suite
alors stp met nous une suite
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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