Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
me voici pour la suite
bonne lecture :kis
Chapitre 36.
[Les paroles du corps…]
Peu avant l’aube, Michael contempla sa femme endormit durant quelques secondes avant de se lever avec d’infinies précautions pour ne pas la réveiller.
Sur la pointe des pieds, il gagna la chambre de Chrysie. Elle dormait comme un petit ange, un léger sourire flottait sur ses lèvres. Après l’avoir embrassé tendrement, il alla dans le salon et ouvrit la baie vitrée. L’air frais de la brise matinale le fit frémir il passa son tee-shirt et s’avança sur le balcon.
Accoudé à la balustrade, il se perdit dans ses pensées… rêvant d’une nouvelle vie avec Chrysie et Sara… sans tous ses douloureux souvenirs.
Remuant dans son lit après la recherche de Michael à ses côtés, Sara ouvrit les paupières et constata douloureusement qu’il n’était plus là. Elle se leva et enfila son peignoir avant de sortir de la chambre, inquiète.
Elle le trouva sur le balcon et sourit, soulagée. Elle s’avança vers lui silencieusement et entoura sa taille de ses bras. Le sourire de Michael fut immédiat. Il se tourna vers son épouse pour la serrer dans ses bras amoureusement.
- Michael : Bonjour, mon amour, murmura-t-il avant de déposer un baiser tendre sur son front. Je t’ai réveillé ?
- Sara : C’est le lit froid qui m’a réveillé…
- Michael : Tu devrais te recoucher, ma puce, fit-il en prenant son visage entre ses mains. Tu n’as pas beaucoup dormit.
- Sara : C’est de ta faute, rétorqua-t-elle en nichant son visage dans le creux de son cou et d’y déposer ses lèvres en une pluie de baisers.
- Michael : Sara… murmura-t-il d’une voix rauque.
La jeune femme leva les yeux vers les siens et lui sourit d’un air taquine. Elle fit glisser ses mains le long de son torse et passa un doigt provocant sous l’élastique de son boxer. Il frémit sous cette caresse et plongea son regard brillant de désir dans celui de Sara. Elle sourit encore plus et avec une audace dans le fond des yeux, elle lui prit la main et l’attira à l’intérieur.
Michael referma les portes vitrées et se tourna vers elle avant de se pencher et de la soulever dans ses bras. Sara se mit à rire et passa ses bras autour de son cou avant de continuer les baisers ardents sur sa tempe, sa mâchoire son cou tandis qu’il l’emmenait dans la chambre…
Un long moment après qu’ils avaient partagé une étreinte tout aussi passionné qu’auparavant, Sara ouvrit les paupières et se cala dans les bras de Michael. Le sourire aux lèvres, il resserra ses bras autour de son corps.
- Sara : Hum… tu ne dors pas ? Demanda-t-elle d’une voix endormie.
- Michael : Non, je n’ai pas sommeil.
- Sara : Tu n’es même pas un peu fatigué ? Demanda-t-elle en redressant la tête pour le contempler.
Michael la regarda et lui sourit avant de l’embrasser doucement sur les lèvres.
- Michael : Même pas ! Tu sais qu’il m’en faut encore plus pour que je sois littéralement épuisé, fit-il en la basculant sur le matelas avant de s’allonger sur elle.
Sara pouffa de rire et répondit à son baiser avec tendresse.
- Michael : Je t’aime, mon cœur, murmura-t-il en caressant son visage du bout des doigts.
- Sara : Moi aussi, je t’aime….
- Michael : Tu crois qu’on pourrait s’absenter aujourd’hui ?
- Sara : Tu es fou ? J’ai pas envie que ton frère m’étrangle ! Rétorqua la jeune femme en écarquillant les yeux.
Michael éclata de rire et roula sur le dos, l’emportant dans ses bras.
- Michael : Tu as raison. Et Chrysie nous en voudrez, fit-il dans un murmure.
- Sara : Elle adore allez là-bas… Dis moi ?
- Michael : Hum…
- Sara : Tout c’est bien passé avec Kylian ?
Michael poussa un long soupir et la fixa, le regard attendri. Il se redressa et s’adossa contre son oreiller, attirant Sara contre lui.
- Michael : Oui. C’est un bon gamin et la seule chose que je peux être sur à son propos, c’est qu’il t’aime beaucoup.
- Sara : Je tiens aussi beaucoup à lui, répondit-elle en souriant.
Un silence s’installa entre eux quelques instants, puis, Michael souleva son visage vers le sien et planta à nouveau son regard dans le sien.
- Michael : Si tu savais comme je t’aime, Sara.
- Sara : Je sais… il vaudrait mieux qu’on se lève avant que notre fille se réveille, fit-elle en s’écartant de son étreinte.
Il la regarda sortir du lit et l’admira avec le regard brillant de désir à la vue de son corps nu. Sara passa son peignoir et remarqua qu’il l’observait. Elle s’approcha de lui et sans qu’il puisse entreprendre son geste, il reçu son oreiller sur la tête tandis qu’elle éclatait de rire.
D’abord surpris, il pouffa à son tour et rejeta le drap au bout du lit avant de se lever rapidement tandis que la jeune femme s’enfuyait en courant.
Michael prit tout son temps pour la rejoindre alors qu’il entendit la porte de la salle de bain. Il jeta un coup d’œil à l’heure qu’indiquer l’horloge accroché au mur du couloir et sourit.
Silencieusement, il pénétra dans la pièce et contempla sa femme, les yeux brillants de désir. Jamais il ne cesserait de la désirer, songea-t-il en avançant vers la cabine de douche.
Prenant soin de ne pas faire de bruit en ouvrant les portes, il entra sous le jet d’eau tiède et l’attira contre lui. La jeune femme émit un petit cri de surprise et se retourna vers lui. Ils restèrent un moment silencieux, le regard plongé dans l’un et l’autre, attendant celui qui ferait un geste.
Ils se sourirent au même instant, et, comme si c’était le déclencheur d’un commun accord, leurs lèvres se soudèrent avec passion….
Ce n’est qu’un long moment plus tard, qu’ils sortirent tous les deux de cabine de douche, le souffle encore court. Michael enroula délicatement la jeune femme dans une serviette et l’attira dans ses bras avec tendresse.
- Michael : On va finir par être en retard.
- Sara : On donnera l’excuse que le réveil n’a pas sonné, fit-elle d’un air malicieux en mordillant les lèvres de Michael.
- Michael : Sara…
- Sara : Tais-toi, lui ordonna-t-elle avant de lui donner un long et langoureux baiser.
bonne lecture :kis
Chapitre 36.
[Les paroles du corps…]
Peu avant l’aube, Michael contempla sa femme endormit durant quelques secondes avant de se lever avec d’infinies précautions pour ne pas la réveiller.
Sur la pointe des pieds, il gagna la chambre de Chrysie. Elle dormait comme un petit ange, un léger sourire flottait sur ses lèvres. Après l’avoir embrassé tendrement, il alla dans le salon et ouvrit la baie vitrée. L’air frais de la brise matinale le fit frémir il passa son tee-shirt et s’avança sur le balcon.
Accoudé à la balustrade, il se perdit dans ses pensées… rêvant d’une nouvelle vie avec Chrysie et Sara… sans tous ses douloureux souvenirs.
Remuant dans son lit après la recherche de Michael à ses côtés, Sara ouvrit les paupières et constata douloureusement qu’il n’était plus là. Elle se leva et enfila son peignoir avant de sortir de la chambre, inquiète.
Elle le trouva sur le balcon et sourit, soulagée. Elle s’avança vers lui silencieusement et entoura sa taille de ses bras. Le sourire de Michael fut immédiat. Il se tourna vers son épouse pour la serrer dans ses bras amoureusement.
- Michael : Bonjour, mon amour, murmura-t-il avant de déposer un baiser tendre sur son front. Je t’ai réveillé ?
- Sara : C’est le lit froid qui m’a réveillé…
- Michael : Tu devrais te recoucher, ma puce, fit-il en prenant son visage entre ses mains. Tu n’as pas beaucoup dormit.
- Sara : C’est de ta faute, rétorqua-t-elle en nichant son visage dans le creux de son cou et d’y déposer ses lèvres en une pluie de baisers.
- Michael : Sara… murmura-t-il d’une voix rauque.
La jeune femme leva les yeux vers les siens et lui sourit d’un air taquine. Elle fit glisser ses mains le long de son torse et passa un doigt provocant sous l’élastique de son boxer. Il frémit sous cette caresse et plongea son regard brillant de désir dans celui de Sara. Elle sourit encore plus et avec une audace dans le fond des yeux, elle lui prit la main et l’attira à l’intérieur.
Michael referma les portes vitrées et se tourna vers elle avant de se pencher et de la soulever dans ses bras. Sara se mit à rire et passa ses bras autour de son cou avant de continuer les baisers ardents sur sa tempe, sa mâchoire son cou tandis qu’il l’emmenait dans la chambre…
Un long moment après qu’ils avaient partagé une étreinte tout aussi passionné qu’auparavant, Sara ouvrit les paupières et se cala dans les bras de Michael. Le sourire aux lèvres, il resserra ses bras autour de son corps.
- Sara : Hum… tu ne dors pas ? Demanda-t-elle d’une voix endormie.
- Michael : Non, je n’ai pas sommeil.
- Sara : Tu n’es même pas un peu fatigué ? Demanda-t-elle en redressant la tête pour le contempler.
Michael la regarda et lui sourit avant de l’embrasser doucement sur les lèvres.
- Michael : Même pas ! Tu sais qu’il m’en faut encore plus pour que je sois littéralement épuisé, fit-il en la basculant sur le matelas avant de s’allonger sur elle.
Sara pouffa de rire et répondit à son baiser avec tendresse.
- Michael : Je t’aime, mon cœur, murmura-t-il en caressant son visage du bout des doigts.
- Sara : Moi aussi, je t’aime….
- Michael : Tu crois qu’on pourrait s’absenter aujourd’hui ?
- Sara : Tu es fou ? J’ai pas envie que ton frère m’étrangle ! Rétorqua la jeune femme en écarquillant les yeux.
Michael éclata de rire et roula sur le dos, l’emportant dans ses bras.
- Michael : Tu as raison. Et Chrysie nous en voudrez, fit-il dans un murmure.
- Sara : Elle adore allez là-bas… Dis moi ?
- Michael : Hum…
- Sara : Tout c’est bien passé avec Kylian ?
Michael poussa un long soupir et la fixa, le regard attendri. Il se redressa et s’adossa contre son oreiller, attirant Sara contre lui.
- Michael : Oui. C’est un bon gamin et la seule chose que je peux être sur à son propos, c’est qu’il t’aime beaucoup.
- Sara : Je tiens aussi beaucoup à lui, répondit-elle en souriant.
Un silence s’installa entre eux quelques instants, puis, Michael souleva son visage vers le sien et planta à nouveau son regard dans le sien.
- Michael : Si tu savais comme je t’aime, Sara.
- Sara : Je sais… il vaudrait mieux qu’on se lève avant que notre fille se réveille, fit-elle en s’écartant de son étreinte.
Il la regarda sortir du lit et l’admira avec le regard brillant de désir à la vue de son corps nu. Sara passa son peignoir et remarqua qu’il l’observait. Elle s’approcha de lui et sans qu’il puisse entreprendre son geste, il reçu son oreiller sur la tête tandis qu’elle éclatait de rire.
D’abord surpris, il pouffa à son tour et rejeta le drap au bout du lit avant de se lever rapidement tandis que la jeune femme s’enfuyait en courant.
Michael prit tout son temps pour la rejoindre alors qu’il entendit la porte de la salle de bain. Il jeta un coup d’œil à l’heure qu’indiquer l’horloge accroché au mur du couloir et sourit.
Silencieusement, il pénétra dans la pièce et contempla sa femme, les yeux brillants de désir. Jamais il ne cesserait de la désirer, songea-t-il en avançant vers la cabine de douche.
Prenant soin de ne pas faire de bruit en ouvrant les portes, il entra sous le jet d’eau tiède et l’attira contre lui. La jeune femme émit un petit cri de surprise et se retourna vers lui. Ils restèrent un moment silencieux, le regard plongé dans l’un et l’autre, attendant celui qui ferait un geste.
Ils se sourirent au même instant, et, comme si c’était le déclencheur d’un commun accord, leurs lèvres se soudèrent avec passion….
Ce n’est qu’un long moment plus tard, qu’ils sortirent tous les deux de cabine de douche, le souffle encore court. Michael enroula délicatement la jeune femme dans une serviette et l’attira dans ses bras avec tendresse.
- Michael : On va finir par être en retard.
- Sara : On donnera l’excuse que le réveil n’a pas sonné, fit-elle d’un air malicieux en mordillant les lèvres de Michael.
- Michael : Sara…
- Sara : Tais-toi, lui ordonna-t-elle avant de lui donner un long et langoureux baiser.
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
je suis complètement en surchauffe là
mon congélo est appelé d'urgence
la suite
gros
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Mdr
Vouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus êtes fatigués !
Oooooooooooooooon est pas fatiguéés mdr
Du Misa en forme olympique
Parfait lol
La suite please lol
Vouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus êtes fatigués !
Oooooooooooooooon est pas fatiguéés mdr
Du Misa en forme olympique
Parfait lol
La suite please lol
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Kikou
voilà la suite^^
bonne lecture :kis
Chapitre 37.
[Le lendemain…]
Le centre de l’espérance était déjà dans une ambiance bon enfant à l’odeur du feu de bois que Lincoln commençait à mettre en route quand la famille Scofield arriva. Plusieurs invités étaient déjà présents et Michael lança un sourire vers Sara en apercevant qu’ils étaient attendus.
Fernando et Kylian s’approchèrent du véhicule, les accueillant chaleureusement. Sara sortit Chrysie qui embrassa aussitôt son oncle.
- Fernando : Hey ma princesse !
- Chrysie : Y’a plein de monde, s’exclama la fillette en regardant vers les jardins.
- Fernando : Hé oui, ma puce ! Ça fait plus d’une heure qu’on vous attend, rétorqua-t-il en lançant un regard attendrissant vers le couple qui s’enlacer amoureusement
- Sara : Heu…, bredouilla la jeune femme en regardant Michael qui souriait.
- Michael : On va aller voir Lincoln.
Fernando sourit tandis que Kylian embrassa amicalement Sara sur la joue avant de serrer la main de Michael.
- Michael : Comment tu vas ce matin, Kylian ?
- Kylian : Ça va, répondit-il en souriant. Heu, Sara ? Je peux te parler deux minutes ?
La jeune femme adressa un regard vers son mari qui lui sourit amoureusement
- Michael : Allons voir ton oncle, ma chérie, fit-il en prenant la main de Chrysie dans la sienne.
Sara le remercia du regard et attendit qu’elle fut seule avec Kylian pour se tourner vers lui.
- Kylian : Je voulais m’excuser, Sara…pour hier.
- Sara : Tu n’as pas à t’excuser, Kylian.
- Kylian : Si… je n’aurais pas dû te parler comme je l’ai fais de Michael. Il a vraiment l’air de t’aimer plus que tout, et si tu es heureuse avec lui, ben je suis content pour toi, et pour Chrysie et lui.
Émue, Sara passa ses bras autour de son cou et le serra contre elle.
- Sara : Merci, mon chéri. tu sais, Michael t’apprécie beaucoup.
- Kylian : C’est vrai ?
La jeune femme hocha la tête en signe d’acquiescement.
- Kylian : Il est gentil aussi….
- Sara : Allez, viens on va les rejoindre.
- Kylian : D’accord.
Ils partirent en direction des jardins tout en discutant joyeusement quand soudain, l’adolescent s’arrêta et fixa Sara.
- Sara : Qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle, inquiète.
- Kylian : J’ai oublié de te prévenir… Jensen est ici.
- Sara : Ce n’est rien, répondit-elle alors qu’elle pestait intérieurement, craignant une autre scène avec Michael.
Michael aperçut le malaise de la jeune femme et alla la rejoindre, abandonnant son frère qui soupira devant le barbecue.
- Michael : Ça va, ma puce ? Demanda-t-il en passant un bras autour de sa taille.
- Sara : Heu.. oui et toi ?
- Michael : Ne t’en fais pas, fit-il en lui souriant.
La jeune femme planta son regard dans le sien et sourit, comprenant l’allusion dont il voulait parler. Kylian les quitta en souriant et alla retrouver Chrysie et Lj qui regarder les chevaux ensemble.
- Lincoln : Michael !
- Sara : On dirait que ton frère a besoin de toi, fit-elle d’une voix moqueuse en remarquant la moue réprobatrice qu’il avait sur le coin des lèvres.
- Michael : J’aurais jamais cru qu’il y aurait autant de monde, rétorqua-t-il en serrant Sara contre lui.
- Sara : Hum… on pourra peut-être prendre un moment pour s’éclipser tous les deux, murmura-t-elle dans le creux de son oreille, d’une voix malicieuse.
- Michael : Sara, murmura-t-il d’une voix rauque. Dites-moi un peu, Madame Scofield ? Je peux savoir ce que vous avez en tête ? Demanda-t-il en lui souriant, le regard brillant.
Sara sourit et passa ses bras autour de son cou. D’abord surpris par ce geste alors que beaucoup de monde les regarder, il l’attira un peu plus contre son corps, déjà brûlant.
- Sara : Tu veux que je te donne une petite idée ?
Taquine, elle se leva sur les pointes des pieds et posa ses lèvres contre les siennes. Ce baiser fut doux, tendre mais jusqu’à ce qu’elle brise la barrière de ses lèvres avec sa langue. Aussitôt, son baiser s’intensifia.
Passionnément et avec fougue, ils s’embrassèrent ardemment pendant de longues minutes, faisant abstractions aux murmures des personnes présentes autour d’eux, aux sourires tendres et amicaux posés sur eux.
Le souffle court et la respiration haletante, Sara mit au baiser enivrant qu’elle venait de lui donner et s’écarta de Michael qui déglutit péniblement de peur que l’on aperçoive le désir qui le brûler intérieurement.
- Michael : Sara…, souffla-t-il dans un gémissement de protestation.
- Sara : Tu vois peut-être mieux ce que j’ai en tête, mon amour, fit-elle en souriant, ravi de l’éclat étincelant qui faisait briller ses pupilles.
- Lincoln : Hey ! Les amoureux ! S’exclama Lincoln en éclatant de rire.
- Sara : Je crois que tu ferais mieux d’aller l’aider à faire griller les merguez mon chéri.
Michael pouffa de rire et l’embrassa d’un léger baiser sur les lèvres avant de rejoindre son frère. La jeune femme le suivit du regard et se perdit un court instant dans ses pensées…
voilà la suite^^
bonne lecture :kis
Chapitre 37.
[Le lendemain…]
Le centre de l’espérance était déjà dans une ambiance bon enfant à l’odeur du feu de bois que Lincoln commençait à mettre en route quand la famille Scofield arriva. Plusieurs invités étaient déjà présents et Michael lança un sourire vers Sara en apercevant qu’ils étaient attendus.
Fernando et Kylian s’approchèrent du véhicule, les accueillant chaleureusement. Sara sortit Chrysie qui embrassa aussitôt son oncle.
- Fernando : Hey ma princesse !
- Chrysie : Y’a plein de monde, s’exclama la fillette en regardant vers les jardins.
- Fernando : Hé oui, ma puce ! Ça fait plus d’une heure qu’on vous attend, rétorqua-t-il en lançant un regard attendrissant vers le couple qui s’enlacer amoureusement
- Sara : Heu…, bredouilla la jeune femme en regardant Michael qui souriait.
- Michael : On va aller voir Lincoln.
Fernando sourit tandis que Kylian embrassa amicalement Sara sur la joue avant de serrer la main de Michael.
- Michael : Comment tu vas ce matin, Kylian ?
- Kylian : Ça va, répondit-il en souriant. Heu, Sara ? Je peux te parler deux minutes ?
La jeune femme adressa un regard vers son mari qui lui sourit amoureusement
- Michael : Allons voir ton oncle, ma chérie, fit-il en prenant la main de Chrysie dans la sienne.
Sara le remercia du regard et attendit qu’elle fut seule avec Kylian pour se tourner vers lui.
- Kylian : Je voulais m’excuser, Sara…pour hier.
- Sara : Tu n’as pas à t’excuser, Kylian.
- Kylian : Si… je n’aurais pas dû te parler comme je l’ai fais de Michael. Il a vraiment l’air de t’aimer plus que tout, et si tu es heureuse avec lui, ben je suis content pour toi, et pour Chrysie et lui.
Émue, Sara passa ses bras autour de son cou et le serra contre elle.
- Sara : Merci, mon chéri. tu sais, Michael t’apprécie beaucoup.
- Kylian : C’est vrai ?
La jeune femme hocha la tête en signe d’acquiescement.
- Kylian : Il est gentil aussi….
- Sara : Allez, viens on va les rejoindre.
- Kylian : D’accord.
Ils partirent en direction des jardins tout en discutant joyeusement quand soudain, l’adolescent s’arrêta et fixa Sara.
- Sara : Qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle, inquiète.
- Kylian : J’ai oublié de te prévenir… Jensen est ici.
- Sara : Ce n’est rien, répondit-elle alors qu’elle pestait intérieurement, craignant une autre scène avec Michael.
Michael aperçut le malaise de la jeune femme et alla la rejoindre, abandonnant son frère qui soupira devant le barbecue.
- Michael : Ça va, ma puce ? Demanda-t-il en passant un bras autour de sa taille.
- Sara : Heu.. oui et toi ?
- Michael : Ne t’en fais pas, fit-il en lui souriant.
La jeune femme planta son regard dans le sien et sourit, comprenant l’allusion dont il voulait parler. Kylian les quitta en souriant et alla retrouver Chrysie et Lj qui regarder les chevaux ensemble.
- Lincoln : Michael !
- Sara : On dirait que ton frère a besoin de toi, fit-elle d’une voix moqueuse en remarquant la moue réprobatrice qu’il avait sur le coin des lèvres.
- Michael : J’aurais jamais cru qu’il y aurait autant de monde, rétorqua-t-il en serrant Sara contre lui.
- Sara : Hum… on pourra peut-être prendre un moment pour s’éclipser tous les deux, murmura-t-elle dans le creux de son oreille, d’une voix malicieuse.
- Michael : Sara, murmura-t-il d’une voix rauque. Dites-moi un peu, Madame Scofield ? Je peux savoir ce que vous avez en tête ? Demanda-t-il en lui souriant, le regard brillant.
Sara sourit et passa ses bras autour de son cou. D’abord surpris par ce geste alors que beaucoup de monde les regarder, il l’attira un peu plus contre son corps, déjà brûlant.
- Sara : Tu veux que je te donne une petite idée ?
Taquine, elle se leva sur les pointes des pieds et posa ses lèvres contre les siennes. Ce baiser fut doux, tendre mais jusqu’à ce qu’elle brise la barrière de ses lèvres avec sa langue. Aussitôt, son baiser s’intensifia.
Passionnément et avec fougue, ils s’embrassèrent ardemment pendant de longues minutes, faisant abstractions aux murmures des personnes présentes autour d’eux, aux sourires tendres et amicaux posés sur eux.
Le souffle court et la respiration haletante, Sara mit au baiser enivrant qu’elle venait de lui donner et s’écarta de Michael qui déglutit péniblement de peur que l’on aperçoive le désir qui le brûler intérieurement.
- Michael : Sara…, souffla-t-il dans un gémissement de protestation.
- Sara : Tu vois peut-être mieux ce que j’ai en tête, mon amour, fit-elle en souriant, ravi de l’éclat étincelant qui faisait briller ses pupilles.
- Lincoln : Hey ! Les amoureux ! S’exclama Lincoln en éclatant de rire.
- Sara : Je crois que tu ferais mieux d’aller l’aider à faire griller les merguez mon chéri.
Michael pouffa de rire et l’embrassa d’un léger baiser sur les lèvres avant de rejoindre son frère. La jeune femme le suivit du regard et se perdit un court instant dans ses pensées…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
ils ont trouvé le moyen d'arriver en retard et moi qui pensait qu'ils allaient mettre ça sur le dos de Chrysie
ensuite un avant goût de ce qu'elle désire j'espère qu'ils vont aller finir leur "conversation" dans les écuries allongés dans le foin (bah quoi, non je ne suis pas une obsédée )
Jensen qui a osé se pointer au barbecue, je doute que sa conversation avec Michael lui ait fait comprendre que sa présence est indésirable
maintenant les suites et très vite
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
ça risque d'être chaud la prochaine suite lol entre Jensen qui est là et puis Sarah qui "as des choses en tête" mdr
Du coup ben il nous faut cette suite mdr
Du coup ben il nous faut cette suite mdr
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci beaucoup les filles
voici la suite :kis :kis
Chapitre 38.
[Doutes…]
Malgré les doutes, les questions qu’elle ressentait toujours en elle, Sara avait trouvé le moyen de les effacer de son esprit dans les bras de Michael. Bien sur, elle l’aimait et le désirer toujours autant, si ce n’est plus, songea-t-elle intérieurement, mais la peur de le perdre à nouveau était toujours omniprésente….
Mais la jeune femme en avait assez. Depuis le retour de Michael, elle avait réussit à ranimer la flamme en elle qui s’était éteinte lorsqu’elle le croyait mort. Elle avait si peur de se retrouver confronter encore une fois à la douleur qu’elle voulait profiter de chaque instant avec lui, qui lui était donné.
Écoutez son cœur ou la raison ? C’était la question qu’elle se posait lorsque Katie interrompit ses pensées par son arrivée. Les deux jeunes femmes s’étreignirent chaleureusement puis Katie lui demanda son aide afin de refournir les tables en boisons.
Une fois à l’intérieur du bâtiment, Katie regarda son amie et sourit.
- Katie : Hum… je ne sais pas mais mon petit doigt me dit que tu as passé une nuit…
- Sara : Katie ! Protesta la jeune femme, les joues rosies par le souvenir de leurs étreintes passionnées.
- Katie : Quoi ? J’ai tord peut-être ? Demanda-t-elle d’un air farouche.
- Sara : Tu ne seras rien du tout, rétorqua-t-elle en secouant la tête en pouffant de rire.
Katie haussa les épaules, l’air vexée et ouvrit la porte de la pièce où Lincoln avait disposé toutes les boisons.
- Katie : Et Chrysie ? Comment prend-t-elle la situation ?
Sara poussa un long soupir et s’installa sur une caisse de bouteille de bière.
- Sara : Elle adore Michael. Elle lui a demandé de rester vivre avec nous…
- Katie : Et toi, Sara ? Demanda-t-elle, les sourcils froncés, constatant le trouble de son amie qu’elle tentait de lui cacher.
- Sara : Quoi ?… fit-elle avant de soupirer longuement. Je l’aime, Katie…. Mais je n’arrive pas à accepter tout ce qu’il s’est passé. J’ai l’impression que le destin, le mien n’est fait que d’échec en permanence et que je n’ai pas droit au bonheur…
- Katie : Sara… il faudra du temps, c’est normal. Vous vous aimez tous les deux et tu devrais faire confiance en l’avenir à présent. Te faire confiance, Sara !
- Sara : Comme il y a quatre ans ? Demanda-t-elle d’une voix brisée. Nous étions heureux, nous allions avoir un bébé… pourquoi ça nous est tombé dessus ainsi ? On pensait tous que c’était terminé !, fit-elle les larmes aux yeux.
- Katie : Sara… ma chérie, lança-t-elle dans un murmure en la prenant dans ses bras. Tu verras, tout ira bien, maintenant.
- Sara : Je ne pourrais pas supporter qu’il sorte encore de ma vie… à Chrysie et moi, Katie. Je l’aime tellement que je m’en veux ! Je voudrais pouvoir le haïr aussi fort que j’ai souffert ! J’aimerais pouvoir le repousser, mais je n’y arrive pas…
Sara se frotta le visage, balayant les larmes chaudes qui rouler sur ses joues. Son amie la fixait avec un regard brillant de compassion et alla la serrer un bref instant dans ses bras.
- Katie : Je sais, ma belle… je sais mais vous êtes fait l’un pour l’autre tous les deux…. Tu te souviens, la première fois qu’il t’attendait à l’infirmerie ? Pour lui faire sa première injection d’insuline ?
- Sara : Bien sur que je m’en souviens, répondit-elle, émue.
- Katie : Quand tu es sortit de la salle d’examen, tu étais différente….
- Sara : Katie ! Protesta Sara en souriant.
- Katie : Tu avais cette étincelle au fond de tes yeux, celle que tu viens de retrouver.
Sara ne répondit pas, incapable de prononcer un mot, elle la fixa pendant un instant avant de se mettre à sourire.
- Katie : Vous avez eu le coup de foutre tous les deux.
- Sara : Oui, répondit la jeune femme en hochant la tête.
- Katie : Soit confiante Sara ! Tu as subi beaucoup d’épreuve difficile depuis ton plus jeune âge, et tu en es toujours sortie gagnante.
- Sara : Oui, mais à quel prix ?
- Katie : Je sais. Mais il arrivera à recoller les morceaux de ton cœur, ma belle. Lui seul y arrivera alors ait confiance en toi avant de lui accorder à nouveau ta confiance. Tu as droit au bonheur, Sara Tancredi Scofield, alors, profite de la vie….
La jeune femme parut réfléchir quelques instants puis se leva devant son amie. Elle sourit légèrement puis l’embrassa.
- Sara : Merci pour tout, Katie. Tu es comme une mère, tu sais…
- Katie : Elle serait fière de toi, Sara…, murmura-t-elle, les larmes aux yeux en remarquant l’expression du visage de son amie.
- Sara : Merci, fit-elle dans un souffle avant de s’écarter de Katie, troublée.
- Katie : Ok ! On devrait y aller maintenant, fit-elle d’une voix joyeuse, en prenant une caisse de soda dans les bras. Dis moi ? Je peux te poser encore une question ?
- Sara : Je t’écoute ? Répondit la jeune femme en riant.
- Katie : Il est toujours aussi bon…
- Sara : Katie :! Tu n’as vraiment pas honte de me demander ça ? Demanda la jeune femme en s’exclamant, les yeux écarquillés.
- Katie : Ben… non, répondit-elle en haussant les épaules.
Sara éclata de rire et s’avança vers la porte. Elle se retourna un vif instant vers Katie, après une seconde d’hésitation et lui sourit, l’air complice.
- Sara : Encore meilleur, murmura-t-elle, les yeux pétillant de malice en sortant de la pièce afin d‘esquiver toutes les questions que Katie pouvait lui demander sur les détails croustillants de leurs ébats….
voici la suite :kis :kis
Chapitre 38.
[Doutes…]
Malgré les doutes, les questions qu’elle ressentait toujours en elle, Sara avait trouvé le moyen de les effacer de son esprit dans les bras de Michael. Bien sur, elle l’aimait et le désirer toujours autant, si ce n’est plus, songea-t-elle intérieurement, mais la peur de le perdre à nouveau était toujours omniprésente….
Mais la jeune femme en avait assez. Depuis le retour de Michael, elle avait réussit à ranimer la flamme en elle qui s’était éteinte lorsqu’elle le croyait mort. Elle avait si peur de se retrouver confronter encore une fois à la douleur qu’elle voulait profiter de chaque instant avec lui, qui lui était donné.
Écoutez son cœur ou la raison ? C’était la question qu’elle se posait lorsque Katie interrompit ses pensées par son arrivée. Les deux jeunes femmes s’étreignirent chaleureusement puis Katie lui demanda son aide afin de refournir les tables en boisons.
Une fois à l’intérieur du bâtiment, Katie regarda son amie et sourit.
- Katie : Hum… je ne sais pas mais mon petit doigt me dit que tu as passé une nuit…
- Sara : Katie ! Protesta la jeune femme, les joues rosies par le souvenir de leurs étreintes passionnées.
- Katie : Quoi ? J’ai tord peut-être ? Demanda-t-elle d’un air farouche.
- Sara : Tu ne seras rien du tout, rétorqua-t-elle en secouant la tête en pouffant de rire.
Katie haussa les épaules, l’air vexée et ouvrit la porte de la pièce où Lincoln avait disposé toutes les boisons.
- Katie : Et Chrysie ? Comment prend-t-elle la situation ?
Sara poussa un long soupir et s’installa sur une caisse de bouteille de bière.
- Sara : Elle adore Michael. Elle lui a demandé de rester vivre avec nous…
- Katie : Et toi, Sara ? Demanda-t-elle, les sourcils froncés, constatant le trouble de son amie qu’elle tentait de lui cacher.
- Sara : Quoi ?… fit-elle avant de soupirer longuement. Je l’aime, Katie…. Mais je n’arrive pas à accepter tout ce qu’il s’est passé. J’ai l’impression que le destin, le mien n’est fait que d’échec en permanence et que je n’ai pas droit au bonheur…
- Katie : Sara… il faudra du temps, c’est normal. Vous vous aimez tous les deux et tu devrais faire confiance en l’avenir à présent. Te faire confiance, Sara !
- Sara : Comme il y a quatre ans ? Demanda-t-elle d’une voix brisée. Nous étions heureux, nous allions avoir un bébé… pourquoi ça nous est tombé dessus ainsi ? On pensait tous que c’était terminé !, fit-elle les larmes aux yeux.
- Katie : Sara… ma chérie, lança-t-elle dans un murmure en la prenant dans ses bras. Tu verras, tout ira bien, maintenant.
- Sara : Je ne pourrais pas supporter qu’il sorte encore de ma vie… à Chrysie et moi, Katie. Je l’aime tellement que je m’en veux ! Je voudrais pouvoir le haïr aussi fort que j’ai souffert ! J’aimerais pouvoir le repousser, mais je n’y arrive pas…
Sara se frotta le visage, balayant les larmes chaudes qui rouler sur ses joues. Son amie la fixait avec un regard brillant de compassion et alla la serrer un bref instant dans ses bras.
- Katie : Je sais, ma belle… je sais mais vous êtes fait l’un pour l’autre tous les deux…. Tu te souviens, la première fois qu’il t’attendait à l’infirmerie ? Pour lui faire sa première injection d’insuline ?
- Sara : Bien sur que je m’en souviens, répondit-elle, émue.
- Katie : Quand tu es sortit de la salle d’examen, tu étais différente….
- Sara : Katie ! Protesta Sara en souriant.
- Katie : Tu avais cette étincelle au fond de tes yeux, celle que tu viens de retrouver.
Sara ne répondit pas, incapable de prononcer un mot, elle la fixa pendant un instant avant de se mettre à sourire.
- Katie : Vous avez eu le coup de foutre tous les deux.
- Sara : Oui, répondit la jeune femme en hochant la tête.
- Katie : Soit confiante Sara ! Tu as subi beaucoup d’épreuve difficile depuis ton plus jeune âge, et tu en es toujours sortie gagnante.
- Sara : Oui, mais à quel prix ?
- Katie : Je sais. Mais il arrivera à recoller les morceaux de ton cœur, ma belle. Lui seul y arrivera alors ait confiance en toi avant de lui accorder à nouveau ta confiance. Tu as droit au bonheur, Sara Tancredi Scofield, alors, profite de la vie….
La jeune femme parut réfléchir quelques instants puis se leva devant son amie. Elle sourit légèrement puis l’embrassa.
- Sara : Merci pour tout, Katie. Tu es comme une mère, tu sais…
- Katie : Elle serait fière de toi, Sara…, murmura-t-elle, les larmes aux yeux en remarquant l’expression du visage de son amie.
- Sara : Merci, fit-elle dans un souffle avant de s’écarter de Katie, troublée.
- Katie : Ok ! On devrait y aller maintenant, fit-elle d’une voix joyeuse, en prenant une caisse de soda dans les bras. Dis moi ? Je peux te poser encore une question ?
- Sara : Je t’écoute ? Répondit la jeune femme en riant.
- Katie : Il est toujours aussi bon…
- Sara : Katie :! Tu n’as vraiment pas honte de me demander ça ? Demanda la jeune femme en s’exclamant, les yeux écarquillés.
- Katie : Ben… non, répondit-elle en haussant les épaules.
Sara éclata de rire et s’avança vers la porte. Elle se retourna un vif instant vers Katie, après une seconde d’hésitation et lui sourit, l’air complice.
- Sara : Encore meilleur, murmura-t-elle, les yeux pétillant de malice en sortant de la pièce afin d‘esquiver toutes les questions que Katie pouvait lui demander sur les détails croustillants de leurs ébats….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
La conversation...heureusemment que Katie est là
J'adore la fin lol terrible... lol
La suiiiiiite !!! mdr
J'adore la fin lol terrible... lol
La suiiiiiite !!! mdr
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Katie est géniale, elle remonte bien le moral de son amie
c'est normal que malgré que ça aille mieux entre eux, Sara éprouve encore des doutes, tout ne peux pas disparaitre comme ça, 4 longues années se sont écoulées, des années chargées en souffrance
Katie qui demande quand même quelques détails
alors pa d'écurie
la suite
gros
c'est normal que malgré que ça aille mieux entre eux, Sara éprouve encore des doutes, tout ne peux pas disparaitre comme ça, 4 longues années se sont écoulées, des années chargées en souffrance
Katie qui demande quand même quelques détails
alors pa d'écurie
la suite
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
coucou les miss
me voici pour la suite
bonne lecture à toutes :kis :kis
Chapitre 39.
[Air innocent…]
Pendant plus d’une heure, Michael discuta avec Lincoln, tout en surveillant la cuisson des grillades. Tous le monde s’amusait bien, les rires fusèrent autour de lui et pour la première fois depuis des années, Michael appréciait le contact des gens autour de lui.
Sara elle, était avec Valéria et Mari Cruz en train de discuter paisiblement près de l’enclos des chevaux. Le Père David arriva près d’elles avec un grand sourire aux lèvres.
- Valéria : Vous avez abandonné les hommes ? Demanda-t-elle d’un ton amusé.
- Père David : Il fait une chaleur insoutenable près du barbecue. Et les gamins commencent à faire des remarques à Lincoln et Michael.
- Sara : Comment ça ? Demanda la jeune femme, les sourcils froncés, l’air inquiète.
- Père David : Les saucisses ne sont pas assez cuites ou alors elles le sont trop. Vous voyez ce que je veux dire ?
Les trois jeunes femmes éclatèrent de rire joyeusement.
- Valéria : Dans ce cas, je pense qu’il vaudrait mieux aller les retrouver, fit-elle en souriant, connaissant trop bien l’impulsivité de Lincoln si les adolescents ne s’arrêtaient pas.
Le Père David acquiesça d’un hochement de tête et ils se dirigèrent tous vers les tables, à l’exception de Sara.
Pensive, elle se perdit dans la contemplation des pâtures où les chevaux broutaient tranquillement sous le soleil étincelant. Elle resta ainsi quelques minutes puis, entendant du bruit derrière elle, la jeune femme ferma les yeux et soupira faiblement.
- Jensen : Salut, Sara.
Elle ouvrit les paupières vivement et se tourna vers son collègue. Il s’approcha d’elle, enfonçant nerveusement les mains dans ses poches. Sara observa un bref instant son œil tuméfié et le pansement qu’il avait sur l’arrête du nez.
- Sara : Salut, Jensen… fit-elle en levant une main près de son visage. Je suis…
- Jensen : Tout vas bien, ne t’en fais pas.
- Sara : Je suis désolée.
- Jensen : Tout c’est arrangé. Je me suis excusé de mon comportement auprès de Michael.
La jeune femme fit de gros yeux ronds tandis qu’il éclata de rire.
- Sara : Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Jensen : Rien, il a seulement hocher la tête. J’imagine qu’on ne deviendra pas amis mais c’est un début, non ?
Sara se mit à rire et secoua la tête.
- Jensen : Il y a une bonne ambiance, ici, fit-il pour briser le silence qui s’était installé entre eux.
- Sara : Oui. Comment vas Jason ? Tu as eut des nouvelles ?
- Jensen : Il va parfaitement bien. Tout se déroule pour le mieux. Ses parents restent auprès de lui, ne t’en fait pas, fit-il d’une voix rassurante.
- Sara : Je passerais le voir très bientôt. Heu… j’ai cru comprendre que les ados se chamaillent avec Linc et…
- Jensen : Oui, mais Kylian les défend ! Ce qui fait qu’il est mit une fois de plus à l’écart du groupe.
- Sara : C’est pas vrai ! Il ne fait vraiment pas d’effort avec eux ! Fit-elle dans un souffle. Je vais les rejoindre.
- Jensen : D’accord, répondit-il avant de perdre son regard au loin.
La jeune femme s’éloigna puis s’arrêta soudainement avant de se retourner vers lui.
- Sara : Tu comptes rester tout seul dans ton coin ? Lui demanda-t-elle en souriant.
- Jensen : Non.
Le jeune homme sourit de soulagement et la rejoignit en quelques pas avant de retrouver tous les autres dans la cour.
Arrivés près d’eux, Sara observa Michael, les yeux brillants d’émotion. Il avait Chrysie dans les bras et parler avec des invités ainsi que le Père David. Un peu plus loin, Kylian riait joyeusement en discutant avec Lincoln et Valéria, enlacés amoureusement.
A son approche, Michael déposa Chrysie sur le sol et murmura quelques mots à l’oreille de Kylian qui lui répondit d’un immense sourire. Puis, il alla enlacé son épouse qui se tenait à présent près de Fernando et Mari Cruz.
- Michael : Alors ma puce ? C’est quand que tu comptes m’enlever ? Demanda-t-il en murmurant dans le creux de son oreille.
- Sara : Hum… quand tu veux mon cœur, répondit la jeune femme en se blottissant contre lui.
- Michael : Tu es fatiguée ? Lui demanda-t-il, soucieux du timbre de sa voix.
- Sara : Je suis épuisée, répondit-elle, étouffant un bâillement contre le tissu de la chemise de Michael qui se mit à rire.
- Michael : Dans ce cas, c’est moi qui va devoir t’enlever d’ici, rétorqua-t-il d’une voix malicieuse.
Elle s’écarta de son étreinte et planta son regard dans le sien. Lentement, il effleura sa joue du bout des doigts, électrisant sa peau au passage et remit une mèche derrière son oreille. A cet instant, Chrysie arriva près d’eux et leur réclama leur attention.
- Chrysie : Papa, maman ? Est-ce que je peux manger avec Lj et oncle Lincoln ?
- Michael : Bien sur ma puce, répondit Michael en lui faisant un clin d’œil complice.
- Sara : Tu ne vas manger avec nous ?
- Chrysie : Non, Kylian m’a dit qu’on devait vous laissez manger en amoureux, fit-elle d’une voix parfaitement claire.
- Sara : Ha bon…, murmura-t-elle en lançant un regard soupçonneux vers Michael qui lui donna un sourire charmeur. D’accord, mais tu es bien sage, d’accord ?
- Chrysie : Oui maman. Accepta la fillette avant de s’enfuir joyeusement vers Valéria et Lincoln qui se souriaient.
Quelques minutes plus tard, Michael prit la main de Sara dans la sienne et se postèrent devant Lincoln.
- Michael : Linc ? Ça t’ennuie pas si Sara et moi on s’évadent une heure ou deux ?
- Sara : Michael ! Protesta la jeune femme.
- Lincoln : Mais non pas du tout, et tu m’as l’air épuisée, Sara ! Fit-il en la regardant.
- Michael : Merci, Linc.
- Sara : Et Chrysie ?
- Valéria : On s’en occupe, ne t’inquiète pas. Allez-y ! tenez, je vais vous préparer un petit quelques choses à manger. Je reviens.
Cinq minutes plus tard, Valéria tendit un sac remplit de nourriture à Michael qui la remercia d’un sourire.
- Sara : Où est-ce que tu m’emmènes, Scofield ? Demanda la jeune femme alors qu’il fit démarrer son 4x4.
- Michael : C’est une surprise, ma puce, fit-il en prenant sa main dans la sienne, sortant du centre de l’espéra…
me voici pour la suite
bonne lecture à toutes :kis :kis
Chapitre 39.
[Air innocent…]
Pendant plus d’une heure, Michael discuta avec Lincoln, tout en surveillant la cuisson des grillades. Tous le monde s’amusait bien, les rires fusèrent autour de lui et pour la première fois depuis des années, Michael appréciait le contact des gens autour de lui.
Sara elle, était avec Valéria et Mari Cruz en train de discuter paisiblement près de l’enclos des chevaux. Le Père David arriva près d’elles avec un grand sourire aux lèvres.
- Valéria : Vous avez abandonné les hommes ? Demanda-t-elle d’un ton amusé.
- Père David : Il fait une chaleur insoutenable près du barbecue. Et les gamins commencent à faire des remarques à Lincoln et Michael.
- Sara : Comment ça ? Demanda la jeune femme, les sourcils froncés, l’air inquiète.
- Père David : Les saucisses ne sont pas assez cuites ou alors elles le sont trop. Vous voyez ce que je veux dire ?
Les trois jeunes femmes éclatèrent de rire joyeusement.
- Valéria : Dans ce cas, je pense qu’il vaudrait mieux aller les retrouver, fit-elle en souriant, connaissant trop bien l’impulsivité de Lincoln si les adolescents ne s’arrêtaient pas.
Le Père David acquiesça d’un hochement de tête et ils se dirigèrent tous vers les tables, à l’exception de Sara.
Pensive, elle se perdit dans la contemplation des pâtures où les chevaux broutaient tranquillement sous le soleil étincelant. Elle resta ainsi quelques minutes puis, entendant du bruit derrière elle, la jeune femme ferma les yeux et soupira faiblement.
- Jensen : Salut, Sara.
Elle ouvrit les paupières vivement et se tourna vers son collègue. Il s’approcha d’elle, enfonçant nerveusement les mains dans ses poches. Sara observa un bref instant son œil tuméfié et le pansement qu’il avait sur l’arrête du nez.
- Sara : Salut, Jensen… fit-elle en levant une main près de son visage. Je suis…
- Jensen : Tout vas bien, ne t’en fais pas.
- Sara : Je suis désolée.
- Jensen : Tout c’est arrangé. Je me suis excusé de mon comportement auprès de Michael.
La jeune femme fit de gros yeux ronds tandis qu’il éclata de rire.
- Sara : Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Jensen : Rien, il a seulement hocher la tête. J’imagine qu’on ne deviendra pas amis mais c’est un début, non ?
Sara se mit à rire et secoua la tête.
- Jensen : Il y a une bonne ambiance, ici, fit-il pour briser le silence qui s’était installé entre eux.
- Sara : Oui. Comment vas Jason ? Tu as eut des nouvelles ?
- Jensen : Il va parfaitement bien. Tout se déroule pour le mieux. Ses parents restent auprès de lui, ne t’en fait pas, fit-il d’une voix rassurante.
- Sara : Je passerais le voir très bientôt. Heu… j’ai cru comprendre que les ados se chamaillent avec Linc et…
- Jensen : Oui, mais Kylian les défend ! Ce qui fait qu’il est mit une fois de plus à l’écart du groupe.
- Sara : C’est pas vrai ! Il ne fait vraiment pas d’effort avec eux ! Fit-elle dans un souffle. Je vais les rejoindre.
- Jensen : D’accord, répondit-il avant de perdre son regard au loin.
La jeune femme s’éloigna puis s’arrêta soudainement avant de se retourner vers lui.
- Sara : Tu comptes rester tout seul dans ton coin ? Lui demanda-t-elle en souriant.
- Jensen : Non.
Le jeune homme sourit de soulagement et la rejoignit en quelques pas avant de retrouver tous les autres dans la cour.
Arrivés près d’eux, Sara observa Michael, les yeux brillants d’émotion. Il avait Chrysie dans les bras et parler avec des invités ainsi que le Père David. Un peu plus loin, Kylian riait joyeusement en discutant avec Lincoln et Valéria, enlacés amoureusement.
A son approche, Michael déposa Chrysie sur le sol et murmura quelques mots à l’oreille de Kylian qui lui répondit d’un immense sourire. Puis, il alla enlacé son épouse qui se tenait à présent près de Fernando et Mari Cruz.
- Michael : Alors ma puce ? C’est quand que tu comptes m’enlever ? Demanda-t-il en murmurant dans le creux de son oreille.
- Sara : Hum… quand tu veux mon cœur, répondit la jeune femme en se blottissant contre lui.
- Michael : Tu es fatiguée ? Lui demanda-t-il, soucieux du timbre de sa voix.
- Sara : Je suis épuisée, répondit-elle, étouffant un bâillement contre le tissu de la chemise de Michael qui se mit à rire.
- Michael : Dans ce cas, c’est moi qui va devoir t’enlever d’ici, rétorqua-t-il d’une voix malicieuse.
Elle s’écarta de son étreinte et planta son regard dans le sien. Lentement, il effleura sa joue du bout des doigts, électrisant sa peau au passage et remit une mèche derrière son oreille. A cet instant, Chrysie arriva près d’eux et leur réclama leur attention.
- Chrysie : Papa, maman ? Est-ce que je peux manger avec Lj et oncle Lincoln ?
- Michael : Bien sur ma puce, répondit Michael en lui faisant un clin d’œil complice.
- Sara : Tu ne vas manger avec nous ?
- Chrysie : Non, Kylian m’a dit qu’on devait vous laissez manger en amoureux, fit-elle d’une voix parfaitement claire.
- Sara : Ha bon…, murmura-t-elle en lançant un regard soupçonneux vers Michael qui lui donna un sourire charmeur. D’accord, mais tu es bien sage, d’accord ?
- Chrysie : Oui maman. Accepta la fillette avant de s’enfuir joyeusement vers Valéria et Lincoln qui se souriaient.
Quelques minutes plus tard, Michael prit la main de Sara dans la sienne et se postèrent devant Lincoln.
- Michael : Linc ? Ça t’ennuie pas si Sara et moi on s’évadent une heure ou deux ?
- Sara : Michael ! Protesta la jeune femme.
- Lincoln : Mais non pas du tout, et tu m’as l’air épuisée, Sara ! Fit-il en la regardant.
- Michael : Merci, Linc.
- Sara : Et Chrysie ?
- Valéria : On s’en occupe, ne t’inquiète pas. Allez-y ! tenez, je vais vous préparer un petit quelques choses à manger. Je reviens.
Cinq minutes plus tard, Valéria tendit un sac remplit de nourriture à Michael qui la remercia d’un sourire.
- Sara : Où est-ce que tu m’emmènes, Scofield ? Demanda la jeune femme alors qu’il fit démarrer son 4x4.
- Michael : C’est une surprise, ma puce, fit-il en prenant sa main dans la sienne, sortant du centre de l’espéra…
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
les hommes à la popotte et les femmes en train de se la couler douce
Jensen qui vient voir Sara, elle est trop gentille, moi je l'aurai envoyé voir s'y je me trouvais en Chine
Michael et Sara qui vont s'évader rien que tous les deux en amoureux, et où l'emmène ce beau jeune homme ???
LA SUITE
Jensen qui vient voir Sara, elle est trop gentille, moi je l'aurai envoyé voir s'y je me trouvais en Chine
Michael et Sara qui vont s'évader rien que tous les deux en amoureux, et où l'emmène ce beau jeune homme ???
LA SUITE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
merci les miss pour tout vos coms ;q:qs
voici la suite en plus, j'ai eut du mal à l'écrire^^
je ne pourrais pas poster demain ici non plus, donc voici la suite :kis
bonne lecture biz
Chapitre 40.
[Surprise…]
Quelques minutes plus tard, alors qu’ils roulaient loin du centre de l’espérance, Sara poussa un long soupir et jeta un regard lourd de questions vers Michael.
- Sara : Tu vas me dire où nous allons ? S’enquit-elle enfin par demander.
- Michael : Ne sois pas si curieuse, nous sommes bientôt arrivés, répondit-il en lui souriant tendrement.
- Sara : Nous rentrons ? Demanda la jeune femme, remarquant qu’il prenait la route du retour.
- Michael : Non, maintenant arrête tes questions, ma puce. Je répondrais dés que nous serons arrivés, rétorqua-t-il en riant légèrement à la mine dubitative de Sara.
La jeune femme réprima un autre soupir exaspéré, ce qui fit sourire le jeune homme.
Michael gara la voiture à l’angle de l’avenue et de la rue où la famille Sucre vivait, quelques minutes plus tard. Michael l’informa qu’ils continueraient à pieds et lui prit la main, une fois sortit du 4x4.
- Michael : C’est pas mal ici.
- Sara : Ce quartier est charmant, commenta Sara.
Michael lui sourit d’un air satisfait. Soudain, le jeune homme voulut s’arrêter devant une villa créole dont la véranda spacieuse s’étendait sur toute la largeur.
- Sara : Que fais-tu ? Demanda la jeune femme alors qu’il l’emmenait dans l’allée fleurie de la propriété.
- Michael : Aimerais-tu voir l’intérieur ? Suggéra Michael.
- Sara : Heu…oui, pourquoi pas ? Répondit-elle, surprise. Tu connais le propriétaire ?
- Michael : Absolument, ne t’inquiète pas. Suis-moi, Sara.
Elle obéit, songeuse en admirant au passage la pelouse verdoyante et la cour très étendue. La maison était située un peu en retrait d’une rue calme, où la circulation se faisait plus rare.
Sans nul doute, ceux qui l’habitaient avaient-ils loués les services d’un excellent jardinier, à en juger par les arbustes taillés avec précision, qui avoisinaient avec des parterres de fleurs multicolores.
Enchanté par le regard brillant de Sara, Michael lui sourit avant d’ouvrir la porte d’entrée à l’aide des clés qu’il tira de sa poche. Il prit la main de la jeune femme et tous deux se retrouvèrent dans un hall central qui distribuait la plupart des pièces.
- Sara : Mais… Michael ? Il n’y a aucun mobilier, ici.
- Michael : Bien sur, plus personne n’y habite.
- Sara : Michael, que signifie…
- Michael : Ne dis rien, l’interrompit-il en posant son doigt sur ses lèvres. Suis-moi.
Troublée, elle le suivit et admira en passant les parquets cirés, les boiseries en cyprès et les manteaux de cheminées absolument intactes. Sur les murs, la couleur blanche alternait avec toute une gamme de pastels. L’ensemble donnait une agréable impression d’ordre et de propreté. Ils traversèrent la cuisine et arrivèrent devant un escalier en colimaçon.
- Michael : Il mène au grenier dans lequel ont été aménagées trois chambres mansardées, indiqua Michael.
Une fois dans la mansarde, ils découvrirent deux chambrettes attenantes.
- Michael : Ça a été transformé en nursery. Viens voir la salle de jeux ! C’est au sous-sol. De quoi faire un vrai petit gymnase, fit-il d’une mine encore plus excitée.
Résignée, Sara descendit l’escalier derrière lui. Une fois arrivés dans la pièce en question, Sara laissa tout de même échapper une réflexion, à la vue des jouets qui jonchaient encore le sol.
- Sara : Mais…ces gens dirigeaient un jardin d’enfant !
- Michael : Non, ils avaient une famille nombreuse, voilà tout.
La jeune femme se dirigea vers un petit toboggan et s’installa en tailleur sur le tapis en peluche.
- Sara : Je ne bougera pas d’ici, tant que tu ne me diras pas ce qu’on fiche ici !
- Michael : C’est pourtant bien simple. J’ai acheté cette maison pour toi et Chrysie.
Sara, une fois revenue de sa surprise, secoua la tête d’un air peiné.
- Sara : C’est incroyable ! Tu aurais pu au moins me demander mon avis ! Fit-elle, interdite. Je t’aurais évité une telle dépense !
- Michael : Mais… tu ne l’aimes pas ? Demanda-t-il, désappointé.
- Sara : Bien sur que si ! C’est même trop beau… trop parfait !
- Michael : Mais quoi, Sara ?
La jeune femme se releva vivement et lui fit face, les yeux étincelants de colère.
- Sara : Là n’est pas la question, Michael ! S’emporta-t-elle, ulcérée. Tu débarques au bout de quatre ans et tu réussis à réorganiser ma vie comme bon te semble ! Et tu sais que je ne peux pas…
- Michael : Que tu ne peux pas quoi, Sara ? Demanda-t-il d’une voix forte en la retenant prisonnière de ses bras.
- Sara : Lâche moi, souffla-t-elle, les yeux brillants de larmes...
- Michael : Non Sara… dis moi ce que tu as à me dire, qu’on en finisse ! Je sais que je t’ai fais du mal et que tu ne pourras jamais me pardonner… mais je t’aime plus que tout, mon amour…. Ne me quitte pas, je t’en prie…
Bouleversée, elle planta son regard dans le sien et ferma les yeux, laissant les larmes roulaient le long de ses joues.
- Sara : Tu sais très bien que je ne pourras jamais te quitter, Michael…. Je t’aime… mais j’ai peur de recommencer à y croire…croire en nous alors que j’ai l’impression que nous sommes maudits…
- Michael : Donnes nous encore une chance, ma puce, fit-il d’une voix brisée.
La jeune femme le fixa un moment puis approcha son visage près du sien. Lentement, elle déposa un baiser léger sur sa joue. Michael ferma les yeux, inquiet de ce qu’il allait suivre.
- Michael : Sara…
- Sara : Depuis quand tu as acheté cette maison, Michael ? Demanda-t-elle en caressant sa joue avant de coller son front au sien.
- Michael : Depuis le jour où je suis arrivé ici. Quand je suis passé dans le quartier, des agents immobiliers étaient en train de planter le panneau de mise en vente dans l’allée. Je me suis arrêté et ils m’ont laissé le droit de la visiter. Les propriétaires avaient besoin de la vendre rapidement. J’ai donc signé les papiers pour l’acquisition.
La jeune femme ne put se retenir de sourire à la rapidité de son époux.
- Sara : Qu’est-ce qui ta poussé à choisir cette villa en particulier ?
- Michael : Suis-moi, fit Michael. Tu n’as pas vu le meilleur !
Elle descendit l’escalier à sa suite et attendit qu’il ouvre la porte qui donnait sur la cour. En découvrant la très spacieuse véranda, la jeune femme imagina sans peine la façon dont elle la décorerait.
Michael eut tôt fait de la tirer de sa rêverie en lui faisant signe de traverser le patio qui prolongeait la terrasse. Tout au fond du jardin, à l’ombre d’un magnolia gigantesque, se dressait un petit pavillon couvert de guirlandes de glycine et de chèvrefeuille entrelacées. Un imposant cadenas en verrouillait la porte et Michael dut essayer plusieurs clés du trousseau avant de pouvoir l’ouvrir.
Une fois la porte poussée, il se tient de côté pour permettre à Sara de juger par elle-même. L’intérieur se composait d’une pièce principale, d’un petit cabinet de toilette et d’un coin où, vraisemblablement, l’on entreposait le bois pour l’hiver. Le sol était tendu d’une moquette dans les tons bleus tandis que le lambris de bois blanc en recouvraient les murs. Un système d’éclairage élaboré permettait une habile et équitable répartition de la lumière. En outre, on pouvait obtenir un maximum de clarté grâce aux lucarnes encastrées dans le plafond et aux stores réglables fixés aux fenêtres.
Dans un angle, on avait installé une kitchenette très fonctionnelle qui se composait d’une cuisinière, d’un petit réfrigérateur et d’un évier scellé sur un meuble de rangement.
- Sara : Étais-ce un pavillon réservé à leurs amis ? Questionna Sara, stupéfaite par l’endroit.
- Michael : Sans doute, répondit-il. Mais à mon avis, il devait aussi servir d’endroit pour exercer toutes sortes de passe-temps.
- Sara : Michael ! Protesta-t-elle en écarquillant les yeux, devinant le passe-temps auquel il pensait.
C’était en effet l’endroit rêvé, il était calme, aéré et lumineux. Sara s’apprêtait à parler quand il l’interrompit.
- Michael : Dis moi ce que tu en penses, ma puce ? Demanda-t-il en prenant son visage entre les paumes de ses mains. Donnes nous une seconde chance, Sara….
voici la suite en plus, j'ai eut du mal à l'écrire^^
je ne pourrais pas poster demain ici non plus, donc voici la suite :kis
bonne lecture biz
Chapitre 40.
[Surprise…]
Quelques minutes plus tard, alors qu’ils roulaient loin du centre de l’espérance, Sara poussa un long soupir et jeta un regard lourd de questions vers Michael.
- Sara : Tu vas me dire où nous allons ? S’enquit-elle enfin par demander.
- Michael : Ne sois pas si curieuse, nous sommes bientôt arrivés, répondit-il en lui souriant tendrement.
- Sara : Nous rentrons ? Demanda la jeune femme, remarquant qu’il prenait la route du retour.
- Michael : Non, maintenant arrête tes questions, ma puce. Je répondrais dés que nous serons arrivés, rétorqua-t-il en riant légèrement à la mine dubitative de Sara.
La jeune femme réprima un autre soupir exaspéré, ce qui fit sourire le jeune homme.
Michael gara la voiture à l’angle de l’avenue et de la rue où la famille Sucre vivait, quelques minutes plus tard. Michael l’informa qu’ils continueraient à pieds et lui prit la main, une fois sortit du 4x4.
- Michael : C’est pas mal ici.
- Sara : Ce quartier est charmant, commenta Sara.
Michael lui sourit d’un air satisfait. Soudain, le jeune homme voulut s’arrêter devant une villa créole dont la véranda spacieuse s’étendait sur toute la largeur.
- Sara : Que fais-tu ? Demanda la jeune femme alors qu’il l’emmenait dans l’allée fleurie de la propriété.
- Michael : Aimerais-tu voir l’intérieur ? Suggéra Michael.
- Sara : Heu…oui, pourquoi pas ? Répondit-elle, surprise. Tu connais le propriétaire ?
- Michael : Absolument, ne t’inquiète pas. Suis-moi, Sara.
Elle obéit, songeuse en admirant au passage la pelouse verdoyante et la cour très étendue. La maison était située un peu en retrait d’une rue calme, où la circulation se faisait plus rare.
Sans nul doute, ceux qui l’habitaient avaient-ils loués les services d’un excellent jardinier, à en juger par les arbustes taillés avec précision, qui avoisinaient avec des parterres de fleurs multicolores.
Enchanté par le regard brillant de Sara, Michael lui sourit avant d’ouvrir la porte d’entrée à l’aide des clés qu’il tira de sa poche. Il prit la main de la jeune femme et tous deux se retrouvèrent dans un hall central qui distribuait la plupart des pièces.
- Sara : Mais… Michael ? Il n’y a aucun mobilier, ici.
- Michael : Bien sur, plus personne n’y habite.
- Sara : Michael, que signifie…
- Michael : Ne dis rien, l’interrompit-il en posant son doigt sur ses lèvres. Suis-moi.
Troublée, elle le suivit et admira en passant les parquets cirés, les boiseries en cyprès et les manteaux de cheminées absolument intactes. Sur les murs, la couleur blanche alternait avec toute une gamme de pastels. L’ensemble donnait une agréable impression d’ordre et de propreté. Ils traversèrent la cuisine et arrivèrent devant un escalier en colimaçon.
- Michael : Il mène au grenier dans lequel ont été aménagées trois chambres mansardées, indiqua Michael.
Une fois dans la mansarde, ils découvrirent deux chambrettes attenantes.
- Michael : Ça a été transformé en nursery. Viens voir la salle de jeux ! C’est au sous-sol. De quoi faire un vrai petit gymnase, fit-il d’une mine encore plus excitée.
Résignée, Sara descendit l’escalier derrière lui. Une fois arrivés dans la pièce en question, Sara laissa tout de même échapper une réflexion, à la vue des jouets qui jonchaient encore le sol.
- Sara : Mais…ces gens dirigeaient un jardin d’enfant !
- Michael : Non, ils avaient une famille nombreuse, voilà tout.
La jeune femme se dirigea vers un petit toboggan et s’installa en tailleur sur le tapis en peluche.
- Sara : Je ne bougera pas d’ici, tant que tu ne me diras pas ce qu’on fiche ici !
- Michael : C’est pourtant bien simple. J’ai acheté cette maison pour toi et Chrysie.
Sara, une fois revenue de sa surprise, secoua la tête d’un air peiné.
- Sara : C’est incroyable ! Tu aurais pu au moins me demander mon avis ! Fit-elle, interdite. Je t’aurais évité une telle dépense !
- Michael : Mais… tu ne l’aimes pas ? Demanda-t-il, désappointé.
- Sara : Bien sur que si ! C’est même trop beau… trop parfait !
- Michael : Mais quoi, Sara ?
La jeune femme se releva vivement et lui fit face, les yeux étincelants de colère.
- Sara : Là n’est pas la question, Michael ! S’emporta-t-elle, ulcérée. Tu débarques au bout de quatre ans et tu réussis à réorganiser ma vie comme bon te semble ! Et tu sais que je ne peux pas…
- Michael : Que tu ne peux pas quoi, Sara ? Demanda-t-il d’une voix forte en la retenant prisonnière de ses bras.
- Sara : Lâche moi, souffla-t-elle, les yeux brillants de larmes...
- Michael : Non Sara… dis moi ce que tu as à me dire, qu’on en finisse ! Je sais que je t’ai fais du mal et que tu ne pourras jamais me pardonner… mais je t’aime plus que tout, mon amour…. Ne me quitte pas, je t’en prie…
Bouleversée, elle planta son regard dans le sien et ferma les yeux, laissant les larmes roulaient le long de ses joues.
- Sara : Tu sais très bien que je ne pourras jamais te quitter, Michael…. Je t’aime… mais j’ai peur de recommencer à y croire…croire en nous alors que j’ai l’impression que nous sommes maudits…
- Michael : Donnes nous encore une chance, ma puce, fit-il d’une voix brisée.
La jeune femme le fixa un moment puis approcha son visage près du sien. Lentement, elle déposa un baiser léger sur sa joue. Michael ferma les yeux, inquiet de ce qu’il allait suivre.
- Michael : Sara…
- Sara : Depuis quand tu as acheté cette maison, Michael ? Demanda-t-elle en caressant sa joue avant de coller son front au sien.
- Michael : Depuis le jour où je suis arrivé ici. Quand je suis passé dans le quartier, des agents immobiliers étaient en train de planter le panneau de mise en vente dans l’allée. Je me suis arrêté et ils m’ont laissé le droit de la visiter. Les propriétaires avaient besoin de la vendre rapidement. J’ai donc signé les papiers pour l’acquisition.
La jeune femme ne put se retenir de sourire à la rapidité de son époux.
- Sara : Qu’est-ce qui ta poussé à choisir cette villa en particulier ?
- Michael : Suis-moi, fit Michael. Tu n’as pas vu le meilleur !
Elle descendit l’escalier à sa suite et attendit qu’il ouvre la porte qui donnait sur la cour. En découvrant la très spacieuse véranda, la jeune femme imagina sans peine la façon dont elle la décorerait.
Michael eut tôt fait de la tirer de sa rêverie en lui faisant signe de traverser le patio qui prolongeait la terrasse. Tout au fond du jardin, à l’ombre d’un magnolia gigantesque, se dressait un petit pavillon couvert de guirlandes de glycine et de chèvrefeuille entrelacées. Un imposant cadenas en verrouillait la porte et Michael dut essayer plusieurs clés du trousseau avant de pouvoir l’ouvrir.
Une fois la porte poussée, il se tient de côté pour permettre à Sara de juger par elle-même. L’intérieur se composait d’une pièce principale, d’un petit cabinet de toilette et d’un coin où, vraisemblablement, l’on entreposait le bois pour l’hiver. Le sol était tendu d’une moquette dans les tons bleus tandis que le lambris de bois blanc en recouvraient les murs. Un système d’éclairage élaboré permettait une habile et équitable répartition de la lumière. En outre, on pouvait obtenir un maximum de clarté grâce aux lucarnes encastrées dans le plafond et aux stores réglables fixés aux fenêtres.
Dans un angle, on avait installé une kitchenette très fonctionnelle qui se composait d’une cuisinière, d’un petit réfrigérateur et d’un évier scellé sur un meuble de rangement.
- Sara : Étais-ce un pavillon réservé à leurs amis ? Questionna Sara, stupéfaite par l’endroit.
- Michael : Sans doute, répondit-il. Mais à mon avis, il devait aussi servir d’endroit pour exercer toutes sortes de passe-temps.
- Sara : Michael ! Protesta-t-elle en écarquillant les yeux, devinant le passe-temps auquel il pensait.
C’était en effet l’endroit rêvé, il était calme, aéré et lumineux. Sara s’apprêtait à parler quand il l’interrompit.
- Michael : Dis moi ce que tu en penses, ma puce ? Demanda-t-il en prenant son visage entre les paumes de ses mains. Donnes nous une seconde chance, Sara….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
une belle maison et en plus dans un beau quartier
alors Sara donnes nous ta réponse donne lui une seconde chance, il est raide dingue amoureux de toi et en plus toi aussi
Angie demain tu vas devoir poster STPPPPPPP
alors Sara donnes nous ta réponse donne lui une seconde chance, il est raide dingue amoureux de toi et en plus toi aussi
Angie demain tu vas devoir poster STPPPPPPP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Sara dis oui !!! lol
Bon c'est de la surprise de taille, et elle a pas été prévenu et tout ! Mais bon peut importe lol ! Y'a quand mm de quoi "passer le temps" etc...alors bon lol
La suiiiiite !!!
Bon c'est de la surprise de taille, et elle a pas été prévenu et tout ! Mais bon peut importe lol ! Y'a quand mm de quoi "passer le temps" etc...alors bon lol
La suiiiiite !!!
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
coucou mes chéries
voici la suite :::lol
bonne lecture :kis
Chapitre 41.
[Aveux du coeur….]
Sara le regarda pendant plusieurs secondes avant qu’elle fut capable de prononcer un son.
- Sara : Je… Michael, souffla-t-elle de lassitude avant de refermer les lèvres.
Après une hésitation, Michael se décida à tendre une main tremblante vers elle. Sara se laissa doucement attirer vers lui.
- Michael : Je t’aime, Sara. Je te désire plus que jamais, murmura le jeune homme d’une voix émue. Mais si tu me demandes de partir, je comprendrai. Peut-être est-ce trop tôt… ou trop tard….
- Sara : Michael, je t’aime. J’ai eu beau lutter contre mes sentiments pour toi pendant quatre ans… je voulais te haïr lorsque j’ai su que tu ne reviendrais jamais mais je t’aime… je t’aime plus que tout, Michael, finit-elle d’une voix brisée.
- Michael : Sara…
Comme s’il était lui-même effrayé par le feu qui le dévorait intérieurement, Michael l’attira délicatement contre lui. Avec dévotion, il se mit à caresser ses cheveux en les faisant ondoyer entre ses doigts. Envahie par des frissons d’extase, Sara ferma les paupières pour mieux goûter le volupté de ses caresses.
La jeune femme attendait vraisemblablement son baiser mais Michael la libéra de son étreinte et s’avança dans un coin de la cabane. Sara ouvrit les yeux et l’observa, interdite pendant quelques instants. Il était dos à elle et elle pouvait deviner la profondeur de son regard inquiet.
A bout de résistance, elle s’avança d’un pas mal assuré vers lui et posa une main dans son dos. N’était-il pas temps de recommencer une nouvelle vie ? Sans pour autant effacer les dernières années ? Se demanda-t-elle en proie à une véritable symphonie de doutes et d’espoirs.
Lentement, elle murmura son nom et attendit qu’il veuille se retourner pour la regarder. Michael pouvait comprendre ce que ressentait la jeune femme. La peur qu’il la fasse souffrir à nouveau était l’une de ses pires craintes également. Mais ils avaient une petite fille ensemble, leurs chaires et leurs sangs…. Sara était la femme qu’il aimerait toute sa vie, et pendant ces dernières années, c’est l’espoir de la retrouver un jour qui le maintenait en vie…
Au prix d’un immense effort, il avala la détresse qu’il ressentait et se tourna vers Sara, plantant son regard dans le sien. Ils se regardèrent quelques secondes, dans un silence éprouvant puis, elle entrouvrit ses lèvres tremblantes…
- Sara : Comme je te l’ai dis, Michael… je t’aime et… je sais que tu m’aimes. Depuis que nous nous connaissons, nous avons eut beaucoup d’obstacles entre nous… le danger était omniprésent, obligé de regarder au dessus de notre épaule au moindre de nos pas… mais l’amour est là…entre nous… il existe. Je ne sais, tout comme toi, de quoi sera fait demain…. Je t’ai demandé de me promettre que tu resterais là…que plus jamais tu ne nous abandonnerais…
- Michael : Je te l’ai promis, ma chérie, l’interrompit-il d’une voix brisée en lui prenant ses mains dans les siennes.
La jeune femme ferma les yeux un bref instant avant de continuer, les larmes menaçant de rouler le long de ses joues.
- Sara : Je ne veux pas de cette promesse, Michael, fit-elle d’une voix fragilisée par l’émotion. Je ne veux pas que tu me promettes quelque chose qu’un jour tu finirais par briser… ou que par des circonstances…
- Michael : Sara ! Sara, non, je ne partirais plus, s’enquit-il de rétorquer, les yeux brillants d’inquiétude.
- Sara : Je le veux pourtant… si tu veux cette dernière chance, dans cette maison avec notre fille, je ne veux pas de cette promesse, Michael ! Ajouta Sara avant de laisser couler les larmes.
Michael la considéra un instant sans comprendre et leva les mains vers son visage qu’il prit en coupe. Il fixa ses prunelles noisettes et colla son front au sien, soupirant d’incompréhension.
- Sara : Je veux seulement que nous soyons tous les trois… et quoi que devienne demain ! Mon amour pour toi sera toujours aussi puissant…
- Michael : Sara, murmura Michael d’un air soulagé et d’une voix brisée d’émotion.
La jeune femme lui soutit faiblement et passa ses bras autour de son cou avant de le serre très fort contre elle. Heureux, Michael la souleva dans ses bras et embrassa sa tempe avant de chercher ses lèvres.
Elle répondit à son baiser avec passion, dévastant tous les efforts qu’elle venait de fournir pour lui dire ce qu’elle sentait au plus profond d’elle-même.
Elle aurait pût exiger qu’il reste… que sa place était dorénavant primordiale pour sa survie… mais Katie avait raison ! Avant de lui pardonner ou de lui accorder sa confiance à nouveau, elle devait croire à son destin… maudit soit-il…
voici la suite :::lol
bonne lecture :kis
Chapitre 41.
[Aveux du coeur….]
Sara le regarda pendant plusieurs secondes avant qu’elle fut capable de prononcer un son.
- Sara : Je… Michael, souffla-t-elle de lassitude avant de refermer les lèvres.
Après une hésitation, Michael se décida à tendre une main tremblante vers elle. Sara se laissa doucement attirer vers lui.
- Michael : Je t’aime, Sara. Je te désire plus que jamais, murmura le jeune homme d’une voix émue. Mais si tu me demandes de partir, je comprendrai. Peut-être est-ce trop tôt… ou trop tard….
- Sara : Michael, je t’aime. J’ai eu beau lutter contre mes sentiments pour toi pendant quatre ans… je voulais te haïr lorsque j’ai su que tu ne reviendrais jamais mais je t’aime… je t’aime plus que tout, Michael, finit-elle d’une voix brisée.
- Michael : Sara…
Comme s’il était lui-même effrayé par le feu qui le dévorait intérieurement, Michael l’attira délicatement contre lui. Avec dévotion, il se mit à caresser ses cheveux en les faisant ondoyer entre ses doigts. Envahie par des frissons d’extase, Sara ferma les paupières pour mieux goûter le volupté de ses caresses.
La jeune femme attendait vraisemblablement son baiser mais Michael la libéra de son étreinte et s’avança dans un coin de la cabane. Sara ouvrit les yeux et l’observa, interdite pendant quelques instants. Il était dos à elle et elle pouvait deviner la profondeur de son regard inquiet.
A bout de résistance, elle s’avança d’un pas mal assuré vers lui et posa une main dans son dos. N’était-il pas temps de recommencer une nouvelle vie ? Sans pour autant effacer les dernières années ? Se demanda-t-elle en proie à une véritable symphonie de doutes et d’espoirs.
Lentement, elle murmura son nom et attendit qu’il veuille se retourner pour la regarder. Michael pouvait comprendre ce que ressentait la jeune femme. La peur qu’il la fasse souffrir à nouveau était l’une de ses pires craintes également. Mais ils avaient une petite fille ensemble, leurs chaires et leurs sangs…. Sara était la femme qu’il aimerait toute sa vie, et pendant ces dernières années, c’est l’espoir de la retrouver un jour qui le maintenait en vie…
Au prix d’un immense effort, il avala la détresse qu’il ressentait et se tourna vers Sara, plantant son regard dans le sien. Ils se regardèrent quelques secondes, dans un silence éprouvant puis, elle entrouvrit ses lèvres tremblantes…
- Sara : Comme je te l’ai dis, Michael… je t’aime et… je sais que tu m’aimes. Depuis que nous nous connaissons, nous avons eut beaucoup d’obstacles entre nous… le danger était omniprésent, obligé de regarder au dessus de notre épaule au moindre de nos pas… mais l’amour est là…entre nous… il existe. Je ne sais, tout comme toi, de quoi sera fait demain…. Je t’ai demandé de me promettre que tu resterais là…que plus jamais tu ne nous abandonnerais…
- Michael : Je te l’ai promis, ma chérie, l’interrompit-il d’une voix brisée en lui prenant ses mains dans les siennes.
La jeune femme ferma les yeux un bref instant avant de continuer, les larmes menaçant de rouler le long de ses joues.
- Sara : Je ne veux pas de cette promesse, Michael, fit-elle d’une voix fragilisée par l’émotion. Je ne veux pas que tu me promettes quelque chose qu’un jour tu finirais par briser… ou que par des circonstances…
- Michael : Sara ! Sara, non, je ne partirais plus, s’enquit-il de rétorquer, les yeux brillants d’inquiétude.
- Sara : Je le veux pourtant… si tu veux cette dernière chance, dans cette maison avec notre fille, je ne veux pas de cette promesse, Michael ! Ajouta Sara avant de laisser couler les larmes.
Michael la considéra un instant sans comprendre et leva les mains vers son visage qu’il prit en coupe. Il fixa ses prunelles noisettes et colla son front au sien, soupirant d’incompréhension.
- Sara : Je veux seulement que nous soyons tous les trois… et quoi que devienne demain ! Mon amour pour toi sera toujours aussi puissant…
- Michael : Sara, murmura Michael d’un air soulagé et d’une voix brisée d’émotion.
La jeune femme lui soutit faiblement et passa ses bras autour de son cou avant de le serre très fort contre elle. Heureux, Michael la souleva dans ses bras et embrassa sa tempe avant de chercher ses lèvres.
Elle répondit à son baiser avec passion, dévastant tous les efforts qu’elle venait de fournir pour lui dire ce qu’elle sentait au plus profond d’elle-même.
Elle aurait pût exiger qu’il reste… que sa place était dorénavant primordiale pour sa survie… mais Katie avait raison ! Avant de lui pardonner ou de lui accorder sa confiance à nouveau, elle devait croire à son destin… maudit soit-il…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!!!!!!
Voilà faut qu'ils profite tout les 3 et advienne que pourra ! lol
Trop mimi
La suiiiiiiite !!!
Voilà faut qu'ils profite tout les 3 et advienne que pourra ! lol
Trop mimi
La suiiiiiiite !!!
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
coucou les miss
merci pour vos coms
bonne lecture :kis
Chapitre 42.
[Le lendemain….]
Sara s’éveilla lentement, le lendemain matin. Les muscles endoloris, elle ne bougea pas et laissa errer son regard embué de sommeil autour d’elle. Une triste sensation s’empara de son être alors que l’idée de quitter son chez soi lui vint à l’esprit.
Douloureusement, la jeune femme s’était relevée avec l’aide de Lincoln alors qu’elle avait tout perdu, il y a quatre ans. Elle avait peu à peu réussit à reconstruire un semblant de vie… pour sa fille. Pour Christina-Rose, elle avait apprit à aimer cet appartement où elle avait construit en quelque sorte les fondations pour tenir le coup.
A présent, la sensation que tout s’écrouler à nouveau autour d’elle l’envahit… mais elle était plus forte et avait Michael à ses côtés pour reconstruire une nouvelles vie, ensemble…. Sans s’en rendre compte, ses lèvres étirèrent un faible sourire en repensant à la journée de la veille.
Michael et elle avaient longuement discuté avant de prendre la décision ensemble de montrer la maison à Chrysie le lendemain. Michael était certain que leur fille allait être ravie. Sara n’en doutait pas non plus, un seul instant. Elle serait encore plus à proximité de Fernando Junior et ils ne s’éloignaient pas trop de son oncle Lincoln et d’Lj.
Lincoln ! Il était bien évidement au courant, avait apprit la jeune femme alors qu’ils étaient rentrés au centre de l’espérance, quelques heures plus tard. Tous le monde était au courant d’ailleurs, et Sara l’avait maudit intérieurement avant de l’avoir attiré dans ses bras amoureusement.
Soudain, elle entendit un pas derrière la porte. Elle eut juste le temps de remonter le drap sur son corps nu que Michael entra dans la pièce, un plateau dans les mains. Elle sourit, constatant qu’il lui avait préparé des cakes au nutella, comme ceux de Julie, qu’ils avaient rencontré pendant leur voyage de noce.
Michael posa le plateau sur la table de chevet et s’installa au bord du lit avant de se pencher vers ses lèvres.
- Michael : Bonjour, mon ange, fit-il en l’embrassant lentement. Bien dormit ?
La jeune femme plissa les yeux et le fixa d’une manière intense.
- Sara : Bonjour toi… si j’ai bien dormis ? Je ne sens plus mes membres ! J’ai l’impression d’être passée sous un rouleau compresseur…
Michael haussa les sourcils et l’air vexé il lui lança :
- Michael : Tu me compares à un rouleau compresseur ?! C’est charmant !
- Sara : Idiot, rétorqua-t-elle en riant. Je te parle des activités physiques que vous m’avez forcé à faire, toi, ton frère et tous les autres, hier !
- Michael : Tu n’as participé qu’à la course en sac et tu n’as pas fais tous le trajet :
- Sara : Oui, ben j’étais fatiguée et figure toi que c’est de ta faute, Scofield ! Et inutile de me demander pourquoi !
Michael éclata de rire et se stoppa lorsqu’il constata que la jeune femme ne trouvait pas cela drôle. Il lui souris tendrement et caressa sa joue encore marquée par le sommeil.
- Sara : Ne fais pas ton petit fayot, Scofield !
- Michael : Tu es fâché ? Lui demanda-t-il en faisant la moue.
- Sara : Je ne sais pas ! Dit-elle en se recouchant. Laisse moi encore dormir un peu, il n’est que sept heures et je te rappelle que je suis en vacance.
Michael poussa un soupir mi amusé, mi exaspéré et sourit avant de se lever.
- Michael : Très bien, madame Scofield.
La jeune femme se tourna sur le côté et sourit légèrement contre son oreiller. Quand à Michael, il s’avança vers la porte et leva la main vers la poignée mais au lieu d’ouvrir la porte pour sortir, loin de cette tentation, il tourna la clé revint sur ses pas, se laissant aller à la force qui le pousser vers elle.
Sara comprit qu’il était toujours là. Sans prononcer un mot, elle se poussa un peu pour lui laisser de la place. Il sourit et se glissa entre les draps.
- Michael : Tu sais que tu n’es vraiment pas une fille sage, Sara ?! Dit-il en passant un bras sur son corps.
- Sara : Et c’est à moi que tu dis cela ? Demanda-t-elle en se tournant vers lui.
Leurs visages se trouvèrent à quelques millimètres de l’un et l’autre et ils se fixèrent dans les yeux pendant quelques secondes quand ils se mirent à éclater de rire avant de se jeter dans les bras de l’un de l’autre, dans un élan fougueux.
Pendant de longues et interminables minutes où baisers langoureux et caresses passionnelles s’échangeaient dans cette chambre, à quelques kilomètres de là, une femme prononça d’un air satisfait le non de Michael Scofield…
merci pour vos coms
bonne lecture :kis
Chapitre 42.
[Le lendemain….]
Sara s’éveilla lentement, le lendemain matin. Les muscles endoloris, elle ne bougea pas et laissa errer son regard embué de sommeil autour d’elle. Une triste sensation s’empara de son être alors que l’idée de quitter son chez soi lui vint à l’esprit.
Douloureusement, la jeune femme s’était relevée avec l’aide de Lincoln alors qu’elle avait tout perdu, il y a quatre ans. Elle avait peu à peu réussit à reconstruire un semblant de vie… pour sa fille. Pour Christina-Rose, elle avait apprit à aimer cet appartement où elle avait construit en quelque sorte les fondations pour tenir le coup.
A présent, la sensation que tout s’écrouler à nouveau autour d’elle l’envahit… mais elle était plus forte et avait Michael à ses côtés pour reconstruire une nouvelles vie, ensemble…. Sans s’en rendre compte, ses lèvres étirèrent un faible sourire en repensant à la journée de la veille.
Michael et elle avaient longuement discuté avant de prendre la décision ensemble de montrer la maison à Chrysie le lendemain. Michael était certain que leur fille allait être ravie. Sara n’en doutait pas non plus, un seul instant. Elle serait encore plus à proximité de Fernando Junior et ils ne s’éloignaient pas trop de son oncle Lincoln et d’Lj.
Lincoln ! Il était bien évidement au courant, avait apprit la jeune femme alors qu’ils étaient rentrés au centre de l’espérance, quelques heures plus tard. Tous le monde était au courant d’ailleurs, et Sara l’avait maudit intérieurement avant de l’avoir attiré dans ses bras amoureusement.
Soudain, elle entendit un pas derrière la porte. Elle eut juste le temps de remonter le drap sur son corps nu que Michael entra dans la pièce, un plateau dans les mains. Elle sourit, constatant qu’il lui avait préparé des cakes au nutella, comme ceux de Julie, qu’ils avaient rencontré pendant leur voyage de noce.
Michael posa le plateau sur la table de chevet et s’installa au bord du lit avant de se pencher vers ses lèvres.
- Michael : Bonjour, mon ange, fit-il en l’embrassant lentement. Bien dormit ?
La jeune femme plissa les yeux et le fixa d’une manière intense.
- Sara : Bonjour toi… si j’ai bien dormis ? Je ne sens plus mes membres ! J’ai l’impression d’être passée sous un rouleau compresseur…
Michael haussa les sourcils et l’air vexé il lui lança :
- Michael : Tu me compares à un rouleau compresseur ?! C’est charmant !
- Sara : Idiot, rétorqua-t-elle en riant. Je te parle des activités physiques que vous m’avez forcé à faire, toi, ton frère et tous les autres, hier !
- Michael : Tu n’as participé qu’à la course en sac et tu n’as pas fais tous le trajet :
- Sara : Oui, ben j’étais fatiguée et figure toi que c’est de ta faute, Scofield ! Et inutile de me demander pourquoi !
Michael éclata de rire et se stoppa lorsqu’il constata que la jeune femme ne trouvait pas cela drôle. Il lui souris tendrement et caressa sa joue encore marquée par le sommeil.
- Sara : Ne fais pas ton petit fayot, Scofield !
- Michael : Tu es fâché ? Lui demanda-t-il en faisant la moue.
- Sara : Je ne sais pas ! Dit-elle en se recouchant. Laisse moi encore dormir un peu, il n’est que sept heures et je te rappelle que je suis en vacance.
Michael poussa un soupir mi amusé, mi exaspéré et sourit avant de se lever.
- Michael : Très bien, madame Scofield.
La jeune femme se tourna sur le côté et sourit légèrement contre son oreiller. Quand à Michael, il s’avança vers la porte et leva la main vers la poignée mais au lieu d’ouvrir la porte pour sortir, loin de cette tentation, il tourna la clé revint sur ses pas, se laissant aller à la force qui le pousser vers elle.
Sara comprit qu’il était toujours là. Sans prononcer un mot, elle se poussa un peu pour lui laisser de la place. Il sourit et se glissa entre les draps.
- Michael : Tu sais que tu n’es vraiment pas une fille sage, Sara ?! Dit-il en passant un bras sur son corps.
- Sara : Et c’est à moi que tu dis cela ? Demanda-t-elle en se tournant vers lui.
Leurs visages se trouvèrent à quelques millimètres de l’un et l’autre et ils se fixèrent dans les yeux pendant quelques secondes quand ils se mirent à éclater de rire avant de se jeter dans les bras de l’un de l’autre, dans un élan fougueux.
Pendant de longues et interminables minutes où baisers langoureux et caresses passionnelles s’échangeaient dans cette chambre, à quelques kilomètres de là, une femme prononça d’un air satisfait le non de Michael Scofield…
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
C'est mignon cette partie
Rouleau compresseur ? ça fait pas plaisir lol
qui a dit Michael Scofield ?
Aller dénoncez le coupable ! looool
Je sais pas pourquoi mais je vais pas l'aimer celui ou celle qui dit ça....
La suiiite !
Rouleau compresseur ? ça fait pas plaisir lol
qui a dit Michael Scofield ?
Aller dénoncez le coupable ! looool
Je sais pas pourquoi mais je vais pas l'aimer celui ou celle qui dit ça....
La suiiite !
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci Amandine
Voila les réponses
Chapitre 43.
[Jalousie….]
Les paupières mi-closes, la jeune femme relut pour la troisième fois l’article sur le journal local concernant le centre de l’espérance. Elle ne rêvait pas… Michael Scofield était en vie ! Et de retour à Chicago avec Sara Tancredi. Sa bouche se forma en un rictus de dégoût et envoya valser le journal à travers la pièce.
Pendant ce temps, Michael gara son véhicule dans l’allée de leur nouvelle maison et lança un sourire à Sara avant de sortir de son 4x4 et de déposer Chrysie sur le sol.
- Chrysie : C’est vraiment notre maison ? Elle a l’air d’être très grande !
- Sara : Tu viens voir l’intérieur, ma puce ? Demanda la jeune femme en lui tendant la main.
Chrysie hocha la tête et agrippa la main de ses parents avant de s’avancer joyeusement dans l’entrée.
Pendant plus d’une heure, ses parents lui firent visiter la nouvelle demeure. Comme prévu, la fillette était très satisfaite de la villa et plus particulièrement de l’imposa salle de jeux.
- Michael : On pourrait même y placer un billard, lança Michael d’une voix enchantée.
- Chrysie : Un billard ?
- Michael : Oui. Tu sais c’est un…
- Chrysie : Papa ! Je sais ce que c’est qu’un billard, l’interrompit-elle en posant ses petites mains sur ses hanches et lui faisant face. Mais pourquoi est-ce que tu veux mettre ça ici ?
Elle ressemble vraiment à Sara, songea-t-il en riant légèrement avant de s’accroupir pour être à sa hauteur.
- Michael : Et bien, parce que j’aime y jouer et il y a bien longtemps que je n’ai pas eut ce plaisir ! De plus, ton oncle Lincoln me doit toujours une partie ! Expliqua Michael en fronçant les sourcils, constatant que cette perspective ne réjouissait pas la fillette.
- Chrysie : Mais tu m’as dis que c’était ma salle de jeux ! Tu n’auras qu’à te trouver un coin pour mettre ton billard dans ta chambre, fit-elle sans sourciller.
Michael la regarda avec de grand yeux. Il resta interdit quelques instants tandis que Sara pouffait de rire derrière la porte, écoutant attentivement comme Michael se tira de cette situation.
- Michael : Non, je ne vais pas le mettre dans ma chambre, Chrysie. C’est un très bon endroit pour le mettre et tes oncles pourront y venir…
- Chrysie : Quoi ?! Oncle Fernando prendra mes jeux vidéos si tu le laisses venir dans ma salle de jeux ! S’écria Chrysie, les joues rouges de colère.
- Michael : Mais non, ma puce. Souffla Michael en souriant.
- Chrysie : Je le dirais à maman qu’elle dise non, marmonna la fillette.
- Michael : Qu’est-ce que tu viens de dire, Christina ? Demanda le jeune homme, bouillant de colère intérieurement par son comportement.
- Chrysie : Tu le sais, tu la entendus ce que j’ai dis ! Fit-elle, sournoisement.
- Michael : Comment tu me parles, Chrysie ! Écoute moi bien, tu n’as pas à dire quoi que ce soit à maman pour ce billard. Et je suis certain qu’elle serait de mon avis…
- Chrysie : C’Est-ce que tu crois !
- Michael : C’est pas vrai, souffla-t-il en se redressant, essayant de calmer la colère qu’il ressentait.
C’est à cet instant précis que Sara fit son apparition, évitant que sa fille continue à dépasser les bornes.
- Sara : Que faites-vous ? On s’est disputé ?
- Michael : Ce…
- Chrysie : C’est de sa faute ! L’interrompit-elle en foudroyant Michael du regard. Il a dit qu’il voulait mettre un billard ici !
- Sara : Un billard ? C’est génial ! S’exclama Sara en enlaçant Michael dans ses bras.
- Michael : J’ai l’impression qu’elle est en colère contre moi, murmura Michael dans le creux de son oreille.
- Sara : Non, elle te teste ! Montre toi ferme, ce n’est pas elle qui décide, Michael.
- Michael : Tu as tout entendu ?
La jeune femme répondit par un sourire et se tourna vers Chrysie qui se tenait droite, les bras croisés.
- Sara : Je peux savoir le problème, Chrysie ? Si ton père décide que le billard sera dans cette pièce, il y sera ! Est-ce que c’est clair, jeune fille ?
La fillette ne cilla pas et s’obtint à garder les lèvres serrés.
- Sara : Très bien, nous allons rentrés, et oublie la télévision !
- Chrysie : Quoi ? Maman ! Fit-elle en pleurant et en tapant du pied sur le sol, de colère.
- Michael : Cela suffit, Chrysie ! Je verrais bien pour le billard, d’accord ? Dit-il d’une voix calme, ému de la voir si triste.
- Sara : Michael ! Protesta la jeune femme en levant les yeux au plafond.
- Chrysie : Merci papa ! Murmura la petite en lui lançant un sourire ravissant.
Michael la scruta un instant alors qu’elle remonta l’escalier. Il tourna la tête vers Sara qui secouait la tête, l’air désolée.
- Sara : Elle t’a bien eut, tu ne crois pas ?
- Michael : Rentrons.
Un peu plus tard, comme convenu, Sara n’autorisa pas sa fille à regarder la télévision. Consignée dans sa chambre à leur arrivée, Sara rejoignit Michael dans le salon.
- Sara : Ne lui cède pas comme cela, mon cœur !
- Michael : Ce n’est pas très important, ma puce.
- Sara : Bien sur que ça l’est ! Michael… je peux comprendre qu’il est difficile pour toi de lui dire non où de la gronder, mais tu es son père et il faut que tu prennes ton rôle de suite, sinon ta fille qui a ton intelligence te mènera par le bout du nez ! Et elle est très…
- Michael : Tenace, comme sa mère, continua Michael en souriant tendrement avant de l’embrasser sur les lèvres.
- Sara : Je ne plaisante pas, Mich.
- Michael : Je ferais un effort, ma puce… mais j’aurais besoin de ton aide, fit-il en murmurant.
- Sara : Tu peux compter sur moi, mon chéri.
La jeune femme voulu s’écarter mais elle plongea son regard dans le sien. Elle se leva sur la pointe des pieds et l’embrassa doucement avant de se laisser aller dans les bras de son mari, qui se refermer sur elle.
Un taxi s’arrêta devant l’hôtel à Chicago. Une femme au long cheveux noirs ébène en sortit et s’avança d’un pas assuré et déterminé à l’intérieur du hall. Elle se plaça devant le bureau d’accueil et fixa l’employé.
- Homme : Bonjour, Madame ?
- Femme : J’ai réservé une chambre dans la matinée par téléphone.
- Homme : A quel nom ?
La jeune femme sourit et redressa le menton fièrement :
- Femme : Volek ! Nika Volek…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
- Chrysie : Mais tu m’as dis que c’était ma salle de jeux ! Tu n’auras qu’à te trouver un coin pour mettre ton billard dans ta chambre, fit-elle sans sourciller.
Michael la regarda avec de grand yeux. Il resta interdit quelques instants tandis que Sara pouffait de rire derrière la porte, écoutant attentivement comme Michael se tira de cette situation.
Aller Michael on rame mdr
C'est vrai ça un billard ds la chambre !
J'en connais qui voit bien Michael et Sara jouer au jeu Guitar Hero alors bon...lol
Christie veut pas d'un billard oops ça chauffe lol
Nika ! I knew it ! lol C'était obligé ! LoL Mais là ça va promettre avec Sara et tout et tout..
La suiiiite !!! lol
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Nika pourquoi elle ramène ses grosses fesses à Chicago celle là
à part pour leur faire des misères
Chrysie qui teste son papa alors l'intelligence du papa et la ténacité de sa maman bah ça promet
alors le billard dans la salle de jeu et c'est tout voilà
la suiteeeeee
gros
à part pour leur faire des misères
Chrysie qui teste son papa alors l'intelligence du papa et la ténacité de sa maman bah ça promet
alors le billard dans la salle de jeu et c'est tout voilà
la suiteeeeee
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
coucou les miss
désolée pour hier encore, j'ai mon modem qui fait des siennes !
voici la suite
bonne lecture mes chéries
Chapitre 44.
[Intrus du matin….]
Lincoln s’étira bruyamment dans le lit sous le regard amusé de son fils qui venait d’entrer dans sa chambre, une tasse de café à la main.
- Lincoln : Quelle heure est-t-il ? Demanda l’homme d’une voix encore toute ensommeillée.
- Lj : Il est un peu plus de neuf heures. Tu as bien dormit ?
- Lincoln : Pas terrible. Et toi ? Demanda-t-il en se redressant.
Lj sourit et lui tendit son café avant de s’installer sur le lit.
- Lincoln : Merci.
- Lj : Papa ? Je peux te poser une question ?
- Lincoln : Vas-y, je t’écoute.
Le jeune homme poussa un soupir puis lui demanda d’une voix hésitante.
- Lj : Je… je voulais savoir en fait… tu sais… j’aime beaucoup Valéria…
Lincoln fronça les sourcils et posa sa tasse sur la table de chevet avant de fixer Lj, mal à l’aise.
- Lincoln : Mais ? Dis moi ce qui te tracasse, Lj.
- Lj : Je ne sais pas… pour être honnête, souffla-t-il en baissant le regard.
- Lincoln : Lj ?
- Lj : J’ai peur que… je me doutais bien qu’il se passait quelque chose avec elle, mais… tu sais… avec Sara, on était bien tous ensemble et…
Lincoln observa le visage de son fils et comprit ce qu’il pouvait ressentir. Il posa une main réconfortante sur l’épaule d’Lj et lui répondit :
- Lincoln : Sara est ta tante, Lj. Je sais qu’elle prend une grande place dans ton cœur, dans le mien aussi… mais le retour de Michael ou que je suis avec Valéria, ne changera rien à cela !
Lj le considéra un instant et hocha la tête en signe d’acquiescement, l’air rassuré.
- Lj : Tu l’aimes ?
- Lincoln : Je crois oui. Répondit-il en souriant.
- Lj : Je suis content pour toi, papa.
Ils se sourirent tous les deux avant de s’embrasser chaleureusement. Quelques minutes plus tard, après avoir prit une douche, Lincoln sortit de son appartement et rendit visite à son frère.
- Lincoln : Hey ! Salut, ma belle, s’exclama-t-il d’une voix empreinte de bonne humeur en embrassant sa belle sœur qui venait de lui ouvrir la porte.
- Sara : Salut, toi. Tu es bien joyeux ce matin ! Entre. Tu veux un café ? Proposa-t-elle en s’avançant vers la cuisine.
- Lincoln : Non merci. Michael dort encore ?
- Sara : Oui, Chrysie aussi, l’informa la jeune femme en souriant.
- Lincoln : Il est exactement neuf heures quarante trois du matin, et mon frère dort encore ? Fit-il avec de gros yeux. Dis donc, Sara ? Tu l’épuises toutes les nuits ?
La jeune femme leva les yeux en signe d’exaspération puis se mit à étouffer un cri alors que Lincoln sortit une casserole et une cuillère en bois, du meuble.
- Sara : Lincoln ! Ne fait pas ça ! Il est fatigué, bon sang, s’écria la jeune femme en le retenant par le bras tandis qu’il éclatait de rire.
- Lincoln : S’il te plait, laisse moi au moins ce plaisir là !
- Sara : Mais de quel plaisir tu parles, Burrows ? De réveiller ton frère en faisant du vacarme ?
- Lincoln : J’ai envie de voir la tête qu’il va faire, rétorqua-t-il en riant.
- Sara : C’est de la tienne, moi que je vais rire si tu le réveilles ainsi ! Vous êtes de vrais gamins, fit-elle en cédant. Débrouilles toi, de toute façon, vous êtes aussi têtus l’un que l’autre.
- Lincoln : Merci, Sara, lança-t-il avant de s’enfuir de la pièce en riant.
Sara resta seule dans la cuisine et pouffa de rire, imaginant bien la tête que Michael fera quand son frère va le surprendre avec les fesses à l’air.
En moins d’une minute, elle entendit des cris furieux de Michael et les fous rire de Lincoln. S’empressant de les rejoindre, elle se mit à rire puis ne put retenir davantage l’hilarité qu’elle ressentit en découvrant la scène qui se dérouler sous ses yeux.
Lincoln était cloué sur le lit tandis que Michael le maintenait fermement, attendant visiblement de plates excuses, en le menaçant avec son oreiller.
- Sara : Vous êtes impossible, tous les deux ! J’aurais du prendre le caméscope, fit-elle en pouffant de rire.
- Michael : Pourquoi tu l’as laissé entrer ? Demanda-t-il en relâchant son emprise en observant sa femme qui se tordait de rire.
Sara haussa les épaules, faignant de ne pas comprendre comment Lincoln avait pénétré dans la chambre.
- Lincoln : Il faut que tu bouges tes fesses, p’tit frère ! Dit-il en se levant.
- Michael : Oui mais pas besoin que tu viennes me sortir du lit, rétorqua-t-il en se recouchant.
Sara lui sourit et s’avança vers Michael qui lui ouvrit les bras. Il l’attira contre lui et l’embrassa tendrement avant de regarder Lincoln.
- Michael : Je préfère que ce soit ma femme qui me sort du lit, Linc.
- Lincoln : Sara, te sortir du lit ! Tu te fous de moi ? Rétorqua-t-il en levant les yeux au plafond. Mais allez, remue toi ! J’ai demandé au Père David si on pouvait emmener Kylian, Carla, Jason et Janice pour travailler avec nous.
- Sara : C’est vrai ? C’est génial ça ! Il a accepté ?
Lincoln acquiesça d’un signe de tête.
- Michael : On aurait pu très bien se passer d’eux. Je sais encore mettre mes murs en peinture, répondit-il, les yeux froncés.
- Sara : Mais oui, Michael. Mais ça ira beaucoup plus vite. Je croyais que tu étais pressé que nous emménageons rapidement ?
- Michael : Je sais, et je le veux toujours, souffla-t-il en caressant la joue de son épouse. Mais ces gamins doivent avoir autre chose à faire, non ?
- Lincoln : Non, justement ! C’est eux qui ont proposés de vous donner un coup de main. J’en ai donc discuté avec le père David et il a accepté, informa Lincoln en se dirigeant vers la porte. Allez, dépêche toi de te lever, on doit y être dans moins d’une demie heure.
Sara lui sourit et regarda la porte se refermer avant de tourner son visage vers Michael.
- Sara : Tu n’es pas content, Scofield ?
- Michael : Si bien sur mais… j’avais imaginé autre chose pendant ces travaux, fit-il sur un ton malicieux.
- Sara : Hum… allez, lève toi, mon cœur avant que ton frère sort toute la batterie de cuisine.
- Michael : Je ne bougerais pas d’ici avant que tu m’es donné mon baiser.
- Sara : Tu oses me faire du chantage ? Demanda-t-elle en prenant un air scandalisé.
Michael haussa un sourcil en souriant puis il l’attira dans ses bras, la faisant basculer sur le matelas. Il fit taire sa protestation dans un long et langoureux baiser qui leur coupa le souffle…
désolée pour hier encore, j'ai mon modem qui fait des siennes !
voici la suite
bonne lecture mes chéries
Chapitre 44.
[Intrus du matin….]
Lincoln s’étira bruyamment dans le lit sous le regard amusé de son fils qui venait d’entrer dans sa chambre, une tasse de café à la main.
- Lincoln : Quelle heure est-t-il ? Demanda l’homme d’une voix encore toute ensommeillée.
- Lj : Il est un peu plus de neuf heures. Tu as bien dormit ?
- Lincoln : Pas terrible. Et toi ? Demanda-t-il en se redressant.
Lj sourit et lui tendit son café avant de s’installer sur le lit.
- Lincoln : Merci.
- Lj : Papa ? Je peux te poser une question ?
- Lincoln : Vas-y, je t’écoute.
Le jeune homme poussa un soupir puis lui demanda d’une voix hésitante.
- Lj : Je… je voulais savoir en fait… tu sais… j’aime beaucoup Valéria…
Lincoln fronça les sourcils et posa sa tasse sur la table de chevet avant de fixer Lj, mal à l’aise.
- Lincoln : Mais ? Dis moi ce qui te tracasse, Lj.
- Lj : Je ne sais pas… pour être honnête, souffla-t-il en baissant le regard.
- Lincoln : Lj ?
- Lj : J’ai peur que… je me doutais bien qu’il se passait quelque chose avec elle, mais… tu sais… avec Sara, on était bien tous ensemble et…
Lincoln observa le visage de son fils et comprit ce qu’il pouvait ressentir. Il posa une main réconfortante sur l’épaule d’Lj et lui répondit :
- Lincoln : Sara est ta tante, Lj. Je sais qu’elle prend une grande place dans ton cœur, dans le mien aussi… mais le retour de Michael ou que je suis avec Valéria, ne changera rien à cela !
Lj le considéra un instant et hocha la tête en signe d’acquiescement, l’air rassuré.
- Lj : Tu l’aimes ?
- Lincoln : Je crois oui. Répondit-il en souriant.
- Lj : Je suis content pour toi, papa.
Ils se sourirent tous les deux avant de s’embrasser chaleureusement. Quelques minutes plus tard, après avoir prit une douche, Lincoln sortit de son appartement et rendit visite à son frère.
- Lincoln : Hey ! Salut, ma belle, s’exclama-t-il d’une voix empreinte de bonne humeur en embrassant sa belle sœur qui venait de lui ouvrir la porte.
- Sara : Salut, toi. Tu es bien joyeux ce matin ! Entre. Tu veux un café ? Proposa-t-elle en s’avançant vers la cuisine.
- Lincoln : Non merci. Michael dort encore ?
- Sara : Oui, Chrysie aussi, l’informa la jeune femme en souriant.
- Lincoln : Il est exactement neuf heures quarante trois du matin, et mon frère dort encore ? Fit-il avec de gros yeux. Dis donc, Sara ? Tu l’épuises toutes les nuits ?
La jeune femme leva les yeux en signe d’exaspération puis se mit à étouffer un cri alors que Lincoln sortit une casserole et une cuillère en bois, du meuble.
- Sara : Lincoln ! Ne fait pas ça ! Il est fatigué, bon sang, s’écria la jeune femme en le retenant par le bras tandis qu’il éclatait de rire.
- Lincoln : S’il te plait, laisse moi au moins ce plaisir là !
- Sara : Mais de quel plaisir tu parles, Burrows ? De réveiller ton frère en faisant du vacarme ?
- Lincoln : J’ai envie de voir la tête qu’il va faire, rétorqua-t-il en riant.
- Sara : C’est de la tienne, moi que je vais rire si tu le réveilles ainsi ! Vous êtes de vrais gamins, fit-elle en cédant. Débrouilles toi, de toute façon, vous êtes aussi têtus l’un que l’autre.
- Lincoln : Merci, Sara, lança-t-il avant de s’enfuir de la pièce en riant.
Sara resta seule dans la cuisine et pouffa de rire, imaginant bien la tête que Michael fera quand son frère va le surprendre avec les fesses à l’air.
En moins d’une minute, elle entendit des cris furieux de Michael et les fous rire de Lincoln. S’empressant de les rejoindre, elle se mit à rire puis ne put retenir davantage l’hilarité qu’elle ressentit en découvrant la scène qui se dérouler sous ses yeux.
Lincoln était cloué sur le lit tandis que Michael le maintenait fermement, attendant visiblement de plates excuses, en le menaçant avec son oreiller.
- Sara : Vous êtes impossible, tous les deux ! J’aurais du prendre le caméscope, fit-elle en pouffant de rire.
- Michael : Pourquoi tu l’as laissé entrer ? Demanda-t-il en relâchant son emprise en observant sa femme qui se tordait de rire.
Sara haussa les épaules, faignant de ne pas comprendre comment Lincoln avait pénétré dans la chambre.
- Lincoln : Il faut que tu bouges tes fesses, p’tit frère ! Dit-il en se levant.
- Michael : Oui mais pas besoin que tu viennes me sortir du lit, rétorqua-t-il en se recouchant.
Sara lui sourit et s’avança vers Michael qui lui ouvrit les bras. Il l’attira contre lui et l’embrassa tendrement avant de regarder Lincoln.
- Michael : Je préfère que ce soit ma femme qui me sort du lit, Linc.
- Lincoln : Sara, te sortir du lit ! Tu te fous de moi ? Rétorqua-t-il en levant les yeux au plafond. Mais allez, remue toi ! J’ai demandé au Père David si on pouvait emmener Kylian, Carla, Jason et Janice pour travailler avec nous.
- Sara : C’est vrai ? C’est génial ça ! Il a accepté ?
Lincoln acquiesça d’un signe de tête.
- Michael : On aurait pu très bien se passer d’eux. Je sais encore mettre mes murs en peinture, répondit-il, les yeux froncés.
- Sara : Mais oui, Michael. Mais ça ira beaucoup plus vite. Je croyais que tu étais pressé que nous emménageons rapidement ?
- Michael : Je sais, et je le veux toujours, souffla-t-il en caressant la joue de son épouse. Mais ces gamins doivent avoir autre chose à faire, non ?
- Lincoln : Non, justement ! C’est eux qui ont proposés de vous donner un coup de main. J’en ai donc discuté avec le père David et il a accepté, informa Lincoln en se dirigeant vers la porte. Allez, dépêche toi de te lever, on doit y être dans moins d’une demie heure.
Sara lui sourit et regarda la porte se refermer avant de tourner son visage vers Michael.
- Sara : Tu n’es pas content, Scofield ?
- Michael : Si bien sur mais… j’avais imaginé autre chose pendant ces travaux, fit-il sur un ton malicieux.
- Sara : Hum… allez, lève toi, mon cœur avant que ton frère sort toute la batterie de cuisine.
- Michael : Je ne bougerais pas d’ici avant que tu m’es donné mon baiser.
- Sara : Tu oses me faire du chantage ? Demanda-t-elle en prenant un air scandalisé.
Michael haussa un sourcil en souriant puis il l’attira dans ses bras, la faisant basculer sur le matelas. Il fit taire sa protestation dans un long et langoureux baiser qui leur coupa le souffle…
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Plus de 9h non mais est ce que c'est une heure pour se réveillé ? lol
Réveil en fanfare ! C'est brutal quand mm enfin bon ça va il a son bisous de Sara aprés
La suiiiiiiite !!!
Réveil en fanfare ! C'est brutal quand mm enfin bon ça va il a son bisous de Sara aprés
La suiiiiiiite !!!
Dernière édition par Amandine le Lun 1 Sep - 18:38, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Coucou les miss
voici la suite
bonne lecture :kis
Chapitre 45.
[Pressentiment….]
Les travaux de rénovation de la villa de la famille Scofield prenaient fins. Depuis trois jours, Michael, Lincoln, Lj et les quatre adolescents avaient repeint tous les murs des pièces, montaient les meubles de la nouvelle cuisine équipée, et vérifiaient la tuyauterie et effectuaient quelques travaux nécessaire pour leur confort. Michael termina de se sécher les mains et observa la disposition des meubles de la cuisine.
- Lincoln : Il ne te reste plus qu’a meubler les pièces, p’tit frère, fit-il en lui tendant une bière.
- Michael : Merci. Hum, je pense qu’on devrait pouvoir emménager dés le début de semaine prochaine. Et je te remercie pour tout, Linc.
- Lincoln : Y’a pas de quoi, Michael, répondit Lincoln en souriant, l’observant attentivement.
- Michael : Quoi ?
- Lincoln : Tu vas bien ? Demanda-t-il, soucieux du regard pensif qu’il avait depuis la matinée.
Michael poussa un long soupir et but une gorgée avant de reposer la cannette sur la table.
- Michael : Tout va bien, Linc, ne t’en fais pas. Je pense juste à Sara, c’est tout.
- Lincoln : Vous vous êtes disputés ? Demanda-t-il en fronçant les sourcils.
- Michael : Non.. C’est juste qu’elle m’a dit ce matin qu’elle irait à l’hôpital et on est pas trop d’accord…
- Lincoln : Elle travaille là-bas, Mich !
- Michael : Elle est en vacance !
- Lincoln : Jensen, souffla-t-il tandis que Michael serra les mâchoires.
- Michael : Je sais que tu vas me dire que je n’ai rien à craindre, je le sais mais je peux pas m’empêcher de penser ce qu’il aurait pu se passer pour Sara et Chrysie si je ne serais pas revenu…
- Lincoln : Tu es là, Michael ! Et Sara t’aime.
Michael poussa un soupir et ferma les yeux un instant avant de regarder son frère, l’air bouleversé….
- Michael : Linc… j’ai une drôle intuition…, lâcha-t-il dans un souffle.
- Lincoln : Comment ça ? Demanda Lincoln, soudain inquiet.
- Michael : Ce n’est peut être rien, mais j’ai un pressentiment que quelque chose va arrivé… je n’arrive pas à comprendre ou savoir ce que c’est…
- Lincoln : La compagnie ?! Michael ! S’écria-t-il en prenant son frère par les épaules, repensant à ce qu’il s’était passé quatre ans plus tôt. Ne me dis pas que…
- Michael : Mais non ! Il n’y a plus de cartel, Linc… tu peux me croire ! C’est pas ça, c’est autre chose mais je n’arrive pas à savoir quoi, répondit Michael en s’écartant de lui.
Lincoln l’observa un moment silencieusement, et fut prit d’un malaise grandissant à l’intérieur de lui-même. Il connaissait son frère et il savait que la plupart du temps, les intuitions qu’il ressentait, pouvaient s’avérer exactes. Il se leva et s’approcha de lui. Posant une main réconfortante sur son épaule, il lui dit d’une voix rassurante.
- Lincoln : Rien ne se passera, Mich. Tu as subi pas mal d’émotion ces derniers temps, mais je te promets qu’on fera tous attention, d’accord ?
Michael hocha la tête en signe d’acquiescement pour le réconforter dans son idée mais intérieurement, cette crainte s’animait toujours en lui.
- Kylian : Linc, Mich ? Appela l’adolescent en revenant du jardin. On a terminé de repeindre la cabane. Vous venez ?
Michael lui sourit, et le suivit à l’extérieur avec Lincoln. Ils félicitèrent les adolescents, constatant la perfection des finitions, poux la plus grande fierté de Kylian qui avait passé plusieurs minutes à rattraper les coulées de peinture de ses camarades…
Quand à Sara, elle venait de sortir de la clinique, tenant Chrysie par la main quand son portable se mit à sonner. Elle décrocha, et installa sa fille à l’arrière du véhicule.
- Chrysie : C’est qui, maman ? Demanda la fillette.
- Sara : C’est Marie Cruz, ma puce, répondit-elle en souriant avant de reprendre sa conversation téléphonique.
Chrysie lui sourit et resta silencieuse, observant sa mère qui poursuivait sa discussion quand son regard fut attirer sur la droite, où des arbres avaient été planté sur l’espace herbeux, entourés par des bancs pour les personnes qui désiraient se reposer. Là, elle aperçut une jeune femme qui la fixait. La fillette répondit à son sourire puis, elle fronça les sourcils, constatant que ce n’était pas la première fois qu’elle voyait ce visage. Elle tourna brusquement la tête vers sa mère pour l’informer.
- Chrysie : Maman ?
- Sara : Oui ? Répondit Sara avant de mettre fin à sa conversation. Qu’est-ce qu’il y a, Chrysie ?
Surprise de constater que la dame avait disparut, la fillette secoua la tête.
- Chrysie : On rentre voir papa ? Demanda-t-elle.
- Sara : Papa doit être rentré à l’appartement, à mon avis. Il est déjà dix-huit heures, répondit la jeune femme en regardant les aiguilles de sa montre.
Sara s’installa derrière le volant et lança un regard dans le rétroviseur. Elle poussa un long soupir, puis se tourna vers sa fille.
- Sara : Qu’est-ce qu’il y a, ma puce ? Demanda-t-elle, inquiète de voir son enfant pensive.
- Chrysie : Rien, j’ai envie de voir papa, c’est tout, répondit la petite, serrant son lapin dans ses bras.
- Sara : On y va, ma chérie, l’informa-t-elle en souriant avant de démarrer le véhicule…
voici la suite
bonne lecture :kis
Chapitre 45.
[Pressentiment….]
Les travaux de rénovation de la villa de la famille Scofield prenaient fins. Depuis trois jours, Michael, Lincoln, Lj et les quatre adolescents avaient repeint tous les murs des pièces, montaient les meubles de la nouvelle cuisine équipée, et vérifiaient la tuyauterie et effectuaient quelques travaux nécessaire pour leur confort. Michael termina de se sécher les mains et observa la disposition des meubles de la cuisine.
- Lincoln : Il ne te reste plus qu’a meubler les pièces, p’tit frère, fit-il en lui tendant une bière.
- Michael : Merci. Hum, je pense qu’on devrait pouvoir emménager dés le début de semaine prochaine. Et je te remercie pour tout, Linc.
- Lincoln : Y’a pas de quoi, Michael, répondit Lincoln en souriant, l’observant attentivement.
- Michael : Quoi ?
- Lincoln : Tu vas bien ? Demanda-t-il, soucieux du regard pensif qu’il avait depuis la matinée.
Michael poussa un long soupir et but une gorgée avant de reposer la cannette sur la table.
- Michael : Tout va bien, Linc, ne t’en fais pas. Je pense juste à Sara, c’est tout.
- Lincoln : Vous vous êtes disputés ? Demanda-t-il en fronçant les sourcils.
- Michael : Non.. C’est juste qu’elle m’a dit ce matin qu’elle irait à l’hôpital et on est pas trop d’accord…
- Lincoln : Elle travaille là-bas, Mich !
- Michael : Elle est en vacance !
- Lincoln : Jensen, souffla-t-il tandis que Michael serra les mâchoires.
- Michael : Je sais que tu vas me dire que je n’ai rien à craindre, je le sais mais je peux pas m’empêcher de penser ce qu’il aurait pu se passer pour Sara et Chrysie si je ne serais pas revenu…
- Lincoln : Tu es là, Michael ! Et Sara t’aime.
Michael poussa un soupir et ferma les yeux un instant avant de regarder son frère, l’air bouleversé….
- Michael : Linc… j’ai une drôle intuition…, lâcha-t-il dans un souffle.
- Lincoln : Comment ça ? Demanda Lincoln, soudain inquiet.
- Michael : Ce n’est peut être rien, mais j’ai un pressentiment que quelque chose va arrivé… je n’arrive pas à comprendre ou savoir ce que c’est…
- Lincoln : La compagnie ?! Michael ! S’écria-t-il en prenant son frère par les épaules, repensant à ce qu’il s’était passé quatre ans plus tôt. Ne me dis pas que…
- Michael : Mais non ! Il n’y a plus de cartel, Linc… tu peux me croire ! C’est pas ça, c’est autre chose mais je n’arrive pas à savoir quoi, répondit Michael en s’écartant de lui.
Lincoln l’observa un moment silencieusement, et fut prit d’un malaise grandissant à l’intérieur de lui-même. Il connaissait son frère et il savait que la plupart du temps, les intuitions qu’il ressentait, pouvaient s’avérer exactes. Il se leva et s’approcha de lui. Posant une main réconfortante sur son épaule, il lui dit d’une voix rassurante.
- Lincoln : Rien ne se passera, Mich. Tu as subi pas mal d’émotion ces derniers temps, mais je te promets qu’on fera tous attention, d’accord ?
Michael hocha la tête en signe d’acquiescement pour le réconforter dans son idée mais intérieurement, cette crainte s’animait toujours en lui.
- Kylian : Linc, Mich ? Appela l’adolescent en revenant du jardin. On a terminé de repeindre la cabane. Vous venez ?
Michael lui sourit, et le suivit à l’extérieur avec Lincoln. Ils félicitèrent les adolescents, constatant la perfection des finitions, poux la plus grande fierté de Kylian qui avait passé plusieurs minutes à rattraper les coulées de peinture de ses camarades…
Quand à Sara, elle venait de sortir de la clinique, tenant Chrysie par la main quand son portable se mit à sonner. Elle décrocha, et installa sa fille à l’arrière du véhicule.
- Chrysie : C’est qui, maman ? Demanda la fillette.
- Sara : C’est Marie Cruz, ma puce, répondit-elle en souriant avant de reprendre sa conversation téléphonique.
Chrysie lui sourit et resta silencieuse, observant sa mère qui poursuivait sa discussion quand son regard fut attirer sur la droite, où des arbres avaient été planté sur l’espace herbeux, entourés par des bancs pour les personnes qui désiraient se reposer. Là, elle aperçut une jeune femme qui la fixait. La fillette répondit à son sourire puis, elle fronça les sourcils, constatant que ce n’était pas la première fois qu’elle voyait ce visage. Elle tourna brusquement la tête vers sa mère pour l’informer.
- Chrysie : Maman ?
- Sara : Oui ? Répondit Sara avant de mettre fin à sa conversation. Qu’est-ce qu’il y a, Chrysie ?
Surprise de constater que la dame avait disparut, la fillette secoua la tête.
- Chrysie : On rentre voir papa ? Demanda-t-elle.
- Sara : Papa doit être rentré à l’appartement, à mon avis. Il est déjà dix-huit heures, répondit la jeune femme en regardant les aiguilles de sa montre.
Sara s’installa derrière le volant et lança un regard dans le rétroviseur. Elle poussa un long soupir, puis se tourna vers sa fille.
- Sara : Qu’est-ce qu’il y a, ma puce ? Demanda-t-elle, inquiète de voir son enfant pensive.
- Chrysie : Rien, j’ai envie de voir papa, c’est tout, répondit la petite, serrant son lapin dans ses bras.
- Sara : On y va, ma chérie, l’informa-t-elle en souriant avant de démarrer le véhicule…
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
touchant la conversation entre freres.
et la petite qui n'est pas à l'aise.
nika
c'est elle n'est ce pas, qu'est ce qu'elle vient faire ici.
vivement la suite
et la petite qui n'est pas à l'aise.
nika
c'est elle n'est ce pas, qu'est ce qu'elle vient faire ici.
vivement la suite
orilimi- Rendez vous avec le Coyote...
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Localisation : j'attend linc mike et sara à la frontiere
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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