Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE

ne nous oublies pas Soso...

Spoiler:

Promis suite bientot...

oulala ça m'a pris un petit peu de temps pour rattraper mon retard, mais c'est trop bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j'attends vite la suite!!!!!!!!!!!!!

Bon j'ai été un peu longue mais voici la suite !




La matinée s’écoule rapidement et les parents de Sofia arrivent vers 13h30. Après de brèves mais chaleureuses présentations, Sofia décide ce petit monde à s’activer pour récupérer les plats commandés chez le traiteur ainsi que toutes les courses qu’ils leur restent à faire.
Lilie n’arrête pas de se demander ce que Went lui cache, un sourire amusé sur ses lèvres à cause de son impatience.
Tom, Sofia, Went et Angelo (le père de Sofia) quittent donc l’appartement pour se fondre dans la foule parisienne affolée en cette veille de fête.

Bien au chaud, une main faisant des cercles sur son petit ventre, Lilie savoure un thé avec Lydia, dans le calme retrouvé.

Ly : tu est vraiment épanouie comme çà, çà saute aux yeux Lilie !

L : c’est gentil, pourtant, on ne peut pas dire que la route a été reposante jusqu’ici...il s’en est passé des choses avec Went pour qu’on en arrive là, çà n’a pas été rose tous les jours !

Ly : je sais...Sofia me donnait régulièrement de tes nouvelles tu sais...

L : je me doute...mais aujourd’hui, nous sommes bien, enfin...j’accepte d’être heureuse avec lui ! Je vais me marier et avoir un enfant de l’homme que j’aime ! je ne regrette qu’une chose...que mes parents ne soient pas là pour le voir !

Ly : mais...et ta tante ?

L : je ne veux pas en entendre parler ! Elle m’a laissé me débrouiller toute seule, sans se soucier de moi cette carriériste au cœur de pierre, ma famille c’est vous et Went maintenant et çà ne changera pas !

Ly : ok...mais dis-moi, tu préfèrerais une fille ou un garçon ?

L : je ne sais pas ! Çà m’est un peu égal mais je crois que Went craquerais pour une fille !

Ly : il a raison, une fille c’est merveilleux !

L : ce qui compte pour moi, c’est un enfant en bonne santé, je ne croyais déjà même pas que je serais capable un jour de porter son enfant !

Les deux femmes restent pensives, à se regarder et se sourire, savourant l’instant, fixé sur ce court moment d’échanges et de bonheur.

L : bon ! il faut que je me secoue car sinon je vais finir « légume » dans ce canapé ! Le sapin nous attends je crois ?

Ly : oui, Tom m’a dis que les décorations étaient au pieds du sapin...

L : alors c’est parti !

Elles se lèvent et s’affairent à rendre cet arbre comme le plus beau qu’il leur ai été donner de voir de tous leurs noëls en famille, ce qui autant le dire tout de suite, pour Lilie, ne se résume qu’aux quelques noëls en compagnie de Sofia et ses parents.
Les guirlandes électriques, les brillants, les pendants et voilà enfin le fil d’ange et la fausse neige pour parfaire le tout ! Rouge et or, comme dans ses plus beaux rêves de noëls de petite fille !

Ly : il est pas merveilleux notre arbre ?

Lilie lui sourit franchement avant de ressentir comme un vertige puis s’accroche au bras de Lydia qui remarque tout de suite son malaise.

Ly : oh ! Lilie, çà ne va pas ? Eh ! Assieds toi, tu devrais aller te reposer un peu ! Tu es sûre que çà va ?

L : oui...ce n’est rien, juste un petit coup d’hypoglycémie...je n’ai pas avalé grand-chose et je me suis levée tôt ce matin...

Ly : ok...alors une petite barre de chocolat et un verre de lait ne te feront pas de mal ! Et au lit ! La soirée risque d’être longue, tu as besoin de repos !

L : oui maman !

Ly : sérieusement Lilie, tu sais qu’il faut que tu te reposes ! Un bébé grandit en toi, tu as besoin d’énergie alors ménages-toi !

Lilie baisse les yeux et accepte son bras pour l’aider à rejoindre la chambre sans valser par terre. Elle regagne son lit et s’allonge volontiers, appréciant de relâcher enfin du lest sur ses reins douloureux.

Ly : je reviens tout de suite avec de quoi te remplir l’estomac...

L : oh...Lydia...du chocolat noir, tu sais...je n’aime que çà !

Ly : comme si j’avais pu oublier ce genre de détail !

Elle s’éloigne, le sourire aux lèvres et prépare un petit encas sur un plateau. Lilie ne tarde pas à le dévorer, affamé puis se recouche. Lydia la laisse se reposer et elle ne tarde pas à sombrer dans un profond sommeil.



A plusieurs kilomètres, alors que leurs courses sont terminées et qu’ils vont ensuite aller récupérer les plats commandés chez le traiteur, Went demande à Sofia et Tom de lui permettre de récupérer une commande.

S : pas de problèmes, mais c’est où ?

W : place Vendôme...

S : ah....effectivement !

W : oui...tu as deviné !


Quelques heures plus tard...

Table dressée, bouteilles au frais, Lydia termine de se préparer alors que toute le troupe n’est encore pas revenue. Lilie est toujours assoupie dans sa chambre. Alors qu’elle enfile sa paire de boucles d’oreilles, elle entend la porte d’entrée s’ouvrir.

S : il y a quelqu’un là dedans ?

Ly : chuuuut ! Lilie est en train de dormir !

S : zut ! Elle va bien... ????

Ly : oui...elle a juste ressenti le besoin de se reposer un peu...

W : félicitations, le sapin est magnifique !

A : c’est vrai çà, beau travail !

Ly : merci...

Un grincement de porte se fait entendre...et laisse apparaître Lilie les yeux embués de sommeil...

Went accourt à sa rencontre, amusée par son air ahuri.

W : eh ! Comment va ma petite marmotte ?

L : ouahhh...fatiguée !

W : tu ne te sens pas bien ?

L : mieux, mais j’ai eu un bon coup de barre dans l’après midi ! Mais...quelle heure est-il ?

W : 18h30 !

L : quoi ??? Mais...et la table et le traiteur et...

W : oh oh oh, stop ! Du calme, tout est ok d’accord ?! Lydia a géré alors maintenant tu vas aller prendre une petite douche et te préparer tranquillement, on s’occupe du reste !

L : je n’aime pas quand tu fais ton papa, je préfère quand tu m’embrasses...

Went se rapproche de son oreille pour murmurer.

W : espèce de coquine ! Va te doucher...

Il l’embrasse et lui sourie amoureusement. Lilie lui obéit et se dirige calmement vers la salle de bain attenante à sa chambre où elle se fait délicatement couler un bain en laissant la porte ouverte derrière elle...juste au cas où...

Went aide les autres à déposer et ranger les courses. Après un café bien mérité, il rejoint la chambre où une agréable fleurie lui chatouille les narines, il remarque bien vite la porte laissée entrouverte et certainement pas par hasard...

Lilie se glisse doucement dans l’eau savonneuse, laissant la mousse caresser sa peau, son corps encore engourdi de sommeil. Les cheveux relevés en chignon négligé sur le haut du crâne, elle savoure les effluves de parfum et les vapeurs lui donne une immense sensation de bien être.
Soudain, deux mains viennent langoureusement glisser le long de sa poitrine, écartant la mousse et se frayant un chemin sur sa peau humide. Elle laisse échapper un petit gémissement de plaisir à ce doux contact.
Went près de son oreille, lui murmure de sa voix rauque : « alors Mademoiselle, on laisse délibérément la porte de sa salle de bain ouverte pour s’offrir en spectacle aux inconnus ? »

L : vous n’êtes pas un inconnu et c’est vous que j’attendais !

Elle relève ses mains hors de l’eau et agrippe son cou, inondant au passage sa chemise.

W : eh ! Je suis mouillé maintenant ! !

Elle agrippe ensuite son bras et le fait basculer entièrement dans la baignoire en riant.

L : voilà ! Comme çà tu vas pouvoir réellement profiter du spectacle !

W : c’est que je ne voudrais pas abuser d’une femme dans ta situation !

L : et qui te dis que c’est toi qui va abuser ?

W : huummmmmmm !

Lilie laisse ses mains défaire l’étoffe de sa chemise ainsi que son pantalon en profitant de chaque parcelle de peau. Une fois mis à nu, elle laisse ses mains parcourir son torse qu’elle savonne puis embrasse avec ardeur. Il se laisse docilement faire, basculant al tête en arrière quand elle explore certaines parties de son anatomie plus sensibles...
Le feu ne tarde pas à s’emparer de leurs corps qui, au contact l’un de l’autre s’embrasent.

L : alors, qui profite de qui ?

W : tu marques un point...mais je n’ai pas dit mon dernier mot !

Il se redresse et se place au dessus d’elle, entre ses jambes.

L : je crois que je ne peux rien contre çà...

Elle le laisse caresser sa poitrine, laissant des frissons sur sa peau humide, se rapprochant pour en embrasser les tétons, se délectant de leur saveur. Il passe délicatement la paume de sa main sur son petit ventre dont il fait le tour avant de s’arrêter pour la fixer dans les yeux, fiévreux.

W : merci pour tout çà, tout ce bonheur...tu en peux pas savoir comme je suis heureux !

Lilie sent l’émotion et la voit dans les yeux de Went. Elle se rapproche et se laisse glisser entre ses jambes. Savourant leurs caresses mutuelles, le silence environnant ne leur laisse que leurs soupirs de satisfaction. Lilie, au dessus de lui, ne tarde pas à se laisser glisser le long de son membre sans cesser de fixer ses yeux.
Il la maintient par les hanches et la laisse glisser doucement, mouvements après mouvements. Leurs souffles deviennent courts, l’eau s’agite autour d’eux quand dans un râle étouffé par leurs bouches soudées, ils atteignent presque simultanément l’orgasme.
Laissant la tête de Went reposer sur sa poitrine, Lilie savoure la retombée de son plaisir.

W : je t’aime...

L : je t’aime aussi...ne me laisse jamais Went...

Ils se serrent l’un contre l’autre, terminant de se savonner mutuellement, savourant les dernières minutes de magie de l’instant.

W : il faudrait peut-être qu’on s’active non ?

L : tu as raison, ils vont vraiment se demander ce qu’on trafique !



Alors ??

trop magnifique!!!!

je suis trop contente d'avoir la suite!!!

et quelle suite

et Went... place Vendôme!!! ouah! je veux la photo

L : je me doute...mais aujourd’hui, nous sommes bien, enfin...j’accepte d’être heureuse avec lui ! Je vais me marier et avoir un enfant de l’homme que j’aime ! je ne regrette qu’une chose...que mes parents ne soient pas là pour le voir !

C'est sûr que le début de leur histoire a été mouvementée mais, enfin, Lilie a compris qu'elle devait se laisser aller à cet amour...

W : place Vendôme...
S : ah....effectivement !
W : oui...tu as deviné !

Je crois que Lilie devrait avoir une très jolie bague

L : je n’aime pas quand tu fais ton papa, je préfère quand tu m’embrasses...
Went se rapproche de son oreille pour murmurer.
W : espèce de coquine ! Va te doucher...
Lilie lui obéit et se dirige calmement vers la salle de bain attenante à sa chambre où elle se fait délicatement couler un bain en laissant la porte ouverte derrière elle...juste au cas où...

Elle a une petite idée derrière la tête et il y en a un qui a très bien compris le message

Went près de son oreille, lui murmure de sa voix rauque : « alors Mademoiselle, on laisse délibérément la porte de sa salle de bain ouverte pour s’offrir en spectacle aux inconnus ? »
L : vous n’êtes pas un inconnu et c’est vous que j’attendais !

Elle relève ses mains hors de l’eau et agrippe son cou, inondant au passage sa chemise.
W : eh ! Je suis mouillé maintenant ! !
Elle agrippe ensuite son bras et le fait basculer entièrement dans la baignoire en riant.
L : voilà ! Comme çà tu vas pouvoir réellement profiter du spectacle !
W : c’est que je ne voudrais pas abuser d’une femme dans ta situation !
L : et qui te dis que c’est toi qui va abuser ?
W : huummmmmmm !

Je crois qu'il ne va pas regretter son petit plongeon dans le bain

Il passe délicatement la paume de sa main sur son petit ventre dont il fait le tour avant de s’arrêter pour la fixer dans les yeux, fiévreux.
W : merci pour tout çà, tout ce bonheur...tu en peux pas savoir comme je suis heureux !

Il est très délicat, touchant.

W : il faudrait peut-être qu’on s’active non ?
L : tu as raison, ils vont vraiment se demander ce qu’on trafique !

Je crois que si ça traîne trop, ils risquent d'avoir une idée assez précise de ce qu'ils ont fait

Ennéade a écrit :

et Went... place Vendôme!!! ouah! je veux la photo

Comment dire ? Moi, je veux bien la photo de lui dans le bain
La suite risque d'être très chouette quand Went lui remettra la bague

[quote="valscof] Ennéade a écrit :

et Went... place Vendôme!!! ouah! je veux la photo

Comment dire ? Moi, je veux bien la photo de lui dans le bain
[/quote]

bon OK j'osais pas... mais je veux les photos avant, pendant et après le bain

ah ma soso c'est toujours aussi magnifique !!!
ils sont inseparables tout les deux !!!

je veux une suite stp

enneade je suis avec toi moi aussi je veux les meme photos

décidemment ils auront tout essayé, ds le bain, par terre ds le salon..

mais je suis dac avec les filles elles sont ou les photos hein??

tu seras pardonnée si tu mets ta suite

Ah elle est trop belle cette suite!!!!

Ils sont mignosn ensemble


Mets vite une suite!!!!!!

Hoooooooo ils sont vraiment trop craquant tout les 2 c'est vraiment une coquine Lilie jme demande bien quelle surprise Went lui a réservé,

Lilie lui obéit et se dirige calmement vers la salle de bain attenante à sa chambre où elle se fait délicatement couler un bain en laissant la porte ouverte derrière elle...juste au cas où...

juste au cas où n’est ce pas ????

W : merci pour tout çà, tout ce bonheur...tu en peux pas savoir comme je suis heureux !

oui ! et c’est magnifique à lire !

eh tu ne nous oublies pas... ta fic ma manque

Non, je ne vous oublie pas mais j'ai plus beaucoup d'avance par rapport à l'autre fofo alors je poste moins souvent

Mais voilà la suite !

Merry Christmas Part 3

La sapin décoré, la table dressée, la musique des chants traditionnels de Noël accueille les deux amoureux au salon. Lilie se sent beaucoup mieux après sa sieste réparatrice et surtout depuis que Went est venu la rejoindre dans son bain. Sofia lui lance des regards en coin tandis qu’Angelo sourit et que Tom lui fait de petits signes de la tête.

Ly : alors Lilie, prête pour ce réveillon ? Vous voulez boire quelque chose ?

Tandis que Went rejoins Sofia à la cuisine pour aller chercher quelques toasts, Lilie s’installe au salon, entourée par ses parents de cœur et son meilleur ami.

T : tu te sens comment ?

L : çà va çà va...je vous trouve bien inquiets pour moi en ce moment, je ne suis pas « malade », mais enceinte !

T : oui mais tu sais que tu es plus fragile que n’importe qu’elle autre femme avec tes carences alors moi et les autres, on s’inquiètes.

Elle pose délicatement sa paume sur la main de Tom, sur le bord du canapé.

L : merci Tom, merci pour tout çà, si j’oublie de te remercier je le fait maintenant parce que tout çà représente le plus beau noël que j’ai vécu jusqu’à maintenant tu sais ?

T : je sais...mais je sais aussi une chose, il y en aura pleins d’autres derrière !

Une voix nasillarde les interrompt.

S : chaud devant ! Ces messieurs dames sont servis ! Les toasts et les petits fours !

Tout ce petit monde s’installe autour du salon et les verres ne tardent pas à clinquer les uns contre les autres. Tous savourent la joie de se retrouver ensembles, réunis et heureux comme jamais depuis longtemps.
Un verre je jus d’orange s’agite au milieu des verres de champagne et les rires et éclats de voix joyeux remplissent bientôt tout l’appartement.

Le repas se déroule dans la même ambiance, et Lilie est ravie de voir à quel point Went s’entend à merveille avec son petit monde, sa famille. Il rie, discute parle de tout et de rien, comme si cela faisait des lustres qu’ils se connaissaient. Aucune gêne entre eux alors que les évènements passés ne leur ont pas vraiment permis de faire connaissance, que les circonstances des rencontres ont souvent été tragiques.
La soirée avance doucement et c’est bientôt minuit qui sonne avec son tourbillon de cadeaux et d’embrassades...

S : joyeux noel... !

Tout le monde trinque encore une fois en l’honneur de ce jour de joie.
Went se lève soudain, son verre à la main et prends la parole.

W : bon...je ne suis pas doué pour les discours très personnels mais nous sommes en comité restreints et je sais que Lilie n’a qu’une famille, vous...alors c’est à vous que je souhaitais m’adresser...
Vous savez à quel point je l’aime et je sais aujourd’hui que cela ne changera jamais. Quand je l’ai aperçu pour la première fois, sans même lui avoir parlé, toute fraîche débarquée d’ici, j’ai senti un truc, une attirance, quelque chose de chimique. Et puis on s’est parlé, on a appris à se connaître et je suis vite tombé amoureux et réciproquement, pour mon plus grand plaisir. Malheureusement, la vie n’est pas un long fleuve tranquille et elle s’est acharnée à nous séparer, grâce au manque de confiance de Lilie dans certains cas, grâce à ma bêtise dans d’autres...on a chacun eu notre part de responsabilités dans ce qui a causé nos disputes...
On a traversé des déserts avant de retrouver l’abondance dans notre amour commun, chacun de nous deux a porté sa croix, a tenté de cicatriser mais c’est ensemble que nous avons finalement réussi quelque chose de merveilleux. J’ai appris à pardonner et Lilie a appris à faire confiance. Je sais que jamais je ne pourrais aimer une autre femme et je suis comblé d’être bientôt père. Vous savez que je l’ai demandée en mariage il y a quelques temps mais je tenais à obtenir votre bénédiction...

Lilie sent ses yeux s’embuer sans qu’elle puisse y faire quoi que ce soit.
Lydia se lève et Angelo la suit de près, prenant dans ses mains, celles de Went.

Ly : Went, seul vous avez réussi à rendre notre Lilie heureuse, nous savons très bien que nul autre ne sera jamais capable d’en faire autant, alors notre bénédiction vous l’avez !

Went s’approche et embrasse les parents de cœur de sa bien aimée avant de se retourner vers elle, bien trop émue par cette déclaration pour dire quoi que ce soit.

W : maintenant Lilie, que j’ai obtenu cet aval, je voulais t’offrir ce présent, en gage de mon amour et dans l’attente de notre mariage.

Il sort une boite satinée de sa poche et l’ouvre devant elle puis lui tend la main.

W : j’ai toujours su inconsciemment que je ne pourrais épouser une autre fille que toi, tu m’as promis de m’épouser il y a quelques semaines et aujourd’hui je veux t’offrir cette bague, en gage de mon amour et de ma promesse de t’épouser. Tu me rends heureux, tu vas bientôt m’offrir un fils
Et je te promets de mettre tout en œuvre pour à mon tour te rendre heureuse.

Lilie reste sans voix, abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Les paroles de Went, la boite encore fermée, son regard perçant et si honnête, elle ne peut rien dire de peur d’exploser en sanglots tant elle tente désespérément de se contenir.

Il lui tend la boite qu’elle accepte tremblante, puis l’ouvre et laisse ses yeux s’agrandir tant elle brille. Ses doigts commencent à caresser doucement le métal précieux et brillant, dessinant les contours larges de la bague ornée d’une magnifique pierre étincelante. Il se décide à la détacher et lui tend son doigt pour la lui passer tout en lui souriant, sans cesser de fixer ses deux prunelles de plus en plus humides.

Sofia se met à applaudir, félicitant le merveilleux choix de cette large bague qui met généreusement en valeur les longs doigts fins de Lilie.

Lilie le regarde, émue et les joues empourprées, perdue et ne sachant pas répondre, si peu habituée aux effusions, et surtout devant des membres si proches.
Elle se décide tout de même à parler d’une voix teintée d’émotions et de sanglots contenus.

L : Went, je...je...je ne sais pas quoi te dire, je ne m’attendais pas du tout à çà et c’est assez perturbant pour moi...je ne tenais pas particulièrement à porter une preuve de ton amour sur moi car je n’en ai pas besoin mais cette bague est tout simplement exceptionnelle, sublime, je l’adore.

Elle s’approche et l’embrasse langoureusement, mettant toute l’émotion contenue, dans son baiser.

W : je suis ravi qu’elle te plaise et je n’ai pas beaucoup hésité quand je l’ai vu !

L : tu es fou, tu n’aurais pas dû !

S : bon les amoureux, c’est quand vous voulez que vous arrêtez de vous bécoter ! Et nous ?

Ly : Sofia !

S : c’est bon, je rigole !

Went se leva et alla à la chambre, chercher les paquets pour Sofia, Tom et les parents. Il les leur tendit, un grand sourire aux lèvres.

Ils ouvrirent leurs cadeaux simultanément et s’extasièrent devant la bonne idée de Lilie et Went.

S : non ! C’est génial, des billets d’avion !

W : Lilie et moi pensions que çà vous permettrais de venir nous voir en Floride ou à L.A quand vous en auriez la possibilité...c’est mieux qu’une babiole et ils sont valables sur n’importe quel vol à destination des Etats-Unis, pendant un an, quelle que soit la destination !

T : et en première classe à ce que je vois !

L : c’est toujours plus agréable croyez-moi !

S : hum...je vais m’habituer aux goûts de luxe alors !

Ils s’embrassèrent, se souhaitèrent une fois de plus de joyeuses fêtes et continuèrent la soirée gaiement. Les verres clinquèrent encore, les cuillers aussi dans les assiettes puis vers 3h00 du matin tout le monde alla se coucher.

Went rejoignis Lilie après avoir aidé à débarrasser. Elle était déjà étendue sur le lit, dans un magnifique déshabillé en satin qui laissait apercevoir ses formes généreuses. Il laissa ses yeux détailler son décolleté, son long et fin cou qui se déployait , laissant apparaître ses épaules dénudées et dorée par le soleil de leurs vacances récentes.

W : tu es magnifique !

L : çà te plait ?

W : tu rigoles ? Tu es...tu es...splendide ! Mais...c’est spéciale femme enceinte ?

L : oui...quand je l’ai vu j’ai tout de suite penser à toi, je me suis dit que cela serait un beau cadeau pour toi...

W : touché !

L : coulé !

Lilie se releva, s’agrippa à lui et le fit basculer sur le lit, sur lequel il tomba, les épaules les premières.

W : eh ! tu es folle !

Lilie ouvrit délicatement le tiroir de son chevet et en tira une boite longue et bleue qu’elle cala entre sa mâchoire, sans cesser de le fixer intensément.

W : c’est quoi çà ?

Elle enleva la boite et la lui tendit, toute excitée par sa réaction à venir.

L : c’est pour toi, c’est mon cadeau...

Went s’empara de la boite et l’ouvrit délicatement, laissant son regard détaillé les réactions de Lilie au fur et à mesure que le satin laissait place à la surprise.
Il découvrit une magnifique gourmette gravée de son prénom, en or et platine, d’un grand joaillier. Son prénom était écrit sur la face externe et sur la face interne, on pouvait lire « W & L ». il releva ses yeux vers elle et ne pus s’empêcher de lui sourire, ému et ravi de cette attention.

W : tu es folle ! Ce truc a du te coûter une fortune !

L : pas plus que ta bague très cher !

Il posa la boite sur son chevet et s’approche d’elle pour l’embrasser tendrement. Ses lèvres chaudes donnèrent des frissons à Lilie, fatiguée mais conquise par cette merveilleuse soirée qu’elle venait de passer avec les personnes les plus importantes pour elles dans la vie.
Leur baiser se prolongea un moment et Went finit par se détacher, déposant au passage un petit bisou sur le bout de son nez.

L : ta famille ne te manque pas ?

W : tu es ma famille !

L : non mais sérieusement Went...tes parents, Noël sans toi çà doit leur peser quand même !

W : ma mère doit un peu faire la tête mais çà lui passera et on sera là dans un peu plus d’une semaine, alors elle peu attendre un peu non ?

L : t’es qu’un fils ingrat !

W : tu veux rentrer ?

L : non, mais tu vas me faire le plaisir de l’appeler demain, je suis sure qu’elle doit être toute triste sans nous à ses cotés !

W : ok, ok...mais je sais aussi qu’elle va me faire des yeux tout ronds quand elle va voir ton bidon ! T’auras bien changé en 1 mois !

L : dis tout de suite que je suis grosse !

W : tu n’es pas grosse, tu es enceinte et très jolie, c’est pas pareil !

Went l’incita à s’allonger et commença à détailler chaque contour de son ventre et de sa poitrine en les caressant délicatement et en formant de petits cercles avec sa paume. Son petit ventre frémissait sous ses caresses et se détendait au fur et à mesure, laissant Lilie couler doucement dans le sommeil, rassurée et apaisée.



Alors ??

Merveilleux !

ta description du repas est formidable ! franchement je n’avais aucune peine à l'imaginer. On s’y croirait !

C’est vraiment très touchant de la part de Went de demander à « sa famille » sa bénédiction pour épouser Lilie et le coup de la bague est très émouvant !

Je me répète, mais après tout ce qu’ils ont traversé, je trouve leur couple encore plus beau quelque part !

magnifique suite...jkgdx:

ils sont trop mignons et quelle déclaration il nous faits encore là....

j'imagine trop bien les scènes

ne tarde pas trop à nous mettre la suite sinon je vais craquer et aller combler mon retard sur l'autre fofo :

honte a moi je n'avais pas posté de com(seras tu me pardonner?? )

je ne sais plus quoi dire a chaque fois j'ai l'impression de dire la meme chose mais bon c'est pas grave c'est .......GENIALISIME j'adore trop !!!


je veux une suite stp

tu cartonnes toujours autant

Voilà une suite merveilleuse!!!

Bravo!!!!


Il était trop touchant Went avec son discours, en demandant une bénédiction aux parents de Sofia

Vivement la suite!!!!

Désolée de laisser mon petit commentaire si tard...

Lilie se sent beaucoup mieux après sa sieste réparatrice et surtout depuis que Went est venu la rejoindre dans son bain.

Tu m'étonnes !

L : merci Tom, merci pour tout ça, si j’oublie de te remercier je le fait maintenant parce que tout ça représente le plus beau noël que j’ai vécu jusqu’à maintenant tu sais ?
T : je sais...mais je sais aussi une chose, il y en aura pleins d’autres derrière !

Tom a l'air vraiment satisfait de voir son amie si heureuse, enfin.

Le repas se déroule dans la même ambiance, et Lilie est ravie de voir à quel point Went s’entend à merveille avec son petit monde, sa famille. Il rit, discute parle de tout et de rien, comme si cela faisait des lustres qu’ils se connaissaient. Aucune gêne entre eux alors que les évènements passés ne leur ont pas vraiment permis de faire connaissance, que les circonstances des rencontres ont souvent été tragiques.

Voir ça doit être d'un tel réconfort pour Lilie. Elle doit sentir une vraie famille unie autour d'elle...une famille qui s'agrandit peu à peu.

On a traversé des déserts avant de retrouver l’abondance dans notre amour commun, chacun de nous deux a porté sa croix, a tenté de cicatriser mais c’est ensemble que nous avons finalement réussi quelque chose de merveilleux. J’ai appris à pardonner et Lilie a appris à faire confiance. Je sais que jamais je ne pourrais aimer une autre femme et je suis comblé d’être bientôt père. Vous savez que je l’ai demandée en mariage il y a quelques temps mais je tenais à obtenir votre bénédiction...

Went a su trouver les mots sans esquiver leurs problèmes et en prenant aussi ses responsabilités, en assumant ses propres erreurs, pour leur permettre d'avancer, ensemble

Lilie le regarde, émue et les joues empourprées, perdue et ne sachant pas répondre, si peu habituée aux effusions, et surtout devant des membres si proches.
Elle se décide tout de même à parler d’une voix teintée d’émotions et de sanglots contenus.
L : Went, je...je...je ne sais pas quoi te dire, je ne m’attendais pas du tout à çà et c’est assez perturbant pour moi...je ne tenais pas particulièrement à porter une preuve de ton amour sur moi car je n’en ai pas besoin mais cette bague est tout simplement exceptionnelle, sublime, je l’adore.

Sa petite Lilie est profondément émue, entourée des gens qui lui sont les plus chers.
Elle n'a pas que la bague comme preuve d'amour de Wentworth Il y aussi ce qui développe en elle.

L : oui...quand je l’ai vu j’ai tout de suite penser à toi, je me suis dit que cela serait un beau cadeau pour toi...
W : touché !
L : coulé

N'importe quelle tenue lui aurait plu, de toutes façons Il l'aime comme elle est, tout simplement

L : dis tout de suite que je suis grosse !
W : tu n’es pas grosse, tu es enceinte et très jolie, c’est pas pareil !

Voilà la suite, et merci de votre fidélité !




Lilie dort encore à 11 h00 du matin, alors que Went ouvre des yeux ronds en la regardant dans son sommeil. Elle semble apaisée et les traits détendus. Couchée sur le coté, vers l’intérieur du lit et face à Wentworth, sa respiration est lente et régulière. Il la regarde de haut en bas, scrutant avec amour ses nouvelles formes qui se dessinent sur son corps à l’approche d’un si bel évènement. Dans cinq mois, peut-être légèrement moins, il serait parent, père...
Il replongea sa tête en arrière en essayant de s’imaginer, fille ? Garçon ? Tous se bouscule dans sa tête...arrivera t’il a être un bon père ? A être présent malgré son métier ?

Tant de questions qui restent encore sans réponse, suspendues au futur, alors que Lilie commence à bouger à coté de lui, symptôme que bientôt elle va se réveiller.

Elle ouvre un œil, puis l’autre et tente de se cacher, s’imaginant une tête déplorable au réveil.

L : oh non ! Pour quoi tu me regardes comme çà ?

W : tu es incroyablement belle enceinte !

L : arrête ! Je viens d’ouvrir les yeux et je dois avoir une tête de déterrée !

W : alors tu es ma déterrée à moi !

Went se rapproche et colle son corps au sien, ne se lassant pas de sa proximité. Il a besoin de la sentir, de la toucher et de la possédée comme jamais.

L : tu portes encore ta gourmette ?

W : je ne la quitterais jamais !

L : tu...je...je me suis endormie hier soir ! Mon dieu, excuses-moi, moi qui voulait que cette soirée soit mémorable...

W : mais elle l’a été Lilie, et je peux comprendre que tu sois fatiguée, je ne suis pas une machine...et toi non plus, peu importe la date !

L : alors je peux me rattraper quand je veux ?

W : bien sur !

L : et tu préfèrerais quand ?

W : tout de suite !

Il la fait basculer sous lui en prenant soin de ne pas écraser son petit ventre et commence à assaillir sa bouche, sa nuque et sa poitrine de baisers. Lilie frissonne et se cambre sous ses caresses entreprenantes. Elle peut déjà sentir son désir tout prêt d’elle et lit dans ses yeux ce manque qu’il ressent...leurs corps ont besoin de se recharger l’un de l’autre...

L : je t’aime Went...

Il lui souris et embrasse le bout de son nez avant de laisser s’entrouvrir au contact de ses doigts, le fin lacet de satin qui relie chaque pan de sa nuisette. Ainsi nue et offerte, il commence à jouer sur le fin tissu qui recouvre encore son intimité.
Elle commence à soupirer doucement, s’abandonnant au contact charnel de son amant. Des doigts de fée, en plus d’être beau comme un dieu, il a des doigts de fée, ne peut-elle s’empêcher de penser.
Il continue un moment de la soumettre à son supplice laissant ses doigts accompagner ses lèvres aux endroits les plus secrets de son être. Lilie reste pantelante, soumise et vaincue au bras et au savoir faire de son amant, visiblement prêt à tout pour lui faire atteindre le septième ciel.

Le mince sous-vêtement qu’il lui reste finit par rejoindre la sol alors qu’il se dévêtit lui-même de son caleçon, devenu trop encombrant. La chaleur de leur corps réunis contraste avec le froid de décembre qui règne dehors.
Réunis, l’un contre l’autre, ils savourent à nouveau une étreinte apaisante.
Lilie s’accroche à sa nuque et tente désespérément de capter son regard, elle n’en peut plus et en a assez de ces préliminaires qui durent et le mettent au supplice, elle le veut et tout de suite.
Went semble comprendre et lâche son étreinte pour venir à nouveau prendre possession de ses lèvres alors que leurs sexes se frôlent ; se frottent et se cherchent. Il liasse encore un peu de temps s’écouler, jouant avec la langue de sa partenanire, nouant et dénouant leur inlassable ballet.
Il laisse ensuite ses cuisses s’immiscer entre celles de Lilie qui n’attends que sa venue depuis plusieurs minutes. Doucement, tendrement, il se fraye un chemin et la fait sienne.
Le ballet de leurs corps enlacés, imbriqués, commence alors que leurs regards se fixent à travers la faible clarté hivernale qui perce des volets. Lilie se sent bien, comme çà et ne voudrais jamais quitter ce sentiment de plénitude qu’elle ressent dans ces moments là, Went est doux, il comprend chacun de ses désirs et besoins comme s’ils les ressentaient lui-même, elle n’a besoin de rien d’autre...

Après ces longs et tendres va et viens, elle le sent se cabrer, se retenant pour ne pas trop exploser, ni violemment, ni bruyamment. Lilie lui sourit et caresse doucement le bas de ses reins, puis ses fesses, l’incitant à se laisser aller, faisant fi de ses craintes.
Il répond à son aval et devient plus pressant, plus ondulant que jamais. Elle se sent faiblir alors qu’une chaleur s’empare insidieusement de tout son être avant que l’orgasme ne la transperce de part en part.
Went part lui aussi la rejoindre, dans les nimbes du septième ciel qui s’ouvre devant eux. Il gémit fort près de sa bouche, sa respiration saccadée prouvant qu’il lui a tout donné, une fois de plus.
Épuisé mais heureux de cette nouvelle étreinte, il se laisse basculer à coté d’elle alors que des gouttes de sueurs perlent à son front.
Il continue de caresser son ventre, lentement, doucement pour ne pas perdre le contact, la chaleur qu’il viennent de partager.

L : je t’aime Wentworth Miller !

W : je t’aime aussi comme un fou Miss Étura !

L : tu te rends compte ?

W, encore essoufflé : quoi ?

L : nous deux !

W : oui ?

L : depuis tout ce temps, depuis notre rencontre...

W : oui, nous en avons vécu des choses, et pas que des belles...

L : oui, mais aujourd’hui je suis enceinte et heureuse comme jamais, c’était presque impossible pour moi il y a encore deux ans, alors en plus avec toi, tu te rends compte le virage qu’a pris ma vie !

W : je suis heureuse que le destin ai décidé de te mettre sur mon chemin !

L : je t’aime !

W : encore ?

L : toujours et pour toujours !

W : on devrait peut-être se lever ? Ils font quoi les autres ?

L : Sofia va déjeuner avec Tom et ses parents au restau ce midi...

W : on va être seuls alors ?

L : exactement !

W : hum hum...

Lilie se lève et file se doucher, réveillée et épanouie par le doux moment qu’elle vient de partager avec Went.
Il en profite pour aller dans la cuisine et préparer un petit déjeuner festif...



Alors ????

ahhhhhhhhhhhhhh j'adore toujours et encore !!!!!!!

ils sont trop mignons ses dex la et toujours insatiables!!


a quand la suite je l'attends avec impatience!!

Il la regarde de haut en bas, scrutant avec amour ses nouvelles formes qui se dessinent sur son corps à l’approche d’un si bel évènement. Dans cinq mois, peut-être légèrement moins, il serait parent, père...
Il replongea sa tête en arrière en essayant de s’imaginer, fille ? Garçon ? Tous se bouscule dans sa tête...arrivera t’il a être un bon père ? A être présent malgré son métier ?

Wentworth a l'air de ne pas vouloir perdre une miette des changements qui s'opèrent sur Lilie, en raison de sa grossesse.
Il commence aussi à se poser des tas de questionssur sa paternité qui approche...

L : arrête ! Je viens d’ouvrir les yeux et je dois avoir une tête de déterrée !
W : alors tu es ma déterrée à moi !

W : mais elle l’a été Lilie, et je peux comprendre que tu sois fatiguée, je ne suis pas une machine...et toi non plus, peu importe la date !
L : alors je peux me rattraper quand je veux ?
W : bien sur !
L : et tu préfèrerais quand ?
W : tout de suite !

Il trouve toujours les mots pour la rassurer C'est peut-être aussi parce qu'il attend un petit truc spécial de sa part ?

Elle commence à soupirer doucement, s’abandonnant au contact charnel de son amant. Des doigts de fée, en plus d’être beau comme un dieu, il a des doigts de fée, ne peut-elle s’empêcher de penser.
Il continue un moment de la soumettre à son supplice laissant ses doigts accompagner ses lèvres aux endroits les plus secrets de son être. Lilie reste pantelante, soumise et vaincue au bras et au savoir faire de son amant, visiblement prêt à tout pour lui faire atteindre le septième ciel.

Lilie fantasmerait aussi sur ses jolies mains

Il gémit fort près de sa bouche, sa respiration saccadée prouvant qu’il lui a tout donné, une fois de plus.
W : on va être seuls alors ?
L : exactement !
W : hum hum...

J'espère que Wentworth en a encore "sous la semelle" Ce jour de Noël s'annonce particulièrement intense et je crois qu'ils ne vont pas avoir de difficulté à trouver des activités pour s'occuper, tous les 2

Excellent !

Il replongea sa tête en arrière en essayant de s’imaginer, fille ? Garçon ? Tous se bouscule dans sa tête...arrivera t’il a être un bon père ? A être présent malgré son métier ?

J’ai adoré ce passage !

Chapitre 65 : Tempête

L’eau de la douche soulage et apaise le corps ankylosé de Lilie malgré le sommeil. Elle se détend sous le jet puis ressort après une toilette énergique car Went doit l’attendre et elle n’aime pas les pancakes froids.

Elle cherche alentour de quoi s’habiller et sèche son corps avec la serviette de bain. Elle attrape une tenue décontractée mais sexy car veux rester belle même si au fond son corps réclame surtout du confort.

Son estomac fait des bons et elle se dépêche d’attraper des sous vêtements pour le rejoindre.
Alors que ses mains lâche la serviette de bain, elle distingue sur celle-ci, une traînée de sang assez vive et en peut s’empêcher de hurler alors que l’effroi la transperce.

L : Went ! Non ! Au secours, Went !!!!!!!!!!!

Elle hurle dans tout l’appartement et Went ne tarde pas à accourir auprès d’elle le visage affolé lorsqu’il découvre la mine affligée de Lilie.

W : qu’est-ce qui se passe ? Tu ne te sens pas bien ? Qu’est-ce qu’il y a ?

L : je perds du sang Went, je perds du sang, oh mon dieu !

Il s’approche et tente de la calmer un instant alors que la panique le gagne lui aussi.

W : restes calme ma puce, j’appelle une ambulance, allonges-toi...

Il se retourne et attrape son portable afin de prévenir les secours.
Il n’ose la toucher, silencieux, se contentant de faire passer avec le regard, tout l’amour et toute la tendresse qui puisse la soulager.

L : oh, Went, notre bébé, je suis en train de perdre notre bébé...

W : ne dis pas de bêtises ! Tu as mal au ventre ?

L : non, mais...

W : alors tiens-toi tranquille, l’ambulance va arriver.

En effet, les secours sont là, quelques minutes plus tard. Les pompiers prennent Lilie en charge et autorisent Went à l’accompagner, quelques peu surpris face à la star de série et sa petite amie française. Lilie ne cesse de s’inquiéter et implore en silence qu’on lui dise ce qui lui arrive.
Le médecin pompiers s’approche et commence à poser quelques questions afin d’établir un premier diagnostic.

- de combien êtes-vous enceinte Melle ?

L : cinq mois...

- bien, avez-vous eu des douleurs dernièrement ? Ce matin, hier ?

L : non, aucune douleur mais très mal au dos et une grande fatigue hier dans l’après midi...

- ok, on vous transporte à l’hôpital tout de suite...

L : çà va aller ? Mon bébé, je veux dire, notre bébé va s’en sortir ?

Le pompier la regarde, le visage crispé.

- je ne peux rien vous dire Mademoiselle, ce n’est pas possible de se prononcer sans échographie. Ce n’est peut-être rien mais il vous faut un examen gynécologique complet pour s’en assurer.

Elle baisse les yeux et Went lui attrape la main qu’il sert de touts ses forces. Il sent sa peur et son désespoir à l’idée que si proche du but, elle puisse encore échouer.

W : ne t’en fait ma puce, je suis sur que ce n’est qu’une petite frayeur et que dans deux jours on en rigolera.

L : Went, je suis désolée, je n’y arriverai pas...

Il tente de secouer son bras pour qu’elle se reprenne.

W : eh ! Lilie, qu’est-ce que va penser notre fille si elle t’entend parler d’elle ainsi ! Il faut que sa maman se batte, elle sait que tu es une battante, fais lui ce plaisir !

L’ambulance se stoppe bruyamment alors que la sonnerie du deux tons s’arrêtent pour laisser place à un ballet de bras et de portes qui s’affairent à l’amener au plus vite auprès d’un médecin. Cet affolement ne lui dit rien qui vaille et pourtant, il va falloir attendre encore avant de savoir...

Went court après le brancard, cherchant à garder le plus possible une infime distance entre Lilie et lui, se refusant à la laisser affronter çà toute seule.
Un interne approche et lui repose les mêmes questions que le médecin pompier.

Dr : nous l’emmenons, attendez-nous ici s’il vous plaît...

W : je voudrais venir...

Dr : ce n’est pas possible Monsieur, on vous préviendras dès que nous aurons un pronostic...

L : Went, ne me laisses pas !

W : je suis là ma puce, tout va bien se passer, je serais juste à coté de toi, ne t’inquiètes pas...

Le brancardier la pousse le long du couloir jusqu’à une salle d’examen contiguë.

Lilie tremble, elle n’a pas mal au ventre, ne ressent rien, mais les regards des brancardiers ne lui dise rien qui vaille, et Went, obligé de rester dans le couloir pour le moment, n’est donc pas là pour la soutenir...

Le médecin ne tarde pas à arriver et s’entretien avec une sage femme, qui a constaté l’état de Lilie.

Dr : bonjour Melle, vous avez mal ?

L : pas du tout, mais dites-moi Docteur, je ne vais pas perdre mon bébé ?

Dr : nous allons voir çà...calmez vous, je vais commencé par vous faire une échographie...

Le médecin allume et règle l’appareil pendant que la sage-femme passe un gal sur le ventre de Lilie.
Il applique l’embout sur son ventre et commence à chercher le fœtus. Il ne tarde pas à plisser les yeux, ce qui fait redoubler l’angoisse de Lilie qui ne voit ni n’entend rien.

L : docteur ?

Dr : oui...bon, avez-vous des fourmillements dans les doigts, aux extrémités ?

L : un peu mais...dites-moi Docteur...

Dr : nous allons faire rentrer votre compagnon si vous le voulez bien, il doit se faire du souci lui aussi...



Alors pas trop flipées ???

Alors pas trop flipées ???

Comment ça on a pas trop flippées ? Arrête, j’ai la trouille ! Qu’est ce qui va se passer ???? Ne me dis pas qu’il est arrivé quelque chose au bébé ????

Tu as super bien fait passer l’angoisse de Went et Lilie je trouve ! J’espère qu’il n’y a rien de grave.