"DESTIN CROISE" WentSa...

chachou18 a écrit:une suite stp stp stp stp stp stp stp pitié!!!

tout a fait !!!! par pitié la suite !!!

ce sera pour ce soir les filles

MERCI POUR VOS COM'S

génial vivement ce soir dans se cas!!!!! ouééééééééééééééé

VIVEMENT CE SOIR !!!

nol59 a écrit:ce sera pour ce soir les filles

MERCI POUR VOS COM'S

ba alors vivement se soir !! sa va etre très très dure d'attendre

Super il me tarde ce soir

il me tarde d'être à ce soir aussi..... vite... vite

je veux la suite !!stppppppppppp

On est ce soir non?

Juju410 a écrit:On est ce soir non?

je suis d'accord avec elle!!!

chachou18 a écrit:

Juju410 a écrit:On est ce soir non?

je suis d'accord avec elle!!!

pareil !! on veut notre suite !!!!

merci les filles^^
voici la suite




Le lendemain, après un interminable dîner en compagnie de Wilson, Sarah monta dans sa suite afin de se changer pour vérifier si les rumeurs des clients concernant l’Oasis étaient fondés.

Tatiana l’avait convaincue, dans la matinée de profiter de cette visite pour se reposer et de profiter du lieu paradisiaque.

Une heure plus tard, tandis qu’elle traversait la jungle colorante, elle apprécia le conseil de la directrice de l’hôtel.

Pour atteindre l’Oasis, il fallait qu’elle parcourt plus d’un kilomètre à pied. Le circuit de randonné était dessert. Les clients se prélassaient sur la plage, et se baignaient dans une mer magnifique, vu le climat, ils avaient raison, pensa-t-elle en resserrant le paréo qu’elle avait attaché autour de ses hanches.

Il faisait très chaud pendant cette journée, et heureusement qu’elle avait prévue de mettre son chapeau de paille, ses lunettes de soleil, et surtout son maillot de bain, se dit-elle en admirant le paysage. La jeune femme lui avait dit qu’il s’agissait d’une piscine en pleine nature, dans un coin retiré.

Des oiseaux et des papillons animaient les bosquets d’hibiscus pourpres et d’orchidées roses.

Sarah s’engagea sur un chemin étroit, taillé dans le roc, qui surplombait des ravins vertigineux. Soudain, la pente déboucha sur une corniche qui formait un belvédère au-dessus de la rivière. Un nuage de brume s’élevait de la cascade dans un grondement sourd. L’eau tombait dans un jaillissement d’écume et, au pied des chutes, le vacarme était assourdissant.

Un peu plus loin, elle émit un gémissement d’admiration. Elle venait de découvrir l’Oasis. Elle s’installa sur une chaise longue en teck et admira les lieux. Une gigantesque piscine se mouvait devant elle. Plusieurs cascades étaient installées au creux des rochers qui faisaient un charme fou à l’endroit, et qui donnaient des délicieux mouvements de l‘eau clair. Des palmiers entouraient le bord de l’eau et donnaient de l’ombre qui se laissaient apprécié par la chaleur.

Elle se rendit compte qu’aucune dégradations n’avaient fait objet, et en fut rassuré. Elle ouvra son sac, et sortit une gourde d’eau, qu’elle avait emporté afin d’éviter la déshydratation. Elle en but lentement quelques gorgées et se leva du bain de soleil.

Soudain, la jeune femme ôta le paréo de sa taille et le laissa tomber sur le sol. Sarah prit une profonde inspiration et plongea dans l’eau chaude. Elle fut d’abord surprise de la température tiède de l’eau et savoura le plaisir qu’elle ressentait à faire quelques brasses.

Pendant ce temps, de l’autre côté de la piscine, où Sarah s’avançait, un homme s’approcha du bord. Il regarda le corps de la jeune femme avec admiration, s’approchait vers lui. Elle ne l’avait pas encore aperçut et il décida de s’approcher encore un peu plus. Au moment où Sarah sortit la tête de l’eau pour prendre sa respiration, il s’agenouilla, face à elle.

Sursautant de peur, elle se redressa sur ses pieds et le fixa dans les yeux. Son regard ne paraissait pas surprit de le voir mais ses pupilles noisettes lui lançaient des éclairs.

Sans un mot, elle se retourna et s’apprêta à rejoindre le côté opposé du bord pour sortir quand elle entendit un bruit sourd derrière elle. Elle ferma les yeux, devinant ce qu’il venait de faire et se retourna immédiatement.

- Je ne veux pas te voir, Went ! S’écria-t-elle, d’une voix furieuse.
- Je dois t’expliquer, Sarah !
- Et tu n’as pas trouvé mieux d’utiliser mes amies pour le faire ? Et de plonger tout habillé dans cette piscine ? Cria la jeune femme, furieuse contre elle même, à présent.

Elle sentit toutes ses forces l’abandonner devant le corps mouillé de Wentworth où les gouttelettes étincelantes, échappées de ses cheveux ruisselants d’eau, coulaient sur son visage.
Où étaient passé ses bonnes résolutions ? Se dit-elle en plongeant son regard dans celui de Wentworth.
- Sarah, je t’aime…souffla-t-il, en s’approchant d’elle.

La jeune femme ne fit aucun geste de recul, et il profita pour l’agripper par la taille et de l’attirer vers lui.

- Non, tu ne m’aimes pas, lâcha-t-elle, les larmes aux yeux. Tu n’aurais pas embrassé cette fille si c’était le cas…
- Laisse-moi t’expliquer, ma chérie… Erika va se marier ! Je lui ai donné un simple baiser, je t’assure ! Je sais que tu as pu interpréter autre chose, mais tu sais tout comme moi que les paparazzis ont l’art de mettre une scène en valeur !

La jeune femme resta bouche bée. Sans le quitter des yeux elle sentit ses joues rougir de honte. Comment avait-elle osé penser qu’il était comme les autres hommes ?
- Sarah ? Je sais pour Josh, Jenny m’a tout raconté…
- Je…je suis désolée, dit-elle en baissant la tête…
- Ma chérie, fit-il en lui soulevant son menton. Je t’aime et si tu savais à quel point tu m’as manqué ! Ne me refait plus jamais ça, Sarah ! Tu m’entends ? Demanda-t-il avant de l’attirer un peu plus vers son corps.

La jeune femme versa des larmes chaudes et résignée, elle se lova contre lui.
- Tu m’as tellement manqué, Went… Excuses-moi, j’aurais du t’écouter. Je ne sais pas se qu’il m’a prit…
- Ce n’est rien, mon amour, fit Wentworth en prenant ses lèvres chaudes et humides.

Il la serra dans ses bras avec passion, comme si il cherchait à éveiller en elle la violence d’un désir qu’elle refoulait. Vibrant de tout son corps, Sarah s’agrippa à ses épaules et se laissa sombrer avec délices dans un flot de sensations éblouissantes.

Déjà, toute pensée raisonnable lui échappait, et elle ne prêta pas attention au bruit sourd des cascades d’eau, près d’eux.
Tandis que leur baiser devint plus ardent, et ressentant le désir de Wentworth montait contre elle, Sarah se dégagea légèrement.
- Écoutes…
Le jeune homme posa ses yeux brillants sur les lèvres qu’il venait de détacher à regret, et lui répondit :
- Oui ?
- Je… je ne sais pas comment les gens vont réagir, mais…
- Ne t’inquiète pas pour ça, Sarah ! Quand nous rentrerons à Dallas, nous ferons une conférence de presse et nous les mettrons au courant ! Je ne veux plus qu’on vive notre amour de cette façon ! Je veux que le monde entier sache à quel point je t’aime !

La jeune femme le regarda dans les yeux et fut émue par les paroles qu’il venait de lui dire. Quelques secondes plus tard, le jeune homme surprit une lueur malicieuse dans les yeux de Sarah. Il n’eut pas le temps de dire quoi que soit, la jeune femme plongea au fond de l’eau.

Piqué au vif, il se prépara à riposter, s’attendant à être tiré par les pieds. Mais il ne repéra aucune bulles d’air, ni aucun mouvement. Aussi souple et silencieuse qu’un requin, elle rôdait quelque part autour de lui.

Soudain, Sarah bondit sur son dos et, appuyant de toutes ses forces sur sa tête, elle essaya de le faire couler.

Il bougea à peine.
- Hé, mauvais joueur, tu étais supposé couler.
Son rire frais éclata à l’oreille de Wentworth.
- Tu veux dire, comme ça ?
Dérobant une épaule, il se pencha en avant et la fit basculer la tête la première dans l’eau.
Elle refit surface en crachotant, les yeux brillants de malice.
- Tu vas me le payer, Miller !

Elle se rua vers lui en brassant des trombes d’eau. Un goût de chlore flotta sur les lèvres de Wentworth et sa vision fut brouillée. A l’aveuglette, il saisit un bras et tira vers lui. Sarah fut propulsée contre son torse et, profitant de l’effet de surprise, il noua ses bras autour d’elle pour la bloquer.

Elle gigota pour se libérer, tout en protestant avec force.
- Lâche-moi, espèce de tricheur.
- Et pourquoi ça ? Demanda-t-il, d’une voix rauque.

Le contact de sa peau douce, tiède et mouillée faisait naître en lui un désir vibrant. La jeune femme ne savait plus à quel moment il s’était dévêtu mais approuva son geste, passant ses jambes autour de ses hanches.

- Parce que, si tu le fais pas, je vais te mordre !
Il lui adressa un regard brûlant.
- C’est une promesse ?

Le regard tendre qu’elle venait de lui lançait accentua encore un peu plus le désir qu’il avait d’elle.

S’apercevant du besoin de Wentworth devenir aussi fort que le sien, Sarah se recula de son corps.

- Il…il faudrait peu être rentré…
- Oui, tu as raison.

Sur ses mots, ils sortirent tous les deux de la piscine. Le jeune homme ramassa les affaires de Sarah et s’éloignèrent de l’Oasis…
- Oh, fait ? Tu es là depuis combien de temps ? Demanda la jeune femme.
- Un jour avant ton arrivée, répondit Wentworth dans un sourire.
La jeune femme poussa un soupir et ajouta :

- Tu es complètement fou, Miller ! Et tes photos ? Ça s’est bien passé ?
- Oui, mais c’est vraiment pas mon truc ! Si tu aurais vu ma tête ! Je n’en pouvais plus, rester dans la même position plus de dix minutes, j’ai pété un câble plusieurs fois, crois moi !

La jeune femme éclata de rire et posa la tête contre son bras, marchant main dans la main.

- Tu te fous de moi ? Demanda-t-il d’une voix rieuse.
- Non, mais j’imaginais seulement la scène ! Répondit-elle, s’ esclaffa de plus belle.

Quelques minutes plus tard, alors qu’ils débouchaient au coin de l’hôtel, Sarah aperçut la silhouette de la directrice s’enfuir à sa vue.

- J’y crois pas !
Pour toute réponses, le jeune homme sourit.
- Elle m’a été d’une utilité précieuse, Sarah !
Le ton moqueur de la voix du jeune homme la vit rire.
- Tu…ne me dis pas que tu as une chambre au même étage que le mien ?
Il la regarda d’un sourire amusé, et répondit :
- Juste à côté de ta chambre, mon amour.

Stupéfaite de sa réponse, ses mots moururent dans sa gorge. Ils venaient d’entrer dans l’ascenseur, et si le couple de personnes âgés n’aurait pas été là, avec eux, elle imaginait très bien ce qu’il se serait passé…

Olalalalalalalalala cest trooooo choooux couler vous, couler vous!!!!!!!!!!!!
mouahahaha jadooooooooooooreeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


vivement la chapitre 21!!!!!!!!!!!!!

o my god ! ta suite est tout simplement magnifique !! je me lasse pas d ela relire tellement elle est bien écrite ! encore

vivement la proochaine suite je sens que sa va etre ... !!!!!!!!

met nous vite la suite stp !!!!

SUPERBE SUITE !!!!

Oh trop beau!! Trop bien écrit! Ah j'veux trop la suite

Superbe suite!!!!!
Ils sont trop mignon ces 2 la!!!!
Ouhhhhhhhhhhhhhh a mon avis quand ils vont se retrouver tous les2 ils vont ratraper le temp perdu!!!!!!

génial

alalala ces personnnes âgées ils pouvaient pas prendre les escalier pour laisser Sarah et Went tranquille

vivement la suite

Oh c'était mimi ces retrouvailles
vivement la suite

c'étit vraiment de belle retrouvaille!! merci!! vivement la suite!!!

JVEUX LA SUITE JSUI TROP ACCRO !!!

ah mon dieu,

j'avais un retard monstre.... j'y crois pas...

ta fic est sensationnelle... j'adore la manière dont tu alterne les sentiments douceur/violence, haine/frustration.....

c'est vraiment intense....

et les retrouvailles... que dire, à part qu'elles sont magiques....

c'est du grand art....

maintenant je veux une suite

ENNEADE a écrit:ah mon dieu,

j'avais un retard monstre.... j'y crois pas...

ta fic est sensationnelle... j'adore la manière dont tu alterne les sentiments douceur/violence, haine/frustration.....

c'est vraiment intense....

et les retrouvailles... que dire, à part qu'elles sont magiques....

c'est du grand art....

maintenant je veux une suite

On a des artistes sur ce forum !

merci pur vos coms les filles
vous êtes vraiment supergentille
j'espère que vous aimerez encore






A peine qu’ils furent entrés dans la suite de Wentworth, la jeune femme sourit à l’idée qu’il était à ses côtés, si prés d’elle, pendant toute une semaine.

Un gémissement sourd lui échappa quand il l’enlaça. Son souffle chaud lui caressa la nuque, les tempes, les paupières, au fur et à mesure qu’il lui parsemait le visage de baisers.

Quand leurs lèvres se joignirent enfin, elle se pressa contre lui en un appel muet, sans même chercher à retenir son paréo qui glissa sur le sol. Elle avait tellement rêvé de ses retrouvailles, il lui avait tellement manqué…

Le jeune homme poursuivit son exploration, ses mains envahissaient le corps de Sarah en un jeu voluptueux qui la mit au supplice. Il l’éloigna un peu pour parcourir les courbes de son corps d’un regard fiévreux puis la reprit contre lui. Une main s’égara sur sa gorge, délicieuse, tendre, exquise.
- Sarah…
Le timbre assourdi de la voix, l’éclat brillant et clair du regard, la chaleur du corps viril plaqué contre le sien, trahissaient un désir égal au sien.
Une flamme infiniment tendre traversa les yeux bleus du jeune homme et soudain, il la souleva dans ses bras et la déposa sur le lit comme un précieux fardeau.

En s’allongeant auprès d’elle, il reprit ses lèvres. Enivrée par sa chaleur, par la sensation magique des mains qui couraient sur son corps. Sarah céda avec délices à la volupté. Elle frissonna en sentant son amant trembler de désir, un désir qui promettait des plaisirs infinis. Une vague d’euphorie monta en elle, une allégresse sans mélange, tandis qu’il se débarrassait de son jean encore humide.

Ils s’embarquèrent alors dans un voyage sensuel à la redécouverte de l’un de l’autre, dans un éblouissement de chaque instant. Au début, leurs caresses furent douces, légères, aériennes. Puis, peu à peu, leur duo gagna en intensité, et leur échanges se firent plus fougueux, ardents, entrecoupés de murmures et de soupirs. Tous deux s’abandonnèrent à la volupté, emportés par une passion qui les dépassait l’un l’autre. De baisers tremblants en caresses avides, ils se retrouvèrent en fusion, enfin. Dans un don total de leurs corps, privé l’un de l’autre pendant ce qui leurs avaient parut une éternité, ils se retrouvaient…

Soulevé par des vagues vers un sommet qu’ils atteignirent dans un même cri, comme un torrent de feu, des coulées de plaisir déferlèrent en eux jusqu’à transformer l’ardeur qui les consumait en une pluie d’étincelles…

Un grand calme descendit ensuite vers eux. Longtemps, ils demeurèrent enlacés, laissant leurs souffles mêlés revenir au repos. Ils ne se parlaient pas, mais qu’y avait-il encore à dire puisque les bras de Wentworth étaient autour d’elle, que sa bouche lui effleurait tendrement les cheveux ? Ivre de bonheur, elle s’endormit comme un ange en repoussant les interrogations du lendemain…



Un peu plus tard, Sarah entrouvrit les yeux, et sourit au bien être qu’elle éprouvait. Sa tête nichée dans le creux de l’épaule de Wentworth, la jeune femme trembla de plaisir aux caresses qu’il lui infligeait de ses longs doigts dans son dos, descendant langoureusement au creux de ses reins.

- Tu es vraiment insatiable, fit-elle en lui donnant de légers baisers sur son torse puissant.
Wentworth émit un faible rire, tandis qu’elle continuait son exploration de ses lèvres chaudes.
- Tu es sur que tu parles de moi ? Demanda le jeune homme d’un air taquin.
Ils plongèrent leurs regards dans l’un et l’autre, et se sourient amoureusement.
- Je t’aime, murmura-t-il, en l’attirant vers lui.
- Moi, aussi je t’aime.

Wentworth poussa un soupir de soulagement, de bonheur. Il se sentait si bien quand elle se trouvait dans ses bras.

Soudain, il regarda Sarah qui venait de sursauter dans le lit.
- Qu’est-ce que tu as ? Demanda-t-il d’un air inquiet.
- J’ai faim…

Le jeune homme éclata de rire devant le visage rougis de la femme qu’il aimait. Calmant son rire, il posa délicatement une main sur le ventre de Sarah, et approcha ses lèvres. Il embrassa sa peau douce et murmura :

- Tu es sur que ce n’est pas notre fils qui réclame à manger ?
- Notre fils ? C’est peut être une fille ! Dit-elle en riant.
- Peut importe, mais je suis certain que c’est un petit gars ! Répondit Wentworth d’une voix certaine, les yeux pétillants de bonheur.
- Et, si c’est une fille ?
- Et bien ! Si elle te ressemble, je pense que je ne suis pas sortit de l’auberge ! Lâcha-t-il en se protégeons du projectile qui heurta sa tête.
La jeune femme reprit l’oreiller et le tapa, en riant fortement.
- Tu vas me le payer, Sarah !

Les amoureux chahutèrent pendant un moment, et, comme s’ils étaient attirés par un aimant, leurs lèvres se trouvèrent et ne se quittèrent plus avant qu’ils furent épuisés de l’étreinte passion qu’ils savouraient ensemble, encore et encore…



Le lendemain matin, la jeune femme se leva du lit lentement afin de ne pas réveiller Wentworth, profondément endormit à ses côtés. Elle passa sa robe de chambre et embrassant le front d’un léger baiser du jeune homme, avant d’aller dans la petite cuisine, attenante à la chambre, sur la pointe de ses pieds nus.

En attendant que le café soit prêt, elle se prit à siffloter gaiement. C’était horriblement faux, mais cela lui était égal ! Rien ne pouvait altérer sa bonne humeur ce matin !

Elle disposa deux tasses sur un plateau, les remplit de café fumant, et s’apprêtait à les porter dans la chambre, lorsque Wentworth apparut dans l’encadrement de la porte.

Vêtu d’un peignoir bleu, il la fixait d’un air intrigué. Le sourire de Sarah s’évanouit quand elle rencontra son regard circonspect.

- Que se passe-t-il ? Demanda-t-elle dans un murmure.
- Il…il faut partir, Sarah, répondit le jeune homme en s’approchant d’elle.
- Quoi ? Pourquoi ? … Wentworth ?
- Je viens de recevoir un message de Paul, sur mon portable. Il… Josh a tout balancé à la presse.

Sous le choc, Sarah posa le plateau sur la table et s’effondra sur la chaise.
- Mais…il m’avait dit… qu’il ne ferait rien, Went ! Il est certain que c’est Josh ? Demanda-t-elle en bredouillant.
- Oui, à en croire !
La jeune femme remarqua la colère qu’elle voyait dans les yeux de Wentworth.
- Je suis désolée, Went…
- Tu es désolée ? Ne dis pas ça, c’est pas ta faute, ma chérie ! La rassura-t-il, en s’agenouillant à ses côtés. Je t’aime, et je me fous de comment ils prendront les choses ! C’est de nous deux qu’il s’agit, Sarah ! Et rien ni personne ne se mettra dans notre chemin ! Je t’aime, et les journalistes peuvent écrire ce qu’ils veulent !
- Ne dis pas ça ! S’écria-t-elle ! Tu imagines s’ils me rabaissent comme une moins que rien, et qui est enceinte de son amant ! Et toi ? Ton image si exemplaire aux yeux des fans ! Went ? Ma famille n’est même pas encore au courant, fit-elle, en éclatant en sanglots.
- Je ne les laisserais pas faire, Sarah ! Je vais appeler mon agent, comme j’aurais du faire depuis le début, et je ferais une déclaration à la presse, ok ?

La jeune femme ne répondit pas, elle hocha la tête en signe d’acquiescement mais la colère qu’elle éprouvait pour elle était plus grande que de son inquiétude pour son image. Elle avait donné sa confiance à Josh ! Elle le croyait changer !
- Oh, mon dieu, lâcha-t-elle dans un murmure de désespoir.

Wentworth la prit dans ses bras et la berça tendrement. Il savait que la jeune femme s’en voulait pour la confiance aveugle qu’elle avait eu pour son ex-mari. Il sentit ses muscles se contracter à la pensée de cet homme ignoble, et se promit qu’il le ferait payer de ses propres mains…

- Pourquoi doit-on partir d’ici, Wentworth ?
Il soupira et lui répondit en lui caressant ses joues humides.
- Des journalistes sont en chemin, Sarah…
Elle allait lui dire qu’il était impossible que la presse était au courant de son exil, mais se retint. Elle avait averti Josh qu’elle serait à cet endroit.

De rage, elle se frotta vigoureusement le visage de ses mains tremblantes.
- Écoutes, va dans ta chambre et prépares tes affaires. Je te rejoindrais dans dix minutes, ok ?
- Où vas-tu ? Reste avec moi, Went…
- Sarah, il faut que j’appelle la sécurité pour qu’il nous trouve un hélicoptère pour quitter cette île. On ne peux pas se permettre d’attendre le ferry. Tous les journalistes ont du faire le déplacement, et le seul moyen de nous trouver ici, c’est le bateau !
- Euh… oui, tu as raison.

Sarah se leva de sa chaise, et d’un pas mal assuré s’avança vers lui. Le jeune homme l’attira dans ses bras, et la serra très fort, voulant lui transmettre un peu de sa force pour affronter les médias.
- Je suis désolée, Wentworth…
- Tu n’as pas à être désolé, ma chérie ! Nous nous aimons et c’est ce qui compte, plus rien d’autre n’a d’importance….

Un quart d’heure plus tard, alors que Sarah ouvrit la porte de sa chambre, Wentworth se trouvait dans le couloir.

Le jeune homme donnait des instructions à ses deux gardes du corps, mais s’arrêta aussitôt quand il l’aperçut.
- Sarah ! Tu ne te sens pas bien ? Demanda-t-il avec inquiétude.
- Si, si ça va aller, le rassura-t-elle en lui caressant tendrement sa joue.

Le jeune homme resta tout de même inquiet, malgré qu’elle lui dise qu’elle allait bien. Son visage était très pâle et ses traits tirés par l’angoisse. Ses yeux étaient rougis par les pleurs, observa-t-il, avant qu’elle ne les cache avec ses lunettes de soleil.

- Monsieur ? Il faut y aller…
- Oui ! Viens Sarah, nous allons sur le toit, un hélico nous attends.

Il l’aida à chaque pas qu’elle faisait dans le couloir, et s’aperçut de la faiblesse de la jeune femme au moindre de ses mouvements.

Il resserra son bras autour de sa taille, et la soutenait un peu plus. Wentworth prit peur de la voir ainsi. Depuis qu’ils s’étaient avouer leur amour, il avait le sentiment que la jeune femme souffrait. Et là, encore, à cause de son impatience, il l’entraînait dans un périple chaotique, d’où se mêlaient les pires rumeurs et insultes du monde de la presse…

Au même moment où Aaron ouvrit la porte qui les emmenait sur le toit, un vacarme de brouhahas leur parvint au bout du couloir.

Sarah ne comprit pas ce qu’il se passait, elle entendit Aaron crier à son collègue de les retenir, et se sentit soulever dans les bras de Wentworth…

SUPER SUITE !!! JOSH EST UN GROS SAL RD