SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
j'adore !! c'est trop trop beau !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Merci les filles pour les compliments, ça me touche beaucoup....
reaped- Admis à l'infirmerie
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
reaped a écrit: Merci les filles pour les compliments, ça me touche beaucoup....
derien et encore une fois
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
superbe la créa
et vivement la suite de la fic
et vivement la suite de la fic
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Ha ouais trop beau!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
c génial la suite !!!
anso26- Retrouve Steadman
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Localisation : à los angeles avec went et sarah
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Partie 20:
Fond sonore : How Can You Mend a Broken Heart?/Al Green ( B.O The Virgin Suicides = film cultissime!!!)
http://www.radioblogclub.com/fav/0/1705351
Michael détache à regret ses lèvres de celles de Sara et la regarde intensément : « Je crois que maintenant, j’ai trouvé la force de continuer… » lui dit-il avec un petit sourire avant de se lever et de lui tendre la main pour l’aider à se mettre debout à son tour. Ils marchent en silence jusqu’à l’hôtel mais ce silence n’a rien de pesant, bien au contraire… Leurs mains jointes les rassurent bien plus que des mots… Le vent qui continue de gronder furieusement peut bien se déchaîner, rien ne les fera plier…
Arrivés à l’étage, Sara s’apprête à frapper à la porte de Lincoln qui se ronge les sangs depuis la « fuite » de Michael il y’a de cela des heures maintenant ; mais Michael arrête la jeune femme dans son élan :
« S’il te plaît… Je ne veux voir personne pour le moment… Pas encore…
_ Mais Michael, Lincoln doit être mort d’inquiétude…
_ Je sais mais je n’ai pas le courage de le rassurer…
_ Mais…
_ Vas-y toi… » dit-il en se dirigeant vers sa chambre d’un pas las.
Quand Sara le rejoint quelques minutes plus tard, elle le trouve adossé à la fenêtre. Elle s’approche doucement de lui et l'observe respirer profondément. Elle aimerait tellement trouver les mots pour le rassurer… Elle voudrait tant lui faire comprendre que…
« Je crois qu’une bonne douche s’impose ! On en a bien besoin… lance Michael avec un sourire en se retournant et en regardant avec un air contrit ses habits recouverts de poussière.
_ Tu as raison…répond Sara sans le quitter des yeux, surprise et plus que ravie de ce changement d’humeur.
_ Toi d’abord… reprend Michael en lui indiquant d’une révérence la salle de bain.
_ Et pourquoi pas ensemble ? lance Sara avec un air mutin en s’approchant pour déposer un baiser fugace sur ses lèvres.
_ J'aime beaucoup votre idée, Docteur…» approuve t’il en l’attirant doucement dans la salle d’eau. «Je me suis toujours dit que vous n’étiez pas une gentille fille…
_ Et vous aviez raison… Et en plus, j’adore les mauvais garçons… » conclut d’elle avant de l’embrasser avec une passion qui ne laisse aucun doute sur ses intentions avant de se diriger vers le lavabo, savourant le trouble qu’elle a provoqué chez Michael qui s’empresse de faire couler l’eau de la douche pour trouver quelque chose d’autre à faire que de se jeter sur elle…
Sara enlève à la hâte ses chaussures et ses habits. « L’eau doit être à bonne température mainte… » dit Michael en se retournant sans pouvoir finir sa phrase à la vue de Sara, complètement nue devant lui. Elle est surprise de n’éprouver aucune gêne à être ainsi exposée devant les yeux brûlants de Michael et s’approche lascivement de lui. « Tu ne penses pas que tu es un petit peu trop… habillé ? » le taquine t’elle en caressant son torse à travers le pull trop épais… Quand les mains de Michael descendent le long de ses reins et qu’elle est parcourue de frissons, elle réalise qu’elle est en train de perdre le contrôle de la situation… Et elle adore ça !!!
_ En effet… dit-il en faisant passer son pull par-dessus sa tête avant d’attirer Sara contre lui. Il ne peut retenir un cri de surprise à la sensation de ses seins chauds contre son torse et il perd complètement pied quand les mains de Sara s’attaquent aux boutons de son jean. Michael s’écarte d’elle pour se débarrasser de ce tissu embarrassant et ils retrouvent tous deux complètement nus l’un contre l’autre…. Leur respiration s’accélère et Sara tremble involontairement quand elle sent le souffle chaud de son amant dans son cou… Elle sent l’urgence du désir de Michael et elle se dit que finalement, les mots sont parfois bien dérisoires…
Au cours des heures qui suivent, ils s’abandonnent complètement l’un à l’autre... Ils font l’amour sans précipitation, sans retenue, sans crainte, sans urgence… Ils prennent tout le temps dont ils ont besoin parce que, à cet instant précis, ils veulent croire qu’ils ont toute la vie devant eux et que cette vie leur appartient enfin… Plus de peur, plus de conspiration… Plus de fuite, plus d’échappatoire… Plus de tortionnaire, plus de dangers… Non, juste deux amants qui se donnent à l’autre comme si c’était la première fois, comme si c’était la dernière fois…
Les corps encore tremblants du plaisir fulgurant qu’ils viennent de partager, ils se blottissent l’un contre l’autre. Michael ramène les couvertures sur Sara. Il joue avec une mèche de ses cheveux pendant qu’elle promène ses doigts dans les méandres de son tatouage. Il lui caresse doucement le bras y faisant naître un frisson… Il sourit à ce constat et continue de promener ses longs doigts sur sa peau douce et chaude…
« Sara » dit il doucement. « Je suis tellement désolé…
_ Je sais Michael, je le sais…
_ Rien ne te serait arrivé si…
_ Hey ! s’indigne t’elle en se redressant pour se retrouver au dessus de lui. Insinuerais-tu que tu regrettes TOUT, absolument TOUT… » Mais l’air sérieux de Michael lui indique très clairement que l’heure n’est pas du tout à la plaisanterie…
_ Je t’ai ramené directement à cette ordure…
_ Et il ne m’est rien arrivé… C’est plutôt lui qui va garder un mauvais souvenir de nos « retrouvailles »… Soit dit en passant, je me suis moi-même chargé de sa virilité dans le train… Il n’a curieusement pas eu l’air d’apprécier !
_ Je ne laisserai plus personne te faire du mal, Sara, je te le promets…, dit-il avec un air si sérieux que des rides se creusent sur son front.
_ Ca aussi, je le sais, Michael… répond elle en appuyant son menton sur ses mains croisées sur le torse de Michael dont le regard s’attarde sur le pansement de fortune sur le bras de Sara.
_ Je crois que cette fois, c’est moi qui vais devoir te soigner ! Et inutile de protester ! » dit il en se levant pour aller dans la salle de bain.
Quand il revient dans la chambre, à peine quelques minutes plus tard, il s’assoit sur le bord du lit et entreprend de défaire avec une extrême délicatesse le pansement de Sara qui tente de ne pas grimacer quand la compresse se détache de l’entaille encore fraîche.
« Ca fait mal ? demande Michael d’une voix inquiète.
_ Je n’ai pas votre résistance à la douleur, Monsieur Scofield… lui répond elle avec un petit sourire ironique. D’ailleurs, tu m’avais dit que toutes les questions que je me posais sur toi avaient une réponse… Commençons par celle-ci… continue t’elle en pointant son pied.
_ Un petit souvenir d’Abruzzi et de ses amis de la Famille… J’ai refusé de leur dire où se trouvait le type qui l’avait dénoncé… Il n’a pas apprécié alors il m’a découpé les orteils avec une belle paire de cisailles… »
Sara ne peut retenir une exclamation de colère et d’admiration mêlées. Elle revoit Michael
s'asseyant silencieusement à l'infirmerie, luttant contre ses larmes pendant qu'elle le soignait… « Abruzzi ?! est le seul mot qu’elle parvient à articuler.
_ Ouais… confirme t’il.
_ Et la brûlure dans ton dos ? » Elle frissonne malgré elle au souvenir de l’odeur de chair brûlée dans cette salle de bain à la baignoire pleine… « C’était Bellick en fait, non ? »
Il secoue la tête en signe de dénégation. « Je me suis fait ça moi-même.
_ Quoi ? Comment tu as pu te faire ça toi-même ? demande Sara, interloquée.
_ J'étais sorti de ma cellule pour aller au pavillon psy… J’avais mis un uniforme de gardien pour ne pas me faire repérer. Quand je suis revenu par les conduits des faux plafonds, un gardien s’est pointé pour fumer et j’ai dû me coller à un tuyau d’arrivée d’eau chaude pour ne pas me faire repérer…
_ Oh mon Dieu ! Et tu n’as pas crié ?! » Elle se rappelle la chair à vif dans son dos et ne peut s’empêcher de se demander si Kellerman a une marque identique… Elle serre inconsciemment les poings et les dents…
« Sara ? l’appelle Michael qui a remarqué le changement dans l’attitude sereine de la jeune femme. Sara ?
_ Oui, quoi ? demande t’elle en revenant à la réalité.
_ Tu avais l’air ailleurs… Ca va ?»Elle ne répond pas, que pourrait-elle dire de toutes façons ? Rien qui ne changera ce qui s’est passé et rien qui pourra rassurer Michael, bien au contraire...
« Et cette coupure ? reprend elle en caressant doucement la cicatrice sur son bras.
_ Encore une blessure que je me suis fait tout seul ! J’avais planqué le cachet qui a conduit Lincoln à l’infirmerie la première fois qu’on a essayé de s’enfuir.
_ Parce qu’il y’a eu plusieurs tentatives ? demande Sara en ouvrant des grands yeux surpris.
_ Juste deux… La première a raté parce que le tuyau d’aération de l’infirmerie avait été changé… Il a fallu qu’on trouve une autre issue…
_ Et c’est là que j’interviens…
_ Ecoute, Sara, je ne veux pas que…
_ Arrête, Michael, je sais ça ! Je t’en ai voulu, ça oui ! J’ai même essayé de te détester... Mais je n’ai pas pu, Michael ! Tu ne m’as pas forcée à laisser cette porte ouverte ! Tu ne m’as pas forcée à faire ce que j’ai fait ! Je ne l’ai pas fait que pour toi ! Je l’ai fait aussi parce que je pensais que c’était juste, que c’était ce qu’il fallait faire… et je le pense encore ! » le rassure t’elle alors qu’il finit de bander son bras.
_ Tout que je veux, c’est toi… Je veux que tu sois heureuse et en sécurité…Mais c’est impossible si tu es avec moi… J’ai voulu me persuader que si tu étais avec moi, tu serais en sécurité mais c’est faux…
_ Mais je suis heureuse… Loin de toi, je serais en danger et malheureuse… Je ne veux pas être loin de toi… J’ai besoin de toi… » dit-elle dans un souffle alors que Michael l’attire doucement à lui avec une extrême douceur, comme si elle était cassable. Elle se sent comme étourdie quand il commence à déposer des doux baisers de papillon dans son cou.
Fond sonore : How Can You Mend a Broken Heart?/Al Green ( B.O The Virgin Suicides = film cultissime!!!)
http://www.radioblogclub.com/fav/0/1705351
Michael détache à regret ses lèvres de celles de Sara et la regarde intensément : « Je crois que maintenant, j’ai trouvé la force de continuer… » lui dit-il avec un petit sourire avant de se lever et de lui tendre la main pour l’aider à se mettre debout à son tour. Ils marchent en silence jusqu’à l’hôtel mais ce silence n’a rien de pesant, bien au contraire… Leurs mains jointes les rassurent bien plus que des mots… Le vent qui continue de gronder furieusement peut bien se déchaîner, rien ne les fera plier…
Arrivés à l’étage, Sara s’apprête à frapper à la porte de Lincoln qui se ronge les sangs depuis la « fuite » de Michael il y’a de cela des heures maintenant ; mais Michael arrête la jeune femme dans son élan :
« S’il te plaît… Je ne veux voir personne pour le moment… Pas encore…
_ Mais Michael, Lincoln doit être mort d’inquiétude…
_ Je sais mais je n’ai pas le courage de le rassurer…
_ Mais…
_ Vas-y toi… » dit-il en se dirigeant vers sa chambre d’un pas las.
Quand Sara le rejoint quelques minutes plus tard, elle le trouve adossé à la fenêtre. Elle s’approche doucement de lui et l'observe respirer profondément. Elle aimerait tellement trouver les mots pour le rassurer… Elle voudrait tant lui faire comprendre que…
« Je crois qu’une bonne douche s’impose ! On en a bien besoin… lance Michael avec un sourire en se retournant et en regardant avec un air contrit ses habits recouverts de poussière.
_ Tu as raison…répond Sara sans le quitter des yeux, surprise et plus que ravie de ce changement d’humeur.
_ Toi d’abord… reprend Michael en lui indiquant d’une révérence la salle de bain.
_ Et pourquoi pas ensemble ? lance Sara avec un air mutin en s’approchant pour déposer un baiser fugace sur ses lèvres.
_ J'aime beaucoup votre idée, Docteur…» approuve t’il en l’attirant doucement dans la salle d’eau. «Je me suis toujours dit que vous n’étiez pas une gentille fille…
_ Et vous aviez raison… Et en plus, j’adore les mauvais garçons… » conclut d’elle avant de l’embrasser avec une passion qui ne laisse aucun doute sur ses intentions avant de se diriger vers le lavabo, savourant le trouble qu’elle a provoqué chez Michael qui s’empresse de faire couler l’eau de la douche pour trouver quelque chose d’autre à faire que de se jeter sur elle…
Sara enlève à la hâte ses chaussures et ses habits. « L’eau doit être à bonne température mainte… » dit Michael en se retournant sans pouvoir finir sa phrase à la vue de Sara, complètement nue devant lui. Elle est surprise de n’éprouver aucune gêne à être ainsi exposée devant les yeux brûlants de Michael et s’approche lascivement de lui. « Tu ne penses pas que tu es un petit peu trop… habillé ? » le taquine t’elle en caressant son torse à travers le pull trop épais… Quand les mains de Michael descendent le long de ses reins et qu’elle est parcourue de frissons, elle réalise qu’elle est en train de perdre le contrôle de la situation… Et elle adore ça !!!
_ En effet… dit-il en faisant passer son pull par-dessus sa tête avant d’attirer Sara contre lui. Il ne peut retenir un cri de surprise à la sensation de ses seins chauds contre son torse et il perd complètement pied quand les mains de Sara s’attaquent aux boutons de son jean. Michael s’écarte d’elle pour se débarrasser de ce tissu embarrassant et ils retrouvent tous deux complètement nus l’un contre l’autre…. Leur respiration s’accélère et Sara tremble involontairement quand elle sent le souffle chaud de son amant dans son cou… Elle sent l’urgence du désir de Michael et elle se dit que finalement, les mots sont parfois bien dérisoires…
Au cours des heures qui suivent, ils s’abandonnent complètement l’un à l’autre... Ils font l’amour sans précipitation, sans retenue, sans crainte, sans urgence… Ils prennent tout le temps dont ils ont besoin parce que, à cet instant précis, ils veulent croire qu’ils ont toute la vie devant eux et que cette vie leur appartient enfin… Plus de peur, plus de conspiration… Plus de fuite, plus d’échappatoire… Plus de tortionnaire, plus de dangers… Non, juste deux amants qui se donnent à l’autre comme si c’était la première fois, comme si c’était la dernière fois…
Les corps encore tremblants du plaisir fulgurant qu’ils viennent de partager, ils se blottissent l’un contre l’autre. Michael ramène les couvertures sur Sara. Il joue avec une mèche de ses cheveux pendant qu’elle promène ses doigts dans les méandres de son tatouage. Il lui caresse doucement le bras y faisant naître un frisson… Il sourit à ce constat et continue de promener ses longs doigts sur sa peau douce et chaude…
« Sara » dit il doucement. « Je suis tellement désolé…
_ Je sais Michael, je le sais…
_ Rien ne te serait arrivé si…
_ Hey ! s’indigne t’elle en se redressant pour se retrouver au dessus de lui. Insinuerais-tu que tu regrettes TOUT, absolument TOUT… » Mais l’air sérieux de Michael lui indique très clairement que l’heure n’est pas du tout à la plaisanterie…
_ Je t’ai ramené directement à cette ordure…
_ Et il ne m’est rien arrivé… C’est plutôt lui qui va garder un mauvais souvenir de nos « retrouvailles »… Soit dit en passant, je me suis moi-même chargé de sa virilité dans le train… Il n’a curieusement pas eu l’air d’apprécier !
_ Je ne laisserai plus personne te faire du mal, Sara, je te le promets…, dit-il avec un air si sérieux que des rides se creusent sur son front.
_ Ca aussi, je le sais, Michael… répond elle en appuyant son menton sur ses mains croisées sur le torse de Michael dont le regard s’attarde sur le pansement de fortune sur le bras de Sara.
_ Je crois que cette fois, c’est moi qui vais devoir te soigner ! Et inutile de protester ! » dit il en se levant pour aller dans la salle de bain.
Quand il revient dans la chambre, à peine quelques minutes plus tard, il s’assoit sur le bord du lit et entreprend de défaire avec une extrême délicatesse le pansement de Sara qui tente de ne pas grimacer quand la compresse se détache de l’entaille encore fraîche.
« Ca fait mal ? demande Michael d’une voix inquiète.
_ Je n’ai pas votre résistance à la douleur, Monsieur Scofield… lui répond elle avec un petit sourire ironique. D’ailleurs, tu m’avais dit que toutes les questions que je me posais sur toi avaient une réponse… Commençons par celle-ci… continue t’elle en pointant son pied.
_ Un petit souvenir d’Abruzzi et de ses amis de la Famille… J’ai refusé de leur dire où se trouvait le type qui l’avait dénoncé… Il n’a pas apprécié alors il m’a découpé les orteils avec une belle paire de cisailles… »
Sara ne peut retenir une exclamation de colère et d’admiration mêlées. Elle revoit Michael
s'asseyant silencieusement à l'infirmerie, luttant contre ses larmes pendant qu'elle le soignait… « Abruzzi ?! est le seul mot qu’elle parvient à articuler.
_ Ouais… confirme t’il.
_ Et la brûlure dans ton dos ? » Elle frissonne malgré elle au souvenir de l’odeur de chair brûlée dans cette salle de bain à la baignoire pleine… « C’était Bellick en fait, non ? »
Il secoue la tête en signe de dénégation. « Je me suis fait ça moi-même.
_ Quoi ? Comment tu as pu te faire ça toi-même ? demande Sara, interloquée.
_ J'étais sorti de ma cellule pour aller au pavillon psy… J’avais mis un uniforme de gardien pour ne pas me faire repérer. Quand je suis revenu par les conduits des faux plafonds, un gardien s’est pointé pour fumer et j’ai dû me coller à un tuyau d’arrivée d’eau chaude pour ne pas me faire repérer…
_ Oh mon Dieu ! Et tu n’as pas crié ?! » Elle se rappelle la chair à vif dans son dos et ne peut s’empêcher de se demander si Kellerman a une marque identique… Elle serre inconsciemment les poings et les dents…
« Sara ? l’appelle Michael qui a remarqué le changement dans l’attitude sereine de la jeune femme. Sara ?
_ Oui, quoi ? demande t’elle en revenant à la réalité.
_ Tu avais l’air ailleurs… Ca va ?»Elle ne répond pas, que pourrait-elle dire de toutes façons ? Rien qui ne changera ce qui s’est passé et rien qui pourra rassurer Michael, bien au contraire...
« Et cette coupure ? reprend elle en caressant doucement la cicatrice sur son bras.
_ Encore une blessure que je me suis fait tout seul ! J’avais planqué le cachet qui a conduit Lincoln à l’infirmerie la première fois qu’on a essayé de s’enfuir.
_ Parce qu’il y’a eu plusieurs tentatives ? demande Sara en ouvrant des grands yeux surpris.
_ Juste deux… La première a raté parce que le tuyau d’aération de l’infirmerie avait été changé… Il a fallu qu’on trouve une autre issue…
_ Et c’est là que j’interviens…
_ Ecoute, Sara, je ne veux pas que…
_ Arrête, Michael, je sais ça ! Je t’en ai voulu, ça oui ! J’ai même essayé de te détester... Mais je n’ai pas pu, Michael ! Tu ne m’as pas forcée à laisser cette porte ouverte ! Tu ne m’as pas forcée à faire ce que j’ai fait ! Je ne l’ai pas fait que pour toi ! Je l’ai fait aussi parce que je pensais que c’était juste, que c’était ce qu’il fallait faire… et je le pense encore ! » le rassure t’elle alors qu’il finit de bander son bras.
_ Tout que je veux, c’est toi… Je veux que tu sois heureuse et en sécurité…Mais c’est impossible si tu es avec moi… J’ai voulu me persuader que si tu étais avec moi, tu serais en sécurité mais c’est faux…
_ Mais je suis heureuse… Loin de toi, je serais en danger et malheureuse… Je ne veux pas être loin de toi… J’ai besoin de toi… » dit-elle dans un souffle alors que Michael l’attire doucement à lui avec une extrême douceur, comme si elle était cassable. Elle se sent comme étourdie quand il commence à déposer des doux baisers de papillon dans son cou.
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 160
Date d'inscription : 07/12/2006
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
omg !! c'est trop trop bien !! j'adore
met nous vite la suite stp !!!
met nous vite la suite stp !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
c'est trop beau... vous etes époustouflantes
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Ils sont AODRABLESSSSSSSSSSSSS!!!!!!
Superbe scène!!!!!
a quand la prochaine suite????
Superbe scène!!!!!
a quand la prochaine suite????
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
c'était superbe
vite une suite
vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 881
Age : 41
Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Hoooooooooooooooooo ils sont trop mignons
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
- Nombre de messages : 5178
Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
a quand la suite ???? je suis trop trop impatiente !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Partie 21 :
Fond sonore: Me and Bobby Mc Gee / Janis Joplin
http://www.radioblogclub.com/fav/0/1705351
Sara laisse sa tête tomber en arrière pour mieux s’abandonner aux doux baisers de Michael…
« On ferait mieux d’aller retrouver Lincoln…... » proteste t’elle mais ni l'un ni l'autre ne fait un geste pour se lever de se lit bien au contraire… Ils ne savent pas qui de l’un ou de l’autre s’allonge en premier sur le lit en entraînant l’autre… Ils restent ainsi un moment, tranquilles, immobiles, désirant et désirable….
« Oui, on devrait vraiment y aller… », répond Michael en se blottissant plus encore contre la poitrine de Sara, reprenant la danse lascive de ses baisers sur la peau frissonnante de la jeune femme. Il pose ses mains sur ses hanches et l’embrasse avec ardeur…
Ils allaient y aller oui… mais pas tout de suite…
_______________________________________
Des bruits de pas ainsi que des voix étouffés leur parviennent du couloir… Allongés l’un contre l’autre, ils se disent que finalement, ils ont peut-être droit au bonheur… Des coups secs frappés à la porte de leur chambre les obligent à revenir à la réalité…
« Michael ? Sara ? Il faut qu’on se tire d’ici ! On a été repéré ! » tonne la voix de Lincoln.
Ils se lèvent d’un bond et cherchent à tâtons leurs vêtements éparpillés autour d’eux, comme deux adolescents pris en faute… Ils ne peuvent s’empêcher de sourire à cette pensée… Mais une expression de panique remplace vite le sourire qui illuminait le visage de Sara.
« Ca va aller, Sara… tente de la rassurer Michael en lui caressant la joue.
_ Comme toujours… » dit elle avec une pointe d’ironie… Elle ne peut s’empêcher de rire intérieurement en pensant que cette vie de fugitive ne lui déplait finalement pas tant que ça… Elle se dit qu’elle pourrait même changer de prénom… Bonnie, ça sonne bien, non ?
En moins de 3 minutes, ils sont dans l’escalier à la suite de Lincoln et rejoignent Kellerman dans l’arrière cour alors que ce dernier remplit un sac à dos avec les paquets que lui passe sa sœur.
« On a été repéré en ville… Mahone est venu fureter dans le coin… Julia l’a envoyé sur une fausse piste mais il va vite se rendre compte qu’elle s’est foutue de lui… Il ne sera d’ailleurs pas long à comprendre qu’elle est ma sœur… Je suis désolée, Julia… » dit-il d’une voix tremblante…Serait-il humain finalement ?
Ils n’ont cependant pas le temps de s’attarder en remerciements et en démonstrations d’affection envers cette femme mystérieuse qui les aident au risque de tout perdre et qui tend un trousseau de clé à son frère avant de disparaître dans la cuisine sans se retourner.
Moins de 15 minutes plus tard, ils sont sortis de la ville et roule sur une route déserte, Kellerman au volant, surveillé de près par Lincoln ; Sara assise près de Michael sur la banquette arrière.
Kellerman se penche pour allumer l’autoradio et tourne le bouton à la recherche d’une station avec une réception à peu près correcte au milieu de cette foutue cambrousse ! Dieu qu’il hait cette région ! Et il ne peut s’empêcher de sourire ironiquement en se disant qu’une fois encore, il a dû venir s’y réfugier et qu’une fois encore, il doit la fuir…
La voix rauque et désespérée de Janis Joplin emplit l’habitacle :
C’est au tour de Sara de laisser un petit rire lui échapper. Devant le regard interrogateur de Michael, elle fredonne « Dire qu'on est libres n'est qu'une autre façon de dire qu'il ne nous reste plus rien à perdre ».
Ils roulent en silence… Seule la respiration régulière de Sara qui s’est endormie sur les genoux de Michael fait écho au silence pesant qui règne dans l’habitacle. Ils ont tous les trois pleinement conscience qu’ils sont en sursis et que le plus difficile reste à venir… Kellerman a reconnu le logo qui orne la clé que Sara a récupérée dans la poche de son père… C’est celui d’un club privé de cigares à Chicago. Un club select où se réunissent tous les pseudos maîtres de la ville pour refaire le monde en toute bonne conscience… Ce n’est en effet pas ce qu’on peut rêver de plus discret pour aller retirer un enregistrement pour lequel le gouvernement est prêt à tuer sans états d’âme… La main de Sara dans la sienne calme Michael plus qu’il ne l’aurait imaginé… Il lui caresse les cheveux doucement, priant pour qu’elle ne se réveille pas et qu’elle profite encore de ses rêves avant d’affronter la dure réalité… Lincoln fixe la route, le visage impassible. Son calme apparent est trahi par le tapotement nerveux de ses doigts contre son genou agité lui aussi de tremblements.
« Vous savez que vous êtes des compagnons de voyage du tonnerre ! On ne s’ennuie vraiment pas avec vous ! Quelle conversation passionnante ! ironise Kellerman
_ Vous ! La ferme ! tonne Lincoln en lui lançant un regard noir. Contentez vous de conduire et de la fermer ! Vous en avez déjà suffisamment fait comme ça ! »
L’ancien agent préfère ne pas attiser le feu et ils continuent leur route au rythme de vieux standards de blues.
Kellerman finit par ralentir et s’engage sur le parking d’une station service. Il arrête la voiture et observe les alentours avec une attention toute professionnelle pendant un moment avant de couper le contact.
« Je vais faire le plein et je reviens. Vous, vous restez dans la voiture !» ordonne t’il plutôt qu’il n’informe les deux frères qui n’ont de toutes façons aucune envie de prendre le moindre risque de se faire repérer.
Fond sonore: Me and Bobby Mc Gee / Janis Joplin
http://www.radioblogclub.com/fav/0/1705351
Sara laisse sa tête tomber en arrière pour mieux s’abandonner aux doux baisers de Michael…
« On ferait mieux d’aller retrouver Lincoln…... » proteste t’elle mais ni l'un ni l'autre ne fait un geste pour se lever de se lit bien au contraire… Ils ne savent pas qui de l’un ou de l’autre s’allonge en premier sur le lit en entraînant l’autre… Ils restent ainsi un moment, tranquilles, immobiles, désirant et désirable….
« Oui, on devrait vraiment y aller… », répond Michael en se blottissant plus encore contre la poitrine de Sara, reprenant la danse lascive de ses baisers sur la peau frissonnante de la jeune femme. Il pose ses mains sur ses hanches et l’embrasse avec ardeur…
Ils allaient y aller oui… mais pas tout de suite…
_______________________________________
Des bruits de pas ainsi que des voix étouffés leur parviennent du couloir… Allongés l’un contre l’autre, ils se disent que finalement, ils ont peut-être droit au bonheur… Des coups secs frappés à la porte de leur chambre les obligent à revenir à la réalité…
« Michael ? Sara ? Il faut qu’on se tire d’ici ! On a été repéré ! » tonne la voix de Lincoln.
Ils se lèvent d’un bond et cherchent à tâtons leurs vêtements éparpillés autour d’eux, comme deux adolescents pris en faute… Ils ne peuvent s’empêcher de sourire à cette pensée… Mais une expression de panique remplace vite le sourire qui illuminait le visage de Sara.
« Ca va aller, Sara… tente de la rassurer Michael en lui caressant la joue.
_ Comme toujours… » dit elle avec une pointe d’ironie… Elle ne peut s’empêcher de rire intérieurement en pensant que cette vie de fugitive ne lui déplait finalement pas tant que ça… Elle se dit qu’elle pourrait même changer de prénom… Bonnie, ça sonne bien, non ?
En moins de 3 minutes, ils sont dans l’escalier à la suite de Lincoln et rejoignent Kellerman dans l’arrière cour alors que ce dernier remplit un sac à dos avec les paquets que lui passe sa sœur.
« On a été repéré en ville… Mahone est venu fureter dans le coin… Julia l’a envoyé sur une fausse piste mais il va vite se rendre compte qu’elle s’est foutue de lui… Il ne sera d’ailleurs pas long à comprendre qu’elle est ma sœur… Je suis désolée, Julia… » dit-il d’une voix tremblante…Serait-il humain finalement ?
Ils n’ont cependant pas le temps de s’attarder en remerciements et en démonstrations d’affection envers cette femme mystérieuse qui les aident au risque de tout perdre et qui tend un trousseau de clé à son frère avant de disparaître dans la cuisine sans se retourner.
Moins de 15 minutes plus tard, ils sont sortis de la ville et roule sur une route déserte, Kellerman au volant, surveillé de près par Lincoln ; Sara assise près de Michael sur la banquette arrière.
Kellerman se penche pour allumer l’autoradio et tourne le bouton à la recherche d’une station avec une réception à peu près correcte au milieu de cette foutue cambrousse ! Dieu qu’il hait cette région ! Et il ne peut s’empêcher de sourire ironiquement en se disant qu’une fois encore, il a dû venir s’y réfugier et qu’une fois encore, il doit la fuir…
La voix rauque et désespérée de Janis Joplin emplit l’habitacle :
Freedom's just another word for nothin' left to lose
Nothin' don't mean nothin' hon' if it ain't free, no no
And feelin' good was easy, Lord, when he sang the blues
You know, feelin' good was good enough for me
Good enough for me and my Bobby McGee
Nothin' don't mean nothin' hon' if it ain't free, no no
And feelin' good was easy, Lord, when he sang the blues
You know, feelin' good was good enough for me
Good enough for me and my Bobby McGee
C’est au tour de Sara de laisser un petit rire lui échapper. Devant le regard interrogateur de Michael, elle fredonne « Dire qu'on est libres n'est qu'une autre façon de dire qu'il ne nous reste plus rien à perdre ».
Ils roulent en silence… Seule la respiration régulière de Sara qui s’est endormie sur les genoux de Michael fait écho au silence pesant qui règne dans l’habitacle. Ils ont tous les trois pleinement conscience qu’ils sont en sursis et que le plus difficile reste à venir… Kellerman a reconnu le logo qui orne la clé que Sara a récupérée dans la poche de son père… C’est celui d’un club privé de cigares à Chicago. Un club select où se réunissent tous les pseudos maîtres de la ville pour refaire le monde en toute bonne conscience… Ce n’est en effet pas ce qu’on peut rêver de plus discret pour aller retirer un enregistrement pour lequel le gouvernement est prêt à tuer sans états d’âme… La main de Sara dans la sienne calme Michael plus qu’il ne l’aurait imaginé… Il lui caresse les cheveux doucement, priant pour qu’elle ne se réveille pas et qu’elle profite encore de ses rêves avant d’affronter la dure réalité… Lincoln fixe la route, le visage impassible. Son calme apparent est trahi par le tapotement nerveux de ses doigts contre son genou agité lui aussi de tremblements.
« Vous savez que vous êtes des compagnons de voyage du tonnerre ! On ne s’ennuie vraiment pas avec vous ! Quelle conversation passionnante ! ironise Kellerman
_ Vous ! La ferme ! tonne Lincoln en lui lançant un regard noir. Contentez vous de conduire et de la fermer ! Vous en avez déjà suffisamment fait comme ça ! »
L’ancien agent préfère ne pas attiser le feu et ils continuent leur route au rythme de vieux standards de blues.
Kellerman finit par ralentir et s’engage sur le parking d’une station service. Il arrête la voiture et observe les alentours avec une attention toute professionnelle pendant un moment avant de couper le contact.
« Je vais faire le plein et je reviens. Vous, vous restez dans la voiture !» ordonne t’il plutôt qu’il n’informe les deux frères qui n’ont de toutes façons aucune envie de prendre le moindre risque de se faire repérer.
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
je viens de relire quelques parties et j'en ai le souffle coupé....
on dirait qu'ils ne sont plus en fuite. c'est vraiment excellent...
et que dire de la figure paternel de Linc envers Mike...
vous dosez super bien les sentiments....
on dirait qu'ils ne sont plus en fuite. c'est vraiment excellent...
et que dire de la figure paternel de Linc envers Mike...
vous dosez super bien les sentiments....
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Mais quelle ambiance dans la voiture, sa donne envie de partir avec eux tellement qu'on a l'air de s'amuser!!!!
Vivement la suite avec en prime les 2 frères jouant les meilleurs compagnon de route de tous les Etats-Unis!!!!!!!!
Vivement la suite avec en prime les 2 frères jouant les meilleurs compagnon de route de tous les Etats-Unis!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
super ces deux dernières suites
c'est tout simplement génial
continuez svp
c'est tout simplement génial
continuez svp
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
nestella a écrit:Mais quelle ambiance dans la voiture, sa donne envie de partir avec eux tellement qu'on a l'air de s'amuser!!!!
Vivement la suite avec en prime les 2 frères jouant les meilleurs compagnon de route de tous les Etats-Unis!!!!!!!!
moi aussi j'ai envie d'être avec eux là
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
trop trop trop bien !!
vivement la suite !!!
vivement la suite !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Partie 22 :
Fond sonore: Holiday / Green Day
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La portière claque et tranche avec le silence gênant et oppressant qui règne dans la voiture. Lincoln et Michael ne se sont pas encore adressé la parole depuis leur dispute du matin… Ils savent tous deux qu’il faut qu’ils parlent, qu’ils doivent s’expliquer, qu’ils ne doivent surtout pas laisser la rancœur et les malentendus s’insinuer entre eux… Ils le savent oui mais aucun des deux ne sait quoi dire pour desarmorcer la bombe d’incompréhension qui s’est installée entre eux…Sara, qui perçoit le malaise entre les deux frères, décide d’aller se dégourdir les jambes et descend de la voiture en rassurant Michael : « Je vais juste aux toilettes, je reviens dans 2 minutes. »
Le silence retombe instantanément dans l’habitacle… La tension est palpable… A bout de nerfs, Lincoln se décide enfin à prendre la parole.
« Ecoute Michael… Je suis désolé, Ok ? Qu’est-ce que tu veux que je te dise de plus ? Je t’ai menti, Ok ! Mais je l’ai fait parce que je voulais te protéger…
_ Je sais, Linc… Je sais… Je n’aurais jamais dû réagir comme ça… J’ai failli tout foutre en l’air… Je ne sais pas ce qui m’a pris…
_ Hey ! Tu aurais peut-être dû te contrôler un peu mais on va quand même pas pleurer pour cette ordure ! Il méritait une dérouillée et, sérieux, tu m’as épaté, Frangin ! Je n’aurais pas fait mieux ! »
Ils éclatent tous les deux d’un rire franc et incontrôlable, un rire qui les libère de toutes les tensions de ces dernières heures, de ces derniers jours, de ces derniers mois… Un rire naturel, simple, fraternel.
« Je vois que la hache de guerre est enterrée ! lance Sara en souriant quand elle se rassoit dans la voiture. Et vous n’auriez pas fumé le calumet de la paix par hasard ? dit elle en joignant son rire aux leurs. Des rires qui s’arrêtent aussitôt qu’ils aperçoivent Kellerman regagner la voiture et s’arrêter pour répondre au téléphone en leur tournant le dos.
« Caroline.
_ Paul, où es-tu?
_ Avez vous envoyé a police ?
_ Non, bien sur que non.
_ Comment savaient-ils que j'étais dans ce train.
_ Paul, je n'en ai aucune idée. »
Des bribes de ses conversations avec Bill Kim reviennent à Kellerman :
Je le ferais savoir au Président.
Je contacte personnellement le Président.
« Est-ce que Burrows et Scolfield sont avec vous? »
J'espérais briefer le Président.
C'est à moi que vous en référez maintenant.
« Paul?
_ Où est-ce que nous avons fêté mon 35ième anniversaire?
_ Quoi?
_ Le restaurant.
_ Il était où?
_ Vous vous en souvenez?
_ Ne soyez pas ridicule.
_Je dois y aller.
_ Ne raccrochez pas.
_ Je dois y aller.
_ Allez juste chercher Burrows et Scolfield...
_Hé.
_Qui que ce soit...
_Dîtes à Bill qu'il a merdé...
_Et bien.
_ Paul? Paul? »
L’ancien agent trahi referme rageusement son portable et se dirige vers la voiture. Alors qu’il s’apprête à ouvrir la portière, Lincoln le saisit par le col et l’accule contre la voiture.
« A qui vous téléphoniez ?
_ Je ne crois pas que ça vous regarde, Burrows… répond t’il d’un ton bravache en tentant de se dégager de son étreinte.
_ A qui vous téléphoniez ?
_ Je ne vous répondrai pas ! Vous pouvez me démolir le portrait si le cœur vous en dit mais je ne vous répondrais toujours pas ! Je sais encaisser les coups et vos poings céderont avant moi…
_ Si jamais vous essayez de nous…
_ Des menaces, Burrows ? C’est une spécialité de votre famille, dites-moi…Puis-je me permettre de vous rappeler que vous n’avez pas vraiment le choix ? Vous avez besoin de moi… Vous l’avez vous-même dit à votre cher frère ce matin… »
Sans rien ajouter mais les regards chargés de haine et de défiance, les deux hommes remontent en voiture.
Ils reprennent la route en silence. Pas un mot n’est échangé entre Springfield et Chicago. La tension est palpable et chacun est conscient que le moindre mot ou la moindre parole pourrait déclencher un séisme… Ils choisissent donc de garder le silence…pour le moment…
Fond sonore: Holiday / Green Day
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La portière claque et tranche avec le silence gênant et oppressant qui règne dans la voiture. Lincoln et Michael ne se sont pas encore adressé la parole depuis leur dispute du matin… Ils savent tous deux qu’il faut qu’ils parlent, qu’ils doivent s’expliquer, qu’ils ne doivent surtout pas laisser la rancœur et les malentendus s’insinuer entre eux… Ils le savent oui mais aucun des deux ne sait quoi dire pour desarmorcer la bombe d’incompréhension qui s’est installée entre eux…Sara, qui perçoit le malaise entre les deux frères, décide d’aller se dégourdir les jambes et descend de la voiture en rassurant Michael : « Je vais juste aux toilettes, je reviens dans 2 minutes. »
Le silence retombe instantanément dans l’habitacle… La tension est palpable… A bout de nerfs, Lincoln se décide enfin à prendre la parole.
« Ecoute Michael… Je suis désolé, Ok ? Qu’est-ce que tu veux que je te dise de plus ? Je t’ai menti, Ok ! Mais je l’ai fait parce que je voulais te protéger…
_ Je sais, Linc… Je sais… Je n’aurais jamais dû réagir comme ça… J’ai failli tout foutre en l’air… Je ne sais pas ce qui m’a pris…
_ Hey ! Tu aurais peut-être dû te contrôler un peu mais on va quand même pas pleurer pour cette ordure ! Il méritait une dérouillée et, sérieux, tu m’as épaté, Frangin ! Je n’aurais pas fait mieux ! »
Ils éclatent tous les deux d’un rire franc et incontrôlable, un rire qui les libère de toutes les tensions de ces dernières heures, de ces derniers jours, de ces derniers mois… Un rire naturel, simple, fraternel.
« Je vois que la hache de guerre est enterrée ! lance Sara en souriant quand elle se rassoit dans la voiture. Et vous n’auriez pas fumé le calumet de la paix par hasard ? dit elle en joignant son rire aux leurs. Des rires qui s’arrêtent aussitôt qu’ils aperçoivent Kellerman regagner la voiture et s’arrêter pour répondre au téléphone en leur tournant le dos.
« Caroline.
_ Paul, où es-tu?
_ Avez vous envoyé a police ?
_ Non, bien sur que non.
_ Comment savaient-ils que j'étais dans ce train.
_ Paul, je n'en ai aucune idée. »
Des bribes de ses conversations avec Bill Kim reviennent à Kellerman :
Je le ferais savoir au Président.
Je contacte personnellement le Président.
« Est-ce que Burrows et Scolfield sont avec vous? »
J'espérais briefer le Président.
C'est à moi que vous en référez maintenant.
« Paul?
_ Où est-ce que nous avons fêté mon 35ième anniversaire?
_ Quoi?
_ Le restaurant.
_ Il était où?
_ Vous vous en souvenez?
_ Ne soyez pas ridicule.
_Je dois y aller.
_ Ne raccrochez pas.
_ Je dois y aller.
_ Allez juste chercher Burrows et Scolfield...
_Hé.
_Qui que ce soit...
_Dîtes à Bill qu'il a merdé...
_Et bien.
_ Paul? Paul? »
L’ancien agent trahi referme rageusement son portable et se dirige vers la voiture. Alors qu’il s’apprête à ouvrir la portière, Lincoln le saisit par le col et l’accule contre la voiture.
« A qui vous téléphoniez ?
_ Je ne crois pas que ça vous regarde, Burrows… répond t’il d’un ton bravache en tentant de se dégager de son étreinte.
_ A qui vous téléphoniez ?
_ Je ne vous répondrai pas ! Vous pouvez me démolir le portrait si le cœur vous en dit mais je ne vous répondrais toujours pas ! Je sais encaisser les coups et vos poings céderont avant moi…
_ Si jamais vous essayez de nous…
_ Des menaces, Burrows ? C’est une spécialité de votre famille, dites-moi…Puis-je me permettre de vous rappeler que vous n’avez pas vraiment le choix ? Vous avez besoin de moi… Vous l’avez vous-même dit à votre cher frère ce matin… »
Sans rien ajouter mais les regards chargés de haine et de défiance, les deux hommes remontent en voiture.
Ils reprennent la route en silence. Pas un mot n’est échangé entre Springfield et Chicago. La tension est palpable et chacun est conscient que le moindre mot ou la moindre parole pourrait déclencher un séisme… Ils choisissent donc de garder le silence…pour le moment…
celifrance- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 07/12/2006
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
super !! vivement la prochaine suite !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: SACRIFICES, co-fic par Misshysteria et Celifrance
Linc et Mick enfin réconciliés!!!
Vivement la suite!!!
Vivement la suite!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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