When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Je comprend ce que vous ressentez (et en même temps pas trop car je comprend pas cet engouement pour cette série), quand Buffy c'est fini j'étais triste et puis en plus a l'époque j'avais pas les dvd, ni internet alors bon... je pouvais pas les reregarder. Et puis a force et bien ça m'a passé même si j'adore autant la série et que ça me fait plaisir de revoir les épisodes, ca vous fera la même chose j'en suis persuadée.
selima- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3733
Age : 42
Date d'inscription : 20/09/2006
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
je pense que tu ne comprends pas cette engoument pour cette série tout simplement parce que même pendant ta période fan de PB, tu n'as jamais eu un tel entousiasme. Je pense que tu as aimé à une certaine époque la série mais de façon rationnelle et raisonnable, moi pas.
je te le dis, j'ai JAMAIS eu cette sensation avant. j'ai jamais eu une telle passion pour une série et pour des personnages avant et une fois PB terminé, je ne crois pas que ça se reproduira.
c'est pas facile à décrire, mais c'est une passion telle que pour moi, ça ne sera pas facile de m'en détacher comme tu le dis. pour moi c'est queleque chose vraiment qu'on m'oblige à fair en arrêtant la série et que je NE VEUX ABSOLUMENT PAS. je suis folle de PB et je me plait dans ma folie.
edit fic : jai écrit finalement ce soir mais pas autant et aussi vite que j'aurais voulu. je suis à la fin du flash back (qui est plus long) et il me reste encore la fin que je ferais demain.
je te le dis, j'ai JAMAIS eu cette sensation avant. j'ai jamais eu une telle passion pour une série et pour des personnages avant et une fois PB terminé, je ne crois pas que ça se reproduira.
c'est pas facile à décrire, mais c'est une passion telle que pour moi, ça ne sera pas facile de m'en détacher comme tu le dis. pour moi c'est queleque chose vraiment qu'on m'oblige à fair en arrêtant la série et que je NE VEUX ABSOLUMENT PAS. je suis folle de PB et je me plait dans ma folie.
edit fic : jai écrit finalement ce soir mais pas autant et aussi vite que j'aurais voulu. je suis à la fin du flash back (qui est plus long) et il me reste encore la fin que je ferais demain.
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
ouai on en est pas toutes au même stade...
moi je suis comme Went, je suis prête
et comme Seli dit, j'aurais un petit vide et hop on va se trouver un autre truc interressant... en plus je continuerai à lire les fic de Millie et d'harceler Misshysteria
moi je suis comme Went, je suis prête
et comme Seli dit, j'aurais un petit vide et hop on va se trouver un autre truc interressant... en plus je continuerai à lire les fic de Millie et d'harceler Misshysteria
cend17- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1196
Date d'inscription : 01/01/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
coucou
c'est réconfortant de voir que quelqu'un pense comme moi, je ne peux pas m'imaginer aimer autre chose
comme toi ma Mili , je me plait dans cette folie et si prison break ne s'arrêtait pas, je serais très heureuse
ACCRO A PRISON BREAK ET AU MISA
sinon hâte de lire ta suite
bonne journée
c'est réconfortant de voir que quelqu'un pense comme moi, je ne peux pas m'imaginer aimer autre chose
comme toi ma Mili , je me plait dans cette folie et si prison break ne s'arrêtait pas, je serais très heureuse
ACCRO A PRISON BREAK ET AU MISA
sinon hâte de lire ta suite
bonne journée
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bon voilà le prochain chapitre... bon je suis absolument pas convaincu de la fin que je trouve heu comment dire... hum pittoyable !! mais bon j'avais pas des masses d'idées pour la fin.
voilà donc bonne lecture. ya des petits passages en anglais, mais pas d'affolement j'ai traduit comme je pouvais, c'est juste que ça allait tellement mieux en anglais.
Attention suite en 2 parties (et là plus longue jusqu'ici je crois lol).
d'ailleurs vu que c'est un peu long vous pouvez toujours la lire en plusieurs jours lol
https://www.youtube.com/watch?v=tlBEwLv2R1U
Chapitre 9 : Fortune cookies
1 mois plus tard, le 3 novembre 2004
Chicago, Bureaux de Middleton, Maxwell and Schaum
(Pensées de Michael)
La nuit est tombée il y a quelques heures dans les rues de Chicago, laissant derrière elle des trainées lumineuses que j’entrevois par la fenêtre de mon bureau. La circulation se fait plus fluide à mesure que les minutes passent. Les gens rentrent chez eux, ravis de retrouver leur foyer. La tête ailleurs, n’arrivant pas à me concentrer alors que j’ai ce projet à terminer pour demain, mes yeux se perdent, contemplant les traces de la vie qui fourmille au dehors, quand j’ai le sentiment que la mienne s’est arrêtée le jour où Sara m’a quitté.
Ici, dans l’immeuble, tout autour de moi s’est fait silencieux et immobile. Les gens sont partis depuis longtemps, mais comme tous les soirs depuis un mois, je m’enferme des heures durant dans mon bureau. Seul, au calme, trouvant enfin l’opportunité de m’arrêter un instant, alors que je m’interdit de penser à elle durant la journée. Alors que mon travail est devenu le seul élément qui remplisse encore mon existence, je me permets enfin de penser à Sara.
Je ne peux m’empêcher de fixer le téléphone pendant de longues minutes, espérant qu’elle m’appelle enfin. Mais depuis un mois il se fait mué. Je voudrais pouvoir décrocher le combiné et, haletant, composer le numéro, mais deux jours après son départ, elle a téléphoné à Mari Cruz pour lui dire qu’elle était bien arrivée, lui promettant de rappeler rapidement, ce qu’elle n’a jamais fait.
A chaque seconde qui passe, j’espère la voir débouler à l’improviste dans mon bureau comme elle en avait pris l’habitude. Mais encore une fois, rien ne se passe. Aucun bruit, aucun son ne m’entoure, pas même ceux provenant de l’extérieur auxquels mon esprit à fait barrage depuis bien longtemps. Je n’espère qu’une chose : voir son visage, entendre sa voix, être submergé par son rire, me délecter de son odeur, sentir ses caresses contre ma peau…
Poussant un large soupire et prenant mon crâne entre mes deux mains, je tente d’évacuer son visage de mes pensées pour me concentrer à nouveau sur les quelques plans qui sont répandus ça et là sur mon bureau. Je prends de grandes inspirations, tachant de me calmer et de faire le vide autour de moi alors que les images de Sara se bousculent dans ma tête. Finalement, expirant lourdement, je m’abandonne au souvenir. Relevant la tête, je cherche des yeux les réminiscences de notre passé supposées trainer sur mon bureau, mais je suis vite déçu en me rappelant qu’un des soirs où la solitude et le manque s’étaient transformés en profonde colère, consumé par la rage, j’avais décidé de tout jeter. Aujourd’hui, tout à disparu. Seul témoin de la présence de ses souvenirs, le vide laissé à côté de l’origami que Lincoln m’avait offert lorsque j’étais enfant et qui, lui, trône encore sur mon bureau. Mes yeux se plissent, clignent à plusieurs reprises, espérant faire revivre la présence de ces photos…
Flash back : Chicago, Bureaux de Middleton, Maxwell and Schaum
(20 décembre 2003 / 3 ans et demi après leur rencontre / 9 mois avant leur séparation)
Ressentant une légère pression contre ma nuque, je pose délicatement mon crayon sur le côté, me relaxant un instant et m’écartant du plan sur lequel je suis penché depuis plus de 3 heures. Fermant les yeux, je passe ma main le long de mon crâne et jusqu’à ma nuque pour essayer d’en atténuer la douleur en la massant. Deux mois que nous travaillons d’arrache pied sur ce projet et les délais arrivent à leurs termes. La tension au bureau est palpable. C’est le plus gros projet de l’année, et il arrive à une période très chargée, au moment des fêtes de Noël, alors que tout le monde est submergé par les cadeaux, la décoration du sapin et les repas en famille.
Relâchant un profond soupire, mes yeux s’ouvrent instantanément dans le but d’apercevoir la seule personne que j’aurais envie de croiser pour le moment. Sara. Je n’ai pas l’habitude d’être désordonné mais là, des piles de dossiers, des plans, des crayons et autres règles encombrent mon bureau. Cependant, un endroit privilégié reste clair et libre. Quelque part vers la gauche, avant de trouver la pile de courrier, un origami et deux cadres photos. Sur l’un d’eux, Sara et moi au centre commercial, enlacés grossièrement, sur le point de tomber et grimaçant sous les rires qui nous submergent. Ce fut à peine un mois après notre rencontre, et ce fut l’une des nuits les plus amusantes qu’on ait vécu à deux. Sur l’autre, une photo beaucoup plus récente prise par Mari Cruz sans que l’on s’en aperçoive lors de notre dernier Thanksgiving il y a environ un mois. Nos regards sont plongés l’un dans l’autre. Le bout de mes doigts est immortalisé à jamais et immobiles dans ses cheveux. L’extrémité de mon pousse touche sa lèvre inférieure alors que ses bras se rejoignent derrière ma nuque. Sa bouche est légèrement ouverte, la mienne esquisse un sourire. Nous somme sur le point de nous embrasser. 3 ans et demi séparent ces deux photos. 3 ans et demi où l’on voit tellement de différences, l’âge mais aussi une tendresse et une sensualité opposés à une grande complicité. Et pourtant elle se ressemble tout autant, laissant apercevoir l’amour que chacun de nous porte à l’autre, même dès le premier mois de notre relation, alors que nous ne le savions pas encore nous même. Je ne peux m’empêcher de sourire. Le même sourire que sur la seconde photo. Je tends légèrement le bras, mes doigts s’apprêtant à recueillir le cadran de la photo quand soudain, un bruit provenant de la porte me sort de ma contemplation.
… : Toc toc toc.
Mon sourire redouble, je baisse les yeux, gêné, avant de les relever et de retrouver son air moqueur. Sara, se tient à l’embrasure de la porte, emmitouflée dans son manteau, tenant une position détendue comme si elle était là depuis déjà un bon moment.
S : Serais-tu en train de penser à moi Scofield ?
M (riant) : On ne peut rien te cacher.
D’un air mutin, je la vois se retourner, scanner le hall derrière elle, puis finalement me faire face à nouveau avant de fermer la porte et de s’adosser contre elle, toujours le même air rieur sur le visage.
S (murmurant sensuellement) : Nue ?
M (riant un peu trop fort puis se reprenant avec un air faussement convainquant) : Non je n’oserais pas.
S (faignant une moue déçue) : Oh… Dommage !
Finalement, elle laisse tomber son masque faussement séducteur, rattrapé par les rires que son commentaire à provoqué tant chez elle que chez moi. Quelques secondes plus tard, le visage sérieux, elle brise les quelques mètres qui la séparent de mon bureau. Je la regarde avancer légèrement. Pas à pas, elle contourne mon bureau et finalement vient se retrouver face à moi toujours assis, et ayant tourné mon siège de son côté. Quelque part, sur un coin du bureau encore libre, elle pose le sachet qui l’accompagnait jusqu’alors et d’où s’échappe une odeur délicieuse. Alors que son regard n’a pas encore retrouvé le mien, je viens saisir le bas de ses hanches, la rapprochant de mon corps. Un sourire tendre sur le visage, elle se penche en avant, s’appuyant sur les accoudoirs de ma chaise et finalement ses lèvres viennent rencontrer les miennes. Elles sont glaciales, certainement refroidies par la température extérieur proche de zéro, et pourtant un courant électrique emplit mon corps et vient stimuler mon cœur, dont les battements se font plus conséquents.
Alors que mes gestes souhaitent intensifier notre baiser, Sara dans un mouvement plus détaché, vient poser l’une de ses mains contre ma joue, avant de s’écarter légèrement de mon visage. Elle passe sa langue délicatement le long de ses lèvres, ce qui, involontairement de sa part, n’a pas le don de m’apaiser. Ses yeux sont tournés vers le sol, gênés, et plusieurs minutes s’écoulent avant que nos regards ne se croisent à nouveau.
S : Je suis désolée Michael. Je sais que tu as beaucoup de travail. Je… je ne voulais pas te déranger… (haussant les sourcils) pas de cette façon là en tout cas. J’ai juste pensé que tu n’avais peut être pas mangé. Je suis passée chez le chinois alors peut être que tu pourrais prendre une pause et qu’on pourrait diner ici, tous les deux…
Au moment où elle s’est faite plus timide et réservée, jouant avec ses mains et abandonnant son jeu de séduction, j’ai compris que quelque chose la tracassait. La voyant hésiter de nouveau, je vois mon impression se confirmer. Je sens qu’elle a quelque chose en tête, quelque chose à me dire mais dont elle n’ose pas parler. Surpris par son changement de comportement, je reste silencieux quelques secondes, oubliant même de répondre à sa proposition, ce qui la rend visiblement encore plus nerveuse.
S (déçue, voyant que Michael ne répond pas) : Enfin sauf si tu n’as vraiment pas le temps, je comprendrai…
M (se levant enfin de son siège) : Non ! Non, c’est une super idée. Tu sais très bien que j’ai toujours du temps pour toi.
Souriant vivement pour lui faire reprendre confiance en elle, je lui laisse le temps de venir elle-même jusqu’à moi dès qu’elle en sentira le besoin, préférant taire le sujet jusque là. Je laisse ma main courir dans ses cheveux, m’imprégnant de leur odeur, avant de la descendre jusqu’à ses épaules et en direction du plus haut bouton de son manteau.
S : Michael…
M : Je récupère simplement ton manteau Sara.
S (le laissant la déshabiller) : Oh… Ok… hum… où veux-tu qu’on fasse ça ?
M (levant les sourcils surpris du double sens) : …
S : Je parle de nourriture Scofield. Concentre-toi un peu. Ce que je veux dire c’est que ton bureau… (cherchant ses mots) hum…c’est très…
M : Toi.
S : Exactement !
M : On dirait que tu déteins sur moi.
S (lui donnant une petite tape à l’épaule alors que Michael pose le manteau de Sara sur sa chaise maintenant vide) : …
M : Aïe.
S (souriant) : Arrête de jouer les fillettes et suis moi.
Saisissant ma main dans la sienne et prenant le sachet de l’autre, après avoir observé la pièce de long en large l’espace d’un instant, je la vois nous mener vers l’un des coins de mon bureau, près de la fenêtre. Je suis ravi de voir qu’elle reprend confiance en elle, que son air joueur refait surface, mais je suis des plus intrigués lorsqu’elle s’assoit, les jambes en tailleur, sur le sol, posant le sachet face à elle.
S (voyant l’air interloqué de Michael) : Quoi ? Tu n’arrêtes pas de me dire qu’on devrait aller pique-niquer… donc nous y voilà, notre premier pique-nique sur… hum… parquet ! En plus de trois ans il était temps que tu m’invites à « pique-nique-parqueter ».
M : Tu m’as invité je te le rappelle.
S : Ouais… hum les temps ont changés, la galanterie n’est plus ce qu’elle était.
M (feignant la douleur) : Aïe.
Alors que je fini par prendre place à ses côtés, Sara éclate de rire. Interloqué mais heureux de la voir ainsi, je ne peux stopper mes yeux de l’admirer. Finalement, elle retrouve son calme, un air timide sur le visage et les joues légèrement empourprées. Me donnant l’un des plats qu’elle a choisi pour moi, elle accompagne son geste par sa main droite qui vient recueillir mon menton et ses lèvres qui viennent se poser sur les miennes pour un léger baiser. S’éloignant de moi, mais restant encore si prêt que je peux sentir son souffle contre ma peau, je tente de me rapprocher pour saisir ses lèvres à nouveau, mais les doigts de Sara m’en empêche, venant se poser contre ma bouche.
S : Je ne reste pas très longtemps. Tu dois travailler. On devrait manger.
voilà donc bonne lecture. ya des petits passages en anglais, mais pas d'affolement j'ai traduit comme je pouvais, c'est juste que ça allait tellement mieux en anglais.
Attention suite en 2 parties (et là plus longue jusqu'ici je crois lol).
d'ailleurs vu que c'est un peu long vous pouvez toujours la lire en plusieurs jours lol
https://www.youtube.com/watch?v=tlBEwLv2R1U
Chapitre 9 : Fortune cookies
1 mois plus tard, le 3 novembre 2004
Chicago, Bureaux de Middleton, Maxwell and Schaum
(Pensées de Michael)
La nuit est tombée il y a quelques heures dans les rues de Chicago, laissant derrière elle des trainées lumineuses que j’entrevois par la fenêtre de mon bureau. La circulation se fait plus fluide à mesure que les minutes passent. Les gens rentrent chez eux, ravis de retrouver leur foyer. La tête ailleurs, n’arrivant pas à me concentrer alors que j’ai ce projet à terminer pour demain, mes yeux se perdent, contemplant les traces de la vie qui fourmille au dehors, quand j’ai le sentiment que la mienne s’est arrêtée le jour où Sara m’a quitté.
Ici, dans l’immeuble, tout autour de moi s’est fait silencieux et immobile. Les gens sont partis depuis longtemps, mais comme tous les soirs depuis un mois, je m’enferme des heures durant dans mon bureau. Seul, au calme, trouvant enfin l’opportunité de m’arrêter un instant, alors que je m’interdit de penser à elle durant la journée. Alors que mon travail est devenu le seul élément qui remplisse encore mon existence, je me permets enfin de penser à Sara.
Je ne peux m’empêcher de fixer le téléphone pendant de longues minutes, espérant qu’elle m’appelle enfin. Mais depuis un mois il se fait mué. Je voudrais pouvoir décrocher le combiné et, haletant, composer le numéro, mais deux jours après son départ, elle a téléphoné à Mari Cruz pour lui dire qu’elle était bien arrivée, lui promettant de rappeler rapidement, ce qu’elle n’a jamais fait.
A chaque seconde qui passe, j’espère la voir débouler à l’improviste dans mon bureau comme elle en avait pris l’habitude. Mais encore une fois, rien ne se passe. Aucun bruit, aucun son ne m’entoure, pas même ceux provenant de l’extérieur auxquels mon esprit à fait barrage depuis bien longtemps. Je n’espère qu’une chose : voir son visage, entendre sa voix, être submergé par son rire, me délecter de son odeur, sentir ses caresses contre ma peau…
Poussant un large soupire et prenant mon crâne entre mes deux mains, je tente d’évacuer son visage de mes pensées pour me concentrer à nouveau sur les quelques plans qui sont répandus ça et là sur mon bureau. Je prends de grandes inspirations, tachant de me calmer et de faire le vide autour de moi alors que les images de Sara se bousculent dans ma tête. Finalement, expirant lourdement, je m’abandonne au souvenir. Relevant la tête, je cherche des yeux les réminiscences de notre passé supposées trainer sur mon bureau, mais je suis vite déçu en me rappelant qu’un des soirs où la solitude et le manque s’étaient transformés en profonde colère, consumé par la rage, j’avais décidé de tout jeter. Aujourd’hui, tout à disparu. Seul témoin de la présence de ses souvenirs, le vide laissé à côté de l’origami que Lincoln m’avait offert lorsque j’étais enfant et qui, lui, trône encore sur mon bureau. Mes yeux se plissent, clignent à plusieurs reprises, espérant faire revivre la présence de ces photos…
Flash back : Chicago, Bureaux de Middleton, Maxwell and Schaum
(20 décembre 2003 / 3 ans et demi après leur rencontre / 9 mois avant leur séparation)
Ressentant une légère pression contre ma nuque, je pose délicatement mon crayon sur le côté, me relaxant un instant et m’écartant du plan sur lequel je suis penché depuis plus de 3 heures. Fermant les yeux, je passe ma main le long de mon crâne et jusqu’à ma nuque pour essayer d’en atténuer la douleur en la massant. Deux mois que nous travaillons d’arrache pied sur ce projet et les délais arrivent à leurs termes. La tension au bureau est palpable. C’est le plus gros projet de l’année, et il arrive à une période très chargée, au moment des fêtes de Noël, alors que tout le monde est submergé par les cadeaux, la décoration du sapin et les repas en famille.
Relâchant un profond soupire, mes yeux s’ouvrent instantanément dans le but d’apercevoir la seule personne que j’aurais envie de croiser pour le moment. Sara. Je n’ai pas l’habitude d’être désordonné mais là, des piles de dossiers, des plans, des crayons et autres règles encombrent mon bureau. Cependant, un endroit privilégié reste clair et libre. Quelque part vers la gauche, avant de trouver la pile de courrier, un origami et deux cadres photos. Sur l’un d’eux, Sara et moi au centre commercial, enlacés grossièrement, sur le point de tomber et grimaçant sous les rires qui nous submergent. Ce fut à peine un mois après notre rencontre, et ce fut l’une des nuits les plus amusantes qu’on ait vécu à deux. Sur l’autre, une photo beaucoup plus récente prise par Mari Cruz sans que l’on s’en aperçoive lors de notre dernier Thanksgiving il y a environ un mois. Nos regards sont plongés l’un dans l’autre. Le bout de mes doigts est immortalisé à jamais et immobiles dans ses cheveux. L’extrémité de mon pousse touche sa lèvre inférieure alors que ses bras se rejoignent derrière ma nuque. Sa bouche est légèrement ouverte, la mienne esquisse un sourire. Nous somme sur le point de nous embrasser. 3 ans et demi séparent ces deux photos. 3 ans et demi où l’on voit tellement de différences, l’âge mais aussi une tendresse et une sensualité opposés à une grande complicité. Et pourtant elle se ressemble tout autant, laissant apercevoir l’amour que chacun de nous porte à l’autre, même dès le premier mois de notre relation, alors que nous ne le savions pas encore nous même. Je ne peux m’empêcher de sourire. Le même sourire que sur la seconde photo. Je tends légèrement le bras, mes doigts s’apprêtant à recueillir le cadran de la photo quand soudain, un bruit provenant de la porte me sort de ma contemplation.
… : Toc toc toc.
Mon sourire redouble, je baisse les yeux, gêné, avant de les relever et de retrouver son air moqueur. Sara, se tient à l’embrasure de la porte, emmitouflée dans son manteau, tenant une position détendue comme si elle était là depuis déjà un bon moment.
S : Serais-tu en train de penser à moi Scofield ?
M (riant) : On ne peut rien te cacher.
D’un air mutin, je la vois se retourner, scanner le hall derrière elle, puis finalement me faire face à nouveau avant de fermer la porte et de s’adosser contre elle, toujours le même air rieur sur le visage.
S (murmurant sensuellement) : Nue ?
M (riant un peu trop fort puis se reprenant avec un air faussement convainquant) : Non je n’oserais pas.
S (faignant une moue déçue) : Oh… Dommage !
Finalement, elle laisse tomber son masque faussement séducteur, rattrapé par les rires que son commentaire à provoqué tant chez elle que chez moi. Quelques secondes plus tard, le visage sérieux, elle brise les quelques mètres qui la séparent de mon bureau. Je la regarde avancer légèrement. Pas à pas, elle contourne mon bureau et finalement vient se retrouver face à moi toujours assis, et ayant tourné mon siège de son côté. Quelque part, sur un coin du bureau encore libre, elle pose le sachet qui l’accompagnait jusqu’alors et d’où s’échappe une odeur délicieuse. Alors que son regard n’a pas encore retrouvé le mien, je viens saisir le bas de ses hanches, la rapprochant de mon corps. Un sourire tendre sur le visage, elle se penche en avant, s’appuyant sur les accoudoirs de ma chaise et finalement ses lèvres viennent rencontrer les miennes. Elles sont glaciales, certainement refroidies par la température extérieur proche de zéro, et pourtant un courant électrique emplit mon corps et vient stimuler mon cœur, dont les battements se font plus conséquents.
Alors que mes gestes souhaitent intensifier notre baiser, Sara dans un mouvement plus détaché, vient poser l’une de ses mains contre ma joue, avant de s’écarter légèrement de mon visage. Elle passe sa langue délicatement le long de ses lèvres, ce qui, involontairement de sa part, n’a pas le don de m’apaiser. Ses yeux sont tournés vers le sol, gênés, et plusieurs minutes s’écoulent avant que nos regards ne se croisent à nouveau.
S : Je suis désolée Michael. Je sais que tu as beaucoup de travail. Je… je ne voulais pas te déranger… (haussant les sourcils) pas de cette façon là en tout cas. J’ai juste pensé que tu n’avais peut être pas mangé. Je suis passée chez le chinois alors peut être que tu pourrais prendre une pause et qu’on pourrait diner ici, tous les deux…
Au moment où elle s’est faite plus timide et réservée, jouant avec ses mains et abandonnant son jeu de séduction, j’ai compris que quelque chose la tracassait. La voyant hésiter de nouveau, je vois mon impression se confirmer. Je sens qu’elle a quelque chose en tête, quelque chose à me dire mais dont elle n’ose pas parler. Surpris par son changement de comportement, je reste silencieux quelques secondes, oubliant même de répondre à sa proposition, ce qui la rend visiblement encore plus nerveuse.
S (déçue, voyant que Michael ne répond pas) : Enfin sauf si tu n’as vraiment pas le temps, je comprendrai…
M (se levant enfin de son siège) : Non ! Non, c’est une super idée. Tu sais très bien que j’ai toujours du temps pour toi.
Souriant vivement pour lui faire reprendre confiance en elle, je lui laisse le temps de venir elle-même jusqu’à moi dès qu’elle en sentira le besoin, préférant taire le sujet jusque là. Je laisse ma main courir dans ses cheveux, m’imprégnant de leur odeur, avant de la descendre jusqu’à ses épaules et en direction du plus haut bouton de son manteau.
S : Michael…
M : Je récupère simplement ton manteau Sara.
S (le laissant la déshabiller) : Oh… Ok… hum… où veux-tu qu’on fasse ça ?
M (levant les sourcils surpris du double sens) : …
S : Je parle de nourriture Scofield. Concentre-toi un peu. Ce que je veux dire c’est que ton bureau… (cherchant ses mots) hum…c’est très…
M : Toi.
S : Exactement !
M : On dirait que tu déteins sur moi.
S (lui donnant une petite tape à l’épaule alors que Michael pose le manteau de Sara sur sa chaise maintenant vide) : …
M : Aïe.
S (souriant) : Arrête de jouer les fillettes et suis moi.
Saisissant ma main dans la sienne et prenant le sachet de l’autre, après avoir observé la pièce de long en large l’espace d’un instant, je la vois nous mener vers l’un des coins de mon bureau, près de la fenêtre. Je suis ravi de voir qu’elle reprend confiance en elle, que son air joueur refait surface, mais je suis des plus intrigués lorsqu’elle s’assoit, les jambes en tailleur, sur le sol, posant le sachet face à elle.
S (voyant l’air interloqué de Michael) : Quoi ? Tu n’arrêtes pas de me dire qu’on devrait aller pique-niquer… donc nous y voilà, notre premier pique-nique sur… hum… parquet ! En plus de trois ans il était temps que tu m’invites à « pique-nique-parqueter ».
M : Tu m’as invité je te le rappelle.
S : Ouais… hum les temps ont changés, la galanterie n’est plus ce qu’elle était.
M (feignant la douleur) : Aïe.
Alors que je fini par prendre place à ses côtés, Sara éclate de rire. Interloqué mais heureux de la voir ainsi, je ne peux stopper mes yeux de l’admirer. Finalement, elle retrouve son calme, un air timide sur le visage et les joues légèrement empourprées. Me donnant l’un des plats qu’elle a choisi pour moi, elle accompagne son geste par sa main droite qui vient recueillir mon menton et ses lèvres qui viennent se poser sur les miennes pour un léger baiser. S’éloignant de moi, mais restant encore si prêt que je peux sentir son souffle contre ma peau, je tente de me rapprocher pour saisir ses lèvres à nouveau, mais les doigts de Sara m’en empêche, venant se poser contre ma bouche.
S : Je ne reste pas très longtemps. Tu dois travailler. On devrait manger.
Dernière édition par miliibnb le Sam 22 Nov - 1:46, édité 2 fois
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
****
Le repas se déroule calmement, parlant chacun de notre journée, alors que ça et là, deux trois rires viennent remplir l’intimité de notre échange. Avant d’entamer le dessert, elle retrouve un air sérieux et angoissé à la fois. J’avais totalement oublié l’attitude qu’elle arborait un peu plus tôt, bercé par la chaleur d’être à ses côtés. Alors que je suis certain qu’elle est sur le point de me dire ce qui lui trotte dans la tête depuis un bon moment, je suis surpris de la voir retrouver l’air mutin de son arrivée. Ses yeux rieurs fixent le néant droit devant-elle avant de rencontrer les miens lorsque, tournant son corps à demi, elle vient poser le haut de ses genoux sur mes jambes allongées, resserrant davantage notre étreinte. Sa main dessine longuement l’empreinte de mes lèvres, ses yeux focalisés sur cette même partie de mon visage, et se retenant presque de venir m’embrasser. Me sentant si bien et souhaitant la pousser à continuer, ma main vient frôler légèrement son genoux par de fines caresses.
S (relevant les yeux pour rencontrer ceux de Michael tout en murmurant) : Raconte-moi un de tes secrets. Raconte-moi quelque chose que personne d’autre ne sait.
M (surpris) : Quoi ?
S : Michael… s’il te plait.
Etonné par sa question, je fronce les sourcils un instant, cherchant un moyen de lui répondre, sachant que je ne peux résister au regard qu’elle me lance. Peu courageux et effrayé qu’elle puisse me voir affaiblit en prenant connaissance de mes peurs et mes faiblesses, je choisi de reprendre son un air joueur.
M (se rapprochant de l’oreille de Sara et chuchotant à son tour) : Disons que… j’étais bien en train de penser à toi… nue.
S : Michael…
M (soufflant, résigné) : Ok. Ok, mais promets-moi de ne pas rire.
S (un air indescriptible sur le visage, sérieux et rieur à la fois) : Je te le promets.
M (se raclant la gorge) : Hum… quand j’étais petit, enfin, jusqu’à l’âge de quinze ans environ… heu je… je laissais des lettres cachés dans un pot de fleur sur la tombe de ma mère. (se sentant le besoin de se justifier) J’avais besoin de garder le contact avec elle d’une certaine façon.
Honteux et évitant son regard, je n’avais pas vu ses yeux emplit de compassion jusqu’à ce qu’elle attire mon visage jusqu’au sien en tournant mon menton.
S : Je suis désolée. Tu n’as pas à avoir honte Michael. Tu aimais ta mère et elle t’aimait tout autant. Elle aurait été fière de toi aujourd’hui.
M (dans un soupire) : J’aurais aimé que tu la rencontre.
S : Moi aussi. (après un long silence) Qu’est ce qu’il est arrivé après ?
M : Qu’est ce que tu veux dire ?
S : Pourquoi t’es-tu arrêté ?
M : En fait, mes lettres disparaissaient. J’étais convaincu que d’une certaine manière ma mère les lisait. Puis un jour, ayant grandi et étant moins crédule, mais surtout parce que je les ai retrouvées, toujours scellées, dans la chambre de Lincoln, j’ai compris qu’il avait su dès le début et qu’il avait fait ça pour moi, même si je lui en ai voulu pendant un long moment, probablement parce que j’étais gêné.
S : Tu les as toujours ?
M : Oui. Toujours fermées.
S : Tu ne les as jamais relus ?
M : Non. J’ai accepté la mort de ma mère mais surtout j’ai compris qu’elle vivait à travers Lincoln et moi et je n’ai pas envie de me replonger dans cette période de mon passé.
S : Je comprends.
Plus que notre attirance quasi subite l’un pour l’autre, ce qui nous a le plus rapproché c’est le fait qu’on se ressemble énormément si bien que nous n’avons aucune difficulté à comprendre l’autre. On a connu les mêmes souffrances et une grande solitude pendant une grande partie de notre vie, jusqu’à ce qu’on se soit trouvé. Ces révélations faisant naître de vieux et tristes souvenirs dans nos pensées, je décide de changer de sujet.
M : Et toi, raconte moi un des tes secrets.
S (le regardant hésitante) : …
M (joueur) : Hé, tu n’espérais pas que ça serait dans un seul sens ?
S (respirant profondément puis forçant un sourire) : En fait non.
Décidément, on peut dire que Sara a le don de me surprendre ce soir. Et pourtant je m’y attendais. Depuis le début je savais qu’elle avait quelque chose à me dire, et je sens que le moment est venu. Intrigué, je la laisse donc continuer mais elle reste silencieuse et au lieu de parler, elle me tend l’un des biscuits chinois de notre repas et qui contient traditionnellement une prédiction ou une citation caché en son centre.
S : Crac-le.
M (fronçant les sourcils tout en prenant le biscuit) : …
S (soupirant tout en riant nerveusement) : Michael… juste… fait-le.
M : Ok. Ok.
Sans la quitter des yeux, je fais craquer le biscuit entre mes doigt comme elle me l’a demandé avant de récupérer le morceau de papier qui se trouve à l’intérieur.
M : « Ideas are like children, there are none so wonderfull as your own » (plus ou moins : « Les idées sont comme les enfants, aucune n’est aussi merveilleuse que les siennes »).
J’essai vainement de donner du sens à cette phrase, à cette succession de mot, mais je n’y arrive pas. J’ai l’impression que toutes ces heures passées, avachis sur mes plans, m’ont ôté toute capacité à réfléchir correctement. Détestant plus que tout me sentir perdre le contrôle, je sens les pulsations de mon cœur s’amplifier contre mon torse.
M : Qu’est ce que… Je ne comprends pas… Tu savais que…
S : Oui. J’ai fait mettre cette citation spécialement pour toi. Il faut que je te dise quelque chose. (riant nerveusement) Waouh. Apparemment toi aussi tu déteins sur moi avec tous tes plans. Hum, ok tu vas me prendre pour une folle mais le truc c’est que j’y pense depuis des semaines, et je sais qu’on n’en a jamais parlé avant, mais je ne peux pas m’arrêter d’y penser sans arrêt et je… je n’ai jamais le courage de t’en parler… Et voilà que je me mets à bafouiller… tu dois vraiment me trouver ridicule.
M (étant uniquement capable de secouer la tête) : …
S (continuant, peu rassurée) : Donc je me suis dit, je vais passer ce soir, je sais qu’il est très occupé et donc je ne pourrai pas me dérober à nouveau et encore remettre cette conversation à plus tard. (voyant qu’il ne comprend toujours pas) Michael, ça m’aiderait vraiment si pour une fois le petit génie en toi pouvait comprendre parce qu’apparemment je n’arrive pas à…
Je suis incapable de dire la moindre chose, tournant et retournant cette phrase et le monologue de Sara dans ma tête, mais perdu comme je le suis, rien n’a de sens. Ma main s’est figée contre son genou. Mon regard ne se détache pas du sien alors qu’elle ferme les yeux, inspirant profondément, avant de les rouvrir aussi vite, prenant tout le courage qui lui reste pour arriver à terminer sa phrase.
S : Je voudrais un enfant de toi Michael.
Mon souffle se coupe et mon cœur manque un de ses battements. Le sol se dérobe sous mes pieds et le vide se fait autour de moi, autour de nous. Il n’y a plus que nous : Sara, moi et cette dernière phrase qui résonne dans ma tête. Je déglutis difficilement, essayant de forcer les mots à sortir de ma bouche mais je ne vois pas, je ne sais pas. Sara prend mon silence comme un refus et baisse la tête évitant mon regard et se raidissant. Et puis tout à coup, je sais. Un sourire qu’elle ne peut pas voir illumine mon visage. Le cœur martelant contre ma poitrine, je laisse échapper un rire.
M : Fait que se soit une fille alors et qu’elle hérite de la couleur de tes joues quand tu es gênée.
S (relavant la tête n’y croyant pas) : …
M (prenant une mèche de ses cheveux) : Et tes cheveux aussi. (passant son pousse en dessous de son œil), tes ye…
S : Non, elle aura TES yeux !
M (riant) : Comme tu veux. De toute façon, ça m’est égal, il ou elle sera parfait.
Un sourire resplendi sur son visage. L’angoisse s’est évadée, laissant place aux projets et à l’avenir. Nos lèvres se rencontrent à nouveau, mais se quittent bien trop vite sous la retenue de Sara.
S : Tu es sure que c’est ce que tu veux ?
M (rapprochant leurs deux visages) : Absolument. Je suis même étonné qu’on n’y ait pas pensé avant. On devra peut être changé d’appartement. Celui là est trop petit et dangereux pour un bébé. On devrait peut être aussi s’installer en banlieue. Je ferai en sorte qu’on est une maison parfaitement sécurisé et… whooo, non un garçon serait peut être mieux finalement… (réfléchissant à voix haute) à moins que je lui interdise de sortir avant ses quarante ans ?
S (riant sous l’affolement soudain de Michael) : Tu ne crois pas qu’on devrait attendre que je sois enceinte avant de penser à tout ça ?
M : Oui tu as raison.
S (se reculant en voyant Michael se pencher vers elle pour l’embrasser) : Attends… tu voulais le faire maintenant ? Ici ?
M : Oui… pourquoi pas ?
S : Hum peut être à cause de la dizaine de personnes qui trainent encore dans les bureaux à cette heure-ci et à cause du projet que tu dois rendre demain.
M : Merde ! Mais je suis incapable de travailler dans cet état.
S : Il va bien falloir si on veut payer des études à nos enfants !
M : Nos ? Combien tu en veux ?
S (gênée et hésitante) : Hum… trois ?
M : Parfait. Trois.
S : Whoo.
M : Je sais.
S (soupirant) : Je devrais te laisser, je suis déjà restée trop longtemps. Mais si ça peut t’aider, dis-toi que plus vite tu auras fini, (flirtant) plus vite tu pourras me rejoindre.
M : Je ne suis pas sure que ça m’aide vraiment parce que, là, maintenant, oui je pense à toi complètement nue.
S (riant) : Désolée.
Le visage se confondant d’excuses, mais en même temps très fière du pouvoir qu’elle exerce toujours sur moi, elle vient poser ses lèvres contre les miennes dans le baiser le plus chaste possible, voulant m’aider à contrôler mes pulsions. Elle finie par se redresser pour aller chercher son manteau sur mon bureau, je la rattrape par la main, ramenant son corps près du mien.
M : Attends… Qu’est ce qu’il y avait dans ton biscuit ?
S : Je ne sais pas. J’ai juste choisi le tien. Pourquoi ?
M : Je suis curieux de savoir.
S (récupérant son biscuit puis le craquant dans ses mains) : « In the end there are three things that last : faith, hope and love ; and greatest of it is love ». (à peu près : Au final il y a trois grandes choses qui durent : la foi, l’espoir et l’amour ; et le meilleur étant l’amour »).
M : Intéressant.
Me lançant une dernier sourire et gardant le morceau de papier au creux de sa main posée sur son cœur, elle se retourne finalement, décidée à se diriger vers la sortie. Après être resté immobile pendant quelques minutes, toujours sous le coup de l’émotion, mes yeux se dérobent vers mon morceau de papier, s’embuant presque alors que j’en récite la citation comme le plus beau vers qui soit au monde. Me munissant d’un peu de colle, j’en appose un très fin filet au dos avant de venir le coller au bas du deuxième cadre en bois, notre photo la plus récente.
Fin du flash back
Le vide sur mon bureau, le vide dans mon cœur ont fait naître quelques larmes au creux de mes yeux sans que je m’en aperçoive. Ma respiration est haletante alors que je me rends compte de l’erreur que j’ai faite. J’aurais du faire plus. J’aurais pu faire mieux. J’aurais dû l’empêcher de partir. L’absence de ces photos et de ce petit bout de papier démontre bien que sous la colère et la fierté, j’ai abandonné bien trop vite. Je l’ai laissé tomber. Je suis celui qui a brisé la foi et l’espoir qui résidaient dans notre couple. Alors que mes pensées s’enchainent les unes après les autres, me dégoutant de moi-même, un bruit résonne dans la pièce. Je mets plusieurs secondes avant de comprendre qu’on frappe timidement à ma porte. Mon cœur repart. Ma respiration se coupe alors que j’entrevois la naissance d’une silhouette.
… : Pardon de vous déranger monsieur Scofield.
M (déçu, soufflant lourdement en voyant la femme de ménage se profiler) : Non, pas du tout Anna, vous ne me déranger pas.
A (intimidée) : Hum… j’ai retrouvé ça la semaine dernière dans votre poubelle. Je me suis dit que peut être vous aviez fait une erreur ?
Sans lui répondre je saisi entre mes mains tremblantes, les deux cadres photos qu’elle me présente. Convaincu que tout ceci n’est pas du au hasard, je sais dès à présent que je l’attendrai et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’on puisse enfin se retrouver car après tout, la foi qui s’éveille au fond de moi me prouve que tant que notre amour subsistera, il y aura toujours de l’espoir.
voilà...
bon sinon je tenais à dire que je n'ai PAS inventé les phrases des fortune cookies / biscuits chinois. en fait je cherchais des phrases bien précises pour michael et sara et celle de sara j'en suis trop fière parce que c'est à croire qu'elle a été faite pour cette fic : "in the end there are three things that last : faith, hope and love; and greatest of it is love" = au final il y a trois chose qui dure, la foi, l'espoir et l'amour; le plus merveilleux étant l'amour.
when faith is gone, love is all what matter = quand il n'y a plus d'espoir (oui ça fait mieux espoir que foi sur ce coup), l'amour est tout ce qu'il reste.
so ???
Le repas se déroule calmement, parlant chacun de notre journée, alors que ça et là, deux trois rires viennent remplir l’intimité de notre échange. Avant d’entamer le dessert, elle retrouve un air sérieux et angoissé à la fois. J’avais totalement oublié l’attitude qu’elle arborait un peu plus tôt, bercé par la chaleur d’être à ses côtés. Alors que je suis certain qu’elle est sur le point de me dire ce qui lui trotte dans la tête depuis un bon moment, je suis surpris de la voir retrouver l’air mutin de son arrivée. Ses yeux rieurs fixent le néant droit devant-elle avant de rencontrer les miens lorsque, tournant son corps à demi, elle vient poser le haut de ses genoux sur mes jambes allongées, resserrant davantage notre étreinte. Sa main dessine longuement l’empreinte de mes lèvres, ses yeux focalisés sur cette même partie de mon visage, et se retenant presque de venir m’embrasser. Me sentant si bien et souhaitant la pousser à continuer, ma main vient frôler légèrement son genoux par de fines caresses.
S (relevant les yeux pour rencontrer ceux de Michael tout en murmurant) : Raconte-moi un de tes secrets. Raconte-moi quelque chose que personne d’autre ne sait.
M (surpris) : Quoi ?
S : Michael… s’il te plait.
Etonné par sa question, je fronce les sourcils un instant, cherchant un moyen de lui répondre, sachant que je ne peux résister au regard qu’elle me lance. Peu courageux et effrayé qu’elle puisse me voir affaiblit en prenant connaissance de mes peurs et mes faiblesses, je choisi de reprendre son un air joueur.
M (se rapprochant de l’oreille de Sara et chuchotant à son tour) : Disons que… j’étais bien en train de penser à toi… nue.
S : Michael…
M (soufflant, résigné) : Ok. Ok, mais promets-moi de ne pas rire.
S (un air indescriptible sur le visage, sérieux et rieur à la fois) : Je te le promets.
M (se raclant la gorge) : Hum… quand j’étais petit, enfin, jusqu’à l’âge de quinze ans environ… heu je… je laissais des lettres cachés dans un pot de fleur sur la tombe de ma mère. (se sentant le besoin de se justifier) J’avais besoin de garder le contact avec elle d’une certaine façon.
Honteux et évitant son regard, je n’avais pas vu ses yeux emplit de compassion jusqu’à ce qu’elle attire mon visage jusqu’au sien en tournant mon menton.
S : Je suis désolée. Tu n’as pas à avoir honte Michael. Tu aimais ta mère et elle t’aimait tout autant. Elle aurait été fière de toi aujourd’hui.
M (dans un soupire) : J’aurais aimé que tu la rencontre.
S : Moi aussi. (après un long silence) Qu’est ce qu’il est arrivé après ?
M : Qu’est ce que tu veux dire ?
S : Pourquoi t’es-tu arrêté ?
M : En fait, mes lettres disparaissaient. J’étais convaincu que d’une certaine manière ma mère les lisait. Puis un jour, ayant grandi et étant moins crédule, mais surtout parce que je les ai retrouvées, toujours scellées, dans la chambre de Lincoln, j’ai compris qu’il avait su dès le début et qu’il avait fait ça pour moi, même si je lui en ai voulu pendant un long moment, probablement parce que j’étais gêné.
S : Tu les as toujours ?
M : Oui. Toujours fermées.
S : Tu ne les as jamais relus ?
M : Non. J’ai accepté la mort de ma mère mais surtout j’ai compris qu’elle vivait à travers Lincoln et moi et je n’ai pas envie de me replonger dans cette période de mon passé.
S : Je comprends.
Plus que notre attirance quasi subite l’un pour l’autre, ce qui nous a le plus rapproché c’est le fait qu’on se ressemble énormément si bien que nous n’avons aucune difficulté à comprendre l’autre. On a connu les mêmes souffrances et une grande solitude pendant une grande partie de notre vie, jusqu’à ce qu’on se soit trouvé. Ces révélations faisant naître de vieux et tristes souvenirs dans nos pensées, je décide de changer de sujet.
M : Et toi, raconte moi un des tes secrets.
S (le regardant hésitante) : …
M (joueur) : Hé, tu n’espérais pas que ça serait dans un seul sens ?
S (respirant profondément puis forçant un sourire) : En fait non.
Décidément, on peut dire que Sara a le don de me surprendre ce soir. Et pourtant je m’y attendais. Depuis le début je savais qu’elle avait quelque chose à me dire, et je sens que le moment est venu. Intrigué, je la laisse donc continuer mais elle reste silencieuse et au lieu de parler, elle me tend l’un des biscuits chinois de notre repas et qui contient traditionnellement une prédiction ou une citation caché en son centre.
S : Crac-le.
M (fronçant les sourcils tout en prenant le biscuit) : …
S (soupirant tout en riant nerveusement) : Michael… juste… fait-le.
M : Ok. Ok.
Sans la quitter des yeux, je fais craquer le biscuit entre mes doigt comme elle me l’a demandé avant de récupérer le morceau de papier qui se trouve à l’intérieur.
M : « Ideas are like children, there are none so wonderfull as your own » (plus ou moins : « Les idées sont comme les enfants, aucune n’est aussi merveilleuse que les siennes »).
J’essai vainement de donner du sens à cette phrase, à cette succession de mot, mais je n’y arrive pas. J’ai l’impression que toutes ces heures passées, avachis sur mes plans, m’ont ôté toute capacité à réfléchir correctement. Détestant plus que tout me sentir perdre le contrôle, je sens les pulsations de mon cœur s’amplifier contre mon torse.
M : Qu’est ce que… Je ne comprends pas… Tu savais que…
S : Oui. J’ai fait mettre cette citation spécialement pour toi. Il faut que je te dise quelque chose. (riant nerveusement) Waouh. Apparemment toi aussi tu déteins sur moi avec tous tes plans. Hum, ok tu vas me prendre pour une folle mais le truc c’est que j’y pense depuis des semaines, et je sais qu’on n’en a jamais parlé avant, mais je ne peux pas m’arrêter d’y penser sans arrêt et je… je n’ai jamais le courage de t’en parler… Et voilà que je me mets à bafouiller… tu dois vraiment me trouver ridicule.
M (étant uniquement capable de secouer la tête) : …
S (continuant, peu rassurée) : Donc je me suis dit, je vais passer ce soir, je sais qu’il est très occupé et donc je ne pourrai pas me dérober à nouveau et encore remettre cette conversation à plus tard. (voyant qu’il ne comprend toujours pas) Michael, ça m’aiderait vraiment si pour une fois le petit génie en toi pouvait comprendre parce qu’apparemment je n’arrive pas à…
Je suis incapable de dire la moindre chose, tournant et retournant cette phrase et le monologue de Sara dans ma tête, mais perdu comme je le suis, rien n’a de sens. Ma main s’est figée contre son genou. Mon regard ne se détache pas du sien alors qu’elle ferme les yeux, inspirant profondément, avant de les rouvrir aussi vite, prenant tout le courage qui lui reste pour arriver à terminer sa phrase.
S : Je voudrais un enfant de toi Michael.
Mon souffle se coupe et mon cœur manque un de ses battements. Le sol se dérobe sous mes pieds et le vide se fait autour de moi, autour de nous. Il n’y a plus que nous : Sara, moi et cette dernière phrase qui résonne dans ma tête. Je déglutis difficilement, essayant de forcer les mots à sortir de ma bouche mais je ne vois pas, je ne sais pas. Sara prend mon silence comme un refus et baisse la tête évitant mon regard et se raidissant. Et puis tout à coup, je sais. Un sourire qu’elle ne peut pas voir illumine mon visage. Le cœur martelant contre ma poitrine, je laisse échapper un rire.
M : Fait que se soit une fille alors et qu’elle hérite de la couleur de tes joues quand tu es gênée.
S (relavant la tête n’y croyant pas) : …
M (prenant une mèche de ses cheveux) : Et tes cheveux aussi. (passant son pousse en dessous de son œil), tes ye…
S : Non, elle aura TES yeux !
M (riant) : Comme tu veux. De toute façon, ça m’est égal, il ou elle sera parfait.
Un sourire resplendi sur son visage. L’angoisse s’est évadée, laissant place aux projets et à l’avenir. Nos lèvres se rencontrent à nouveau, mais se quittent bien trop vite sous la retenue de Sara.
S : Tu es sure que c’est ce que tu veux ?
M (rapprochant leurs deux visages) : Absolument. Je suis même étonné qu’on n’y ait pas pensé avant. On devra peut être changé d’appartement. Celui là est trop petit et dangereux pour un bébé. On devrait peut être aussi s’installer en banlieue. Je ferai en sorte qu’on est une maison parfaitement sécurisé et… whooo, non un garçon serait peut être mieux finalement… (réfléchissant à voix haute) à moins que je lui interdise de sortir avant ses quarante ans ?
S (riant sous l’affolement soudain de Michael) : Tu ne crois pas qu’on devrait attendre que je sois enceinte avant de penser à tout ça ?
M : Oui tu as raison.
S (se reculant en voyant Michael se pencher vers elle pour l’embrasser) : Attends… tu voulais le faire maintenant ? Ici ?
M : Oui… pourquoi pas ?
S : Hum peut être à cause de la dizaine de personnes qui trainent encore dans les bureaux à cette heure-ci et à cause du projet que tu dois rendre demain.
M : Merde ! Mais je suis incapable de travailler dans cet état.
S : Il va bien falloir si on veut payer des études à nos enfants !
M : Nos ? Combien tu en veux ?
S (gênée et hésitante) : Hum… trois ?
M : Parfait. Trois.
S : Whoo.
M : Je sais.
S (soupirant) : Je devrais te laisser, je suis déjà restée trop longtemps. Mais si ça peut t’aider, dis-toi que plus vite tu auras fini, (flirtant) plus vite tu pourras me rejoindre.
M : Je ne suis pas sure que ça m’aide vraiment parce que, là, maintenant, oui je pense à toi complètement nue.
S (riant) : Désolée.
Le visage se confondant d’excuses, mais en même temps très fière du pouvoir qu’elle exerce toujours sur moi, elle vient poser ses lèvres contre les miennes dans le baiser le plus chaste possible, voulant m’aider à contrôler mes pulsions. Elle finie par se redresser pour aller chercher son manteau sur mon bureau, je la rattrape par la main, ramenant son corps près du mien.
M : Attends… Qu’est ce qu’il y avait dans ton biscuit ?
S : Je ne sais pas. J’ai juste choisi le tien. Pourquoi ?
M : Je suis curieux de savoir.
S (récupérant son biscuit puis le craquant dans ses mains) : « In the end there are three things that last : faith, hope and love ; and greatest of it is love ». (à peu près : Au final il y a trois grandes choses qui durent : la foi, l’espoir et l’amour ; et le meilleur étant l’amour »).
M : Intéressant.
Me lançant une dernier sourire et gardant le morceau de papier au creux de sa main posée sur son cœur, elle se retourne finalement, décidée à se diriger vers la sortie. Après être resté immobile pendant quelques minutes, toujours sous le coup de l’émotion, mes yeux se dérobent vers mon morceau de papier, s’embuant presque alors que j’en récite la citation comme le plus beau vers qui soit au monde. Me munissant d’un peu de colle, j’en appose un très fin filet au dos avant de venir le coller au bas du deuxième cadre en bois, notre photo la plus récente.
Fin du flash back
Le vide sur mon bureau, le vide dans mon cœur ont fait naître quelques larmes au creux de mes yeux sans que je m’en aperçoive. Ma respiration est haletante alors que je me rends compte de l’erreur que j’ai faite. J’aurais du faire plus. J’aurais pu faire mieux. J’aurais dû l’empêcher de partir. L’absence de ces photos et de ce petit bout de papier démontre bien que sous la colère et la fierté, j’ai abandonné bien trop vite. Je l’ai laissé tomber. Je suis celui qui a brisé la foi et l’espoir qui résidaient dans notre couple. Alors que mes pensées s’enchainent les unes après les autres, me dégoutant de moi-même, un bruit résonne dans la pièce. Je mets plusieurs secondes avant de comprendre qu’on frappe timidement à ma porte. Mon cœur repart. Ma respiration se coupe alors que j’entrevois la naissance d’une silhouette.
… : Pardon de vous déranger monsieur Scofield.
M (déçu, soufflant lourdement en voyant la femme de ménage se profiler) : Non, pas du tout Anna, vous ne me déranger pas.
A (intimidée) : Hum… j’ai retrouvé ça la semaine dernière dans votre poubelle. Je me suis dit que peut être vous aviez fait une erreur ?
Sans lui répondre je saisi entre mes mains tremblantes, les deux cadres photos qu’elle me présente. Convaincu que tout ceci n’est pas du au hasard, je sais dès à présent que je l’attendrai et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’on puisse enfin se retrouver car après tout, la foi qui s’éveille au fond de moi me prouve que tant que notre amour subsistera, il y aura toujours de l’espoir.
voilà...
bon sinon je tenais à dire que je n'ai PAS inventé les phrases des fortune cookies / biscuits chinois. en fait je cherchais des phrases bien précises pour michael et sara et celle de sara j'en suis trop fière parce que c'est à croire qu'elle a été faite pour cette fic : "in the end there are three things that last : faith, hope and love; and greatest of it is love" = au final il y a trois chose qui dure, la foi, l'espoir et l'amour; le plus merveilleux étant l'amour.
when faith is gone, love is all what matter = quand il n'y a plus d'espoir (oui ça fait mieux espoir que foi sur ce coup), l'amour est tout ce qu'il reste.
so ???
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Moi, je trouve cette suite magnifique !!!
J'adore cette phrase :
En gros ta suite est géniale et comme toujours trop bien écrite !!!
J'adore cette phrase :
Et celle-ci :"Elles sont glaciales, certainement refroidies par la température extérieur proche de zéro, et pourtant un courant électrique emplit mon corps et vient stimuler mon cœur, dont les battements se font plus conséquents."
On voit parfaitement ce que Michael ressent !"Le vide sur mon bureau, le vide dans mon cœur ont fait naître quelques larmes au creux de mes yeux sans que je m’en aperçoive."
En gros ta suite est géniale et comme toujours trop bien écrite !!!
MiSa07- Parti au secours de Sara
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Date d'inscription : 10/09/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Bon j'ai bien mis 20 minutes a tout lire (mouais pendant le flash vakc je lisais au moins deux fois chaque réplique )MDR donc BRAVO moi j'dit vaux mieux attendre et avoir une magnifique suite comme ça!!!!
Je ne sais pas quand sera la prochaine mais moi j'attendrais au bouuuut de la nuiiiit laaa fic de miliiii (sorry..$acass a trop bu decoke coca....)
J'adoore j'adooore j'adooore
Une holla pour mili
Je ne sais pas quand sera la prochaine mais moi j'attendrais au bouuuut de la nuiiiit laaa fic de miliiii (sorry..$acass a trop bu de
J'adoore j'adooore j'adooore
Une holla pour mili
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bon, j'ai fait un sacré rattrapage ce soir, il ne me reste plus que la partie 2 du chapitre 8 et le chapitre 9 ( je fais la grande pause, et je reprendrais demain)...
sinon je suis toujours à font dans cette histoire que j'aime définitivement (ya juste une scène suplémentaire que j'aurais aimé si elle avait été. La fameuse scène des aéroports, quand l'un supplit l'autre de rester (ici Mike) l'autre fait tout pour prendre sur lui (ici sara) et s'en va vraiment passe la porte d'embarquement et on voit le suplicateur (mike) verser une ou deux larme et dans une magnifique musique, au moment ou il décide de partir persuader que c'est terminé, il entend son nom, croyant rêver, il n'y pas prête pas de suite attention.. et l'appelant (ici sara) insiste dans ses appels en courant vers le suplicateur se jetant définitivement et passionnellement dans ses bras avec la phrase magique "je t'aime xx... (j'aime trop ce genre de scène..)
sinon je suis toujours à font dans cette histoire que j'aime définitivement (ya juste une scène suplémentaire que j'aurais aimé si elle avait été. La fameuse scène des aéroports, quand l'un supplit l'autre de rester (ici Mike) l'autre fait tout pour prendre sur lui (ici sara) et s'en va vraiment passe la porte d'embarquement et on voit le suplicateur (mike) verser une ou deux larme et dans une magnifique musique, au moment ou il décide de partir persuader que c'est terminé, il entend son nom, croyant rêver, il n'y pas prête pas de suite attention.. et l'appelant (ici sara) insiste dans ses appels en courant vers le suplicateur se jetant définitivement et passionnellement dans ses bras avec la phrase magique "je t'aime xx... (j'aime trop ce genre de scène..)
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
il y aura toujours de l’espoir
j'espère
c'est encore de très beaux passages que tu as écrit, je suis une fois de plus transportée dans leur intimité
Michael qui se souvient de ce moment où Sara a voulu un bébé et qu'ils ont fait ce projet, ensuite tu nous décrits ce passage et finalement tu reviens au présent avec la femme de ménage qui lui ramène "ce souvenir" qui lui fait comprendre qu'il doit être patient
j'espère vraiment que tu vas vite la faire revenir notre Sara ou que Michael ailles la rejoindre
me voilà déjà en manque donc je te demande une suite expressement
mille bravo ma Mili
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
so... wonderful Mili !!!
Désolé je détaille pas , je poste pour te dire que j'adore ( comme tout ce que tu écrit !! Oui c'est mon statut d'accro qui ressort ^^)
Partiel cet aprem donc temps restreint sur le net
Désolé je détaille pas , je poste pour te dire que j'adore ( comme tout ce que tu écrit !! Oui c'est mon statut d'accro qui ressort ^^)
Partiel cet aprem donc temps restreint sur le net
Keira- Rendez vous avec le Coyote...
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Date d'inscription : 02/09/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
J'ai adoré cette suite mais à un point!
C'est tellement beau,fort,drôle aussi parfois!Les mimiques de Sara sont parfaitement décrites,on s'y croirait!
Ce que j'adore aussi c'est l'incapacité de Michael a comprendre ce que veut dire Sara c'est sûr que pour le coup on doute du fait que ce soit un géni!
Oh et sa réction! Il veut une fille pour qu'elle ai la couleur des joues de Sara quand elle est embarrassée!
Les cheveux c'est d'accord mais pour les yeux c'est OBLIGATOIREMENT ceux de Michael!
Ce flash-back est magnifique mais il est presque magique à cause des sentiment qu'ils nous fait ressentir!J'ai été touchée, amusée,quand j'ai fini de lire cette suite j'avais un grand sourire idiot sur les lèvres,je suis restée deux minutes à révasser et puis tout d'un coup vlan le retour à la réalité,ce bébé ils l'ont perdu et là je me suis mise à pleurer!
Ca m'a fait trop bizarre je n'en reviens pas de tout ce que j'ai ressenti en 15 minutes parce que ta suite a réussi à me faire ressentir des APRES l'avoir lu!
Mon com doit être pas mal embrouiller mais je ne suis pas encore totalement revenu de mes émotions dsl.
Oh et pour le biscuit de Sara j'en reviens pas j'étais persuadée que c'était toi qui l'avait écrit tellement ça collait bien à ta fic!!
Allez vite une suite la fin m'a rendu impatiente,je veux voir les retrouvailles de Michael et Sara!
C'est tellement beau,fort,drôle aussi parfois!Les mimiques de Sara sont parfaitement décrites,on s'y croirait!
Ce que j'adore aussi c'est l'incapacité de Michael a comprendre ce que veut dire Sara c'est sûr que pour le coup on doute du fait que ce soit un géni!
Oh et sa réction! Il veut une fille pour qu'elle ai la couleur des joues de Sara quand elle est embarrassée!
Les cheveux c'est d'accord mais pour les yeux c'est OBLIGATOIREMENT ceux de Michael!
Ce flash-back est magnifique mais il est presque magique à cause des sentiment qu'ils nous fait ressentir!J'ai été touchée, amusée,quand j'ai fini de lire cette suite j'avais un grand sourire idiot sur les lèvres,je suis restée deux minutes à révasser et puis tout d'un coup vlan le retour à la réalité,ce bébé ils l'ont perdu et là je me suis mise à pleurer!
Ca m'a fait trop bizarre je n'en reviens pas de tout ce que j'ai ressenti en 15 minutes parce que ta suite a réussi à me faire ressentir des APRES l'avoir lu!
Mon com doit être pas mal embrouiller mais je ne suis pas encore totalement revenu de mes émotions dsl.
Oh et pour le biscuit de Sara j'en reviens pas j'étais persuadée que c'était toi qui l'avait écrit tellement ça collait bien à ta fic!!
Allez vite une suite la fin m'a rendu impatiente,je veux voir les retrouvailles de Michael et Sara!
MisaRose- Membre de la thérapie avec Sara
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Age : 31
Localisation : Dans l'infirmerie avec Michael
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
ohhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!! vous êtes toutes ADORABLES !!!!
ça me fait vraiment plaisir, surtout qu'à certains moments j'avais un peu l'impression de m'embrouiller (notament dans la description des photos.. ça va tout le monde à réussi à visualiser ?? nan parce qu'une des photos c'est un petit spoiler d'une prochaine suite, pas la prochaine mais celle d'après normalement !! )
@ misa07 : je suis ravie que tu es pu ressentir à ce point ses emotions.
@ sacass : ouais je sais c'est long mais on va dire que c'est parce que vous avez pas souvent des suites (et aussi parce que c'est en trois morceaux !!)
@ tink : ouais ya de l'espoir ma tink, ya de l'espoir ne l'oublie pas !!!
@ islem, au début une fin où on voit leurs adieux était prévu. puis après j'ai décidé de faire ça de manière plus intense en faisant ressortir le doute et en sautant ce passage (et aussi parce que j'étais que moyennement inspirée lol). ça me fait plaisir que tu me le dises.
au fait je suis super contente que tu t'y sois remises. prend bien ton temps je sais que c'est un peu long lol !!
@ keira : MERDE !!!!!!!!!!!!!!!!
tinkiet pour le com, ya pas de souci !!
@ misa rose : donc là ton com il me fait faire : whoooo !!!
ça me fait super plaisir que tu arrives à voir les mimiques de sara parce uqe comme je le disais plus haut, ya des moments j'avais l'impression que c'était un peu confus lol.
et je suis aussi très touchée que ma suite et pu avoir un effet après coup, un effet kiss cool comme dirait poupi. ça montre que tu as vraiment ressenti toute l'intensité de l'histoire que j'essai de transmettre et j'en suis super contente.
par contre désolée de t'avoir fait pleurer.
et sinon moi aussi j'étais super étonnée de trouver cette phrase que je trouvais parfaite pour ma fic, mais si tu veut le trouver elle est ici :
http://www.chinese-fortune-cookie.com/fortune-cookie-messages.html
c'est la quatrième et celle de michael est ici et c'est la troisième
http://www.chinese-fortune-cookie.com/fortune-cookie-quotes.html
ça me fait vraiment plaisir, surtout qu'à certains moments j'avais un peu l'impression de m'embrouiller (notament dans la description des photos.. ça va tout le monde à réussi à visualiser ?? nan parce qu'une des photos c'est un petit spoiler d'une prochaine suite, pas la prochaine mais celle d'après normalement !! )
@ misa07 : je suis ravie que tu es pu ressentir à ce point ses emotions.
@ sacass : ouais je sais c'est long mais on va dire que c'est parce que vous avez pas souvent des suites (et aussi parce que c'est en trois morceaux !!)
@ tink : ouais ya de l'espoir ma tink, ya de l'espoir ne l'oublie pas !!!
@ islem, au début une fin où on voit leurs adieux était prévu. puis après j'ai décidé de faire ça de manière plus intense en faisant ressortir le doute et en sautant ce passage (et aussi parce que j'étais que moyennement inspirée lol). ça me fait plaisir que tu me le dises.
au fait je suis super contente que tu t'y sois remises. prend bien ton temps je sais que c'est un peu long lol !!
@ keira : MERDE !!!!!!!!!!!!!!!!
tinkiet pour le com, ya pas de souci !!
@ misa rose : donc là ton com il me fait faire : whoooo !!!
ça me fait super plaisir que tu arrives à voir les mimiques de sara parce uqe comme je le disais plus haut, ya des moments j'avais l'impression que c'était un peu confus lol.
et je suis aussi très touchée que ma suite et pu avoir un effet après coup, un effet kiss cool comme dirait poupi. ça montre que tu as vraiment ressenti toute l'intensité de l'histoire que j'essai de transmettre et j'en suis super contente.
par contre désolée de t'avoir fait pleurer.
et sinon moi aussi j'étais super étonnée de trouver cette phrase que je trouvais parfaite pour ma fic, mais si tu veut le trouver elle est ici :
http://www.chinese-fortune-cookie.com/fortune-cookie-messages.html
c'est la quatrième et celle de michael est ici et c'est la troisième
http://www.chinese-fortune-cookie.com/fortune-cookie-quotes.html
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
moi aussi j'ai beaucoup aimé...
d'abord qu'on se retrouve plus loin, sans Sara. Ensuite parce que tu joues divinement bien avec les flash back . On sent tellement la détresse de Mich, pauvre ptit père....
ta sara elle est tellement attachante
en plus cette fic était longue... c'est telllement agréable à lire
merci merci
d'abord qu'on se retrouve plus loin, sans Sara. Ensuite parce que tu joues divinement bien avec les flash back . On sent tellement la détresse de Mich, pauvre ptit père....
ta sara elle est tellement attachante
en plus cette fic était longue... c'est telllement agréable à lire
merci merci
cend17- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1196
Date d'inscription : 01/01/2008
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
c'est vrai ??? t'aimes bien quand c'est long ? moi j'ai peur de saouler tout le monde quand c'est trop long !!
ohhh ça me fait plaisir que tu trouves ma sara attachante !!!
et aussi que je manipule bien les flashs back !!
merci ma tite cend !!!
ohhh ça me fait plaisir que tu trouves ma sara attachante !!!
et aussi que je manipule bien les flashs back !!
merci ma tite cend !!!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
Waw, elle est magnifique cette fic, je crois que je suis fan.
cricri- Déchiffre l'origami
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Age : 34
Date d'inscription : 13/01/2007
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
bon voila j'ai terminé et olala, je suis d'une part triste que Mike se retrouve tout seul tout le long de ce chapitre parce qu'a aucun moment on se dit que ca va s'aranger.. elle est partie et pouis point... Et alors à la fin mais wouawww c'est certe encore que l'espoir de Mike mais c'est tellement fort que je me mets à espérer avec lui.. (j'ai trop aimé le fait que Anna lui rapport ces photos alors qu'il croit les avoir perdu pour toujours...)
bon maintenant Milii n'attends pas qu'on pollu ton topic de 5 ou 6 pages comme entre le chap 8 et 9 pour poster la suite hein... rhooooo je suis trop love de cette fin de chap 9 (géant)...
bon maintenant Milii n'attends pas qu'on pollu ton topic de 5 ou 6 pages comme entre le chap 8 et 9 pour poster la suite hein... rhooooo je suis trop love de cette fin de chap 9 (géant)...
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
MA - GNI - FI - QUE !
Toujours une écriture très jolie et soignée.
On sent vraiment que tu bosses sur ta fic, les phrases sont jolies, les mots bien choisit,...
Alors j'imagine que tu dois en avoir qui te viennent naturellement sur lesquelles tu as pas besoin de réfléchir mais bon t'as fic fait travaillé j'ai l'impression et c'est super...
J'ai bien aimé comme elle lui demande avec la petite phrase...c'est sympa...
Et Michael qui réagit au quart de tour : Maison plus grande et protéger, une fille , non un garçon,...
Et c'est vrai que tu gères trop bien les flash back...
La suiiiiiiiite loool
Toujours une écriture très jolie et soignée.
On sent vraiment que tu bosses sur ta fic, les phrases sont jolies, les mots bien choisit,...
Alors j'imagine que tu dois en avoir qui te viennent naturellement sur lesquelles tu as pas besoin de réfléchir mais bon t'as fic fait travaillé j'ai l'impression et c'est super...
J'ai bien aimé comme elle lui demande avec la petite phrase...c'est sympa...
Et Michael qui réagit au quart de tour : Maison plus grande et protéger, une fille , non un garçon,...
Et c'est vrai que tu gères trop bien les flash back...
La suiiiiiiiite loool
Invité- Invité
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
merciiiiii !!!!
@ cri cri, je sais pas si je t'avais déjà vu sur ma fic ou pas, mais vu ton com je ne pense pas, en tout cas bienvenue parmi mes lectrices. merci beaucoup pour ton com !!
@ islem : ouais c'est ta keep faith attitude qui te fait espérer non ?? et je crois aussi que c'est la keep faith attitude qui m'a fait écrire ça comme ça (parce qu'à la base je pensais pas finir comme ça lol).
KEEP FAITH ATTITUDE POWAAA !!!!!
merci en tout cas pour le message. je suis contente que la fin te plaise même si moi j'en suis pas parfaitement satisfaite.
@ dine : MER - DE... oups pardon non je voulais dire MER - CI !!!!!
quoi ma blague est nulle ???? hé c'est mon topic je fais ce que je veux !!!!
ton com me touche mais tu t'imagines pas à quel point (tu sais parler aux auteurs toi )
c'est vrai que je peux pas nier le fait que ça soit travailler vu le temps que je passe dessus, mais bon c'est pas pour autant que j'en suis toujours super contente mais en tout cas ton com me fais très plaisir.
sinon ouais je vois bien mike imaginant qu'il va être père et se mettre à faire plein de plans parce qu'il flippe et surtout parce qu'il veut être un meilleur père que le sien.
merci pour les flash back, ça aussi ça me fait très plaisir parce que ma fic tient quand même sur un parrallèle entre deux époques de la vie de mes personnages et les flash back sont super important pour "dé-tragiquiser" le reste de ce que j'écris !!!
MERCI à toutes !!!
bon un truc qui va vous plaire, la prochaine suite donc le chapitre 10 est déjà écrit au 3/4 depuis longtemps (plus de 2 mois je crois bien). parce que je me suis inspirée d'une fic que j'ai lu et ça m'avait inspirée donc il me reste quelques retouches à faire pour coller avec les nouveaux éléments que j'ai ajouter entre temps, à écrire la dernière partie (là j'ai que l'avant flash back et le flash back), paufiner le tout et je posetrai. donc je suppose que ça sera dans la semaine qu arrive !!!
@ cri cri, je sais pas si je t'avais déjà vu sur ma fic ou pas, mais vu ton com je ne pense pas, en tout cas bienvenue parmi mes lectrices. merci beaucoup pour ton com !!
@ islem : ouais c'est ta keep faith attitude qui te fait espérer non ?? et je crois aussi que c'est la keep faith attitude qui m'a fait écrire ça comme ça (parce qu'à la base je pensais pas finir comme ça lol).
KEEP FAITH ATTITUDE POWAAA !!!!!
merci en tout cas pour le message. je suis contente que la fin te plaise même si moi j'en suis pas parfaitement satisfaite.
@ dine : MER - DE... oups pardon non je voulais dire MER - CI !!!!!
quoi ma blague est nulle ???? hé c'est mon topic je fais ce que je veux !!!!
ton com me touche mais tu t'imagines pas à quel point (tu sais parler aux auteurs toi )
c'est vrai que je peux pas nier le fait que ça soit travailler vu le temps que je passe dessus, mais bon c'est pas pour autant que j'en suis toujours super contente mais en tout cas ton com me fais très plaisir.
sinon ouais je vois bien mike imaginant qu'il va être père et se mettre à faire plein de plans parce qu'il flippe et surtout parce qu'il veut être un meilleur père que le sien.
merci pour les flash back, ça aussi ça me fait très plaisir parce que ma fic tient quand même sur un parrallèle entre deux époques de la vie de mes personnages et les flash back sont super important pour "dé-tragiquiser" le reste de ce que j'écris !!!
MERCI à toutes !!!
bon un truc qui va vous plaire, la prochaine suite donc le chapitre 10 est déjà écrit au 3/4 depuis longtemps (plus de 2 mois je crois bien). parce que je me suis inspirée d'une fic que j'ai lu et ça m'avait inspirée donc il me reste quelques retouches à faire pour coller avec les nouveaux éléments que j'ai ajouter entre temps, à écrire la dernière partie (là j'ai que l'avant flash back et le flash back), paufiner le tout et je posetrai. donc je suppose que ça sera dans la semaine qu arrive !!!
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
une suite dans la semaine oh je vais jamais pouvoir attendre
merci à toi pour cette belle fic
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
ah bin je commençais à me dire que finalement ça intéressait personne cette fic plus tôt que prévu parce que déjà quasiment écrite !!!
heureusement que t'es là ma tink !!!
et de rien, j'adore écrire cette fic parce que j'écris vraiment sur plein d'emotions différentes donc c'est vraiment sympa pour moi aussi.
bon tink, logiquement la suite qui va arriver ou en tout cas son flash back devrait te faire rire !!! (enfin j'espère )
heureusement que t'es là ma tink !!!
et de rien, j'adore écrire cette fic parce que j'écris vraiment sur plein d'emotions différentes donc c'est vraiment sympa pour moi aussi.
bon tink, logiquement la suite qui va arriver ou en tout cas son flash back devrait te faire rire !!! (enfin j'espère )
Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
miliibnb a écrit:ah bin je commençais à me dire que finalement ça intéressait personne cette fic plus tôt que prévu parce que déjà quasiment écrite !!!
heureusement que t'es là ma tink !!!
et de rien, j'adore écrire cette fic parce que j'écris vraiment sur plein d'emotions différentes donc c'est vraiment sympa pour moi aussi.
bon tink, logiquement la suite qui va arriver ou en tout cas son flash back devrait te faire rire !!! (enfin j'espère )
tu sais bien que moi je suis intéressée
sinon je vais rire alors YOUPI vite le flash back
à bientôt ma Mili
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
miliibnb a écrit:mdr la photo de ta ban ma tink !!!!
oui j'adore mon délire
et puis y croire ne fait de mal à personne
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: When Faith is gone, Love is all what matter... NEWS p24
coucou ma louloute
j'ai lu ta suite hier mais je n'ai pas eu le temps de poster de coms je suis à nouveau overbookée en ce moment.
Tu comprendras donc vite que cette suite a été une véritable bouffée d'oxygène !!
c'est toujours aussi plaisant, toujours aussi agréable à lire. J'adore tous ces petits passages de complicité entre eux... je crois que mon mot préféré pour aujourdhui c'est définitivement pique-nique parquetter je suis fan lol
c'est trop chou cette demande .. faut avouer que ca ne doit pas être facile de demander ca quand on n'en a jamais parler
Par contre, tu es méchante avec Michael : le pauvre, il va bientôt recevoir son coup de fil j'espère .. parce que Sara ne peut pas être aussi méchante !!! ou alors elle est très occupée ( à travailler bien sûr, parce que les indiens c'est pas trop ca lol)
Vivement la suite ma belle
bon allez je file j'arrête d'écrire mais je reste en ligne quelques instants... travail oblige lol
j'ai lu ta suite hier mais je n'ai pas eu le temps de poster de coms je suis à nouveau overbookée en ce moment.
Tu comprendras donc vite que cette suite a été une véritable bouffée d'oxygène !!
c'est toujours aussi plaisant, toujours aussi agréable à lire. J'adore tous ces petits passages de complicité entre eux... je crois que mon mot préféré pour aujourdhui c'est définitivement pique-nique parquetter je suis fan lol
c'est trop chou cette demande .. faut avouer que ca ne doit pas être facile de demander ca quand on n'en a jamais parler
Par contre, tu es méchante avec Michael : le pauvre, il va bientôt recevoir son coup de fil j'espère .. parce que Sara ne peut pas être aussi méchante !!! ou alors elle est très occupée ( à travailler bien sûr, parce que les indiens c'est pas trop ca lol)
Vivement la suite ma belle
bon allez je file j'arrête d'écrire mais je reste en ligne quelques instants... travail oblige lol
minnie90- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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