"DESTIN CROISE" WentSa...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Elle me fait trop rire Sarah!!!
Ah la petite fille arrive et sa va etre un moment merveilleux je suis sure!!!!
impatiente de lire la suite!!!!!
Ah la petite fille arrive et sa va etre un moment merveilleux je suis sure!!!!
impatiente de lire la suite!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
c'est génial !! la petite nolwenn miller va naitre !! trop trop bien !! et went qui stresse a mort parcequ'il arrive en retard !
stp met le + vite possible la suite !!!
stp met le + vite possible la suite !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Sarah qui veut pas accoucher toute suite parce que Went n'est pas là
et Went qui agresse tout le monde
Vivement la suite
et Went qui agresse tout le monde
Vivement la suite
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
WentSarah a écrit: Sarah qui veut pas accoucher toute suite parce que Went n'est pas là
et Went qui agresse tout le monde
Vivement la suite
oue c'est clair j'adore !!!!!
please met la suite !!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Tout a fait d'accord !!sarascofield a écrit:WentSarah a écrit: Sarah qui veut pas accoucher toute suite parce que Went n'est pas là
et Went qui agresse tout le monde
Vivement la suite
oue c'est clair j'adore !!!!!
please met la suite !!!!!!
Viiiiiiiite une suite !!!!
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
met une suite aujourd'hui stp !! je t'en suplie !!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
merci les filles, mais pas eu le temps la poster avant !
la voici les filles
- CHAPITRE 31 -
Dans la salle de travail, Sarah souffrait le martyr. Les livres ne lui avaient pas indiqué qu’un accouchement faisait aussi mal. Et Wentworth qui n’était pas là pour la réconforter… Mon Dieu que c’était difficile !
- Voilà, voilà, c’est bien ! L’encouragea la sage femme d’une voix douce.
- Oh… j’ai mal !…
- Votre dilatation est presque complète. Respirez… Courage, vous n’en avez plus pour très longtemps à présent !
Le bébé allait-il naître sans Wentworth ? Une brusque panique l’envahit.
- Je ne veux pas que le bébé arrive… C’est trop tôt, gémit-elle.
- Nous y sommes presque !… Courage !…
Une contraction plus forte lui arracha un cri de douleur. Elle sentit un liquide chaud inonder ses cuisses.
- Vous êtes en bonne voie. Tout va bien ! Vous venez de perdre le restant des eaux.
Sarah aurait donné n’importe quoi pour que Wentworth soit là. Elle avait l’impression qu’elle n’y arriverait jamais sans lui.
Des larmes coulaient sur ses joues. La souffrance était intense, et par moments tout à fait insupportable. Il lui semblait qu’elle ne pourrait jamais survivre à une telle douleur.
Soudain, elle entendit du bruit dans le couloir.
Et brusquement la double porte de la salle de travail s’ouvrit d’un coup avec un fracas terrible.
- Oh, ma chérie ! S’écria Wentworth en se précipitant aux côtés de la jeune femme.
- Heureusement que vous êtes arrivé, Monsieur Miller. Votre femme va bientôt accoucher, informa la sage femme en souriant d’assister aux retrouvailles du jeune couple.
Wentworth l’embrassa avec passion et se lui serra la main.
- Je n’ai pas pu venir plus tôt, murmura-t-il tendrement. On dirait que tu t’en sort bien…
- J’avais tellement peur qu’elle vienne au monde sans que tu sois là, gémit la jeune femme en laissant échapper quelques larmes de ses paupières.
Wentworth lui donna un rapide baiser sur le front et lui essuya d’un geste tendre, ses joues meurtries par la douleur.
- Je suis là, mon amour !
Sarah frotta tendrement sa joue contre la grande main de Wentworth. Une nouvelle contraction, plus forte que les autres, lui coupa le souffle.
- Respire, conseilla Wentworth d’une voix douce et encourageante. Je suis avec toi. Souviens toi de nos exercices. Respire bien, tu sais comme Dom lorsqu’il a trop chaud et qu’il tire la langue.
Elle se sentait de plus en plus mal. Elle avait l’impression qu’on lui arrachait les entrailles.
- On dirait que votre fille arrive ! S’exclama la sage femme. Poussez, poussez, Sarah !
Sarah enfonça ses oncles dans la main de Wentworth, qui échappa un faible râle de douleur.
- Bravo ! C’est bien, mon cœur, murmura-t-il. Continue ! Ce n’est plus très long, courage !
- C’est bien Sarah, allez-y ! poussez encore un peu !
Sarah poussait de toutes ses forces. Entre deux contractions, elle s’effondrait contre le bras de Wentworth, épuisée, puis elle recommençait courageusement.
Elle sentit soudain entre ses jambes quelque chose de chaud et de vivant.
- Je vois sa tête ! Annonça Wentworth, ému.
- Poussez, poussez ! Répétait la sage femme. Si vous voulez voir l’enfant, Wentworth peut vous soulever un peu.
Sarah vit alors apparaître une petite tête rouge avec des cheveux noirs maculés de sang. Les yeux du bébé était fermés, et sa toute petite bouche avait la couleur du…rubis.
- Respire bien et pousse encore… Oui, bravo ! Elle est là !
- Elle est magnifique ! Annonça triomphalement la sage femme.
Sarah aperçut enfin le bébé. Sa venue au monde avait été laborieuse, mais toute souffrance venait de s’envoler, comme par magie.
- C’est une perfection, murmura Wentworth, bouleversé.
- Nolwenn ! Ma petite Nolwenn, chuchota Sarah exténuée.
Wentworth posa un baiser tendre sur ses lèvres et dit d’une voix émue :
- Elle est vraiment superbe !
Sarah vit que le bébé clignait des yeux, comme s’il cherchait à prendre la mesure du nouveau monde dans lequel il venait tout juste d’arriver.
Sa fille ! Elle venait de mettre au monde la plus jolie des petites filles qui soit. Sarah était aux anges.
- Nolwenn, je ne savais pas que tu allais être si mignonne, fit Wentworth les yeux humides d’émotions.
Du bout des doigts, il effleura les minuscules doigts qui s’agitaient et fut surprit d’être attrapé aussi fort par cette petite main de bébé.
Il avait l’impression que sa fille, en serrant ainsi son doigt, lui criait qu’il ne devait jamais l’abandonner, la laisser…
Devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux entre le père et sa fille, le trop plein d’émotion surgit dans le cœur de Sarah. Elle ne put retenir un sanglot, puis un autre…
Wentworth, bouleversé par ces pleurs dont il mesurait l’importance, lui caressa tendrement les mains, son visage et lui murmura des mots apaisants.
Il se pencha davantage et la serra contre lui avec un émoi qu’elle ne lui avit jamais connu. Lui aussi avait les larmes aux yeux.
- Tu as fait un bon travail, ma chérie, assura-t-il à mi-voix tandis qu’il baisait une nouvelle fois ses joues, frôlait ses lèvres.
- Oh, Went ! Fit-elle entre deux hoquets. Je ne savais pas qu’elle allait être aussi magnifique !
Il la considéra, tout ému, et observa d’un air moqueur :
- Est-ce que tu as remarqué, en particulier, comme ses orteils sont réussis ?
Sarah eut envie de rire, mais un nouveau sanglot s’échappa de sa gorge.
- Je t’aime, ma puce, fit Wentworth en l’embrassant.
- Prenez votre enfant sur vous, Sarah, annonça la sage femme. Je vais m’occuper du placenta…
Peau contre peau, la mère et la fille firent alors connaissance tandis qu’un nouveau monde s’offrait à elles.
Sarah, les joues inondées de larmes, tenait contre elle ce merveilleux petit être, le fruit de leur amour. Wentworth regarda à présent les deux personnes auxquelles il tenait le plus au monde. Par émotion, il versa une larme avant de blottir sa tête dans le cou de Sarah.
Passant un bras autour de ses épaules, il sourit à la sage femme qui avait le regard attendrit de leur nouvelle petite famille. Elle tenait tout contre elle, l’homme qu’elle avait toujours aimé, et leur enfant…
Nolwenn avait maintenant vingt-quatre heures.
- Elle est encore plus magnifique qu’hier, affirma Wentworth en contemplant l’enfant dans son berceau.
Le sentiment qu’il éprouvait pour ce nouveau-né lui semblait étrange. Cette petite fille faisait partie de lui, son propre sang coulait dans ses veines… il était son père ! Cette brusque réalité le plongeait dans un état où se mêlaient les doutes et l’amour fou qu’il éprouvait pour elle.
- On dirait que tu as peur, mon chéri ! constata Sarah qui le fixait depuis plus de dix minutes.
- Oui, murmura-t-il. J’ai peur de ne pas être à la hauteur…
Les larmes aux yeux, il revint prés du lit où reposer la jeune maman. Il prit sa main dans la sienne et murmura :
- Tu m’as donné le plus précieux des cadeaux puisse faire une femme à un homme Sarah. Je t’aime, ma chérie, fit-il en se penchant vers elle avant de l’embrasser passionnément.
En entendant du bruit dans le couloir, Wentworth relâcha son étreinte et se redressa au même moment que la porte s’ouvrit.
Dominic venait d’entrer dans la chambre, accompagné de Roxane, la mère de Wentworth.
- Oh !!!! Ma petite fille ! S’exclama Roxane après avoir embrassé tendrement sa belle fille. Elle est superbe cette petite, fit-elle d’une voix émue, lançant un regard vers son fils.
- Elle a la couleur de tes yeux, mon chéri…
- Maman, tu sais bien que tout les bébés ont la même couleur à leur naissance, rétorqua Wentworth, qui donnait des bourrades amicales à son ami.
Dominic était tout émerveillé devant ce petit être. Il avait bien sur vécu ses moments de joie intense, avec la naissance de ses quatre enfants, mais cette petite était sa filleule et il en était très fier.
A cet instant, un cri aigu retentit dans la pièce. Roxane interrogea Sarah du regard.
- Oui, vous pouvez la prendre, répondit Sarah en souriant.
Roxane prit délicatement sa petite-fille dans les bras, et s’installa dans le fauteuil, près de la jeune maman.
- Chéri ? peux-tu aller en bas me chercher quelque chose à manger, s’il te plait ? Demanda Sarah, d’une voix hésitante, l’air gêné.
Le jeune homme comprit qu’elle avait besoin d’être seule pendant la tétée de la petite, surtout, elle ne préférait pas une présence masculine.
Sans dire mot, il l’embrassa d’un baiser rapide et demanda à Dom de l’accompagner. Sarah regarda son ami s’approcher d’elle et fut ému par le baiser qui lui donna sur la joue. Avant de refermer la porte, les deux hommes fixèrent la petite Nolwenn qui s’agitait dans les bras de sa grand-mère. Avec un sourire pour la jeune maman, ils descendirent au ras de chaussé…
la voici les filles
- CHAPITRE 31 -
Dans la salle de travail, Sarah souffrait le martyr. Les livres ne lui avaient pas indiqué qu’un accouchement faisait aussi mal. Et Wentworth qui n’était pas là pour la réconforter… Mon Dieu que c’était difficile !
- Voilà, voilà, c’est bien ! L’encouragea la sage femme d’une voix douce.
- Oh… j’ai mal !…
- Votre dilatation est presque complète. Respirez… Courage, vous n’en avez plus pour très longtemps à présent !
Le bébé allait-il naître sans Wentworth ? Une brusque panique l’envahit.
- Je ne veux pas que le bébé arrive… C’est trop tôt, gémit-elle.
- Nous y sommes presque !… Courage !…
Une contraction plus forte lui arracha un cri de douleur. Elle sentit un liquide chaud inonder ses cuisses.
- Vous êtes en bonne voie. Tout va bien ! Vous venez de perdre le restant des eaux.
Sarah aurait donné n’importe quoi pour que Wentworth soit là. Elle avait l’impression qu’elle n’y arriverait jamais sans lui.
Des larmes coulaient sur ses joues. La souffrance était intense, et par moments tout à fait insupportable. Il lui semblait qu’elle ne pourrait jamais survivre à une telle douleur.
Soudain, elle entendit du bruit dans le couloir.
Et brusquement la double porte de la salle de travail s’ouvrit d’un coup avec un fracas terrible.
- Oh, ma chérie ! S’écria Wentworth en se précipitant aux côtés de la jeune femme.
- Heureusement que vous êtes arrivé, Monsieur Miller. Votre femme va bientôt accoucher, informa la sage femme en souriant d’assister aux retrouvailles du jeune couple.
Wentworth l’embrassa avec passion et se lui serra la main.
- Je n’ai pas pu venir plus tôt, murmura-t-il tendrement. On dirait que tu t’en sort bien…
- J’avais tellement peur qu’elle vienne au monde sans que tu sois là, gémit la jeune femme en laissant échapper quelques larmes de ses paupières.
Wentworth lui donna un rapide baiser sur le front et lui essuya d’un geste tendre, ses joues meurtries par la douleur.
- Je suis là, mon amour !
Sarah frotta tendrement sa joue contre la grande main de Wentworth. Une nouvelle contraction, plus forte que les autres, lui coupa le souffle.
- Respire, conseilla Wentworth d’une voix douce et encourageante. Je suis avec toi. Souviens toi de nos exercices. Respire bien, tu sais comme Dom lorsqu’il a trop chaud et qu’il tire la langue.
Elle se sentait de plus en plus mal. Elle avait l’impression qu’on lui arrachait les entrailles.
- On dirait que votre fille arrive ! S’exclama la sage femme. Poussez, poussez, Sarah !
Sarah enfonça ses oncles dans la main de Wentworth, qui échappa un faible râle de douleur.
- Bravo ! C’est bien, mon cœur, murmura-t-il. Continue ! Ce n’est plus très long, courage !
- C’est bien Sarah, allez-y ! poussez encore un peu !
Sarah poussait de toutes ses forces. Entre deux contractions, elle s’effondrait contre le bras de Wentworth, épuisée, puis elle recommençait courageusement.
Elle sentit soudain entre ses jambes quelque chose de chaud et de vivant.
- Je vois sa tête ! Annonça Wentworth, ému.
- Poussez, poussez ! Répétait la sage femme. Si vous voulez voir l’enfant, Wentworth peut vous soulever un peu.
Sarah vit alors apparaître une petite tête rouge avec des cheveux noirs maculés de sang. Les yeux du bébé était fermés, et sa toute petite bouche avait la couleur du…rubis.
- Respire bien et pousse encore… Oui, bravo ! Elle est là !
- Elle est magnifique ! Annonça triomphalement la sage femme.
Sarah aperçut enfin le bébé. Sa venue au monde avait été laborieuse, mais toute souffrance venait de s’envoler, comme par magie.
- C’est une perfection, murmura Wentworth, bouleversé.
- Nolwenn ! Ma petite Nolwenn, chuchota Sarah exténuée.
Wentworth posa un baiser tendre sur ses lèvres et dit d’une voix émue :
- Elle est vraiment superbe !
Sarah vit que le bébé clignait des yeux, comme s’il cherchait à prendre la mesure du nouveau monde dans lequel il venait tout juste d’arriver.
Sa fille ! Elle venait de mettre au monde la plus jolie des petites filles qui soit. Sarah était aux anges.
- Nolwenn, je ne savais pas que tu allais être si mignonne, fit Wentworth les yeux humides d’émotions.
Du bout des doigts, il effleura les minuscules doigts qui s’agitaient et fut surprit d’être attrapé aussi fort par cette petite main de bébé.
Il avait l’impression que sa fille, en serrant ainsi son doigt, lui criait qu’il ne devait jamais l’abandonner, la laisser…
Devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux entre le père et sa fille, le trop plein d’émotion surgit dans le cœur de Sarah. Elle ne put retenir un sanglot, puis un autre…
Wentworth, bouleversé par ces pleurs dont il mesurait l’importance, lui caressa tendrement les mains, son visage et lui murmura des mots apaisants.
Il se pencha davantage et la serra contre lui avec un émoi qu’elle ne lui avit jamais connu. Lui aussi avait les larmes aux yeux.
- Tu as fait un bon travail, ma chérie, assura-t-il à mi-voix tandis qu’il baisait une nouvelle fois ses joues, frôlait ses lèvres.
- Oh, Went ! Fit-elle entre deux hoquets. Je ne savais pas qu’elle allait être aussi magnifique !
Il la considéra, tout ému, et observa d’un air moqueur :
- Est-ce que tu as remarqué, en particulier, comme ses orteils sont réussis ?
Sarah eut envie de rire, mais un nouveau sanglot s’échappa de sa gorge.
- Je t’aime, ma puce, fit Wentworth en l’embrassant.
- Prenez votre enfant sur vous, Sarah, annonça la sage femme. Je vais m’occuper du placenta…
Peau contre peau, la mère et la fille firent alors connaissance tandis qu’un nouveau monde s’offrait à elles.
Sarah, les joues inondées de larmes, tenait contre elle ce merveilleux petit être, le fruit de leur amour. Wentworth regarda à présent les deux personnes auxquelles il tenait le plus au monde. Par émotion, il versa une larme avant de blottir sa tête dans le cou de Sarah.
Passant un bras autour de ses épaules, il sourit à la sage femme qui avait le regard attendrit de leur nouvelle petite famille. Elle tenait tout contre elle, l’homme qu’elle avait toujours aimé, et leur enfant…
Nolwenn avait maintenant vingt-quatre heures.
- Elle est encore plus magnifique qu’hier, affirma Wentworth en contemplant l’enfant dans son berceau.
Le sentiment qu’il éprouvait pour ce nouveau-né lui semblait étrange. Cette petite fille faisait partie de lui, son propre sang coulait dans ses veines… il était son père ! Cette brusque réalité le plongeait dans un état où se mêlaient les doutes et l’amour fou qu’il éprouvait pour elle.
- On dirait que tu as peur, mon chéri ! constata Sarah qui le fixait depuis plus de dix minutes.
- Oui, murmura-t-il. J’ai peur de ne pas être à la hauteur…
Les larmes aux yeux, il revint prés du lit où reposer la jeune maman. Il prit sa main dans la sienne et murmura :
- Tu m’as donné le plus précieux des cadeaux puisse faire une femme à un homme Sarah. Je t’aime, ma chérie, fit-il en se penchant vers elle avant de l’embrasser passionnément.
En entendant du bruit dans le couloir, Wentworth relâcha son étreinte et se redressa au même moment que la porte s’ouvrit.
Dominic venait d’entrer dans la chambre, accompagné de Roxane, la mère de Wentworth.
- Oh !!!! Ma petite fille ! S’exclama Roxane après avoir embrassé tendrement sa belle fille. Elle est superbe cette petite, fit-elle d’une voix émue, lançant un regard vers son fils.
- Elle a la couleur de tes yeux, mon chéri…
- Maman, tu sais bien que tout les bébés ont la même couleur à leur naissance, rétorqua Wentworth, qui donnait des bourrades amicales à son ami.
Dominic était tout émerveillé devant ce petit être. Il avait bien sur vécu ses moments de joie intense, avec la naissance de ses quatre enfants, mais cette petite était sa filleule et il en était très fier.
A cet instant, un cri aigu retentit dans la pièce. Roxane interrogea Sarah du regard.
- Oui, vous pouvez la prendre, répondit Sarah en souriant.
Roxane prit délicatement sa petite-fille dans les bras, et s’installa dans le fauteuil, près de la jeune maman.
- Chéri ? peux-tu aller en bas me chercher quelque chose à manger, s’il te plait ? Demanda Sarah, d’une voix hésitante, l’air gêné.
Le jeune homme comprit qu’elle avait besoin d’être seule pendant la tétée de la petite, surtout, elle ne préférait pas une présence masculine.
Sans dire mot, il l’embrassa d’un baiser rapide et demanda à Dom de l’accompagner. Sarah regarda son ami s’approcher d’elle et fut ému par le baiser qui lui donna sur la joue. Avant de refermer la porte, les deux hommes fixèrent la petite Nolwenn qui s’agitait dans les bras de sa grand-mère. Avec un sourire pour la jeune maman, ils descendirent au ras de chaussé…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Trop zoulie ta suite!!
L'arrivée de Nolwenn Miller, un grand évènement!!
Viiiiiiiiite une suite!!
L'arrivée de Nolwenn Miller, un grand évènement!!
Viiiiiiiiite une suite!!
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Hoooooooooooooooooooooo c'est trop beau ce moment,assisté a l'accouchement de Sarah,et puis les parents qui sont émus pourquoi elle est géné que Went reste pour la tétée?? après tout il les a déjà vu ses nénés a Sarah
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Amaria a écrit:Hoooooooooooooooooooooo c'est trop beau ce moment,assisté a l'accouchement de Sarah,et puis les parents qui sont émus pourquoi elle est géné que Went reste pour la tétée?? après tout il les a déjà vu ses nénés a Sarah
pas por Went, Amaria mais car il y a Dom dans la pièce. C'est pour cela que j'ai décrit le sourire de complicité qu'il avait avec Sarah avant de sortir
Merci pour vos coms, ça me fait trés plaisir
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
nol59 a écrit:Amaria a écrit:Hoooooooooooooooooooooo c'est trop beau ce moment,assisté a l'accouchement de Sarah,et puis les parents qui sont émus pourquoi elle est géné que Went reste pour la tétée?? après tout il les a déjà vu ses nénés a Sarah
pas por Went, Amaria mais car il y a Dom dans la pièce. C'est pour cela que j'ai décrit le sourire de complicité qu'il avait avec Sarah avant de sortir
Merci pour vos coms, ça me fait trés plaisir
Ha oui j'avais oublier qu'il était là celui la!!! ba elle a raison dehors les hommes!!
la suite pour quand????
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
c'est trop mignon...
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
frenchement BRAVO !!! c'est magnifique !!! trop trop genial !!!!! trop émouvant encore ta suite est magnifique j'en reste bouche bée !!!!!!!
met vite la suite stp !!!!
met vite la suite stp !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
sarascofield a écrit: frenchement BRAVO !!! c'est magnifique !!! trop trop genial !!!!! trop émouvant encore ta suite est magnifique j'en reste bouche bée !!!!!!!
met vite la suite stp !!!!
tu m'étonnes c'est un condensé de bonheur que tu nous a fait...
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
sarascofield a écrit: frenchement BRAVO !!! c'est magnifique !!! trop trop genial !!!!! trop émouvant encore ta suite est magnifique j'en reste bouche bée !!!!!!!
met vite la suite stp !!!!
je peux pas mieux diirreeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
miss_sa_69 a écrit:sarascofield a écrit: frenchement BRAVO !!! c'est magnifique !!! trop trop genial !!!!! trop émouvant encore ta suite est magnifique j'en reste bouche bée !!!!!!!
met vite la suite stp !!!!
je peux pas mieux diirreeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Que veux tu sue je rajoute apart FELICITATION
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
met vite la suite stp !! je suis trop trop trop impatiente !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Date d'inscription : 20/01/2007
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
allez je vous poste le dernier chapitre
je n'ai plus que l'épilogue à mettre en route :sm:
ben oui, il faut bien une fin^^
Trois jours plus tard, Wentworth souriait de bonheur, et était excité de la sortie de Sarah et de leur fille. Il ouvrit la porte de la chambre de la jeune femme, et fixa tendrement sa fille, blottit dans les bras de sa mère.
- Comment tu vas, mon chéri ? demanda Sarah aussitôt.
Pour toutes réponses, il lui adressa un sourire de satisfaction et se pencha sur ses lèvres. Il l’embrassa doucement d’un baiser tendre, et caressa le visage angélique de Nolwenn. Sa peau fine sous ses doigts lui donna l’envie de la protéger plus qu’il ne l’avait pensé.
- Elle a bien dormit, cette nuit ? Demanda-t-il, inquiet.
- Oui, à part qu’elle s’est réveillé pour se nourrir. Elle va bien, Wentworth…
- Je sais… et toi ? Tu n’es pas trop fatigué ? Demanda le jeune homme en lui caressant la joue, amoureusement.
- Un peu, mais au moins, je serai plus tranquille cette nuit… Ah au fait ! Hier soir, après que tu es partit, ta mère a appelé !
- Je suis passé chez eux, pourtant hier, elle ne m’a rien dit.
- Ce n’est pas grave, elle voulait juste savoir mes préférences sur le gâteau, pour le mariage.
Wentworth éclata de rire.
- Elle commence déjà ! Le mariage n’est pas prévue pour la semaine !
- Non, mais c’est dans un mois, et le temps que nous préparions tout, vaut mieux s’y prendre maintenant. Tu ne penses pas ? Demanda-t-elle, fronçant les paupières remarquant qu’il était pensif.
- Oui, tu as raison… Écoutes, ma puce…
- Oui ?
Wentworth s’installa sur le lit, à son côté, prenant bien soin de ne pas réveiller Nolwenn qui venait de se rendormir.
- J’ai pas envie que tu te prends la tête avec les préparatifs du mariage. Ce dont j’ai envie, et besoin ! C’est de partir avec toi et notre enfant, quelque part où personne ne viendra nous déranger…
La jeune femme secoua la tête en signe d’abnégation.
- Moi aussi, j’ai besoin de te retrouver, Went…Mais nous allons nous marier et pense un peu à notre lune de miel ! Fit-elle d’un air taquin, en caressant son torse.
Wentworth se mit à rire doucement et l’attira vers lui.
- Oui, tu as raison, ma chérie… Je t’aime tant Sarah…
Elle se redressa et plongea ses yeux dans les siens. Le désir qu’elle lut promettait un avenir heureux.
Wentworth se pencha et lui prit la bouche d’un baiser passionné. Un râle de déception leur échappa de leur gorge, à tous les deux, aux cris perçants de Nolwenn qui s’agitait, les points serrés…
Deux semaines plus tard, tandis que Sarah donnait le bain à Nolwenn, Wentworth entra dans la salle de bain. Il se tient derrière elle et sourit, admirant les gestes maternelles de Sarah.
- Chérie ? Je vais y aller ! Fit-il en l’enlaçant tendrement.
- Dom ne devait pas venir te chercher ? Demanda-t-elle, s’interrogeant si elle avait bien entendu ce qui était convenu.
La veille, les Purcell étaient venus dîner chez les futurs mariés. Comme Dominic était le témoin de Wentworth, il lui avait proposé de l’accompagner « chez Valentino », un couturier renommé pour les essayages du costume pour le grand jour. Le grand jour, pensa-t-elle en répétant ce mot dans sa tête.
Soudain, des frissons le cou, descendant plus bas, jusqu’à l’échine, où elle releva un peu la tête et se laissa envahir par le désir de ses lèvres chaudes.
Sarah termina d’habiller la petite et l’emmena dans son berceau, où elle posa délicatement l’enfant endormit.
A peine fut-elle retourné que Wentworth la souleva dans ses bras.
- Went ! Fit-elle en gémissant, malgré elle.
- J’ai envie de toi, Sarah…
A cet instant, il l’embrassa passionnément et sans attendre de réponse, il l’emmena dans leur chambre où il la déposa sur les draps d’une blancheur immaculée. Elle s’accrocha désespérément à son cou et l’attira prés d’elle. Dans un souffle court, elle gémit de plaisir sous ses assauts de caresses. Wentworth explora son corps de ses lèvres, de sa langue. De ses seins, il traça un sentier de baiser le long de son corps, sa langue s’attarda dans le creux de son nombril avant de poursuivre. Sarah se crispa quand enfin, il la pénétra. Wentworth s’arrêta brusquement, de peur de lui faire mal. Il plongea son regard d’un bleu brûlant dans ses yeux et se sentit soulagé au sourire qu’il remarqua sur son visage.
Pendant plus de dix minutes magnifiques, ils firent l’amour passionnément, tendrement, amoureusement…
Respectant la tradition, les cloches de l’église sonnèrent à toute volée pendant l’heure qui précéda la cérémonie. Tout était prêt pour l’arrivée de la mariée, de somptueux bouquets de lis blancs avaient été disposés au pied de l’autel, l’ai embaumait du parfum des roses placées devant chaque travée de chaise, l’organiste était à son poste et les enfants de cœur, dont deux des enfants de Dominic s’affairaient dans la sacristie.
Wentworth, debout devant l’autel, se retourna vers la grande porte par laquelle Sarah devait arriver et embrassa du regard les centaines de personnes qui étaient présent, à l’intérieur de l’église, sans compter tous les autres qui avaient du rester dehors, stopper par la sécurité.
Tout le monde se doutait que cet événement ferait venir une foule assidue. Malgré la plus grande discrétion qu’ils avaient fait pour la préparation du mariage, les journalistes avaient réussis à faire place sur les lieux, à l’aube. Mais le jeune homme ne s’en inquiétait pas le moins du monde. Tout ce qu’il voulait en cet instant, était de s’unir avec Sarah, la mère de son enfant, la femme qu’il avait toujours aimé.
- Respire ! Murmura l’homme qui se tenait près de lui.
Wentworth le regarda en souriant faiblement, et découvrit le visage anxieux de son ami.
- Tu es sur que c’est moi qui se mari, Dom ? Tu as l’air plus stressé que moi, répondit-il d’un ton moqueur.
Mais Dom n’eut pas le temps de répondre. La lourde porte s’ouvrit et laissa apparaître la nièce de Wentworth, Célia, toute vêtue de rose. La petite fille de cinq ans s’avançait dans l’allée, jetant des pétales de roses sur son passage. La marche nuptiale ne tarda pas à se faire entendre, et ce fut au tour de Jenny qui apparut dans une magnifique robe bleue de satin. Puis, cramponné au bras de son père, Sarah fit son apparition, sous les regards et des cris admiratifs étouffés des invités et surtout celui de Wentworth.
Arborant un magnifique sourire, elle resta, plongée dans le regard de son futur époux, et continua à avancer lentement vers lui. Wentworth lui prit la main, dés qu’elle fut près de lui et se fit violence pour ne pas l’attirer dans ses bras et de l‘embrasser de suite.
Le prêtre s'avança vers eux et commença à parler. Puis vint le moment des alliances, Sarah et Wentworth prononcèrent leurs vœux respectifs en se fixant amoureusement, d‘un regard humide d‘émotion. Avant de passer les alliances, Wentworth et Sarah tournèrent leur tête en direction de Nolwenn, tendrement endormit dans les bras de sa grand-mère. Wentworth remarqua très vite les larmes de joie coulaient le long des joues d’Amaury et de Dominic. Il sourit intérieurement à ce spectacle…
Quand le prêtre les déclara enfin mariés, ils s'embrassèrent passionnément, laissant les applaudissements résonnaient autours d’eux, comme si, plus rien ni personne n’existait…
je n'ai plus que l'épilogue à mettre en route :sm:
ben oui, il faut bien une fin^^
- CHAPITRE 32 -
Trois jours plus tard, Wentworth souriait de bonheur, et était excité de la sortie de Sarah et de leur fille. Il ouvrit la porte de la chambre de la jeune femme, et fixa tendrement sa fille, blottit dans les bras de sa mère.
- Comment tu vas, mon chéri ? demanda Sarah aussitôt.
Pour toutes réponses, il lui adressa un sourire de satisfaction et se pencha sur ses lèvres. Il l’embrassa doucement d’un baiser tendre, et caressa le visage angélique de Nolwenn. Sa peau fine sous ses doigts lui donna l’envie de la protéger plus qu’il ne l’avait pensé.
- Elle a bien dormit, cette nuit ? Demanda-t-il, inquiet.
- Oui, à part qu’elle s’est réveillé pour se nourrir. Elle va bien, Wentworth…
- Je sais… et toi ? Tu n’es pas trop fatigué ? Demanda le jeune homme en lui caressant la joue, amoureusement.
- Un peu, mais au moins, je serai plus tranquille cette nuit… Ah au fait ! Hier soir, après que tu es partit, ta mère a appelé !
- Je suis passé chez eux, pourtant hier, elle ne m’a rien dit.
- Ce n’est pas grave, elle voulait juste savoir mes préférences sur le gâteau, pour le mariage.
Wentworth éclata de rire.
- Elle commence déjà ! Le mariage n’est pas prévue pour la semaine !
- Non, mais c’est dans un mois, et le temps que nous préparions tout, vaut mieux s’y prendre maintenant. Tu ne penses pas ? Demanda-t-elle, fronçant les paupières remarquant qu’il était pensif.
- Oui, tu as raison… Écoutes, ma puce…
- Oui ?
Wentworth s’installa sur le lit, à son côté, prenant bien soin de ne pas réveiller Nolwenn qui venait de se rendormir.
- J’ai pas envie que tu te prends la tête avec les préparatifs du mariage. Ce dont j’ai envie, et besoin ! C’est de partir avec toi et notre enfant, quelque part où personne ne viendra nous déranger…
La jeune femme secoua la tête en signe d’abnégation.
- Moi aussi, j’ai besoin de te retrouver, Went…Mais nous allons nous marier et pense un peu à notre lune de miel ! Fit-elle d’un air taquin, en caressant son torse.
Wentworth se mit à rire doucement et l’attira vers lui.
- Oui, tu as raison, ma chérie… Je t’aime tant Sarah…
Elle se redressa et plongea ses yeux dans les siens. Le désir qu’elle lut promettait un avenir heureux.
Wentworth se pencha et lui prit la bouche d’un baiser passionné. Un râle de déception leur échappa de leur gorge, à tous les deux, aux cris perçants de Nolwenn qui s’agitait, les points serrés…
Deux semaines plus tard, tandis que Sarah donnait le bain à Nolwenn, Wentworth entra dans la salle de bain. Il se tient derrière elle et sourit, admirant les gestes maternelles de Sarah.
- Chérie ? Je vais y aller ! Fit-il en l’enlaçant tendrement.
- Dom ne devait pas venir te chercher ? Demanda-t-elle, s’interrogeant si elle avait bien entendu ce qui était convenu.
La veille, les Purcell étaient venus dîner chez les futurs mariés. Comme Dominic était le témoin de Wentworth, il lui avait proposé de l’accompagner « chez Valentino », un couturier renommé pour les essayages du costume pour le grand jour. Le grand jour, pensa-t-elle en répétant ce mot dans sa tête.
Soudain, des frissons le cou, descendant plus bas, jusqu’à l’échine, où elle releva un peu la tête et se laissa envahir par le désir de ses lèvres chaudes.
Sarah termina d’habiller la petite et l’emmena dans son berceau, où elle posa délicatement l’enfant endormit.
A peine fut-elle retourné que Wentworth la souleva dans ses bras.
- Went ! Fit-elle en gémissant, malgré elle.
- J’ai envie de toi, Sarah…
A cet instant, il l’embrassa passionnément et sans attendre de réponse, il l’emmena dans leur chambre où il la déposa sur les draps d’une blancheur immaculée. Elle s’accrocha désespérément à son cou et l’attira prés d’elle. Dans un souffle court, elle gémit de plaisir sous ses assauts de caresses. Wentworth explora son corps de ses lèvres, de sa langue. De ses seins, il traça un sentier de baiser le long de son corps, sa langue s’attarda dans le creux de son nombril avant de poursuivre. Sarah se crispa quand enfin, il la pénétra. Wentworth s’arrêta brusquement, de peur de lui faire mal. Il plongea son regard d’un bleu brûlant dans ses yeux et se sentit soulagé au sourire qu’il remarqua sur son visage.
Pendant plus de dix minutes magnifiques, ils firent l’amour passionnément, tendrement, amoureusement…
Respectant la tradition, les cloches de l’église sonnèrent à toute volée pendant l’heure qui précéda la cérémonie. Tout était prêt pour l’arrivée de la mariée, de somptueux bouquets de lis blancs avaient été disposés au pied de l’autel, l’ai embaumait du parfum des roses placées devant chaque travée de chaise, l’organiste était à son poste et les enfants de cœur, dont deux des enfants de Dominic s’affairaient dans la sacristie.
Wentworth, debout devant l’autel, se retourna vers la grande porte par laquelle Sarah devait arriver et embrassa du regard les centaines de personnes qui étaient présent, à l’intérieur de l’église, sans compter tous les autres qui avaient du rester dehors, stopper par la sécurité.
Tout le monde se doutait que cet événement ferait venir une foule assidue. Malgré la plus grande discrétion qu’ils avaient fait pour la préparation du mariage, les journalistes avaient réussis à faire place sur les lieux, à l’aube. Mais le jeune homme ne s’en inquiétait pas le moins du monde. Tout ce qu’il voulait en cet instant, était de s’unir avec Sarah, la mère de son enfant, la femme qu’il avait toujours aimé.
- Respire ! Murmura l’homme qui se tenait près de lui.
Wentworth le regarda en souriant faiblement, et découvrit le visage anxieux de son ami.
- Tu es sur que c’est moi qui se mari, Dom ? Tu as l’air plus stressé que moi, répondit-il d’un ton moqueur.
Mais Dom n’eut pas le temps de répondre. La lourde porte s’ouvrit et laissa apparaître la nièce de Wentworth, Célia, toute vêtue de rose. La petite fille de cinq ans s’avançait dans l’allée, jetant des pétales de roses sur son passage. La marche nuptiale ne tarda pas à se faire entendre, et ce fut au tour de Jenny qui apparut dans une magnifique robe bleue de satin. Puis, cramponné au bras de son père, Sarah fit son apparition, sous les regards et des cris admiratifs étouffés des invités et surtout celui de Wentworth.
Arborant un magnifique sourire, elle resta, plongée dans le regard de son futur époux, et continua à avancer lentement vers lui. Wentworth lui prit la main, dés qu’elle fut près de lui et se fit violence pour ne pas l’attirer dans ses bras et de l‘embrasser de suite.
Le prêtre s'avança vers eux et commença à parler. Puis vint le moment des alliances, Sarah et Wentworth prononcèrent leurs vœux respectifs en se fixant amoureusement, d‘un regard humide d‘émotion. Avant de passer les alliances, Wentworth et Sarah tournèrent leur tête en direction de Nolwenn, tendrement endormit dans les bras de sa grand-mère. Wentworth remarqua très vite les larmes de joie coulaient le long des joues d’Amaury et de Dominic. Il sourit intérieurement à ce spectacle…
Quand le prêtre les déclara enfin mariés, ils s'embrassèrent passionnément, laissant les applaudissements résonnaient autours d’eux, comme si, plus rien ni personne n’existait…
nol59- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 285
Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Super suite! Dommage que ça doit déjà la fin mais comme tu dis il faut bien une fin.
Juju410- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 69
Date d'inscription : 28/04/2007
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
charline-kilou a écrit:
J'ai rien a dire tellement c'est magnifique
Déjà la fin...
pareil
C'est génial
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
Juju410 a écrit:Super suite! Dommage que ça doit déjà la fin mais comme tu dis il faut bien une fin.
oh la la qu'est-ce que c'est beau....
ta fic est tout simplement sublime
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: "DESTIN CROISE" WentSa...
ENNEADE a écrit:Juju410 a écrit:Super suite! Dommage que ça doit déjà la fin mais comme tu dis il faut bien une fin.
oh la la qu'est-ce que c'est beau....
ta fic est tout simplement sublime
Je ne peux rien ajouter d'autre apart que tu nous as GATER avec cette sublime suite!!
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
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