Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite pour aujourd'hui
Dimanche 2 septembre 2007 – Loft de Wentworth – 09 :30 AM, heure locale
Lilie se réveillait doucement après une nuit peuplée de songes. Un œil, puis après l’autre avant de distinguer ce qui l’entourait et de réaliser le doux bonheur qui s’emparait d’elle au souvenir de sa nuit passée.
Posté sur le coté gauche, un bras replié sur la tête, Wentworth regardait Lilie depuis un petit moment. Lorsqu’elle tourna la tête dans sa direction, il lui adressa un large sourire qu’elle s’empressa de lui rendre tout en venant serrer sa tête au creux de ses bras.
L : il y a longtemps que tu es réveillé ?
W : peut-être une demie heure, je ne sais pas, je te regardais dormir, tu étais si paisible…
L : j’espère que je n’ai rien dit de choquant, j’ai tendance à parler dans mon sommeil…
W : je n’ai rien entendu de compromettant si çà peut te rassurer !
Went se redressa pour se positionner face à Lilie qui était allongée sur le dos. Il se pencha vers elle et déposa un tendre baiser prolongé sur ses lèvres. Reculant un instant pour fixer son regard dans le sien, ils échangèrent un sourire entendu avant que Lilie l’emprisonne dans ses bras, le faisant basculer sur elle en même temps qu’elle collait ses lèvres aux siennes. Elle roula sur le lit pour se retrouver à califourchon sur Wentworth, amusé tout autant qu’excité par la situation. Ses longs cheveux frisés tombaient jusqu’en dessous de sa poitrine et masquait une moitié de son visage. Il écarta ses cheveux pour dégager son visage et son corps et attrapa ses hanches pour qu’elle se rapproche de lui et vienne l’embrasser. Leurs deux corps nus, l’un contre l’autre, se réclamaient encore…
Une demi-heure plus tard…dans la salle de bain
Wentworth et Lilie Barbotaient dans la grande baignoire octogonale, entourés de mousse, lovés l’un contre l’autre.
W : rien de tel qu’un bon bain après le câlin du matin…
L : c’est sur que ta baignoire s’y prête beaucoup en plus !
Wentworth était adossée à la baignoire, Lilie contre lui entre ses jambes se laissant aller à la douceur de leurs caresses.
W : tu as faim ? Je pourrais te préparer un petit déjeuner si tu veux ?
L : ce ne serait pas de refus mais tu ne dois pas déjeuner avec ta mère dans moins de deux heures ?
W : j’avais complètement oublié ce détail…
L : je crois que ta maman n’appréciera pas de le savoir !
W : Cela dépend ce que je lui donne comme excuse…
L : tu vas y aller, cela lui fera tellement plaisir de te revoir !
W : je sais, oui…et toi, tu vas faire quoi ? Je suis désolé de te laisser seule une bonne partie de la journée…
L : je vais me prélasser en attendant ton retour…et je vais me préparer pour ce soir…
W : la journée va être longue !
L : profites ! Tu ne la vois pas souvent non ?
W : oui mais elle est tellement… ! Elle ne va pas arrêter de me bassiner en me posant des questions sur toi !
L : bon ! Il faut que je m’habille et que je mange, je suis affamée !
Lilie se leva, attrapa une serviette pour Went et elle et ils se séchèrent et s’habillèrent rapidement avant de descendre au salon. Went s’empressa de préparer deux cafés et quelques toasts pour Lilie avec un bon jus d’orange. Ils s’installèrent face à face au bar et déjeunèrent tout en discutant de futilités et de la soirée.
Après avoir avalé son café, Wentworth se décida à appeler sa mère pour aller la chercher et déjeuner car il ne voulait pas rentrer trop tard.
W : allo maman ?
J : mon chéri ! Je me doutais que tu allais quand même m’appeler ! Tu viens me chercher ?
W : oui maman, je serais là d’ici une petite heure, je t’attendrais dans la voiture.
J : très bien, je serais là.
W : parfait, à tout à l’heure…
Il raccrocha et posa son cellulaire sur le bar. Lilie était en train de déguster ses toasts, accoudée à la terrasse. Il s’approcha et vint se coller contre elle en la serrant très fort.
W : je vais pas tarder…tu as besoin de quelque chose ?
L : non, je vais me reposer et passer quelques coups de fil…
W : parfait…
Elle se retourna pour se retrouver face à lui et agrippa son cou tout en s’approchant pour l’embrasser. Il enserra sa taille et caressa son dos tandis qu’elle se lovait tout contre lui.
L : je me sens tellement bien là…je pourrais rester comme çà pendant des heures…
W : oui mais je vais devoir y aller…à tout à l’heure…
Il se détacha à regret, l’embrassa rapidement pour ne pas être tenté de changer d’avis et se dirigea au salon. Elle le suivit du regard jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse complètement derrière la porte. Se retrouvant seule et quelque peu désoeuvrée, elle entreprit de contacter ses amis par emails et d’appeler Sandra pour lui raconter un peu son week-end.
Dimanche 2 Septembre 2007 – Los Angeles – 02 :00 PM, heure locale
Wentworth avait emmené sa mère dans un grand restaurant français huppé de Los Angeles dont elle appréciait particulièrement la cuisine. Ils étaient installés en terrasse ombragée ou ils profitaient de la belle journée ensoleillée qui s’offrait à eux.
W : tu repars quand ?
J : ce soir, à cinq heures trente. Je vois que tu es pressé de te débarrasser de moi !
W : ne dis pas de bêtises ! Je vais te raccompagner c’est tout.
J : merci, mais tu ne m’as pas beaucoup parlé de Lilie dis-moi…
W : je n’ai pas grand-chose à en dire maman…
J : tout va bien ? Tu me semble bizarre…quelque chose te gênes ?
W : non, à vrai dire je suis un peu effrayé par ce que je ressens…
J : toi ? Ce serait bien la première fois que je te vois dans cet état pour une fille ! Mais quel est le problème ? Tu es bien avec elle ?
W : oui, justement je me sens tellement bien avec elle, comme si cela ne m’était jamais arrivé avant !
J : alors c’est parfait mon chéri mais c’est aussi incurable, tu es amoureux !
W : maman, je ne peux pas être amoureux si rapidement, en si peu de temps !
J : alors c’est quoi à ton avis ? Crois-moi chéri, le coup de foudre çà ne prévient pas !
W : c’est juste que quand je suis avec elle, j’ai constamment envie de la serrer dans mes bras, d’être avec elle, de l’embrasser, je ressens un bien-être incroyable…
J : et elle ?
W : je ne sais pas…elle a l’air ravie aussi !
J : alors c’est le principal, rien ne sert de vous précipiter l’un sur l’autre, laissez les choses venir, prenez votre temps, si vous êtes bien ensemble et que c’est réciproque, ne laissez personne gâcher cela.
W : tu as raison maman
J : je suis vraiment très contente que nous ayons eu cette conversation, que tu te sois un peu confié à moi. Je suis heureuse pour toi et tes sœurs vont être ravies aussi !
W : elles sont déjà au courant ?
J : bien sur que oui, je n’ai pas pu tenir ma langue ! Leight aimerait vraiment faire sa connaissance la semaine prochaine !
W : on verra çà…je crois qu’elle a aussi besoin d’espace et de temps, je ne veux pas la précipiter ni l’effrayer. Elle te connaît déjà alors que nous ne sommes ensembles que depuis quelques jours, cela pourrait faire beaucoup. D’autant plus que je l’ai vaguement entendu dire qu’elle n’avait pas d’autre famille que ses amis en France…
J : elle est orpheline ?
W : je n’ai pas relevé, le moment n’était pas opportun mais elle ne m’a rien avoué de ce coté là.
Los Angeles – Loft de Wentworth – 06:00 PM, heure locale
Lilie avait passé l’après midi a surfer sur Internet et répondre à des amis par mail. Elle s’était aussi empressé d’appeler Sofia pour lui annoncer sa première sortie officielle en compagnie de Went et la prévenir qu’elle serait certainement dans de nombreux journaux qui annoncerait officiellement leur relation étant donné que Went lui avait avoué ne pas vouloir se cacher.
Elle appela Pierre, son collaborateur et responsable de production audiovisuelle de qui elle était proche pour lui parler de la proposition que lui avait faite Paul Scheuring. Sans douter des réelles capacités de Lilie, il lui conseilla de bien réfléchir, de bien peser le pour et le contre avant de prendre sa décision définitive. Elle lui assura cependant que même si elle acceptait, elle serait là dans quinze jours pour régler quelques affaires.
A six heures trente, elle sortait de la salle de bain en peignoir, pomponnée et fraîche lorsqu’elle entendit la porte d’entrée du Loft s’ouvrir.
Elle l’aperçut au salon, la mine fatiguée.
L : bonsoir…tu as l’air fatigué !
W : je le suis ! Mais je suis aussi ravi d’être enfin rentré…une bonne douche et un bisou et tout devrait rentrer dans l’ordre…
L : si je peux t’aider…
Lilie s’approcha de lui coquinement et déposa un léger baiser sur ses lèvres faisant mine de s’éloigner ensuite. Il l’attrapa alors par les hanches pour plaquer rageusement ses lèvres contre les siennes, approfondissant son baiser et laissant leurs langues se trouver. Lilie était quelque peu surprise de sa réaction et de la fougue qu’il avait mise dans son baiser comme s’il avait un important besoin de se recharger d’elle.
Il relâcha son étreinte après une longue minute de baiser passionné ? Essoufflé de sa propre ardeur.
W : c’est un plaisir de t’embrasser comme çà…
L : c’est très agréable pour moi aussi…
W : tu es prête ?
L : douchée ! Il ne me reste plus que la case habillage, maquillage et coiffage !
W : j’ai hâte de voir çà ! Je vais me doucher, à dans une heure…
L : a dans une heure…
Il grimpa les marches quatre à quatre, sortit son costume de sa housse et se déshabilla pour aller se doucher. Lilie remonta dans sa chambre et commença par s’habiller. Elle avait tout prévu, les sous-vêtements accordés, les bas, tout allait être parfait ! Elle enfila la magnifique robe fourreau bleu nuit fendue à l’avant que Wentworth lui avait acheté la veille. Une fois de plus, devant la grande baie vitrée, elle eut le souffle coupé et se reconnaissait à peine. La coupe de la robe la rendait encore plus grande et affinait sa taille.
Elle commença à se maquiller légèrement, rehaussant ses yeux avec une ombre foncée, un khôl brun et du mascara, et parsema sa bouche de rouge à lèvres rosé. Elle releva simplement ses cheveux en arrière pour dégager son visage et laisser ses cheveux bouclés retomber en cascade sur ses épaules.
De son coté, Went s’était rasé de prêt, avait enfilé chemise et nœud pap’ pour la grande première de présentation de la saison trois. Il sortit de sa chambre et descendit au salon, légèrement nerveux du grand changement qui s’opérerait pour lui en public ce soir...
Lilie le rejoint quelques minutes plus tard et lui apparut encore plus magnifiée que la première fois. Son maquillage et sa coiffure rajoutés à la robe lui donnaient une allure folle. Son visage semblait encore plus fin et délicat tandis que ses longs cheveux bouclés cachaient un soupçon d’épaules.
W : tu es...divine
L : tu n’es pas mal non plus en costard ! Ca fait vraiment très...
W : Cérémonie ! C’est vrai, tu verras on s’habitue...
Il s’approcha d’elle pour l’admirer de plus près. Il caressa ses épaules et vint déposer un baiser juste en dessous son oreille, ce qui la fit frissonner. La sonnette les interrompit.
W : cela doit être Amaury et Sarah, je vais ouvrir.
Il se dirigea tout excité vers la porte.
A : Comment çà va ? T’as l’air en forme ! Ce que t’es classe ! Mais où est la chiquita ?
Wentworth se dégagea pour laisser entrevoir Lilie, postée quelques mètres plus loin, un peu nerveuse d’être vue dans la tenue qu’elle portait, leur jugement serait primordial...
A : wouahh ! Chiquita ! Mais tu va faire un malheur comme çà !
Lilie rougit et il s’approcha pour l’embrasser affectueusement. Wentworth restait dans l’entrée et accueillait Sarah qui était magnifique. Elle portait une longue robe rouge seyante, parfaitement accordée à sa coiffure et à la couleur de ses cheveux, habilement coiffés. On aurait dit une gravure de mode et ne portait aucune trace de sa grossesse. Elle était rayonnante.
W : entre donc !
S : bonjour Went ! Cela ma fait vraiment très plaisir de te voir...même si c’est un peu bizarre sans Marianna, elle va me manquer !
Lilie se sentit piquée au vif par cette réflexion mais se ravisa tout de suite.
W : Sarah, je tiens à te présenter Lilie, mon amie. Lilie, voici Sarah, ma partenaire dans la série.
S : enchantée, vous êtes vraiment magnifique ! Amaury ne m’avait pas menti !
L : de même...
Ils échangèrent quelques politesse avant de se rappeler que le chauffeur les attendaient dans la limousine et qu’ils fallait qu’ils se dépêchent pour être à l(heure à la soirée..
Chapitre 11
Deux cœurs (suite)
Dimanche 2 septembre 2007 – Loft de Wentworth – 09 :30 AM, heure locale
Lilie se réveillait doucement après une nuit peuplée de songes. Un œil, puis après l’autre avant de distinguer ce qui l’entourait et de réaliser le doux bonheur qui s’emparait d’elle au souvenir de sa nuit passée.
Posté sur le coté gauche, un bras replié sur la tête, Wentworth regardait Lilie depuis un petit moment. Lorsqu’elle tourna la tête dans sa direction, il lui adressa un large sourire qu’elle s’empressa de lui rendre tout en venant serrer sa tête au creux de ses bras.
L : il y a longtemps que tu es réveillé ?
W : peut-être une demie heure, je ne sais pas, je te regardais dormir, tu étais si paisible…
L : j’espère que je n’ai rien dit de choquant, j’ai tendance à parler dans mon sommeil…
W : je n’ai rien entendu de compromettant si çà peut te rassurer !
Went se redressa pour se positionner face à Lilie qui était allongée sur le dos. Il se pencha vers elle et déposa un tendre baiser prolongé sur ses lèvres. Reculant un instant pour fixer son regard dans le sien, ils échangèrent un sourire entendu avant que Lilie l’emprisonne dans ses bras, le faisant basculer sur elle en même temps qu’elle collait ses lèvres aux siennes. Elle roula sur le lit pour se retrouver à califourchon sur Wentworth, amusé tout autant qu’excité par la situation. Ses longs cheveux frisés tombaient jusqu’en dessous de sa poitrine et masquait une moitié de son visage. Il écarta ses cheveux pour dégager son visage et son corps et attrapa ses hanches pour qu’elle se rapproche de lui et vienne l’embrasser. Leurs deux corps nus, l’un contre l’autre, se réclamaient encore…
Une demi-heure plus tard…dans la salle de bain
Wentworth et Lilie Barbotaient dans la grande baignoire octogonale, entourés de mousse, lovés l’un contre l’autre.
W : rien de tel qu’un bon bain après le câlin du matin…
L : c’est sur que ta baignoire s’y prête beaucoup en plus !
Wentworth était adossée à la baignoire, Lilie contre lui entre ses jambes se laissant aller à la douceur de leurs caresses.
W : tu as faim ? Je pourrais te préparer un petit déjeuner si tu veux ?
L : ce ne serait pas de refus mais tu ne dois pas déjeuner avec ta mère dans moins de deux heures ?
W : j’avais complètement oublié ce détail…
L : je crois que ta maman n’appréciera pas de le savoir !
W : Cela dépend ce que je lui donne comme excuse…
L : tu vas y aller, cela lui fera tellement plaisir de te revoir !
W : je sais, oui…et toi, tu vas faire quoi ? Je suis désolé de te laisser seule une bonne partie de la journée…
L : je vais me prélasser en attendant ton retour…et je vais me préparer pour ce soir…
W : la journée va être longue !
L : profites ! Tu ne la vois pas souvent non ?
W : oui mais elle est tellement… ! Elle ne va pas arrêter de me bassiner en me posant des questions sur toi !
L : bon ! Il faut que je m’habille et que je mange, je suis affamée !
Lilie se leva, attrapa une serviette pour Went et elle et ils se séchèrent et s’habillèrent rapidement avant de descendre au salon. Went s’empressa de préparer deux cafés et quelques toasts pour Lilie avec un bon jus d’orange. Ils s’installèrent face à face au bar et déjeunèrent tout en discutant de futilités et de la soirée.
Après avoir avalé son café, Wentworth se décida à appeler sa mère pour aller la chercher et déjeuner car il ne voulait pas rentrer trop tard.
W : allo maman ?
J : mon chéri ! Je me doutais que tu allais quand même m’appeler ! Tu viens me chercher ?
W : oui maman, je serais là d’ici une petite heure, je t’attendrais dans la voiture.
J : très bien, je serais là.
W : parfait, à tout à l’heure…
Il raccrocha et posa son cellulaire sur le bar. Lilie était en train de déguster ses toasts, accoudée à la terrasse. Il s’approcha et vint se coller contre elle en la serrant très fort.
W : je vais pas tarder…tu as besoin de quelque chose ?
L : non, je vais me reposer et passer quelques coups de fil…
W : parfait…
Elle se retourna pour se retrouver face à lui et agrippa son cou tout en s’approchant pour l’embrasser. Il enserra sa taille et caressa son dos tandis qu’elle se lovait tout contre lui.
L : je me sens tellement bien là…je pourrais rester comme çà pendant des heures…
W : oui mais je vais devoir y aller…à tout à l’heure…
Il se détacha à regret, l’embrassa rapidement pour ne pas être tenté de changer d’avis et se dirigea au salon. Elle le suivit du regard jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse complètement derrière la porte. Se retrouvant seule et quelque peu désoeuvrée, elle entreprit de contacter ses amis par emails et d’appeler Sandra pour lui raconter un peu son week-end.
Dimanche 2 Septembre 2007 – Los Angeles – 02 :00 PM, heure locale
Wentworth avait emmené sa mère dans un grand restaurant français huppé de Los Angeles dont elle appréciait particulièrement la cuisine. Ils étaient installés en terrasse ombragée ou ils profitaient de la belle journée ensoleillée qui s’offrait à eux.
W : tu repars quand ?
J : ce soir, à cinq heures trente. Je vois que tu es pressé de te débarrasser de moi !
W : ne dis pas de bêtises ! Je vais te raccompagner c’est tout.
J : merci, mais tu ne m’as pas beaucoup parlé de Lilie dis-moi…
W : je n’ai pas grand-chose à en dire maman…
J : tout va bien ? Tu me semble bizarre…quelque chose te gênes ?
W : non, à vrai dire je suis un peu effrayé par ce que je ressens…
J : toi ? Ce serait bien la première fois que je te vois dans cet état pour une fille ! Mais quel est le problème ? Tu es bien avec elle ?
W : oui, justement je me sens tellement bien avec elle, comme si cela ne m’était jamais arrivé avant !
J : alors c’est parfait mon chéri mais c’est aussi incurable, tu es amoureux !
W : maman, je ne peux pas être amoureux si rapidement, en si peu de temps !
J : alors c’est quoi à ton avis ? Crois-moi chéri, le coup de foudre çà ne prévient pas !
W : c’est juste que quand je suis avec elle, j’ai constamment envie de la serrer dans mes bras, d’être avec elle, de l’embrasser, je ressens un bien-être incroyable…
J : et elle ?
W : je ne sais pas…elle a l’air ravie aussi !
J : alors c’est le principal, rien ne sert de vous précipiter l’un sur l’autre, laissez les choses venir, prenez votre temps, si vous êtes bien ensemble et que c’est réciproque, ne laissez personne gâcher cela.
W : tu as raison maman
J : je suis vraiment très contente que nous ayons eu cette conversation, que tu te sois un peu confié à moi. Je suis heureuse pour toi et tes sœurs vont être ravies aussi !
W : elles sont déjà au courant ?
J : bien sur que oui, je n’ai pas pu tenir ma langue ! Leight aimerait vraiment faire sa connaissance la semaine prochaine !
W : on verra çà…je crois qu’elle a aussi besoin d’espace et de temps, je ne veux pas la précipiter ni l’effrayer. Elle te connaît déjà alors que nous ne sommes ensembles que depuis quelques jours, cela pourrait faire beaucoup. D’autant plus que je l’ai vaguement entendu dire qu’elle n’avait pas d’autre famille que ses amis en France…
J : elle est orpheline ?
W : je n’ai pas relevé, le moment n’était pas opportun mais elle ne m’a rien avoué de ce coté là.
Los Angeles – Loft de Wentworth – 06:00 PM, heure locale
Lilie avait passé l’après midi a surfer sur Internet et répondre à des amis par mail. Elle s’était aussi empressé d’appeler Sofia pour lui annoncer sa première sortie officielle en compagnie de Went et la prévenir qu’elle serait certainement dans de nombreux journaux qui annoncerait officiellement leur relation étant donné que Went lui avait avoué ne pas vouloir se cacher.
Elle appela Pierre, son collaborateur et responsable de production audiovisuelle de qui elle était proche pour lui parler de la proposition que lui avait faite Paul Scheuring. Sans douter des réelles capacités de Lilie, il lui conseilla de bien réfléchir, de bien peser le pour et le contre avant de prendre sa décision définitive. Elle lui assura cependant que même si elle acceptait, elle serait là dans quinze jours pour régler quelques affaires.
A six heures trente, elle sortait de la salle de bain en peignoir, pomponnée et fraîche lorsqu’elle entendit la porte d’entrée du Loft s’ouvrir.
Elle l’aperçut au salon, la mine fatiguée.
L : bonsoir…tu as l’air fatigué !
W : je le suis ! Mais je suis aussi ravi d’être enfin rentré…une bonne douche et un bisou et tout devrait rentrer dans l’ordre…
L : si je peux t’aider…
Lilie s’approcha de lui coquinement et déposa un léger baiser sur ses lèvres faisant mine de s’éloigner ensuite. Il l’attrapa alors par les hanches pour plaquer rageusement ses lèvres contre les siennes, approfondissant son baiser et laissant leurs langues se trouver. Lilie était quelque peu surprise de sa réaction et de la fougue qu’il avait mise dans son baiser comme s’il avait un important besoin de se recharger d’elle.
Il relâcha son étreinte après une longue minute de baiser passionné ? Essoufflé de sa propre ardeur.
W : c’est un plaisir de t’embrasser comme çà…
L : c’est très agréable pour moi aussi…
W : tu es prête ?
L : douchée ! Il ne me reste plus que la case habillage, maquillage et coiffage !
W : j’ai hâte de voir çà ! Je vais me doucher, à dans une heure…
L : a dans une heure…
Il grimpa les marches quatre à quatre, sortit son costume de sa housse et se déshabilla pour aller se doucher. Lilie remonta dans sa chambre et commença par s’habiller. Elle avait tout prévu, les sous-vêtements accordés, les bas, tout allait être parfait ! Elle enfila la magnifique robe fourreau bleu nuit fendue à l’avant que Wentworth lui avait acheté la veille. Une fois de plus, devant la grande baie vitrée, elle eut le souffle coupé et se reconnaissait à peine. La coupe de la robe la rendait encore plus grande et affinait sa taille.
Elle commença à se maquiller légèrement, rehaussant ses yeux avec une ombre foncée, un khôl brun et du mascara, et parsema sa bouche de rouge à lèvres rosé. Elle releva simplement ses cheveux en arrière pour dégager son visage et laisser ses cheveux bouclés retomber en cascade sur ses épaules.
De son coté, Went s’était rasé de prêt, avait enfilé chemise et nœud pap’ pour la grande première de présentation de la saison trois. Il sortit de sa chambre et descendit au salon, légèrement nerveux du grand changement qui s’opérerait pour lui en public ce soir...
Lilie le rejoint quelques minutes plus tard et lui apparut encore plus magnifiée que la première fois. Son maquillage et sa coiffure rajoutés à la robe lui donnaient une allure folle. Son visage semblait encore plus fin et délicat tandis que ses longs cheveux bouclés cachaient un soupçon d’épaules.
W : tu es...divine
L : tu n’es pas mal non plus en costard ! Ca fait vraiment très...
W : Cérémonie ! C’est vrai, tu verras on s’habitue...
Il s’approcha d’elle pour l’admirer de plus près. Il caressa ses épaules et vint déposer un baiser juste en dessous son oreille, ce qui la fit frissonner. La sonnette les interrompit.
W : cela doit être Amaury et Sarah, je vais ouvrir.
Il se dirigea tout excité vers la porte.
A : Comment çà va ? T’as l’air en forme ! Ce que t’es classe ! Mais où est la chiquita ?
Wentworth se dégagea pour laisser entrevoir Lilie, postée quelques mètres plus loin, un peu nerveuse d’être vue dans la tenue qu’elle portait, leur jugement serait primordial...
A : wouahh ! Chiquita ! Mais tu va faire un malheur comme çà !
Lilie rougit et il s’approcha pour l’embrasser affectueusement. Wentworth restait dans l’entrée et accueillait Sarah qui était magnifique. Elle portait une longue robe rouge seyante, parfaitement accordée à sa coiffure et à la couleur de ses cheveux, habilement coiffés. On aurait dit une gravure de mode et ne portait aucune trace de sa grossesse. Elle était rayonnante.
W : entre donc !
S : bonjour Went ! Cela ma fait vraiment très plaisir de te voir...même si c’est un peu bizarre sans Marianna, elle va me manquer !
Lilie se sentit piquée au vif par cette réflexion mais se ravisa tout de suite.
W : Sarah, je tiens à te présenter Lilie, mon amie. Lilie, voici Sarah, ma partenaire dans la série.
S : enchantée, vous êtes vraiment magnifique ! Amaury ne m’avait pas menti !
L : de même...
Ils échangèrent quelques politesse avant de se rappeler que le chauffeur les attendaient dans la limousine et qu’ils fallait qu’ils se dépêchent pour être à l(heure à la soirée..
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ouais, superbe!
Mais hou la la Sara qui casse l'ambiance
Allez Lilie, saute lui dans les bras, dis-lui que tu l'adores, qu'elle est superbe, que sa complicité avec Went lors des interviews et autre, fait fantasmer des milliers de filles tout autour du monde, et que tu as hâte de la voir sur le tournage (voilà, avec une bonne couche comme ça, elle sera rassurée notre petite Sara! )
Mais hou la la Sara qui casse l'ambiance
Allez Lilie, saute lui dans les bras, dis-lui que tu l'adores, qu'elle est superbe, que sa complicité avec Went lors des interviews et autre, fait fantasmer des milliers de filles tout autour du monde, et que tu as hâte de la voir sur le tournage (voilà, avec une bonne couche comme ça, elle sera rassurée notre petite Sara! )
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
astrid166 a écrit:Ouais, superbe!
Mais hou la la Sara qui casse l'ambiance
Allez Lilie, saute lui dans les bras, dis-lui que tu l'adores, qu'elle est superbe, que sa complicité avec Went lors des interviews et autre, fait fantasmer des milliers de filles tout autour du monde, et que tu as hâte de la voir sur le tournage (voilà, avec une bonne couche comme ça, elle sera rassurée notre petite Sara! )
Je susi entièrement d'accord avec toi!!!!
Un fois qu'elle sera rassurée tout ira mieu enfin j'espère!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Hé, pas de suite depuis 56 heures, ça ne va pas du tout!!!
Heureusement que je me suis consolée avec d'autres fics
Heureusement que je me suis consolée avec d'autres fics
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Même chose que pour la fic Misa, désolée de pas avoir postée + tot mais gros soucis au taf et tout doit être bouclé avant mon départ en vacances pr le 14/07 alors...
Encore heureux que je part que 15 jrs !
Allez, je vous fait pas mariner + longtemps !
Donc voilà la suite :
Dimanche 2 septembre 2007 – Los Angeles – 06 :25 heure locale
Sarah, Amaury, Lillie et Wentworth se trouvaient maintenant les uns en face des autres dans la limousine qui les conduisait aux festivités organisées par la Fox pour la présentation de la 3ème saison de Prison Break. Leurs agents avaient envoyés à chacun un listing leur rappelant les principaux journalistes présents et l’heure approximative à laquelle chacun allaient être interviewé seul ou à plusieurs. Went avait normalement une première interview à 7 :30 et s’en suivait plusieurs jusqu'à 10:00, heure à laquelle les véritables festivités commenceraient pour les acteurs.
La légendaire bonne humeur d’Amaury tranchait avec la froideur de Sarah qui n’échappa à personne, même pas à Went qui était pourtant sur un petit nuage et s’attendrissait d’un rien.
W : çà ne va pas Sarah ?
S : si si, très bien...c’est juste que je me sens un peu bizarre de retrouver tout cela...
W : je comprends, ne t’inquiètes pas, ils t’attendent avec impatience et seront ravis de te revoir !
S : j’espère que tu as raison !
A : bien sur qu’il a raison ! Tous les fans même masculins sont accros à votre couple ! Dans la série bien sur s’apostropha Amaury qui ne voulait pas blesser Lillie, se rendant compte trop tard de sa bourde.
L : bien sur Amaury, j’avais compris.
Sarah esquissa un rapide sourire en direction de Went et tourna la tête en direction de la fenêtre à travers laquelle le paysage hollywoodien défilait.
Lillie stressait quelque peu d’aller se jeter dans la gueule du loup et sous une apparence souriante, elle appréhendait énormément les présentations avec les journalistes et l’interview que Went donnerait avec Sarah qui n’était visiblement pas à l’aise en sa présence.
Wentworth remarqua que Lillie tapotait ses doigts contre la banquette du siège et serra ses doigts fort dans les siens pour la rassurer.
W : ne t’inquiètes pas çà va aller, ils ne vont pas te manger...
A : hou la ! T’as pas à t’en faire chiquita, ils vont tous craquer ! T’es superbe et depuis le temps qu’ils attendent qu’on leur présente la chérie de Monsieur Miller !
L : si tu le dis !
S : croyez-le Lillie, vous êtes à couper le souffle !
Lillie fut très étonnée de la réplique de Sarah et l’en remercia franchement. Après tout peut-être n’avait-elle rien contre elle et était-elle juste terrorisée à l’idée de retrouver ce showbiz.
La limousine s’immobilisa devant le grand bâtiment en bas duquel un large tapis rouge avait été disposé pour saluer l’arrivée des acteurs. Le chauffeur ouvrit la portière et Amaury sortit le premier suivit de Sarah, ébloui par les tonnerres de flash des photographes impatients. Dans la limousine, Lillie tentait d’avaler une dernière bouffée d’air et de se décontracter.
W : çà va aller, je te le promets, je ne serais jamais loin...
L : merci, j’espère...
W : on y va ?
L : on y va !
Went sortit un premier pied de la voiture, la main gauche tendue vers les fans et les photographes, la main droite en contact avec celle de Lillie qui le suivait de près, un sourire crispé aux lèvres. Lorsqu’il fut complètement à terre, il salua les photographes et se retourna vers elle pour l’aider à descendre complètement de voiture. Il attrapa à nouveau sa main, et serrée dans la sienne se rapprocha d’Amaury et Sarah qui les attendaient et s’apprêtaient à monter les marches. Une nuée de flash s’abattirent rapidement sur eux et Lillie ne distinguait plus rien derrière elle. De nombreux et surtout nombreuses fans avaient pu distinguer brièvement son visage sur une photo volée de mauvaise qualité d’un magazine people et la découvrait pour la première fois, officiellement, pomponnée et aux bras de Went, cela ne pouvait être plus équivoque...
Il lâcha sa main pour passer son bras autour de sa taille et la soutenir. Même si tout autour semblait stupéfait de la beauté de Lillie, les flash aidant, il sentait bien que ses jambes flagellaient et qu’elle se sentait toute petite happée par ses requins de journalistes lui volant leur image.
W : çà va aller, on est presque arrivés, tu es parfaite ! Tu as vu tous ces flashes ! Ils sont conquis et je sais pourquoi ! Tu es merveilleuse !
Sans se gêner pour les photographes, il glissa un baiser dans le cou de Lillie à l’arrivée en haut des escaliers. Elle lui répondit d’un sourire car en un instant toutes ses craintes s’étaient évaporées à son contact. Il serra ses hanches lorsque une première journaliste, Christina, une habituée s’approcha d’eux et les salua.
C : bonjour Wentworth !
W : bonjour Christina !
C : vous avez l’air en grande forme et épanoui, ne serait-ce pas grâce à la ravissante jeune femme qui vous accompagne ?
W : je pense sincèrement qu’elle y contribue pour beaucoup...
C : et comment se prénomme t’elle ?
W : Aline
C : enchantée Aline
Lillie lui sourit et la salua de la tête.
C : qu’est-ce que çà fait Aline de mettre le grappin sur l’homme jugé par de nombreux magazines comme le plus sexy au monde ?
L : C’est un peu spécial mais si j’avais beaucoup entendu parler de l’homme le plus sexy, je suis maintenant ravie de connaître le vrai Went qui n’est pas qu’une gravure de magazine !
C : Il est donc très différent de l’image que l’on dépeint de lui dans la presse ?
L : peut-être, mais çà je le garde pour moi !
C : et vous Wentworth, qu’est-ce qui a fait le déclic en vous ? Pourquoi Aline ? Pourquoi maintenant ? C’est définitivement fini avec Marianna ?
W : Je ne peut pas expliquer ce déclic, c’est venu tout seul...Il a fallu que je tombe sur cette petite jeune fille française et que tout bascule...je suis ravi, mais pour en revenir à Marianna, je tiens à préciser et confirmer aujourd’hui qu’il n’y a jamais rien eu d’autre entre nous qu’une profonde amitié.
C : je pense que c’est clair pour tous maintenant...merci d’avoir répondu à mes questions et bonne soirée à vous deux !
Lillie et Went la saluèrent et ils rejoignirent Paul à l’entrée d’une des salles ou se déroulaient les interviews.
W : bonjour Paul !
P : salut vous deux ! Vous passez un bon week-end ?
L : oui, très bon week-end !
P : j’attends ta réponse à ma proposition Lillie ! Sans faute mardi ?
L : sans faute, promis !
Went regarda Lillie interrogateur mais n’eut le temps de lui poser aucune question car l’une des attachées de presse de la Fox l’appela pour qu’il vienne s’installer pour sa première interview avec Sarah.
Il sourit à Lilie et s’éloigna sans quitter son regard
W : on se retrouve tout à l’heure !
Il s’éloigna ensuite rapidement sans qu’elle n’ai le temps de lui répondre quoi que ce soit. Il s’installa dans un fauteuil à coté de sa partenaire d’écran. La journaliste les mit à l’aise tandis que la caméra s’apprêtait à tourner.
Journaliste : on peut y aller ? Ok, c’est parti ! Bonjour Sarah et Wentworth, en direct de la soirée de présentation de la saison 3 de prison break organisée par La Fox, comment allez-vous ?
W : bien
S : parfait, heureuse d’être de retour !
Journaliste : on ne vous verra pas dans les premiers épisodes de la saison3, est-ce vrai ?
S : je ne peux révéler le scénario mais il y a des chances vu le final de la saison 2 que Michael et Sara soient un peu séparés au début de la saison3.
Journaliste : Tourner ensemble vous manque t’il ?
S : disons que je suis contente de retrouver toute l’équipe et plus particulièrement Went avec lequel j’ai noué des liens particuliers depuis ces 3 années de tournage. La plupart de mes scènes ont été tournées avec lui et nous nous entendons très bien, nos caractères sont assez complémentaires ce qui facilite beaucoup la vie sur un tournage !
Journaliste : vous le ressentez comme çà aussi Wentworth ?
W : tout à fait....Sarah est une actrice merveilleuse et une jeune femme très sympathique, de collègues nous sommes devenus des amis et nos liens se sont approfondis au cours des mois.
Journaliste : jamais d’attirance physique ?
S : il est évident que Went est un homme charmant et qu’il est plaisant de tourner une scène de baiser avec lui plutôt qu’avec Frankenstein mais cela s’arrête là, je suis mariée, j’aime mon mari et je suis de nature fidèle !
W : je crois en effet qu’il faut bien faire la distinction entre ce que vivent nos personnages dans la série et notre vie privée qui sont deux chose très différentes. Nous avons chacun nos vies de notre coté...
L’interview dura encore une dizaine de minutes durant lesquelles il se prêtèrent bon gré mal gré au jeu des questions toutes plus indiscrètes que la journaliste leur balançait.
Lilie attendait Went au dehors, discutant avec un des rares scénaristes présents à ce genre de réception. Il restait encore au moins une dizaine d’interview à Went avant qu’elle puisse le retrouver et devait tant bien que mal sourire et répondre aux demandes de photos des journalistes pas toujours bien intentionnés qui la sollicitait.
La soirée risquait d’être longue, immensément longue...
Encore heureux que je part que 15 jrs !
Allez, je vous fait pas mariner + longtemps !
SUITE DU CHAPITRE 11
Donc voilà la suite :
Dimanche 2 septembre 2007 – Los Angeles – 06 :25 heure locale
Sarah, Amaury, Lillie et Wentworth se trouvaient maintenant les uns en face des autres dans la limousine qui les conduisait aux festivités organisées par la Fox pour la présentation de la 3ème saison de Prison Break. Leurs agents avaient envoyés à chacun un listing leur rappelant les principaux journalistes présents et l’heure approximative à laquelle chacun allaient être interviewé seul ou à plusieurs. Went avait normalement une première interview à 7 :30 et s’en suivait plusieurs jusqu'à 10:00, heure à laquelle les véritables festivités commenceraient pour les acteurs.
La légendaire bonne humeur d’Amaury tranchait avec la froideur de Sarah qui n’échappa à personne, même pas à Went qui était pourtant sur un petit nuage et s’attendrissait d’un rien.
W : çà ne va pas Sarah ?
S : si si, très bien...c’est juste que je me sens un peu bizarre de retrouver tout cela...
W : je comprends, ne t’inquiètes pas, ils t’attendent avec impatience et seront ravis de te revoir !
S : j’espère que tu as raison !
A : bien sur qu’il a raison ! Tous les fans même masculins sont accros à votre couple ! Dans la série bien sur s’apostropha Amaury qui ne voulait pas blesser Lillie, se rendant compte trop tard de sa bourde.
L : bien sur Amaury, j’avais compris.
Sarah esquissa un rapide sourire en direction de Went et tourna la tête en direction de la fenêtre à travers laquelle le paysage hollywoodien défilait.
Lillie stressait quelque peu d’aller se jeter dans la gueule du loup et sous une apparence souriante, elle appréhendait énormément les présentations avec les journalistes et l’interview que Went donnerait avec Sarah qui n’était visiblement pas à l’aise en sa présence.
Wentworth remarqua que Lillie tapotait ses doigts contre la banquette du siège et serra ses doigts fort dans les siens pour la rassurer.
W : ne t’inquiètes pas çà va aller, ils ne vont pas te manger...
A : hou la ! T’as pas à t’en faire chiquita, ils vont tous craquer ! T’es superbe et depuis le temps qu’ils attendent qu’on leur présente la chérie de Monsieur Miller !
L : si tu le dis !
S : croyez-le Lillie, vous êtes à couper le souffle !
Lillie fut très étonnée de la réplique de Sarah et l’en remercia franchement. Après tout peut-être n’avait-elle rien contre elle et était-elle juste terrorisée à l’idée de retrouver ce showbiz.
La limousine s’immobilisa devant le grand bâtiment en bas duquel un large tapis rouge avait été disposé pour saluer l’arrivée des acteurs. Le chauffeur ouvrit la portière et Amaury sortit le premier suivit de Sarah, ébloui par les tonnerres de flash des photographes impatients. Dans la limousine, Lillie tentait d’avaler une dernière bouffée d’air et de se décontracter.
W : çà va aller, je te le promets, je ne serais jamais loin...
L : merci, j’espère...
W : on y va ?
L : on y va !
Went sortit un premier pied de la voiture, la main gauche tendue vers les fans et les photographes, la main droite en contact avec celle de Lillie qui le suivait de près, un sourire crispé aux lèvres. Lorsqu’il fut complètement à terre, il salua les photographes et se retourna vers elle pour l’aider à descendre complètement de voiture. Il attrapa à nouveau sa main, et serrée dans la sienne se rapprocha d’Amaury et Sarah qui les attendaient et s’apprêtaient à monter les marches. Une nuée de flash s’abattirent rapidement sur eux et Lillie ne distinguait plus rien derrière elle. De nombreux et surtout nombreuses fans avaient pu distinguer brièvement son visage sur une photo volée de mauvaise qualité d’un magazine people et la découvrait pour la première fois, officiellement, pomponnée et aux bras de Went, cela ne pouvait être plus équivoque...
Il lâcha sa main pour passer son bras autour de sa taille et la soutenir. Même si tout autour semblait stupéfait de la beauté de Lillie, les flash aidant, il sentait bien que ses jambes flagellaient et qu’elle se sentait toute petite happée par ses requins de journalistes lui volant leur image.
W : çà va aller, on est presque arrivés, tu es parfaite ! Tu as vu tous ces flashes ! Ils sont conquis et je sais pourquoi ! Tu es merveilleuse !
Sans se gêner pour les photographes, il glissa un baiser dans le cou de Lillie à l’arrivée en haut des escaliers. Elle lui répondit d’un sourire car en un instant toutes ses craintes s’étaient évaporées à son contact. Il serra ses hanches lorsque une première journaliste, Christina, une habituée s’approcha d’eux et les salua.
C : bonjour Wentworth !
W : bonjour Christina !
C : vous avez l’air en grande forme et épanoui, ne serait-ce pas grâce à la ravissante jeune femme qui vous accompagne ?
W : je pense sincèrement qu’elle y contribue pour beaucoup...
C : et comment se prénomme t’elle ?
W : Aline
C : enchantée Aline
Lillie lui sourit et la salua de la tête.
C : qu’est-ce que çà fait Aline de mettre le grappin sur l’homme jugé par de nombreux magazines comme le plus sexy au monde ?
L : C’est un peu spécial mais si j’avais beaucoup entendu parler de l’homme le plus sexy, je suis maintenant ravie de connaître le vrai Went qui n’est pas qu’une gravure de magazine !
C : Il est donc très différent de l’image que l’on dépeint de lui dans la presse ?
L : peut-être, mais çà je le garde pour moi !
C : et vous Wentworth, qu’est-ce qui a fait le déclic en vous ? Pourquoi Aline ? Pourquoi maintenant ? C’est définitivement fini avec Marianna ?
W : Je ne peut pas expliquer ce déclic, c’est venu tout seul...Il a fallu que je tombe sur cette petite jeune fille française et que tout bascule...je suis ravi, mais pour en revenir à Marianna, je tiens à préciser et confirmer aujourd’hui qu’il n’y a jamais rien eu d’autre entre nous qu’une profonde amitié.
C : je pense que c’est clair pour tous maintenant...merci d’avoir répondu à mes questions et bonne soirée à vous deux !
Lillie et Went la saluèrent et ils rejoignirent Paul à l’entrée d’une des salles ou se déroulaient les interviews.
W : bonjour Paul !
P : salut vous deux ! Vous passez un bon week-end ?
L : oui, très bon week-end !
P : j’attends ta réponse à ma proposition Lillie ! Sans faute mardi ?
L : sans faute, promis !
Went regarda Lillie interrogateur mais n’eut le temps de lui poser aucune question car l’une des attachées de presse de la Fox l’appela pour qu’il vienne s’installer pour sa première interview avec Sarah.
Il sourit à Lilie et s’éloigna sans quitter son regard
W : on se retrouve tout à l’heure !
Il s’éloigna ensuite rapidement sans qu’elle n’ai le temps de lui répondre quoi que ce soit. Il s’installa dans un fauteuil à coté de sa partenaire d’écran. La journaliste les mit à l’aise tandis que la caméra s’apprêtait à tourner.
Journaliste : on peut y aller ? Ok, c’est parti ! Bonjour Sarah et Wentworth, en direct de la soirée de présentation de la saison 3 de prison break organisée par La Fox, comment allez-vous ?
W : bien
S : parfait, heureuse d’être de retour !
Journaliste : on ne vous verra pas dans les premiers épisodes de la saison3, est-ce vrai ?
S : je ne peux révéler le scénario mais il y a des chances vu le final de la saison 2 que Michael et Sara soient un peu séparés au début de la saison3.
Journaliste : Tourner ensemble vous manque t’il ?
S : disons que je suis contente de retrouver toute l’équipe et plus particulièrement Went avec lequel j’ai noué des liens particuliers depuis ces 3 années de tournage. La plupart de mes scènes ont été tournées avec lui et nous nous entendons très bien, nos caractères sont assez complémentaires ce qui facilite beaucoup la vie sur un tournage !
Journaliste : vous le ressentez comme çà aussi Wentworth ?
W : tout à fait....Sarah est une actrice merveilleuse et une jeune femme très sympathique, de collègues nous sommes devenus des amis et nos liens se sont approfondis au cours des mois.
Journaliste : jamais d’attirance physique ?
S : il est évident que Went est un homme charmant et qu’il est plaisant de tourner une scène de baiser avec lui plutôt qu’avec Frankenstein mais cela s’arrête là, je suis mariée, j’aime mon mari et je suis de nature fidèle !
W : je crois en effet qu’il faut bien faire la distinction entre ce que vivent nos personnages dans la série et notre vie privée qui sont deux chose très différentes. Nous avons chacun nos vies de notre coté...
L’interview dura encore une dizaine de minutes durant lesquelles il se prêtèrent bon gré mal gré au jeu des questions toutes plus indiscrètes que la journaliste leur balançait.
Lilie attendait Went au dehors, discutant avec un des rares scénaristes présents à ce genre de réception. Il restait encore au moins une dizaine d’interview à Went avant qu’elle puisse le retrouver et devait tant bien que mal sourire et répondre aux demandes de photos des journalistes pas toujours bien intentionnés qui la sollicitait.
La soirée risquait d’être longue, immensément longue...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Localisation : Paris
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
AHHHHHHHH Sara a enfin retrouver sa bonne humeur!!!!
Ils sont trop beau Went et Liliie,ils vont bine ensemble je trouve!!!
Merci beaucoup pour les suites de tes 2 fics elle m'avait manquée!!!
Ils sont trop beau Went et Liliie,ils vont bine ensemble je trouve!!!
Merci beaucoup pour les suites de tes 2 fics elle m'avait manquée!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Super! Vivement la suite, qu'on sache ce que Sarah a sur le coeur!!!
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
pauvre Lilie... j'aime pas ta dernière phrase... ils vont être méchants avec elle ces E**** de journalistes... je veux pas moi!!
et sinon... Sarah paraît bien bizarre...
tu m'avais manqué... allez mets nous des suites dès que tu peux!!!
et sinon... Sarah paraît bien bizarre...
tu m'avais manqué... allez mets nous des suites dès que tu peux!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà la suite...
Dimanche 2 Septembre 2007, Los Angeles – 10 :00 heure locale
Wentworth s’apprêtait à subir sa dernière interview de la soirée pour la Fox. Sarah avait rejoins d’autres journalistes un peu plus loin dans une autre salle.
Lillie était dans le hall, impatiente et fatiguée lorsque Amaury s’approcha d’elle. Il en avait terminé une bonne foi pou toutes avec ces interviews et n’attendait qu’une chose, profiter du reste de la soirée qui s’offrait à lui et commencer par aller boire un verre au bar.
A : eh ! Chiquita ! Qu’est-ce que tu fais là toute seule ?
L : j’attends Wentworth ! Je n’en peux plus de cette soirée interminable !
A : çà ma pauvre, il est le plus demandé de nous tous et à chaque fois c’est lui qui fini en dernier !
L : ravie de l’apprendre maintenant ! Je ne pensais pas qu’il aurait autant d’interviews !
A : c’est la dure vie de star…mais on peut peut-être aller prendre un verre au bar en les attendant ?
L : bonne idée ! Je meurs de soif !
A : alors c’est parti !
Au même moment, le téléphone de Lillie sonna et Lillie décrocha.
L : allo ????
- Lillie ? C’est toi ?????
L : oui mais qui est à l’appareil ?
- c’est Tom, de Paris…
L : Tom !!!! Comment vas-tu ? Çà me fait plaisir de t’avoir au téléphone ! Comment as-tu eu mon numéro ?
T : euh…par Sofia.
Amaury, constatant que la conversation allait certainement se prolonger, fit signe à Lillie qu’il allait au bar et elle lui indiqua qu’elle le rejoignait de suite.
L : Comment va Sofia ?
T : a vrai dire c’est pour çà que je t’appelle Lillie…
L : Qu’est-ce qui se passe ? Il y a un problème ?
T : Sofia a eu un accident de voiture très tôt ce matin avec Benoît en sortant de soirée. Un automobiliste leur a coupé la route a une priorité et il on fait un vol plané dans un abri bus. Benoît n’a rien mais Sofia est dans le coma, avec de multiples contusions et une hémorragie. C’est de son coté que cela a tapé.
Lillie restait sans voix, le visage décomposé par la panique qui s’emparait d’elle. Elle tenta de se raccrocher au mur derrière elle car elle sentait ses jambes défaillir.
T : Lillie ? Tu es toujours là ? Lillie ????
L : je suis là Tom mais…comment est son état ?
T : je ne veux rien te cacher, son état est grave et les médecins refusent de se prononcer avant 24 heures. Nous sommes là et nous l’entourons ne t’inquiètes pas mais je tenais à te mettre au courant quand même…tu es sa meilleure amie.
L : je serais là le plus vite possible Tom, il est trop tard pour que j’ai un vol ce soir mais je prends le premier avion demain matin. Je peux te joindre à ce numéro ?
T : oui sans problèmes…mais ton voyage ?
L : C’est beaucoup plus important ! Alors je t’appelle dès que j’en sais plus…et surtout s’il y a quoi que ce soit appelle moi peu importe le décalage horaire !
T : ok, à demain alors
L : a demain…
Ils raccrochèrent simultanément et Lillie tentait de reprendre ses esprits, de soulager la grosse boule qui s’était insinuée dans sa gorge à l’annonce de cette nouvelle. Elle tenta tant bien que mal de se forcer à rejoindre Amaury au bar qui discutait avec Dominic et sa femme tout en sirotant un cocktail. Dominic face à elle fronça les sourcils lorsqu’il la vit arriver.
D : çà n’a pas l’air d’aller toi ?
A : oh chiquita, çà ne va pas ?
L : non...un ami m’a appelé à l’instant pour m’annoncer que ma meilleure amie a eu un accident de voiture ce matin et qu’elle est dans un état grave à l’hôpital.
A : mon dieu...çà va aller ?
L : je me sens vidée d’un coup...il me prévient s’il y a du nouveau d’ici demain et je vais prendre le premier vol pour Paris demain...
D : tu devrais t’asseoir tu es toute pâle...
Amaury lui tendit une chaise et la força à s’asseoir.
A : je vais te chercher à boire...
Dominic et sa femme restèrent à coté d’elle un peu désoeuvrés de ne savoir quoi lui dire en de telles circonstances.
D : tu veux que j’aille chercher Went ? Après tout y’en a marre de ces satanées interviews...
L : ce n’est pas la peine Dom...
Trop tard. Décidé, il était déjà parti et cherchait partout dans le couloir la salle où se déroulait l’interview. Il se dirigea alors vers un des attachés de presse de Paul qu’il connaissait bien.
D : Stephan ! Tu sais où est Went ?
S : dans la salle en face ? Pourquoi ?
D : c’est bientôt fini ?
S : je ne sais pas, c’est commencé depuis dix bonnes minutes...
D : ok...tu peux les prévenir qu’il faut tout stopper, que Went a une urgence ?
S : désolé mais c’est impossible...et dans dix minutes à tout cassé c’est fini de toute façon. C’est si urgent que çà ?
D : oui, c’est Lillie...
Au même moment, la porte du studio s’ouvrit et laissa apparaître plusieurs assistants qui discutaient entre eux en sortant. Dominic les interpella.
D : c’est terminé ?
- oui, à l’instant...
Dominic se précipita à l’intérieur et scruta quelques secondes la pièce avant de le repérer en grande discussion avec Paul Scheuring. Il se dirigea d’un pas décidé vers eux.
W : Dominic ? çà va ?
D : moi oui...
W : que veux-tu dire ?
D : Lillie a reçu un appel d’un ami de France qui lui a annoncé que sa meilleure amie a eu un grave accident de voiture. Elle est à l’hôpital à Paris dans un état critique.
W : oh non !
P : Elle compte y aller ?
D : je crois que oui mais pour le moment elle est sacrément déboussolée !
Went ne répondit rien et se dirigea d’un pas rapide dans le hall suivit de près par Dominic.
W : ou est-elle ?
D : au bar avec Amaury et...
Went n’attendit pas la suite et se précipita en direction du bar auprès duquel Lillie était assise la tête entre les bras posés sur ses genoux à sangloter.
Il se précipita à genoux près d’elle et lui releva la tête avant de soutenir sa joue et de l’attirer contre lui pour tenter de l’apaiser un peu.
W : je suis désolé...
Lillie releva péniblement la tête, les yeux chargés de larmes et bouffis.
L : tu n’as pas à l’être...je me sens si mal, si loin, je sais que de toute façon je ne peux rien faire mais je ne peux m’empêcher de culpabiliser...
W : çà va aller...
Paul arriva au même moment pour constater l’état de Lillie et la soutenir un peu.
Wentworth se releva et emmena Paul à l’écart pour lui parler.
W : écoutes...je crois qu’elle a besoin de soutien là...et elle va vouloir aller à Paris voir son amie. Je ne peux pas la laisser prendre l’avion toute seule, cette nouvelle l’a beaucoup trop fragilisée...
P : tu n’as rien à ajouter Went...va avec elle mais il faudra juste rattraper toutes tes scènes la semaine prochaine...çà sera dur je te préviens...on a pris suffisamment d’avance pour se le permettre...
W : merci Paul
P : ne me remercie pas...j’attends les bouchées doubles la semaine prochaine ! Les monteurs vont être ravis !
Went lui sourit et se dirigea à nouveau vers Lillie qu’il aida à se relever.
W : on rentre ?
L : tu ne vas pas louper ta soirée quand même ?
W : il y a bien plus important que çà...
Il lui adressa un franc sourire et entoura ses hanches pour sortir et attraper un des taxis stationné devant l’établissement. Ils croisèrent Sarah au passage qui s’étonna de voir Lillie dans un tel état. Wentworth se contenta de la prévenir d’une grave nouvelle pour Lillie et qu’il l’appellerait..
CHAPITRE 12 : Bad news
Dimanche 2 Septembre 2007, Los Angeles – 10 :00 heure locale
Wentworth s’apprêtait à subir sa dernière interview de la soirée pour la Fox. Sarah avait rejoins d’autres journalistes un peu plus loin dans une autre salle.
Lillie était dans le hall, impatiente et fatiguée lorsque Amaury s’approcha d’elle. Il en avait terminé une bonne foi pou toutes avec ces interviews et n’attendait qu’une chose, profiter du reste de la soirée qui s’offrait à lui et commencer par aller boire un verre au bar.
A : eh ! Chiquita ! Qu’est-ce que tu fais là toute seule ?
L : j’attends Wentworth ! Je n’en peux plus de cette soirée interminable !
A : çà ma pauvre, il est le plus demandé de nous tous et à chaque fois c’est lui qui fini en dernier !
L : ravie de l’apprendre maintenant ! Je ne pensais pas qu’il aurait autant d’interviews !
A : c’est la dure vie de star…mais on peut peut-être aller prendre un verre au bar en les attendant ?
L : bonne idée ! Je meurs de soif !
A : alors c’est parti !
Au même moment, le téléphone de Lillie sonna et Lillie décrocha.
L : allo ????
- Lillie ? C’est toi ?????
L : oui mais qui est à l’appareil ?
- c’est Tom, de Paris…
L : Tom !!!! Comment vas-tu ? Çà me fait plaisir de t’avoir au téléphone ! Comment as-tu eu mon numéro ?
T : euh…par Sofia.
Amaury, constatant que la conversation allait certainement se prolonger, fit signe à Lillie qu’il allait au bar et elle lui indiqua qu’elle le rejoignait de suite.
L : Comment va Sofia ?
T : a vrai dire c’est pour çà que je t’appelle Lillie…
L : Qu’est-ce qui se passe ? Il y a un problème ?
T : Sofia a eu un accident de voiture très tôt ce matin avec Benoît en sortant de soirée. Un automobiliste leur a coupé la route a une priorité et il on fait un vol plané dans un abri bus. Benoît n’a rien mais Sofia est dans le coma, avec de multiples contusions et une hémorragie. C’est de son coté que cela a tapé.
Lillie restait sans voix, le visage décomposé par la panique qui s’emparait d’elle. Elle tenta de se raccrocher au mur derrière elle car elle sentait ses jambes défaillir.
T : Lillie ? Tu es toujours là ? Lillie ????
L : je suis là Tom mais…comment est son état ?
T : je ne veux rien te cacher, son état est grave et les médecins refusent de se prononcer avant 24 heures. Nous sommes là et nous l’entourons ne t’inquiètes pas mais je tenais à te mettre au courant quand même…tu es sa meilleure amie.
L : je serais là le plus vite possible Tom, il est trop tard pour que j’ai un vol ce soir mais je prends le premier avion demain matin. Je peux te joindre à ce numéro ?
T : oui sans problèmes…mais ton voyage ?
L : C’est beaucoup plus important ! Alors je t’appelle dès que j’en sais plus…et surtout s’il y a quoi que ce soit appelle moi peu importe le décalage horaire !
T : ok, à demain alors
L : a demain…
Ils raccrochèrent simultanément et Lillie tentait de reprendre ses esprits, de soulager la grosse boule qui s’était insinuée dans sa gorge à l’annonce de cette nouvelle. Elle tenta tant bien que mal de se forcer à rejoindre Amaury au bar qui discutait avec Dominic et sa femme tout en sirotant un cocktail. Dominic face à elle fronça les sourcils lorsqu’il la vit arriver.
D : çà n’a pas l’air d’aller toi ?
A : oh chiquita, çà ne va pas ?
L : non...un ami m’a appelé à l’instant pour m’annoncer que ma meilleure amie a eu un accident de voiture ce matin et qu’elle est dans un état grave à l’hôpital.
A : mon dieu...çà va aller ?
L : je me sens vidée d’un coup...il me prévient s’il y a du nouveau d’ici demain et je vais prendre le premier vol pour Paris demain...
D : tu devrais t’asseoir tu es toute pâle...
Amaury lui tendit une chaise et la força à s’asseoir.
A : je vais te chercher à boire...
Dominic et sa femme restèrent à coté d’elle un peu désoeuvrés de ne savoir quoi lui dire en de telles circonstances.
D : tu veux que j’aille chercher Went ? Après tout y’en a marre de ces satanées interviews...
L : ce n’est pas la peine Dom...
Trop tard. Décidé, il était déjà parti et cherchait partout dans le couloir la salle où se déroulait l’interview. Il se dirigea alors vers un des attachés de presse de Paul qu’il connaissait bien.
D : Stephan ! Tu sais où est Went ?
S : dans la salle en face ? Pourquoi ?
D : c’est bientôt fini ?
S : je ne sais pas, c’est commencé depuis dix bonnes minutes...
D : ok...tu peux les prévenir qu’il faut tout stopper, que Went a une urgence ?
S : désolé mais c’est impossible...et dans dix minutes à tout cassé c’est fini de toute façon. C’est si urgent que çà ?
D : oui, c’est Lillie...
Au même moment, la porte du studio s’ouvrit et laissa apparaître plusieurs assistants qui discutaient entre eux en sortant. Dominic les interpella.
D : c’est terminé ?
- oui, à l’instant...
Dominic se précipita à l’intérieur et scruta quelques secondes la pièce avant de le repérer en grande discussion avec Paul Scheuring. Il se dirigea d’un pas décidé vers eux.
W : Dominic ? çà va ?
D : moi oui...
W : que veux-tu dire ?
D : Lillie a reçu un appel d’un ami de France qui lui a annoncé que sa meilleure amie a eu un grave accident de voiture. Elle est à l’hôpital à Paris dans un état critique.
W : oh non !
P : Elle compte y aller ?
D : je crois que oui mais pour le moment elle est sacrément déboussolée !
Went ne répondit rien et se dirigea d’un pas rapide dans le hall suivit de près par Dominic.
W : ou est-elle ?
D : au bar avec Amaury et...
Went n’attendit pas la suite et se précipita en direction du bar auprès duquel Lillie était assise la tête entre les bras posés sur ses genoux à sangloter.
Il se précipita à genoux près d’elle et lui releva la tête avant de soutenir sa joue et de l’attirer contre lui pour tenter de l’apaiser un peu.
W : je suis désolé...
Lillie releva péniblement la tête, les yeux chargés de larmes et bouffis.
L : tu n’as pas à l’être...je me sens si mal, si loin, je sais que de toute façon je ne peux rien faire mais je ne peux m’empêcher de culpabiliser...
W : çà va aller...
Paul arriva au même moment pour constater l’état de Lillie et la soutenir un peu.
Wentworth se releva et emmena Paul à l’écart pour lui parler.
W : écoutes...je crois qu’elle a besoin de soutien là...et elle va vouloir aller à Paris voir son amie. Je ne peux pas la laisser prendre l’avion toute seule, cette nouvelle l’a beaucoup trop fragilisée...
P : tu n’as rien à ajouter Went...va avec elle mais il faudra juste rattraper toutes tes scènes la semaine prochaine...çà sera dur je te préviens...on a pris suffisamment d’avance pour se le permettre...
W : merci Paul
P : ne me remercie pas...j’attends les bouchées doubles la semaine prochaine ! Les monteurs vont être ravis !
Went lui sourit et se dirigea à nouveau vers Lillie qu’il aida à se relever.
W : on rentre ?
L : tu ne vas pas louper ta soirée quand même ?
W : il y a bien plus important que çà...
Il lui adressa un franc sourire et entoura ses hanches pour sortir et attraper un des taxis stationné devant l’établissement. Ils croisèrent Sarah au passage qui s’étonna de voir Lillie dans un tel état. Wentworth se contenta de la prévenir d’une grave nouvelle pour Lillie et qu’il l’appellerait..
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
merci pour ta suite
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Trop chou le petit Went de s'ocuper de Lillie!!!!!!
Pourvu que son amie ne meurt pas!!!
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Pourvu que son amie ne meurt pas!!!
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ha la la, et voilà... L'évènement incontournable de quasiment toutes les fics : l'accident grave qui emmene nos personnages autour d'un lit d'hôpital, avec le coma dans de nombreux cas...
Même le roman à l'eau de rose de 'Sara on the boat' ne nous l'a pas epargné...
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !
Même le roman à l'eau de rose de 'Sara on the boat' ne nous l'a pas epargné...
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Astrid- En route pour la frontière
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Ouai il fallait que ça tourne mal a un moment ou a un autre
ion_ion- De retour à Chicago
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
pauvre sofia!!!faut pas qu'elle meurt
tres belle suite vivement la prochaine
tres belle suite vivement la prochaine
lisa1333- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Même si j'ai déjà lu ta fic sur un autre forum, c'est toujours aussi sympa de redécouvrir l'histoire de lilie et Went .
Continues comme ça
Continues comme ça
kanako- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Désolée d'avoir mis tant de temps à mettre la suite mais z'avais qq problèmes de rage de dent et j'ai pas été là ce week end...bonne lecture !
Lundi 3 septembre 2007 – Los Angeles, Loft de Wentworth – 05 :00 am heure locale[/b]
Le réveil venait de sonner et la main de Went l’avait stoppé en s’écrasant violemment sur l’appareil.
[b]Flash-back
Ils étaient rentrés la veille, just
e après avoir pris congé des autres membres de l’équipe. Le taxi les avait déposé chez Wentworth et Lillie était directement partie se coucher. Il avait réservé leurs billets sur Internet pour le premier vol à destination de Paris dès le lendemain. Lorsqu’il avait rejoint Lillie, recroquevillée en position fœtale dans le lit, il l’avait prise dans ses bras et s’était serré contre elle. Elle ne sanglotait plus mais sa poitrine était comme dans un étau.
W : je viens de réserver nos billets, nous décollons demain matin a 6 :30.
L : tu es bien sur de vouloir m’accompagner ? Vu la charge de travail qui t’attendait la semaine prochaine, tu crois que c’est prudent ?
W : tu ne veux pas que je t’accompagne ?
L : je n’ai pas dit çà mais je ne veux pas te mettre en difficulté avec mes problèmes…
W : alors si difficultés il y a j’assumerais…je ne veux pas te laisser seule dans cette situation, Paul m’a assuré que l’avance qu’on avait pris suffirait, ne t’inquiète pas pour çà.
L : alors merci, merci beaucoup. Je n’ai pas l’habitude de pouvoir compter sur quelqu'un en dehors de Sofia et Tom. Je n’ose imaginer la perdre…
W : tu n’as aucune famille qui t’attende là bas ?
L : non, ma seule famille, c’est Sofia et Tom. Ils sont tout ce que j’ai.
Mes parents sont morts lorsque j’étais toute petite et j’ai été confiée à ma tante, la sœur de mon père qui était journaliste pour la télévision. Elle voyageait énormément et ne pouvait s’occuper de moi. Elle m’a alors confiée à une nourrice puis mise dans un internat dès que j’ai eu l’âge. J’en ai fait plusieurs, au gré des envies et des possibilités financières de ma tante et j’ai rencontré Sofia à 11 ans. Ses parents étaient constamment en déplacements et elle menait un peu la même vie ballottée que moi ce qui nous as rapproché.
Deux ans après notre rencontre, sa mère a cessé toute activité professionnelle pour s’occuper de son petit frère et après les nombreuses vacances et week-ends que j’avais passées avec eux, Sofia a fait des pieds et des mains pour que ma tante accepte que je reste avec elle.
Nous avons donc grandi ensemble, fait nos études d’histoire ensemble, partagé un appartement depuis bientôt 6 ans dans le centre de Paris. Je suis très attachée à elle et à ses parents et Tomas que j’ai connu bien plus tard au Lycée.
Depuis toute petite j’ai gardé l’impression d’être un poids, un boulet grâce ma tante qui n’avait jamais le temps pour moi.
W : je suis là moi Lillie…je ne te laisserai pas seule, je te le promets…
Il la serra dans ses bras et elle se retourna pour déposer un long baiser sur ses lèvres en guise de gratitude. Il caressa ses cheveux un moment et ils finirent par s’endormir tout les deux, épuisé de leur journée et de leurs émotions.
Fin du Flash-back
Went s’était levé d’un coup, laissant Lillie émerger tout en se frottant énergiquement les yeux.
L : quelle heure est-il ?
W : 5 heures…tu te sens comment ?
L : un peu mieux qu’hier mais j’ai hâte d’avoir de ses nouvelles.
Wentworth s’approcha et déposa un baiser au coin de ses lèvres avant de se lever, déterminé.
W : j’y vais, je vais préparer du café…
L : je boucle mes affaires et je te rejoins.
Ils se douchèrent, préparèrent quelques affaires, avalèrent un café et s’engouffrèrent dans la voiture de Wentworth en direction de l’aéroport.
Lundi 3 septembre – Aéroport de Los Angeles – 7 :30 am, heure locale
Cela faisait à peine une demi-heure qu’ils avaient décollés que Wentworth dormait déjà. Il leur avait réservé deux confortables places en première classe et ils devaient atterrir à 1heure du matin à Paris Charles de Gaulles.
L’hôtesse venait d’apporter un café à Lillie qui laissait son regard divaguer sans la mer de nuages à travers le hublot.
Elle se demandait si elle arriverait à trouver un peu le sommeil, à tuer le temps qui la séparait encore de Sofia. Elle avait appelé Tom de l’aéroport juste avant qu’ils n’embarquent pour avoir des nouvelles mais il n’en avait pas plus à ce moment là.
Lillie se retourna en direction de Wentworth et un sourire s’esquissa sur son visage. Un bandeau sur les yeux, il avait l’air si fatigué et profitait d’un sommeil perturbé bien trop tôt ce matin. Elle était profondément touchée qu’il l’accompagne mais ne savait pas trop comment présenter la chose à ses amis qui l’attendrait à Paris, elle avait un peu peur de la cohue qu’il pourrait provoquer. Il n’avait pas prévenu ni son agent ni son attaché de presse de ce voyage inopiné et Lillie craignait que cela lui cause du tort...
Mardi 4 septembre 2007 – Aéroport Paris Charles de Gaulle – 01 :30 du matin, heure locale
Went et Lilie venait de récupérer leurs maigres bagages et de s’engouffrer dans un taxi sans causer aucune réaction d’hystérie car l’aéroport était nettement moins fréquenté à cette heure.
Lillie indiqua sa route au taxi.
L : rue de la maison Blanche dans le 13ème s’il vous plaît...
W : tu m’emmènes où ?
L : Dans mon chez moi ! Encore heureux que j’avais toujours les clés dans mon sac !
W : une chance...
L : on va tenter de dormir un peu et demain matin çà ira mieux...
W : après ce que j’ai dormi dans l’avion, je ne suis pas très fatigué...on pourrait trouver d’autres occupations...
L : Went ! Tu as peut-être faim par contre ?
W : vous avez des mexicains en France ?
L : à cette heure en pleine semaine, je crains que nous n’ayons que le Mc Do !
W : bon et bien çà ira...
L : Tu as beau être à Paris, ce n’est pas Los Angeles, je te préviens...
W : il y a des Starbucks café quand même ?
L : pas à tous les coins de rue mais on t’en trouveras bien un...
W : tu me rassures beaucoup là...
L : je rigole, mais ici on boit des cafés serrés dans de très petites tasses et pas votre jus de chaussettes archi réchauffé !
W : çà critique, çà critique...
Après une petite demi-heure de route, le taxi les déposa à l’adresse indiquée et ils déposèrent leurs affaires chez Lilie avant de redescendre immédiatement pour aller se restaurer au Mc Do.
L : tu mets ta capuche pour ne pas être reconnu ?
W : Très pratique les sweet à capuche non ?
L : tu crois que ce la sera suffisant ?
W : çà limite...
Ils s’arrêtèrent au milieu du trottoir désert et humide et Went enserra la taille de Lilie en rapprochant ses lèvres des siennes. Ils n’avaient pas vraiment échangés de baisers depuis la veille, Lillie étant un peu perturbée par la nouvelle de l’accident de Sofia. Il savoura ce court moment ou leur regards se croisèrent et se comprirent et continuèrent leur chemin...
Voilà...j'attends vos commentaires...
CHAPITRE13
Sad honeymoon
Sad honeymoon
Lundi 3 septembre 2007 – Los Angeles, Loft de Wentworth – 05 :00 am heure locale[/b]
Le réveil venait de sonner et la main de Went l’avait stoppé en s’écrasant violemment sur l’appareil.
[b]Flash-back
Ils étaient rentrés la veille, just
e après avoir pris congé des autres membres de l’équipe. Le taxi les avait déposé chez Wentworth et Lillie était directement partie se coucher. Il avait réservé leurs billets sur Internet pour le premier vol à destination de Paris dès le lendemain. Lorsqu’il avait rejoint Lillie, recroquevillée en position fœtale dans le lit, il l’avait prise dans ses bras et s’était serré contre elle. Elle ne sanglotait plus mais sa poitrine était comme dans un étau.
W : je viens de réserver nos billets, nous décollons demain matin a 6 :30.
L : tu es bien sur de vouloir m’accompagner ? Vu la charge de travail qui t’attendait la semaine prochaine, tu crois que c’est prudent ?
W : tu ne veux pas que je t’accompagne ?
L : je n’ai pas dit çà mais je ne veux pas te mettre en difficulté avec mes problèmes…
W : alors si difficultés il y a j’assumerais…je ne veux pas te laisser seule dans cette situation, Paul m’a assuré que l’avance qu’on avait pris suffirait, ne t’inquiète pas pour çà.
L : alors merci, merci beaucoup. Je n’ai pas l’habitude de pouvoir compter sur quelqu'un en dehors de Sofia et Tom. Je n’ose imaginer la perdre…
W : tu n’as aucune famille qui t’attende là bas ?
L : non, ma seule famille, c’est Sofia et Tom. Ils sont tout ce que j’ai.
Mes parents sont morts lorsque j’étais toute petite et j’ai été confiée à ma tante, la sœur de mon père qui était journaliste pour la télévision. Elle voyageait énormément et ne pouvait s’occuper de moi. Elle m’a alors confiée à une nourrice puis mise dans un internat dès que j’ai eu l’âge. J’en ai fait plusieurs, au gré des envies et des possibilités financières de ma tante et j’ai rencontré Sofia à 11 ans. Ses parents étaient constamment en déplacements et elle menait un peu la même vie ballottée que moi ce qui nous as rapproché.
Deux ans après notre rencontre, sa mère a cessé toute activité professionnelle pour s’occuper de son petit frère et après les nombreuses vacances et week-ends que j’avais passées avec eux, Sofia a fait des pieds et des mains pour que ma tante accepte que je reste avec elle.
Nous avons donc grandi ensemble, fait nos études d’histoire ensemble, partagé un appartement depuis bientôt 6 ans dans le centre de Paris. Je suis très attachée à elle et à ses parents et Tomas que j’ai connu bien plus tard au Lycée.
Depuis toute petite j’ai gardé l’impression d’être un poids, un boulet grâce ma tante qui n’avait jamais le temps pour moi.
W : je suis là moi Lillie…je ne te laisserai pas seule, je te le promets…
Il la serra dans ses bras et elle se retourna pour déposer un long baiser sur ses lèvres en guise de gratitude. Il caressa ses cheveux un moment et ils finirent par s’endormir tout les deux, épuisé de leur journée et de leurs émotions.
Fin du Flash-back
Went s’était levé d’un coup, laissant Lillie émerger tout en se frottant énergiquement les yeux.
L : quelle heure est-il ?
W : 5 heures…tu te sens comment ?
L : un peu mieux qu’hier mais j’ai hâte d’avoir de ses nouvelles.
Wentworth s’approcha et déposa un baiser au coin de ses lèvres avant de se lever, déterminé.
W : j’y vais, je vais préparer du café…
L : je boucle mes affaires et je te rejoins.
Ils se douchèrent, préparèrent quelques affaires, avalèrent un café et s’engouffrèrent dans la voiture de Wentworth en direction de l’aéroport.
Lundi 3 septembre – Aéroport de Los Angeles – 7 :30 am, heure locale
Cela faisait à peine une demi-heure qu’ils avaient décollés que Wentworth dormait déjà. Il leur avait réservé deux confortables places en première classe et ils devaient atterrir à 1heure du matin à Paris Charles de Gaulles.
L’hôtesse venait d’apporter un café à Lillie qui laissait son regard divaguer sans la mer de nuages à travers le hublot.
Elle se demandait si elle arriverait à trouver un peu le sommeil, à tuer le temps qui la séparait encore de Sofia. Elle avait appelé Tom de l’aéroport juste avant qu’ils n’embarquent pour avoir des nouvelles mais il n’en avait pas plus à ce moment là.
Lillie se retourna en direction de Wentworth et un sourire s’esquissa sur son visage. Un bandeau sur les yeux, il avait l’air si fatigué et profitait d’un sommeil perturbé bien trop tôt ce matin. Elle était profondément touchée qu’il l’accompagne mais ne savait pas trop comment présenter la chose à ses amis qui l’attendrait à Paris, elle avait un peu peur de la cohue qu’il pourrait provoquer. Il n’avait pas prévenu ni son agent ni son attaché de presse de ce voyage inopiné et Lillie craignait que cela lui cause du tort...
Mardi 4 septembre 2007 – Aéroport Paris Charles de Gaulle – 01 :30 du matin, heure locale
Went et Lilie venait de récupérer leurs maigres bagages et de s’engouffrer dans un taxi sans causer aucune réaction d’hystérie car l’aéroport était nettement moins fréquenté à cette heure.
Lillie indiqua sa route au taxi.
L : rue de la maison Blanche dans le 13ème s’il vous plaît...
W : tu m’emmènes où ?
L : Dans mon chez moi ! Encore heureux que j’avais toujours les clés dans mon sac !
W : une chance...
L : on va tenter de dormir un peu et demain matin çà ira mieux...
W : après ce que j’ai dormi dans l’avion, je ne suis pas très fatigué...on pourrait trouver d’autres occupations...
L : Went ! Tu as peut-être faim par contre ?
W : vous avez des mexicains en France ?
L : à cette heure en pleine semaine, je crains que nous n’ayons que le Mc Do !
W : bon et bien çà ira...
L : Tu as beau être à Paris, ce n’est pas Los Angeles, je te préviens...
W : il y a des Starbucks café quand même ?
L : pas à tous les coins de rue mais on t’en trouveras bien un...
W : tu me rassures beaucoup là...
L : je rigole, mais ici on boit des cafés serrés dans de très petites tasses et pas votre jus de chaussettes archi réchauffé !
W : çà critique, çà critique...
Après une petite demi-heure de route, le taxi les déposa à l’adresse indiquée et ils déposèrent leurs affaires chez Lilie avant de redescendre immédiatement pour aller se restaurer au Mc Do.
L : tu mets ta capuche pour ne pas être reconnu ?
W : Très pratique les sweet à capuche non ?
L : tu crois que ce la sera suffisant ?
W : çà limite...
Ils s’arrêtèrent au milieu du trottoir désert et humide et Went enserra la taille de Lilie en rapprochant ses lèvres des siennes. Ils n’avaient pas vraiment échangés de baisers depuis la veille, Lillie étant un peu perturbée par la nouvelle de l’accident de Sofia. Il savoura ce court moment ou leur regards se croisèrent et se comprirent et continuèrent leur chemin...
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Voilà...j'attends vos commentaires...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 45
Localisation : Paris
Date d'inscription : 11/06/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
J'aime beaucoup ta fic que je lis depuis quelques temps, soso_burrows. J'avoue que ça me manquait de ne plus avoir de nouvelles de Wentworth et Lillie, surtout que la pauvre, elle vit des moments difficiles.
J'aime bien la relation qu'ils nouent tous les 2
J'aime bien la relation qu'ils nouent tous les 2
W : il y a des Starbucks café quand même ?
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
enfin.... il est trop chou à s'occuper d'elle ainsi sans se préocuppé des consaquences pour lui!!!
et le coup de Mexicain et du starbuck
mets nous vite des suites
et le coup de Mexicain et du starbuck
mets nous vite des suites
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
AHHHHHHH sa fait super plaisir de te relire!!!!!!
Et en plus elle etait canon cette suite!!!!!!!!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Et en plus elle etait canon cette suite!!!!!!!!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Vite vite, j'ai hâte qu'ils retournent à LA, qu'elle accepte le job
Je ne suis pas fan des melo-drames autour d'un lit d'hôpital alors je veux une suiiiiite !
Je ne suis pas fan des melo-drames autour d'un lit d'hôpital alors je veux une suiiiiite !
Astrid- En route pour la frontière
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Date d'inscription : 26/02/2007
Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Voilà, petit chapitre pour égayer la soirée !
Lillie s’engouffra dans le MC Do ouvert toute la nuit et commanda deux menus. Went resta plus loin, capuche vissée sur la tête pour minimiser au maximum le risque d’être reconnu. Pas ce soir, il n’en avait vraiment pas envie. Il souhaitait une seule chose, manger et rentrer au plus vite dans le petit appartement cocon de Lillie qu’il avait pu entrapercevoir lorsqu’ils y avaient déposé leurs affaires.
Elle s’installa en face de lui à une des nombreuses tables libres que comptait le restaurant. A cette heure plus que tardive, en pleine semaine et dans ce quartier, peu d’âmes erraient encore dans les rues.
W : je voyais çà plus animé Paris...
L : çà dépend des quartiers et puis...on est en pleine semaine...
Ils dévorèrent leur repas avec appétit et Lillie l’entraîna à nouveau dehors en direction de son appartement. La nuit était douce, septembre n’avait pas encore fait son bout de chemin et l’été persistait après un mois d’Août parisien plus que maussade.
Après avoir grimpé les étages, Lilie et Wentworth entrèrent dans l’appartement et il se plu à en faire le tour, observant chaque photo, détaillant al décoration, s’amusant des détails féminins présent à chaque recoin. On aurait pu croire que Lilie n’en était partie que la veille tellement son influence se ressentait dans la pièce.
W : c’est très mignon comme endroit Lilie...çà te ressemble
L : je ne suis pas la seule instigatrice de cet endroit...et j’espère que tu auras le loisir de rencontrer celle avec qui j’ai partagé tant de bons moments ici...
La voix de Lilie s’était éraillée en chemin et ses yeux laissaient transparaître toute son inquiétude et toute sa détresse. Il s’approcha d’elle et l’entoura de ses bras protecteur, se laissant envahir par le doux parfum de ses cheveux.
W : demain...nous irons demain, en attendant, nous devrions essayer d’aller dormir.
Lilie se dégagea de son étreinte mais laissa sa main prendre celle de Went et l’entraîner dans sa minuscule chambre, coquettement décorée. Elle se laissa tomber de tout son long sur le lit et son regard se perdit à l’extérieur, où la lune laissait ses faibles rayons envahir la pièce. Went éteignit la lumière et s’allongea à coté d’elle. Le cœur gros, elle essayait de donner le change alors que son univers s’émiettait.
W : çà va aller Lilie, je suis sur que demain, tout ira pour le mieux pour ton amie...
L : j’espère que tu as raison et à la première heure j’appelle Tom.
Elle vint coller son visage contre le torse de Wentworth comme pour se protéger. Il la consola un moment avant de laisser peu à peu ses caresses dévier vers sa poitrine puis son ventre et son entrejambe tandis que leurs lèvres avaient débuté un ballet incessant de va et vient en direction l’un de l’autre. Lilie laissait quelques soupirs et gémissements lui échapper tandis que les mains de Wentworth se faisaient de plus en plus entreprenantes...
Leurs vêtements ne tardèrent pas à voler au quatre coins de la pièce, laissant leurs deux corps nus l’un contre l’autre se réclamer intensément. Lilie avait laissé sa peine de coté, un moment, le temps d’être à lui, toute entière et de retrouver un semblant de plénitude. Jusqu’à maintenant, Sofia avait toujours été son repère, sa source, son point d’attache familial et aujourd’hui, c’est dans les bras de Went qu’elle ressentait cette sensation de bien-être.
La bouche de Wentworth s’attardait dans le cou de Lilie, laissant de chaudes traînées humides qui au contact de son souffle la laissait frissonnante. Une main derrière son dos, il l’obligeait à cambrer un peu plus ses reins pour être encore un peu plus à lui. Lilie se laissait totalement faire, lascive mais attentive au moindre désir de Went. Après avoir dévoré chaque parcelle de son corps brûlant, il s’insinua lentement en elle, profitant de sentir chaque parcelle de son corps qui devenait lentement à lui, en elle. Lilie s’abandonnait totalement, laissant principes et habitudes au placard et entraîna Went dans un ballet sensuel ou leur deux corps s’appelaient mutuellement. Ses reins mis à contribution, Went ressentait un sentiment nouveau, quelque chose d’exceptionnel, fort. Elle l’incita à se libérer totalement, à se lâcher complètement et ils crièrent tous les deux forts dans la bouche de l’autre lorsque le plaisir s’empara d’eux et de chaque parcelle de leur corps.
Quelques instants plus tard, il se laissa tomber à coté d’elle et sans cesser de la regarder, il laissa cinq mots lui échapper soudainement, spontanément sans avoir eu le temps d’y réfléchir tant cela venait du cœur.
W : je suis amoureux de toi...
Lilie écarquilla de grands yeux dans sa direction, se demandant si son esprit fatigué et soucieux ne lui jouait pas des tours mais elle comprit qu’il n’en était rien quand à sa réaction il répéta plus calmement et de manière plus réfléchie.
W : je suis en train de tomber amoureux de toi Lilie...
CHAPITRE 13
Sad Honeymoon (suite)
Lillie s’engouffra dans le MC Do ouvert toute la nuit et commanda deux menus. Went resta plus loin, capuche vissée sur la tête pour minimiser au maximum le risque d’être reconnu. Pas ce soir, il n’en avait vraiment pas envie. Il souhaitait une seule chose, manger et rentrer au plus vite dans le petit appartement cocon de Lillie qu’il avait pu entrapercevoir lorsqu’ils y avaient déposé leurs affaires.
Elle s’installa en face de lui à une des nombreuses tables libres que comptait le restaurant. A cette heure plus que tardive, en pleine semaine et dans ce quartier, peu d’âmes erraient encore dans les rues.
W : je voyais çà plus animé Paris...
L : çà dépend des quartiers et puis...on est en pleine semaine...
Ils dévorèrent leur repas avec appétit et Lillie l’entraîna à nouveau dehors en direction de son appartement. La nuit était douce, septembre n’avait pas encore fait son bout de chemin et l’été persistait après un mois d’Août parisien plus que maussade.
Après avoir grimpé les étages, Lilie et Wentworth entrèrent dans l’appartement et il se plu à en faire le tour, observant chaque photo, détaillant al décoration, s’amusant des détails féminins présent à chaque recoin. On aurait pu croire que Lilie n’en était partie que la veille tellement son influence se ressentait dans la pièce.
W : c’est très mignon comme endroit Lilie...çà te ressemble
L : je ne suis pas la seule instigatrice de cet endroit...et j’espère que tu auras le loisir de rencontrer celle avec qui j’ai partagé tant de bons moments ici...
La voix de Lilie s’était éraillée en chemin et ses yeux laissaient transparaître toute son inquiétude et toute sa détresse. Il s’approcha d’elle et l’entoura de ses bras protecteur, se laissant envahir par le doux parfum de ses cheveux.
W : demain...nous irons demain, en attendant, nous devrions essayer d’aller dormir.
Lilie se dégagea de son étreinte mais laissa sa main prendre celle de Went et l’entraîner dans sa minuscule chambre, coquettement décorée. Elle se laissa tomber de tout son long sur le lit et son regard se perdit à l’extérieur, où la lune laissait ses faibles rayons envahir la pièce. Went éteignit la lumière et s’allongea à coté d’elle. Le cœur gros, elle essayait de donner le change alors que son univers s’émiettait.
W : çà va aller Lilie, je suis sur que demain, tout ira pour le mieux pour ton amie...
L : j’espère que tu as raison et à la première heure j’appelle Tom.
Elle vint coller son visage contre le torse de Wentworth comme pour se protéger. Il la consola un moment avant de laisser peu à peu ses caresses dévier vers sa poitrine puis son ventre et son entrejambe tandis que leurs lèvres avaient débuté un ballet incessant de va et vient en direction l’un de l’autre. Lilie laissait quelques soupirs et gémissements lui échapper tandis que les mains de Wentworth se faisaient de plus en plus entreprenantes...
Leurs vêtements ne tardèrent pas à voler au quatre coins de la pièce, laissant leurs deux corps nus l’un contre l’autre se réclamer intensément. Lilie avait laissé sa peine de coté, un moment, le temps d’être à lui, toute entière et de retrouver un semblant de plénitude. Jusqu’à maintenant, Sofia avait toujours été son repère, sa source, son point d’attache familial et aujourd’hui, c’est dans les bras de Went qu’elle ressentait cette sensation de bien-être.
La bouche de Wentworth s’attardait dans le cou de Lilie, laissant de chaudes traînées humides qui au contact de son souffle la laissait frissonnante. Une main derrière son dos, il l’obligeait à cambrer un peu plus ses reins pour être encore un peu plus à lui. Lilie se laissait totalement faire, lascive mais attentive au moindre désir de Went. Après avoir dévoré chaque parcelle de son corps brûlant, il s’insinua lentement en elle, profitant de sentir chaque parcelle de son corps qui devenait lentement à lui, en elle. Lilie s’abandonnait totalement, laissant principes et habitudes au placard et entraîna Went dans un ballet sensuel ou leur deux corps s’appelaient mutuellement. Ses reins mis à contribution, Went ressentait un sentiment nouveau, quelque chose d’exceptionnel, fort. Elle l’incita à se libérer totalement, à se lâcher complètement et ils crièrent tous les deux forts dans la bouche de l’autre lorsque le plaisir s’empara d’eux et de chaque parcelle de leur corps.
Quelques instants plus tard, il se laissa tomber à coté d’elle et sans cesser de la regarder, il laissa cinq mots lui échapper soudainement, spontanément sans avoir eu le temps d’y réfléchir tant cela venait du cœur.
W : je suis amoureux de toi...
Lilie écarquilla de grands yeux dans sa direction, se demandant si son esprit fatigué et soucieux ne lui jouait pas des tours mais elle comprit qu’il n’en était rien quand à sa réaction il répéta plus calmement et de manière plus réfléchie.
W : je suis en train de tomber amoureux de toi Lilie...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
Wow super!! Surtout la fin!! Rah là là trop bien
Juju410- Admis à l'infirmerie
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Re: Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE
c'est bon j'ai décroché ma larme
ENNEADE- Retrouve Steadman
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