"Escape is just the beginning..." (après le fall f

nestella a écrit:Super, mais qu'est ce qui fait Mick???????
J'ai hate de lire la suite!!!!!!!!!!!!!!

moi aussi je veux la suite !!

Vivement la suite !!!

charline-kilou a écrit:Vivement la suite !!!

oui c'est clair !!

j'attend une suite avec impatience !!

anso26 a écrit:j'attend une suite avec impatience !!

moi aussi !!! mais nous vite la suite stp !!

donne nous vite la suite !!

ta fic est géniallisssime !!! Vivement la suite !!!

C'est pour ce soir?

Je rentre jsute et dois repartir... Pas de suite ce soir désolée... Mais promis, je vous la poste demain matin!

En tout cas, merci 100000 fois pour vos comms et votre enthousiasme! Ca motive à fond!

Vivement demain !!!

celifrance a écrit:Je rentre jsute et dois repartir... Pas de suite ce soir désolée... Mais promis, je vous la poste demain matin!

En tout cas, merci 100000 fois pour vos comms et votre enthousiasme! Ca motive à fond!

je suis décu ! vivement demain matin !!!!

c clair!!vivement demain!!!

C'est bon on est demain,enfin aujourd'hui alors la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee !!

Scène 66:

Fond sonore : Bang Bang / Nancy Sinatra (B.O Kill Bill 1)

http://www.radioblogclub.com/fav/0/1705351

Sara n’a même pas besoin de frapper à la porte une heure plus tard car Lincoln sort de la chambre avant même que son poing ne touche le bois usé.
« Pas de panique, Doc ! Je vais aller chercher votre Romeo dans les temps ! Enfin, dans votre cas, ça serait plutôt Clyde Barrow ! On est de retour d’ici une heure, Bonnie ! » lui lance t’il avec un clin d’œil sans lui laisser le temps de répondre, attrapant à la hâte les clés sur le guéridon avant de monter dans la voiture et de démarrer sur les chapeaux de roues, laissant dans son sillage un nuage de poussière aveuglant. Sara ne peut s’empêcher de sourire en pensant qu’il adore probablement faire ça, toutes ces petites bêtises a priori puériles qui font le bonheur de la vie de chaque jour, un bonheur auquel il croyait ne plus avoir le droit, un bonheur auquel elle croyait elle aussi ne jamais avoir le droit, un bonheur que Michael leur a rendu possible… malgré tout…

Elle tente de trouver mille choses à faire pour occuper au mieux cette heure interminable aux minutes infinies… Bon sang, cette horloge doit être hors d’usage, ce n’est pas possible ! Mais un rapide coup d’œil sur la montre de l’agent Mahone lui confirme que la pendule est en parfait état de marche et que c’est bien ces satanés minutes qui refusent de passer à la vitesse supérieure… Mon Dieu, elle va finir par devenir folle ! Il faut qu’elle trouve quelque chose à faire ! La respiration régulière d’Alexander Mahone l’avertit qu’elle ne pourra pas occuper son esprit à des tâches professionnelles… La porte qu’elle referme rageusement sur un frigo désespérément vide ne lui laisse aucun espoir de cuisiner quelque chose, d’immangeable certes vus ses talents méconnus de cuisinière émérite, mais quelque chose qui lui aurait au moins occupé les mains… Elle a beau chercher, chercher et chercher encore ; elle ne trouve vraiment rien ! Elle décide donc finalement d’aller prendre une bonne douche chaude. Elle laisse tomber à la hâte ses vêtements froissés sur le sol et se réfugie sous le jet d’eau brûlant. Elle laisse l’eau dénouer toutes les tensions de ces derniers jours, espérant retrouver ses esprits, essayant de faire la part des choses dans tous ces sentiments contradictoires qui se mêlent en elle : son père, Michael, Mahone, Kellerman, Michael… Michael… Bon sang, elle devrait réfléchir sérieusement mais la seule chose sur laquelle elle arrive à se concentrer est la sensation des mains de Michael sur son corps… Elle s’abandonne à ce doux souvenir… L’eau froide qui coule à présent du pommeau la ramène à la réalité ; elle s’enroule dans une grande serviette et sort de la salle de bain remplie de buée. Elle est tellement perdue dans ses pensées qu’elle n’entend pas les bruits de pas et les voix chuchotées qui s’échappent de la pièce voisine. Elle chantonne gaiement cette chanson qu’elle aimait déjà avant mais qui lui rappelle tant à présent…

I've been loving you too long to stop now
There were times and you want to be free
My love is growing stronger, as you become a haven to me
Oh I've been loving you a little too long
I dont wanna stop now, oh
With you my life,
Has been so wonderful
I can't stop now
( I’ve been loving you too long / Otis Redding )

Elle finit de s’habiller et brosse longuement ses cheveux qui ne sont finalement pas si mal coupés, remarque t’elle en se félicitant à haute voix : Bravo, Sara Tancredi ! Tu pourras toujours te reconvertir en coiffeuse ! Tu proposeras des coupes au scalpel et au bistouri ! Dans la pièce voisine, les voix se sont tues à présent, mais un courant d’air fait claquer violemment la porte d’entrée ramenant aussitôt la jeune femme à la dure réalité de sa vie actuelle : une vie de fugitive en constant danger de mort. Elle s’approche à pas feutrés de la porte, tendant l’oreille pour tenter de percevoir les bruits soudain dangereusement absents dans ce silence qu’elle trouvait apaisant il y’a quelques secondes à peine…

Sara reste là, tétanisée derrière cette porte, incapable de savoir ce qu’elle doit faire : Sortir et assommer les intrus avec sa brosse à cheveux telle Black Mamba ? Elle n’avait ni le costume ni l’entraînement adéquat… Rester planquée là et attendre que Michael et Lincoln reviennent ? Mon Dieu, Michael… Et s’ils les avaient retrouvés ? Ou s’ils étaient venus jusqu’ici pour les retrouver ? Il fallait qu’elle agisse et vite, qu’elle fasse diversion pour qu’ils aient une chance, encore…Ils ne pouvaient pas se faire prendre, pas maintenant, pas si près du but… Elle parcourt d’un regard anxieux la salle de bain toujours embuée à la recherche d’une arme quelconque… Quand elle aperçoit le scalpel qu’elle a utilisé pour débrider la plaie de Mahone, elle se bénit d’être finalement si peu organisée et tellement bordélique… Elle le saisit prestement et retourne vers la porte qu’elle entrebâille le plus discrètement possible. Quand celle-ci s’ouvre sans émettre le moindre grincement, elle se dit que la chance est trop belle pour ne pas finir par tourner… Bon OK, Sara, il y’a le cynisme et le réalisme… Tu le sais et tu le croyais… Rappelle-toi ce que Michael t’a répondu dans cette infirmerie : Et il y’a l’optimisme, l’espoir, la foi… Concentre-toi là dessus ! Elle revoit son sourire et elle sent le courage l’emplir de nouveau.

Elle prend donc une profonde inspiration avant de sortir de la salle de bain en jetant des coups d’œil circulaires sur la salle à manger apparemment déserte. Le vent qui s’est levé depuis quelques heures maintenant fait battre la porte d’entrée, cette porte d’entrée qu’elle est pourtant sûre d’avoir verrouillée avant d’aller prendre sa douche. Elle s’en approche accroupie pour voir si elle a été forcée mais s’arrête aussitôt quand elle bute sur une chaise renversée, une chaise qui était bien rangée sur ses quatre pieds sous la table avant qu’elle ne quitte cette pièce… L’angoisse se fait de plus en plus liquide dans ses veines… Une boule de terreur lui bloque la gorge… Elle ne sait décidemment pas quoi faire… Il faut qu’elle prévienne Michael et Lincoln… Il faut qu’elle récupère son téléphone qui est resté dans son sac dans la chambre de Mahone ! Oh mon Dieu, Mahone ! Il faut qu’elle aille s’assurer qu’il va bien ! Elle rampe donc jusqu’à sa chambre sans lâcher son scalpel et ne peut retenir un soupir de soulagement quand elle y parvient enfin et qu’elle constate que l’agent est toujours profondément endormi sans blessure supplémentaire apparente et que son sac est toujours à la même place, sur la coiffeuse près de la fenêtre. Elle vérifie rapidement les constantes de son « patient » et se précipite vers son sac qu’elle vide nerveusement sur le sol afin de mettre la main sur ce satané portable qui, comme toujours, est introuvable. Elle ouvre fébrilement le clapet et ne peut retenir un juron en constatant qu’elle ne capte bien entendu aucun réseau ! Ah ça pour sûr, on est en sécurité ici, paumés au milieu de nulle part ! Elle se résigne donc à sortir de la maison en priant pour que la réception soit meilleure à l’extérieur et surtout pour ne croiser aucun de ses gentils « visiteurs », du moins pas avant qu’elle n’ait eu le temps d’avertir Michael et Lincoln. Elle sort donc par la porte vitrée de la chambre et se colle au mur pour rejoindre le chemin qui mène au ponton. Son regard passe sans arrêt des alentours à l’écran toujours sans brique de son portable. Elle marche à reculons et ne peut donc pas voir l’homme qui s’approche sans bruit et quand son dos heurte violemment son torse, Sara ne peut retenir un cri de frayeur.

« Content de vous revoir mademoiselle Tancredi ? Je vous ai manqué ? »

SUPERBE SUITE !!!!

génial !!!!!!

la suite stp !! trop impatiente de la lire !!

vite une suite!!!stp !pitié!

OMG qui c'est??? J'espere que c'est Michael par pitié!!
Sara elle est trop marrante a ramper par terre en mode commando!!

a quand la suite ?????

Elle est excellente ta suite j'ai hate de lire la prochaine!!!!!!!!!!!!

Wahou, qui vient se joindre à leur partie de campagne?

stp met la suite !!!!!!!

mais c'est qui celui-ci ?

toujours au top à ce que je vois!

vivement la suite

met nous vite la suite !! la je suis trop en manque !!!!!!!

Moi aussi jsuis en manque ya URGENCE FAUT UNE SUITE