Erin - Par Amour

j'adore ton clin d'oeil sur la prétendu homosexualité de Went ...

par contre je crois qu'il n'aura pas besoin que des petits coeurs sortent de sa bouche... juste son regard suffit... en tout cas elle a été envouté déjà une fois donc...

on verra dans la suite que j'attends avec hâte!!

J'adore!!! Donc ce ne sera pas un problème si Went tombe amoureux de Louane, ouf, je croyais vraimenet que Paul était un grand proteceur mais non...

Bon mets vite la suite avec la rencontre de Louane et wentworth

JUSTE UNE DERNIERE POUR LA SOIREE - DESOLE D'AVANCE





Quelques heures plus tard

Il parcourut le jardin des yeux, au hasard, et tout à coup aperçut un éclair doré.

C’était Louane Mendes, elle portait une robe courte en dentelle de filigrane d’or à la fois simple et remarquable. On ne pouvait pas ne pas la voir avec cette robe. Il l’avait suivi des yeux lorsqu’elle était parti marcher avec Paul. Il s’était rendu compte à cet instant de l’amour qu’ils se portaient surement, d’après la façon dont ils s’observaient et puis leur embrassade et leur étreinte avant de revenir vers la réception. Il continuait de l’observer à présent, n’importe quel homme aurait remarqué la manière dont cette robe moulait sa poitrine et rehaussait la finesse de sa taille, puis s’arrêtait, juste à mi-cuisse, célébrant ses longues jambes galbées…

- Une femme étonnante, n’est-ce pas ? observa Amaury en suivant son regard.

Went lui jeta un coup d’œil, un sourire pincé aux lèvres.

W : Ne me dis pas que tu as échoué avec elle.

Il les avait observés un peu plus temps quand ils s’étaient parlé et ne put s’empêcher de se montrer sarcastique.

A : Si tu veux tout savoir, je pense que nous serons les meilleurs amis du monde, mais que hélas pour moi, ça n’ira jamais plus long que ça. Elle a réussi en 3 minutes à me le faire comprendre très subtilement.

Amaury se contenta de rire. Went soutint son regard un moment puis se joint à lui d’un sourire.

A : Bon, je te laisse, je vais faire un tour vers le buffet.

Went fit un tour sur lui-même et se dirigea vers la piscine qui était en contre bas.



Quelques Instant après

Louane se glissa discrètement sur un transat. Le jardin était à peine éclairé. Après plus d’une heure de mondanités où elle avait circulé parmi les invités, souriant avec les uns, bavardant avec les autres, elle avait besoin d’une pause.

Elle s’étendit sur le bain de soleil et se mit à contempler le ciel étoilé, ouvrit son sac pour prendre une cigarette.

- On ne vous a pas dit que fumer était risqué pour la santé ?


ET QUI C'EST ???? JE SAIS JE SUIS SADIQUE, IL VA FALLOIR ATTENDRE DEMAIN POUR LA SUITE !!!!!!!!!!

oui oui très mauvais pour la santé... mais ça lui va bien de dire ça lui est nocif pour nos pauvres santé mentale

Amaury poubelle!! Ok donc maintenant petit tête à tête autour de la piscine!! et on sort le grand jeu, petit sourire, regard incendiaire

a demain pour ta suite

Ouai, C'est Wenty c'est sur!!!!
Ta suite était géniale même si ta coupé au moment ou il ne fallait pas!!
Préssée d'être demain pour lire la rencontre

trop bien !!!!!!

et ben !!!!! amaury viens de ce prendre un rateau !!!! par louane

sa te va bien de dire sa went !!! tu fume aussi !!!! mais le pire tu nuis a tout ce qui bouge !!!!!! humain qui marche !!!!

allez conversation ,connaissance et ... !!!

met la suite !!!!!

please rin !!!!!!! vite la suite

Ce n'est pas gentil de couper comme ça et si vite.
J'ai aussi mon idée sur cet inconnu qui lui parle

C'est obliger que se soit Wenty l'homme mystérieu!!!
Superbes t'es suites et Amaury qui se tape un rateau!!!!!
TROP IMPATIENTE DE LIRE LA SUITE!!!

, j'adore ta suite, heureusement que Amaury n'ira pas plus loin avec Louane, je craignais, qu'il n'y ait une concurrence entre lui et Went ouf!!!

Je suis sûre que c'est homme, c'est Went, ou alors Paul, mais je préfererais que ce soit went

Mets vite une suite!!!!!!!!!!!!!

voila la suite promise !!!!



- On ne vous a pas dit que fumer était risqué pour la santé ?

Elle sursauta et se releva pour se retrouver face à face avec Wentworth Miller. Son cœur battait la chamade tant elle avait été surprise. Il était assis dans un autre fauteuil de bain de l’autre côté de la piscine. Elle se rallongea sur son transat.

L : Tout comme le sel, l’huile, le beurre et se promener toute seule le soir dans les grandes villes.

W : Vous oubliez l’alcool, di-il en faisant tourner sa bière dans ses mains.

L : Mais il me semble, vous avoir vu tout à l’heure avec une cigarette à la bouche

W : C’est vrai, c’était seulement pour commencer la conversation et pour vous signaler de ma présence.

Il se leva et la rejoignit sur un des transats à ses côtés. Elle aurait préféré qu’il reste là où il était. Il s’appuya sur le dossier et jeta un coup d’œil vers la réception. Le brouhaha de leurs voix leur parvenait. Il revint à elle.

W : Je suppose que vous aviez besoin vous aussi d’un peu de calme, non ?

L : J’ai eu une longue journée, dit-elle en hochant la tête. Vous aussi ?

Elle semblait détendue, à l’aise, mais quand elle le regarda, elle lui parut sur ses gardes, un autre détail d’elle sur lequel il s’interrogea.

W : Vous êtes arrivé aujourd’hui ? De France, c’est ça ? Devant son air surprit, il reprit, Votre accent !!!

L : Non, hier. Ce qui m’a permis de me reposer un peu avant le début des festivités.

Il avait des yeux envoutants, clairs et calmes, avec une sortie de force tranquille qui devait attirer n’importe quelle femme.

Troublée, elle détourna la tête. Louane avait appris à ses dépends, à se défendre d’elle-même devant ses faiblesses.

W : Vous restez combien de temps chez Paul.

L : Je suis à Los Angeles, pour 3 semaines mais je ne loge pas chez Paul. J’ai hérité de la maison de mon père. Elle n’est pas loin d’ici.

Elle tapota sa cigarette au bord d’un cendrier.

L : J’ai l’impression que Paul s’amuse beaucoup. Paul adore tellement parler de ce qu’il fait. C’est un passionné.

W : Quels sont exactement vos liens avec lui ?

Louane le regarda, surprise. Elle joua avec sa cigarette.

L : Mon père et lui étaient des amis d’enfance, ils ont grandis dans le même quartier. Mon père avait presque dix ans de plus que Paul mais ils étaient comme deux frères, ils s’aimaient comme deux frères. Mon père est parti jeune faire ses études en France, il a rencontré ma mère, elle est tombé enceinte rapidement, ils se sont mariés. Mon père n’est reparti pour les Etats-Unis qu’au divorce de mes parents quand j’avais 9 ans. Mais il est toujours resté en contact avec Paul, il appelait « mon frangin ».

Elle parlait comme si elle était seule, elle avait abstraction de Went.

L : Après le divorce de mes parents, j’ai vécue en France avec ma mère mais je passais toutes mes vacances avec mon père et Paul, ici. Quand mon père a appris qu’il était condamné, il décida que Paul serait mon parrain car il savait qu’il s’occuperait de moi comme un père.

Louane sourit puis l’épia du coin de l’œil.

L : Le plus drôle, c’est que mon père avait 8 ans de plus que Paul et c’est presque la différence que j’ai avec lui.

W : vous avez 30 ans ?

L : Non, 28, nous avons 10 ans d’écart, on pourrait être frère et sœur comme mon père et lui aurait pu être frères.

W : Vous avez beaucoup de famille ?

L : Je n’ai que ma mère, je suis fille unique. Et vous ?

W : Mes parents sont divorcés mais s’entendent à merveille et j’ai deux sœurs.

Louane écrasa sa cigarette et regretta aussitôt son geste. A présent, elle n’avait plus rien pour occuper ses mains.

W : Vous habitez où en France ?

L : Qu’est-ce que c’est, une interview ? Si vous voulait savoir quelque chose, demandez. J’ai 28 ans, je mesure un mètre soixante quinze, je pèse cinquante cinq kilos, j’ai les cheveux bruns, les yeux verts et je suis célibataire. Je suis diplômée de l’Académie des Beaux-arts de Paris, c’est d’ailleurs là que je vis encore aujourd’hui. J’aime les couleurs pastels et le noirs, les robes de Calvin Klein, la musique surtout pop/rock et le groupe The Killers. J’aime bien les gâteaux au chocolat. Je préfère boire du Perrier plutôt que de l’Evian. De temps en temps, je m’accorde un verre de vin, mais je ne bois jamais d’alcool fort. Je fume, mais j’essaie régulièrement d’arrêter. Voilà c’est un peu près tout. Ah si ! Quand je suis fatiguée ou excédée, je me remets à parler dans ma langue maternelle.

W : Si, vous avez oublié de me dire ce que vous faites dans la vie. Ses yeux brillaient d’admiration et d’amusement à la fois.

L : Vous êtes impitoyable, répondit-elle, étonnée que son énoncé n’ait pas mis un terme à son interrogatoire.

W : Non, juste curieux, corrigea-t-il avec un sourire

Elle lui rendit son sourire et se fixèrent pendant quelques instants. Went brisa le charme en insistant.

W : Alors, quel est votre profession ? Vous ne m’avez toujours pas répondu.

Troublée par la façon dont il la regardait – et par la façon dont elle réagissait – Louane hésita un instant.

L : Si vous voulez tout savoir, je suis architecte d’intérieur, ce qui était à l’origine un hobby, est devenu mon travail. Mais en terme de hobbies, j’aime retaper de vieux meubles, je cours les antiquaires dès que j’ai du temps pour pouvoir trouver matière à restaurer. Et tout ça à la main, bien sûr.

W : Bien sûr.

Il marqua une pause avant de lui prendre la main droite et de la retourner, tandis qu’avec ses doigts il en examinait la douceur.

Au contact de ses doigts sur sa main, Louane fut prise de frissons le long du bras et jusque dans le dos. Aucun homme n’avait réussi, rien qu’en la touchant, à lui couper ainsi le souffle. Ce n’était vraiment pas juste que Wentworth Miller, lui, y parvienne. Et encore moins qu’il s’en soit aperçu.

L : j’ai l’impression qu’on s’amuse bien, là-bas, dit-elle en retirant sa main et en tentant de se ressaisir tandis que des éclats de rire leur parvenaient.

W : On dirait, dit-il sans vraiment porter attention à ce que se passait ailleurs que devant lui. Il continuait de la fixer avec intensité, il était envouté par cette femme, il le savait.

L : Il est temps que j’y retourne. Paul doit probablement se demander où je suis passé.

Louane se leva et se dirigea vers la réception, troublée de sentir Went juste derrière elle. Elle lui lança un sourire par-dessus l’épaule en signe d’au revoir et s’avança vers un groupe d’invités le plus proche.

P : Lou, je commençais à me demander si tu n’étais pas partie.

L : Je te cherchais, justement. Je suis vraiment fatiguée et le décalage horaire commence à se faire ressentir donc je pense que je vais vous laisser. On se voit demain matin pour le petit déjeuner.

P : Je t’appelle un taxi. A cette heure, tu ne rentre pas à pied.

Ses yeux étaient plein de bienveillance. Elle le sera dans ses bras.

W : Pas besoin de taxi, déclara Went, qui se tenait derrière eux. J’ai ma voiture devant et je peux reconduire Louane chez elle. De plus, je partais moi aussi.





ALORS ???? J’ATTENDS VOS COMMS !!!!!!

Ouai va y Went, racompagne là!!!!
J'aime bien le petit interrogatoire, Went curieux so !!!
Préssée de lire la suite

Il y a une sacrée alchimie entre ces 2 la!!!!
Bonne initiative Went de la raccompagné!!!!
Excellente ta suite et vivement la prochaine!!!!

Hum hum...je viens de ratrapper trois suites de retards et hum ! çà promets!

Alors ? Va t'elle sa laisser raccompagné par notre beau gosse qui lui fait de l'effet visiblement ,??

On ne souhaite qu'une chose, tu dois t'en douter Erin, tu risques d'être harcelée jusqu'à ce que çà se produise !

La suite !

Oh je les avais que ce serait Went l'homme mystérieux youpi!!!!!!!!!!

Elle m'a trop fait marrer quand elle lui a fait le coup de l'interview et qu'elle avait oublié de citer sa profession

Mets vite une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

quel galant jeune homme ce Went il nous propose de la raccompagné


j'ai adoré la manière dont elle lui parle à la fois sec et franc... je crois qu'il doit être encore plus sous le charme

magnifique suite

je savais aussi que l ' homme mystere etait notre sexy went

j ' ai adorer le petit interrogatoire , de went , il est tres curieux , notre went ,

surtout qu' il est sous le charme total !!!! la

elle se mefie , elle lui parle franchement et sec

et louane qui en a des frissons rien qu ' a son contact !!!!!

je trouve sa tres gentleman de proposer de la racompagner

met vite la suite !!!!!!!! please

je suis aussi curieuse que went !!!!!! je veux savoir ce qui va se passer ensuite

je veux la suite !!!!!!! s t p !!!!!!! erin

la suite , met la vite



bise

Alala ce went alors ! qu'est ce qu'il est serviable !
Mets vite une suite !

je suis ravie que ça vous plaise !!!!!
j'essayerai de mettre une autre suite cette aprem mais après n'aurais plus de connexion pour le week end, il faudra attendre mardi.

W : Pas besoin de taxi, déclara Went, qui se tenait derrière eux. J’ai ma voiture devant et je peux reconduire Louane chez elle. De plus, je partais moi aussi.

L : Merci, mais c’est vraiment pas nécessaire, dit-elle en se tournant vers lui.

W : Si ce n’est pas nécessaire, alors considérez que c’est un plaisir.

P : Tu ferais mieux d’accepter sa proposition, Louane. La dernière fois, que j’ai pris un taxi, il empestait l’alcool. Je serais plus rassuré si c’est Went qui te ramène et de plus je te rappelle que c’est toi qui voulait te faire des A M I S.

Paul lui fit un clin d’œil que Louane apprécia que modérément, il n’allait pas si mettre lui aussi. Elle qui pensait qu’il serait son allié.

L : Mais si je décide de rentrer à pieds, je vous rappelle que je suis majeure et saine d’esprit.

W : C’est vrai, mais comme vous l’avez si bien dit tout à l’heure, il est dangereux de se promener toute seule le soir dans les grandes villes.

L : Risqué, corrigea-t-elle.

W : Risqué, répéta-t-il.

S : Qu’est ce qui est risqué, demanda Suzanne qui arrivait avec Dominic.

P : Louane veut rentrer, elle est fatiguée et Went qui partait lui aussi, propose de la ramener pour ne pas qu’elle rentre à pied.

S : Vas-y Louane, Went, est un vrai chevalier servant, tu ne risque rien avec lui.

Comme tu as tort, Suzanne, je risque gros au contraire, se dit-elle. Cet homme me trouble trop.

L : bon, c’est d’accord, je vais chercher mes affaires, je vous retrouve devant la maison, dit-elle a Went. Elle embrassa Suzanne et Paul, qui lui souhaitèrent une bonne nuit, salua Dominic, qui lui fit le baisemain et se dirigea vers l’intérieur de la maison.

Le petit groupe la regardait partir quand Paul prit la parole.

P : Attention, Went, elle est comme ma sœur.

W : Je te signale que je ne fais que la ramener chez elle et puis de toute façon, nous sommes majeures et donc par conséquence, s’il devait arriver quelque chose, ça ne nous concernerait que tout les deux. Et puis, tu me connais j’espère, je ne joue pas avec les gens à leurs dépends. Sur ce, bonne nuit à vous.

D : Paul, je ne voudrais pas t’inquiété plus, mais je pense que notre Went est mordu de ta filleule, tu as vu la façon qu’il a de la regarder. - Ils regardaient tous les trois le jeune homme s’éloigner vers la sortie.

S : Et bien moi, j’en serais ravie.

P : Moi aussi à vrai dire, seulement j’espère qu’elle ne va pas se battre de toutes ses forces pour le repousser, je sais qu’elle n’a pas oublié son histoire tragique avec David.

Puisqu’elle n’avait pas le choix, Louane retrouva Went devant l’entrée de la maison en lui souriant. Went parcourut du regard la rangée des voitures et en désigna un 4x4 gris.

W : Ma voiture est là.

Il lui ouvrit la portière, Louane se glissa sur la banquette et arrangea les plis de sa robe.

L : Ce n’était pas la peine de me raccompagner jusqu’à chez moi.

Elle s’était sentie obligée de dire ça, ne serait-ce que pour atténuer la tension qui régnait entre eux.

W : C’est vrai, mais je veux être sûr que vous rentrez saine et sauve. Mais encore une question, Paul a dit que vous recherchiez des amis et je dois dire que ça a piqué ma curiosité.

L : oui vu que vous ne manquez pas de curiosité ce soir…

Louane se laissa aller en arrière : elle avait brusquement envie de se détendre et était décidée à ce que la présence de cet acteur séduisant ne l’en empêche pas. Elle soupira profondément et ferma les yeux, souriant légèrement au souvenir de ce qui venait d’être dit.

L : Je lui avais simplement spécifié que je ne gâcherais pas de ces trois semaines à trouver l’âme sœur mais que j’étais disposé à faire des rencontres amicales pour un bon film ou un bon resto.

W : Mais tout le monde cherche l’Ame sœur, non ?

Louane se tourna vivement vers lui et Went vu de la froideur mais aussi de la frayeur dans son regard.

L : Je ne suis pas comme tout le monde, l’amour, pour moi n’est qu’un sentiment futile et de faiblesse.

Personne ne dit mot, la voiture avançait à toute allure. Went resta silencieux un moment. Il observait le jeu de lumière et d’ombre sur son visage. Elle était belle, avec ses très fins, ses cheveux sombres, ses yeux qui brillaient dans l’ombre.

Qu’a-t-elle vécu pour être autant sur ses gardes et que voulait exprimer son regard effrayé, pensa-t-il.

Il ralentit et s’arrêta devant la maison de style hacienda où habitait Louane. Elle se tourna ver lui.

L : Voilà, le preux chevalier a ramené la damoiselle en…

Elle se figea coupé dans son élan devant le regard envoutant que lui lançait son compagnon et de sa main tendue vers elle.

W : Je me présente Wentworth Miller, mes amis m’appellent Went ou Stinky et je serais honoré d’être un de tes amis.

Elle soupira bien malgré elle et elle devait bien le reconnaitre, elle se sentait bien avec lui, il lui était instinctivement familier, elle se sentait comme en sécurité. Et ce sentiment longtemps oublié lui faisait un bien fou, alors oui, pourquoi pas être son amie. Elle comprit enfin qu’elle voulait être son amie.

L : Enchanté, je suis Louane Mendes, mes amis à moi m’appellent Lou et je suis enchanté d’avoir un nouvel ami, dit-elle en lui serrant la main qu’il lui tendait.

W : Pour moi, ça sera Louane…

Il venait de prononcé son nom avec une telle intensité, qu’elle aurait pu se mettre à pleurer. Elle aimait déjà cette façon de prononcer son nom avec cette voix si douce mais tellement grave. Ils étaient figés, là, dans la voiture, à se regarder en se souriant.

W : Je te propose immédiatement un bon plan ciné demain soir, laisses-moi te faire découvrir un de mes films préféré.

L : je ne sais pas, il faut que…d’accord, avec plaisir, céda-t-elle devant son air sévère. Et puis après tout, il avait dit ami, il avait peut être quelqu’un dans sa vie donc elle pouvait se détendre.

Ils s’engagèrent dans l’allée menant à l’entrée. Deux lanternes à la lumière douce éclairaient l’entrée. Louane tenait la clé à la main. Elle la lui tendit. Il la prit, mais il ne chercha pas à la glisser dans la serrure.

W : Alors, à demain, sept heure trente, devant cette même porte.

Il engagea finalement la clé dans la serrure et lui ouvrit la porte. Elle rentra et se retourna pour récupérer la clé en tenant la porte d’une main.

Mais brusquement, il lui passa la main dans les cheveux et, la retenant par la nuque, se pencha pour l’embrasser.

Louane se raidit, mais ses lèvres étaient douces et pleines sous les siennes.

Il l’attira contre lui. Il voulait découvrir plus, goûter plus. Elle n’était que douceur et dentelle. Un baiser ne lui suffisait pas, il voulait approfondir son étreinte. Mais alors qu’il sentait le désir autant en lui qu’en elle, il s’écarta.

Il savait qu’elle n’était pas prête, il se doutait que dans son passé il devait y avoir un événement douloureux qui lui faisait peur. Et il était prêt à être patient, il voulait y aller doucement. Elle l’avait seulement accepté comme ami et voilà que lui, venait peut être de tout gâcher parce qu’il avait cédé à l’envoutante tentation qu’elle représentait.

W : Bonne nuit, Louane.

Il s’éloigna doucement d’elle.

L : Bonne nuit.

Elle baissa les yeux, se retourna et ferma la porte. Elle se colla à celle-ci, elle se sentait bouleversé, vulnérable, assaillie de désirs à moitié oubliés et elle avait peur.

L : J’ai bien peur que cette fois-ci tu déguste, ma pauvre Louane, oui, cette foi-ci, tu vas en prendre plein la gueule (en français), se dit-elle à elle-même.

Mais durant ce tendre échange, elle avait compris qu’elle aurait aimé que cela ne se finisse pas. Elle réalisait n’avoir jamais ressenti ça et que surtout elle avait aimé ça.

Elle se dirigea vers sa chambre, se déshabilla et s’allongea en fermant les yeux. Elle s’endormie en pensant à ce merveilleux baiser qui venait d’être échangé.

Elle ne se doutait pas que de mauvais cauchemars étaient à l’horizon.





Voilà, c'est tout, bon week-end et à mardi

phouff... c'est trop romantique tout ça!!!

en plus Paul qui est plus que partant pour que Went sorte avec sa filleul!!!

par contre tu entends quoi par mauvais cauchemards tu ne vas pas nous les faire souffrir tout de même

à mardi

J'adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! très belle ta suite, dommage qu'on doive attendre jusqu'au mardi pour en avoir une autre

Mais y'a une chose que je ne comprends pas, Went dit qu'il veut être juste un ami, et pourtant il l'embrasse sur les lèvres?!!! très bizzarre tout ca, même si j'aimerai pas que ca change, ca reste bizzarre.

magnifique !!!!!!

paul qui est pas contre que sa filleul sorte avec went !!!!!!

louane a pourtant qit ami et went l ' embrasse sur les lèvres d ' une infime douceur !!!! c 'est romantique sa

tu parle de cauchemards !!!!!! tu commence a me faire peur

je vais avoir du mal a attendre mardi pour la suite !!!!!!!

tu peux pas en mettre une avant !!!!! dit !!!!!!!!

met la tres vite !!!!!! please

angel_keikoo a écrit:J'adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! très belle ta suite, dommage qu'on doive attendre jusqu'au mardi pour en avoir une autre

Mais y'a une chose que je ne comprends pas, Went dit qu'il veut être juste un ami, et pourtant il l'embrasse sur les lèvres?!!! très bizzarre tout ca, même si j'aimerai pas que ca change, ca reste bizzarre.

Pour te répondre, je ne trouve pas ça bizarre, je le vois plus comme :" je sais je dis juste ami mais c'est plus fort que moi !!!!!"
Il ne peux pas résister au charme de Louane.

Erin a écrit:

angel_keikoo a écrit:J'adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! très belle ta suite, dommage qu'on doive attendre jusqu'au mardi pour en avoir une autre

Mais y'a une chose que je ne comprends pas, Went dit qu'il veut être juste un ami, et pourtant il l'embrasse sur les lèvres?!!! très bizzarre tout ca, même si j'aimerai pas que ca change, ca reste bizzarre.

Pour te répondre, je ne trouve pas ça bizarre, je le vois plus comme :" je sais je dis juste ami mais c'est plus fort que moi !!!!!"
Il ne peux pas résister au charme de Louane.

Ah d'accord je comprends mieux maintenant, c'est beaucoup plus génial si c'est comme ca alors

Ba dit donc Went tu perd pas de temps toi, jlais trouvé u peu brusque quand même, patience, patience tu l'auras!