Our lives are like a candle in the wind ... [Chapitre 7 ]

Magnifique conversation MiSa

Dis moi qu tu vas bientôt mettre une suite STP STP STP

Nickki a écrit:Un p'tit PS à Miliibnb : je suis en train de lire ta fic, j'avance doucement mais sûrement, et je peux te dire que parce que ta fic est vraiment

oui prend ton temps. en tout cas merci moi aussi ça me fait très plaisir !!!!

Voilà un petit quelque chose pour toi que j'ai fait à l'instant, en pas trés longtemps hein

Pour que le suite arrive plus vite !

CH'TIT CADEAU POUR NICKKI !

Ma banniére est si moche que ça ou personne vient sur ce topic ???

Nickiiiiiiiiiiiiiii ou es tu ??? Ta fic me manque !

mais non t'as bannière est pas moche... moi je l'avais pas vu!!
c'est super bien d'avoir fait ça... je visualisait pas comme ça le resto (en fait pour les siège et table si mais pas eur disposition dans la pièce)!!!!

aller mest nous une suite pleaaaaaze !!!

je ne viens que très rarement mais là, ça prend aux tripes comme on dit...; c'est beau très beau , très bien écrit, j'étais sur cette plage avec Mickaël mais........................................qu'est ce que c'est triste?

j'espère que tes autres suites seront plus joyeuses..... MISA meurt encore une fois................PFFFFFFFFFFFFFF! j'aime pas ça! na!

PUNAISE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Mais c'est moi qui suis stupide !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ma banniére est si moche que ça ou personne vient sur ce topic ???

Nickiiiiiiiiiiiiiii ou es tu ??? Ta fic me manque !

Oh mon dieu. Mélina, si tu savais comme je suis désolée. Ça faisait un petit moment que je ne venais plus sur ce forum, je n'ai pas vu les nouveaux messages. Bon sang. Si tu savais comme ça me fait plaisir que tu m'ai fait une bannière pour ma fic. Et je ne dis pas ça pour me faire pardonner, c'est vrai. Elle est ... Sérieux. On m'avait jamais fait ça. Enfin si, une fois, mais pas spontanément. Jamais. Purée. Mélina, je t'aiiimmee !!!

Ludi ! Merci pour ton message ! C'est vrai que c'est triste, mais tout n'est pas fini, ma fic n'est pas encore finie

Je reviens à la bannière. L'image du restaurant ressemble étrangement à la description que j'en ai faite ... Alors deux solutions Méli : soit le resto One the Run existe vraiment (d'ailleurs c'est balo parce que pas loin de chez moi sur l'autoroute il y a une station service qui s'appelle On The Run ... Dont je me suis inspirée d'ailleurs ^^'), soit c'est une image de Stargate ?

Encore une fois, toutes mes excuses, je suis en train de rédiger la suite, mais ma muse semble m'avoir ENCORE lâchée. Il se peut que ça sot le dernier chapitre ; je ne sais pas encore, en tout cas, on se rapproche de la fin. Ne me jetez pas la pierre, attendez de voir la fin avant de me lyncher

Je suis contente qu'elle te plaise Oui, elle vient du restaurant où va Daniel aprés sa mort. Je voulais une image plus globale mais on voyait tout le temps Daniel... Je vais m'en plaindre

Je suis soulagée en fait que tu aimes, vraiment

Muse ! Reviens ! et vite ! Je serai là pour la suite, j'attend !

super on va bientôt avoir une suite mais c'est bientôt la fin
en attendant superbe bann félicitations mélina

ARF ! Pas d'internet pendant un mois alors j'espére trouver une suite mais... NAAAAAN


J'espére que tu vas bien ! Donne de tes nouvelles

Hello tout le monde ! =)

Un p'tit message pour vous dire que non, je n'ai toujours pas fini la suite, et que oui, j'y travaille ^^ Je sais exactement ce que je veux écrire, mais les mots ne viennent pas. C'est horrible

@ Mélina : Merci de ton soutien, ça me fait chaud au cœur

Nickki a écrit:Hello tout le monde ! =)

Un p'tit message pour vous dire que non, je n'ai toujours pas fini la suite, et que oui, j'y travaille ^^ Je sais exactement ce que je veux écrire, mais les mots ne viennent pas. C'est horrible

@ Mélina : Merci de ton soutien, ça me fait chaud au cœur

Contente d'avoir de tes nouvelles ! Allez ça va revenir, prends le temps qu'il te faudra, moi je suis là

moi aussi je suis là !!!!
prends ton temps, détends toi, laisse toi envahir par les mots.. lol ok j'arrête de délirer, je sais que c'est pas évident les pannes d'inspirations !!!

les mots ne veulent pas venir
bon bah, j'attendrai sagement la suite quand tu pourras

prends ton temps, détends toi, laisse toi envahir par les mots..

Tu ne délires pas du tout, au contraire ! C'est exactement ce que je devrais faire, arrêter de me prendre la tête, me mettre dans un endroit tranquille et laisser les mots venir. J'sais pas pourquoi j'y arrive plus. J'y crois, ça va revenir

Merci en tout cas, ça me fait plaisir de voir que vous me soutenez !

Coucou ici !

J'ai terminé d'écrire la première partie du dernier chapitre de ma fic ; je ne le trouve pas super, mais je vous laisse juger ! ^^'

PS : Souvenez-vous, dans la suite précédente Michael se trouvait chez Sandro, et il avait rêvé de Sara.



Le réveil est difficile.

Michael émerge du sommeil, avec la sensation de s’y trouver encore, comme si on l’y a arraché de force. Une odeur salée flotte encore autour de lui, et l’étreinte qu’il a partagée avec Sara le laisse bouleversé. Il sent encore ses bras autour de son cou, ses doigts sur sa nuque, ses lèvres contre les siennes … Il arrive difficilement à croire que tout cela n’a été qu’un rêve, tant il a l’impression d’avoir réellement vécu tout cela. Avec peine, il s’assoit, puis se lève. Il titube un instant et prend appui sur le mur à côté de lui. La tête lui tourne un moment, mais bien vite Michael retrouve ses repères et parvient à chasser cette sensation persistante qui le fait se sentir apathique.

Le jeune homme se dirige vers la fenêtre et en écarte les rideaux. Dehors, il fait encore nuit, mais le ciel commence à se teinter d’orange à mesure que le soleil se lève. Michael se retourne et se dirige vers la porte d’entrée, qu’il franchit. Il sort dans la ruelle et marche jusque au bout.

Il n’y a personne dans la rue principale. Rien qu’une légère brise qui balaie les pavés et qui charrie l’odeur de l’océan, une odeur salée, qui replonge Michael dans son rêve.

Du plus loin qu’il se souvienne, jamais un rêve n’a laissé une telle empreinte sur lui. Jamais. C’est comme si cette … cette chimère n’en est pas une, mais s’apparente plutôt à un souvenir, quelque chose qu’il a réellement vécu et qui a laissé en lui une marque indélébile, qu’il ne peut oublier.
En même temps, il se sent étrangement serein en repensant à ce rêve. Même si ça n’a été que cela, c’est comme si on lui avait donné une chance de lui dire au revoir. Adieu, corrige-t-il, alors qu’une fois de plus une vague de chagrin l’assaille.

Les mots de Sara, sur son projet de vengeance, résonne encore dans son esprit. Ne parles pas de vengeance, Michael. Ça ne te mènera nulle part… Étrangement, il lui semble que ces simples mots ont comme amoindri ce désir de retrouver et de faire payer à ceux qui ont contribué à la mort de Sara. Est-ce qu’il doit vraiment renoncer à les retrouver ? Et s’il prenait cette décision … quel sens aurait sa vie désormais ? Michael se rend compte que depuis que la jeune femme ne fait plus partie de sa vie, la vengeance est tout ce à quoi il s’est raccroché. Son existence s’était réduite à ça : trouver ces personnes et leur faire payer. Mais depuis cette conversation avec Sara, il a pris conscience que peut-être, même s’il passe sa vie sur les routes à les poursuivre, la vengeance ne lui fera sans doute pas retrouver la paix. Au contraire.

Michael en est là de ses réflexions lorsqu’il sent une présence, derrière lui. Il se retourne et aperçoit Sandro, qui s’approche de lui.

-Vous allez partir, Señor ?

Ce n’est pas vraiment une question : c’est un peu comme si Sandro sait, rien qu’à voir Michael, qu’il ne reste pas, qu’il a beaucoup à accomplir.

-Oui, Sandro, je vais partir, répond le jeune homme.

Il ancre son regard dans celui de l’homme qui lui a probablement sauvé la vie.

-Mais avant, je veux vous re …
-Non, señor, ne me remerciez pas, s’il vous plaît. Après ce que vous avez vécu, je me devais de vous aider. Maintenant venez, termine-t-il en posant une main sur l’épaule de Michael. Un petit déjeuner vous attend à l’intérieur.

Michael ne sait que faire pour remercier cet homme, qui ne le connaît même pas et qui le traite comme s’il est son propre frère. En entrant dans la maison, il ne peut qu’accepter l’invitation de Sandro qui d’un geste, l’invite à s’assoir à la table en bois usée, où y trône un copieux petit déjeuner : des fruits, des œufs brouillés, un verre de jus de fruits … Sandro prend place à côté de Michael et regarde son hôte manger de bon appétit. Il se dit qu’il va regretter ce jeune homme.



Le soleil est maintenant haut dans le ciel. Sur la route qui longe l’océan, il n’y a pas une voiture. Michael roule à vive allure, toutes fenêtres ouvertes. Le vent s’engouffre dans l’habitacle, avec toujours cette odeur de sel et d’algues, et le jeune homme a bien du mal à garder son regard sur la route ; sans cesse, il est tenté de le porter sur sa droite, vers l’océan, vers la plage qui lui rappelle son rêve.

En même temps, les paroles de Sandro résonnent dans son esprit. Avant de partir, Michael lui a fait part de son étrange songe, de la sensation d’avoir réellement vécu tout ça, et du souhait de Sara de le voir abandonner sa vengeance …

A quoi cela vous mènera-t-il ? Qu’avez-vous à gagner à passer des années à poursuivre vos ennemis pour faire disparaître un sentiment qui ne fera qu’empirer une fois que vous leur aurez fait payer ? Est-ce que Sara voudrait vraiment que vous vous détruisiez ?


Tiraillé entre deux sentiments, Michael aimerait avoir une réponse. Que faire ? D’un côté, il y a toujours cette colère au fond de lui, ce désir de venger Sara, de faire souffrir tous ceux qui ont contribué, de près ou de loin, à sa mort. Mais de l’autre, il ne peut faire abstraction de l’expression déterminée de la jeune femme, dans son rêve, lorsqu’elle lui a dit que ça ne le mènerait à rien … Et Sandro n’a pas tort. Rien ne lui assure qu’il sera apaisé après avoir assouvi sa vengeance. Et … s’il en voulait plus ?

Michael secoue légèrement la tête pour se tirer de cette ronde infernale de questions. Il tente de se reconcentrer sur la route, mais c’est peine perdue : quand ce ne sont pas d’insupportables interrogations qui l’assaillent, quelque chose sape son attention pour l’emmener inlassablement vers la plage qui s’étend sur sa droite. Au bout de quelques minutes, il renonce et se range sur le bas-côté de la route avec un soupir. Il sort du véhicule, regarde autour de lui, puis ferme la portière et verrouille la voiture.

En dévalant le talus de sable qui conduit à la plage, Michael a une forte sensation de déjà-vu. Un peu comme si … Comme si j’étais en train de vivre ce dont j’ai rêvé hier soir … Dans un état second, le jeune homme s’avance vers l’océan.

Le bruit des vagues fait écho à la légère brise qui balaie la plage ; l’eau est si limpide que le ciel, clair et sans nuages, s’y reflète. L’air salé pique son visage ; ses pieds s’enfoncent dans le sable chaud et, pour la première fois depuis bien longtemps, Michael se sent réchauffé de l’intérieur, comme si la chaleur du sol se diffusait dans tout son corps. Un étrange pressentiment le fait se sentir apaisé ; il a l’impression d’être en communion avec les éléments autour de lui.

Michael fait encore quelques pas, et l’océan vient lui lécher les pieds ; le jeune homme inspire profondément et porte son regard vers la ligne d’horizon.

Il repense à tous les sacrifices qu’il a fait, que les personnes autour de lui ont fait ; il songe à Sara, à qui, en l’espace d’une seconde, il a détruit la vie. Il se dit que c’est un peu comme s’il l’avait tué lui-même ; ou du moins a-t-il activement participé à sa mort. Cette pensée l’écœure profondément ; il se dit que s’il ne l’avait pas mêlée à tout ça, elle n’aurait pas disparue aussi brusquement de sa vie … Il pense à LJ, dont la mère est morte à cause de toute cette histoire ; le jeune adolescent a vu des choses qu’il n’aurait pas du voir, il a fait des choses que peu de personnes de son âge font. Il en sera sans doute changé à jamais …
A cet instant, Michael sait que la culpabilité sera son fardeau pour le restant de ses jours.



La chaleur est intense, mais supportable grâce à la brise. Michael décide de faire quelques pas le long de la plage avant de remonter en voiture ; il veut, quelque part, fuir le plus longtemps possible le moment de décider quoi faire ensuite. Il a l’impression de se tenir au bord d’un gouffre, avec seulement deux options : se jeter dans le vide, ce qui signifierait à la fois poursuivre sa vengeance et tomber dans trou noir et sans fond, dont il n’est pas sûr de ressortir ; ou reculer, et renoncer à punir les coupables.

Sur le sable mouillé, ses empreintes de pas sont fugitives ; elles sont aussitôt avalées par l’écume de l’océan. Le silence, uniquement troublé par les vagues se brisant sur la plage, apaise Michael. Il marche pendant plusieurs minutes, porté par il ne sait trop quoi, quelque chose qui le pousse à marcher.

C’est alors qu’il la voit.



Il s’approche, il n’arrive pas à croire ce qui est sous ses yeux. Il ne peut pas croire que c’est la femme qu’il croyait morte il y a encore une heure qui est allongée là, semblant profondément endormie.

Sous le choc, Michael s’assoit dans le sable. Sa main gauche s’y crispe, il ne peut détacher ses yeux de Sara. Oui, car c’est bien Sara qui est allongée près de lui. Son prénom résonne étrangement dans son esprit ; encore quelques minutes auparavant, il était associé au chagrin, à la haine. Le simple fait de penser à la jeune femme s’accompagnait d’une bouffée d’angoisse, d’un sentiment de culpabilité, et la sensation que tout s’était arrêté beaucoup trop vite.

A cet instant précis, Michael ne pense à rien. Il y a juste cette ronde infernale de questions … Qu’est-ce que Sara fait ici ? Qu’est-ce que cela signifie ? Est-il encore en train de rêver ?

Mais tout cela lui semble beaucoup trop réel, plus encore que son rêve. Surtout lorsque Sara commence à bouger.



La jeune femme ouvre les yeux. Au dessus d’elle, le ciel, bleu, parsemé de nuages. Elle n’entend rien. Ses oreilles sifflent. Sa respiration est bloquée à l’intérieur de sa gorge. Elle ouvre la bouche, à la recherche d’un peu d’air, mais elle ne peut pas aspirer l’élément salvateur. Son corps est engourdi, elle voudrait se lever mais n’y parvient pas. A mesure que les secondes s’écoulent, le peu d’air déjà présent dans son corps s’échappe. Elle suffoque, mais ne peut toujours pas aspirer. Son cœur ne bat pas, elle ne l’entend pas résonner dans ses oreilles, elle ne sent pas son sang courir dans ses veines. Elle a l’impression de s’enfoncer, comme si … elle mourait une deuxième fois … Des points noirs dansent devant ses yeux. L’immobilité la rend folle : elle voudrait pouvoir bouger, porter les mains à son cou, mais elle n’y parvient pas. Les nuages perdent leur clarté, leur éclat blanc, pourtant elle refuse de fermer les yeux. Tirée vers le fond, vers le noir, les ténèbres, elle coule, s’enfonce lentement vers la mort. Une deuxième mort …

Non !! Non … Je veux … DE L’AIR …

Et puis soudain, son cœur bat. Son sang jaillit dans ses veines, coule à flot, coure et remplit son corps de vie. Dans un ultime effort, elle aspire, et cette fois l’air pénètre dans sa bouche, s’infiltre dans ses poumons et la fait renaître, la remonte à la surface, la tire hors des ténèbres. Les nuages redeviennent blanc, elle cligne des yeux, son corps tout entier se tend sous un spasme qui la ramène brusquement et complètement à la vie.



Michael a l’impression d’avoir basculé hors de la réalité. Incapable de bouger, il ne peut que regarder Sara se débattre pour avaler une goulée d’air ; et lorsqu’il voit sa poitrine se soulever et s’abaisser, puis son visage se tourner vers lui, il ne peut prononcer un seul mot.

-M-Michael ? murmure Sara.

Il prend ces premiers mots comme une claque. Il sait alors que ce n’est pas un rêve, mais bien la réalité ; la peur a disparue, les questions avec ; tout ce qu’il ressent à présent, c’est la surprise la plus complète et la joie la plus immense. Son cerveau n’est plus capable de produire une pensée cohérente.

-Qu’est-ce que …

Sara suspend sa phrase, qu’elle a à peine murmurée, car elle a remarqué l’expression du visage de Michael. Le jeune homme ne cherche pas à retenir les larmes qui envahissent ses yeux, qui dévalent ses joues ; il ne réfléchit pas, s’avance vers la jeune femme et pose délicatement ses mains sur ses épaules. Un rictus de douleur déforme ses traits ; la douleur de la revoir, après l’avoir cru morte, après avoir ressenti tant de colère, de haine. Il pensait ne jamais plus pouvoir être envahi par des émotions positives ; ne plus pouvoir ressentir ce sentiment si particulier qui l’envahit lorsque Sara pose ses yeux sur lui, et qui le touche au plus profond de lui-même.

HAAAAAAAAAA Que je suis contente !!


Depuis le temps que j'attendais cette suite !!!! J'ai cru que je j'airais jamais

C'était super, vraiment !! Le retour de Sara m'a fait penser à X Men 3 , ou tu aurais pu le faire à la version Stargate ( ), le faire revenir toute nue , c'est Michael qui aurait été content . Moins intéressant que Daniel( ) mais bon lol!

Trés trés belle suite, vraiment, c'est super, je suis trop contente, c'était superbe !!! Sara est revenue, elle est vivante !

J'ai cru que Michael allait se suicider le pauvre, il s'est fait une ch'tite déprime (Rien à voir avec le film Bienvenue chez les Ch'tits" hein...Je ne veux même pas en entendre parler )

HA, vivement la suite

Merci beaucoup beaucoup

t'as mis la suite à cette superbe fic
je l'ai dévoré tellement j'étais impatiente de savoir ce que tu nous réservais
SARA EST EN VIE
Michael a cru à un rêve un bref instant avant d'entendre sa voix

mais comment

vite la suite pour les réponses

whooooo
c'était vraiment superbe et surtout qu'est ce que ça fait du bien de lire une suite de cette fic.
j'ai vraiment aimé l'ambience que tu as créée mais surtout j'ai aimé ta description des parfums de cette suite, je sais pas, ya un côté magique dans ce que tu décris. ohhh et puis cette fin, une agonie, une renaissance pour sara que tu imagines parfaitement... bon par contre alors selon mélina tu aurais pu nous la faire version stargate avec sara nue... ça pourrait être sympa pour michael ça (bin quoi il a cru qu'elle était morte il a pas le droit à un petit cadeau compensateur ?? ) bon ok j'arrête c'est vrai qu'il aurait été perturbé entre ses emotions au niveau de son coeur et ses emotions plus au sud disons.

j'espère que tu nous mettras la suite plus rapidement cette fois parce que ça fait un bien fou.

bon par contre alors selon mélina tu aurais pu nous la faire version stargate avec sara nue... ça pourrait être sympa pour michael ça (bin quoi il a cru qu'elle était morte il a pas le droit à un petit cadeau compensateur ?? )

Tu m'as bien fait rire Milii, c'est vrai que j'aurais pu faire ça, mais je ne sais pas si j'aurais eu le courage et surtout le talent pour combiner à la fois le "tragique" de la situation et le fait que Michael voit Sara nue ... Lol XD

En tout cas, je vous remercie les filles pour vos commentaires, franchement je ne m'attendais pas à tel accueil ! Un peu parce que je trouve cette suite un peu .. et aussi parce que je vous ai fait poireauter pendant des mois ... Alors merci d'être restées, et merci pour vos comms' !!

coucou

j'espère que tu es déjà à l'écriture à la suite car je suis impatiente de savoir comment tu vas tout nous expliquer et surtout les réactions MISA

Coucou par ici !! =D

Je vous livre donc la fin de cette fic, que je viens de terminer. Je voulais vous remercier pour votre soutien sans faille, c'est grâce à vous si j'ai pu mettre un point final à cette histoire ! =D

Notes : Pas vraiment de réponses quand à ce qui est arrivé à Sara ; j'ai préféré garder le mystère et vous laisser à votre imagination

Il n’aurait su dire combien de temps ils sont restés ainsi. Assis dans le sable, il entoure de ses bras le corps de Sara, dont la tête repose contre sa poitrine. Sa main gauche caresse ses cheveux, sa nuque ; prisonnier ce moment hors du temps, son corps tout entier réagit à ce contact qu’il n’aurait jamais osé espérer.

Au bout de ce qui lui semble être des heures, Sara se redresse lentement et plonge son regard dans le sien. Elle y lit toutes les questions qu’il ne se permet pas de poser, comme si le simple son de sa voix pouvait suffire à la faire disparaître.

-Ce n’est pas un rêve, murmure-t-elle.

Michael secoue légèrement la tête ; il en est persuadé à présent, il ne rêve pas. Tout cela est réel ; aussi réel que ses doigts caressant sa joue, à cet instant.

-Qu’est-ce que … tu as … tu t’es enfuie ? demande Michael du bout des lèvres.


Sara secoue à son tour la tête et déglutit.

-Non je … je suis … morte, lâche-t-elle dans un souffle. Je n’arrive pas à me souvenir …

Lorsque la jeune femme tente de repenser aux heures précédant son arrivée sur la plage, son esprit ne lui montre que des images floues, des sensations, des odeurs. Elle se souvient très distinctement de l’arôme du café qui flottait autour d’elle, de l’odeur alléchante du sirop d’érable. Confusément, il lui semble se souvenir d’une route, infinie, vide. Et puis … un gros bonhomme sympathique. John. Non, Jack. Oui, c’est ça …

-Jack …
-Quoi ? De qui parles-tu ?

Sara émerge des limbes de son esprit.

-P-personne. J’essaie de me souvenir, c’est tout … Je ne peux pas t’expliquer, Michael. Je ne sais pas … Je ne sais pas pourquoi je suis ici.

Quelle importance ? C’est ce que Michael se dit à cet instant. Sara est là, devant lui, il peut la toucher, il entend sa voix … A quoi bon se poser des questions, qui n’auront de toute façon pas de réponses ?

-Viens Sara … On s’en va.

Le jeune homme se lève, frotte ses vêtements pour en ôter le sable, puis il tend ses mains pour aider Sara à se lever. Une fois qu’elle se trouve debout, il passe un bras autour de sa taille pour l’aider à marcher ; face à eux, l’Océan scintille sous le soleil, comme si des milliers de diamants se trouvaient à la surface paisible de l’eau.

-Ça va, tu peux marcher ?

Sara acquiesce de la tête et passe son bras autour de la taille du jeune homme. A quelques mètres de la voiture, elle s’arrête ; ses jambes menacent de se dérober sous elle.

-Sara, tu veux t’asseoir ?
-Non, ça va aller … j’ai juste besoin de quelques minutes.

Elle pose ses mains sur ses épaules, il pose les siennes sur sa taille et l’attire à lui ; il la sent se crisper un instant, prise d’un vertige.

-Sara, on peut aller à l’hôpital si tu veux, tu …
-Non Michael, ça va aller. Je n’ai aucune envie d’aller à l’hôpital … Je vais bien, je t’assure.

Elle lève les yeux vers lui ; son regard est instantanément happé par celui de Michael. Elle ne supporte pas de voir l’expression de son visage à cet instant ; il semble profondément inquiet. Elle a l’impression que plus jamais elle ne verra son visage autrement que comme ça.

-J’ai juste … J’ai juste envie d’être … là, Michael. Là et nul part ailleurs.

Michael baisse lentement la tête, le regard toujours ancré à celui de la jeune femme ; puis ses yeux descendent vers ses lèvres. Sara esquisse un sourire, et elle approche son visage ; leurs souffles se mêlent, puis Michael scelle délicatement ses lèvres à celles de Sara. Ses mains glissent dans son dos et il la serre un peu plus étroitement contre lui.

Lorsque Sara met fin au baiser, à bout de souffle, elle pose son front contre celui du jeune homme.

-Je t’aime, murmure-t-il d’une voix presque inaudible.

Elle ne répond rien, mais il a sa réponse lorsqu’elle saisit à nouveau ses lèvres entre les siennes.

*

La vie n’est somme toute que ça : la flamme vacillante d’une bougie prise dans la tempête. Menacée par les vents violents, ou tel un phare dans l’obscurité et la tourmente, cette flamme reste le symbole d’un espoir dans le chaos fou et inconcevable qui nous entoure.

Le soleil décline doucement à l’horizon. Michael roule depuis plusieurs heures maintenant, sur cette route qui longe l’Océan. Sara est à ses côtés. Toutes les vitres du véhicule son ouvertes. Le vent s’engouffre dans l’habitable, charriant avec lui des odeurs de sel et d’iode.
Une heure à peine après leur départ, Sara a été frappé par une image, qui est apparue très nette dans son esprit ; l’image d’un visage, un visage amical. Le visage rond et souriant de Jack. Elle ne se rappelle plus bien quel rôle il peut bien avoir joué dans tout ça, mais elle sait au fond d’elle que c’est à lui qu’elle doit tout ça.
La jeune femme jette un rapide coup d’œil à côté d’elle ; Michael est concentré sur la route, mais quelque chose dans son expression lui dit que ses pensées ne sont pas complètement dédiées à l’asphalte qui s’étale devant lui. Sara tourne la tête et reporte son regard au dehors ; des dizaines de mouettes plongent en piqué dans l’océan pour attraper leur nourriture. Un léger sourire étire les lèvres de la jeune femme alors qu’elle lève les yeux vers le ciel.

-A qui souris-tu ?

La voix de Michael perce le sifflement du vent. Il la regarde, souris devant son sourire. Sara le regarde à nouveau.

-A un ami.

2 fins en si peu de temps, c'est dur... Surtout que j'adorais cette fic là ( on se demande pourquoi )

Merci pour cette superbe fic qui m'a fait penser à Stargate tout en restant avec les personnages et l'atmosphére (la plupart du temps) de Prison Break, 2 séries que j'adore, celles que j'aime le plus et ca m'a fait énormément plaisir de la lire

EDIT : Cette fin est vraiment superbe ! J'ai faillit oublier, ma premiére réaction a été "C'est trop beau! "

encore une autre fic qui se termine
en tous les cas, c'est une merveilleuse fin et heureuse même si tu n'as pas répondue aux questions, le mystère est parfois intégrant à une fic
ils se sont retrouvés et partent ensemble, Sara sourit à un ami

encore merci pour cette autre belle fic

Merci les filles pour vos comms' !

Je suis contente que cette fin vous ai plu, et merci d'être restées malgré les humeurs de ma muse