les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
on veut une suite c'est long je suis en manque quand es que tu nous met la suite.
Sara59- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3949
Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Je susi d'accord avec vous UNE SUITE STP!!!!!!!!!!!
ON EST EN MANQUE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ON EST EN MANQUE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
La Suite !!!! La suite !!
il faut monopoliser le plus de monde pour réclamer la suite à Enneade !!
il faut monopoliser le plus de monde pour réclamer la suite à Enneade !!
micko- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1073
Localisation : dans la loge de Mr Miller
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oh lala mais vous êtes bien pressé!!!
Micko on s'est croisé...
bon d'accord j'avais dis hier!! mais elle ne m'allait pas donc j'ai recommencé
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara : rose
http://www.radioblogclub.fr/open/26051/samson/09%20-%20Regina%20Spektor%20-%20Samson laisser la suite si vous voulez
CHAP 62 :
Comme tous les soirs depuis une semaine je dîne avec Mickaël. On essaye de se découvrir en douceur et en se maîtrisant. Ce qui n’est pas toujours facile. Je suis arrivé en retard du dispensaire et je dois faire vite pour me préparer. Car une des qualités de Mickaël est bien la ponctualité. Comme tous les soirs j’essaye de m’habiller un peu classe mais pas trop aguichante, une petite robe blanche qui mettra en valeur mes taches de rousseurs qui ressortent. Un brin de maquillage, une pince dans mes cheveux pour ne pas les avoir dans le visage et voilà ! Il est là, ponctuel est terriblement séduisant. Un pantalon un peu en lin, une chemise bleuté… il est si beau, comme la première fois que je l’ai vu. Contrairement à d’habitude c’est moi qui décide de l’endroit. Un petit restaurant sur la plage. L’endroit est idyllique. Les odeurs des cocotiers, des plantations de bananes au loin sont enivrantes. Il est là toujours attentionné, galant. Je sais qu’il prend un malin plaisir à me courtiser ainsi et j’avoue que cela est flatteur. L’un en face de l’autre, il commande une bière comme apéritif et je décide de ne pas me laisser tenter d'avantages par les vapeurs d’alcool et commande un cocktail de fruits sans alcool. Il me regarde comme amusé par la discipline dont je fais preuve. J’ai payé bien trop chère mes erreurs et ne compte pas un jour retomber à nouveau dans cette spirale.
Je l’observe et je sais que l’on devrait arrêter de parler des futilités habituelles. Nos mains se joignent et je sais pertinemment qu’il est temps d’être sérieux, de jouer cartes sur tables, de nous mettre à nu, de nouveaux, comme il y a deux ans chez Lorène. Seulement je ne m’en sens pas le courage, pas la volonté… je dois être lâche car je sais que si je continue ainsi tout sera simple, on vivra ensemble. Mais il y a tellement de fantômes, d’ombres entre nous… je ne peux pas les surmonter seules. Il me parle de sa journée de travail et je l’écoute à peine. Je ne peux détacher mes yeux de cette bimbo accoudée au bar qui le déshabille sur place. Je sens en moi un regain de violence monter et que je ne peux maîtriser. Il arrête sa phrase en plein milieu et tourne la tête dans la direction de mon regard. Il baisse le regard, je le sens tendu et nerveux alors que je fulmine sur place !
M (baissant le regard) : tu veux qu’on aille ailleurs ?
S (calme) : qui est-ce ?
M : une fille !
S (taquine) : une que tu as mis dans ton lit ?
M (confus) : Sara, je ne savais pas vraiment ou j’en étais !
S (pleine d’espièglerie) : ce n’est pas un reproche, juste une question !
M (gêné) : oui.
S (la dévisageant) : je ne pensais pas que ce type de fille pourrait t’intéresser.
M : c’est parce qu’elle ne te ressemble pas !
S (resserrant sa main dans la sienne) : Mickaël, je ne t’en veux pas de ce que tu as fait. Même si j’ai du mal à l’accepter. cela m’a fait du mal mais je crois que je l’avais mérité.
M : non, ne dis pas cela. Tu ne mérites pas de souffrir.
S (ébettée) : tu ne l’as pas fait par vengeance, alors pourquoi ?
M (plongeant son regard dans le sien) : par désespoir.
Je me retrouve bête devant sa réponse si franche. Son regard est si profond, sa main fond dans la mienne. J’ai comme envie de lui sauter dessus à l’instant. Son regard me transperce le cœur, il est mélangé de mélancolie et de tristesse. Je m’aperçois alors que je dois lui avouer à mon tour ce que j’essaye de lui dire depuis tant de soirs. Pourquoi je suis allé dans les bras d’un autre, pourquoi je me suis enfui de lui, de son amour ? Il sonde mon regard comme à son habitude et constate avec effroi la rougeur qui s’installent en eux. Je me sens bête de réagir ainsi. Je suis sûr qu’il va se méprendre sur les larmes que je vais verser. Il n’en ait pas la cause, j’en suis la seule fautive.
M (ne sachant pas par ou commencer) : Sara, je t’en supplie. Crois-moi, je ne savais pas ce que je faisais, tout était tellement chamboulé en moi. tu es parti, je me retrouvais libre et
S : non. Ce n’est pas cela Mickaël. Je me doute bien que… tu ai voulu profiter de ta liberté retrouvée et vu que l’on n'était pas ensemble… je paris en plus que tu ne connais même pas leurs prénoms.
Je vois sa tête s’incliner pour camoufler son sourire. Je lui relève son menton et on ne peut s’empêcher de sourire sur ma dernière remarque.
M (surpris) : je ne pensais pas que tu comprendrais !
S (essayant d’être claire) : je ne te comprends pas mais je ne t’en veux pas et…
M : et quoi ?
S (fuyant son regard) : rien.
Il se lève d’un bon alors que le serveur vient à peine de nous débarrasser notre table. Je le regarde surprise. Sa main est toujours autour de la mienne. Il est là devant moi et je me lève à mon tour. Son bras s’enroule autour de ma taille. Le fait d’être aussi près de lui me fait presque mal mais tellement de bien. Je n’ose à peine parler alors que je me laisse diriger sur la plage, on s’assoit dans le sable. L’un en face de l’autre, je sens que la tension monte.
J’ai remarquer dans ses yeux l’envie d’échapper à ce monde remplis de lumière et de bruit. Je sens qu’elle veut que l’on parle sérieusement mais elle n’ose pas. Je me lance et lui tends juste ma main pour que l’on s’éloigne un petit peu de la foule. Je la dirige vers la plage. Durant mes moments de solitude, je me suis toujours sentie bien avec le contact du sable froid sur moi et le bruit des vagues. J’espère qu’il en sera de même pour elle.
S (prenant son visage dans ses mains) : Mickaël, il est temps que l’on parle sérieusement. Je dois te dire des choses qui vont nous faire du mal mais je dois t’expliquer. Si tu veux que l’on aille de l’avant, il faut que tu saches. Un jour tu m’as promis de toujours être honnête avec moi donc aujourd’hui je dois l’être envers toi.
M : d’accord. Je ne dirais rien.
S (mettant ses mains dans les siennes) : merci. Je t’ai parlé de mon voyage au Darfour. Je ne sais pas vraiment par ou commencer. J’y suis rester 6 mois. A cette époque on te croyait mort. Je n’arrivais pas le croire mais cela faisait 6 mois que l’on ne pouvait plus avoir de tes nouvelles et il y a eut cette émeute. D’après l’ambassade, toute la prison était à feu et à sang, même l’isolement et… tu aurais été parmi les cibles des émeutiers car tu avais essayé de t’évader en les laissant là-bas. Je ne dormais plus, je ne mangeais plus, je ne vivais plus…sans toi, cela ne valait pas la peine. Donc Jane m’a proposé de partir et j’ai accepter. Je me disais au début qu’avec un peu de chance, je prendrais une balle et que je te rejoindrais. C’était atroce. Et puis il y a eut Went. Il avait ta douceur et ce truc qui fait que d’un rien tu illumines mes journées. Je me suis sentie en sécurité avec lui. Il était présent et attentionné. Il savait qu’il était dans ton ombre et l’acceptait. Entre nous c’était une relation étrange. Je me rends compte aujourd’hui et grâce à Linc, que je te cherchais en lui. Vous vous ressemblez et je croyais avoir un peu de toi en lui. Mais je me suis trompé. Là-bas le chaos régnait et les minutes avec Went étaient pour nous deux des moments magiques. Mais à la minute ou Lorène m’a averti que tu étais en vie et toujours ici, j’ai compris. J’ai pris le premier avion et je suis revenu. J’ai compris que j’essayais de t’oublier dans les bras d’un autre.
M (inquiet) : toi et lui, c’était sérieux ou non ?
S (hésitante) : C’étaient les deux. Assez sérieux pour que l’on passe nos nuits ensembles si c’est ce que tu veux savoir mais pas assez pour t’oublier, pour ne pas penser à toi jour et nuit.
M : à l’aéroport ?
S (stupéfaite) : tu nous as vus ?
M (dur) : oui pourquoi ?
S (ayant du mal à avaler sa salive) : je t’avais vu avec Lorène dans les bras. J’en avais tiré des conclusions erronées. Il m’a appelé pour que l’on se revoie. Toi et moi c’était le néant, donc j’ai accepter. Peut-être par lâcheté mais aussi par dépit. Je pensais t’avoir perdu. Il ne s’est rien passé. Il a dormi à l’hôtel. Je ne sais pas vraiment ce que je voulais. Mais il ne s’est rein passé, je ne pouvais pas. A l’aéroport, ce que tu as vu était juste une accolade d’adieu, rien de plus. Il a vite compris qu’il ne pouvait pas lutter contre toi, que tu étais toujours dans mon cœur. Je comprendrais que tu ne me crois pas mais c’est la vérité. Lorsque je t’ai trompé, je te croyais mort sinon je n’aurais pas put, je ne peux pas !
M (les larmes aux yeux) : ce qui me fait le plus de mal ce n’est pas que tu… c’est le fait qu’un autre ait put poser ses mains sur toi !
S (détournant son regard) : c’est le plus dur à accepter, je le sais. Au-delà des sentiments, le fait qu’une autre ait put avoir ce contact privilégié… c’est…
M : je suis désolé, je ne pense qu’à moi alors que je t’ai fait souffrir de la même manière.
S : tu crois que l’on pourra surmonter ceci aussi ?
M (lui attrapant le menton pour qu’elle lui fasse de nouveau face) : j’y croît. Et toi ?
S : je l’espère mais… il y aussi autre chose, je sais que ce qui s’est passé à Sona était effroyable mais il faut que tu en parles !
M : promis un jour.
Je ne peux m’empêcher à cet instant de capturer ses lèvres. Tel deux aimants nos corps se retrouvent enfin. Mes mains enserrent sa taille fine, je la ramène un peu plus à moi. Elle me fait chavirer et son corps s’étend alors sur le mien. Nos mains se baladent et redécouvre nos peaux. Je la serre à en faire craquer ses os. Je la sens complètement abandonnée tout comme moi. Seule elle a cet effet sur moi. Nos langues se cherchent, nos salives se mélangent. Je me sens fondre, comme si nos corps ne faisait plus qu’un. Ses mains s’immiscent sous ma chemise et je ne peux réfréner un doux gémissement de plaisir à ce contact. Je me laisse emporter par cette douce sensation. Je distingue un sourire sur son visage. Mes mains s’attardent sur son visage. Je ne peux me détacher d’elle. Seulement elle défait notre baiser et se relève un peu. Assise sur moi, je ne peux m’empêcher de la contempler. Elle est si parfaite. Je me reproche à penser que je ne l’ai jamais trouver aussi belle. Son teint légèrement halé, ses taches de rousseurs, ses cheveux libres… je la regarde avec insistance. A partir de maintenant elle seule décidera de notre avenir, de notre devenir. Je ne suis plus qu’un pantin avec lequel elle s’amusera à loisir. Elle se relève et nos regards sont toujours ancrés l’un à l’autre. Je suis presque déçu que ce moment se finisse.
S : tu viens, on rentre.
M : tu…
S (avec une petite voix) : j’ai envie de rentrer.
M (se relevant) : d’accord, je te ramène chez toi.
S (l’enserrant) : et pourquoi pas chez toi ?
M (la soulevant dans ses bras) : à vos ordres.
Je le vois régler le restaurant et revenir vers moi avec un grand sourire aux lèvres. Je me sens mal à l’aise d’être aussi audacieuse mais je sais que si je ne fais rien, il ne le fera pas non plus. Et puis, j’ai tellement hâte de retrouver son corps, ses bras, l’odeur de sa peau… faut que je me calme, sinon on arrivera jamais jusque chez lui. Il m’ouvre la porte de la voiture et on s’enfonce dans la nuit sombre. Je ne cesse de jeter des coups d’œil vers lui et je le vois avec ce petit regard pétillant et se mordant parfois les lèvres. Il est aussi impatient que moi. Nos regards se croisent et on ne peut cacher la malice au fond d’eux. On arrive enfin. Il vient m’ouvrir la portière. J’ai à peine le temps d’en sortir que ses lèvres se retrouvent soudées aux miennes. Ses bras viennent m’encercler. Je me retrouve soulevé contre son corps. Il me porte jusque dans la maison. Je ne peux tenir plus ; je m’amuse à lui déboutonner lentement les boutons de sa chemise. En prenant soin de déposer sur chaque parcelle de sa peau ainsi exposer de doux et langoureux baiser. Chaque fois je le sens frissonner et soupirer de plaisir. Mes jambes se retrouvent autour de ses hanches. Tout se fait si naturellement que cela en est déconcertant. On ne peut plus se lâcher, on ne peut plus se passer l’un de l’autre. Il monte l’escalier et sa chemise tombe au sol. Je le regarde comme affamé et il prend possession de mon cou. Ses lèvres se font douces et insistantes à la fois. Je n’arrive plus à penser, à analyser. Je comprends seulement que je l’aime comme jamais je n’ai encore aimé. Il joue avec les bretelles de ma robe et je me sens défaillir lorsqu’il les fait tomber sur le côté en les accompagnants de ses doigts. Il me dépose sur son lit et couvre mon visage de baiser. Je me retrouve face à ce torse et je comprends qu’enfin je le retrouve. Une larme s’échappe involontairement. Il la recueille avec ses lèvres. Je le sens hésitants mais mes mains qui se baladent sur sa peau le convainquent. Il défait avec douceur ma robe. Je m’attaque à son pantalon sous son sourire complice. A moitié nus l’un conte l’autre on est en transe. Chaque parcelle de nos corps est couverte de baiser, plus doux et langoureux les uns que les autres. Il laisse sur ma peau à loisir des traces humides qui font tourner ma tête de plaisir. C’est comme si c’était la première fois. Je nous sens sur de nous, sur de nos sentiments, apaisé… peut-être aussi un peu plus expérimenté ! Cette chaleur que seul lui peut me procurer aussi simplement commence à me donner le vertige. Ses mains se font de plus en plus insistante sous mon soutien-gorge. Comme dans un accès de colère je le retire sans vergogne ainsi que les derniers remparts qu’ils nous restent. Je le sens amusé de me voir aussi présente, aussi femme. Il se penche alors de nouveau sur moi et j’entends sa voix suave et chaude me susurrer des mots de plus en plus sucré. A cet instant je le sens rentrer en moi. Nos regards se confondent et on n’y voit que de l’amour. Je me sens enfin heureuse, enfin comblé. Sa main retrouve la mienne et je sens l’emballage du préservatif se broyer ente nos mains. Je souris devant le fait qu’il l’ai encore dans la main. Comme s’il ne pouvait plus non plus réfléchir. Ses vas et viens sont lents et gracieux. C’est comme si nous ne formions plus qu’un. Chaque mouvement me procure une sensation de bien être absolue. Je me sens si sensuelle dans ses bras. Je ne réfléchi plus, le désir m’habite totalement. Je me laisse aller, seul lui me fait cet effet. Il se fait plus acharné, plus présent. Je m’abandonne totalement et j’entends son plaisir se décupler. Cette douce chaleur nous envahit simultanément.
alors les filles??? MISA acceptable???
Micko on s'est croisé...
bon d'accord j'avais dis hier!! mais elle ne m'allait pas donc j'ai recommencé
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara : rose
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CHAP 62 :
Comme tous les soirs depuis une semaine je dîne avec Mickaël. On essaye de se découvrir en douceur et en se maîtrisant. Ce qui n’est pas toujours facile. Je suis arrivé en retard du dispensaire et je dois faire vite pour me préparer. Car une des qualités de Mickaël est bien la ponctualité. Comme tous les soirs j’essaye de m’habiller un peu classe mais pas trop aguichante, une petite robe blanche qui mettra en valeur mes taches de rousseurs qui ressortent. Un brin de maquillage, une pince dans mes cheveux pour ne pas les avoir dans le visage et voilà ! Il est là, ponctuel est terriblement séduisant. Un pantalon un peu en lin, une chemise bleuté… il est si beau, comme la première fois que je l’ai vu. Contrairement à d’habitude c’est moi qui décide de l’endroit. Un petit restaurant sur la plage. L’endroit est idyllique. Les odeurs des cocotiers, des plantations de bananes au loin sont enivrantes. Il est là toujours attentionné, galant. Je sais qu’il prend un malin plaisir à me courtiser ainsi et j’avoue que cela est flatteur. L’un en face de l’autre, il commande une bière comme apéritif et je décide de ne pas me laisser tenter d'avantages par les vapeurs d’alcool et commande un cocktail de fruits sans alcool. Il me regarde comme amusé par la discipline dont je fais preuve. J’ai payé bien trop chère mes erreurs et ne compte pas un jour retomber à nouveau dans cette spirale.
Je l’observe et je sais que l’on devrait arrêter de parler des futilités habituelles. Nos mains se joignent et je sais pertinemment qu’il est temps d’être sérieux, de jouer cartes sur tables, de nous mettre à nu, de nouveaux, comme il y a deux ans chez Lorène. Seulement je ne m’en sens pas le courage, pas la volonté… je dois être lâche car je sais que si je continue ainsi tout sera simple, on vivra ensemble. Mais il y a tellement de fantômes, d’ombres entre nous… je ne peux pas les surmonter seules. Il me parle de sa journée de travail et je l’écoute à peine. Je ne peux détacher mes yeux de cette bimbo accoudée au bar qui le déshabille sur place. Je sens en moi un regain de violence monter et que je ne peux maîtriser. Il arrête sa phrase en plein milieu et tourne la tête dans la direction de mon regard. Il baisse le regard, je le sens tendu et nerveux alors que je fulmine sur place !
M (baissant le regard) : tu veux qu’on aille ailleurs ?
S (calme) : qui est-ce ?
M : une fille !
S (taquine) : une que tu as mis dans ton lit ?
M (confus) : Sara, je ne savais pas vraiment ou j’en étais !
S (pleine d’espièglerie) : ce n’est pas un reproche, juste une question !
M (gêné) : oui.
S (la dévisageant) : je ne pensais pas que ce type de fille pourrait t’intéresser.
M : c’est parce qu’elle ne te ressemble pas !
S (resserrant sa main dans la sienne) : Mickaël, je ne t’en veux pas de ce que tu as fait. Même si j’ai du mal à l’accepter. cela m’a fait du mal mais je crois que je l’avais mérité.
M : non, ne dis pas cela. Tu ne mérites pas de souffrir.
S (ébettée) : tu ne l’as pas fait par vengeance, alors pourquoi ?
M (plongeant son regard dans le sien) : par désespoir.
Je me retrouve bête devant sa réponse si franche. Son regard est si profond, sa main fond dans la mienne. J’ai comme envie de lui sauter dessus à l’instant. Son regard me transperce le cœur, il est mélangé de mélancolie et de tristesse. Je m’aperçois alors que je dois lui avouer à mon tour ce que j’essaye de lui dire depuis tant de soirs. Pourquoi je suis allé dans les bras d’un autre, pourquoi je me suis enfui de lui, de son amour ? Il sonde mon regard comme à son habitude et constate avec effroi la rougeur qui s’installent en eux. Je me sens bête de réagir ainsi. Je suis sûr qu’il va se méprendre sur les larmes que je vais verser. Il n’en ait pas la cause, j’en suis la seule fautive.
M (ne sachant pas par ou commencer) : Sara, je t’en supplie. Crois-moi, je ne savais pas ce que je faisais, tout était tellement chamboulé en moi. tu es parti, je me retrouvais libre et
S : non. Ce n’est pas cela Mickaël. Je me doute bien que… tu ai voulu profiter de ta liberté retrouvée et vu que l’on n'était pas ensemble… je paris en plus que tu ne connais même pas leurs prénoms.
Je vois sa tête s’incliner pour camoufler son sourire. Je lui relève son menton et on ne peut s’empêcher de sourire sur ma dernière remarque.
M (surpris) : je ne pensais pas que tu comprendrais !
S (essayant d’être claire) : je ne te comprends pas mais je ne t’en veux pas et…
M : et quoi ?
S (fuyant son regard) : rien.
Il se lève d’un bon alors que le serveur vient à peine de nous débarrasser notre table. Je le regarde surprise. Sa main est toujours autour de la mienne. Il est là devant moi et je me lève à mon tour. Son bras s’enroule autour de ma taille. Le fait d’être aussi près de lui me fait presque mal mais tellement de bien. Je n’ose à peine parler alors que je me laisse diriger sur la plage, on s’assoit dans le sable. L’un en face de l’autre, je sens que la tension monte.
J’ai remarquer dans ses yeux l’envie d’échapper à ce monde remplis de lumière et de bruit. Je sens qu’elle veut que l’on parle sérieusement mais elle n’ose pas. Je me lance et lui tends juste ma main pour que l’on s’éloigne un petit peu de la foule. Je la dirige vers la plage. Durant mes moments de solitude, je me suis toujours sentie bien avec le contact du sable froid sur moi et le bruit des vagues. J’espère qu’il en sera de même pour elle.
S (prenant son visage dans ses mains) : Mickaël, il est temps que l’on parle sérieusement. Je dois te dire des choses qui vont nous faire du mal mais je dois t’expliquer. Si tu veux que l’on aille de l’avant, il faut que tu saches. Un jour tu m’as promis de toujours être honnête avec moi donc aujourd’hui je dois l’être envers toi.
M : d’accord. Je ne dirais rien.
S (mettant ses mains dans les siennes) : merci. Je t’ai parlé de mon voyage au Darfour. Je ne sais pas vraiment par ou commencer. J’y suis rester 6 mois. A cette époque on te croyait mort. Je n’arrivais pas le croire mais cela faisait 6 mois que l’on ne pouvait plus avoir de tes nouvelles et il y a eut cette émeute. D’après l’ambassade, toute la prison était à feu et à sang, même l’isolement et… tu aurais été parmi les cibles des émeutiers car tu avais essayé de t’évader en les laissant là-bas. Je ne dormais plus, je ne mangeais plus, je ne vivais plus…sans toi, cela ne valait pas la peine. Donc Jane m’a proposé de partir et j’ai accepter. Je me disais au début qu’avec un peu de chance, je prendrais une balle et que je te rejoindrais. C’était atroce. Et puis il y a eut Went. Il avait ta douceur et ce truc qui fait que d’un rien tu illumines mes journées. Je me suis sentie en sécurité avec lui. Il était présent et attentionné. Il savait qu’il était dans ton ombre et l’acceptait. Entre nous c’était une relation étrange. Je me rends compte aujourd’hui et grâce à Linc, que je te cherchais en lui. Vous vous ressemblez et je croyais avoir un peu de toi en lui. Mais je me suis trompé. Là-bas le chaos régnait et les minutes avec Went étaient pour nous deux des moments magiques. Mais à la minute ou Lorène m’a averti que tu étais en vie et toujours ici, j’ai compris. J’ai pris le premier avion et je suis revenu. J’ai compris que j’essayais de t’oublier dans les bras d’un autre.
M (inquiet) : toi et lui, c’était sérieux ou non ?
S (hésitante) : C’étaient les deux. Assez sérieux pour que l’on passe nos nuits ensembles si c’est ce que tu veux savoir mais pas assez pour t’oublier, pour ne pas penser à toi jour et nuit.
M : à l’aéroport ?
S (stupéfaite) : tu nous as vus ?
M (dur) : oui pourquoi ?
S (ayant du mal à avaler sa salive) : je t’avais vu avec Lorène dans les bras. J’en avais tiré des conclusions erronées. Il m’a appelé pour que l’on se revoie. Toi et moi c’était le néant, donc j’ai accepter. Peut-être par lâcheté mais aussi par dépit. Je pensais t’avoir perdu. Il ne s’est rien passé. Il a dormi à l’hôtel. Je ne sais pas vraiment ce que je voulais. Mais il ne s’est rein passé, je ne pouvais pas. A l’aéroport, ce que tu as vu était juste une accolade d’adieu, rien de plus. Il a vite compris qu’il ne pouvait pas lutter contre toi, que tu étais toujours dans mon cœur. Je comprendrais que tu ne me crois pas mais c’est la vérité. Lorsque je t’ai trompé, je te croyais mort sinon je n’aurais pas put, je ne peux pas !
M (les larmes aux yeux) : ce qui me fait le plus de mal ce n’est pas que tu… c’est le fait qu’un autre ait put poser ses mains sur toi !
S (détournant son regard) : c’est le plus dur à accepter, je le sais. Au-delà des sentiments, le fait qu’une autre ait put avoir ce contact privilégié… c’est…
M : je suis désolé, je ne pense qu’à moi alors que je t’ai fait souffrir de la même manière.
S : tu crois que l’on pourra surmonter ceci aussi ?
M (lui attrapant le menton pour qu’elle lui fasse de nouveau face) : j’y croît. Et toi ?
S : je l’espère mais… il y aussi autre chose, je sais que ce qui s’est passé à Sona était effroyable mais il faut que tu en parles !
M : promis un jour.
Je ne peux m’empêcher à cet instant de capturer ses lèvres. Tel deux aimants nos corps se retrouvent enfin. Mes mains enserrent sa taille fine, je la ramène un peu plus à moi. Elle me fait chavirer et son corps s’étend alors sur le mien. Nos mains se baladent et redécouvre nos peaux. Je la serre à en faire craquer ses os. Je la sens complètement abandonnée tout comme moi. Seule elle a cet effet sur moi. Nos langues se cherchent, nos salives se mélangent. Je me sens fondre, comme si nos corps ne faisait plus qu’un. Ses mains s’immiscent sous ma chemise et je ne peux réfréner un doux gémissement de plaisir à ce contact. Je me laisse emporter par cette douce sensation. Je distingue un sourire sur son visage. Mes mains s’attardent sur son visage. Je ne peux me détacher d’elle. Seulement elle défait notre baiser et se relève un peu. Assise sur moi, je ne peux m’empêcher de la contempler. Elle est si parfaite. Je me reproche à penser que je ne l’ai jamais trouver aussi belle. Son teint légèrement halé, ses taches de rousseurs, ses cheveux libres… je la regarde avec insistance. A partir de maintenant elle seule décidera de notre avenir, de notre devenir. Je ne suis plus qu’un pantin avec lequel elle s’amusera à loisir. Elle se relève et nos regards sont toujours ancrés l’un à l’autre. Je suis presque déçu que ce moment se finisse.
S : tu viens, on rentre.
M : tu…
S (avec une petite voix) : j’ai envie de rentrer.
M (se relevant) : d’accord, je te ramène chez toi.
S (l’enserrant) : et pourquoi pas chez toi ?
M (la soulevant dans ses bras) : à vos ordres.
Je le vois régler le restaurant et revenir vers moi avec un grand sourire aux lèvres. Je me sens mal à l’aise d’être aussi audacieuse mais je sais que si je ne fais rien, il ne le fera pas non plus. Et puis, j’ai tellement hâte de retrouver son corps, ses bras, l’odeur de sa peau… faut que je me calme, sinon on arrivera jamais jusque chez lui. Il m’ouvre la porte de la voiture et on s’enfonce dans la nuit sombre. Je ne cesse de jeter des coups d’œil vers lui et je le vois avec ce petit regard pétillant et se mordant parfois les lèvres. Il est aussi impatient que moi. Nos regards se croisent et on ne peut cacher la malice au fond d’eux. On arrive enfin. Il vient m’ouvrir la portière. J’ai à peine le temps d’en sortir que ses lèvres se retrouvent soudées aux miennes. Ses bras viennent m’encercler. Je me retrouve soulevé contre son corps. Il me porte jusque dans la maison. Je ne peux tenir plus ; je m’amuse à lui déboutonner lentement les boutons de sa chemise. En prenant soin de déposer sur chaque parcelle de sa peau ainsi exposer de doux et langoureux baiser. Chaque fois je le sens frissonner et soupirer de plaisir. Mes jambes se retrouvent autour de ses hanches. Tout se fait si naturellement que cela en est déconcertant. On ne peut plus se lâcher, on ne peut plus se passer l’un de l’autre. Il monte l’escalier et sa chemise tombe au sol. Je le regarde comme affamé et il prend possession de mon cou. Ses lèvres se font douces et insistantes à la fois. Je n’arrive plus à penser, à analyser. Je comprends seulement que je l’aime comme jamais je n’ai encore aimé. Il joue avec les bretelles de ma robe et je me sens défaillir lorsqu’il les fait tomber sur le côté en les accompagnants de ses doigts. Il me dépose sur son lit et couvre mon visage de baiser. Je me retrouve face à ce torse et je comprends qu’enfin je le retrouve. Une larme s’échappe involontairement. Il la recueille avec ses lèvres. Je le sens hésitants mais mes mains qui se baladent sur sa peau le convainquent. Il défait avec douceur ma robe. Je m’attaque à son pantalon sous son sourire complice. A moitié nus l’un conte l’autre on est en transe. Chaque parcelle de nos corps est couverte de baiser, plus doux et langoureux les uns que les autres. Il laisse sur ma peau à loisir des traces humides qui font tourner ma tête de plaisir. C’est comme si c’était la première fois. Je nous sens sur de nous, sur de nos sentiments, apaisé… peut-être aussi un peu plus expérimenté ! Cette chaleur que seul lui peut me procurer aussi simplement commence à me donner le vertige. Ses mains se font de plus en plus insistante sous mon soutien-gorge. Comme dans un accès de colère je le retire sans vergogne ainsi que les derniers remparts qu’ils nous restent. Je le sens amusé de me voir aussi présente, aussi femme. Il se penche alors de nouveau sur moi et j’entends sa voix suave et chaude me susurrer des mots de plus en plus sucré. A cet instant je le sens rentrer en moi. Nos regards se confondent et on n’y voit que de l’amour. Je me sens enfin heureuse, enfin comblé. Sa main retrouve la mienne et je sens l’emballage du préservatif se broyer ente nos mains. Je souris devant le fait qu’il l’ai encore dans la main. Comme s’il ne pouvait plus non plus réfléchir. Ses vas et viens sont lents et gracieux. C’est comme si nous ne formions plus qu’un. Chaque mouvement me procure une sensation de bien être absolue. Je me sens si sensuelle dans ses bras. Je ne réfléchi plus, le désir m’habite totalement. Je me laisse aller, seul lui me fait cet effet. Il se fait plus acharné, plus présent. Je m’abandonne totalement et j’entends son plaisir se décupler. Cette douce chaleur nous envahit simultanément.
alors les filles??? MISA acceptable???
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
j'adore, j'adore, j'adore - quoi te dire de plus -
J'ADORE,
ENCORE
Erin- Admis à l'infirmerie
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les actes ont des conséquences (MAJ 18/7 chap62)
C'était trop génial, j'ai adoré ta suite, je l'ai lue et relue 3 fois de suite, ils sont trop mimi
Maintenant ils vont pouvoir se retrouver
Maintenant ils vont pouvoir se retrouver
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
misa plus qu'acceptable
elle est magnifique cette suite
tout dans la finesse et la douceur
ça valait le coup d'attendre
vivement la prochaine suite
elle est magnifique cette suite
tout dans la finesse et la douceur
ça valait le coup d'attendre
vivement la prochaine suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'ADORE,JE CRAQUE, J'AIME TOUT SIMPLEMENT
Tu réussit a faire ressortir leurs sentiments et leurs emotions d'une facon magique!!
J'en veux ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEE
Tu réussit a faire ressortir leurs sentiments et leurs emotions d'une facon magique!!
J'en veux ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Olalalalalalala jai mes truucs jai chaud mais alooors la je fooond!!!!!!!!!!!!!!!!!!! JE taie luue sallais zé ratrapé tout mon retard je dois te diiire que tu cartonne je sais même plus quoi diire en fait aaaaaa sii jair eluue ton dernier chapitre 9 fois cest grave docteur ????
TITINE!!!!!
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miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Très très très acceptable même
Ils pourrons être heureux maintenant
vivement la suite
Ils pourrons être heureux maintenant
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
MiSa plus qu'acceptable rien a dire c'était magnifique, j'ai adoré leur explication c'est bien qu'ils aient parlé, et maintenant ils se sont retrouvé comme avant
Merci
Merci
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
plus que que acceptable
c 'est le bonheur la !!!!!!!!! ils se sont enfin parler et retrouver
j ' en redemande encore
met la suite
vite please !!!!!!!
c 'est le bonheur la !!!!!!!!! ils se sont enfin parler et retrouver
j ' en redemande encore
met la suite
vite please !!!!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Elle ou la suite?????!!!!!!!!!!!!
Mets la très vite, j'adore cette fic moi!!!!!!!!
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angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
T'as pas mis de suite depuis 5 jours!!!!!!! C'est pas juste ca!!!!!!!!!!!!!!
Tu mets les suites de tes autres fics réguliérement et tu négliges celle-ci c'est pas juste!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu mets les suites de tes autres fics réguliérement et tu négliges celle-ci c'est pas juste!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
angel_keikoo a écrit:T'as pas mis de suite depuis 5 jours!!!!!!! C'est pas juste ca!!!!!!!!!!!!!!
Tu mets les suites de tes autres fics réguliérement et tu négliges celle-ci c'est pas juste!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
oui mais je pars bientôt en vacances donc fallait que je ralentisse la cadence sinon j'allais faire un break à un mauvais moment!!!
et je ne suis pas sûr que vous tiendrais le coup... sans les suites
et puis elle est plus complexe à écrire car je commence à avoir fait le tour des persos au niveau spycho et vu que je n'aime pas me répéter!!! il me faut plus de temps!!!
mais j'essaye de t'en mettre au moins 2 d'ici samedi!!! et avec du MISA pour me faire pardonner!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:angel_keikoo a écrit:T'as pas mis de suite depuis 5 jours!!!!!!! C'est pas juste ca!!!!!!!!!!!!!!
Tu mets les suites de tes autres fics réguliérement et tu négliges celle-ci c'est pas juste!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
oui mais je pars bientôt en vacances donc fallait que je ralentisse la cadence sinon j'allais faire un break à un mauvais moment!!!
et je ne suis pas sûr que vous tiendrais le coup... sans les suites
et puis elle est plus complexe à écrire car je commence à avoir fait le tour des persos au niveau spycho et vu que je n'aime pas me répéter!!! il me faut plus de temps!!!
mais j'essaye de t'en mettre au moins 2 d'ici samedi!!! et avec du MISA pour me faire pardonner!!!
Oufffff! Je croyais que tu nous avais oublié
je patienterais alors surtout si c'est pour avoir 2 suites
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
A y est je viens de finir de lire mon retard ... Pas de changement j'adore toujours autant, leurs retrouvailles sont so cute
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je vous l'ai promis donc voici la suite...
et merci Angel_Keikoo.. ton insistance a payé... ça m'a motiver!!
la suite est dans ma tête donc peut-être que vous l'aurez d'ici la fin de la semaine!! si vous la voulez????
CHAP 63 :
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara : rose
pensée de Lorène : vert
Je boutonne ma chemise. Je suis là debout devant ce grand miroir et j’ai du mal à réaliser ce qui se passe. Je regarde la veste de mon costume encore dans sa housse et je ne peux m’empêcher de sourire. C’est comme un rêve. Dire qu’il y a encore1 an j’étais enfermé entre ses quatre murs. J’ai encore du mal parfois à trouver le sommeil et cela ne s’estompe pas avec le temps, tout comme les cauchemars. Je fais ne nœud de ma cravate… je me demande bien pourquoi je dois la mettre alors qu’il fait 40° dehors… allez, on rajoute la veste et là je suis prêt à mourir avec cette chaleur. Je suis ultra nerveux. Je ne cesse de passer la main sur mon crâne alors que mes cheveux ne font que quelques millimètres. Je fais les cent pas dans cette chambre qui ne m’était jamais apparu aussi petite… pourtant 5mètres par 3… c’est grand tout de même. J’ai pourtant vérifié en tournant en rond, elle fait bien ses 15m2. Je regarde par la fenêtre et ne vois bien quelques personnes arrivées, mais elle m’a ordonné de l’attendre alors je m’exécute. Je ne remercierai jamais assez Linc d’avoir mis la climatisation dans toutes les pièces. Je vois la porte qui s’ouvre enfin. Elle est là, resplendissante. J’ai du mal à me dire que c’est elle. Elle rentre furtivement, sans faire trop de bruit. Elle me regarde et je vois dans ses yeux toute l’admiration qu’elle me porte. Si seulement j’arrivais à lui faire comprendre à quel point je le trouve belle à cet instant. Elle est là, à me contempler. Ses cheveux légèrement relevés, avec quelques mèches qui retombent un peu ondulés. Je n’ai qu’une envie passer mes mains dans ses reflets roux et m’y perdre dedans. Sa robe longue, vert d’eau met ses taches de rousseurs et son léger hâle en valeur. Je ne l’avais pas vu avant et je suis bluffer. Elle tombe parfaitement, mettant en valeur ses formes comme jamais. Elle est fendue jusqu’à mi-cuisse. Je tourne autour d’elle tel un prédateur. Je la dissèque. Son dos nu, légèrement volant m’appelle inexorablement, mais je me retiens d’y apposé mes mains. Ses bretelles sont si fines que l’on pourrait presque les oublier. Et que dire devant ce haut ! Légèrement décolleté, mais laissant l’imagination travailler. On y distingue la forme de sa poitrine, sous l’aspect léger de la mousseline. Je pourrais me perdre devant cette vision qui m’enchante.
S : Mickaël !
M (la contemplant) : oui ?
S : ça va ?
M (plongeant son regard dans le sien) : oui, c’est juste que… tu es si belle…
S : Merci, il fallait que je sois à la hauteur de mon cavalier !
M (son regard plein d’envie) : Tu es bien au-delà !
S : il faudrait descendre. Lincoln doit être nerveux, il doit avoir besoin de
son témoin !
M : tu crois…
S : j’en suis sûr !
M (d’une voix rauque) : je n’ai pas envie de sortir de cette pièce !
S (amusé) : et si moi j’en sors ?
M : je te suivrais jusqu’au bout du monde !
S : et si je ne sors pas ?
M (souriant) : j’en serai ravi…
S : Mickaël Scofield, tu es incorrigible !
M (passant ses mains dans son dos) : ce n’est pas de ma faute si tu es si désirable.
S : Mickaël
M (posant ses lèvres dans son cou) : oui…
S (se détachant à regret) : Je dois aller voir Jane et le bébé ! Je te rejoins en bas !
M : tu es impitoyable !
Je me sors comme je peux avant de succomber à mon ténébreux. Je n’arrive jamais à me contrôler quand je l’entends susurrer mon prénom à mon oreille, et là ça allait être la prochaine étape ! Je m’enfuis de sa chambre presque à regret. Je me serais volontiers noyer dans le bleu de ses yeux ! J’arrive devant la porte de Jane… je souffle un grand coup, j’entre.
Je rejoins Linc qui est déjà en bas, en train de recevoir tout le monde. Je le regarde évolué, ultra à l’aise… si on m’avait dit ceci lorsqu’on était à Fox River, je ne l’aurais jamais cru. Il a l’air si heureux, pour la première depuis Véro, je le sens vivre, respirer, profiter de chaque instant… LJ me fait de grands signes pour que les rejoignent ! Je m’avance vers eux, en saluant vite fais quelques personnes !
LJ (le serrant dans ses bras) : oncle Mike, on va te prendre pour le marié !
M : non ! Alors on a besoin de moi par ici ?
L (levant les yeux au ciel) : si tu voulais bien nous faire un plan pour s’éclipser, ça m’arrangerait !
M (hilare) : Linc, ce n’est pas le moment de douter, c’est trop tard là !
L (jetant un œil tout autour de lui) : non, juste pour éviter cette foule. Je vais bientôt devenir dingue.
LJ (montrant les verres de la tête) : t’inquiète, un fois que l’on sera au cocktail, on les verra moins !
L (faisant de gros yeux) : LJ ! tu ne …rien, oubli…
M (souriant) : il n’a plus 15 ans ! !
L : espérons juste que lui grandisse moins vite ! Prenant son fils dans ses bras.
Lo : et les mecs… mettez-vous correctement je vous prends en photo !
L.J. (dépité) : tante Lorène !
Lo : pour une fois ! ! Allez trois, deux, un et Cheeeese !
LJ : elle avait intérêt à être bien car je n’en ferais pas d’autre !
Lo (voulant le taquiner) : au fait Linc, LJ t’a parlé de Sam ?
LJ : euh non ! c’est…
L (intéressé) : j’écoute !
LJ : rien ! Partant.
L (réjoui) : Cela a l’air sérieux !
Lo (souriante) : c’est une stagiaire avec qui il passe beaucoup de temps ! !
M (relevant un sourcil) : un stagiaire qui dirige une autre stagiaire ? T’es bizarre toi !
Lo : le … il ne vous a rien dit ?
L (hilare) : quoi, tu l’as viré ?
Lo (incrédule) : non, c’est mon assistant… du moins le temps qu’il passe l’examen du barreau c’est mon bras droit et après il sera officiellement avocat au près de mon service, puis il deviendra assistant du procureur d’ici quelques années !
M : ouah ! Je savais que cela se passait bien mais pas à se point !
L : ça fait bizarre tout de même de savoir qu’il va traîner dans les tribunaux mais de l’autre côté !
Lo : tu devrais voir la tête des jurés, des juges ou même des parties adversaires quand on prononce Lincoln Burrows Junior… dans la salle du tribunal ou en interrogatoire!
L (baissant le regard) : j’imagine… ça doit être lourd à porter.
M (fier) : n’en soit pas si sûr, il est extrêmement fier de se nommer comme toi !
Lo (le regard plein d'étoiles) : en parlant de ça… tu me montres un peu Aldo !
Je le vois se retirer légèrement et je découvre derrière lui la poussette où trône un petit bonhomme. Mon cœur se serre légèrement. Je m’accroupis pour me mettre face à lui. Il me regarde avec ses grands yeux… qu’il a hérité de son père et de son oncle ! Il bouge ses petites mains devant moi et je m’amuse à lui les attraper, ce qui lui provoque des crises de rire. Je sens la main de Mike sur mon épaule. Nos regards se font face et je comprends alors tout ce qu’il essaye d’y faire passer ! Il n’en faux pas plus entre nous pour nous comprendre. Je sais que cet instant est étrange. Je me retrouve face à ce petit Burrows avec Mike à mes côtés ! Soudain je remarque Steve au loin et je me reprends. J’arbore mon plus grand sourire. Alors qu’au fond de moi, cela me tiraille. Cela fait presque un an que l’on essaye mais en vain ! Je commence à désespérer. On a fait des millions de tests, tout est normal… pour certain c’est psychologique, nos vies seraient trop bien remplies ! Si seulement ils savaient à quel point elle me semble vide sans ce petit bout !
La cérémonie se passe entre rires et larmes. Jamais je n’aurais pensé que Linc se marie un jour et encore moins depuis la mort de Véro. Je ne sais pas pourquoi j’y pense à cet instant. Je m’occupe d’Aldo durant la cérémonie. Je ne peux m’empêcher de pleurer lorsque je vois Linc, Mike et LJ alignés tous les trois. A un moment j’avais perdu espoir que cela soit possible. Durant toute la cérémonie, je me surprends à jouer avec mon alliance. Je la regarde sans cesse. Je sens le bras de Steve se poser autour de mes épaules pour m’amener un peu plus à lui. Alors que le curé les béni, je verse encore une larme… je vais passer pour une vraie fleur bleue si cela continue. Je vois Mike qui me regarde bizarrement alors que mes larmes coulent…tout est si beau à cet instant !
Tout est si parfait depuis quelques mois ! Linc et Jane ont mis au monde le plus adorable des petits garçons, ils se marient aujourd’hui. Mike et Sara semblent de plus en plus amoureux au fur et à mesure que les jours passent. On parle souvent au téléphone ou par mail. Je crois qu’il n’a jamais était aussi amoureux de quelqu’un. Ils semblent si heureux. Je ne serais pas surprise qu’il imite bientôt son frère. Quant à moi et Steve, on a tout pour être comblé. Steve travaille comme consultant auprès du FBI et souvent sur des affaires sur lesquelles je travaille. J’adore ces moments où l’on partage nos deux mondes. Depuis notre mariage, on ne s'est pas quitté ne serait ce qu’une journée. La seule ombre reste l’absence d’un enfant. Et puis LJ, il est ma fierté et celle de Linc et Mike. El est beau, intelligent et je suppose que son cœur est en train de connaître vraiment l’amour… je ne peux rien lui souhaiter de mieux !
Le cocktail se passe comme la cérémonie. Il est rempli d’éclats de rire et de bonne humeur. Tout semble si parfait. Il faut dire que Jane à tout fais pour que cela se passe ainsi. C’est un vrai enchantement. Mike et Sara ne se quittent pas, ils semblent comme soudés l’un à l’autre. Et si par malheur ils s’éloignent l’un de l’autre, leurs regards ne cessent de se trouver.
Barman : Ángel caído !
M (sentant une boule se former dans son ventre) : pardon ?
Barman (surpris) : euh, je n’arrive pas à le croire… qu’est-ce que tu fous ici ?
M : vous devez vous tromper.
Barman (sûr de lui) : non, Sona… je me souviens bien de toi, ton tatouage… tu traînais avec deux autres americanos !
M (désorienté) : excusez-moi.
Jamais depuis un an, je n’avais été confronté à un ancien détenu. Je me sens mal, comme si tout tourné autour de moi. Je me retire en me faufilant dans la foule. J’arrive enfin à la plage ! Je me laisse tomber. Je ne sais pas pourquoi je me sens si mal. Dans le fond, je connais à peine ce type. On a du se voir, peut-être se battre ensemble ! Je n’en sais rien et dans le fond cela ne change rien. Je n’arrive presque plus à respirer. Je vais pour desserrer ma cravate et je remarque que je ne la porte plus… les premiers boutons de ma chemise sont déjà ouverts ! Pourtant je suffoque. Tellement de chose me revienne en flashs, des odeurs… je me sens si mal ! !
Je sens une main se poser sur mon épaule. Je la vois hésitante. Je la regarde apeuré.
Lo (s'asseyant à ses côtés) : Mike, tu vas bien ?
M : pas vraiment !
Lo (ne s'attendant pas à cette réponse) : oh là.. Ça ne va vraiment pas !
M : j’ai du mal à respirer !
Lo (lui posant la main sur l'épaule) : calme toi… je vais chercher Sara.
M (lui retenant le poignet) : une minute, Lorène…sois franche… est-ce que je suis un homme bien ?
Lo (choquée) : Mike… bien sûr qu’elle question stupide !
M (les larmes aux yeux) : si j’avais changé, tu me le dirais ?
Lo : lorsque tu as fait ta crise lors de ta séparation avec Sara, c’est qui qui te sermonnait ?
M (souriant) : toi !
Lo (plongeant son regard dans le sien) : Mike… tu es un homme bon, je le sais. Tu essaye de faire le bien autour de toi. Ne bouge pas, je vais chercher Sara.
et merci Angel_Keikoo.. ton insistance a payé... ça m'a motiver!!
la suite est dans ma tête donc peut-être que vous l'aurez d'ici la fin de la semaine!! si vous la voulez????
CHAP 63 :
pensée de Mike : bleu
pensée de Sara : rose
pensée de Lorène : vert
Je boutonne ma chemise. Je suis là debout devant ce grand miroir et j’ai du mal à réaliser ce qui se passe. Je regarde la veste de mon costume encore dans sa housse et je ne peux m’empêcher de sourire. C’est comme un rêve. Dire qu’il y a encore1 an j’étais enfermé entre ses quatre murs. J’ai encore du mal parfois à trouver le sommeil et cela ne s’estompe pas avec le temps, tout comme les cauchemars. Je fais ne nœud de ma cravate… je me demande bien pourquoi je dois la mettre alors qu’il fait 40° dehors… allez, on rajoute la veste et là je suis prêt à mourir avec cette chaleur. Je suis ultra nerveux. Je ne cesse de passer la main sur mon crâne alors que mes cheveux ne font que quelques millimètres. Je fais les cent pas dans cette chambre qui ne m’était jamais apparu aussi petite… pourtant 5mètres par 3… c’est grand tout de même. J’ai pourtant vérifié en tournant en rond, elle fait bien ses 15m2. Je regarde par la fenêtre et ne vois bien quelques personnes arrivées, mais elle m’a ordonné de l’attendre alors je m’exécute. Je ne remercierai jamais assez Linc d’avoir mis la climatisation dans toutes les pièces. Je vois la porte qui s’ouvre enfin. Elle est là, resplendissante. J’ai du mal à me dire que c’est elle. Elle rentre furtivement, sans faire trop de bruit. Elle me regarde et je vois dans ses yeux toute l’admiration qu’elle me porte. Si seulement j’arrivais à lui faire comprendre à quel point je le trouve belle à cet instant. Elle est là, à me contempler. Ses cheveux légèrement relevés, avec quelques mèches qui retombent un peu ondulés. Je n’ai qu’une envie passer mes mains dans ses reflets roux et m’y perdre dedans. Sa robe longue, vert d’eau met ses taches de rousseurs et son léger hâle en valeur. Je ne l’avais pas vu avant et je suis bluffer. Elle tombe parfaitement, mettant en valeur ses formes comme jamais. Elle est fendue jusqu’à mi-cuisse. Je tourne autour d’elle tel un prédateur. Je la dissèque. Son dos nu, légèrement volant m’appelle inexorablement, mais je me retiens d’y apposé mes mains. Ses bretelles sont si fines que l’on pourrait presque les oublier. Et que dire devant ce haut ! Légèrement décolleté, mais laissant l’imagination travailler. On y distingue la forme de sa poitrine, sous l’aspect léger de la mousseline. Je pourrais me perdre devant cette vision qui m’enchante.
S : Mickaël !
M (la contemplant) : oui ?
S : ça va ?
M (plongeant son regard dans le sien) : oui, c’est juste que… tu es si belle…
S : Merci, il fallait que je sois à la hauteur de mon cavalier !
M (son regard plein d’envie) : Tu es bien au-delà !
S : il faudrait descendre. Lincoln doit être nerveux, il doit avoir besoin de
son témoin !
M : tu crois…
S : j’en suis sûr !
M (d’une voix rauque) : je n’ai pas envie de sortir de cette pièce !
S (amusé) : et si moi j’en sors ?
M : je te suivrais jusqu’au bout du monde !
S : et si je ne sors pas ?
M (souriant) : j’en serai ravi…
S : Mickaël Scofield, tu es incorrigible !
M (passant ses mains dans son dos) : ce n’est pas de ma faute si tu es si désirable.
S : Mickaël
M (posant ses lèvres dans son cou) : oui…
S (se détachant à regret) : Je dois aller voir Jane et le bébé ! Je te rejoins en bas !
M : tu es impitoyable !
Je me sors comme je peux avant de succomber à mon ténébreux. Je n’arrive jamais à me contrôler quand je l’entends susurrer mon prénom à mon oreille, et là ça allait être la prochaine étape ! Je m’enfuis de sa chambre presque à regret. Je me serais volontiers noyer dans le bleu de ses yeux ! J’arrive devant la porte de Jane… je souffle un grand coup, j’entre.
Je rejoins Linc qui est déjà en bas, en train de recevoir tout le monde. Je le regarde évolué, ultra à l’aise… si on m’avait dit ceci lorsqu’on était à Fox River, je ne l’aurais jamais cru. Il a l’air si heureux, pour la première depuis Véro, je le sens vivre, respirer, profiter de chaque instant… LJ me fait de grands signes pour que les rejoignent ! Je m’avance vers eux, en saluant vite fais quelques personnes !
LJ (le serrant dans ses bras) : oncle Mike, on va te prendre pour le marié !
M : non ! Alors on a besoin de moi par ici ?
L (levant les yeux au ciel) : si tu voulais bien nous faire un plan pour s’éclipser, ça m’arrangerait !
M (hilare) : Linc, ce n’est pas le moment de douter, c’est trop tard là !
L (jetant un œil tout autour de lui) : non, juste pour éviter cette foule. Je vais bientôt devenir dingue.
LJ (montrant les verres de la tête) : t’inquiète, un fois que l’on sera au cocktail, on les verra moins !
L (faisant de gros yeux) : LJ ! tu ne …rien, oubli…
M (souriant) : il n’a plus 15 ans ! !
L : espérons juste que lui grandisse moins vite ! Prenant son fils dans ses bras.
Lo : et les mecs… mettez-vous correctement je vous prends en photo !
L.J. (dépité) : tante Lorène !
Lo : pour une fois ! ! Allez trois, deux, un et Cheeeese !
LJ : elle avait intérêt à être bien car je n’en ferais pas d’autre !
Lo (voulant le taquiner) : au fait Linc, LJ t’a parlé de Sam ?
LJ : euh non ! c’est…
L (intéressé) : j’écoute !
LJ : rien ! Partant.
L (réjoui) : Cela a l’air sérieux !
Lo (souriante) : c’est une stagiaire avec qui il passe beaucoup de temps ! !
M (relevant un sourcil) : un stagiaire qui dirige une autre stagiaire ? T’es bizarre toi !
Lo : le … il ne vous a rien dit ?
L (hilare) : quoi, tu l’as viré ?
Lo (incrédule) : non, c’est mon assistant… du moins le temps qu’il passe l’examen du barreau c’est mon bras droit et après il sera officiellement avocat au près de mon service, puis il deviendra assistant du procureur d’ici quelques années !
M : ouah ! Je savais que cela se passait bien mais pas à se point !
L : ça fait bizarre tout de même de savoir qu’il va traîner dans les tribunaux mais de l’autre côté !
Lo : tu devrais voir la tête des jurés, des juges ou même des parties adversaires quand on prononce Lincoln Burrows Junior… dans la salle du tribunal ou en interrogatoire!
L (baissant le regard) : j’imagine… ça doit être lourd à porter.
M (fier) : n’en soit pas si sûr, il est extrêmement fier de se nommer comme toi !
Lo (le regard plein d'étoiles) : en parlant de ça… tu me montres un peu Aldo !
Je le vois se retirer légèrement et je découvre derrière lui la poussette où trône un petit bonhomme. Mon cœur se serre légèrement. Je m’accroupis pour me mettre face à lui. Il me regarde avec ses grands yeux… qu’il a hérité de son père et de son oncle ! Il bouge ses petites mains devant moi et je m’amuse à lui les attraper, ce qui lui provoque des crises de rire. Je sens la main de Mike sur mon épaule. Nos regards se font face et je comprends alors tout ce qu’il essaye d’y faire passer ! Il n’en faux pas plus entre nous pour nous comprendre. Je sais que cet instant est étrange. Je me retrouve face à ce petit Burrows avec Mike à mes côtés ! Soudain je remarque Steve au loin et je me reprends. J’arbore mon plus grand sourire. Alors qu’au fond de moi, cela me tiraille. Cela fait presque un an que l’on essaye mais en vain ! Je commence à désespérer. On a fait des millions de tests, tout est normal… pour certain c’est psychologique, nos vies seraient trop bien remplies ! Si seulement ils savaient à quel point elle me semble vide sans ce petit bout !
La cérémonie se passe entre rires et larmes. Jamais je n’aurais pensé que Linc se marie un jour et encore moins depuis la mort de Véro. Je ne sais pas pourquoi j’y pense à cet instant. Je m’occupe d’Aldo durant la cérémonie. Je ne peux m’empêcher de pleurer lorsque je vois Linc, Mike et LJ alignés tous les trois. A un moment j’avais perdu espoir que cela soit possible. Durant toute la cérémonie, je me surprends à jouer avec mon alliance. Je la regarde sans cesse. Je sens le bras de Steve se poser autour de mes épaules pour m’amener un peu plus à lui. Alors que le curé les béni, je verse encore une larme… je vais passer pour une vraie fleur bleue si cela continue. Je vois Mike qui me regarde bizarrement alors que mes larmes coulent…tout est si beau à cet instant !
Tout est si parfait depuis quelques mois ! Linc et Jane ont mis au monde le plus adorable des petits garçons, ils se marient aujourd’hui. Mike et Sara semblent de plus en plus amoureux au fur et à mesure que les jours passent. On parle souvent au téléphone ou par mail. Je crois qu’il n’a jamais était aussi amoureux de quelqu’un. Ils semblent si heureux. Je ne serais pas surprise qu’il imite bientôt son frère. Quant à moi et Steve, on a tout pour être comblé. Steve travaille comme consultant auprès du FBI et souvent sur des affaires sur lesquelles je travaille. J’adore ces moments où l’on partage nos deux mondes. Depuis notre mariage, on ne s'est pas quitté ne serait ce qu’une journée. La seule ombre reste l’absence d’un enfant. Et puis LJ, il est ma fierté et celle de Linc et Mike. El est beau, intelligent et je suppose que son cœur est en train de connaître vraiment l’amour… je ne peux rien lui souhaiter de mieux !
Le cocktail se passe comme la cérémonie. Il est rempli d’éclats de rire et de bonne humeur. Tout semble si parfait. Il faut dire que Jane à tout fais pour que cela se passe ainsi. C’est un vrai enchantement. Mike et Sara ne se quittent pas, ils semblent comme soudés l’un à l’autre. Et si par malheur ils s’éloignent l’un de l’autre, leurs regards ne cessent de se trouver.
Barman : Ángel caído !
M (sentant une boule se former dans son ventre) : pardon ?
Barman (surpris) : euh, je n’arrive pas à le croire… qu’est-ce que tu fous ici ?
M : vous devez vous tromper.
Barman (sûr de lui) : non, Sona… je me souviens bien de toi, ton tatouage… tu traînais avec deux autres americanos !
M (désorienté) : excusez-moi.
Jamais depuis un an, je n’avais été confronté à un ancien détenu. Je me sens mal, comme si tout tourné autour de moi. Je me retire en me faufilant dans la foule. J’arrive enfin à la plage ! Je me laisse tomber. Je ne sais pas pourquoi je me sens si mal. Dans le fond, je connais à peine ce type. On a du se voir, peut-être se battre ensemble ! Je n’en sais rien et dans le fond cela ne change rien. Je n’arrive presque plus à respirer. Je vais pour desserrer ma cravate et je remarque que je ne la porte plus… les premiers boutons de ma chemise sont déjà ouverts ! Pourtant je suffoque. Tellement de chose me revienne en flashs, des odeurs… je me sens si mal ! !
Je sens une main se poser sur mon épaule. Je la vois hésitante. Je la regarde apeuré.
Lo (s'asseyant à ses côtés) : Mike, tu vas bien ?
M : pas vraiment !
Lo (ne s'attendant pas à cette réponse) : oh là.. Ça ne va vraiment pas !
M : j’ai du mal à respirer !
Lo (lui posant la main sur l'épaule) : calme toi… je vais chercher Sara.
M (lui retenant le poignet) : une minute, Lorène…sois franche… est-ce que je suis un homme bien ?
Lo (choquée) : Mike… bien sûr qu’elle question stupide !
M (les larmes aux yeux) : si j’avais changé, tu me le dirais ?
Lo : lorsque tu as fait ta crise lors de ta séparation avec Sara, c’est qui qui te sermonnait ?
M (souriant) : toi !
Lo (plongeant son regard dans le sien) : Mike… tu es un homme bon, je le sais. Tu essaye de faire le bien autour de toi. Ne bouge pas, je vais chercher Sara.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Linc et Jane qui se marient et Mick et Sara plus amoureux que jamais c'est trop beau!!!!!!!!!!
Il faut qu'il en parle a Sara de ce qui c'est passer a Sona apres sa ira mieu!!!
Sa valait le coup d'attendre ,ta suite est sublime décrite a merveille comme d'habitude!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Il faut qu'il en parle a Sara de ce qui c'est passer a Sona apres sa ira mieu!!!
Sa valait le coup d'attendre ,ta suite est sublime décrite a merveille comme d'habitude!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
honte à moi!!! j'avais pas vu que t'avais poster!!! merci pour ton mp
trop bien ta suite!! et je suis d'accord faut que Mick parle à Sara!!!
la suite stp!! j'adore c'est tjs aussi prenant!! la suite!!!!!!
trop bien ta suite!! et je suis d'accord faut que Mick parle à Sara!!!
la suite stp!! j'adore c'est tjs aussi prenant!! la suite!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Rah je veux savoir la suite ... Qu'est ce qu'il s'est passé à Sona ... Vite une suite stp
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Mais qu'est ce qui met Michael dans cet état?
vite la suite
vite la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 41
Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Qy'est ce qui s'est passé à Sona? pour que Michael soit autant traumatisé?!!!!!
Le pauvre faut que Saraz vienne lui parler, et qu'il vide son sac.
Et Linc qui se marie, je suis vraiment contente pour lui
Maisntenant ca devrait être le tour de Mike et Sara
Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!!
Le pauvre faut que Saraz vienne lui parler, et qu'il vide son sac.
Et Linc qui se marie, je suis vraiment contente pour lui
Maisntenant ca devrait être le tour de Mike et Sara
Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Qu'est ce qui c'est passé à Sona????????
Allez Mike confie toi à Sara et tout ira bien mieux après
vivement la suite
Allez Mike confie toi à Sara et tout ira bien mieux après
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
super:cheers:
Mais, moi, maintenant je rêve à un autre mariage si tu vois ce que je veux dire !!!!!!
Aller, Mike, parle à Sara de ce qui c'est passé à Sona, ça vous raprochera encore plus !!!!
Et voilà, c'est bien ce que je te disais tout à l'heure, Enneade, il va falloir que j'attende pour avoir une superbe suite
Mais je me console avec les 2 autres
Mais, moi, maintenant je rêve à un autre mariage si tu vois ce que je veux dire !!!!!!
Aller, Mike, parle à Sara de ce qui c'est passé à Sona, ça vous raprochera encore plus !!!!
Et voilà, c'est bien ce que je te disais tout à l'heure, Enneade, il va falloir que j'attende pour avoir une superbe suite
Mais je me console avec les 2 autres
Erin- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 20/02/2007
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