SAVE YOUR BROTHER AND RUN...

j'ai commencé à écrire peut etre en fin d'aprem ou ce soir...

Islemmedemars a écrit:j'ai commencé à écrire peut etre en fin d'aprem ou ce soir...

ça se voit pas mais je suis super contente
je vais la dévorer dès que tu vas la poster


à tout à l'heure

une toute petite suite, désolée mais en ce moment l'inspiration ne veut plus copiner avec moi

Episode 19 – Chicago

Le train en partance d’Oklahoma pour Chicago ne comptait plus seulement trois passagers clandestins mais cinq. Mahone était planté la devant, l’arme braquée contre Michael, ce n’était pas l’envie qui lui manquait de tirer, d’ailleurs l’expression de son visage ne trompait pas, mais ce n’était pas à lui qu’appartenait cette dernière action. Il avait les traits du visage crispé par la colère de s’être autant fait balader comme un vulgaire pion qu’on promène sur un échiquier songeant traîtreusement à le faire mat. Il était décider à lui faire payer ses erreurs. Après avoir récupéré leurs armes, il s’assit, marchant à reculons pour ne pas perdre de vu sa cible, et leur expliqua que c’était en sa compagnie et celle de Kellerman qu’ils termineraient le voyage. Ce dernier en fit de même prenant place aux côtés de Mahone un sourire gêné aux lèvres qui trahissait presque son comportement jadis d’avec Sara. Lincoln avait rejoint l’un des sièges voisins de son frère et Sara sous les ordres de Mahone.

Le voyage S’annoncait long et quelques arrêts s’imposaient. Michael était pensif, il lui fallait rapidement trouver une échappatoire ne serais que pour rassurer Sara qui était pétrifiée et son frère que l’espoir avait à présent quitté définitivement. Ils étaient assit tout les trois, se regardant par moment l’air dépité, mais c’était pour eux, le seul moyen de communication qu’ils pouvaient utiliser. Tout le long du voyage, le wagon était calme, seuls les autres passagers allaient et venaient dans tous sens tandis que Kellerman et Mahone montaient la garde à tour de rôle. Sara s’était endormi dans les bras de Michael, mais c’était impossible pour lui de fermer l’œil tout comme son frère, malgré la force de la fatigue qui s’abattait sur eux.

La voix des hauts parleurs annoncés enfin, plusieurs heures plus tard, l’arrivé du train à Chicago, le dernier arrêt. Avant que l’appareil entre en gare, Mahone intima l’ordre aux évadés de se lever et se diriger vers la sortie qui se situé tout au bout du Wagon, il ajouta également que c’était dans leur intérêt de s’en tenir à ses ordres et de ne pas tenter quoi que ce soit. Ils descendirent du train les uns après les autres et se dirigèrent vers la sortie la plus proche ou les attendaient un véhicule. Mahone avait tout prévu ou presque. Il s’approcha le premier du véhicule et en extrait la clef qui se trouvait sur l’une des roues avant. Il enclencha le bouton automatique afin d’ouvrir les portes et consigna à ses prisonniers de monter à bord du camion.

Une vingtaine de minute plus tard, le véhicule se gara prés d’un entrepôt, tous sont invités à descendre et rejoindre le hangar ou les attendaient des hommes en uniforme. Mahone était le premier surprit, il ne comprenait pas pourquoi ces hommes étaient là. Le plan était le suivant, conduire les évadés dans le hangar à la rencontre d’un nouveau supérieur et attendre les nouvelles instructions. Les hommes s’emparèrent vivement de Mahone et le glissèrent de force dans la même voiture qui les avait amené jusque là après lui avoir assigné un coup violent à la tête.

S’en était trop pour Lincoln, il se refusa alors d’entrer dans cette conspiration. Tout de cette scène indiquait que c’était la fin pour eux, il avait même du mal à comprendre pourquoi on les avait conduit jusqu’ici au lieu de les éliminer. Il n’était plus disposé à se battre ou s’il devait le faire, alors il s’y prendrait à sa manière, mourir en homme c’était sa devise. Voyant que Lincoln était sur le point de commettre l’irréparable, Kellerman compris alors que c’était sa dernière chance d’agir et de retourner la situation à son avantage et se venger de la compagnie qui avait tenté de le mettre à l’écart. Il accéléra le pas se positionnant juste derrière Lincoln, lui glissant un mot à l’oreille et partit devant en direction des deux hommes armés et ouvrit le feu sur eux.

Sous le coup de la surprise, les deux hommes tombèrent à terre sans même avoir eu le temps de riposter, mais Kellerman ne s’avait pas à quoi il s’était exposé. A peine eu-t-il le temps de se retourner vers les fuyards, que des balles en provenance du toit du hangar, fusaient en leur direction. Michael cria à Sara et son frère se mettre à l’abri derrière la camionnette. Kellerman se baissa alors tentant d’éviter les balles et se mis à répondre de coup de feu pointant son arme vers le haut du hangar. Il cria ensuite aux évadés de monter dans le véhicule. Il se précipita alors vers le corps momentanément inanimé de Mahone et en extrait les clefs du véhicule. Il monta aussi vite qu’il le pu, incéra la clef, mis le contact et démarra aussitôt. Les balles continuaient de filer dans les airs dans leur direction visant expressément la camionnette. Les impacts de balles provoquaient d’énormes trous, tous à l’intérieur avaient la tête baissée pour éviter les projectiles. La voiture était sur le point de quitter la place du petit parking devant le hangar quand deux gros 4x4 se mirent en travers de leur chemin…

je veux bien que l'inspi te lâche . Elle est super ta suite
bon évidemment ça finit encore en mais je pense cette fois, que c'est les hommes de mains d'Aldo enfin j'espère car si c'est encore d'autres vilains pas beaux et Kellerman qui a tourné sa veste et bah qui lui crut

arrête de penser que c'est pas bien, moi j'adore et je suis toujours dans un suspense à chaque chapitre

UNE AUTRE
UNE AUTRE
AVEC DU MISA

tinkerbel a écrit: je veux bien que l'inspi te lâche . Elle est super ta suite
bon évidemment ça finit encore en mais je pense cette fois, que c'est les hommes de mains d'Aldo enfin j'espère car si c'est encore d'autres vilains pas beaux et Kellerman qui a tourné sa veste et bah qui lui crut

arrête de penser que c'est pas bien, moi j'adore et je suis toujours dans un suspense à chaque chapitre

UNE AUTRE
UNE AUTRE
AVEC DU MISA

en faire je pense que c'est pas bon parce que pour ces derniers chapitres je mets trop de temps à les ecrire, c'est ça qui me chagrine, j'ai par moment l'impression de de plus avoir quoi écrire lol.

Islemmedemars a écrit:

tinkerbel a écrit: je veux bien que l'inspi te lâche . Elle est super ta suite
bon évidemment ça finit encore en mais je pense cette fois, que c'est les hommes de mains d'Aldo enfin j'espère car si c'est encore d'autres vilains pas beaux et Kellerman qui a tourné sa veste et bah qui lui crut

arrête de penser que c'est pas bien, moi j'adore et je suis toujours dans un suspense à chaque chapitre

UNE AUTRE
UNE AUTRE
AVEC DU MISA

en faire je pense que c'est pas bon parce que pour ces derniers chapitres je mets trop de temps à les ecrire, c'est ça qui me chagrine, j'ai par moment l'impression de de plus avoir quoi écrire lol.

ah, c'est bête, mais ça arriveparfois. Si vraiment tu y arrives pas, reposes toi un peu et j'attendrai pour avoir la suite mais en tout cas j'adore et je serai patiente

et puis ce serai cool que tu es plus de comms car ta fic est super méga géniale et tu en mérites et ça motive (tous les auteurs le disent )

gros

Mais euh pourquoi faut il toujours que tu t'arretes en suspence????

La suite la suite la suite!!!!!!!!!!!!!!!

tinkerbel a écrit:et puis ce serai cool que tu es plus de comms car ta fic est super méga géniale et tu en mérites et ça motive (tous les auteurs le disent )

gros

oui c'est sur lol mais on fait comment pour avoir plus de lecteur loool, tu as la recette lloooll ?

$acass a écrit:Mais euh pourquoi faut il toujours que tu t'arretes en suspence????

Parce que sinon ca ne serait pas intéressant lol

Toute petite suite...

Episode 20 – L’otage

Il en fallait plus que ça à Kellerman pour capituler, ce n’était pas comme si c’était la première fois qu’il faisait face au danger. Il fit une marche arrière rapide logeant le pare choc de la voiture contre le 4x4 qui se situé juste derrière, puis braqua le véhicule complètement à gauche et reprit le sens avant. Les passagers du 4x4 garé devant eux étaient sortit du véhicule, leur tirant des balles à tout va. Kellerman, n’hésita pas une seconde, les hommes cagoulés eurent à peine le temps de faire une cascade pour éviter de décorer de leur sang le pare choc avant de la voiture qui fonçait sur eux à toute allure.

La jeune femme aux cheveux couleur d’ébène courut rapidement jusqu'à son véhicule, le visage figé par la colère, se dirigeant tout droit vers la malle, l’ouvrit d’un geste rapide et prit le Bazooka qui s’y trouvait, elle appuya la grosse arme contre son épaule, la pointa en leur direction et laissa échapper le gros projectile, une énorme explosion se fit entendre quand ce dernier percuta l’arrière de la camionnette. Les portes arrière prirent feu, la secousse effraya le conducteur qui perdit le contrôle du véhicule. Le feu menaçait de se propager sur toute la carrosserie, ce qui obligea les passagers à descendre dans l’empressement le plus total. La camionnette explosa aussitôt dans un vacarme assourdissant. Plus aucune alternative ne s’offrait à eux sinon filer à toute vitesse vers le hangar qui leur ouvrait grand ses portes. Lincoln, Kellerman, Mahone qui fini par se relever ainsi que Sara et Michael main dans la main, couraient aussi vite qu’ils le leur étaient permis sous une pluie battante de balles interminable.

A l’intérieur, une ancienne usine de traitement d’eau désaffectée, elle grouillait de tuyaux d’eau apparemment encore en activité, on pouvait entendre le bruit du liquide qui coulait dans les conduits. Les pourchassaient en profitèrent pour se faufiler derrière, arme à la main prêts à riposter en cas d’attaque. Sara, Michael et Lincoln étaient planqués derrière un des renforcements de la pièce principale tandis que Kellerman et Mahone s’étaient abaissés à hauteur d’un des conduits. Michael savait qu’ils devraient désormais doubler de vigilance, même si Kellerman les avait sauvé sur le coup et que Mahone se sentait menacé autant qu’eux par les missiles, il ne leur céderait pas sa confiance, du moins ce n’était pas le moment.

Quelques minutes plus tard, la menace se fit sentir de plus belle, on entendit une femme crier à ses subordonner de s’éparpiller dans tous les coins et de veiller à bloquer toutes les entrées. Les hommes partir donc de part et d’autres tandis qu’elle, elle marchait droit devant, elle scrutant chaque parcelle de cet immense lieu parsemait de tuyaux qui l’a gênait presque. Soudain, un bruit sourd de pas juste derrière elle l’interpella, elle se retourna brusquement tendant son arme, les bras en équerre, ramenant son flingue tout prés de son visage. Elle promenait son regard dans tous les sens à la recherche de sa cible, elle n’était pas loin, elle le savait et elle n’était pas du genre à céder, elle avait déjà donné, c’était une vraie battante, la mort ne lui faisait pas peur, quoiqu’il en soit, elle ne perdra pas aussitôt.

De l’autre côté, deux hommes sortirent en trombe et tirèrent sur ce qu’ils avaient cru voir bouger, mais les balles s’écrasaient gentiment sur les parois des conduits d’eau laissant alors jaillir dans d’énormes éclaboussures le liquide les aveuglant presque dans leur chasse à l’homme. Michael qui était juste derrière l’un d’eux s’accapara de lui, l’enroulant de son bras au cou, tandis que Lincoln l’assommait à coup point jusqu'à le faire faillir. Les altercations se succédaient les unes après les autres, la mort ne tarda pas à faucher tous les pions de Pad man les uns après les autres tantôt de balles à diverses parties de leurs corps, tantôt succombant aux coup de points de Lincoln et sa nouvelle cavalerie, Kellerman et Mahone. Le combat s’annonçait interminable, des hommes tombaient à terre tandis que d’autres faisaient leur apparition. Leurs corps criaient faiblesse, les coups se firent moins rapide alors que la cadence des affrontements s’accélérait. Michael qui vit que son frère avait besoin d’aide intima l’ordre à Sara de se cacher pour ne pas être vu, une fois assuré qu’elle était en sécurité, il courut vers l’homme qui battait son frère sans retenue et l’assomma d’une bat qu’il avait ramassé au sol.

L’homme tomba à terre aussitôt, Lincoln était alors libre mais les hurlements de Sara ne présageaient rien de bon. Michael et Lincoln se retournèrent vers la voix qui les avaient attirait. La femme tenait Sara par la bras, une arme pointait sur elle, tandis que ses hommes braquaient les leurs sur Michael, Lincoln, Kellerman et Mahone. Elle regarda d’un air sec et dit d’un ton colérique.

Susan : Scofield ! Si tu veux la revoir vivante, sois prés à exécuter les ordres. (À ses hommes) On dégage !

OMG quelle violence, il va y avoir du sang partout
cette suite est flippante, ils sont piégés mais arrivent quand même à se débarrasser des hommes de mains de Susan, mais malgré que Sara se soit cachée il a fallut que l'autre garce la trouve et ..........................quoi "on dégage", non non non pas question, elle part mais sans Sara, tu vas mettre une suite très rapidement (STP ) sinon
olala tu es vraiment trop mais c'est SUPER

LA SUITE LA SUITE

attention une sans sadisme de préférence





cette fic est géniale alors les filles, laissez des comms

tinkerbel a écrit:OMG quelle violence, il va y avoir du sang partout
cette suite est flippante, ils sont piégés mais arrivent quand même à se débarrasser des hommes de mains de Susan, mais malgré que Sara se soit cachée il a fallut que l'autre garce la trouve et ..........................quoi "on dégage", non non non pas question, elle part mais sans Sara, tu vas mettre une suite très rapidement (STP ) sinon
olala tu es vraiment trop mais c'est SUPER

LA SUITE LA SUITE

attention une sans sadisme de préférence





cette fic est géniale alors les filles, laissez des comms

merci beaucoup miss, je te rassure tout de suite je n'ai pas l'intention de faire tuer Sara ou faire croire à sa mort... et puis j'ai pleins d'idées du coup ya pleins d'étapes prison break qui vont sauter lol comme le fric de Wesmorland, il n'auront plus le temps d'aller le chercher et le PANAMA, ben ils n'iront peut être pas...
et la, je suis entrain de faire une affiche pour ma fic la...

EN TOUT CAS MERCI A TOI T'ES MA MEILLEURE LECTRICE...

merci ça me touche beaucoup

et ouf, si Sara ne va pas mourir
NI MAINTENANT NI PLUS TARD

hâte de voir ton affiche et de lire LA SUITE

Rolala tu t'arrete en susapence là!

Vite la suite ne nous laisse pas comme sa!!!

ton affiche est magnifique

le spoiler c'est quand Sara tient le journal panaméen
je suis nulle en devinette

je ne pensais pas à ça mais on peut le comptabiliser. Je faisais plus allusion à Véronica, je n'ai pas encore parlé d'elle mais dans ma fic elle ne meurt pas contrairement à PB et à ce que crois Lincoln. Et j'ai même l'intention de les faire se rencontrer toutes les deux...

Islemmedemars a écrit:je ne pensais pas à ça mais on peut le comptabiliser. Je faisais plus allusion à Véronica, je n'ai pas encore parlé d'elle mais dans ma fic elle ne meurt pas contrairement à PB et à ce que crois Lincoln. Et j'ai même l'intention de les faire se rencontrer toutes les deux...

Véronica, je l'avais oubliée celle là
est ce qu'aujourd'hui on va avoir une longue et intriguante suite (bah oui je vais pas demander une misa car en ce moment c'est plus que )

une tite suite...

Episode 21 – Le jeu se corse

Le 4x4 s’arrêta devant un portail, les portes s’ouvrirent doucement vers l’intérieur laissant ainsi passer la voiture noire. Le véhicule avança jusqu'à la grande maison blanche puis s’arrêta pour laisser descendre les passagers. Susan sortit la première, fit le tour jusqu’à la porte arrière gauche, qu’elle ouvrit et donna l’ordre à Sara de sortir. Cette dernière eue beaucoup de mal, elle avait les yeux bandés, sans doute qu’on ne voulait pas qu’elle sache ou elle se trouvait. Elle tâtait de ses mains les parois du véhicule pour se guider et posa doucement les pieds à terre. D’apparence, elle était très calme mais au font d’elle s’agitaient toute sorte de sentiments qui faisait trembler tout son corps et l’empêchait d’avoir les idées claires. Mais Susan n’était pas une sentimentale, elle hurla à Sara l’ordre de se dépêcher et qu’elle n’avait pas que ça à faire. Sara avança donc sous les cris oppressant que braillaient Susan derrière son dos.

Michael était terrassait, il ne parvenait plus à penser, seule le visage tétanisé de Sara apparaissait devant lui. Une immense colère s’empara de lui, il se jeta alors sur Mahone le plaqua contre le mur posté juste derrière lui, l’agrippa à sa veste de la main droite et jeta avec violence son avant bras gauche à son cou. Sous la pression que faisait Michael, Mahone avait presque du mal à respirer. Le visage de Michael était crispé par la colère, il devait à tout prix savoir ou cette femme avait emmené Sara.

Michael : Ou l’a-t-elle emmené ? cria-t-il.
Mahone : Je ne sais pas… Je ne sais même pas qui elle est…
Michael : C’est toi qui nous as conduits jusqu’ici, tu savais qu’ils nous attendaient.
Mahone : Ce n’est vrai qu’en partie, je ne la connais pas et je ne sais pas ce qu’elle veut… je ne suis qu’un pion comme vous tous… cria-t-il à son tour.
Kellerman : Michael, je comprends votre mécontentement mais ce n’est pas en restant là qu’on la retrouvera.
Lincoln : Il a raison Michael… on ne doit pas rester là.

A ces mots, Michael se souvient alors de ce que Sara lui avait dit avant de monter dans le train, sa colère se décupla, il lâcha expressément Mahone et prit pour cible l’homme qui avait torturé la femme qu’il aimé. Il ne supportait pas l’idée qu’on touche à Sara, qu’un autre homme lui pose les mains dessus, et lui, il avait usé de la faiblesse de Sara pour la torturer. Michel posa alors la question à Kellerman et n’eu comme seule réponse que ce n’était pas lui qui les avaient contacté. Michael ne comprenait plus rien, la présence encore de ces deux hommes, qui semblaient vouloir l’aider à présent alors qu’ils avaient tout tenté pour les tuer, l’enlèvement de Sara… Mais une question subsistait et se faisait maître de son esprit, comment les avaient-ils retrouvé ? Alors que Michael croyait avoir pensé ces paroles, Mahone et Kellerman se regardèrent sidérés.

Mahonne et Kellerman : Ont est pisté !

C’est alors qu’ils comprirent tout les deux qu’ils avaient basculé à temps de l’autre côté, du moins pour Kellerman, Mahone lui avait toujours cette même frayeur pour sa famille, mais il n’avait plus le choix, c’est eux qu’ils l’avaient fait basculer. Il se retrouvait donc dans la même situation que Michael, tenter le tout pour le tout afin de sauver les siens. Les quatre hommes quittèrent alors les lieux et se dirigèrent vers le 4x4 qui était resté là. Lincoln monta au volant Mahone et Kellerman allaient monter à l’arrière quand Michael plaqua Kellerman et lui dit d’un ton colérique qu’il ne paierait rien pour attendre.

Sara se retrouvait à présent dans une pièce, assise sur un lit usé par le temps et sans aucun doute par des tas d’autres personnes qui furent les captives des cette femme. Le silence était devenu maître des lieux, Sara pensa alors qu’elle était seule, elle leva ses mains liées prés de son visage afin de retirer le bandeau qui cacher ses yeux. Elle recherchait un peu de lumière pour affaisser le sentiment d’insécurité qui courait en elle. Mais quand elle l’eue retiré, la peur qui l’avait alors habitait depuis que cette femme avait posé la main sur elle, dans le hangar désaffecté, grandissait et faisait battre son cœur comme des battements de cymbales. Une inspiration contrôlée par cette même peur, s’échappa de sa bouche, brisant le silence qui l’a tétanisé.
Soudain la porte s’ouvrit violement, la voix de Susan raisonnait dans la pièce, elle appuya sur un l’interrupteur afin d’éclairer la pièce. Sara tourna la tête vers le sol pour éviter la lumière qui l’aveuglait presque, ses yeux étaient restés dans le noir trop longtemps. Susan était revenue pour expliquer à Sara comment les choses allaient de dérouler. Sara la regardait dans les yeux, elle l’écoutait mais, n’entendait rien, la seule pensée qui réussit à traverser son esprit, c’était ce moment ou elle avait tant hésité à abreuver son corps, elle secoua sa tête très fortement comme si elle voulait effacer cette horrible image de sa tête, mais la tâche s’avéra difficile, à chaque fois qu’elle se retrouvait dans ce genre de situation, seule, loin de Michael, elle ne pouvait s’empêcher de confondre son mal avec la drogue. Elle n’avait presque rien entendu des paroles de Susan ce qui l’inquiéta au moment au cette femme s’accroupie à son niveau lui disant :

Susan : … Donc vous resterai en vie si Scofield répond à nos attentes.
Sara : Pourquoi faite vous ça ?
Susan : Mais je rêve ou quoi, vous n’avez rien écouté de ce que je viens de dire.
Sara : vous parliez de retrouver quelqu’un… qu’est qui vous empêche de le chercher vous-même ?
Susan : Ce côté la du problème ne s’adresse pas à vous Sara. Contentez vous d’espérer que tout ce passe pour le mieux…

Susan se dirigea vers la porte pour quitter la pièce quand Sara se mit à hurler, elle se retourna le visage dessiner par la colère, elle n’avait jamais tolérer qu’un de ses prisonniers ose lever la voix sur elle. Elle s’approcha de Sara et lui flanqua une gifle, le visage de Sara suivit le mouvement, le coup fut si fort que son corps en perdit l’équilibre, elle tomba à terre et se cogna la tête contre le sol dur et froid. Elle était à présent couchée sur le sol, dans l’incapacité de se relever, des larmes se dessinaient sur son visage mêlaient à quelques gouttes de sang provenant de sa lèvre supérieure. Elle respirait difficilement ravalant cette boule qui s’était logeait dans sa gorge, puis le silence reprit son règne quand elle entendit une petite voix lui dire « Sara Tancredi, c’est vous ? »

alors la miss mes mots me manque pour te dire a quel point j'adore ta fic!!!!

j'ai tout rattraper d'une traite(j'en ete au chapitre 9 )
je vois que tu t'amuse avec nos coeurs et sa c'est pas bien tu n'imagine pas comment j'etais stressera la lire!!

ton affiche est magnifique!!
donc sara se fait enlever, je supose que c'est Lj qui lui parle a la fin??
j'espere qu'elle ne va pas finir dans une boite

susan je l'adore desolé pour celle qui l'aime pas mais j'adore son role en revanche je deteste veronica mais t'inquiete je ferai avec

en tout cas continues miss je suis devenu accro!!!!

vivement la suite tu cartonnes!!!

encore une suite très mais aussi moins de suspense mais beaucoup de tristesse, non mais comment Susan peut faire ça à ma petite Sara
Michaël qui est très en colère moi je veus pas qu'il arrive quoique soit à Sara
la personne dans la salle c'est peut être Véronica et c'est sa tête à elle qui va aller dans la boite


encore une excellente suite et vite la suivante

ce soir on va avoir droit à notre suite

je suis très pressée de l'avoir en tout cas

coucou mis!!!

je suis venue reclamer une tite suite stp!!!

je ne vais pas tenir longtemps !!!!!

JulieScofield a écrit:coucou mis!!!

je suis venue reclamer une tite suite stp!!!

je ne vais pas tenir longtemps !!!!!

j'ecris la mais j'ai fait un pause créas comme t'as pu voir lol mais je m'y remets

Salut miss alors comme je te l'ai dit je me suis mise a la lecture de ta fic et j'aime beaucoup j'en suis a l'episode 13 et j'ai commencer a la lire cette apres midi.
Il y a beaucoup de suspense et il leur arrive que des poisse j'espere que ça va quand meme s'arranger par la suite.

La je vais regarder la télé je lirais la suite demain

Une suite, j'espère que ça vous plaira toujours, car là c'est plus calme qu'au départ...

Episode 22 – tout s’explique (partie 1)

Le son de cette voix la fit frémir de peur. Elle promenait son regard dans tout les sens, cherchant de quel coin pouvait provenir ce son. Mais elle était plongée dans le noir, ses yeux étaient incapables de voir ou ne serait-ce qu’apercevoir quoique ce soit. Ce lieu sombre, sale et froid, ne prophétisait que des sentiments néfastes à son égard. Le silence dont faisait preuve la maitresse de cette voix, ne faisait qu’accroître cette sensation de peur qui grandissait à une vitesse inconsidérée, puis dans un souffle court, elle osa enfin briser ce silence.

Sara : Ou êtes vous ?
La voix : Juste derrière vous.
Sara : (se retournant expressément dans tous les sens) Vous pouvez me voir ?
La voix : Oui je le peux, voila sept jours que je suis enfermée ici, mes yeux s’y sont habitués.
Sara : Qui êtes vous et pourquoi êtes vous la ?
La voix : Veronica Donovan, on s’est déjà vu une fois…ou deux et je suis ici pour les mêmes raisons que vous…je suppose…
Sara : Oh mon Dieu ! C’est complètement dément, je ne sais même pas ce que je fais là, ni ce qu’ils attendent de Michael ou de moi et puis d’abord qui sont-ils ?
Veronica : Ne posait pas tant de questions Sara, cela nous vous aidera pas et ça ne vous fera pas sortir d’ici non plus, pas tant qu’ils n’auront pas ce qu’ils veulent.
Sara : Si c’est la bande audio qu’ils veulent, je la leur laisse volontiers mais qu’ils nous foutent la paix.
Veronica : Je ne sais pas de quoi vous parlez, mais je vous le répète, n’essayez pas de vous montrer plus forte que vous ne le devriez, ces gens là ne rigolent pas et je sais de quoi je parle.

Pour bien lui faire comprendre ce qu’elle était entrain de dire, Veronica s’approcha de Sara, s’accapara de ses mains, les déposa sur son visage les faisant glisser sur toute la surface jusqu'à son cou pour enfin les loger sur ses épaules. Ce rapide contact qui les avait liées quelques secondes provoqua en Sara un effarement total plus prés du choc que de la surprise, quand elle sentit la peau cratérisée de la jeune femme ou elle pouvait encore toucher du sang humide. Elle ne voyait rien, mais cette sensation écœurante lui fit retirer ses mains avec virulence, elle ne pouvait pas supporter cette texture dégoutante qui laissa une drôle d’impression sur ses mains. Son esprit s’en mêla alors et lui envoya des images plus atroces les unes que les autres, imaginant ce que Veronica avait pu subir et ce à quoi elle devait peut-être s’attendre. Elle avait pourtant l’habitude de voir du sang et le contact des blessures ne la faisait pas craindre, mais l’environnement dans lequel elle se trouvait et cette idée d’être à la merci de cette femme l’empêchait de concilier les choses.

Les quatre hommes étaient dans la voiture, ils roulaient droit devant sans trop savoir ou aller, il fallait juste qu’ils trouvent un endroit sur, ou s’exiler le temps pour eux de préparer un plan. La tension était à son apogée, Lincoln et Michael étaient à l’avant tandis que Mahone et Kellerman s’étaient installés à l’arrière. L’expression qui s’était dessinée sur le visage de Michael ne l’avait pas quitté, la colère habitait toujours son corps mais il ne pouvait que se résoudre à la faire taire. Cette situation ambiguë dans laquelle il se trouvait ne faisait qu’accroître son mal être mais il n’avait pas le choix. Un silence pesant s’était imposait depuis qu’ils avaient mis les pieds dans ce véhicule, et puis Michael décida de briser ce silence, il se retourna et posa son regard un instant sur les deux hommes puis leur demanda pourquoi la compagnie s’acharnait sur eux. Mahone et Kellerman se regardèrent puis détournèrent leurs regards vers Michael et Mahone commença à expliquer. Il lui exposa les faits, lui parlant d’abord de son père Aldo.

Mahone : La compagnie voulait évincer votre père qui en savait trop mais se refusait à garder les choses pour lui. Plus tard elle apprend qu’un groupe orchestré par ce dernier tente par tous les moyens de la faire tomber…
Kellerman : …Elle engagea alors des poursuites contre eux, mais votre père s’était éclipsé et la compagnie n’a qu’un seul mot d’ordre « attaquer la famille pour attirer l’appât » mais votre père n’était pas le genre à être facilement intimidé.
Mahone : …Faut dire que le passé de votre frère les a bien aidés à faire croire au meurtre de Steadman.
Michael : Ils ont fait ça juste pour récupérer l’enregistrement ?
Kellerman : Pas seulement, votre père et son petit groupe avait réunit plusieurs preuves en mesure de disculper votre frère mais aussi de faire tomber par la même occasion la présidente Reynolds et tout ceux qui avait un lien de prés ou de loin avec la société Ecofield dirigé par Steadman et donc la compagnie elle-même.
Michael ! Mais notre père est mort maintenant…
Kellerman : oui, mais les preuves elles, existent toujours.
Mahone : …C’était un véritable jeu d’enfant, faire inculper Lincoln, lui affliger la peine capitale et personne n’entendrait parler des tentatives mises en œuvre par la Compagnie pour faire main basse sur l'économie du pays passent, entre autres, par des transactions illégales effectuées par le biais d'Ecofield.
Kellerman : Seulement voila, la compagnie ne vous connaissez pas, alors quand elle eu écho de votre intervention, elle a doublé de vigilance, La présidente fut immédiatement mise à l’écart et d’autres agent comme Mahone ou encore Kim ont été engagé pour vous retrouver et vous tuer.
Lincoln : (criant) Et pourquoi ont-ils tué Veronica, elle n’avait rien à voir dans tous ça. ?
Kellerman : Détrompez vous, elle en savait bien plus que vous ne l’imaginez, elle ne se contentait pas seulement de vous défendre, en faite elle avait tout découvert, la compagnie ne pouvait alors que s’en débarrasser.
Michael : Alors, l’enregistrement ne sert plus à rien ?
Kellerman : non… je suis désolé…
Michael : Et pourquoi s’en sont-ils prit à Sara ?
Kellerman : Ils savent qu’elle est votre point faible.
Mahonne : Il est clair qu’ils attendent que vous fassiez quelque chose pour eux.
Michael : Quoi ?
Mahone : je n’en sais rien.
Michael (s’adressant à Kellerman) Tout à l’heure vous avez cité Mahone et Kim et vous dans tout ça quel était votre rôle ?

Kellerman hésita un long moment, tout ce qu’il avait fait endurer à Sara monopolisait son esprit et il ne savait pas vraiment comment répondre à cette question. Voyant que Ce dernier tardait à répondre, Mahone le regarda d’un air accusateur, puis entreprit de répondre.

Mahone : Ont lui avait donné l’ordre de la tuer après avoir récupéré des informations capitales pour la compagnie.

A ces mots, une colère immense avait alors envahit Michael, les traits de son visage s’était crispé encore plus qu’ils ne l’étaient déjà, il donna l’ordre en criant à son frère d’arrêter le véhicule à deux reprise. L’automobile à l’arrêt, Michael en descendit en trombe, fit le tour jusqu'à la portière arrière gauche, l’ouvrit, fit sortir Kellerman avec violence en l’attrapant par son pull, puis l’adossa avec brutalité contre la voiture et lui demande « qu’est ce que vous lui avait fait espèce de salop ? »

Sara finit par reprendre des esprits, la présence de Veronica avait un temps soit peu affaissé ce sentiment de peur qui l’avait pourchassait jusque là. Elle commençait tout juste à s’habituer à cette pièce noir, elle pouvait presque la voir. Le silence était maître de la situation mais Sara n’était pas du genre à se laisser démonter et pour calmer définitivement des émotions qui se battaient en elle, elle reprit leur conversation.

Sara : que s’est-il passé ?
Veronica : Moi aussi je voulais des réponses…
Sara : que va-t-il advenir de nous ?
Veronica : Je n’en sais rien, c’est eux qui mènent le jeu.
Sara : Vous croyais vraiment que je vais rester là, sans réagir hein ?
Veronica : Mais il n’y à rien à faire, seul Michael peut nous sortir de là.
Sara : Je suis désolée de ce qui vous ait arrivé mais moi je ne tiens pas à rester ici.

Sara se leva, elle se mit à marcher maladroitement dans cette pièce, elle arriva bientôt sur l’une des parois et y posa ses mains liées, elle tâtait chaque parcelle de ce mur, espérant trouver quelques chose, n’importe quoi qui la ferait sortir d’ici. Elle savait que c’était mission impossible mais elle ne pouvait pas se résoudre à ne rien faire.

Au même moment, dans la voiture, un téléphone se mit à sonner, mais personne ne réagissait, Michael était toujours face à Kellerman qui tentait tant bien que mal de se dépêtrer de ce dernier quant à Mahone et Lincoln n’en tinrent pas compte pensant qu’il ne s’agissait pas du leur. La sonnerie de ce téléphone raisonnait comme dans une boite, Michael le comprit, il repartit de l’autre côté, ouvrit la boite à gant. Tous étaient surpris, ils se regardèrent avec étonnement et au bout d’une dizaine de sonnerie Michael décrocha enfin le téléphone.

Michael : Allô !