Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49

heureusemant pour toi, j'ai moins pleuré car tu as ajouté une dose d'humour
sinon Sara a réagit de façon très zen, pour ma part ça aurait été une gifle et des cris mais bon
ils me font beaucoup de peine tous les deux
je ne vois pas les choses s'arranger très vite, elle va avoir du mal à lui pardonner et lui redonner sa confiance
sinon je me demande comment sont protégées les écoles aux USA, Michaël y est entré très facilement
il a surveillé Sara et Lincoln quand ils venaient chercher Chrysie

allez la suivante car je suis très très sage


gros

Merci les filles, voici la deuxième et dernière suite du jour :::lol
bonne lecture biz

Chapitre 11.


[Révélation]


Sara était furieuse mais elle ne pouvait pas ignorer que son cœur battait toujours pour lui. Elle éprouvait de la peur, concernant la réaction de sa fille. Elle ne pouvait pas laisser Chrysie dans l’ignorance du retour de son père.

Comment apprendre à une fillette de quatre ans que son père était revenu alors qu’elle le croyait au ciel parmi les anges ? Elle n’en avait pas la moindre idée, ne trouvait pas les paroles à prononcer mais elle savait qu’elle devait le lui dire.

En aucun cas, elle voulait lui mentir. Chrysie serait bouleversée si jamais elle tombait sur lui. Elle l’aurait reconnu aussitôt, songea-t-elle. Les photos de Michael étant présentes dans leur salon.

A présent, elle était perdue, désemparée sur l’attitude à adopter. Alors qu’elle essuya ses larmes, Katie pénétra dans la cuisine au même instant. Elle lui sourit faiblement tandis qu’elle s’approcha d’elle et l’étreignit.

Sara ferma les yeux et repoussa l’envie d’éclater en sanglot dans les bras de sa meilleure amie. Elle s’écarta d’elle un instant après et alla s’installer sur une chaise.

- Sara : Il est bien là, Katie, murmura-t-elle dans un souffle.
- Katie : Il te faudra du temps, mais tu l’aimes toujours….

Étais-ce une question ? Sara n’en avait pas la moindre idée mais elle hocha la tête d’un signe affirmatif.

- Katie : Dans ce cas, je suis certaine que tout ce passera pour le mieux. J’ai téléphoné à Jensen… tu ne vas pas m’en vouloir ? Il t’a donné une semaine de congé….
- Sara : Non, j’avoue que je ne me sens pas capable d’aller sauver des vies aujourd’hui, remercia-t-elle en lui serrant la main.
- Katie : Tu en as besoin, ma grande.
- Sara : Merci d’être toujours là quand j’en ai besoin, Katie.
- Katie : C’est normal, tu es ma petite sœur, fit-elle en souriant, émue. Il es déjà plus de sept heures, il faut que je file. Si tu as un soucis, appelle moi, d’accord ?
- Sara : C’est promis…

Alors que Sara allait la remercier une fois encore, Katie leva la main afin qu’elle s’interrompe.

- Katie : Tu l’embrasseras pour moi… et moi, je m’occupe de lui botter les fesses dés que je le verrais, d’accord ?

Sara hocha la tête, riant de sa remarque. Émue, elle embrassa Katie et la regarda quitter la cuisine….

La minute suivante, Chrysie pénétra dans la cuisine et observa sa maman silencieusement. Serrant son lapin dans ses bras, elle s’approcha d’elle et posa sa petite main sur son épaule.

- Sara : Oh ! Bonjour mon ange. Je ne t’ai pas entendu te lever, fit-elle en embrassant sa fille sur la joue.
- Chrysie : Pourquoi tu as pleuré ? Demanda la fillette en s’installant sur les genoux de sa mère.

Sara déglutit péniblement sous le regard interrogateur de sa fille. Comment pouvait-elle lui avouer la véritable raison de ses pleurs ? Se demanda-t-elle en passant les mains dans les longues boucles brunes de Chrysie.

- Sara : Ma puce… je dois t’annoncer quelque chose de très important, commença-t-elle par dire, en proie à un malaise intérieur.


Souriante par l’excitation de la nouvelle que sa mère devait lui annoncer, la fillette s’agita un instant sur les genoux de Sara et la regarda droit dans les yeux.


- Chrysie : C’est quoi ?
- Sara : Tu sais….


La jeune femme ferma les yeux un instant afin de trouver la force de continuer. Soudain, elle sentit les deux petites mains de sa fille entouraient son visage dans un geste réconfortant. Elle ouvrit les yeux, et constata encore qu’elle avait la même façon de regarder que son père avait quand il soutenait une personne ou l’encourager à se confier.

- Sara : Je dois te parler de ton papa, mon cœur, lâcha-t-elle enfin dans un souffle.
- Chrysie : De mon papa ? C’est encore à cause de lui que tu es triste ?
- Sara : Non… oui mais…
- Chrysie : Papa reviendra un jour, j’ai fais ce vœu, donc il va revenir… oncle Fernando dit toujours que si on arrive à éteindre toutes les bougies d’un coup, c’est sur qu’il se réalisera.

Sara resta un moment sans voix et observa le visage de sa petite fille. Elle avait fait le vœu de voir son papa… mon dieu…


- Chrysie : Ne pleure pas maman, fit la fillette d’une voix triste.
- Sara : Je ne suis pas triste ma chérie, répondit Sara en reniflant et en essuyant les larmes qui perlèrent aux coins de ses paupières. Ton papa… ton papa est revenu, ma chérie.

Le visage de Chrysie se crispa sous cet aveu. Sara la regarda, priant silencieusement qu’elle ne soit pas bouleversée comme elle le redoutait. Peu à peu, les traits du visage de la fillette se détendit.

- Chrysie : C’est Junior qui va pas en croire ses oreilles ! Il croie que les vœux ne se réalisent pas, fit-elle en haussant les épaules.
- Sara : Chrysie ? Tu n’es pas contente que ton papa soit revenu ?
- Chrysie : Je sais pas. Il est où ?
- Sara : Chez ton oncle Lincoln, répondit-elle, inquiète de sa réaction.

Sara sentit son cœur se serrer dans sa poitrine. D’un geste tendre, elle caressa le visage de la fillette.

- Sara : Alors ? Tu ne me dis pas si tu es contente que ton papa soit revenu…
- Chrysie : Je suis contente si tu n’es plus triste.
- Sara : Ma chérie, souffla-t-elle en la serrant contre elle.
- Chrysie : Il ne va pas habitait ici, dis maman ?


Sara tenta de cacher la surprise qu’elle éprouva à cette question. Elle se leva et déposa son enfant sur une chaise à côté d’elle avant de lui sortir son petit déjeuner.

- Sara : Non, pas pour l’instant du moins. Papa et maman doivent se parler avant et …
- Chrysie : Est-ce que je peux aller le voir ?
- Sara : Tu es sure ? Demanda Sara, fronçant les sourcils.
- Chrysie : Oui, répondit-elle en hochant la tête énergiquement.
- Sara : Très bien, nous irons dés que tu as terminé ton petit déjeuner, promit-elle en lui souriant.

C’est alors qu’après lui avoir annoncer qu’elle ne travaillait pas cette semaine, qui applaudit de joie, une voix provenant du salon se fit entendre. Chrysie échangea un sourire complice avec sa mère avant de demander à Lj de les rejoindre dans la cuisine….

Super suite !!!!!!

- Katie : Tu l’embrasseras pour moi… et moi, je m’occupe de lui botter les fesses dés que je le verrais, d’accord ?

Trop MDR Katie

- Chrysie : Papa reviendra un jour, j’ai fais ce vœu, donc il va revenir… oncle Fernando dit toujours que si on arrive à éteindre toutes les bougies d’un coup, c’est sur qu’il se réalisera.

Trop emovant cette phrase

- Chrysie : C’est Junior qui va pas en croire ses oreilles ! Il croie que les vœux ne se réalisent pas, fit-elle en haussant les épaules.

J'adore trop sa réaction elle est trop migonne !

- Sara : Tu es sure ? Demanda Sara, fronçant les sourcils.
- Chrysie : Oui, répondit-elle en hochant la tête énergiquement.

Chrysie qui est prête à voir son papa

Vivement la suite ! C'était génial miss comme d'habitude

Katie est une véritable amie pour Sara, c'est sa grande soeur
et elle va lui botter les fesses elle au moins
Chrysie qui avait fait le voeu de revoir son papa
donc papa et maman vont vite parler et recommencer à vivre
hâte de voir la réaction de Michaêl face à sa fille et ensuite la confrontation Michael/Sara

Coucou les miss
un grand merci pour vos coms mes minettes, je vous adore^^
vous êtes prêtes pour la suite ? ilh
allez, là voilà
bonne lecture les miss biz

Chapitre 12.

[Moment intense]

Il était à peine neuf heures quand Sara sortit de la salle de bain. Elle avait déjà donné le bain à Chrysie, qui l’attendait avec impatience dans le salon avec Lj. Le jeune homme lui avait dit que Michael avait besoin de soin pour la blessure que son frère lui avait faite au visage.

Elle avait tenté de ne pas laisser paraître son trouble devant Chrysie et avait donc accepté.
Elle ne lui avait même pas adressé un regard, une heure et demie plus tôt dans l’appartement de son beau-frère. Elle n’avait pas trouvé le courage de lui faire face. Mais sa fille voulait le rencontrer, elle voulait le connaître, songea Sara en se promettant d’être forte pour elle.

Poussant un long soupir, elle se focalisa sur cette promesse avant de retrouver Lj et sa fille. Ils étaient devant la télévision en train de regarder les dessins animés. La fillette se leva du canapé, remarquant la présence de sa mère dans le salon.

- Chrysie : On y va, maman !!!

Sara la regarda, et lui sourit tendrement. Lj éteignit la télévision et s’approcha de sa tante.

- Lj : Tout va bien se passer, Sara, murmura-t-il en la prenant dans ses bras.

La jeune femme le remercia d’un sourire avant de s’accroupir à la hauteur de Chrysie.

- Sara : Tu es certaine de vouloir y aller maintenant, mon ange ?


La petite hocha la tête avec énergie et d’une impatience débordante. Sara se redressa et lança un regard vers Lj qui souriait.

- Sara : D’accord, allons-y dans ce cas, fit-elle d’une voix qui trahissait son émotion.

Lincoln et Michael étaient installés dans le canapé du salon à présent. Ils discutaient encore tous les deux de ces dernières années passées sans lui. Lincoln lui apprit que sa fille était plus intelligente que son père, ce qui fit sourire Michael.

- Lincoln : En tout cas, la douche que tu viens de prendre t’a rendu plus…

Il s’interrompit soudainement alors que la porte s’ouvrit sur Lj.

- Lincoln : Ha te voilà….

Surprit, Lincoln ouvrit de grand yeux à la vue de la petite tête brune qui passait autour des jambes de son fils. Il finit par lui sourire et leva le regard vers Sara qui le fixait pour ne pas regarder Michael.

Une grande émotion le submergea à la vision qu’il avait devant lui. Incapable de réagir, Michael fixa tour à tour Sara et leur fille. Les larmes lui montaient sans qu’il ne puisse y faire quelque chose pour cacher son émotion.

Quatre longues années où il avait rêvé de cet instant, qu’il avait imaginé ce jour où il allait enfin les retrouver. Il inspira profondément et émit un sourire tandis que Chrysie leva le visage vers sa mère. Sara lui sourit et croisa enfin le regard de Michael.

Le temps s’arrêta….


Tout autour se figea…

Hypnotisée par le regard intense qu’il lui faisait face, Sara perdue toutes notions de réalité. Sa colère disparut, laissant place à toutes les émotions qui la submergée. Incapable de détourner le regard, elle déglutit péniblement. Il n’avait pas changé, il était toujours aussi beau, toujours aussi déstabilisant, songea-t-elle en apercevant une fine cicatrice sur son front qu’elle ne connaissait pas. Elle contempla les traits de son visage tandis que son regard se baissa vers les lèvres de la jeune femme. Lincoln ne l’avait pas raté, se dit-elle. A première vue, il avait besoin de point de suture.

Quelqu’un se racla la gorge. Elle n’aurait su dire de qui il s’agissait mais elle profita de ce rappel à la réalité pour baisser le regard vers Chrysie qui les observer d’un air ravi.

- Lincoln : Alors ma grande, je n’ai plus droit à un bisou ? Fit-il en s’adressant à sa nièce, faisant mine de bouder.

La petite éclata de rire d’un air joyeux en voyant la moue de son oncle. Elle s’approcha de lui rapidement et il la prit dans ses bras sous le regard ému de Michael qui était juste à ses côtés. Elle embrassa son oncle sur la joue et lui demanda d’arrêter de la serrer ainsi. Sara sourit tandis que Michael la regardait, ému.

Lincoln la lâcha et contempla Chrysie tandis qu’elle se posta devant son frère qui se redressa devant sa fille. Un flot d’émotion le traversa sans prévenir alors que la fillette lui déposa un baiser timide sur la joue.

Bouleversée, Sara quitta la pièce et se dirigea dans la cuisine. Lj la suivit à la demande du regard de Lincoln. Rapidement, il pénétra dans la cuisine et fut surpris de voir sa tante qui fouillait nerveusement dans les armoires.

- Lj : Sara ?
- Sara : Peux-tu aller me chercher la trousse de secours s’il te plait ? Demanda-t-elle sans lui adresser un regard.

Hébété, le jeune homme s’exécuta et sortit de la pièce. Refermant l’armoire, Sara s’appuya contre le plan de travail et fondit en larmes….

- Chrysie : Alors c’est toi, mon papa ? Pourquoi tu es revenu ? Demanda la fillette en soutenant le regard de Michael.
- Lincoln : Heu… je t’avais dis qu’elle était plus intelligente que toi, fit Lincoln en souriant.
- Michael : Je vois ça, souffla-t-il dans un murmure.

Ému, il leva une main délicatement pour la poser sur le visage de la fillette. Elle ne fit aucun mouvement de recul, pour le plus grand plaisir de Michael. Doucement, il lui caressa la joue, et avec une émotion intense qu’elle lisait dans ses yeux, il murmura :

- Michael : Je suis désolé… de t’avoir abandonné…

Un silence balaya la pièce. Lincoln fut curieux de savoir ce que sa nièce allait lui répondre.

- Chrysie : Quand j’ai soufflé mes bougies, j’avais fais le vœu que tu reviens à la maison pour que maman ne soit plus triste… et… elle pleure encore…

Michael fut choqué par ses paroles. Il chercha de l’aide dans le regard de son frère, mais celui-ci se leva et lui sourit avant de quitter la pièce, les laissant seuls tous les deux.

Il ferma les yeux puis, il prit les mains de son enfant dans les siennes. Il ne s’était pas trompé, songea-t-il en plongeant son regard dans celui de Chrysie. Elle était aussi magnifique que Sara. Elle avait ses yeux, certes, mais il reconnaissait parfaitement l’ovale parfait de son visage, son petit nez mutin…

- Chrysie : Tu ne partiras plus ?
- Michael : Non ! Non, je ne partirais plus, mon ange, fit-il en prenant sa fille dans ses bras. Chrysie passa les bras autour de son cou et le serra très fort.
- Michael : Je ne t’abandonnerais plus jamais, Christina, murmura Michael, laissant couler une larme le long de sa joue.

Chrysie s’écarta de l’étreinte de son père et le regarda d’un sourire satisfait. Lentement, elle posa un doigt sur la joue humide de Michael qui déglutit péniblement.

- Chrysie : Oncle Fernando dit que les hommes qui pleurent sont des mauviettes !


Retenant un rire, Michael embrassa la fillette sur son front.

- Michael : Oncle Fernando dit toujours des bêtises, ma chérie.


Chrysie se mit à rire.

- Chrysie : Oui, c’est vrai, ça. Mais il n’a pas dit de bêtise pour mon vœu car tu es là, répliqua-t-elle en haussant les épaules.
- Michael : Chrysie… je suis vraiment désolé…
- Chrysie : Si maman ne pleure plus et qu’elle n’est plus malheureuse, je t’en veux plus….

Michael la remercia et la prit dans ses bras tandis qu’elle posa sa tête sur le torse de son père et qu’elle ferma les yeux, savourant le contact de cet homme qui l’a protégerait de tout, à présent.

Lincoln et Sara se tenaient à l’embrassure de la porte et regardaient la scène attendrissante qui se déroulait dans le salon. Lj arriva avec la trousse médicale que Sara lui avait demandé. Lincoln referma la porte tandis que la jeune femme vérifia le contenu de son matériel.

- Sara : Tu aurais pu y aller moins fort, Lincoln !
- Lincoln : Désolé mais j’ai pas sentit ma force.

Sara pouffa de rire quand elle vit qu’il bombait le torse pour lui montrer ses muscles. Elle allait un peu mieux, et il s’en réjouit, pensa-t-il en la prenant dans ses bras.

- Lincoln : Tu penses qu’il a besoin de point de suture ? Demanda Lincoln quelques minutes plus tard.
- Sara : Je n’en suis pas certaine, mais même si il en a besoin, ce n’est pas moi qui le recoudrait !
- Lincoln : Sara !

Lj pouffa de rire mais Lincoln le foudroya du regard.

- Sara : Je plaisantais ! Fit-elle en prenant le nécessaire avant de se tourner vers la porte.
- Lincoln : Qu’est-ce que tu attends ?
- Sara : Rien, je me prépare, c’est tout…

Lincoln sourit et posa une main sur l’épaule de sa belle sœur. Il se pencha vers son oreille et lui murmura :


- Lincoln : Tu pourras toujours compter sur moi…


La jeune femme se retourna et plongea son regard dans le sien. Elle sourit pour le remercier et déposa un baiser sur sa joue avant de prendre son inspiration et sortit de la cuisine, pour rejoindre Chrysie… et Michael….

Trop émouvant la conversation Chrysie/Michael
Linc qui est toujorus là pour sa belle-soeur
Sara a un peu mieux, mais pour combien de temps
Met vite la suie avec la confrontation Sara/Michael !

c'est encore trop émouvant pour moi Chrysie qui est très impatiente de rencontrer son papa Sara un peu moins
ensuite le face à face Michael/Chrysie elle est vraiment très intelligente cette petite
elle n'ait pas du tout intimidé par lui et c'est tant mieux
maintenant je veux la confrontation Sara/Michaël
et surtout qu'il reste seuls pour le baiser du docteur qui guérit


alors LA SUITE

coucou


alors aujourd'hui ce sera deux longues suites

LA CONFRONTATION MICHAEL/SARA

alors ??????????

Ouais ! Met vite la suite !
Avec du MiSa !
Trop hâte !
Esperons que ça a bien se passer
J'attend toujours

Gros

Merci les miss pour vos coms
voici la suite biz
bonne lecture^^






Chapitre 13.

Découvrez Sarah McLachlan!

[Lutte du cœur]
Après avoir prise une nouvelle inspiration profonde, Sara sortit de la cuisine. Son cœur se souleva dans sa poitrine malgré les efforts qu’elle faisait pour garder la tête droite et froide, mais la vision de sa fille dans les bras de Michael la bouleversa.

Elle s’approcha rapidement, luttant contre l’émotion qui l’a gagné au fur et à mesure qu’elle faisait un pas. Michael ouvrit les yeux, conscient de la présence de la jeune femme. Il murmura son prénom d’une manière désespérée, elle en fut touchée mais n’en laissa rien paraître.

Bruyamment, elle déposa la trousse de soin sur la table basse et se concentra à sortir le contenu sous le regard amusé de Chrysie qui lança un regard à son père. Michael lui sourit tendrement.

- Michael : Tu peux aller rejoindre oncle Linc, ma puce ?
- Sara : Pas la peine. Tu peux rester ici, ma chérie, répliqua-t-elle d’une voix sèche.
- Chrysie : Tu vas lui faire mal ? Demanda la fillette en se levant du canapé, les yeux fixés sur le kit de soin qu’elle préparait.
- Sara : Je… ton père est un dur, il n’aura pas mal, l’informa-t-elle sans quitter le regard des compresses qu’elle ouvrait d’un geste assuré.
- Lincoln : J’emmène Chrysie au parc pour une ballade, fit Lincoln en s’exclamant, pénétrant dans le salon avec Lj. Ça te dit ma princesse ?
- Chrysie : Oh oui ! Je peux maman ?

Sara foudroya son beau frère du regard, comprenant ce qu’il était en train de faire. Elle regarda sa fille et accepta, malgré elle. Deux minutes plus tard, elle se retrouva seule avec lui…

Michael ressentit un pincement au cœur. Il n’y avait pas de doute sur la colère qui envahissait Sara, songea-t-il en la fixant. La jeune femme termina de verser la bétadine sur une compresse et leva la main vers le visage de Michael.

- Michael : Sara…
- Sara : Ne bouge pas, lui ordonna-t-elle d’une voix furieuse.

Mal à l’aise pour soigner la plaie de son arcade sourcilière, elle s’agenouilla face à lui. Ils étaient tout proche, trop proche songea la jeune femme, troublée. Se concentrant sur la blessure de Michael, il la contempla, les yeux brillants, surpris par ses gestes doux qu’elle faisait pour soigner sa blessure.

Il ferma les yeux, savourant le contact de ses doigts sur sa peau. Il aurait tout donné pour qu’à cet instant précis, elle dépose ses lèvres sur les siennes…

A cette pensée, il rouvrit les paupières et fut bouleversé par le regard intense qui le contempler. Hypnotisée par son visage, sa proximité, Sara fut incapable de bouger. Elle n’en trouva pas la force non plus de repousser la main qu’il venait de poser sur sa joue.

Sans s’en rendre compte, une larme roula le long de sa joue. Michael l’essuya délicatement de son pouce, le regard ancré dans celui de la jeune femme. C’est à cet instant qu’elle se mit à réagir, bien qu’elle mourait d’envie de retrouver la douceur de sa peau contre la sienne, elle recula.

- Michael : Sara, ne fait pas ça, fit-il dans un murmure en agrippant son poignet pour la retenir.

Sara baissa le regard sur ses doigts qui la tenaient fermement et resta un instant ainsi. Elle eut l’impression de revivre cet instant, quand elle avait été le retrouver à Gila, des années auparavant. Tous les souvenirs l’assaillirent soudainement mais elle se reprit. Elle releva son regard furieux vers lui et lança d’une voix faible mais où l’on pouvait percevoir sa colère :


- Sara : Je fais ce qu’il me plait : tu n’as pas à me dire ce que je dois ou ne pas faire ! Lâches-moi !
- Michael : Non… Sara. Si tu as envie de me hurler dessus, fait le mais ne m’ignore pas, je t’en prie…. Je t’aime, je n’ai jamais cessé de t’aimer, pas un seul instant…

La colère la submergea de plus belle ! Comment osait-il lui dire qu’il l’aimait alors qu’il l’avait abandonné ? Elle se leva brusquement afin de lui échapper mais il la suivit en la maintenant par les bras.

- Michael : Dis moi que tu ne m’aimes plus ?!!! Je te laisserais tranquille, Sara mais dis moi que je ne suis plus rien pour toi !

Sara se débattit pour échapper à son étreinte, pleurant de rage silencieusement. Comment pouvait-il lui faire ça ? Se demanda-t-elle, tentant de le repousser. Mais Michael l’attira dans ses bras et la serra contre lui, comme si il avait peur qu’elle le fuit.

Impuissante, elle finit par éclater en sanglot dans ses bras. Il desserra alors son étreinte et l’attira plus tendrement dans ses bras. Il ferma les yeux, lui murmurant des mots apaisants mais Sara était déboussolée…. Elle le repoussa violement et s’écarta de lui, levant une main dans un geste menaçant.

- Sara : Ne me touche pas ! Hurla-t-elle, en larme.
- Michael : Sara…, murmura-t-il tristement en s’avançant vers elle.

La jeune femme fut surprise de le voir si tenace, elle recula d’un pas, tandis qu’il brisa le nouvel écart qu’elle venait de mettre en eux.

- Michael : Je t’aime, Sara…

Sara secoua la tête, elle avait envie de lui hurler qu’il la laisse, qu’il arrête de lui dire ces mots, mais elle fut surprise de sa rapidité. Prise de court, elle sentit ses bras se refermer autour d’elle, tandis que ses larmes inondaient ses joues.. Elle tenta de s’enfuir mais son dos se plaqua contre le mur, se retrouvant prisonnière dans les bras de son mari.

Toutes ces années de vide, de tristesse la submergea du plus profond de son âme. De ses poings, elle se mit à cogner son torse, hurlant sa colère de les avoir abandonné. Elle le frappa encore, et encore. Il ferma les yeux, encaissa chaque mots de haine qu’elle criait, chaque coups qu‘elle portait.

Alors qu’elle commençait à se calmer dans ses bras, épuisée, Michael souleva son visage d’une main. Leurs regards humides de larmes se soudèrent un instant, et n’y tenant plus, Michael baissa son visage lentement vers le sien avant de capturer les lèvres de la jeune femme…

Super suite !
Pauvre Sara quand même .
Michael qui l'embrasse à la fin ;
Comment va t-elle réagir ?
Encore encore encore !

love-misa-love a écrit:Super suite !
Pauvre Sara quand même .
Michael qui l'embrasse à la fin ;
Comment va t-elle réagir ?
Encore encore encore !

tout pareil que la miss!!!

j'espere qu'elle ne va pas le giffler

le debut de leur conversation avait pourtant assez bien demarez!!!!

vivement la suite

Merci mes minettes
bon, voici le moment crucial, j'espère que vous ne serez pas décues^^

biz

Chapitre 14.

[Rapprochement]


Sara ferma les yeux, pensant qu’elle résisterait mais l’étreinte de Michael balaya toute la résistance de ses sens. Ses lèvres chaudes pressées contre les siennes firent monter un flot de sensations qu’elle croyait perdue à jamais.

Michael la serra un peu plus, la sentant défaillir contre lui. Il écarta sa bouche de la sienne et la fixa d’une intensité enivrante. Elle ouvrit les paupières et sentit son cœur se soulevait dans sa poitrine. Pendant ce qu’il lui parut une éternité, Michael laissa son regard ancrait au sien. Elle avait l’impression qu’il pouvait lire en elle, comme il y a quatre ans…

Incapable de résister plus longtemps, elle noua ses bras autour de son cou et l’embrassa avec passion. Il resserra son étreinte et répondit à son baiser désespéré avec fougue…

Pendant de longues minutes, ils s’embrassèrent presque violement, puis peu à peu, leur baiser fut doux, reprenant des allures d’autrefois quand ils savouraient tous les deux ses moments qui n’appartenaient qu’à eux seuls…

Savourant le contact cette étreinte qu’ils rêvaient tous deux de retrouver, Michael laissa sa main aller et venir dans le dos de la jeune femme avec une douceur infinie. Un gémissement de plaisir, de retrouver des sensations si longtemps endormies, Sara se pressa davantage contre son corps, laissant une larme de bonheur coulait le long de sa joue. Elle mit fin au baiser, à bout de souffle et nicha son visage dans le cou de son époux, humant son odeur.

- Michael : Pardonne-moi, mon cœur, murmura-t-il dans un sanglot étranglé en la serrant très fort dans ses bras.

Sara fut incapable de parler, bouleversée par ce qu’il venait de se passer, elle s’écarta de lui et alla s’installer dans le canapé. Michael laissa une larme s’échapper de sa paupière et la contempla, se maudissant de tant l’avoir fait souffrir. Il s’approcha d’elle, lentement, sachant qu’il faudrait être patient…

Le visage enfuit dans le creux de ses mains, elle cessa de pleurer et redressa la tête.
- Sara : Je… je suis désolée, Michael… je ne peux pas. Je te croyais mort ! Comment as-tu put nous faire ça ? Lui demanda-t-elle d’une voix brisée.
- Michael : Sara…

Le jeune homme s’installa sur la table basse, face à elle et lui prit les mains dans les siennes. Sara ne fit aucun geste de recul mais elle luttait toujours de toutes ses forces intérieurement.

Prenant une profonde inspiration, Michael était prêt à lui raconter tout ce qu’il s’était passé, priant silencieusement qu’elle lui pardonne ses erreurs.

- Michael : Le jour où j’ai eu cet accident… je ne savais pas que c’était la dernière fois que je te voyais…. Je savais que ce jour arriverait, Sara… mais je n’avais pas la moindre idée de la date, ni comment tout ça aller se dérouler…


Sara écarquilla les yeux, stupéfaite et furieuse.

- Sara : Tu savais ! ? Tu savais que tu allais nous abandonner !!! S’écria-t-elle en le fixant d’un regard haineux.

Michael ferma les yeux un instant, le cœur brisé.

- Michael : Oui… et crois-moi que je me suis détesté ! Chaque jours passés à tes côtés, je me suis maudit mais je ne pouvais rien te dire, Sara. Ils t’auraient tué ! Je ne voulais pas que tu cours le moindre danger, toi… et notre enfant..
- Sara : Comment as-tu pu accepter cette mascarade ?!
- Michael : Je n’avais pas le choix, fit-il dans un murmure.

Sara le fixa, hébétée. C’est alors qu’elle se souvint de tous ses moments où elle l’avait trouvé si triste, abattu…. En proie à une culpabilité de n’avoir rien pu faire pour deviner, comprendre ce qu’il se passait, elle plongea son regard dans le sien, brillant de larmes.

- Michael : Chaque dois ou nous faisions l’amour… où je te serrais dans mes bras, je…

Ne sachant plus continuer, il lâcha les mains de Sara et se leva brusquement. Elle le suivit du regard, le cœur serré de le voir ainsi. Il souffrait au plus profond de lui, elle avait mal d’entendre la détresse dans sa voix. Elle l’aimait toujours, elle en était consciente et de remuer tous ses douloureux souvenirs n’étaient bon pour personne. Ni pour lui, ni elle et Chrysie.

Lentement, elle se leva et s’approcha de lui tandis qu’il fixait la vue près de la baie vitrée. Alors qu’il avait l’intime conviction que plus rien ne serait jamais pareil entre eux, Michael ferma les yeux et laissa un soupir profond s’échapper de sa gorge quand il sentit dans son dos, la main de Sara.

- Sara : Quand repars-tu ?
Surprit, il ouvrit les yeux et se tourna vers elle.
- Michael : Je ne pars pas, Sara. Jamais je ne repartirais loin de toi, et de Chrysie. Tout est terminé….

Michael s’interrompit un instant et prit à nouveau les mains de la jeune femme dans les siennes avant de lui avouer…

- Michael : Paul Kellerman avait besoin de moi, Sara. Ne crois pas que j’ai fais cela pour l’aider… beaucoup de personnes avaient encore le moyen de reprendre la situation où elle s’était arrêtée. Il fallait que je les arrête, Sara…. Pendant les deux premiers mois, je n’étais pas capable d’être sur le terrain. J’ai commencé à prendre connaissance de certains documents compromettants, de réunir les photos des anciens membres de la compagnie qui étaient vivants. Puis, nous avons commencé à détruire toutes les preuves, tous les membres existants, du plus gros au plus petits…

Il s’interrompit. Prenant un souffle qui l’aidera à contenir la souffrance qu’il ressentait encore, il continua.

- Michael : Ça nous a prit trois ans et cinq mois. Trois années et cinq mois où mes mains sont souillés par leurs sangs…
- Sara : Michael…, murmura-t-elle, bouleversée.
- Michael : Je me devais le faire, Sara. Si je ne l’aurais pas fais, un jour où l’autre, un des membres aurait continué. Des personnes innocentes auront vécus ce qui nous est arrivé, ou nos enfants…. Ils auraient été prêts à tout, je ne pouvais rester là, sans rien faire. Tout est finit maintenant, termina Michael en la prenant par les bras.
- Sara : Je… tu avais dis que tout était finis, il y a quatre ans…
- Michael : C’est-ce que nous pensions… Sara…
- Sara : Et maintenant ? Tu vas te plonger dans quel quête ? Le monde a besoin d’être sauvé, et toi, tu vas encore… nous laissez te croire mort, c’est ça ?!

- Michael : Sara… je n’aurais pas prit le risque de revenir. Je ne partirais plus…


Elle s’écarta de lui, s’en était trop. Comment le croire qu’il ne repartirait plus en quête de sauver le monde ? Elle prit son visage dans le creux de ses mains, tentant de réfléchir.

- Michael : Je sais que je vous ai fait souffrir…
- Sara : Tu m’as manqué, Michael, murmura-t-elle d’une voix brisée. Je venais d’accoucher… de mettre notre fille au monde quand j’ai appris ta disparition… tu m’as brisée, Michael….

Michael fit un pas un avant, il aurait voulu la prendre dans ses bras, lui faire oublier ses quatre années de souffrance, mais elle leva une main, lui faisant comprendre de ne pas l’approcher. Elle sécha ses larmes du revers de sa manche et releva la tête.

- Sara : Je n’ai jamais cessé de t’aimer. J’en suis incapable, Michael… mais il faut que tu me laisses du temps, fit-elle en s’éloignant vers la porte, d’une voix emplit d’émotion.
Michael acquiesça d’un signe de tête, déglutissant péniblement à la douleur grandissante qu’il ressentait loin d’elle.

- Sara : Nous avons une petite fille très intelligente, Michael. Ne la trompe pas comme tu l’as fais avec moi…
- Michael : Sara…
- Sara : Si tu l’as fais souffrir, je ne te le pardonnerais jamais, fit-elle en sortant de l’appartement en claquant la porte, laissant Michael seul, avec des regrets amers…

Put*n ! Tu m'as trop fait pleurer Quand je pense que ça avait bien commencer Alors pour te faire pardonner tu doit nous donner une autre suite

Tu écris toujours superbement bien !

love-misa-love a écrit:Put*n ! Tu m'as trop fait pleurer Quand je pense que ça avait bien commencer Alors pour te faire pardonner tu doit nous donner une autre suite

Tu écris toujours superbement bien !

pareil pour moi d'ailleurs je vais devoir racheter des mouchoirs
quand est ce que tu vas arrêter de me faire pleurer
même si évidemment je ne veux pas qu'elle lui pardonne trop facilement, je trouve les réactions décrites très émouvantes et réalistes, je vis ta fic

Si tu l’as fais souffrir, je ne te le pardonnerais jamais,

moi non plus, déjà que j'aurai aimé une gifle alors si il recommence avec Sara et du coup Chrysie, je lui parle plus







UNE AUTRE SUITE ET UNE WESA AUSSI

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Je crois bien que j'ai tout dit

oui j'ai compris les miss mdr
Merci mes minettes,
voici la suite^^
biz








Chapitre 15.

[Aveu]

Sara ouvrit les yeux et poussa un soupir de lassitude, quand elle constata qu’il n’était que six heures du matin. Et dire qu’elle était en congé ! A croire qu’elle était réglée comme son réveil matin, songea-t-elle en se levant.

Aussitôt qu’elle mit la cafetière en marche, quelques instants plus tard dans la cuisine, ses pensées se portèrent vers Michael. Il n’avait pas changé. Elle avait mal de le voir souffrir autant qu’elle avait souffert. La tristesse qu’elle avait lu dans son regard lui avait brisé, malgré tout, le cœur un peu plus qu’il ne l’était déjà. Mais il était bien vivant, se répéta Sara.
La vielle, Lincoln avait raccompagné Chrysie, une heure après qu’ils étaient sortit en promenade. Sara avait décliné son invitation à dîner tout ensemble, c’était trop tôt. Lincoln comprenait mais ne cacha pas la déception qu’il éprouvait face à la situation. Vers trois heures de l’après midi, alors que sa fille faisait la sieste dans sa chambre, Lincoln était venu discuté avec elle.

Tout allait s’arrangé, lui disait-il. Elle le savait également mais il lui était difficile d’accepter, tout simplement. Tout comme il lui avait été difficile d’accepter son absence.
A présent, il fallait aller de l’avant. Elle était forte, pouvait encaisser encore des épreuves, bouleversantes ou autre, mais elle était certaine qu’elle ne pourrait pas supporter un nouvel abandon de sa part….


Chrysie avait besoin de lui, pensa-t-elle avec un faible sourire sur les lèvres mais les larmes plein les yeux.

Quand à Michael, il était déjà levé depuis quatre heures du matin. Incapable de fermer les yeux alors qu’il souffrait comme jamais au fond de lui. Combien de fois il s’était hait de ce qu’il leur avait fait ? Il n’aurait su le dire, ou d’énumérer toutes les fois où il a tué, parfois de ses propres mains, sans armes pour se venger ! Tout était leurs fautes, il ne cherchait plus qu’à laisser tomber le masque et les tuer, les abattre pour cacher la douleur qu’il ressentait de les avoir perdus….

Mais, jamais il ne s’était sentit soulagé. Pendant toutes ses années, il n’avait pas dormit, se nourrissait à peine, contenant la rage, la haine destructrice qu’il contenait en lui pour ses destructeurs, pour les responsables.

Il s’était promit toute une vie avec Sara. Lui faire des enfants, mais il l’avait quitté. Pourquoi ne s’était-il pas battu plus que ça ? Il s’en voulait, mais les regrets ne tuaient pas les heures…
Perdu dans ses pensées, Michael n’entendit pas son frère s’approcher de lui et lui poser une main réconfortante sur son épaule, il sursauta :

- Lincoln : Hey, tu es déjà debout ?
- Michael : Salut Linc, répondit-il dans un souffle.
- Lincoln : Depuis combien de temps tu es réveillé ? Demanda-t-il, inquiet de le voir si fatigué.
- Michael : Environ deux heures. Le café est prêt.
- Lincoln : Merci. Tu devrais aller te recoucher, il est encore tôt, fit Lincoln en se dirigeant vers la cuisine.
- Michael : Je n’ai plus sommeil, répliqua Michael en le suivant dans la pièce.
- Lincoln : Je te serre ? Demanda Lincoln en servant le breuvage noir encore brûlant.
Michael hocha la tête en signe d’acquiescement et s’installa prés de Lincoln.
- Michael : Linc… merci pour être resté près d’elles.
- Lincoln : Tu m’as déjà remercié, Mich. Tu ne vas pas passer ton temps à répéter la même chose.
- Michael : Je sais que ça n’a pas du être facile pour toi non plus .


Lincoln fronça les sourcils. Voulait-il vraiment qu’ils abordent le sujet maintenant ? Non, il n’est pas question qu’ils parlent de cela maintenant, se dit Lincoln, repensant malgré lui aux crises de désespoir qu’il avait du faire face avec Sara.

- Michael : Hé ? Désolé, Linc, murmura-t-il , comprenant le trouble de son frère.
- Lincoln : Elle était prête à faire une grosse bêtise, un jour où je suis arrivé chez vous… nous étions encore en France…. C’est dés ce jour là, d’ailleurs qu’on a quitté le pays…
- Michael : Linc… murmura-t-il, les yeux stupéfait et apeuré, le souffle court.

Les yeux rougis par la colère, Lincoln planta son regard dans le sien.

- Lincoln : Ta fille venait d’avoir huit mois… elle dormait dans sa chambre… Sara avait été joyeuse la veille, pour la première fois depuis… que tu l’as quitté. Je pensais qu’elle allait survivre, qu’elle allait se reprendre et continuer…

Lincoln s’interrompit, se leva brusquement de sa chaise qui tomba au sol dans un bruit fracassant. Il se frotta le visage fermement de ses mains, comme si il pouvait effacer la vision de ce jour maudit.

- Lincoln : Je l’ai trouvé, inerte dans sa chambre. Elle avait prit deux boites de…
- Michael : Oh mon Dieu…, murmura-t-il, d’une voix brisée.
- Lincoln : Ne lui en parle pas, Michael ! Elle s’en veut toujours énormément de ce geste qu’elle a eut. Elle ne voulait pas abandonner sa fille, mais dans le désespoir qu’elle était tombée…


Michael enfuit son visage dans le creux de ses mains après avoir accepter d’un signe de tête. Il ne l’écoutait plus, il n’avait plus besoin d’entendre un mot de plus. Tout ce qu’il aurait voulu à cet instant, c’est que son frère le frappe violement, il voulait qu’il ressente le mal qu’il lui avait fait….

Alors qu’il finit par éclater en sanglot dans le creux de ses mains, Lincoln s’approcha de Michael et s’agenouilla près de lui. Lentement, il tenta de relever le visage de son frère.

- Lincoln : Hé, tout est finit, p’tit frère…

A bout de force et d’épuisement, Michael se laissa aller à l’étreinte de son frère. Soudain, alors qu’il sentit une douleur atroce au niveau de sa poitrine, il ferma les yeux et entendit les hurlements de Lincoln qui appeler son fils…

peut être une autre dans la soirée biz

Super suite ! La bétise de Sara avant Pauvre Michael il me fait trop de la peine

Oui met la suite stp stp stp stp

Allez les miss, je peux pas vous laisser comme ça^^
mdr.
voici la dernière suite biz

Chapitre 16.

[Réveil]


Lincoln ouvrit la porte de la chambre d’ami où Michael se reposait. Il était plus de sept heures, et il venait d’appeler Fernando pour le prévenir de son retard. Il avança dans la pénombre de la pièce et s’installa sur le bord du lit. Michael ouvrit les yeux, constatant une présence à côté de lui.

- Michael : Salut…
- Lincoln : Tu sais que tu nous as fais peur ? Demanda Lincoln en le fixant, un sourire attendrit sur les lèvres.
- Michael : Désolé… qu’est-ce qui s’est passé ? Demanda Michael en se redressant sur le lit, étonné de ne pas se souvenir qu’il s’était déshabillé.
- Lincoln : C’est le médecin qui t’a enlevé tes vêtements, tu as fais un malaise, hier matin, tu ne te souviens plus ?
- Michael : Hier matin ? Qui est-ce médecin ? Où est Sara ? Demanda-t-il, d’une voix paniquée.


Lincoln sourit et le retint par les épaules.

- Lincoln : Calme toi, Michael ! Tu dois resté au lit encore deux jours ! Je ne plaisante pas, ni Sara. Tu devras resté dans ce lit et pas la peine de la contredire si tu ne veux pas qu’elle te torde le cou !


Michael émit un faible sourire, comprenant qu’elle ait prit soin de lui, une fois de plus.

- Michael : Elle était en colère ?
- Lincoln : Disons que tu lui as fais peur. Et je te conseille de manger car si tu avais entendu toutes les injures qu’elle a dit en t’enlevant ce tee-shirt.

Michael baissa les yeux sur son torse et fronça les sourcils. C’est vrai qu’elle pouvait l’avoir trouvé minci, mais il ne fallait pas non plus exagérer, pensa-t-il, pestant intérieurement qu’il n’était pas conscient quand elle prenait soin de lui.

- Michael : Tu travailles aujourd’hui ?
- Lincoln : Oui, mais je peux prendre un jour de congé si tu veux ?
- Michael : Non, ne t’inquiète pas pour moi.
- Lincoln : Ho, mais c’est pas pour toi que je m’inquiète, fit-il en souriant tandis que son frère fut surpris.
- Lincoln : Sara m’a promit de venir te voir de temps en temps, pendant la journée. Et Lj reste ici.
- Michael : Tu ne m’avais pas dis qu’il devait travailler au centre ? Demanda-t-il, surpris.
- Lincoln : Je lui laisse le temps de se remettre un peu… et il vient de rompre avec sa petite amie qui y fait un stage, qui plus ai.
- Michael : Aie. Au fait, tu ne m’as pas parlé de Sofia…
- Lincoln : Nous avons rompu, un mois après que tu…
- Michael : Désolé.
- Lincoln : Ho mais il n’y a pas de quoi, s’exclama-t-il d’un air trop joyeux pour que Michael l’interroge du regard.
- Michael : Je vois, fit-il en riant.
- Lincoln : Tout s’arrangera pour toi, Michael, fit Lincoln en posant une main sur son épaule. Il faut que j’y aille. Fernando passera ce soir avec Marie Cruz et les petits.
- Michael : Ha oui, c’est vrai. C’est Rosa, sa fille ?


Lincoln acquiesça d’un signe de tête en souriant.

- Michael : Sara vient à quelle heure ?
- Lincoln : Lj vient de partir chez elle pour lui dire que je te réveillais. Par contre, je ne sais pas si elle viendra maintenant. Bon j’y vais ! A ce soir, j’appellerais dans la journée…


Quelques minutes plus tard, Sara tomba nez à nez avec Lincoln sur le palier.

- Lincoln : Salut toi, fit-il en l’embrassant. Tu vas voir notre grand malade…
- Sara : Oui, je vais profiter que Chrysie dort encore. Lj la surveille le temps que je vais l’examiner. Il est réveillé ?
- Lincoln : Oui, il m’a l’air plus en forme, fit-il en poussant un soupir.

Sara lui sourit avant de s’avancer vers la porte de l’appartement de son beau frère.

- Lincoln : Ne sois pas trop dur avec lui, Sara. Je sais plus que n’importe qui que tu as souffert de son absence, mais il…
- Sara : Je sais, Linc. L’interrompit-elle en prenant sa main. file, tu vas être en retard, ne t’inquiète pas pour lui.

Lincoln la remercia d’un sourire et s’engouffra dans l’ascenseur. La jeune femme fixa les portes se refermer et entra enfin dans l’appartement. Serrant sa trousse médicale contre elle, Sara s’avança dans le couloir et s’arrêta devant la porte de la chambre de Michael. Le souffle court, elle tenta de reprendre sa respiration et frappa doucement.

- Michael : Sara ?


Surprise d’entendre sa voix derrière elle, la jeune femme se tourna vivement vers lui et parcourut involontairement du regard son corps presque nu. Elle déglutit péniblement et remonta son regard pour le planter dans celui de Michael qui sourit, s’apercevant de son trouble.

- Sara : Qu’est-ce que tu fais debout ? Tu dois rester alité, Michael ! Fit-elle d’une voix furieuse.
- Michael : Je sais, mais je devais me lever.
- Sara : Et pour…

La jeune femme s’interrompit aux haussements de sourcils que lui faisait Michael, d’un air moqueur.

- Michael : Tu vas bien ? S’inquiéta-t-il tandis qu’elle chancela légèrement.
- Sara : C’est plutôt à toi qu’il faut poser cette question ! Répliqua-t-elle sèchement va t’allonger, je dois t’examiner.

Michael avança jusqu’au lit et s’y allongea sans la quitter du regard. Furieuse contre elle, de ressentir ses sensations, elle s’approcha d’un pas assuré et resta concentrée sur son statue de médecin, et lui était son patient, se répéta-t-elle.

- Michael : Je suis désolé de t’avoir fait peur, hier, murmura-t-il tandis qu’elle plaçait son stéthoscope autour de son cou.
- Sara : Tu as eu un malaise, tu es sous alimenté, Michael. Tu as besoin de récupérer un peu. Tu as mangé, ce matin ? Lui demanda-t-elle en posant l’extrémité ronde de son stéthoscope sur sa poitrine afin de vérifier son rythme cardiaque.
- Michael : Je ne mange plus le matin.
- Sara : Et bien, dorénavant, tu mangeras tous les matins. Redresses-toi.

Michael s’exécuta tandis qu’elle se pencha en avant et passa son bras pour continuer l’examen. Leurs corps étaient très proche et Michael se surprit de calculer la distance entre leur bouche qui les séparer. Il évalua silencieusement quel mouvement devait-il faire pour qu’elle soit prisonnière de son étreinte.

Alors qu’elle déplaçait l’objet froid dans son dos, il tourna légèrement son visage vers le sien. Sara était concentré sur son examen et il sourit tandis qu’un frisson lui parcourut l’échine.

- Michael : Sara…, murmura-t-il d’une voix rauque.
- Sara : Allonges-toi, fit-elle, indifférente au désir qu’elle entendait dans le son de sa voix. Je dois encore prendre ta tension…


Elle sortit le tensiomètre et s’installa au bord du lit, prenant soin de ne pas frôler son corps avec le sien. Alors qu’elle avança une main pour lui prendre le bras, il se redressa sur le lit d’un mouvement vif, et dans un élan fougueux, il s’empara de ses lèvres.

Sara tenta de se débattre mais sa bouche posée sur la sienne fit abattre toutes ses résistances. Une fois de plus, son corps ne lui appartenait plus. Forçant le barrage de ses lèvres, Michael voulut approfondir son baiser mais Sara le repoussa brutalement et s’échappa de son étreinte.

Stupéfait par sa réaction, il resta un moment interdit avant de comprendre qu’il avait agi comme le roi des salauds. Comment osait-il lui faire endurer une épreuve de plus ? N’avait-elle pas assez souffert durant ces quatre années d’absences ? Il poussa un soupir de lassitude et d’amertume et se leva. Lentement, il s’approcha de la fenêtre où elle se tenait.
Elle le sentit derrière lui, elle ferma les yeux. Se demandant comment il avait le don de la bouleverser avec une telle facilité, elle se laissa aller dans ses bras qu’il venait de passer autour de sa taille. Michael nicha son visage dans le creux de son cou, humant son odeur retrouvé, il ferma les paupières et savoura l’instant.

- Michael : Excuse moi, Sara…

Elle s’écarta de lui sans un mot, et s’avança vers la porte.

- Sara : Je vais te chercher quelque chose à manger, recouche toi, je reviens, fit-elle dans un murmure avant de quitter la pièce….

Super suite ! Oh la la, je trouve Sara dûr avec Michael Je me répète mais il me fait de la peine

Bref mrci bcp pour cette suite ! A demain !

ok je pleure pas pour ces suites mais j'ai quand même les yeux tout humide
la tentative de suicide de Sara merci à Linc d'avoir été là
Michael qui fait un malaise , c'est bien d'être marié à un médecin maintenant elle va prendre soin de lui et lui préparer des bons petits plats
sinon elle continue à lui résister car elle doit vraiment trop souffrir, Michael va devoir être très patient pour reconquérir son coeur meurtrie


superbes suites mon Angie

à demain

Merci les miss
voici la suite
bonne lecture

Chapitre 17.

[Douce vengeance]

Sara a passé la journée dans l’appartement de Lincoln avec Lj et Chrysie. Elle gardait un œil sur Michael car elle doutait qu’il resterait au lit dés qu’elle aurait tourné le dos. Convaincue de son entêtement, elle avait décidé de rester.

Il était déjà plus de dix-huit heures et elle devait encore mettre le rôti au four. Lincoln l’avait appelé quelques heures plus tôt pour l’informer que Fernando et Mari Cruz restaient pour le dîner avec leurs enfants. Lj et Chrysie aidaient la jeune femme a préparé le repas. La petite avait passé du temps avec son père dans l’après-midi à jouer au scrabble et lire des histoires, repensa-t-elle en terminant le plat de viande.

- Sara : Voilà ! On a put qu’à les attendre, fit-elle en souriant à Lj et sa fille.
- Lj : Tu sais, ils ne seront pas là avant deux bonnes heures, répondit le jeune homme.
- Chrysie : Et papa ? Il pourra venir avec nous pour manger ? Demanda la fillette d’un ton inquiet.
- Sara : Je pense que oui. Il a écouté les conseils que je lui ai donné, donc je pense qu’il pourra se lever, si il n’est pas trop fatigué.
- Chrysie : Super ! S’exclama-t-elle en se levant de sa chaise. Lj ? Tu viens, on va jouer.
- Lj : Ho non, murmura-t-il dans un soupir, j’ai déjà joué avec toi à la poupée !


La fillette éclata de rire à la mine renfrognée de son cousin.


- Chrysie : Mais non, je ne te parle pas de jouer avec mes poupées, bien que j’ai bien vu que ça te plaisait ! Fit-elle tandis que Lj écarquillait les yeux sous le fou rire moqueur de Sara. On va jouer au jeu vidéo !
- Lj : Ha, fallait le dire plus tôt, fit-il d’une voix gêné. Tu n’as besoin d’aide, tante Sara ?
- Sara : Non merci, vous pouvez y aller. Je vais aller voir Michael si il se sent capable d’affronter tous ce monde ce soir.
- Lj : Ok. Allez, vient princesse.

Sara les regarda sortir de la cuisine d’un sourire amusé. Elle poussa un long soupir, une fois seule et se prépara mentalement pendant quelques minutes avant d’aller rejoindre son mari.
Chassant les sensations qu’elle avait retrouvé dans ses bras, dans la matinée, elle releva le menton fièrement pour se donner du courage et s’approcha de la porte de sa chambre. Elle frappa un coup et ouvrit la porte, n’attendant aucune réponse. Soulagée de le voir allongé dans son lit, et qu’il portait un tee-shirt, elle s’approcha de lui après avoir refermé la porte.
Michael sentit sa présence dans la pièce mais il garda les paupières closes.

- Sara : Michael ?

Il ne répondit pas….

Elle s’approcha près de lui puis, finit pas s’asseoir sur le bord du lit, prenant soin de ne pas effleurer son corps. Elle le contempla, le cœur battant à tout rompre et leva une main lentement vers son visage.

Michael se fit résistance afin de ne pas laisser paraître son trouble alors que les doigts de Sara se posèrent délicatement sur sa joue. Il résista, lutta contre le désir qu’il avait de la prendre dans ses bras. Savourant intérieurement la douce caresse qu’elle poursuivit vers son œil tuméfié par le poing de Lincoln.

Alors qu’elle prit conscience de ce qu’elle était en train de faire, elle retira sa main vivement, comme si elle venait de s’y brûler. Déglutissant péniblement, elle se donna une contenance afin de continuer à le réveiller.

- Sara : Michael ? Répéta-t-elle en fronçant les paupières.

Étrange, cela ne lui ressemble pas de ne pas se réveiller tout de suite, se dit-elle alors qu’un doute suscita en son esprit. En effet, Sara était loin d’être stupide, mais Michael s’obstina à jouer celui qui dormait profondément.

C’est alors qu’une idée germa dans l’esprit de la jeune femme. Bien que cette idée était dangereuse pour lui, ainsi que pour elle, Sara décida de la mettre en avant.

- Sara : Très bien, murmura-t-elle en fixant ses paupières toujours fermées.

Retenant son souffle, Sara passa ses bras de chaque côté du corps de Michael pour prendre appuie et pencha son visage vers le sien. D’une lenteur délibérée, elle l’embrassa d’une pluie de doux baisers sur sa joue. Elle frissonna de tous son corps malgré qu’elle serrait les poings pour éloigner les sensations qu’elle éprouvait.

Lentement, elle reposa ses lèvres sur sa joue piquante de sa barbe naissante et se redressa, satisfaite d’entendre un léger gémissement rauque étouffé de sa gorge. Prise à son propre piège, elle n’eut pas le temps de s’échapper que Michael la fit basculer sur le lit.

- Sara : Michael !

Prisonnière du corps de Michael couché sur le sien, elle tenta de se débattre de son emprise mais le jeune homme retint fermement ses poignets qu’il passa au dessus de sa tête.

- Sara : Lâche moi, Scofield ! C’est pas drôle ! Fit-elle d’une voix furieuse en constatant son large sourire qu’il affichait sur ses lèvres.

Lèvres qu’elle aurait voulu embrasser, songea-t-elle avant de secouer la tête afin de balayer cette pensée aussi vite qu’elle est apparut à son esprit.

- Michael : C’est toi qui m’a embrassé…
- Sara : Tu faisais semblant de dormir et… non… ne fait pas ça, fit-elle dans un murmure peu convainquant qui pourrait encourager son agresseur.

Michael arborait toujours un sourire ravi, approchant lentement son visage du sien. Prête à recevoir son baiser, ses lèvres s’entrouvrirent alors qu’il plongea son visage dans son cou. D’abord surprise de se sentir frustrée, elle ferma les yeux, savourant la douceur de ses lèvres sur sa peau.

Michael l’embrassa doucement… lentement et continua de se venger en posant ses lèvres à la naissance de sa gorge. Bientôt, les gémissements rauques de Sara l’encouragea à continuer. Il releva la tête et plongea son regard brillant de désir dans celui de sa femme. Satisfait de retrouver la lueur dans ses pupilles qui le faisait chavirer autrefois, il captura ses lèvres avec passion.

Anéantissant toutes les barrières qu’elle avait solidement dressé, du moins, le pensait-elle, en elle avant d’entrer dans cette pièce, elle répondit à son baiser qui les laissa pantelants quelques minutes plus tard.

- Sara : Je… tu…
- Michael : Je t’aime, Sara. Fit-il dans un souffle en la serrant dans ses bras.

Tremblante, elle se laissa aller dans ses bras et ferma les yeux, bouleversée.

- Sara : Tu devrais aller prendre une douche…
- Michael : Il faudra que tu m’aides, murmura-t-il tandis qu’elle s’écarta de son étreinte.
- Sara : Ne rêve pas trop ! Répliqua-t-elle en se levant et en ajustant sa tenue. Fernando et Mari Cruz viennent pour dîner….
- Michael : Je sais, Chrysie me l’a dit tout à l’heure, fit-il en faisant une grimace de douleur qui n’échappa pas à la jeune femme.
- Sara : Tu as mal ? Demanda-t-elle en s’approchant de lui.
- Michael : Oui.
- Sara : Où ça ?

Michael sourit face à son inquiétude et prit sa main dans la sienne.

- Michael : J’ai mal partout.
- Sara : Tu veux que je t’aide ? Demanda-t-elle en voyant qu’il lui était difficile de se mettre sur ses pieds.
- Michael : A me lever ou à prendre ma douche ?
- Sara : Tu prends ça à la rigolade, n’est-ce pas ? Tu ne me fais pas rire, bordel ! Si tu crois que tu vas réussir à me mettre dans ton lit en plaisantant comme tu le fais et à me faire peur, tu te trompes ! Répliqua-t-elle, furieuse et au bord des larmes.
- Michael : Hé… ma puce ? Je suis désolé, excuse moi…

Il l’attira dans ses bras et la berça quelques instants contre lui.

- Sara : Je vais aller voir Chrysie. Je demanderai à Lj de venir te donner un coup de main, si tu veux, fit-elle d’une voix emplit de tristesse avant de s’écarter.
- Michael : Non ça ira, murmura-t-il en lui tendant la main. Sara…

Baissant les épaules d’un air las, elle s’avança vers lui et déposa un léger baiser sur ses lèvres.

- Sara : Appelle moi si tu as besoin, fit-elle avant de quitter la pièce, laissant Michael bouche bée et le souffle court par l’espoir qui l’envahit à ce baiser qu’elle venait de lui donner….

Les 2 pris dans le même piège ! On dirait que notre Sara va mieux et vite la suite stp stp stp stp !!!!!!!!!!!!!!!!

mes yeux sont secs

quelle superbe suite
Sara a veillé sur son mari toute la journée et lui a pu jouer avec sa fille au scabble, elle est très intelligente cette petite
ensuite elle veut le réveiller, en sachant très bien qu'il fait semblant et d'une façon particulière mais elle se fait prendre au jeu car Michael lui ne compte pas la laisser sans tirer
il peut pas prendre sa douche tout seul, le pauvre mais c'est Lj qui devra l'aider ............ah non..............finalement il va se débrouiller
le dernier baiser est très troublant car il vient de Sara


allez miss encore une autre stp

mes yeux sont secs

Moi aussi