les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
javais aps vuue félicitation
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
félicitations !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon c'est pas original mais FELICITATIONS
vivement la suite aussi
vivement la suite aussi
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 41
Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci les filles vous êtes adorables
vraiment désolé pour hier, mais cet de PC m'a planté...
le texte s'est évaporé juste avant que je poste avec les brides des suites à venir
je devrais la mettre en fin d'aprem si tout se passe bien
vraiment désolé pour hier, mais cet de PC m'a planté...
le texte s'est évaporé juste avant que je poste avec les brides des suites à venir
je devrais la mettre en fin d'aprem si tout se passe bien
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je crois quans ce moment nos PC se révoltent!!! C'est !!!
En tout cas je suis impatiente de lire ta suite!!!
En tout cas je suis impatiente de lire ta suite!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon après maintes péripécies je vous poste enfin cette suite...
je vais essayer d'en faire une autre petite pour ce soir!!!
pensée de Sara : violet
pensée de Lorène : vert
Je sors de cette chambre telle une furie. Steve est adossé au mur du couloir, face à la porte de la chambre de Lorène. Il semble lessivé par la nuit qu’il vient de passer. J’essaye de reprendre mon calme. Je suis en transe. Le fait qu’elle se soit réveiller est un véritable miracle. Je savais qu’elle allait se battre mais je ne la pensais pas aussi tenace. Sa mine réjouie ne cesse de me réconforter. Elle doit être en forme. Son état doit être stable. J’ai une sensation de légèreté qui s’immisce en moi. Tout semble plus beau tout d’un coup. Je sais que mon rôle de médecin est quasi terminé quand je croise son regard. Il est si doux, si serein à présent. Une faible lueur de rage reste néanmoins visible au plus profond de ses yeux. Je n’aimerai pas être à la place des hommes qui ont touchés à Lorène car il ne les laissera pas vivre en paix. Nos regards n’arrivent pas à se défaire et nos sourires sont de plus en plus prononcés.
St : désolé de vous avoir réveillé.
S : non, vous plaisantez. Elle doit être encore un peu engourdie.
St (confus) : en fait cela fait presque une heure qu’elle s’est réveillée. Mais elle ne voulait pas rester seule. Elle est très fragile psychologiquement malgré les apparences.
S (rigolant) : oui, c’est normal. Je vais aller la voir. Elle est seule ?
St : non L.J. est auprès d’elle.
S (surprise) : c’est pour cela que vous rester dans le couloir ? Il ne sait pas pour vous deux ?
St (timide) : non, et je ne veux pas brusquer les choses. Tout est bien assez compliqué comme cela.
S (lui faisant un clin d’œil) : je ne le connaît pas beaucoup, mais je suis sûr qu’il sera content pour vous deux.
Je rentre dans cette chambre. Elle me semble si différente de quelques heures auparavant. Elle est devenue si clair, si calme. Les fenêtres sont ouvertes donnant une vue superbe sur le lac. Le soleil rempli cette pièce d’une chaleur réconfortante. Je me sens comme plus légère. J’aperçois L.J. qui s’écarte un peu de Lorène. Je ne peux m’empêcher de sourire devant leurs visages réjouis. Ils sont à eux deux une famille. Je sens tout l’amour et la protection qu’il y a entre eux deux. Elle le considère comme si c’était son petit frère. Je ne pense pas qu’elle l'estime comme son enfant mais comme s’il faisait tout de même partie intégrante d’elle. Ils me sourient tous les deux tels deux enfants. Je peux lire dans leurs yeux la chaleur du moment qu’ils viennent de partager. Je sens bien qu’ils pourraient rester ainsi toute la journée. Je sais que je les dérange mais je dois faire mon devoir. Je m’avance timidement dans la pièce suivi de Steve.
Lo (plaisantant) : désolé de t’avoir fait bosser toute la nuit !
S : comment vas-tu ?
Lo : bien. Je ne savais pas que tu faisais les visites à domicile.
S (rigolant) : bon à ce que je vois le moral est là. Bon les garçons vous pouvez sortir, je vais examiner ma patiente.
St : Lorène, tu es sûr ?
Lo (joviale) : sortez de ma chambre et préparez-moi un pt-déj… je meurs de faim !
L.J. : Sara, pas besoin de vous… elle va super bien, elle commence déjà à nous faire marcher à la baguette !
Lo (pointant son doigt en direction de son neveu) : fais ton malin, t’en que je ne peux pas me lever !
S (concentrée) : allez dehors ! Alors ce réveil, pas trop difficile ?
Lo : non. Je vais bien Sara. Ce n’est pas la peine…
S (vif) : ça c’est à moi de voir.
Je l’ausculte minutieusement. Je reprends toutes ses constantes, vérifie que son cerveau n’a pas eut de séquelles. Elle essaye de retenir le drap qui la recouvre. Mais je dois surveiller la cicatrisation de ses plaies et savoir dans quel état sont ses côtes. Je vois bien ses yeux devenir humides à cet instant. Mais je dois le faire. Je pose ma main sur la sienne en tirant un peu sur le drap pour la découvrir.
S (réconfortante) : ne t’inquiète pas. Je dois revoir tes côtes. Faut que je sache si tu as quelque chose de cassé.
Lo (les yeux rougis) : Sara… je…
S (ferme) : je présume que c’est dur pour toi, mais je dois le faire. Si cela peut te rassurer, je sais exactement dans quel état tu es. Je t’ai déjà examiné.
Lo (résigné) : ouais !
Elle laisse sa main se détendre. Je descends un peu le drap pour la découvrir. Automatiquement, à la vision de sa peau contusionnée je sens un haut le cœur. Un pincement incompréhensible dans ma poitrine se fait sentir. Sa peau à repris une couleur normale, ce qui n’est pas sans accentuer le contraste de ses plaies. Ses flancs sont entièrement bleus. Je presse ses côtes le plus délicatement possible mais assez fermement pour faire mon diagnostic. Je lui demande de ne pas dissimuler la douleur. Pour chaque côte elle me donne une échelle de douleur.
Lo (grimaçant sous la douleur) : ce n’est pas bon signe ?
S (rassurée) : bon, il y a 4 côtes fêlées et aucune ne sont cassées. Ça tient de l’exploit.
Lo : oui, si tu le dis. Moi j’ai l’impression qu’elles sont toutes en mille morceaux !
S (neutre) : c’est normal. Je n’ai pas put te donner d’anti-douleur pour le moment. Vu ce qu’ils t’ont fait prendre, je ne suis pas certaine que ce sera le mieux pour toi. Mais si tu en veux, je te les donnerai.
Lo (apeurée) : comment ça… ils m’ont injectés quoi ?
S : beaucoup de choses…mais ce qui me tracasse le plus c’est qu’ils t’ont donner de l’héroïne mélanger à de la cocaïne.
Je vois ses yeux sortir de leurs orbites à l’instant même ou je prononce ces noms.
Lo (choquée) : ils n’y sont pas allés de main morte. Lincoln a dut rigoler. Je lui ai tellement fait la morale quand il se droguait ou buvait.
S : il a surtout eut très peur. Je ne te cache pas que la douleur va être tenace, donc c’est comme tu veux ?
Lo (indécise) : si tu m’en prescrits, je risque quoi ? Sincèrement !
S (professionnelle) : tu peux devenir dépendante car ton corps n’a pas encore évacué toutes les substances. Tu restes fragile en ce qui concerne l’addiction.
Lo : si tu étais à ma place ou si c’était Mike, tu ferais quoi ?
S (déterminée) : je m’en passerai.
Lo : alors on va faire comme ça.
S : d’accord. Surtout tu ne dois pas bouger de ce lit au moins pendant trois jours. Et après il faudra aller en douceur.
Lo : d’accord docteur.
J’essaye tant bien que mal de cacher au plus profond de moi tous les doutes qui m’oppressent. On a voulu me tuer. J’ai du mal à réaliser ce mot.
Lo (taquine) : comment va Mike ?
S : il était au bord de la crise de nerfs, mais ça va, il s’en remet.
Lo : il a du être insupportable !
S (sérieuse) : Lorène je dois te dire quelque chose. On est au courant pour le bébé. Les circonstances dans lesquelles…
Lo (les larmes aux yeux) : je m’en doutais… je ne voulais pas lui dire car je savais qu’il allait se culpabiliser pour rien.
S : c’est Mickaël ! Steve s’est fait énormément de soucis !
Lo (gênée) : mm c’est aussi flagrant ?
S : disons qu’il était en sale état. Du moment où j’ai quitté ton chevet il est resté auprès de toi.
Lo (comme prise en faute) : tu crois que Mike et Linc se doutent de quelque chose ?
S : Lincoln je ne sais pas. Mais Mickaël et Steve ont bien descendus la bouteille de whisky donc je présume qu’ils ont discutés. Et de toute façon faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’il tient à toi. Bon, vaux mieux que je te laisse te reposer. Je dis à Steve de monter te voir. Lui lançant un petit clin d’œil.
Lo : Merci.
Elle me fait un bandage très serré au niveau de mes côtes. Elle me passe de la pommade cicatrisante et désinfectante sur mes plaies. Elle me donne tous les conseils de soins que je devrais faire pour ne pas avoir de cicatrices. Je la sens si douce et si protectrice. J’ai l’impression malgré tout d’être à présent dans un cocon. Quelques minutes après je vois Steve rentré dans ma chambre. Son sourire illumine la pièce. Il s’avance avec une telle assurance que je n’arrive pas à défaire mon regard du sien. J’ai l’impression d’être en plein rêve. Il s’allonge à côté de moi tel un prédateur attendant sa proie. Il m’enlace si délicatement dans ses bras que je ne sens plus mon corps. Je sais qu’il a du parlé avec Sara de mon état de santé et qu’il se fera le plus doux possible. Nos sourires ne cessent de se confronter comme dans un combat. Il s’approche dangereusement de mon visage. Je sens mes yeux se fermer sous la douceur de ses lèvres sur les miennes. Ses mains sur mes hanches se font velours. Une présence féline et douce. Juste la sensation de lui appartenir et ce jusqu’à la fin de mes jours. Ma langue cherche désespérément à franchir le barrage de ses fines lèvres. Mais rien n’y fait, il ne cède pas à la tentation.
St (dans un murmure) : doucement mademoiselle. Je ne suis pas ce genre d’homme !
Lo : je croyais pouvoir vous corrompre monsieur l’agent secret !
St : non, non… vous n’y arriverez pas de cette manière.
Lo (les joues rouges) : vous n’étiez pas aussi effarouché tout à l’heure.
St : et moi je pense que je devrais vous monter un méga petit-déj, non ?
Lo (capricieuse) : non, je veux descendre. Je ne vais pas être là toute seule alors que Linc et Mike vont partir. Je t’en supplie Steve… je ne veux pas rester dans cette chambre !
St (luttant pour ne pas céder) : non ! Sara a été formelle, trois jours au lit sans bouger le petit doigt.
Lo (insistant) : mon chéri, je t’en pris… je ne les reverrai peut-être jamais ! J’ai juste envie d’être à table avec eux ! Je ferais très attention.
St : Lorène !
Lo : s’il te plaît, c’est l’histoire d’à peine une heure… ça ne va pas me tuer !
St (fataliste) : d’accord mais tu ne bouges pas de ta chaise et je te porte jusqu’en bas !
Lo (lui souriant) : je t’aime.
St : tu sais que je ne peux rien te refuser.
on continu???
je vais essayer d'en faire une autre petite pour ce soir!!!
pensée de Sara : violet
pensée de Lorène : vert
Je sors de cette chambre telle une furie. Steve est adossé au mur du couloir, face à la porte de la chambre de Lorène. Il semble lessivé par la nuit qu’il vient de passer. J’essaye de reprendre mon calme. Je suis en transe. Le fait qu’elle se soit réveiller est un véritable miracle. Je savais qu’elle allait se battre mais je ne la pensais pas aussi tenace. Sa mine réjouie ne cesse de me réconforter. Elle doit être en forme. Son état doit être stable. J’ai une sensation de légèreté qui s’immisce en moi. Tout semble plus beau tout d’un coup. Je sais que mon rôle de médecin est quasi terminé quand je croise son regard. Il est si doux, si serein à présent. Une faible lueur de rage reste néanmoins visible au plus profond de ses yeux. Je n’aimerai pas être à la place des hommes qui ont touchés à Lorène car il ne les laissera pas vivre en paix. Nos regards n’arrivent pas à se défaire et nos sourires sont de plus en plus prononcés.
St : désolé de vous avoir réveillé.
S : non, vous plaisantez. Elle doit être encore un peu engourdie.
St (confus) : en fait cela fait presque une heure qu’elle s’est réveillée. Mais elle ne voulait pas rester seule. Elle est très fragile psychologiquement malgré les apparences.
S (rigolant) : oui, c’est normal. Je vais aller la voir. Elle est seule ?
St : non L.J. est auprès d’elle.
S (surprise) : c’est pour cela que vous rester dans le couloir ? Il ne sait pas pour vous deux ?
St (timide) : non, et je ne veux pas brusquer les choses. Tout est bien assez compliqué comme cela.
S (lui faisant un clin d’œil) : je ne le connaît pas beaucoup, mais je suis sûr qu’il sera content pour vous deux.
Je rentre dans cette chambre. Elle me semble si différente de quelques heures auparavant. Elle est devenue si clair, si calme. Les fenêtres sont ouvertes donnant une vue superbe sur le lac. Le soleil rempli cette pièce d’une chaleur réconfortante. Je me sens comme plus légère. J’aperçois L.J. qui s’écarte un peu de Lorène. Je ne peux m’empêcher de sourire devant leurs visages réjouis. Ils sont à eux deux une famille. Je sens tout l’amour et la protection qu’il y a entre eux deux. Elle le considère comme si c’était son petit frère. Je ne pense pas qu’elle l'estime comme son enfant mais comme s’il faisait tout de même partie intégrante d’elle. Ils me sourient tous les deux tels deux enfants. Je peux lire dans leurs yeux la chaleur du moment qu’ils viennent de partager. Je sens bien qu’ils pourraient rester ainsi toute la journée. Je sais que je les dérange mais je dois faire mon devoir. Je m’avance timidement dans la pièce suivi de Steve.
Lo (plaisantant) : désolé de t’avoir fait bosser toute la nuit !
S : comment vas-tu ?
Lo : bien. Je ne savais pas que tu faisais les visites à domicile.
S (rigolant) : bon à ce que je vois le moral est là. Bon les garçons vous pouvez sortir, je vais examiner ma patiente.
St : Lorène, tu es sûr ?
Lo (joviale) : sortez de ma chambre et préparez-moi un pt-déj… je meurs de faim !
L.J. : Sara, pas besoin de vous… elle va super bien, elle commence déjà à nous faire marcher à la baguette !
Lo (pointant son doigt en direction de son neveu) : fais ton malin, t’en que je ne peux pas me lever !
S (concentrée) : allez dehors ! Alors ce réveil, pas trop difficile ?
Lo : non. Je vais bien Sara. Ce n’est pas la peine…
S (vif) : ça c’est à moi de voir.
Je l’ausculte minutieusement. Je reprends toutes ses constantes, vérifie que son cerveau n’a pas eut de séquelles. Elle essaye de retenir le drap qui la recouvre. Mais je dois surveiller la cicatrisation de ses plaies et savoir dans quel état sont ses côtes. Je vois bien ses yeux devenir humides à cet instant. Mais je dois le faire. Je pose ma main sur la sienne en tirant un peu sur le drap pour la découvrir.
S (réconfortante) : ne t’inquiète pas. Je dois revoir tes côtes. Faut que je sache si tu as quelque chose de cassé.
Lo (les yeux rougis) : Sara… je…
S (ferme) : je présume que c’est dur pour toi, mais je dois le faire. Si cela peut te rassurer, je sais exactement dans quel état tu es. Je t’ai déjà examiné.
Lo (résigné) : ouais !
Elle laisse sa main se détendre. Je descends un peu le drap pour la découvrir. Automatiquement, à la vision de sa peau contusionnée je sens un haut le cœur. Un pincement incompréhensible dans ma poitrine se fait sentir. Sa peau à repris une couleur normale, ce qui n’est pas sans accentuer le contraste de ses plaies. Ses flancs sont entièrement bleus. Je presse ses côtes le plus délicatement possible mais assez fermement pour faire mon diagnostic. Je lui demande de ne pas dissimuler la douleur. Pour chaque côte elle me donne une échelle de douleur.
Lo (grimaçant sous la douleur) : ce n’est pas bon signe ?
S (rassurée) : bon, il y a 4 côtes fêlées et aucune ne sont cassées. Ça tient de l’exploit.
Lo : oui, si tu le dis. Moi j’ai l’impression qu’elles sont toutes en mille morceaux !
S (neutre) : c’est normal. Je n’ai pas put te donner d’anti-douleur pour le moment. Vu ce qu’ils t’ont fait prendre, je ne suis pas certaine que ce sera le mieux pour toi. Mais si tu en veux, je te les donnerai.
Lo (apeurée) : comment ça… ils m’ont injectés quoi ?
S : beaucoup de choses…mais ce qui me tracasse le plus c’est qu’ils t’ont donner de l’héroïne mélanger à de la cocaïne.
Je vois ses yeux sortir de leurs orbites à l’instant même ou je prononce ces noms.
Lo (choquée) : ils n’y sont pas allés de main morte. Lincoln a dut rigoler. Je lui ai tellement fait la morale quand il se droguait ou buvait.
S : il a surtout eut très peur. Je ne te cache pas que la douleur va être tenace, donc c’est comme tu veux ?
Lo (indécise) : si tu m’en prescrits, je risque quoi ? Sincèrement !
S (professionnelle) : tu peux devenir dépendante car ton corps n’a pas encore évacué toutes les substances. Tu restes fragile en ce qui concerne l’addiction.
Lo : si tu étais à ma place ou si c’était Mike, tu ferais quoi ?
S (déterminée) : je m’en passerai.
Lo : alors on va faire comme ça.
S : d’accord. Surtout tu ne dois pas bouger de ce lit au moins pendant trois jours. Et après il faudra aller en douceur.
Lo : d’accord docteur.
J’essaye tant bien que mal de cacher au plus profond de moi tous les doutes qui m’oppressent. On a voulu me tuer. J’ai du mal à réaliser ce mot.
Lo (taquine) : comment va Mike ?
S : il était au bord de la crise de nerfs, mais ça va, il s’en remet.
Lo : il a du être insupportable !
S (sérieuse) : Lorène je dois te dire quelque chose. On est au courant pour le bébé. Les circonstances dans lesquelles…
Lo (les larmes aux yeux) : je m’en doutais… je ne voulais pas lui dire car je savais qu’il allait se culpabiliser pour rien.
S : c’est Mickaël ! Steve s’est fait énormément de soucis !
Lo (gênée) : mm c’est aussi flagrant ?
S : disons qu’il était en sale état. Du moment où j’ai quitté ton chevet il est resté auprès de toi.
Lo (comme prise en faute) : tu crois que Mike et Linc se doutent de quelque chose ?
S : Lincoln je ne sais pas. Mais Mickaël et Steve ont bien descendus la bouteille de whisky donc je présume qu’ils ont discutés. Et de toute façon faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’il tient à toi. Bon, vaux mieux que je te laisse te reposer. Je dis à Steve de monter te voir. Lui lançant un petit clin d’œil.
Lo : Merci.
Elle me fait un bandage très serré au niveau de mes côtes. Elle me passe de la pommade cicatrisante et désinfectante sur mes plaies. Elle me donne tous les conseils de soins que je devrais faire pour ne pas avoir de cicatrices. Je la sens si douce et si protectrice. J’ai l’impression malgré tout d’être à présent dans un cocon. Quelques minutes après je vois Steve rentré dans ma chambre. Son sourire illumine la pièce. Il s’avance avec une telle assurance que je n’arrive pas à défaire mon regard du sien. J’ai l’impression d’être en plein rêve. Il s’allonge à côté de moi tel un prédateur attendant sa proie. Il m’enlace si délicatement dans ses bras que je ne sens plus mon corps. Je sais qu’il a du parlé avec Sara de mon état de santé et qu’il se fera le plus doux possible. Nos sourires ne cessent de se confronter comme dans un combat. Il s’approche dangereusement de mon visage. Je sens mes yeux se fermer sous la douceur de ses lèvres sur les miennes. Ses mains sur mes hanches se font velours. Une présence féline et douce. Juste la sensation de lui appartenir et ce jusqu’à la fin de mes jours. Ma langue cherche désespérément à franchir le barrage de ses fines lèvres. Mais rien n’y fait, il ne cède pas à la tentation.
St (dans un murmure) : doucement mademoiselle. Je ne suis pas ce genre d’homme !
Lo : je croyais pouvoir vous corrompre monsieur l’agent secret !
St : non, non… vous n’y arriverez pas de cette manière.
Lo (les joues rouges) : vous n’étiez pas aussi effarouché tout à l’heure.
St : et moi je pense que je devrais vous monter un méga petit-déj, non ?
Lo (capricieuse) : non, je veux descendre. Je ne vais pas être là toute seule alors que Linc et Mike vont partir. Je t’en supplie Steve… je ne veux pas rester dans cette chambre !
St (luttant pour ne pas céder) : non ! Sara a été formelle, trois jours au lit sans bouger le petit doigt.
Lo (insistant) : mon chéri, je t’en pris… je ne les reverrai peut-être jamais ! J’ai juste envie d’être à table avec eux ! Je ferais très attention.
St : Lorène !
Lo : s’il te plaît, c’est l’histoire d’à peine une heure… ça ne va pas me tuer !
St (fataliste) : d’accord mais tu ne bouges pas de ta chaise et je te porte jusqu’en bas !
Lo (lui souriant) : je t’aime.
St : tu sais que je ne peux rien te refuser.
on continu???
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Oh que oui on continu
J'aime trop la relation qui se creer avec Sara et Lorene!!
Et Steeve et Lorene aussi
J'ai hate de lire la suite!
J'aime trop la relation qui se creer avec Sara et Lorene!!
Et Steeve et Lorene aussi
J'ai hate de lire la suite!
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique suite , je t ' adore !!!!!!!
trop mignon steeve et lorene , jolie couple !!!!!! avec en plus un je t'aime
j ' en redemande encore !!!!!!!!!
met la vite s t p !!!!!!!
please !!!!!
trop mignon steeve et lorene , jolie couple !!!!!! avec en plus un je t'aime
j ' en redemande encore !!!!!!!!!
met la vite s t p !!!!!!!
please !!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
trop mimi les 2 zamoureux!! contente de savoir que lorène va mieux!
vite la suite stp!!
vite la suite stp!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci beaucoup les filles...
et grand miracle j'ai enfin trouvé un titre qui me va....
ouf... je pensé la finir sans titre vu comme c'était parti...
donc c'est officiel :
et grand miracle j'ai enfin trouvé un titre qui me va....
ouf... je pensé la finir sans titre vu comme c'était parti...
donc c'est officiel :
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Felicitation pour ton titre de fic et pour cette suite qui est geniale!!!!
Je suis contente pour Lorène et Steve ils sont trop mignon!!!
Vivement la prochaine suite!!!!
Je suis contente pour Lorène et Steve ils sont trop mignon!!!
Vivement la prochaine suite!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Génial comme titre t'aurais pas pu trouver mieux je pense
sont trop mimi Lorène et Steeve
et Mike il est resté dans la même position pendant tout ce temps??? le pauvre il va finir par avoir des crampe
et pour répondre à ta question OUI continu!!!!
sont trop mimi Lorène et Steeve
et Mike il est resté dans la même position pendant tout ce temps??? le pauvre il va finir par avoir des crampe
et pour répondre à ta question OUI continu!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
désolé Wentsarah mais là je laisse ton imagination travailler car sinon on n'avancera pas beaucoup....déjà que je décris un peu trop!!
donc la petite que je vous ai promise!
que les pensées de Lorène
Il me porte tendrement dans ses bras. Je me sens comme une princesse que l’on dorlote. Je me sens si apaisée, sereine. quand je suis dans ses bras je me rends compte que rien ne peux nous arrivé. Qu’il ne me laissera jamais, qu’il sera toujours auprès de moi, quoiqu’il lui en coûte. Il a pris bien soin de m’aider pour m’habiller de façon plus convenable et surtout afin que personne ne voient mes blessures. Affublé d’un pantalon fin de pyjama et de la chemise à manche longue de Mike qui me resté, il me porte à la cuisine. Il est si délicat. Je sens des milliers de regards se poser sur nous lorsque l’on arrive en bas des escaliers. Tout le monde déjeune. J’avais entendu des éclats de rire, mais maintenant on pourrait une mouche voler. Les yeux de Sara foudroient sur place Steve qui le pauvre n’ose plus bouger. Il s’avance timidement vers la table pour m’installer à la chaise que Linc s’est précipité de reculer pour moi.
S (furieuse) : je vous avez dis trois jours sans bouger !
M (rieur) : Sara, calme toi… mais j’aurai du te dire qu’elle ne pourrait pas rester dans son lit autant de temps.
L (essuyant des larmes de rire) : et ne blâmez pas Steve, le pauvre elle n’a pas dut lui laisser le choix !
Lo (taquine) : dites que je suis un tyran tant que vous êtes ! !
L : non c’est juste que tu n’en fais qu’à ta tête. L’ajustant sur sa chaise. Tu es bien installée, ça ca ?
Lo : oui. Passe moi le café.
St : donnez je vais la servir.
Lo (autoritaire) : je suis assez grande tout de même.
St (intraitable) : je te sers ou tu retournes au lit !
Lo (résignée) : bon
L .J. (surpris) : elle a capitulé. C’est un exploit.
Le reste du petit déjeuner se passe dans la même bonne humeur. Je dois dire que je suis heureuse d’être auprès de ma famille. Je sens bien les regards inquiets de Mike et Linc se posaient sur moi, mais j’essaye de ne pas y prêter attention. Steve est presque en train de beurrer mes tartines pour pas que je fasse le moindre effort. A de nombreuses reprises j’ai put distinguer des regards complices s’échanger entre les deux frères. Mike ne cesse de me regarder, de décortiquer les gestes que Steve a en mon encontre. Il semble heureux pour moi, presque soulagé de ne pas me savoir seule.
L.J. (s’empiffrant) : Steve, tu restes combien de temps à la maison ?
St (gauche) : je ne sais pas encore.
L.J. (hilare) : non ce serait bien que tu restes. Au moins quand tu es là, tante Lorène est moins chiante !
Lo et L : L.J. ! !
L.J. : quoi, et puis se serait quant même plus pratique si vous voulez …mmm
L (mettant la tête entre ses mains de désespoirs) : je renonce ce n’est pas mon fils !
Lo (hilare) : si Linc et plus que jamais !
J (sérieuse) : de toute façon pour le moment Steve reste ici tant que la compagnie est là.
M : j’espère que vous aimez cette maison, vous allez devoir y rester un bout de temps !
St (plongeant son regard dans celui de Lorène) : ce ne sont pas les lieux qui sont importants ce sont les personnes qui s’y trouvent.
Il jette un froid glacial dans la pièce. Il a dit cette phrase en ne décrochant pas son regard du mien tel deux aimants. Je me sens à la fois mal à l’aise devant une telle déclaration devant tant de monde. Mais en même temps je suis super heureuse. En quelques mots et regards il m’a transporté dans un univers féerique, bien loin de notre réalité où le danger est omniprésent. Jane semble très loin de nous. Je ne sais pas où en sont les choses entre elle et Linc mais j’ai l’impression qu’elle appréhende son départ. Elle fuit son regard, alors que ses mains ne cessent de se triturer. Elle qui est d’habitude si forte, si solide me fait penser à une jeune fille qui va laisser s’échapper son premier amour.
J : Lorène, j’ai quelque chose à te rendre.
Lo (surexcité): quoi ? allez ?
J : tiens tu l’avais perdu.
Lo (perdue dans ses pensées) : oh…je ne m’en étais pas rendue compte. Merci.
Je me contrôle plus que jamais. Je sens un regain de larme gagner mes yeux. Je sais qu’il ne faut pas mentir. Mais je n’ai pas envie de leurs dire que je l’avais sentie glisser de mon doigt. Qu’à se moment précis je m’étais prise de panique, pensant que le destin m’envoyer des signes bien sordides. La bague de Mike qui tombe de mon doigt alors que l’on m’enlève pour me tuer. Je la contemple minutieusement. Tel des flashs je perçois le torse de Mike dans mon esprit. Assis là à côté de moi, je le regarde avec incompréhension. Les flashs qui me viennent sont bizarres. Je vois sont torse mais tatoué, alors que je n’ai jamais vu son tatouage. A part des bouts sur ses bras. Je sens mes doigts comme s’ils passaient dessus. Au milieu du méandre des traits j’aperçois ma bague. Il comprend presque immédiatement mon trouble. Je le sens s’approcher de ma tête. Sa main englobant mon visage, il me dépose un baiser dans mes cheveux. je pose sa main sur son cœur. Il a ma bague tatoué sur lui, je le sais…mais comment je l’ai vu. Je la remet à mon doigts. Les quelques minutes qui passèrent furent si rapide. Ils doivent partir. Ils doivent innocenter Lincoln. Il partent de ma maison. Je leur est interdis de me faire des adieux prétextant que j’étais trop fragile pour le supporter. Leur éclats de rire firent presque trembler les murs de la maison. Je vois leur voiture s’évanouir dans l’horizon. je sais que je les reverrais mais quant ?
je sais que cela y ressemble mais ce n'est pas la fin!!!
donc la petite que je vous ai promise!
que les pensées de Lorène
Il me porte tendrement dans ses bras. Je me sens comme une princesse que l’on dorlote. Je me sens si apaisée, sereine. quand je suis dans ses bras je me rends compte que rien ne peux nous arrivé. Qu’il ne me laissera jamais, qu’il sera toujours auprès de moi, quoiqu’il lui en coûte. Il a pris bien soin de m’aider pour m’habiller de façon plus convenable et surtout afin que personne ne voient mes blessures. Affublé d’un pantalon fin de pyjama et de la chemise à manche longue de Mike qui me resté, il me porte à la cuisine. Il est si délicat. Je sens des milliers de regards se poser sur nous lorsque l’on arrive en bas des escaliers. Tout le monde déjeune. J’avais entendu des éclats de rire, mais maintenant on pourrait une mouche voler. Les yeux de Sara foudroient sur place Steve qui le pauvre n’ose plus bouger. Il s’avance timidement vers la table pour m’installer à la chaise que Linc s’est précipité de reculer pour moi.
S (furieuse) : je vous avez dis trois jours sans bouger !
M (rieur) : Sara, calme toi… mais j’aurai du te dire qu’elle ne pourrait pas rester dans son lit autant de temps.
L (essuyant des larmes de rire) : et ne blâmez pas Steve, le pauvre elle n’a pas dut lui laisser le choix !
Lo (taquine) : dites que je suis un tyran tant que vous êtes ! !
L : non c’est juste que tu n’en fais qu’à ta tête. L’ajustant sur sa chaise. Tu es bien installée, ça ca ?
Lo : oui. Passe moi le café.
St : donnez je vais la servir.
Lo (autoritaire) : je suis assez grande tout de même.
St (intraitable) : je te sers ou tu retournes au lit !
Lo (résignée) : bon
L .J. (surpris) : elle a capitulé. C’est un exploit.
Le reste du petit déjeuner se passe dans la même bonne humeur. Je dois dire que je suis heureuse d’être auprès de ma famille. Je sens bien les regards inquiets de Mike et Linc se posaient sur moi, mais j’essaye de ne pas y prêter attention. Steve est presque en train de beurrer mes tartines pour pas que je fasse le moindre effort. A de nombreuses reprises j’ai put distinguer des regards complices s’échanger entre les deux frères. Mike ne cesse de me regarder, de décortiquer les gestes que Steve a en mon encontre. Il semble heureux pour moi, presque soulagé de ne pas me savoir seule.
L.J. (s’empiffrant) : Steve, tu restes combien de temps à la maison ?
St (gauche) : je ne sais pas encore.
L.J. (hilare) : non ce serait bien que tu restes. Au moins quand tu es là, tante Lorène est moins chiante !
Lo et L : L.J. ! !
L.J. : quoi, et puis se serait quant même plus pratique si vous voulez …mmm
L (mettant la tête entre ses mains de désespoirs) : je renonce ce n’est pas mon fils !
Lo (hilare) : si Linc et plus que jamais !
J (sérieuse) : de toute façon pour le moment Steve reste ici tant que la compagnie est là.
M : j’espère que vous aimez cette maison, vous allez devoir y rester un bout de temps !
St (plongeant son regard dans celui de Lorène) : ce ne sont pas les lieux qui sont importants ce sont les personnes qui s’y trouvent.
Il jette un froid glacial dans la pièce. Il a dit cette phrase en ne décrochant pas son regard du mien tel deux aimants. Je me sens à la fois mal à l’aise devant une telle déclaration devant tant de monde. Mais en même temps je suis super heureuse. En quelques mots et regards il m’a transporté dans un univers féerique, bien loin de notre réalité où le danger est omniprésent. Jane semble très loin de nous. Je ne sais pas où en sont les choses entre elle et Linc mais j’ai l’impression qu’elle appréhende son départ. Elle fuit son regard, alors que ses mains ne cessent de se triturer. Elle qui est d’habitude si forte, si solide me fait penser à une jeune fille qui va laisser s’échapper son premier amour.
J : Lorène, j’ai quelque chose à te rendre.
Lo (surexcité): quoi ? allez ?
J : tiens tu l’avais perdu.
Lo (perdue dans ses pensées) : oh…je ne m’en étais pas rendue compte. Merci.
Je me contrôle plus que jamais. Je sens un regain de larme gagner mes yeux. Je sais qu’il ne faut pas mentir. Mais je n’ai pas envie de leurs dire que je l’avais sentie glisser de mon doigt. Qu’à se moment précis je m’étais prise de panique, pensant que le destin m’envoyer des signes bien sordides. La bague de Mike qui tombe de mon doigt alors que l’on m’enlève pour me tuer. Je la contemple minutieusement. Tel des flashs je perçois le torse de Mike dans mon esprit. Assis là à côté de moi, je le regarde avec incompréhension. Les flashs qui me viennent sont bizarres. Je vois sont torse mais tatoué, alors que je n’ai jamais vu son tatouage. A part des bouts sur ses bras. Je sens mes doigts comme s’ils passaient dessus. Au milieu du méandre des traits j’aperçois ma bague. Il comprend presque immédiatement mon trouble. Je le sens s’approcher de ma tête. Sa main englobant mon visage, il me dépose un baiser dans mes cheveux. je pose sa main sur son cœur. Il a ma bague tatoué sur lui, je le sais…mais comment je l’ai vu. Je la remet à mon doigts. Les quelques minutes qui passèrent furent si rapide. Ils doivent partir. Ils doivent innocenter Lincoln. Il partent de ma maison. Je leur est interdis de me faire des adieux prétextant que j’étais trop fragile pour le supporter. Leur éclats de rire firent presque trembler les murs de la maison. Je vois leur voiture s’évanouir dans l’horizon. je sais que je les reverrais mais quant ?
je sais que cela y ressemble mais ce n'est pas la fin!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je viiiiiens de tout liiire 15piges plus taard comme daaab tu ma donné le sourir ils sont tous mimis tout les deux Mick le pauvre jesper quil a o moins pue un chti peux bouger!
OUI tu continue!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
OUI tu continue!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je ne vois pas grand chose à dire, ah si mais c pas très original!
la suite stp!!!!
la suite stp!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
h s : si tu savais !!!
***
magnifique suite !!!!!!!!!!
qu ' est ce qu'il sont mignon steeve et lorene !!!!!!
lorene si elle a vu le corps de michael , c'est quand il la chauffer !!!!!! " MEDICALEMENT .... BIEN SUR
j ' en redemande !!!!!!!! encore
met la vite !!!!!!!!
***
magnifique suite !!!!!!!!!!
qu ' est ce qu'il sont mignon steeve et lorene !!!!!!
lorene si elle a vu le corps de michael , c'est quand il la chauffer !!!!!! " MEDICALEMENT .... BIEN SUR
j ' en redemande !!!!!!!! encore
met la vite !!!!!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je trouve ton titre super!!!!
Ta bien choisit!
Sinon tes deux suite était géniale et c'est bien que les choses se soit arranger pour lorène!!!
Ils sont mimi elle et Steve!! ...
Préssée de lire ta prochaine suite!!
Ta bien choisit!
Sinon tes deux suite était géniale et c'est bien que les choses se soit arranger pour lorène!!!
Ils sont mimi elle et Steve!! ...
Préssée de lire ta prochaine suite!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
virginie a écrit:h s : si tu savais !!!
***
magnifique suite !!!!!!!!!!
qu ' est ce qu'il sont mignon steeve et lorene !!!!!!
lorene si elle a vu le corps de michael , c'est quand il la chauffer !!!!!! " MEDICALEMENT .... BIEN SUR
j ' en redemande !!!!!!!! encore
met la vite !!!!!!!!
Tu m'enlève les mots de la bouche!!
Je suis pas sure que Sara aurait apprécier que Mick ai chauffer Lorène autrement que médicalement!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
chachou18 a écrit:à quand la prochaine suite??? bientot?
J'éspere qu'on en aura une bientôt.
Je trépigne d'impatience
kanako- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
coucou...
je sais qu'elle n'est pas longue mais c'est mieux que rien...
mais vu le dernier plantage de PC, j'ai pas mal de morceaux perdus
je vous adore, merci pour tout vos comms sa motive vraiment
pensée de Lorène : vert
Cela fait presque une semaine que je suis sans nouvelle de Mike et Linc. Le procès de Sara fait la une de l’actualité. Tout Chicago veut sa peau. L.J. essaye comme il peut de faire semblant. Mais je sais qu’il est effrayé. Il est conscient qu’ils ne peuvent nous contacter mais la peur est omniprésente. On ne sait pas s’ils ont put arriver sain et sauf au Panama. Juste après la déclaration de l’ex présidente, Linc nous a appelé pour nous dire qu’ils embarquaient à bord d’un bateau marchand. Mais après plus rien. On étés persuadés que tout allé se finir. Steve ne me quitte plus d’une semelle. Il m’arrive parfois de trouver cela étouffant. Seulement dès qu’il n’est plus dans mon champ de vision, je sens une panique dévastatrice monter en moi. C’est la première fois depuis une semaine que je suis hors de chez moi. J’ai remis mon tailleur, des papiers sous le bras, j’avance la tête haute. J’arpente les allées du tribunal comme jamais auparavant. Ce n’est pas une histoire sans importance, la vie de Sara est en jeu, sa liberté, son innocence et par la même occasion celle de Linc et Mike. Je presse de plus en plus la main de Steve. Chaque pas dans ce dédale ne fait qu’augmenter la boule d’angoisse que j’ai au ventre. Mon pas est décidé, les gens s’écartent à notre encontre. On avance tous deux comme si nos vies en dépendaient. J’ai l’impression de me préparer au combat de ma vie. Je ne sais pas pourquoi elle ne m’a pas appelé pour que je la défende, ni pourquoi elle s’est fait arrêter. Tout ce que je sais c’est que Mike est parti et quelle a sacrifié sa vie, son avenir pour lui. Plus je me rapproche de cette immense porte et plus je prends l’importance de ce que je vais faire. Il se peut que je ruine ma carrière. De toute façon elle est au niveau zéro à présent. Mais le point positif c’est que j’aime ce que je fais. Je me dois de rentrer dans cette salle pour Mike, pour Linc.
Steve m’ouvre la porte. La séance était sur le point de reprendre. La porte claque de tout son poids. Je ne suis pas là pour faire dans la dentelle, mon but est précis. Je l’atteindrais quoiqu’il m’en coûte. J’avance d’un trait sans me soucier des regards qui se porte sur moi. Je reste concentré à présent sur ses yeux noisette à la fois surpris et énervés de ne pas me voir allongée dans mon lit. J’entends un immense murmure au fur et à mesure que je m’avance. Je vois ses deux abrutis d’avocats faire aller et venir leurs regards entre moi et Sara. J’ai l’impression que des points d’interrogations sont inscrits sur leurs pupilles. Je vais directement vers elle. Steve empêche deux ou trois personnes qui essayent de faire stopper. Je me penche vers son visage. Je la fixe sans négociation. Je lui tends un des documents que je transporte.
Lo (intransigeante) : Sara, signez ce document.
S (surprise) : c’est quoi ?
Lo (insistant d’un regard sombre) : vous avez confiance en moi, Sara ?
S (effrayé par le comportement de Lorène) : euh…oui.
Lo : alors signé ! Faites le pour lui !
S : d’accord.
Je prends immédiatement le papier signé. Je ne peux dissimuler mon sourire. Ces deux couillons d’avocats essayent de savoir ce qu’elle vient de signer. Mais ils comprennent à l’instant même ou je passe le portillon séparant les acteurs et les spectateurs du procès, qu’ils viennent d’être virés. Je m’avance directement vers le juge qui rentre au même instant. Je lui présente le document. Elle me regarde tel un alien. On se connaît très bien toutes les deux. Elle sait que je ne lâcherai jamais ma cliente mais surtout elle sait que si j’arrive le dernier jour du procès, au moment même ou la sentence doit être prononcée, ce n’est pas pour rien.
Avocat : vous savez ce que vous venez de signer, Sara ?
S : pas vraiment.
Avocat : je ne vous comprends pas. On avait un marché !
S : désolé.
Juge : bon, Melle Tancredi reconnaissez-vous Maître Mossé comme votre avocat ?
S (confuse) : oui.
Juge : bon. On peut continuer.
Lo : votre honneur. J’ai un nouveau témoin à vous présenter ?
Juge (éxaspérée) : ministère public ?
Procureur (croyant maîtrisant encore la situation) : je n’y vois pas d’inconvénient.
Juge : faites le entrer !
je sais qu'elle n'est pas longue mais c'est mieux que rien...
mais vu le dernier plantage de PC, j'ai pas mal de morceaux perdus
je vous adore, merci pour tout vos comms sa motive vraiment
pensée de Lorène : vert
Cela fait presque une semaine que je suis sans nouvelle de Mike et Linc. Le procès de Sara fait la une de l’actualité. Tout Chicago veut sa peau. L.J. essaye comme il peut de faire semblant. Mais je sais qu’il est effrayé. Il est conscient qu’ils ne peuvent nous contacter mais la peur est omniprésente. On ne sait pas s’ils ont put arriver sain et sauf au Panama. Juste après la déclaration de l’ex présidente, Linc nous a appelé pour nous dire qu’ils embarquaient à bord d’un bateau marchand. Mais après plus rien. On étés persuadés que tout allé se finir. Steve ne me quitte plus d’une semelle. Il m’arrive parfois de trouver cela étouffant. Seulement dès qu’il n’est plus dans mon champ de vision, je sens une panique dévastatrice monter en moi. C’est la première fois depuis une semaine que je suis hors de chez moi. J’ai remis mon tailleur, des papiers sous le bras, j’avance la tête haute. J’arpente les allées du tribunal comme jamais auparavant. Ce n’est pas une histoire sans importance, la vie de Sara est en jeu, sa liberté, son innocence et par la même occasion celle de Linc et Mike. Je presse de plus en plus la main de Steve. Chaque pas dans ce dédale ne fait qu’augmenter la boule d’angoisse que j’ai au ventre. Mon pas est décidé, les gens s’écartent à notre encontre. On avance tous deux comme si nos vies en dépendaient. J’ai l’impression de me préparer au combat de ma vie. Je ne sais pas pourquoi elle ne m’a pas appelé pour que je la défende, ni pourquoi elle s’est fait arrêter. Tout ce que je sais c’est que Mike est parti et quelle a sacrifié sa vie, son avenir pour lui. Plus je me rapproche de cette immense porte et plus je prends l’importance de ce que je vais faire. Il se peut que je ruine ma carrière. De toute façon elle est au niveau zéro à présent. Mais le point positif c’est que j’aime ce que je fais. Je me dois de rentrer dans cette salle pour Mike, pour Linc.
Steve m’ouvre la porte. La séance était sur le point de reprendre. La porte claque de tout son poids. Je ne suis pas là pour faire dans la dentelle, mon but est précis. Je l’atteindrais quoiqu’il m’en coûte. J’avance d’un trait sans me soucier des regards qui se porte sur moi. Je reste concentré à présent sur ses yeux noisette à la fois surpris et énervés de ne pas me voir allongée dans mon lit. J’entends un immense murmure au fur et à mesure que je m’avance. Je vois ses deux abrutis d’avocats faire aller et venir leurs regards entre moi et Sara. J’ai l’impression que des points d’interrogations sont inscrits sur leurs pupilles. Je vais directement vers elle. Steve empêche deux ou trois personnes qui essayent de faire stopper. Je me penche vers son visage. Je la fixe sans négociation. Je lui tends un des documents que je transporte.
Lo (intransigeante) : Sara, signez ce document.
S (surprise) : c’est quoi ?
Lo (insistant d’un regard sombre) : vous avez confiance en moi, Sara ?
S (effrayé par le comportement de Lorène) : euh…oui.
Lo : alors signé ! Faites le pour lui !
S : d’accord.
Je prends immédiatement le papier signé. Je ne peux dissimuler mon sourire. Ces deux couillons d’avocats essayent de savoir ce qu’elle vient de signer. Mais ils comprennent à l’instant même ou je passe le portillon séparant les acteurs et les spectateurs du procès, qu’ils viennent d’être virés. Je m’avance directement vers le juge qui rentre au même instant. Je lui présente le document. Elle me regarde tel un alien. On se connaît très bien toutes les deux. Elle sait que je ne lâcherai jamais ma cliente mais surtout elle sait que si j’arrive le dernier jour du procès, au moment même ou la sentence doit être prononcée, ce n’est pas pour rien.
Avocat : vous savez ce que vous venez de signer, Sara ?
S : pas vraiment.
Avocat : je ne vous comprends pas. On avait un marché !
S : désolé.
Juge : bon, Melle Tancredi reconnaissez-vous Maître Mossé comme votre avocat ?
S (confuse) : oui.
Juge : bon. On peut continuer.
Lo : votre honneur. J’ai un nouveau témoin à vous présenter ?
Juge (éxaspérée) : ministère public ?
Procureur (croyant maîtrisant encore la situation) : je n’y vois pas d’inconvénient.
Juge : faites le entrer !
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Trop bien, Lorène avocate de Sara
Vivement la suite !!!!
Vivement la suite !!!!
kanako- Rendez vous avec le Coyote...
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Localisation : Partie sauver Coraline
Date d'inscription : 08/11/2006
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