les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
chachou18 a écrit:à quand la suite??? met nous la suite stp!!! je veux savoir la suite...!!!
Malgré la chachou!!
vite stp! met la suite!!!!!!!!
sois patiente je la gratine ... un vrai régal...
moi qui croyais te faire plaisir, en te prenant dans mon casting
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:chachou18 a écrit:à quand la suite??? met nous la suite stp!!! je veux savoir la suite...!!!
Malgré la chachou!!
vite stp! met la suite!!!!!!!!
sois patiente je la gratine ... un vrai régal...
moi qui croyais te faire plaisir, en te prenant dans mon casting
çame fais plaisir!!
c'est juste que j'avais cru que tu c comme ça que tu me voyais...
laisse pas trop longtemps gratiné faudrait pas que ça brule se serai dommage...
vite la suite!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
chachou18 a écrit:ENNEADE a écrit:chachou18 a écrit:à quand la suite??? met nous la suite stp!!! je veux savoir la suite...!!!
Malgré la chachou!!
vite stp! met la suite!!!!!!!!
sois patiente je la gratine ... un vrai régal...
moi qui croyais te faire plaisir, en te prenant dans mon casting
çame fais plaisir!!
c'est juste que j'avais cru que tu c comme ça que tu me voyais...
laisse pas trop longtemps gratiné faudrait pas que ça brule se serai dommage...
vite la suite!!
non je ne te vois pas comme cela si ça peut te rassurer... mais ce personnage m'amuse pas mal!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
désolé les filles mais pas de suites se soir... trop de trucs à faire en meme temps
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:désolé les filles mais pas de suites se soir... trop de trucs à faire en meme temps
noooooooo
bon ben tempi......; vivement demain...;;;
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Vivement la suite AUJOURD'HUI
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
RADINEUZ DE SUITE
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ben voilà la suite...
j'espère qu'elle vous plaira
que pensée de Lorène
Je reste perplexe sur la journée qui vient de se passer. Les fréquentations que pouvaient avoir Steve sont loin d’être des enfants de cœur. Et je ne sais pas pourquoi mais cette femme Chachou, je ne la sens pas. J’ai l’impression de retourner 10 ans en arrière quand je tremblais dès qu’une fille posée les yeux sur Mike. Et ben ! Je suis dans de beaux draps. Me voilà repartis, je déteste être jalouse ; En fait, je ne le suis pas, j’ai entièrement confiance en Steve. C’est juste dans les filles qui peuvent le croiser que je n’ai pas confiance ! ! Bon ! La nuance est nulle, faut que tu t’y fasses, tu es jalouse ma pauvre fille. Je me suis documenter à fond sur les lois de ce pays… mon dieu, je ne sais pas où je vais mais j’y fonce tête baissée…
L’ambassade est loin d’être coopérante. Mickaël Scofield peut bien finir ses jours à Sona, ils s’en foutent. Il est recherché aux USA et ici c’est un meurtrier donc hors de question de se salir les mains. Lincoln a bien vu mon air furax en rentrant à l’hôtel. Il sait très bien ce que cela veut dire. En résumé, il faut que j’innocente Mike à Chicago, puis j’aurai l’appui de l’ambassade. Et en même temps, pour que la procédure ne dure pas 10 ans, il faut que je remue la justice d’ici. J’hallucine devant l’ampleur de ce que je dois faire. Je me sens si découragé tout d’un coup. J’ai passé ma journée à tout retourné, à me prendre des portes dans la gueule. Steve est encore plus inquiet que moi. Je le sens angoissé. Il ne me dit rien, mais il craint vraiment que la compagnie soit ici, que l’on soit en danger !
Lo : Steve, Chachou, tu as confiance en elle ?
St : elle est complètement délurée mais elle est toujours du bon côté.
Lo (penaude) : je suis désolé pour tout à l’heure…
St (taquin) : j’adore te voir en pétard… tu es si sexy… que…
Je lui kidnappe ses lèvres sans plus attendre. Je sais que ces moments sont et seront de plus en plus rares. Je le sens s’allonger sur moi tel un félin. On ne contrôle plus rien, nos sens sont en éveils. Ils attendent la moindre caresse, le moindre baiser… je perds pieds, tellement je succombe à son charme. Le panama aurait dut être des vacances, nos premières ensemble. On aurait dut lézarder sur la plage, siroter des cocktails… non au lieu de ceci…
On défait notre étreinte au moment ou l’on attend Linc frapper à la porte. Je sens le désappointement chez Steve. Il est presque 19h. on doit se rendre chez son informatrice. Il n’a guère envie d’y aller et moi non plus. Mais je dois tout faire pour Mike et Sara.
Lo : oui, Linc on arrive !
St (dégouté) : tu es sûre de vouloir aller là-bas ?
Lo : tu n’iras pas sans moi !
St : ce n’est pas ce que je veux dire ! Je n’ai pas très envie de partir.
Lo : on reprendra ceci cette nuit !
St (s'affalant dans le lit) : ah tu me crèves le cœur ! !
Lo : arrêtes de faire le pitre !
St (la prenant dans ses bras) : Lorène. Je sais que pour toi c’est loin d’être facile. J’essaye juste de te faire rire un peu.
Lo : je sais. Je t’aime.
Nous rejoignons Lincoln qui fait déjà les cent pas dans le hall. On passe voir Chachou dans son appartement. Je suis surprise devant le standing de cet endroit. Pour l’instant je n’avais vu, que des immeubles insalubres, délabré… ici j’ai l’impression d’être à Chicago. Je ressens l’angoisse de Linc qui ne me desserre pas la main. Il est inquiet. Même s’il ne l’avoue pas, plus les heures passent et plus il se morfond. Cette jeune femme est surprenante. Elle nous accueille un verre de vin à la main. J’entends une grosse vois émaner de l’appartement. Je crains le pire. Mes yeux s’orientent automatiquement vers ceux de Steve. Il me regarde avec ces yeux si protecteurs, si calme. Je vois à cet instant la différence. Il n’est plus l’amant transits qui partagé ma chambre quelques minutes plutôt. Il est un espion, un agent qui se méfie de tout mais qui surtout essaye de maîtriser tous les imprévus.
C : ah vous voilà, on vous attend !
St : on ?
C (tapant sur l'épaule de Steve) : arrêtes de te biler, c’est Ron qui est là !
R : salut vieux… je n’avais rien dans le frigo, donc me voilà !
St : tu as bien fait. Chachou, tu en es ou ?
C (lui faisant les yeux doux) : du calme, tu ne veux pas un verre ?
R (hilare) : Chachou, tu es incorrigible. Tu ne vois pas que la demoiselle est avec lui !
C (haussant les épaules) : si on ne peut plus rigoler !
St : tu as quelques choses ou pas ?
Elle se fout de moi cette gonzesse. Ce n’est pas possible, elle n’arrête pas de lui tourner après, de minauder, de se trémousser… haï, Linc me serre tellement la main que j’ai failli la perdre. Non, mais quelle brute quand il veut ! Bon, la présence de Ron a l’air de calmer les ardeurs de cette fille. Je me demande bien ce qu’il a put lui trouver. Elle doit avoir des qualités, c’est bizarre je ne les vois pas là tout de suite. Steve me fusille du regard. Il doit bien se douter de ce que je pense, de la pression qui monte en moi chaque fois qu’elle se trouve à moins d’un mètre de toi. Ses yeux deviennent plus rieurs quand il voit mes sourcils se lever. Et oui je n’y peux rien, je suis ainsi, je ne partage pas !
C : bon, pour Scofield, je vous ai dit ce que j’en pense !
St (désemparé) : tu nous aides vachement là !
C : et Sara, j’ai peut être quelque chose. On l’aurait aperçu hier en ville. Elle aurait été suivie par des hommes.
L (en transe) : et ? C’est tout ?
C (ahurie) : oh ! Vous croyez quoi ? On va la trouver en 30 secondes.
St (sérieux) : vaudrait mieux. Il se peut que la Compagnie soit derrière tout ça !
R et C (ouvrant de grands yeux) : la Compagnie ?
R : tu ne pouvais pas le dire avant !
Lo : pourquoi, cela vous dérange de travailler contre eux ?
R (montrant Lorène du doigt) : c’est vous le procès, il y a deux jours à Chicago…oh purée !
C : quoi, tu parles de quoi ?
R : ils sont en train de faire tomber la Compagnie. C’est elle qui a innocenté Tancredi et Burrows. Je suppose que vous allez faire de même pour Scofield ?
Lo (détermibée) : oui.
C (sérieuse) : Bon. Alors on va mettre cartes sur tables. Moi je ne peux avoir aucune info sur Sona. Tous mes contacts sont bloqués. Ici Sona, personne n’ose même y penser !
R : moi, je vais vous présenter Amaria. Elle va là-bas demain. Elle doit venir ici dans une heure !
St : tu as confiance en elle ?
R : oui, elle est clean. Le seul problème c’est qu’elle risque de ne pas nous aider. Elle ne tournera pas autour du pot, s’il elle ne veut pas !
L (surpris) : pourquoi elle refusera ?
R : tout simplement car si on la découvre en train de discuter ou de donner un message à un détenu, elle perdra son boulot, sa vie…et elle risque d’être emprisonner. Et le pompom, si la Compagnie est derrière tout cela…
St : et toi Chachou ?
C : OK, si la Compagnie est derrière je comprends mieux. On la vu se faire embarquer par deux hommes assez louches. Je les connais. Ils doivent la planquer dans une cabane sur la plage à quelques km On ira en reconnaissance demain avec Ron.
St : je viens.
C (riant) : arrêtes, vaux mieux qu’ils ne te voient pas. Et qui les surveillera eux deux ?
Je sens tous les regards converger sur moi. Comme si à cet instant j’étais une gosse. Je déteste cette sensation de devoir dépendre de quelqu’un. C’est comme si je n’étais pas assez grande, pour me défendre toute seule. Quoique dans ce cas là je suis bien obligé de concédé que j’ai bel et bien besoin d’eux. Pourtant je déteste cette sensation de ne pas gérer la situation. J’ai l’impression de réagir comme Mike en pensant ceci. Et cela je le déteste encore plus. Je me suis toujours battu pour qu’il se laisse un peu plus porter par les choses, qu’il se laisse aider…
Ils élaborent des plans, passent en revue tous les contacts qu’ils peuvent avoir, ceux en qui on peut avoir confiance. J’hallucine sur la détermination de Steve, il est si posé, réfléchi. Je les écoute sans vraiment prendre part. Mon esprit est occupé à savoir dans quel été je vais pouvoir retrouver Mike et Sara. Cette angoisse n’arrive pas à disparaître. Elle m’oppresse depuis que je suis arrivé ici, dans ce pays. Amaria arrive enfin. J’ai hâte de savoir comment elle pourra nous aider, qui elle est ?
C’est une superbe métisse. Je suis subjugué par sa beauté. Elle dégage tellement de douceur. Je me demande ce qu’elle pourra faire pour nous.
R : à te voilà, Bonsoir. Viens que je te présente.
A : bonsoir.
R : bon, on aurait besoin de tes services. C’est tout simple.
A : si je peux. C’est quoi ?
L (vif) : c’est simple. Mon frère est à Sona. Il est innocent et on veut le sortir de là.
A (surprise) : vous plaisantez, j’espère. Non, je ne vous aiderai pas à le faire évader.
Lo : ce n’est pas ça….
A : non, et pourquoi je ferai une chose pareil ?
R (essayant de calmer le jeu) : il est innocent. C’est un coup monté. On veut juste que tu nous dises s’il va bien. C’est tout !
A : il s’appelle comment ?
R (triomphant) : Mickaël Scofield.
Lo : je peux vous poser une question ?
A : oui
Lo : pourquoi allez-vous à Sona ?
A : Ron ne vous a pas dit. Une fois par semaine, j’y vais en tant qu’infirmière.
L (esquissant un sourire) : c’est vrai ?
A (le visage durci) : oui, en réalité je soigne presque personne. Peu de monde passe par l’infirmerie. Ils n’ont pas le temps.
Lo (les larmes aux yeux) : c’est à se point.
A : si j’avais le choix je vous assure que je n’y mettrais pas les pieds. C’est pire que l’enfer. Personne ne peut imaginer ce qui peut se passer dans cet endroit. Et moins j’en vois et mieux je me porte. Je vous dirai comment il va, si je peux le savoir, mais je ne vous promets rien.
L : merci.
Elle s’en va aussi rapidement qu’elle est venue. Je suis estomaqué par les révélations qu’elle vient de nous faire. Cela confirme tout ce que j’avais put entendre. Et ce n’est pas pour me réconforter. Je sens que Linc est complètement désemparé par ce qu’Amaria vient de nous dire. Mais il faut faire davantage. Mais bien sûr. Je me surprends par mon intelligence parfois. Je tends une feuille de papier à Linc. Je sens ses yeux interrogateurs me fixer.
Lo : tu peux me faire une grue, s’il te plaît ?
L (excédé) : ce n’est pas le moment.
Lo (suplliante) : si. Lincoln.
L : bon, tiens, la voilà.
Et me voici en possession de cette grue en origami. Je tremble en la tenant dans mes mains. Tout le monde nous regarde perplexe par ce bout de papier. Mais comment leur expliquer. De toute façon ils ne comprendraient pas.
Lo : Amaria, s’il vous plaît. Vous pourriez juste la mettre en évidence sur votre bureau si vous voyez Mike !
A : ce bout de papier. Je…
Lo (les yeux rougis) : j’aimerai que vous lui donniez, mais je comprendrai que vous ne voulez pas prendre de risque. Faites juste en sorte qu’il voit cet origami. Je vous en supplie.
A : je verrai. A demain soir !
et vous aimez toujours
j'espère qu'elle vous plaira
que pensée de Lorène
Je reste perplexe sur la journée qui vient de se passer. Les fréquentations que pouvaient avoir Steve sont loin d’être des enfants de cœur. Et je ne sais pas pourquoi mais cette femme Chachou, je ne la sens pas. J’ai l’impression de retourner 10 ans en arrière quand je tremblais dès qu’une fille posée les yeux sur Mike. Et ben ! Je suis dans de beaux draps. Me voilà repartis, je déteste être jalouse ; En fait, je ne le suis pas, j’ai entièrement confiance en Steve. C’est juste dans les filles qui peuvent le croiser que je n’ai pas confiance ! ! Bon ! La nuance est nulle, faut que tu t’y fasses, tu es jalouse ma pauvre fille. Je me suis documenter à fond sur les lois de ce pays… mon dieu, je ne sais pas où je vais mais j’y fonce tête baissée…
L’ambassade est loin d’être coopérante. Mickaël Scofield peut bien finir ses jours à Sona, ils s’en foutent. Il est recherché aux USA et ici c’est un meurtrier donc hors de question de se salir les mains. Lincoln a bien vu mon air furax en rentrant à l’hôtel. Il sait très bien ce que cela veut dire. En résumé, il faut que j’innocente Mike à Chicago, puis j’aurai l’appui de l’ambassade. Et en même temps, pour que la procédure ne dure pas 10 ans, il faut que je remue la justice d’ici. J’hallucine devant l’ampleur de ce que je dois faire. Je me sens si découragé tout d’un coup. J’ai passé ma journée à tout retourné, à me prendre des portes dans la gueule. Steve est encore plus inquiet que moi. Je le sens angoissé. Il ne me dit rien, mais il craint vraiment que la compagnie soit ici, que l’on soit en danger !
Lo : Steve, Chachou, tu as confiance en elle ?
St : elle est complètement délurée mais elle est toujours du bon côté.
Lo (penaude) : je suis désolé pour tout à l’heure…
St (taquin) : j’adore te voir en pétard… tu es si sexy… que…
Je lui kidnappe ses lèvres sans plus attendre. Je sais que ces moments sont et seront de plus en plus rares. Je le sens s’allonger sur moi tel un félin. On ne contrôle plus rien, nos sens sont en éveils. Ils attendent la moindre caresse, le moindre baiser… je perds pieds, tellement je succombe à son charme. Le panama aurait dut être des vacances, nos premières ensemble. On aurait dut lézarder sur la plage, siroter des cocktails… non au lieu de ceci…
On défait notre étreinte au moment ou l’on attend Linc frapper à la porte. Je sens le désappointement chez Steve. Il est presque 19h. on doit se rendre chez son informatrice. Il n’a guère envie d’y aller et moi non plus. Mais je dois tout faire pour Mike et Sara.
Lo : oui, Linc on arrive !
St (dégouté) : tu es sûre de vouloir aller là-bas ?
Lo : tu n’iras pas sans moi !
St : ce n’est pas ce que je veux dire ! Je n’ai pas très envie de partir.
Lo : on reprendra ceci cette nuit !
St (s'affalant dans le lit) : ah tu me crèves le cœur ! !
Lo : arrêtes de faire le pitre !
St (la prenant dans ses bras) : Lorène. Je sais que pour toi c’est loin d’être facile. J’essaye juste de te faire rire un peu.
Lo : je sais. Je t’aime.
Nous rejoignons Lincoln qui fait déjà les cent pas dans le hall. On passe voir Chachou dans son appartement. Je suis surprise devant le standing de cet endroit. Pour l’instant je n’avais vu, que des immeubles insalubres, délabré… ici j’ai l’impression d’être à Chicago. Je ressens l’angoisse de Linc qui ne me desserre pas la main. Il est inquiet. Même s’il ne l’avoue pas, plus les heures passent et plus il se morfond. Cette jeune femme est surprenante. Elle nous accueille un verre de vin à la main. J’entends une grosse vois émaner de l’appartement. Je crains le pire. Mes yeux s’orientent automatiquement vers ceux de Steve. Il me regarde avec ces yeux si protecteurs, si calme. Je vois à cet instant la différence. Il n’est plus l’amant transits qui partagé ma chambre quelques minutes plutôt. Il est un espion, un agent qui se méfie de tout mais qui surtout essaye de maîtriser tous les imprévus.
C : ah vous voilà, on vous attend !
St : on ?
C (tapant sur l'épaule de Steve) : arrêtes de te biler, c’est Ron qui est là !
R : salut vieux… je n’avais rien dans le frigo, donc me voilà !
St : tu as bien fait. Chachou, tu en es ou ?
C (lui faisant les yeux doux) : du calme, tu ne veux pas un verre ?
R (hilare) : Chachou, tu es incorrigible. Tu ne vois pas que la demoiselle est avec lui !
C (haussant les épaules) : si on ne peut plus rigoler !
St : tu as quelques choses ou pas ?
Elle se fout de moi cette gonzesse. Ce n’est pas possible, elle n’arrête pas de lui tourner après, de minauder, de se trémousser… haï, Linc me serre tellement la main que j’ai failli la perdre. Non, mais quelle brute quand il veut ! Bon, la présence de Ron a l’air de calmer les ardeurs de cette fille. Je me demande bien ce qu’il a put lui trouver. Elle doit avoir des qualités, c’est bizarre je ne les vois pas là tout de suite. Steve me fusille du regard. Il doit bien se douter de ce que je pense, de la pression qui monte en moi chaque fois qu’elle se trouve à moins d’un mètre de toi. Ses yeux deviennent plus rieurs quand il voit mes sourcils se lever. Et oui je n’y peux rien, je suis ainsi, je ne partage pas !
C : bon, pour Scofield, je vous ai dit ce que j’en pense !
St (désemparé) : tu nous aides vachement là !
C : et Sara, j’ai peut être quelque chose. On l’aurait aperçu hier en ville. Elle aurait été suivie par des hommes.
L (en transe) : et ? C’est tout ?
C (ahurie) : oh ! Vous croyez quoi ? On va la trouver en 30 secondes.
St (sérieux) : vaudrait mieux. Il se peut que la Compagnie soit derrière tout ça !
R et C (ouvrant de grands yeux) : la Compagnie ?
R : tu ne pouvais pas le dire avant !
Lo : pourquoi, cela vous dérange de travailler contre eux ?
R (montrant Lorène du doigt) : c’est vous le procès, il y a deux jours à Chicago…oh purée !
C : quoi, tu parles de quoi ?
R : ils sont en train de faire tomber la Compagnie. C’est elle qui a innocenté Tancredi et Burrows. Je suppose que vous allez faire de même pour Scofield ?
Lo (détermibée) : oui.
C (sérieuse) : Bon. Alors on va mettre cartes sur tables. Moi je ne peux avoir aucune info sur Sona. Tous mes contacts sont bloqués. Ici Sona, personne n’ose même y penser !
R : moi, je vais vous présenter Amaria. Elle va là-bas demain. Elle doit venir ici dans une heure !
St : tu as confiance en elle ?
R : oui, elle est clean. Le seul problème c’est qu’elle risque de ne pas nous aider. Elle ne tournera pas autour du pot, s’il elle ne veut pas !
L (surpris) : pourquoi elle refusera ?
R : tout simplement car si on la découvre en train de discuter ou de donner un message à un détenu, elle perdra son boulot, sa vie…et elle risque d’être emprisonner. Et le pompom, si la Compagnie est derrière tout cela…
St : et toi Chachou ?
C : OK, si la Compagnie est derrière je comprends mieux. On la vu se faire embarquer par deux hommes assez louches. Je les connais. Ils doivent la planquer dans une cabane sur la plage à quelques km On ira en reconnaissance demain avec Ron.
St : je viens.
C (riant) : arrêtes, vaux mieux qu’ils ne te voient pas. Et qui les surveillera eux deux ?
Je sens tous les regards converger sur moi. Comme si à cet instant j’étais une gosse. Je déteste cette sensation de devoir dépendre de quelqu’un. C’est comme si je n’étais pas assez grande, pour me défendre toute seule. Quoique dans ce cas là je suis bien obligé de concédé que j’ai bel et bien besoin d’eux. Pourtant je déteste cette sensation de ne pas gérer la situation. J’ai l’impression de réagir comme Mike en pensant ceci. Et cela je le déteste encore plus. Je me suis toujours battu pour qu’il se laisse un peu plus porter par les choses, qu’il se laisse aider…
Ils élaborent des plans, passent en revue tous les contacts qu’ils peuvent avoir, ceux en qui on peut avoir confiance. J’hallucine sur la détermination de Steve, il est si posé, réfléchi. Je les écoute sans vraiment prendre part. Mon esprit est occupé à savoir dans quel été je vais pouvoir retrouver Mike et Sara. Cette angoisse n’arrive pas à disparaître. Elle m’oppresse depuis que je suis arrivé ici, dans ce pays. Amaria arrive enfin. J’ai hâte de savoir comment elle pourra nous aider, qui elle est ?
C’est une superbe métisse. Je suis subjugué par sa beauté. Elle dégage tellement de douceur. Je me demande ce qu’elle pourra faire pour nous.
R : à te voilà, Bonsoir. Viens que je te présente.
A : bonsoir.
R : bon, on aurait besoin de tes services. C’est tout simple.
A : si je peux. C’est quoi ?
L (vif) : c’est simple. Mon frère est à Sona. Il est innocent et on veut le sortir de là.
A (surprise) : vous plaisantez, j’espère. Non, je ne vous aiderai pas à le faire évader.
Lo : ce n’est pas ça….
A : non, et pourquoi je ferai une chose pareil ?
R (essayant de calmer le jeu) : il est innocent. C’est un coup monté. On veut juste que tu nous dises s’il va bien. C’est tout !
A : il s’appelle comment ?
R (triomphant) : Mickaël Scofield.
Lo : je peux vous poser une question ?
A : oui
Lo : pourquoi allez-vous à Sona ?
A : Ron ne vous a pas dit. Une fois par semaine, j’y vais en tant qu’infirmière.
L (esquissant un sourire) : c’est vrai ?
A (le visage durci) : oui, en réalité je soigne presque personne. Peu de monde passe par l’infirmerie. Ils n’ont pas le temps.
Lo (les larmes aux yeux) : c’est à se point.
A : si j’avais le choix je vous assure que je n’y mettrais pas les pieds. C’est pire que l’enfer. Personne ne peut imaginer ce qui peut se passer dans cet endroit. Et moins j’en vois et mieux je me porte. Je vous dirai comment il va, si je peux le savoir, mais je ne vous promets rien.
L : merci.
Elle s’en va aussi rapidement qu’elle est venue. Je suis estomaqué par les révélations qu’elle vient de nous faire. Cela confirme tout ce que j’avais put entendre. Et ce n’est pas pour me réconforter. Je sens que Linc est complètement désemparé par ce qu’Amaria vient de nous dire. Mais il faut faire davantage. Mais bien sûr. Je me surprends par mon intelligence parfois. Je tends une feuille de papier à Linc. Je sens ses yeux interrogateurs me fixer.
Lo : tu peux me faire une grue, s’il te plaît ?
L (excédé) : ce n’est pas le moment.
Lo (suplliante) : si. Lincoln.
L : bon, tiens, la voilà.
Et me voici en possession de cette grue en origami. Je tremble en la tenant dans mes mains. Tout le monde nous regarde perplexe par ce bout de papier. Mais comment leur expliquer. De toute façon ils ne comprendraient pas.
Lo : Amaria, s’il vous plaît. Vous pourriez juste la mettre en évidence sur votre bureau si vous voyez Mike !
A : ce bout de papier. Je…
Lo (les yeux rougis) : j’aimerai que vous lui donniez, mais je comprendrai que vous ne voulez pas prendre de risque. Faites juste en sorte qu’il voit cet origami. Je vous en supplie.
A : je verrai. A demain soir !
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
of course qu'on aime toujours
vivement une suite
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lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA MOI J'ADORE C'EST BON T'ES PLUS UNE RADINEUZ DE SUITE
et cette Amaria qui est infirmiere a Sona j'espere qu'elle n'aura pas de probleme avec la grue en origamie et que Michael la verra trop bien ta suite
et cette Amaria qui est infirmiere a Sona j'espere qu'elle n'aura pas de probleme avec la grue en origamie et que Michael la verra trop bien ta suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
On ne peux que AIMER ta fic tellement elle est geniale tout comme cette suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Impatiente de lire la prochaine!!!!!!!!!!!!!!!
Impatiente de lire la prochaine!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon je sais elle n'est pas très longue mais il y en aura d'autres dans la journée...
que pensée de Mike
J’avance sans une once de doute, de peur tel un zombie. Je sens que je deviens au fur et à mesure l’ombre de moi-même. Que rien ne pourra me faire sortir d’ici. Tout ce que je souhaite c’est que l’on m’abandonne à mon sort. Que ma pénitence soit aussi longue et dure que le mal que j’ai put faire. Trois jours que je suis ici et je commence à prendre mes marques. J’enchaîne les combats, les luttes pour pouvoir survivre, pour ne pas me faire bouffer. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir. J’ai presque envie parfois de me laisser faire, de me laisser aller. Mais je sais qu’ils feront tout pour que je reste en vie le plus longtemps possible afin de les assouvir au mieux. Donc il faut que je me batte, que je reste la tête haute. Hier soir, j’ai failli y rester. Je sens que mon genou va exploser tellement il me fait mal. Si ce n’était que cela. J’ai entendu dire qu’aujourd’hui je pourrais me faire soigner. Ce n’est pas que j’aie vraiment envie mais s’il faut que je résiste autant mettre tous les atouts de mon côté. Ah ! Ça doit être là. Je vois deux cadavres sur des brancards, je suppose que dois être arrivé. Tout d’un coup je me demande si le médecin ou l’infirmier à déjà vu un patient en vie ici. Bon de toute façon, qu’est-ce que cela changerai.
A (étonné) : oui, vous voulez être ausculté ?
M : s’il vous plaît !
A : Asseyez-vous sur la table. Bon, il me faut votre nom et prénom.
M : Scofield Mickaël.
A (hésitante) : ah ! Vous avez mal où ?
M : surtout le genou, et …
A : je vais voir vos côtes et désinfecté votre visage. Tenez mettez ceci sur vos yeux ! Lui tendant une poche de glace. Ils dégonfleront !
M : merci. Ce n’est pas très grave.
A : vous n’avez pas vu votre visage. Je sais ce qui se passe ici et si vous voulez tenir encore quelques jours laissez-vous faire. Je vais vous soigner du mieux que je peux.
M : d’accord.
Je la vois en train de bricoler sur ce la planche de bois qui lui sert de bureau. Elle s’affaire dans tous les sens pour trouver de quoi me soigner. Je ne pensais pas voir une femme et encore moins si jeune dans un tel endroit. Elle me rappelle Sara, au mon dieu. Je ne dois pas y penser. Elle est libre, il faut qu’elle refasse sa vie, qu’elle m’oublie. Je me tourne, un miroir. Je suis sidéré par l’état de mon visage. Je ne m’étais pas vu encore. Je ne me reconnais à peine. De toute façon, ici je ne suis plus le même homme qu’avant, je ne suis même plus un homme.
A : bon, faites voir ceci. Bon votre nez n’est pas cassé. C’est un bon début. Voilà, votre visage est mieux. Bon il y a quelques plaies superficielles et des bleus mais rien de bien méchant.
M (résigné) : si vous le dites.
Je me sens serein dans cette pièce. Pour une fois je ne me sens pas en danger, je n’ai pas besoin de surveiller mes arrières. Je me sens apaisé, bien. Mon regard est attiré par cette grue posé sur son bureau. Cela ne peut pas être possible. Elle connaît juste le pliage, Mickaël, arrêtes cela n’est pas possible. Je sens mes yeux s’embuer à la pensée que quelqu’un est put faire cet origami, pour moi, pour me passer n message. Mais comment cela pourrait être possible, ils ne peuvent pas savoir où je suis, connaître cette femme.
A : soulever votre t-shirt, faut que je voie ces côtes. Mickaël ?
M (sortant de se pensées) : désolé.
Je la vois se lever et partir droit sur cette grue. Je sens que je vais tomber. Elle me la tend. J’ai du mal à soutenir son regard. Mais tellement de questions se bousculent.
A (lui tendant la grue) : tenez c’est pour vous.
M : comment ?
A (insistante) : prenez ce bout de papier.
M (tremblant) : merci.
Je la laisse m’ausculter. Je suis dans un état second. Ils sont là, Linc, Sara, je ne sais pas lequel mais ils sont là… je reconnais bien le pliage de Linc, c’est lui… j’ose à peine la toucher. Mes mains moites ont du mal à l’ouvrir. J’essaie de voir s’il y a un message, mais rien. Ils voulaient me dire qu’ils savaient où j’étais, qu’ils me sortiraient de là… elle me remet la rotule en place. Elle me prévient que je vais boiter un peu, mais que tout va rentrer dans l’ordre. Je l’entends vaguement. Je sais que je dois partir. Sortir de cette bulle. Je lui tends l’origami, les larmes aux yeux.
A (effarée) : ils sont là, Mickaël !
M (déchirant la grue) : je suis mort.
A : vous ne pouvez pas…
M (fataliste) : vous le savez tout n’est qu’une question de temps. Merci pour les soins.
A (compatissante) : je suis là tous les mercredis. Venez !
M (esquissant un sourire) : on est mercredi ? Ah !
Je retourne dans cette fosse aux lions. Je ressens tous ces regards se poser sur moi. Je m’avance vers le seul allié que je puisse avoir. Qu’elle ironie du sort ! Lui qui était mon plus grand ennemi et devenu mon ombre, mon double.
Mahone : alors l’infirmerie ?
M : pas moyen de sortir. Tout est bloqué.
Mahone : bon, le doc vient souvent ?
M : elle vient une fois par semaine.
Mahone : une nana… t’as de la chance… bon, ce n’est pas gagné.
M : au fait tu savais qu’on était mercredi !
Mahone : ah ! Non et si tu ne veux pas devenir cinglé, vaux mieux ne pas compter
que pensée de Mike
J’avance sans une once de doute, de peur tel un zombie. Je sens que je deviens au fur et à mesure l’ombre de moi-même. Que rien ne pourra me faire sortir d’ici. Tout ce que je souhaite c’est que l’on m’abandonne à mon sort. Que ma pénitence soit aussi longue et dure que le mal que j’ai put faire. Trois jours que je suis ici et je commence à prendre mes marques. J’enchaîne les combats, les luttes pour pouvoir survivre, pour ne pas me faire bouffer. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir. J’ai presque envie parfois de me laisser faire, de me laisser aller. Mais je sais qu’ils feront tout pour que je reste en vie le plus longtemps possible afin de les assouvir au mieux. Donc il faut que je me batte, que je reste la tête haute. Hier soir, j’ai failli y rester. Je sens que mon genou va exploser tellement il me fait mal. Si ce n’était que cela. J’ai entendu dire qu’aujourd’hui je pourrais me faire soigner. Ce n’est pas que j’aie vraiment envie mais s’il faut que je résiste autant mettre tous les atouts de mon côté. Ah ! Ça doit être là. Je vois deux cadavres sur des brancards, je suppose que dois être arrivé. Tout d’un coup je me demande si le médecin ou l’infirmier à déjà vu un patient en vie ici. Bon de toute façon, qu’est-ce que cela changerai.
A (étonné) : oui, vous voulez être ausculté ?
M : s’il vous plaît !
A : Asseyez-vous sur la table. Bon, il me faut votre nom et prénom.
M : Scofield Mickaël.
A (hésitante) : ah ! Vous avez mal où ?
M : surtout le genou, et …
A : je vais voir vos côtes et désinfecté votre visage. Tenez mettez ceci sur vos yeux ! Lui tendant une poche de glace. Ils dégonfleront !
M : merci. Ce n’est pas très grave.
A : vous n’avez pas vu votre visage. Je sais ce qui se passe ici et si vous voulez tenir encore quelques jours laissez-vous faire. Je vais vous soigner du mieux que je peux.
M : d’accord.
Je la vois en train de bricoler sur ce la planche de bois qui lui sert de bureau. Elle s’affaire dans tous les sens pour trouver de quoi me soigner. Je ne pensais pas voir une femme et encore moins si jeune dans un tel endroit. Elle me rappelle Sara, au mon dieu. Je ne dois pas y penser. Elle est libre, il faut qu’elle refasse sa vie, qu’elle m’oublie. Je me tourne, un miroir. Je suis sidéré par l’état de mon visage. Je ne m’étais pas vu encore. Je ne me reconnais à peine. De toute façon, ici je ne suis plus le même homme qu’avant, je ne suis même plus un homme.
A : bon, faites voir ceci. Bon votre nez n’est pas cassé. C’est un bon début. Voilà, votre visage est mieux. Bon il y a quelques plaies superficielles et des bleus mais rien de bien méchant.
M (résigné) : si vous le dites.
Je me sens serein dans cette pièce. Pour une fois je ne me sens pas en danger, je n’ai pas besoin de surveiller mes arrières. Je me sens apaisé, bien. Mon regard est attiré par cette grue posé sur son bureau. Cela ne peut pas être possible. Elle connaît juste le pliage, Mickaël, arrêtes cela n’est pas possible. Je sens mes yeux s’embuer à la pensée que quelqu’un est put faire cet origami, pour moi, pour me passer n message. Mais comment cela pourrait être possible, ils ne peuvent pas savoir où je suis, connaître cette femme.
A : soulever votre t-shirt, faut que je voie ces côtes. Mickaël ?
M (sortant de se pensées) : désolé.
Je la vois se lever et partir droit sur cette grue. Je sens que je vais tomber. Elle me la tend. J’ai du mal à soutenir son regard. Mais tellement de questions se bousculent.
A (lui tendant la grue) : tenez c’est pour vous.
M : comment ?
A (insistante) : prenez ce bout de papier.
M (tremblant) : merci.
Je la laisse m’ausculter. Je suis dans un état second. Ils sont là, Linc, Sara, je ne sais pas lequel mais ils sont là… je reconnais bien le pliage de Linc, c’est lui… j’ose à peine la toucher. Mes mains moites ont du mal à l’ouvrir. J’essaie de voir s’il y a un message, mais rien. Ils voulaient me dire qu’ils savaient où j’étais, qu’ils me sortiraient de là… elle me remet la rotule en place. Elle me prévient que je vais boiter un peu, mais que tout va rentrer dans l’ordre. Je l’entends vaguement. Je sais que je dois partir. Sortir de cette bulle. Je lui tends l’origami, les larmes aux yeux.
A (effarée) : ils sont là, Mickaël !
M (déchirant la grue) : je suis mort.
A : vous ne pouvez pas…
M (fataliste) : vous le savez tout n’est qu’une question de temps. Merci pour les soins.
A (compatissante) : je suis là tous les mercredis. Venez !
M (esquissant un sourire) : on est mercredi ? Ah !
Je retourne dans cette fosse aux lions. Je ressens tous ces regards se poser sur moi. Je m’avance vers le seul allié que je puisse avoir. Qu’elle ironie du sort ! Lui qui était mon plus grand ennemi et devenu mon ombre, mon double.
Mahone : alors l’infirmerie ?
M : pas moyen de sortir. Tout est bloqué.
Mahone : bon, le doc vient souvent ?
M : elle vient une fois par semaine.
Mahone : une nana… t’as de la chance… bon, ce n’est pas gagné.
M : au fait tu savais qu’on était mercredi !
Mahone : ah ! Non et si tu ne veux pas devenir cinglé, vaux mieux ne pas compter
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
pauvre michael... tu nous la amoché...
je veux une suite!! vite vite la suite!! tu peux nous en mettre une autre aujourd'hui??SVP!!!!!
la suite!!!!!!!!!!!!!!!!
je veux une suite!! vite vite la suite!! tu peux nous en mettre une autre aujourd'hui??SVP!!!!!
la suite!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Il me fais de la peine le petit Mick!!!! En plus ils se fait frapper le pauvre!!!!!
Faut vite qu'il trouve un plan et qu'il sorte pour retrouver Sara!!!!!
Faut vite qu'il trouve un plan et qu'il sorte pour retrouver Sara!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
pauvre Michael
vite une suite
vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Baaaaaaaa je viens de ratraper mon retard sur ta saison 3 !!! MAIS QUEST CE QUE TU A FAIS TA FAIS BOBO A MIKE BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA MECHANTE
JADORE AMARIA DEJA ON SE DEMANDE POURQUOI
vivement la suiiite jadoore ta saison 3!!!!!!
JADORE AMARIA DEJA ON SE DEMANDE POURQUOI
vivement la suiiite jadoore ta saison 3!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Date d'inscription : 01/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
allez bonne lecture :
pensée de Lorène
Tard le soir devant l’hôtel :
A : ah ! Steve, je suis contente de vous voir.
St : Amaria, que faites-vous ici ?
A : il est venu se faire soigner.
St : il va bien.
A : autant qu’il peut l’être dans cet endroit.
St : venez Lorène et Lincoln sont à l’intérieur.
A : non. Je lui ai donné votre cygne en papier. Et je ne sais comment vous le dire…
St : il a abandonné, c’est ça ?
A : oui, tenez. Tendant la grue déchirée.
St : merci.
A : j’y vais tous les mercredis. Je ferais de mon mieux. Vous aviez raison, il n’a rien à faire là-bas, cela se voit.
St : merci pour tout.
Je vois Steve rentrer dans la chambre. Je vois que quelque chose le perturbe. Je distingue dans ses mains l’origami. Il la déchiré, Mike l’a déchiré, pourquoi ? Je m’effondre sur ma pile de documents. Je ne sais pas quoi faire. Si lui renonce, s’il ne veut pas s’en sortir, comment pourra-t-on faire ? Je passe ma nuit à pleurer dans les bras de Steve. J’entends de ma chambre les pleurs et les cris de désespoirs de Linc. Jamais je ne l’avais autant en colère, aussi frustré.
Quelques jours plus tard :
Steve, Chachou et Ron sont enfin aller chercher Sara. Je ne sais pas comment il a réussi, mais il est allé avec eux. Je crois qu’il a marqué un point quand il leur a dit que Sara le reconnaîtrai, qu’elle le suivra. Linc et moi analysons les plans de Sona que Jane nous a envoyée. On a beau se creuser la tête. Aucune issue. Contrairement à Fox river, pas de cour, aucun accès vers l’extérieur. Les murs sont tellement hauts, qu’il est impensable de les franchir. Juste les plans me glace le sang. Le savoir là-bas me terrifie. J’essaye de ne pas montrer ma peur à Linc mais je sais très bien qu’il n’est pas dupe. J’ai l’impression que ce sentiment ne me quitte plus depuis que je suis ici. J’ai peur pour Mike, pour Sara, pour Steve en ce moment, pour moi parfois…
Les heures passent sans que l’on trouve de solutions j’ai hâte que les autres reviennent. Je commence presque à bien m’entendre avec Chachou, elle est rigolote. Je sais maintenant qu’elle ne faisait que plaisanter même si je sais pertinemment que si Steve n’était pas avec moi, elle essayerai… ce qui me semble normal. J’entends un bruit monstre dans le couloir. Pourvu que se soit eux. Je vois Chachou et Ron rentrés un large sourire sur les lèvres. Puis je, le vois enfin, Steve. Pendant un quart de seconde j’ai eut un frisson d’angoisse. Il porte Sara sur son dos. Elle lève légèrement la tête.
Lo : vite rentrez ! Sara, vous m’entendez !
S : oui, tout va bien !
St : elle est déshydrater, mais elle va bien.
Ch : tenez buvez, vous devriez aller mieux.
S : merci. Mickaël, où est-il ?
Lo : Sara. Il n’est pas là. Vous ne vous souvenez pas ?
S : vaguement. Il a été arrêté et… je ne sais pas !
L (froid) : il est en prison !
S : non…il n’a rien fait.
L : vous pouvez nous laisser seul.
Lo : Linc, je… fuyant le regard froid de Lincoln. Bon d’accord. On va dans ma chambre.
S (inquiète) : que se passe-t-il ? Lincoln ?
L (furieux) : mon frère est en prison à cause de vous ! Il est innocent et il est là-bas !
S : on va le sortir de là, je…
L : non Sara, il va y mourir, si ce n’est pas déjà le cas. Mickaël est en enfer à cause de vous. Vous ne comprenez donc rien, il s’est sacrifié pour vous et vous êtes là… à pleurnicher ! !
S (sanglotant) : quoi, vous auriez préférer que je le laisse vous tuer ?
L : pourquoi pas, si Mike était dehors !
S (en rogne) : Vous êtes stupide Lincoln, il nous aurait tous tuer, tout comme il a voulu tuer Lorène !
L : quoi ?
S : l’homme que j’ai tuer est celui qui à kidnapper Lorène, celui qui lui a fait perdre son enfant, qui l’a torturée !
L (effondré) : non, ce n’est pas possible, Sara !
S : je suis désolé Lincoln. Je n’ai jamais voulu que Mickaël se livre à la police.
L : vous auriez du le dissuader…
S : j’ai essayer, mais il a avouer tout de suite, il m’a pris en otage… ils ont cru ce qu’ils ont vu !
L : et si je vous dis qu’on a voulu l’envoyer là-bas, dans cette prison ?
S : ce…Lincoln, je m’en veux tellement.. Je ne sais pas quoi faire, il me manque tellement.
L : je n’aurais pas du m’emporter… c’est une vraie tête de mule !
J’entre sans frapper, cela fait plus de dix minutes qu’ils hurlent tous les deux. Je n’aime pas que Linc s’en prenne à Sara, elle n’y est pour rien. Je suis stupéfaite par ce que je vois. Sara et Linc sont dans les bras l’un de l’autre en larmes.
L : entre.
Lo : non, je ne veux pas vous déranger.
S : s’il te plaît
Lo : ça va ? J’ai entendu crier ?
L : c’est vrai ce que Sara m’a dit ? L’homme qu’elle a tué ?
Lo : quoi, je devrais avoir le police ce soir, on n'a toujours pas de corps ! Pourquoi ?
S : c’était un asiatique !
Lo (s’écroulant sur le lit) : Kim ?
L : oh ! Merde, tu veux dire que….
S : je crois que c’est clair.
St : eh ! Qu’est-ce qui se passe ici ?
Je me précipite dans ses bras. Comment cela est-il possible ? . Cet homme était ce fumier, de salopard… je m’effondre littéralement dans ses bras. J’entends à peine les mots de Linc qui lui explique la situation, les jurons qui peuvent sortir de la bouche de Steve. Le sol se dérobe sous mes pieds. La compagnie est derrière cette histoire j’en suis sûre, comme jamais auparavant. Je me sens porté dans les bras de Steve. Il me porte jusque dans ma chambre. Je passe la nuit dans ses bras, à pleurer, je ne sais pas pourquoi, mais je n’arrive plus à me contrôler.
Cela fait plus de quinze jours maintenant que l’on est arrivé au Panama. Je suis décontenancé par la lenteur de l’administration. Cela fait autant de temps que je fais pression à l’ambassade pour voir Mike, en tant qu’avocat. Et voilà, ce jour est enfin arrivé. J’ai une peur immense qui surgit en moi. Depuis ce matin, je n’arrête pas de me ronger les ongles, de vomir… j’ai l’impression que je vais exploser tellement je stresse. Ce qui me ronge le plus est aussi dans le fait que je prive Linc et Sara de le voir. Je m’en veux tellement. Même si je sais que pour eux le principal c’est que quelqu’un le voit, lui parle… je n’arrive pas à me faire à ceci. Que je suis privilégié, dans un sens car l’endroit me fait froid dans le dos. On s’est mis d’accord sur le fait que Steve me conduirait à Sona. Il ne veut pas me lâcher d’une seconde. Sara et Linc reste à l’hôtel.
J’avance d’un pas décidé vers le gardien qui doit m’attendre.
Gardien : Melle Mossé
Lo : oui, je viens voir...
Gardien : oui, suivez-moi, mademoiselle.
Lo : d’accord.
Juste le bâtiment me fait peur. On dirait un asile plus qu’une prison. Les portes sont énormes. Je suis surprise. Il passe par une petite porte dérobée sur le côté. Je le suis sans vraiment discuter. J’ai l’impression que les visiteurs ne sont pas les biens venus ici et encore moins les Américains. Une odeur forte me prend le nez. Un haut le cœur, je mets ma main devant mon nez pour essayer de filtrer cette odeur nauséabonde. J’ai l’impression que je vais vomir. J’entrevois ce qui doit être la prison par de petites fenêtres le long du mur. Je suis sous le choc de ce que je vois. Rien de ce que j’avais entendu ou lu ne pouvait me préparer à ceci. Seule la loi du plus fort règne, seule la loi du talion domine… je me sens presque mal, mais vaut mieux pour moi, que j’avance car le gardien ne m’attendra pas lui ! Il me fait descendre des escaliers. J’ai l’impression d’être dans des sous-sols. Si l’ambassade n’était pas au courant de ma venue ici, j’aurais déjà fais demi-tour, de peur que l’on me tue. Cet endroit n’inspire que la haine et la peur, que la souffrance et la douleur. Tout y est si sale, glauque…Gardien : entrez dans la pièce, il ne va pas tarder.
Lo : merci. Vous rester dans le couloir.
Gardien : non pourquoi ?
Lo : pour rien. Désolé.
Cette pièce est encore plus lugubre. J’ai l’impression d’être dans une cave. Aucune fenêtre, pas de lumière. J’essaye avec un briquet de voir s’il y a de le la lumière, pas d’interrupteur… je me sens vraiment mal. J’entends des bruits de pas venir, ils se font de plus en plus près.
pensée de Lorène
Tard le soir devant l’hôtel :
A : ah ! Steve, je suis contente de vous voir.
St : Amaria, que faites-vous ici ?
A : il est venu se faire soigner.
St : il va bien.
A : autant qu’il peut l’être dans cet endroit.
St : venez Lorène et Lincoln sont à l’intérieur.
A : non. Je lui ai donné votre cygne en papier. Et je ne sais comment vous le dire…
St : il a abandonné, c’est ça ?
A : oui, tenez. Tendant la grue déchirée.
St : merci.
A : j’y vais tous les mercredis. Je ferais de mon mieux. Vous aviez raison, il n’a rien à faire là-bas, cela se voit.
St : merci pour tout.
Je vois Steve rentrer dans la chambre. Je vois que quelque chose le perturbe. Je distingue dans ses mains l’origami. Il la déchiré, Mike l’a déchiré, pourquoi ? Je m’effondre sur ma pile de documents. Je ne sais pas quoi faire. Si lui renonce, s’il ne veut pas s’en sortir, comment pourra-t-on faire ? Je passe ma nuit à pleurer dans les bras de Steve. J’entends de ma chambre les pleurs et les cris de désespoirs de Linc. Jamais je ne l’avais autant en colère, aussi frustré.
Quelques jours plus tard :
Steve, Chachou et Ron sont enfin aller chercher Sara. Je ne sais pas comment il a réussi, mais il est allé avec eux. Je crois qu’il a marqué un point quand il leur a dit que Sara le reconnaîtrai, qu’elle le suivra. Linc et moi analysons les plans de Sona que Jane nous a envoyée. On a beau se creuser la tête. Aucune issue. Contrairement à Fox river, pas de cour, aucun accès vers l’extérieur. Les murs sont tellement hauts, qu’il est impensable de les franchir. Juste les plans me glace le sang. Le savoir là-bas me terrifie. J’essaye de ne pas montrer ma peur à Linc mais je sais très bien qu’il n’est pas dupe. J’ai l’impression que ce sentiment ne me quitte plus depuis que je suis ici. J’ai peur pour Mike, pour Sara, pour Steve en ce moment, pour moi parfois…
Les heures passent sans que l’on trouve de solutions j’ai hâte que les autres reviennent. Je commence presque à bien m’entendre avec Chachou, elle est rigolote. Je sais maintenant qu’elle ne faisait que plaisanter même si je sais pertinemment que si Steve n’était pas avec moi, elle essayerai… ce qui me semble normal. J’entends un bruit monstre dans le couloir. Pourvu que se soit eux. Je vois Chachou et Ron rentrés un large sourire sur les lèvres. Puis je, le vois enfin, Steve. Pendant un quart de seconde j’ai eut un frisson d’angoisse. Il porte Sara sur son dos. Elle lève légèrement la tête.
Lo : vite rentrez ! Sara, vous m’entendez !
S : oui, tout va bien !
St : elle est déshydrater, mais elle va bien.
Ch : tenez buvez, vous devriez aller mieux.
S : merci. Mickaël, où est-il ?
Lo : Sara. Il n’est pas là. Vous ne vous souvenez pas ?
S : vaguement. Il a été arrêté et… je ne sais pas !
L (froid) : il est en prison !
S : non…il n’a rien fait.
L : vous pouvez nous laisser seul.
Lo : Linc, je… fuyant le regard froid de Lincoln. Bon d’accord. On va dans ma chambre.
S (inquiète) : que se passe-t-il ? Lincoln ?
L (furieux) : mon frère est en prison à cause de vous ! Il est innocent et il est là-bas !
S : on va le sortir de là, je…
L : non Sara, il va y mourir, si ce n’est pas déjà le cas. Mickaël est en enfer à cause de vous. Vous ne comprenez donc rien, il s’est sacrifié pour vous et vous êtes là… à pleurnicher ! !
S (sanglotant) : quoi, vous auriez préférer que je le laisse vous tuer ?
L : pourquoi pas, si Mike était dehors !
S (en rogne) : Vous êtes stupide Lincoln, il nous aurait tous tuer, tout comme il a voulu tuer Lorène !
L : quoi ?
S : l’homme que j’ai tuer est celui qui à kidnapper Lorène, celui qui lui a fait perdre son enfant, qui l’a torturée !
L (effondré) : non, ce n’est pas possible, Sara !
S : je suis désolé Lincoln. Je n’ai jamais voulu que Mickaël se livre à la police.
L : vous auriez du le dissuader…
S : j’ai essayer, mais il a avouer tout de suite, il m’a pris en otage… ils ont cru ce qu’ils ont vu !
L : et si je vous dis qu’on a voulu l’envoyer là-bas, dans cette prison ?
S : ce…Lincoln, je m’en veux tellement.. Je ne sais pas quoi faire, il me manque tellement.
L : je n’aurais pas du m’emporter… c’est une vraie tête de mule !
J’entre sans frapper, cela fait plus de dix minutes qu’ils hurlent tous les deux. Je n’aime pas que Linc s’en prenne à Sara, elle n’y est pour rien. Je suis stupéfaite par ce que je vois. Sara et Linc sont dans les bras l’un de l’autre en larmes.
L : entre.
Lo : non, je ne veux pas vous déranger.
S : s’il te plaît
Lo : ça va ? J’ai entendu crier ?
L : c’est vrai ce que Sara m’a dit ? L’homme qu’elle a tué ?
Lo : quoi, je devrais avoir le police ce soir, on n'a toujours pas de corps ! Pourquoi ?
S : c’était un asiatique !
Lo (s’écroulant sur le lit) : Kim ?
L : oh ! Merde, tu veux dire que….
S : je crois que c’est clair.
St : eh ! Qu’est-ce qui se passe ici ?
Je me précipite dans ses bras. Comment cela est-il possible ? . Cet homme était ce fumier, de salopard… je m’effondre littéralement dans ses bras. J’entends à peine les mots de Linc qui lui explique la situation, les jurons qui peuvent sortir de la bouche de Steve. Le sol se dérobe sous mes pieds. La compagnie est derrière cette histoire j’en suis sûre, comme jamais auparavant. Je me sens porté dans les bras de Steve. Il me porte jusque dans ma chambre. Je passe la nuit dans ses bras, à pleurer, je ne sais pas pourquoi, mais je n’arrive plus à me contrôler.
Cela fait plus de quinze jours maintenant que l’on est arrivé au Panama. Je suis décontenancé par la lenteur de l’administration. Cela fait autant de temps que je fais pression à l’ambassade pour voir Mike, en tant qu’avocat. Et voilà, ce jour est enfin arrivé. J’ai une peur immense qui surgit en moi. Depuis ce matin, je n’arrête pas de me ronger les ongles, de vomir… j’ai l’impression que je vais exploser tellement je stresse. Ce qui me ronge le plus est aussi dans le fait que je prive Linc et Sara de le voir. Je m’en veux tellement. Même si je sais que pour eux le principal c’est que quelqu’un le voit, lui parle… je n’arrive pas à me faire à ceci. Que je suis privilégié, dans un sens car l’endroit me fait froid dans le dos. On s’est mis d’accord sur le fait que Steve me conduirait à Sona. Il ne veut pas me lâcher d’une seconde. Sara et Linc reste à l’hôtel.
J’avance d’un pas décidé vers le gardien qui doit m’attendre.
Gardien : Melle Mossé
Lo : oui, je viens voir...
Gardien : oui, suivez-moi, mademoiselle.
Lo : d’accord.
Juste le bâtiment me fait peur. On dirait un asile plus qu’une prison. Les portes sont énormes. Je suis surprise. Il passe par une petite porte dérobée sur le côté. Je le suis sans vraiment discuter. J’ai l’impression que les visiteurs ne sont pas les biens venus ici et encore moins les Américains. Une odeur forte me prend le nez. Un haut le cœur, je mets ma main devant mon nez pour essayer de filtrer cette odeur nauséabonde. J’ai l’impression que je vais vomir. J’entrevois ce qui doit être la prison par de petites fenêtres le long du mur. Je suis sous le choc de ce que je vois. Rien de ce que j’avais entendu ou lu ne pouvait me préparer à ceci. Seule la loi du plus fort règne, seule la loi du talion domine… je me sens presque mal, mais vaut mieux pour moi, que j’avance car le gardien ne m’attendra pas lui ! Il me fait descendre des escaliers. J’ai l’impression d’être dans des sous-sols. Si l’ambassade n’était pas au courant de ma venue ici, j’aurais déjà fais demi-tour, de peur que l’on me tue. Cet endroit n’inspire que la haine et la peur, que la souffrance et la douleur. Tout y est si sale, glauque…Gardien : entrez dans la pièce, il ne va pas tarder.
Lo : merci. Vous rester dans le couloir.
Gardien : non pourquoi ?
Lo : pour rien. Désolé.
Cette pièce est encore plus lugubre. J’ai l’impression d’être dans une cave. Aucune fenêtre, pas de lumière. J’essaye avec un briquet de voir s’il y a de le la lumière, pas d’interrupteur… je me sens vraiment mal. J’entends des bruits de pas venir, ils se font de plus en plus près.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
sadique sadique sadique!!! vite la suite stp!!!!!! tu peux pas nous laisser comme ça!!!!vite vite vite pitiééééééééééééé
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
stp encore une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Geniale ta suite!!!!
Mais il faut vite que tu nous en mette une autre!!!!!!!!!!!!!
Mais il faut vite que tu nous en mette une autre!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
nestella a écrit:Geniale ta suite!!!!
Mais il faut vite que tu nous en mette une autre!!!!!!!!!!!!!
aouais a donf la il me faut ma dose de ta saison trois please!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Date d'inscription : 01/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ba bordel de sex alors c'est quoi cette prison?? un bagne... J'ai vraiment de la peine pour Michael, et Lincoln espece de *** il ose accusé Sara, heureusement qu'il s'est excusé sin vite met la suite je veux voir Lorene parlé a Mike
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique suite , j ' en avais loupé pas mal dit donc !!!
je veux savoir comment va se passer l ' entretient entre lorene et michael
la suite !!! je la demande en urgence !!!
met la vite !!!
je veux savoir comment va se passer l ' entretient entre lorene et michael
la suite !!! je la demande en urgence !!!
met la vite !!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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