Georgia on my mind fanfiction Misa

salut,

je suis nouvelle et c'est le deuxième message que je poste. J'ai commençé à écrire une fanfic. Elle se situe avant THE RENDEZ VOUS!!!
J'espère avoir garder le caractère des personnages et j'aimerais beaucoup votre avis. Juste une chose encore: Sara ne se voile pas la face à propos de ses sentiments pour Michael, elle sait qu'elle est amoureuse de lui...

Voilà bonne lecture!

Ah Oui! J'allais oublier les personnages ne sont pas à moi, wentworth non plus d'ailleurs! et la chanson revient à Ray Charles, Georgia on my mind...




Etre assise dans un bar en Géorgie devant un verre n’était pas une bonne idée. Elle avait accumulée « un paquet de choses qu’il ne faut pas faire et qui ne sont pas vraiment de bonnes idées ». Elle était au courant qu’étant un médecin, elle devait être plus responsable.
La responsabilité n’était pas non plus dans ses priorités en ce moment.
Sara fit glisser son index autour de son verre en poussant un soupir amusé. A vrai dire, les seuls faits dont elle pouvait être sûre, c’était : Un :d’être stupide (le seul fait qu’elle soit ici justifiait cela).Deux : d’être fleur bleue (croire au prince charmant à son âge était pathétique).
Trois : d’être alcoolique et camée jusqu’aux dents (même si récemment elle s’était désintoxiquée encore une fois, elle se retrouvait devant un verre dans un bar vieillot datant des années 20 avec un barman qui semblait avoir le même âge que le vieux jukebox au fond de la salle).

Décoder les messages lui avait pris du temps, mais la décision la plus dure avait été de savoir si oui ou non, elle devait fuir de chez elle.
Une demi-heure de réflexion plus tard, elle était en route, elle n’avait plus de chez elle, plus de famille, plus rien.
Une fois les valises achevées et 4 correspondances d’avion plus tard, elle atterrissait à Savannah en Géorgie.

Allez savoir pourquoi Michael avait choisi ce lieu. Ils avaient discuter de leur goût en matière de musique, de cinéma, d’art, d’architecture. Sara pensait que tout n’était que mensonge.
Lui. Elle. Un gros mensonge. Une énorme plaisanterie. S’il existait une force supérieure, elle devait se fendre la poire en regardant l’état de leurs vies actuelles.

Elle. Amoureuse d’un prisonnier en fuite.
Lui. Détenu en cavale voulant encore la protéger par pitié.

Seigneur ! Sa vie ressemblait étrangement à mauvais soap opéra. Sara laissa échapper un léger rire blasé. Le barman la fixa étrangement. Elle lui lança un regard noir et retourna à la contemplation du fond de son verre.
Bizarrement elle n’était jamais venu en Georgie. Sara avait du mentionner à Michael qu’elle aurait aimer un jour visiter le Sud des Etats-Unis mais la Georgie n’avait jamais fait partie de ses pensées.

Michael avait encore choisi pour elle. Il avait toujours tout planifier. Le braquage. La prison. La fuite. Et même sa venue ici. Sara détestait faire quelque chose de préétabli. Elle haïssait les plans. Michael était le genre d’hommes à avoir un plan B, un plan C et un plan D.

La femme et même le médecin qu’elle était encore n’avait qu’un principe de vie : La liberté, pour chaque être peuplant cette terre. C’était bien pour cela qu’elle avait laisser cette fichue porte ouverte, bien pour cela qu’elle était ici en Géorgie…

Pour le changement, pour la liberté…

Seulement le médecin, l’esprit cartésien réclamait des réponses et la Géorgie pouvait lui en apporter…

-La place est libre ?

c'etait genial

bien pour un debut

a quand la suite

Super début, tu as une écriture vraiment géniale , bravo

alors là je suis comp létement fan!! j'adore et je veux la suite!!!

C'est Mike? n'es pas? je veux savoir la suite c'est genial, jadore!! Je vois trop la scene telement c'est bien ecrit et dnas l'esprit des perso! trop bo!

super j'adore vivement la suite

Super ta fic
vivement la suite

j'y tenais plus! je vous met une suite mais après c'est de nouveau la semaine de fac qui recommence donc le reste viendra plus tard.
Merci pour tout ces compliments...
Bon je sais que la plupart d'entre vous considère Michael comme un as du flirt, mais j'ai opté pour une tactique différente. Je pense qu'avec Sara en dehors de Prison Break, il est détasbilisé quand il se trouve face à elle...

Bonne Lecture

Suite: Georgia on my mind




-La place est libre ?

Elle reconnut sa voix instinctivement et son corps réagissait en conséquence. Ses muscles se raidirent, sa main droite se crispa autour du verre qu’elle tenait, ses yeux se fermèrent. Elle ne pouvait pas le regarder. Son corps avait décidé pour son âme, son cœur et sa tête qu’il ne fallait pas le regarder. Pas après ce qu’il avait fait, pas après tout cela… Elle lui en voulait encore beaucoup trop et elle était encore si stupidement amoureuse de lui, qu’ouvrir les yeux et le regarder aurait été l’idée la plus désastreuse qu’elle avait eu depuis sa naissance. Et pourtant elle en avait accumulée des idées désastreuses.
Sara avait besoin de lui en vouloir. Ne pas le regarder. Ne pas lire dans ses yeux. Tout cela était beaucoup plus facile que de le regarder en face.

-Sara…

Michael dut se demander pourquoi elle ne lui répondait pas car il prononça son prénom d’une voix rauque et chargée d’émotions. Oui, chargée d’émotions. Ce n’était pas comme si Michael était un macho pur et dur venant réclamer femme dans la taverne du coin.
Sara savait qu’il était sensible, intelligent et charmant…C’est bien pour cela qu’elle s’efforçait de ne pas le regarder et de continuer à lui en vouloir.

Parce qu’après tout ce qu’ils avaient vécu, Michael restait un homme superbe et aucune femme de ce continent et même de cette planète ne viendrait la contredire. Alors pourquoi fallait-il bon sens qu’il l’a poursuive de ses assiduités !?
Tout ce qu’elle voulait, c’était avoir une vie normale. Elle n’en avait jamais eu une, de vie normale.
Elle sentit un effleurement sur les doigts entourant son verre. Sara sursauta légèrement.

-Ne me touches pas, Michael !

-Sara…

Les doigts de Sara se crispèrent sur son verre jusqu’à ce que les jointures de sa main deviennent blanche. Elle avait mal dans tout son corps. Etre un médecin n’avait pas que des avantages, elle savait nommer chacun des muscles la faisant souffrir. Une des choses qui l’avait le plus surpris chez Michael, était son aura, sa présence, sa chaleur corporelle. Cet espèce de fluide énergétique, qui lorsque vous étiez près de lui, vous intégrait, vous absorbait…Etre à côté de Michael, c’était comme se baigner dans une piscine de chocolat. C’était onctueux, délicieux et enivrant. C’était comme une drogue. Se tenir à côté de Michael revenait à s’accorder une autre addiction.
Et Sara ne pouvait pas se le permettre.
La main de Michael saisit son poignet et elle se dégagea violemment, ne supportant son contact.

-Ne me touches pas Michael ! Je ne pourrais pas le faire…Je ne pourrais pas t’en vouloir si je te regarde…Et j’ai besoin t’en vouloir pour avancer…C’est stupide, je sais…Parce que tu n’es coupable que d’une unique chose : c’est de m’avoir menti… Et les gens mentent depuis la nuit des temps…

C’était si facile de s’exprimer les yeux clos, cela permettait de se libérer de certaines inhibitions…Mais Sara n’était pas sûre que Michael apprécie beaucoup le fait qu’elle refuse de le regarder.
Seigneur ! C’était stupide…Elle était stupide d’être venue jusqu’ici…

-Sara…Je sais que je t’ai fait du mal…Bon sang ! J’ai même carrément fichue une partie de ta vie en morceaux ! Et je suis à peu près certain que tu ne me pardonneras jamais le fait que je t’ai menti. Mais accorde moi une seule chose encore…

Pousser par la curiosité, Sara ne put empêcher la question de sortir de sa bouche.

-Quoi ?

-Danse avec moi, Sara…

-Quoi ?! s’exclama t-elle en lâchant son verre et en se retournant vers l’endroit où il était censé se tenir.

-Tu m’as bien entendu Sara…répondit-il d’un ton résolu. Je suis un détenu en cavale essayant de sauver son frère des griffes d’un complot international. Tout ce que je veux, c’est une danse. Un moment perdu dans l’éternité du quotidien avec toi. Je veux m’assurer que tu vas bien et que tu es en sécurité.

-Et une seule danse te suffira à faire cela ?!

Est ce qu’il se rendait compte qu’elle était à deux doigts de le gifler ? Elle n’était vraiment pas du genre à piquer un scandale en public. Elle aurait bien fait une exception cette fois-ci. Franchement il osait lui demander une danse ? une danse ? Après avoir laisser cette fichue porte ouverte…Michael avait exprimé ce qu’il voulait lui…Il était grand temps qu’elle fasse les choses pour elle-même et non pour les autres.

-Non…

j'en etais sur que c'etait michael la personne qui disait la place est libre

cette suite etait

Waooooouh!!!!
Trop bien j'adore

Une dannnnnnnnnnnnnnse Wouhhhhhh Aller danser!!!!! Je sens que l'on va avoir droit a un tres booooooo moment MISA!! Pitier une suite Pour ma santer mentale!

trop fort super la suite

j'aime beaucoup vivement la suite

Il me FAUT une suite!!!!!!!! C'est tellement romantique!!!!!

magnifiiiiiiiiiiiique!!!!!!!!!!!!!!

Au risque de ne pas paraitre originale, je te dirais que j'adore ta fiction et que tu as vraiment un très bon style d'écriture !

Comme dis Nickki c'est trop romantique , j'adore, la suite, la suite

superbe! vivement la suite!

Merci pour tout les commentaires adorables que vous m'avez fait...Ca m'a boosté dans mon écriture!

Voici la suite, laissez moi des commentaires et dites moi ce que vous avez adoré ou detesté....



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Est ce qu’il se rendait compte qu’elle était à deux doigts de le gifler ? Elle n’était vraiment pas du genre à piquer un scandale en public. Elle aurait bien fait une exception cette fois-ci. Franchement il osait lui demander une danse ? une danse ? Après avoir laisser cette fichue porte ouverte…Michael avait exprimé ce qu’il voulait lui…Il était grand temps qu’elle fasse les choses pour elle-même et non pour les autres.

-Non…

Sara ouvrit les yeux, se redressa et se dirigea vers la sortie sans même lui accorder un regard. Tant pis pour les réponses qu’elle était venue chercher…Dommage pour le fait qu’elle avait espérer peut-être un plus que des réponses de la part de Michael…Elle était fatiguée de tout cela. Et si tourner le dos à Michael devrait être l’acte qui lui permettrait d’avancer, elle le ferait sans hésiter, elle l’avait fait sans hésiter d’ailleurs.

En poussant la porte, Sara ne remarqua, ni l’averse de pluie à l’extérieur, ni le vieux blues de Ray Charles émanant du jukebox, ni Michael qui la suivait de quelques pas.

Georgia, Georgia, the whole day through

La pluie n’est pas fréquente en Géorgie mais lorsqu’elle décide de pointer le bout de son nez ; elle tombe à torrent. Sara n’y faisait pas attention, le temps voulait s’accommoder de son humeur. Très bien. Parfait. L’hôtel n’était qu’à un pas. Elle pourrait boucler ses bagages aussi vite que le vent souffle dans les branches de cet arbre.
Soudain quelqu’un lui saisit l’épaule et la fit pivoter vers lui alors que le tonnerre grondait en fond de décor.



Just an old sweet song

Elle savait très bien qui l’avait agrippé brusquement. Michael n’était pas du genre à parcourir des kilomètres sans obtenir ce qu’il veut. Elle savait aussi en sortant de ce bar qu’il la allait suivre. Vieux principe de film romantique à guimauve qu’elle avait ingurgité après son overdose. Après tout, l’image de la femme libérée n’ayant pas besoin d’un homme, n’était qu’un mythe, tout au plus un de ses énormes mensonges de l’éducation des temps modernes. La femme avait toujours une part de petite fille en elle qui désirait ardemment un prince charmant.
Sara ne put se retenir de sourire. Etre dans cette ville, à la tombée de la nuit, avec Michael, sous une pluie torrentielle à se disputer en plein milieu d’une rue, ressemblait étrangement à un semblant de vie normale.

Keeps Georgia on my mind

Elle était sûre de se souvenir à jamais de ce moment-là. Un de ces petits moments d’éternité que la mémoire garde en permanence jusqu’à la mort. Un son, une odeur, une sensation…

-Sara…

Michael avait cette manière si particulière de prononcer son nom qui pouvait la mettre, soit dans un état total d’exaltation complète, soit dans un espèce d’agacement profond. C’était la première fois qu’elle le regardait depuis qu’il lui avait demandé de laisser ouverte cette satanée porte. Il avait l’air fatigué, voir épuisé. Quelque chose avait changé en lui. Elle pouvait le lire dans ses yeux. Michael n’avait jamais peur. Il le lui avait dit. Mais il pouvait avoir mal comme tout un chacun. Rejet. Désespoir. Abandon. Solitude. Tous deux avaient expérimenter ces émotions. Et Sara commençait à penser que se battre contre lui, était une cause perdue d’avance.

Talkin' 'bout Georgia


-Pourquoi m’as tu fait venir ici?

Elle essayait vraiment d’être en colère contre lui. Vraiment. Parce qu’il le fallait. Parce que c’était nécessaire. Parce que c’était une bonne chose. Mais Michael avait toujours suscité des émotions contradictoires en elle : son instinct maternelle se confrontait au désir qu’elle avait pour lui. Elle voulait le protéger et en même temps lui faire mal. Elle le détestait alors que tout ce qu’elle souhaitait, était de l’embrasser sauvagement. Elle devait le laisser seul, bien qu’elle en crevait à l’idée de ne plus jamais le revoir. Sara se passa la main sur le visage pour repousser les mèches de cheveux collées par la pluie.
Elle était trempée et glacée jusqu’aux os mais elle avait changer d’avis, elle voulait des réponses et les attendrait jusqu’à la fin de l’orage s’il le fallait.


I'm in Georgia
A song of you

-Ma mère me parlait très souvent de Savannah…De cette ville aux arbres fleuris, de cette pluie torrentielle, de ces gens généreux et accueillants…Elle souhaitait y vivre parce qu’ici, on se respecte les uns les autres, on ne se juge pas, on se protège, on s’aime tout simplement…Quand j’étais petit, je pensais que cette ville n’existait pas… Puis plus grand, je n’ai jamais osé y venir de peur de détruire le souvenir de ma mère. Savannah te correspondait Sara. Elle correspondait à ce que je voulais pour toi. Quiétude, Protection et bonheur. C’est pour cela que je l’ai choisi.

Il ne pouvait pas. Ce n’était pas juste. Il rattachait à cette ville le souvenir de sa mère morte. Comment détester le fait d’être dans cette ville avec lui alors qu’il la rattachait à un souvenir de son enfance ?Il semblait si seul. Comme elle. Elle avait un millier de questions à lui poser mais le plus important restait à faire. Il fallait qu’elle lui pardonne pour avancer. Les questions viendraient après…

-Pourquoi moi, Michael ? Il avait cet air de petit garçon malheureux qui lui donnait envie de le serrer dans ses bras. Si désespéré, si torturé…

-Pourquoi est-ce que tu veux me protéger ? Je veux dire…Tu pourrais fuir et me laisser en arrière sans te retourner…Tu l’a déjà fait…

Michael avait l’air effrayé parce qu’elle venait de dire. Il se rapprochait d’elle lentement et doucement s’assurant que si elle voulait fuir ou reculer, il lui en laissait la possibilité. Elle ne voulait pas fuir, pas maintenant, pas comme cela…Il lui saisit délicatement la main puis effectua avec son pouce de petits cercles dans l’espace entre son pouce et son index. Michael n’avait pas le droit de faire cela. Ce geste était si tendre, si doux, si délicat, si bon… Il n’avait définitivement pas le droit de faire cela. Elle regardait leurs mains enlacées, étonnée qu’elle ne veuille pas le repousser, étonnée d’en vouloir plus, étonnée qu’elle puisse encore le désirer après ce qu’il lui avait fait. Qu’il aille au diable ! Il devrait vraiment la laisser en arrière, pour elle, pour lui. Voilà qu’elle se mentait à elle-même maintenant alors qu’une chaleur indélicate remontait le long de sa colonne vertébrale pour atterrir sur ses joues. Elle ne devrait pas ressentir cela. Pas du tout, puisque le froid de la pluie lui vrillait les os.



Comes as sweet and clear as moonlight through the pines

-Je n’ai jamais pu te laisser en arrière, même au moment de mon évasion, Sara…Je ne sais pas vraiment à quel moment précis… Je veux dire…Tu es ma famille, Sara…Tout autant qu’LJ ou Lincoln, j’ai besoin de savoir que tu vas bien, que tu es en sécurité et que tu es heureuse. Alors par pitié, Sara…Laisse-moi danser avec toi…Laisse-moi te tenir dans mes bras…J’ai besoin de te sentir, de respirer ton odeur, d’entendre ta voix. J’ai besoin de savoir que tu es là avec moi à cet instant précis, au milieu de cette rue sous cette foutue pluie.

Il avait l’air si sincère et elle avait tellement envie de le croire. Peut-être qu’elle pouvait abandonner ses résolutions ? Peut-être qu’elle pouvait laisser aller… Juste pour maintenant, profiter de l’instant… C’était si bon d’entendre Michael lui dire qu’elle était sa famille. Cela avait l’air si irréaliste et en même temps si vrai. Juste s’abandonner, maintenant…
Other arms reach out to me

Elle s’approcha de lui et l’enlaça. Leurs mains jointes se resserrèrent et il les porta à ses lèvres. C’était si inattendu, si doux, malgré la pluie qui continuait à courir le long de leurs peaux. Michael déposa la main de Sara contre sa poitrine vers son cœur alors que ses mains rejoignirent le chemin de la colonne vertébrale de la femme qu’il tenait dans ses bras. Leurs regards se fixèrent l’un à l’autre et ils ne purent s’empêcher de sourire comme des gamins, éberlués d’être ensemble, d’être en vie tout simplement…

Other eyes smile tenderly

Ils commencèrent à bouger tendrement l’un contre l’autre, à la mesure de leurs battements de coeur. Sara posa son menton sur l’épaule de Michael. Sa bouche était toute proche de son oreille. Elle appréciait ce moment, elle était en paix avec elle-même et avec lui.

Still in peaceful dreams I see

-Tu m’as manqué...

Juste un murmure à son oreille ne voulait pas dire qu’elle lui avait pardonné ou qu’elle lui faisait confiance. Elle avait besoin de lui dire et de lui faire savoir qu’il lui manquait, parce qu’elle tenait à ce qu’il sache qu’il n’était plus seul. Il avait besoin d’être rassuré tout autant qu’elle.

-Toi aussi…

Le ton rauque de la voix de Michael lui fit penser qu’elle avait peut-être raison. Ils étaient si fragiles. Ils avaient besoin l’un de l’autre. Lui en vouloir, ne plus lui faire confiance ne signifiait pas qu’elle ne le voulait pas être à ces côtés. Au contraire, même s’ils avaient été séparés et ils le seraient encore, savoir que quelqu’un était là apaisait leurs consciences. Une présence…Une chaleur…

The road leads back to you

-Tu danses bien...

Comme toujours, il finissait par la détourner des pensées sombres qui venaient l’assaillir. Elle n’arrivait pas à réfléchir…Pour la première fois, depuis bien longtemps, son corps contrôlait sa tête. Avoir les muscles de Michael sous ses doigts l’empêchaient d’être cohérente. Elle ne pouvait pas s’abandonner. La vie n’était pas si simple. Il ne suffisait qu’il se pointe au rendez-vous et tout allait aller comme sur des roulettes !

Georgia, sweet Georgia, no peace I find

-Je n’y arriverai pas...

Elle ne voulait pas dire cela, c’était sorti tout droit de sa bouche sans savoir d’où cela venait. Elle se détacha de son étreinte malgré l’envie d’y rester à jamais. Il ne semblait pas surpris. Comme si après tout ce qu’il lui avait fait, il s’y attendait.

-Je sais… dit-il d’un ton résigné

J'aime ton histoire, tout simplement .

Magnifique

C'est tout simplement magnifique. C'est romantique, c'est super bien écrit...Je ne trouve même plus les mots!! C'est vraiment incomparable ce que tu écrit...J'espère que l'on pourra avoir une suite!! C'est tellement génial que j'en ai les larmes aux yeux! On se croirait vraiment dans ton histoire....

Merci pour ces commentaires, c'est moi qui vais avoir les larmes aux yeux maintenant! vous vous imaginez pas à la place de Sara maintenant? (sous la pluie avec Mike tout mouillé). La seule question que j'avais à propos de ce que j'ai écris, c'est est-ce que Sara aurai bien réagi comme cela? Je veux dire : elle a plutôt tendance à être rationnelle et s'abandonner dans les bras de Michael, c'est pas dans son habitude...
Donc est-ce que cela fait réaliste? désolée je déblatère toute seule maintenant....
En tout cas, le baiser est pas pour tout de suite et je confirme Nikki, ya une suite et fin à mon histoire.

WWWhouaaaaaahhhhh , sublimissime, une des plus belles que j'ai lu, bravo