SAVE YOUR BROTHER AND RUN...

Islemmedemars a écrit:ecoute je ne vais pas encore dormir donc j'ecrit mais je pense que je posterais demain...

le demain d'aujourd'hui ou le demain de demain
en fait je suis très chia***
alors jeudi ou vendredi

moi je pense que je vais aller au vu que j'ai pas ma suite


t'as intérêt qu'il y ait plein de misa pour te faire pardonner

et super pour ton problème si il est résolu

demain jeudi lol, je vais ayer pour le MiSa, disons le sadisme c'est pas pour tout de suite avec eux par contre les autres peut-être un peu...

Islemmedemars a écrit:demain jeudi lol, je vais ayer pour le MiSa, disons le sadisme c'est pas pour tout de suite avec eux par contre les autres peut-être un peu...

ok donc à tout à l'heure
pas de sadisme pour le misa, ça me va, tant pis pour les autres


bonne nuit et ne veille pas trop tard

voila cette suite que je trouve super médiocre, je n'arrive plus à être sadique à cause de toi, à chaque fois que j'écrivais une phrase de ce type je l'effaçais aussitôt...

Episode 32 – On y ait

A peine avaient-ils mit les pieds au Panama que les problèmes commençaient déjà pour Lincoln et ses compères. Ils ne savaient pas d’où était venue la fuite, quoiqu’ils eussent peut-être une petite idée. Quoi qu’il en soit, cette personne était déjà à ne plus compter parmi les vivants. Lincoln avait eu à peine le temps de raccrocher son téléphone, qu’un homme à la corpulence démesuré, se jeta sur lui. Il n’eu pas le temps de réagir qu’il se retrouva projeté au sol comme un vulgaire sac de pomme de terre. Voyant arriver la menace, Lincoln fit une roulade sur le sol, évitant de peu le coup de pied, du barracuda, qui lui était destiné. Un combat sanglant fut alors le thème de cette dance de coup de point qui viraient dans tous les sens. Après quelques droites et crochets ainsi que des coups de coudes bien logeaient au milieu de la figure, venant décorer leurs visages de ce liquide rouge écarlate mêlait à la sueur, du aux grands mouvements de leurs corps, l’affrontement prit fin. Comme à leur habitude, nos nouveaux alliés, remportèrent haut la main cette altercation qui ne manqua pas de se solder pas quelques blessures pour les uns et la mort certaine pour d’autres.

Sucre et Bellick étaient enfin arrivés à bout, le sourire qui illuminait leurs visages annonçait la trouvaille d’un trésor inestimable, les cinq million de dollars de Westmorland. La seule pensée qui réussit à traverser l’esprit de Sucre était de partir avec le butin, mais comment se disait-il. Le manchot armé et l’autre grassouillet faisaient vraiment tâches sur cette merveilleuse peinture, qu’il avait imaginée. Maricruz leur fils et lui coulant des jours heureux au soleil couchant et puis une autre pensée vint évincer celle-ci, Michael, son ami, avant d’être violemment ramené à la réalité par le pervers à une seule main.

T-bag : Donne-moi le Sac ?
Sucre : Viens le chercher toi-même…
T-bag : Bellick, le sac !

Bellick regarda d’abord Sucre d’un air accusateur qui se transforma aussitôt en un regard apeuré quand il croisa celui de T-bag accentué par ce sourire intéressé, qu’il savait si bien esquisser pour annoncer ses victoires.

Michael s’éloigna de Sara l’air inquiet, il ne comprenait pas la dernière phrase qui s’était échappée de sa bouche. Que voulait-elle dire par la et pourquoi parlait-elle de la compagnie ?

Michael : La compagnie ?
Sara : attends, j’ai froid, je vais m’habiller et je reviens, …
Michael : Ok !

Le comportement calme de Sara, le rassura un peu, il se dit que cela ne devait pas être très important. Après tout, la compagnie ne pouvait plus rien contre lui. Sara était là avec lui et Lincoln à Chicago, quand à LJ, il était en sécurité avec les hommes de mains de son père. Un frisson traversa alors le long de sa colonne vertébrale, LJ était peut-être en danger, se disait-il, Aldo n’était plus la pour veiller sur lui. A peine cette idée traversa son esprit qu’il descendit rejoindre Sara dans la cabine à toute vitesse. Il ne pouvait pas attendre plus longtemps, il devait savoir ce que Sara voulait dire quand elle a employé ce terme. Ce fut sans prévenir qu’il s’invita dans cette petite cabine ou se trouvait Sara presque nue, elle avait retiré son soutien-gorge encore mouillé.

Michael : Pourquoi la compagnie ?
Sara : (gênée) Eh ! Michael…

Gêné à son tour, il porta expressément l’une de ses mains devant ses yeux tout en se retournant. Une certaine chaleur s’empara alors de son corps, mais il avait autre chose en tête et s’il devait passer une nuit d’amour avec elle, il préfèrerait qu’aucunes pensées ne viennent trahir ses envies, leurs envies.
Sara : C’est bon Michael, j’ai terminé.
Michael : Je… je suis désolé.
Sara : Oh ! Ca va, tu m’as juste fait peur…
Michael : Ah ! Et moi qui croyais que c’était parce que tu étais… enfin tu as compris…
Sara : (le coupant) Pratiquement nue, tu veux dire…non tu penses, tu en a déjà profité je crois…
Michael (rougissant) Euh… ben… non, non, ce n’était pas l’intention…je…
Sara : Ah bon ! Dommage pour toi, c’était peut-être ta seule chance…

A cet instant, de grands éclats de rire raisonnèrent dans cette petite cabine. Mais Sara fit taire le sien aussitôt que le visage de Veronica lui apparaissait plus apeuré que jamais.

Michael : Que se passe t-il Sara ?
Sara : (d’abord silencieuse, ne sachant pas comment aborder le sujet) …
Michael : Ils t’ont fait du mal c’est ça ?
Sara : non, enfin pas à moi…
Michael : Oh non, ne me dis pas qu’ils ont LJ…
Sara : Michael, je ne sais pas comment te dire ça, alors je vais être directe…
Michael : Qui est-ce ?
Sara : Veronica Donovan…
Michael : Mais Lincoln m’a dit qu’elle était…
Sara : Elle est vivante Michael, mais…
Michael : Mais quoi ?
Sara : (De nouveau hésitante) …
Michael (De plus en plus inquiet) Mais Quoi, Sara ?
Sara : C’est cette femme je crois, elle a lui fait du mal… Veronica était couverte de blessures, d’hématomes…
Michael : Oh mon Dieu non, quand Lincoln saura…
Sara : Mais ce n’est pas tout Michael… le fait d’avoir réussit à m’échapper à sérieusement amplifié la menace qui pèse contre toi, ils la…
Michael : … Ils la tueront elle, si je ne fais pas ce qu’ils veulent…
Sara : Je suis désolée Michael…

Sara s’approcha de lui, elle sentait son mal être, elle aurait préférée être porteuse d’une meilleure nouvelle. Elle savait aussi que le pire restait à venir, quand viendra le moment de l’annoncer à son frère. Afin qu’il se sente un peu mieux, Sara l’encercla de ses bras pour tenter de le consoler. Mais Michael était dans un état décomposé, Celle qui fut sa meilleure amie, celle qui a toujours était là pour lui, l’âme sœur de son frère souffrait et il ne pouvait s’empêcher de croire que c’était sa faute, il ne parvient même pas à se satisfaire de la savoir en vie, cette nouvelle l’avait anéanti. C’est dans cette position qu’ils restèrent jusqu’à s’être rendu compte qu’ils étaient enfin aux portes du Panama.

Bellick s’avança d’un pas incertain le sac à l’épaule. Une fois devant T-bag, il lui tendit le sac.

Bellick : Maintenant que tu as l’argent, je peux partir…
T-bag : Un gardien de prison c’est tentant… en prison… mais ta gueule ne me revient pas…
Bellick : Ecoute T-bag, j’ai toujours été réglo avec toi… il n’y a jamais eu de tension entre nous, pas vrai ?
Sucre : T’es qu’une lèche botte…
Bellick : Ferme là !
Sucre : Ecoute T-bag, je t’aime bien, mais maintenant que tu as ton fric je me casse…

T-bag interpella Sucre, ce dernier ce retourna et se retrouva face l’arme pointé contre lui. En voyant l’expression du visage de son adversaire, l’inquiétude le gagna, il resta figé sur place…

si je lis bien, je trouve qu'il y en a, du
oui mais c'est la dernière partie avec Sucre
sinon cette suite est aussi géniale que les autres, qu'est ce qui cloche
tu enchaines très bien entre chaque perso (groupe) et tu y décris avec pleins de mots (et synonymes) les choses qui s'y déroulent, alors pourquoi tu la trouve médiocre
sinon moi j'ai bien rigolé quand Michaël débarque et voit Sara a moitié nue et qu'après elle lui dit que c'était peut être sa seule chance d'en profiter, quand elle dormait
Bellick est un vrai lèche botte
maintenant Michaël sait pour Véro
et la bagarre entre Linc et le barracuda


maintenant il est hors de question que j'attende pour la suite ALORS VITE

ravie que ça t'es plus lol

alros je termine le règlement du Wentytaboo sur WF et ensuite je me remets à ma fic.

Islemmedemars a écrit:ravie que ça t'es plus lol

alros je termine le règlement du Wentytaboo sur WF et ensuite je me remets à ma fic.

arrf en ce moment le net me fait chi** tout ce que je fais disparait, lol bon aller je vais ficter.. pour ce soir trés tard ou demain peut-être.

Islemmedemars a écrit:arrf en ce moment le net me fait chi** tout ce que je fais disparait, lol bon aller je vais ficter.. pour ce soir trés tard ou demain peut-être.

j'ai pas les yeux en face des trous, j'ai cru que c'était moi qui te faisait ch***
demain
t'es sure car moi je la veux cette suite

demain je pense, la je viens de me disputer avec ma (conne) de soeur, et j'ai plus envie de taper, j'ai perdu ma concentration..

Islemmedemars a écrit:demain je pense, la je viens de me disputer avec ma (conne) de soeur, et j'ai plus envie de taper, j'ai perdu ma concentration..

c'est triste que tu te sois disputer avec ta soeur mais je te comprends, la mienne est parfois aussi très relou
j'espère que ça va s'arranger et t'inquiètes pas pour la suite

tinkerbel a écrit:

Islemmedemars a écrit:demain je pense, la je viens de me disputer avec ma (conne) de soeur, et j'ai plus envie de taper, j'ai perdu ma concentration..

c'est triste que tu te sois disputer avec ta soeur mais je te comprends, la mienne est parfois aussi très relou
j'espère que ça va s'arranger et t'inquiètes pas pour la suite

elle a essayer de casser l'ordi (tu comprends c'est le mien alors elle s'en tape quoi, donc moi, la je suis super énevée contre elle.

Islemmedemars a écrit:

tinkerbel a écrit:

Islemmedemars a écrit:demain je pense, la je viens de me disputer avec ma (conne) de soeur, et j'ai plus envie de taper, j'ai perdu ma concentration..

c'est triste que tu te sois disputer avec ta soeur mais je te comprends, la mienne est parfois aussi très relou
j'espère que ça va s'arranger et t'inquiètes pas pour la suite

elle a essayer de casser l'ordi (tu comprends c'est le mien alors elle s'en tape quoi, donc moi, la je suis super énevée contre elle.

t'as raison de te fâcher, et puis si elle le casse, elle pourra plus l'utiliser non plus, quelle idée
ne t'en fais pas, je te soutien complètement

merci c'est gentille de ta part, mais jte jure, je suis à bout la, ce n'est pas la 1ere fois et je sais que ça ne sera pas la dernière, j'ai qu'une envie c'est me tirer vite fait et faire ma vie rien à moi..

Islemmedemars a écrit:merci c'est gentille de ta part, mais jte jure, je suis à bout la, ce n'est pas la 1ere fois et je sais que ça ne sera pas la dernière, j'ai qu'une envie c'est me tirer vite fait et faire ma vie rien à moi..

c'est normal après une dispute bah dit toi que bientôt tu l'auras ta vie rien qu'à toi



HELLO
pour éviter de faire un double poste, je m'édite
tout d'abord j'espère que tu vas mieux
et ensuite, comme je suis une harcèleuse je me dois de te demander

LA SUITE OU LES SUITES

:

mais si ça va pas, je comprendrai, je suis très compréhensive mais comme j'ai une réputation à préserver, voilà

voila la suite, bon c'est pas la meilleure, mais il fallait le faire lool.



Sara et Michael arpentaient à présent les rues situées prés du port ou ils venaient d'accosté le bateau qui les avait conduits jusqu’ici. Un passant leur indiqua la direction à prendre, pour se rendre à l’hôtel le plus proche du port, à leur demande. Quelques minutes de marche plus tard, ils entrèrent dans un petit hôtel et montèrent à leur chambre après être passés au point d’accueil pour les formalités.

Sucre sentit à nouveau ce mauvais pressentiment qui l’avait traversé lorsqu’il était tombé nez à nez avec eux, en descendant du bus. Il resta là, immobile, attendant que l’estropié décide enfin de son sort. Cette situation le rendait craintif, il ne savait pas s’il devait mourir faiblement en restant ainsi ou bien tenter un coup d’héroïsme. Non pas qu’il hésitait et puis le choix ne lui était pas vraiment imposait, mais finalement, il se résigna, pensant que dans tout les cas il mourrait quand même, à quoi bon tenter. Ses pensées se dirigèrent alors toutes vers Maricruz et son enfant qu’il ne verrait peut-être jamais.

A peine étaient-ils entrés dans cette pièce exigüe qui allait faire office de chambre, le téléphone de Michael, celui qu’il avait trouvé dans la boite à gant du 4x4, sonna. L’inquiétude le gagna aussitôt. Il sortit l’appareil de sa poche, regarda Sara comme pour trouver en elle le courage qu’il n’avait pas à cet instant, tant ses pensées pour Veronica raisonnaient dans sa tête. Puis il décrocha.

Michael : Allô !
Pedro : Michael Scofield ?
Michael : Oui…
Pedro : Vu l’heure, je suppose que vous êtes arrivé au Panama ?
Michael : J’y suis…
Pedro : Bien, rendez-vous dans une heure au café « portos », je vous aviserez alors de votre mission. Dans la boite se trouve les indications pour vous rendre au lieu dit. Je vous y attends pour 14 heures précise.
Michael : Je serais la…
Pedro : il vaudrait mieux… pour votre amie avocate…
Michael : Je ferais ce que vous attendez de moi, mais après ça, soyez sur que je vous le ferais…

En disant cela, le visage de Michael était crispé par la colère, mais il n’eu pas le temps de finir sa phrase que son interlocuteur raccrocha le combiné. Un sentiment de lassitude s’empara alors de lui, il se laissa tomber sur le lit comme s’il ne pouvait pas tenir debout. Ce n’était pas sa force qu’il l’avait abandonné mais l’idée qu’il ne puisse rien faire pour aider Veronica, à cet instant, le terrassait complètement. Sara s’assit à côté de lui, elle hésita un moment puis le prit dans ses bras.

Sara : Ca va aller Michael… je suis là et je vais t’aider…
Michael : Non Sara…
Sara : Comment ça, non ?
Michael : Je veux que tu rentre aux Etats-Unis…
Sara : Non, non, tu m’as promis Michael… tu…tu n’as pas le droit de me quitter…
Michael : C’est pour ton bien Sara, s’il devait t’arriver quelque chose je ne me le pardonnerais jamais.

Sara qui tenait encore Michael dans ses bras le lâcha expressément et se leva d’un bon pour se mettre face à lui. Il était hors de question pour elle de repartir à Chicago. Elle se dit alors qu’elle devait faire le nécessaire pour le convaincre. Elle ne s’était pas encore remise de sa dernière expérience, son corps et son esprit ne la suivait pas totalement et elle ne voulait pas se disputer avec lui. Mais elle enchaina la conversation.

Sara : Et tu crois que loin de toi je serais en sécurité et puis toi, tu pense vraiment que j’ai envie de te laisser seul…
Michael : Je t’aime Sara et si tu reste là prés de moi, je ne saurais pas agir en conséquence.
Sara : Mais Michael, j’ai vu cette femme, je connais son genre, je pourrais être utile, je t’en prie Michael, je ne veux pas te quitter à nouveau, j’ai peur sans toi…
Michael : …
Sara : Michael ?
Michael : Je vais appeler Lincoln, il veillera sur toi là-bas…

Sara était décidée à faire entendre raison à Michael, elle ne rentrerait pas à Chicago, quoiqu’il puisse en dire. Elle attrapa sa veste, la mit sur son dos et se dirigea vers la porte.

Michael : Qu’est-ce que tu fais Sara ?
Sara : Je m’en vais, si tu n’a pas confiance en moi, je n’ai aucune raison de rester avec toi.

Michael se précipita en direction de la porte, il se mit en travers de son chemin et bloqua le passage refusant de la laisser passer.

Sara : Je ne retournerais pas à Chicago, je lui ai promis que si je m’en sortais vivante je l’aiderai, alors je le ferais.
Michael : Sara c’est trop dangereux…
Sara : Ecoute Michael, j’ai déjà risqué ma vie pour toi plusieurs fois, et je continuerais à le faire jusqu'à ce qu’on soit libre tous les deux…
Michael : …

En lui disant cela, Sara avait son regard plongé dans le sien, une chose à laquelle il lui était impossible de résister. Il passa alors ses mains de part et d’autre de son visage, approcha lentement le sien dans le seul but de gouter à nouveau à ses lèvres qui ne l’appeler qu’à ça. Mais Sara le repoussa aussitôt, elle sentait que ce baiser n’était pas sincère.

Sara : Si tu crois que c’est comme ça que tu vas me persuader… laisse-moi te dire que c’est inutile.
Michael : (continuant ses gestes avec application) …
Sara : (échappant un petit sourire) Arrête Michael…

Michael attrapa la veste de Sara et la jeta au sol, il resserra son étreinte tout en continuant ce baiser qui faisait chavirer Sara de plus en plus. Ils avancèrent lentement vers le lit et s’assirent alors que leur bouche ne faisaient qu’une à présent.

Au moment où il ne s’y attendait pas, surgit Maricruz derrière T-bag, une arme pointé contre sa tête. Sucre n’en croyais pas ses yeux, un sentiment partagé entre la peur de voir sa bien aimé dans cette maudite situation et la fierté de la voir si courageuse le submergea aussitôt. Et tout se passa très vite alors, il s’empressa d’arracher avec virulence le flingue de T-bag le pointant en sa direction, puis fit signe à Maricruz de s’approcher de lui.

Sucre : Prends-lui le sac Bébé.
MC : (s’exécutant) Ok.
T-bag : C’est juste une bataille, rien une bataille…
Sucre : ferme la !
Bellick : Ouais c’est ça ferme la, T-bag.
Sucre : Toi aussi Bellick.
MC : Qu’est ce que tu vas faire de ces deux zigotos ?

Sucre n’était pas un meurtrier, il était donc hors de question qu’il les tue. Mais il ne pouvait pas les laisser errer ainsi. C’est alors qu’il aperçu, une petite cabane non loin de l’endroit ou ils se trouvaient. Il intima l’ordre à Bellick et T-Bag ne se diriger vers la petite cahute. Il les obligea ensuite à entrer dedans, les attacha solidement avec des cordes qui trainaient au sol, contre les barreaux du lit qui se trouvait au font de la pièce. Maricruz et lui partirent tout les deux.

Sucre : Comment tu as su que j'étais la ?
MC : J'ai trouvé des documents dans la chambre d'hôtel ou nous étions et quand j'en ai vu ce contenu, j'ai tout de suite compris que tu avais besoin de moi.
Sucre : Et l'arme, ou l'as tu déniché ?
MC : (étonnée qu'il ne s'en souvienne pas) Ben dans la poche de ta veste que tu as aussi oublié...
Sucre : tu es vraiment fabuleuse, je t'aime, je t'aime, je t'aime...
MC : (riant aux éclats) : Je t'aime aussi. Que fait-on maintenant ?
Sucre : On quitte le pays.
MC : Pour aller ou ?
Sucre : Au Panama.

Maricruz fut surprise de la destination qu’avait choisit Sucre mais par amour pour lui, elle était prête à le suivre partout.

Dans cette pièce exigüe, Veronica était assise dans un coin recroquevillait, elle était seule, mais la peur d’être enfermée ne l’avait toujours pas quitté. Soudain la porte s’ouvrit, son corps sursauta de manière incontrôlée, mais Pedro ne semblait pas venir en ennemi. Il s’approcha d’elle, s’accroupit devant elle. De son index qu’il posa sur son menton, il lui releva la tête, elle leva les yeux et l’affronta de son regard apeuré. Que pouvait-il bien vouloir, habituellement, quand il entrait dans cette pièce, c’était pour lui apporter à boire ou manger, mais la, il avait les mains vide. Il la regardait d’un air supérieur, esquissa un petit sourire mesquin.

Pedro : Je sais que tu as peur, mais tu ne seras plus seule bien longtemps…
Veronica : Que voulez vous dire par la ?
Pedro : Je vois ton ami à 14 h précise, il ne tardera pas à te rejoindre…
Veronica : Je croyais que…
Pedro : chute…

t'as pas pu t'en empêcher

super transition entre chaque groupe
Michaël et Sara qui trouve un hôtel pour se reposer
Sucre qui commence à réfléchir sur son sort et qui est triste sur le fait qui ne connaitra peut etre pas son enfant
Pedro qui appelle Michaël, mais comment il sait que Sara lui a dit pour Véro
Michaël qui ne veut pas que Sara reste avec lui et elle n'est pas d'accord alors il essaye de lui faire changer d'avis en l'embrassant
l'arrivée de Maricruz au bon moment

quand tu as pas réussit à ne pas être tu vas me remettre UNE AUTRE SUITE et puis celle ci était super

bonne question pour Pedro, mais j'ai une réponse lol

Sara n'atant plus leur captive, il ne pouvait pas prendre le risque de dire son nom, alors même si ne sait pas que Sara est avec lui, que Mike n'est peut-être pas au courant, c'est la seule carte qu'il détient. Et si sara, n'était pas arrivé jusqu'a Mike, c'est une carte qu'il aurait tout de meme pu jouer... pusqu'elle est vraiment captive.

jspr que tu comprends, ca n'a pas l'air trés clair lol.

t'as réponse à tout
ok va pour ton explication sinon JE VEUX QUAND MEME LA SUITE

lol j'essaye ce soir ou dans 3 semaines mdrrrrr

Islemmedemars a écrit:lol j'essaye ce soir ou dans 3 semaines mdrrrrr

3 semaines, tu veux ma mort
attention je débarque à Marseille moi

tinkerbel a écrit:

Islemmedemars a écrit:lol j'essaye ce soir ou dans 3 semaines mdrrrrr

3 semaines, tu veux ma mort
attention je débarque à Marseille moi

Je plaisante mais bon comme j'ai dit dans mes créas, l'inspiration m'a encore lâché lol, alors j'ai quelques idées mais rien de contret, en plus cette partie que 'jai posté me gêne un peu pour la scène, mais bon elle suivra quand même.

t'es où ??????????????





je suis impatiente de lire la suite même si il n'y a pas THE scène


ça va au moins

ah oui ca va trés bien mais y'aura the scene, on va dire que malgré la situation, ils n'ont pas pu se retenir lol..

Islemmedemars a écrit:ah oui ca va trés bien mais y'aura the scene, on va dire que malgré la situation, ils n'ont pas pu se retenir lol..

on va mettre ça sur le compte du soleil du Panama
sinon je la lirai demain à moins que tu la postes dans 3 semaines c'est toi qui l'a dit, je fais que répéter