"DESTIN CROISE" WentSa...

Dans la soirée ou fin de journée les miss^^
merc beaucoup pour vos coms, e contente que vous soyez impatiente
mais attention au chapitre suivant

Euh...vu ta remarque il me tarde encore plus de lire le chapitre qui suit.
stp... dans l'après-midi...stp

oui stp cet après midi !!!!

Je vais essayer je suis en train de l'écrire

ok vivement que tu la poste !!!!

Ouai!!
Préssée que tu la mettes!!!

suite !!!!!!!!!stp

je viens de découvrir cette fic, elle est magnifique... bravo!

trop trop bien !!!!!!!!! Vivement la suite!!!!!

A quand la suite ???

Merci beaucoup pour vos coms
Je vous mets la suite mais attention, il y a une scéne qui pourrait heurté les plus jeunes
j'espère que je ne vous choquerais pas







La phrase magique entendu par Wentworth le délivra de ses appréhensions. Il n’y avait plus place en lui pour l’incertitude ou les hésitations.

Sarah scruta un instant les yeux de Wentworth et lut un sentiment de bonheur. Leurs lèvres se rencontrèrent. Celles de Wentworth étaient douces et chaudes, ses mains aussi, tout le corps du jeune homme semblait s’être enflammé et Sarah elle-même, ainsi que la pièce autours d’eux…

Les rayons du soleil, filtrant à travers le store, jetaient sur les murs des ombres changeantes, illuminants soudain le visage de Wentworth et celui de Sarah.
- Je t’aime, Sarah ! Murmura Wentworth en contemplant la jeune femme.

Un instant plus tard, la jeune femme n’aurait su dire comment elle était arrivé sur le canapé, tant le baiser passionné de Wentworth la laissait pantelante. Un ouragan de désir les submergea, qu’un simple baiser ne suffirait pas à calmer. Tous deux avaient besoin d’un contact plus intime.
Mais soudain, le portable de Sarah retentit. C’est avec des grognements incompréhensibles que le jeune homme la relâcha. D’un sourire amusé, elle lui tendit ses lèvres et l’embrassa, avant de répondre à son appel.

- Oui ?
Wentworth resta assis dans le canapé et contempla la jeune femme, d’un air pensif. Jusqu’à présent, il était pourtant parvenu à gérer sa vie sentimentale aussi habilement que sa vie professionnelle. Il ne s’était jamais investi assez pour que les femmes avec lesquelles il sortait puissent remettre en question ses choix existentiels. Chaque fois, il avait su se préserver et rester maître de lui-même. Mais visiblement, il n’en irait pas de même avec Sarah…

- Tu en es certaine ?
Wentworth entendit Sarah répéter la question, et se concentra sur son visage, essayant de décrire ce qu’elle ressentait.
Sarah raccrocha et rester la tête baissée, regardant le parquet sous ses pieds. Elle avait envie d’éclater la joie, le bonheur qu’elle éprouvait. Mais c’était précipité…

Jenny venait de lui annoncer que le détective avait les preuves que son mari avait bien une maîtresse. Mais pour le moment, il fallait attendre avant d’avouer à Wentworth qu’il allait être père. Car elle était certaine, que rien ni personne, le retiendrait à parler de leur amour…

La jeune femme vint s’installer à ses côtés, et poussa un soupir.
- Qui était-ce ? Demanda Wentworth en s’allongeant dans le sofa, et posa sa tête sur les genoux de Sarah.
- Jenny…, répondit-elle, en lui caressant le visage. Ne me pose pas de questions, s’il te plaît, Wentworth…

Le jeune homme fronça les sourcils, mais se concentra sur le fait qu’il devait accepter la situation. Jamais encore il n’avait aimé à ce point… elle constituait à présent la substance même de ces rêves. En quelques semaines, elle était devenue son alpha et son oméga, son commencement et sa fin. L’idée même de la perde lui arracher le cœur…

Sarah comprit par son silence qu’il n’insisterait plus. Elle se pencha alors au dessus de son visage et lui donna un baiser. Un baiser qui devint peu à peu plus oppressant, passionné, sauvage…

Manquant d’air, Wentworth recula son visage et se leva soudainement.
- Viens, ma chérie… on ne vas pas rester ici, lui dit-il d’u sourire taquin, en l’invitant à se lever.
La jeune femme lui prit la main et se leva.
- Où veux-tu aller ? Demanda-t-elle, en mettant de l’ordre dans ses cheveux.
- D’abord, je vais appeler Paul pour lui dire qu’il ne compte pas sur nous pour la conférence… et que dirais-tu de partir West Roxbury ? J’ai…j’ai un petit chalet là bas, sur la côte…, lui proposa le jeune homme en la dévoirant des yeux. On pourrait peut être y aller tous le week-end ?
Sarah plongea ses yeux noisette dans son regard et finit par lui sauter dans les bras.
- ça serai fabuleux, répondit-elle en l’embrassant. Mais, tu ne m’avais jamais dit que tu avais un chalet !
- C’est un secret que je garde depuis toujours ! J’aime y aller pour me ressourcer ou pour obtenir des réponses à mes questions.
- Un secret ! Répéta la jeune femme, faisant mine d’être vexée.
- Oui, murmura Wentworth, et toi Sarah ! Tu ne me dis pas tout tes secrets, lui dit-il en la serrant un peu plus contre son corps.
Sarah ne répondit pas, elle prit conscience que ses deux jours avec l’homme qu’elle aimait, aller peut être lui permettre de lui dire la vérité…

Après être passé quelques minutes chez Sarah, afin de prendre ses affaires, ils prirent la route. Pendant plus d’une demi heure, Sarah resta silencieuse, rêveuse. Sa tête appuyait contre son siège, elle ferma les yeux. Quelques instants plus tard, Wentworth poussa un petit rire, elle s’était endormie…


Sarah ouvrit les yeux en sursautant quand elle ne ressentait plus les secousses de la route. Wentworth lui caressa la joue en lui donnant un sourire éblouissant.
- On est arrivé, lui murmura-t-il.

Elle regarda alors autours d’elle et fut d’abords surprise de la disparition du soleil. Le ciel était à présent dans une faible pénombre où les étoiles commençaient à scintiller faiblement. Le paysage magnifique la fit frémir. Ils se trouvaient sur un long sentier, d’où aucune habitations n’y étaient pourvue sauf, cette petite cabane qui faisait son charme, au milieu de nulle part, où l’eau d’une petite rivière scintillait.

Perdue dans sa contemplation, elle vit Wentworth lui ouvrir la portière et lui prit la main qu’il lui tendait. Ils pénétrèrent dans le chalet et Sarah fut éblouie par le décor rustique qui l’entourait.

Sur les murs en rondins étaient accrochés de nombreux tableaux. Un bureau très simple en bois d’érable, un fauteuil garni de coussins multicolores, flanqué d’un lampadaire et un divan bleue rayée de rouge foncée constituait le mobilier.
Par terre, des tapis tressés de couleurs vives faisaient ressortir la patine foncée du parquet de chêne.

Dans la grande cheminée de pierre qui occupait toute une paroi, Wentworth était en train d’allumer un feu, qui commençait à crépiter peu à peu.
- Tu aimes ?
Sarah le regarda d’un air hébété. Il lui reposa la question en riant.
- Euh… oui, c’est magnifique ! Mais j’ai l’impression que Madame Miller ne vient pas ici pour faire ton ménage, répondit-elle, d’un air moqueur, remarquant la cuisine dans un foutoir excessif.
- Tu veux vraiment que je mette ma menace à exécution ?

Tous les deux éclatèrent de rire à cette remarque. Mais Wentworth s’approcha aussitôt vers elle et prit le plaid qui se trouver en boule sur le sofa. Il installa la couverture et les coussins sur l’épais tapis de laine, devant la cheminée, où les flammes dansaient derrière la vitre.

Sous le regard de la jeune femme, il se releva, un désir inexplicable dans le fond de ses yeux. Avec une exclamation étouffée en la prenant dans ses bras. Il l’allongea sur le matelas de fortune qu’il venait d’installer et la rejoignit. changeant de position, Sarah se coula contre lui, plaquant ses hanches contre son ventre musclé et dur. Elle glissa ses doigts sous la chemise de Wentworth pour mieux percevoir contre ses paumes la chaleur de sa peau contre la sienne.

Avec des gestes tendres, Wentworth débarrassa la jeune femme de sa robe. Ses lèvres n’avaient pas quitté celle de Sarah et il caressa longuement son corps. Il s’attarda sur son ventre, remonta jusqu’à son cou, et ses seins. Sarah poussa un gémissement de volupté et tandis que Wentworth, pressé de la sentir encore plus près de lui, recula et ôta sa chemise, qu’il balança sur le sol. Il se pencha ensuite vers elle et reprit ses lèvres d’une volupté insoupçonnable. Elle eut l’impression fugace d’être enfin arrivée à bon port après avoir essuyé force tempêtes.
Elle perdit ensuite toute notion du temps et de la réalité.

Fébrilement, elle déboutonna le jean de Wentworth. Sous le regard de Sarah, le jeune homme sentit sa respiration se précipiter. Leurs regards se plongèrent dans les yeux de l’un et l’autre. Un ouragan de désir les submergea. Les mains impatientes de Wentworth reprirent ses caresses sur le corps, doux et chauds de la jeune femme. Il se pencha vers elle, et lui prit sa bouche avec passion. Les accords subtils du ylang-ylang se mariant aux notes chaleureuses du musc et du santal. Leurs corps, serrés l’un contre l’autre les laissèrent s’échapper dans leur étreinte passionnée.

Tout, soudain, participait de sa ferveur : le tissu, l’odeur de sa peau, le crépitement du feu, le contact un peu rêche du tapis… leur acte d’amour devenait une cérémonie presque mystique, une communion avec le reste de l’univers.

Luttant contre sa propre exaltation, il émit un gémissement sourd qui fit sourire la jeune femme, amoureusement…

Sarah avait l’impression de glisser dans une délicieuse folie. Nouant ses jambes autour des hanches de Wentworth, elle gémit, se renversant en arrière, la gorge tendue, la tête tournée vers le plafond. Elle ne comprenait pas ce qui était en train d’arriver. Toute raison l’avait depuis longtemps désertée pour laisser place à une joie sauvage qui animait son corps de violents soubresauts.

L’univers tout entier avait basculé et elle dérivait quelque part au milieu du néant, seule avec cet homme qu’elle aimait plus que tout au monde et qui savait lui donner tant de bonheur. Elle n’était plus que sensations, libérée des chaînes de ses propres angoisses.

Jamais elle n’avait éprouvé une confiance si parfaite et plus elle se laissait aller, plus son plaisir augmenter. Quelque part, dans un autre monde, elle sentit Wentworth lui retirer le reste de ses sous-vêtements, avant de reprendre ses baisers brûlants sur chaque parcelles de sa peau.

Elle aurait voulu crier grâce, le supplier d’arrêter, mais sa bouche était incapable de former les mots qu’elle cherchait en vain. Alors, il remonta le long de son corps, lui laissant le temps de faire surface. Mais comme elle était sur le point de recouvrer ses esprits, il entra en elle, très lentement. Et l’impossible se produisit : alors qu’elle avait cru atteindre les frontières ultimes que son corps pouvait supporter, elle découvrit qu’il existait un nouveau monde au-delà.

- Oh, Sarah…je t’aime tellement, murmura Wentworth en freinant volontairement l’ampleur de ses mouvements.

A ces mots, elle frissonna toute entière. Il accéléra alors, nouant ses mains à celles de la jeune femme qui s’ouvrit encore pour l’accueillir tout au fond d’elle. Pendant ce qui leur sembla être des heures, ils dérivèrent ainsi jusqu’à ce que la vague immense de leur plaisir les emporte tous deux en un maelström chaotique de chair et de cris, les faisant fusionner en un instant d’éternité.

Et tandis qu’ils sombraient, Wentworth cria son nom…

encore encore encore!!! c'es trop beau!!! je veux une suite!!!

c'était magnifique... j'ai eu des papillons dans le ventre tellement c'était beau

MAGNIFIQUE SUITE !!!!!!

Oh mon dieu que c'est beau, j'en veux encore vite une suite

que apar : bravo ! c'est magnifique !!


la suite stp !!

Cétait vraiment troooo booooo jen aie dé tites sensations tellement cest !!!!!!

vivement la suiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

waw c'était vraiment trop .... waw!!
Je t'en supplie continue !!!!!viiiiiiiiiiiiiiiite une suite!!!!

a quand la suite ????

SUBLIME!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai adorée!!
A quand la suite????

Trop H.S pour la finir ce soir
désolée, ca sera pour demain

MAGNIFIQUE

tu manie magnifiquement bien les mots bravo


vivement la suite

nol59 a écrit:Trop H.S pour la finir ce soir
désolée, ca sera pour demain

alors vivement demain !!!!!

Hou quel moment intense riche en émotions c'était waou!
vivement demain alors ce n'est pas moi qui vais t'en vouloir de pas mettre de suite ce soir après cette scène!

j'attend ta suite avec impatience