Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
je ne vous dis rien sauf MERCI mes chéries
voilà une suite^^
bonne lecture
Chapitre 18.
[Caprices…]
Le lendemain matin, Sara s’activa toujours à la même tache depuis qu’elle s’était levé à l’aube. Chrysie était réveillée depuis plus d’une heure et commencer à tout faire pour agacer la jeune femme qui était sur les nerfs.
- Sara : Non, Chrysie !
- Chrysie : Allez maman ! Insista-t-elle en sautillant furieusement sur ses pieds.
Levant les yeux au plafond, Sara posa son chiffon sur la table basse et regarda sa fille, en pleine crise de comédie.
- Sara : Maintenant, tu vas te calmer Christina-Rose ! Pour la dixième fois, je t’ai dis que nous irions demain, point final !
La fillette fit la moue et soutint le regard de sa mère. Elle avait l’habitude que sa fille pouvait faire sa tête de mule mais aujourd’hui, Chrysie exagérait. Depuis plus d’une demie heure, elle s’évertuait à lui faire comprendre qu’elle ne l’emmènerait pas cher Mari Cruz aujourd’hui, omettant de lui dire ses vraies raisons. En effet, la jeune femme avait comprit durant le dîner de la veille que Mari Cruz voulait discuter de la situation entre Michael et elle. Sara ne voulait pas en parler, et éviter de penser à cela aujourd’hui.
La veille au soir, le dîner chez Lincoln s’était bien passé malgré la tension qu’elle avait sentit entre Michael et Fernando. Bien sur, les retrouvailles avaient été très émouvantes mais tous le monde remarquait bien que Michael souffrait en silence.
Lincoln lançait sans cesse des regards inquiets vers son frère qui restait dans un silence où il se réfugiait. Sara avait profité de la fatigue de Chrysie pour s’éclipser chez elle avant le départ de la famille Sucre, sous le regard blessé et déçu de Michael.
Quand elle avait regagné sa chambre après avoir couché sa fille, elle avait relâché toutes ses tensions, toute la pression qu’elle entassait depuis le retour de Michael. A bout de force, la jeune femme s’était endormit, les joues inondées par les larmes.
A présent, elle poussa un long soupir et tendit le bras vers Chrysie qui recula d’un pas de colère.
- Sara : Écoute ma chérie, j’ai presque terminé, si tu as envie, nous pourrions aller nous promener toutes les deux au parc ?
- Chrysie : Non ! J’ai pas envie !
- Sara : Comme tu veux, mais tu n’iras pas aujourd’hui chez ton oncle Fernando !
La fillette baissa les épaules, déçue de comprendre que sa mère ne changerait pas d’avis. Elle alla s’installé dans le canapé en grognant et mit la chaîne de dessins animés. Un sourire se dessina sur les lèvres de Sara puis, elle reprit son activité.
Une heure plus tard, Sara sortit de la salle de bain. La douche qu’elle venait de prendre, lui avait fait un bien fou, songea-t-elle en rejoignant Chrysie au salon. A cet instant, la fillette se leva du canapé avec un grand sourire aux lèvres et tendit les bras vers sa mère. Sara éclata de rire et souleva son enfant dans ses bras.
- Chrysie : Je peux aller voir papa ?
La jeune femme ferma les yeux et tenta de refouler le trouble qui la submergea à ses paroles. Sara n’eut pas le temps de répondre que l’interphone se mit en marche, faisant retentir une sonnerie stridente dans l‘appartement. Pestant intérieurement, elle reposa Chrysie sur le sol et décrocha le combiné.
- Sara : Oui ? Fit-elle d’une voix interrogatrice.
- Homme : C’est moi. Tu m’ouvres ?
La jeune femme sourit et appuya sur le bouton des ouvertures de portes de l’immeuble.
- Chrysie : Alors maman ? Je peux y aller ?
- Sara : C’est pas le moment, ma chérie, répondit-elle en regrettant aussitôt sa réponse.
Elle regarda Chrysie et remarqua la déception dans son regard. Avec un pincement au cœur, elle ouvrit la porte et lui lança :
- Sara : Va voir déjà si il est là !
La fillette la remercia gaiement et partit frapper à la porte de l’appartement d’en face, où seul, quatre à cinq mètres la séparer par le palier. La jeune femme s’appuya contre le chambranle de la porte et sourit en observant sa fille qui s’impatienter. Une seconde plus tard, la porte s’ouvrit sur Michael.
- Michael : Hey, ma puce !
Émue, Sara regarda Michael qui soulevait Chrysie dans ses bras pour l’embrasser.
- Michael : Bonjour, Sara.
Incapable de répondre, elle se perdit dans son regard brillant pendant un instant. C’est Chrysie qui demanda l’attention de son père qui brisa le silence.
- Chrysie : Maman m’a dit que je pouvais te dire bonjour !
Michael la remercia d’un sourire tandis que Sara baissa la tête afin de cacher ses joues rosies par l’intensité de son regard qui la fixer. Soudain, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent…
Michael scruta l’homme en costume sombre s’avancer vers Sara.
- Homme : Salut, toi, fit-il en embrassant la jeune femme sur le front, sans prêter attention aux deux paires de yeux qui le foudroyer du regard.
- Sara : Salut, Jensen… entre, l’invita Sara au moment où il passa à côté d’elle pour pénétrer dans son appartement. Je reviens tout de suite, poursuivit la jeune femme en fermant la porte contre avant de s’avancer vers sa fille.
- Sara : Tu restes avec papa ? Tu peux la surveiller pendant cinq minutes ? J’en aurai pas pour longtemps…
Michael déposa sa fille sur le sol tandis qu’elle s’éclipsa à l’intérieur.
- Michael : Qui est cet homme ?
- Sara : Tu peux la prendre, oui ou non ?
- Michael : Bien sur que oui ! Sara ?
- Sara : Merci Michael, fit-elle avant d’entrer cher elle en claquant la porte au moment où Michael s’avança pour la retenir…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Chapitre 19.
[Bonne nouvelle !]
Michael referma la porte de l’appartement d’un air las. Tandis qu’il se posait des questions sur les rapports que Sara avait avec cet homme, Chrysie fixait son père de ses grands yeux bleus.
- Chrysie : Tu fais la tête, papa ? Demanda-t-elle quand il s’installa à ses côtés dans le canapé.
- Michael : Non, ma puce. Tu as bien dormis ? Lui demanda-t-il en la prenant sur ses genoux.
- Chrysie : Oui. Maman a été en colère contre moi ce matin.
- Michael : Ha… tu n’as pas été sage ?
- Chrysie : Ben, je crois que je l’embêtais, fit-elle en haussant les épaules. Je voulais aller voir Junior mais maman ne voulait pas et elle était furieuse que je le demande.
- Michael : Mais non, ta maman n’avait peut-être pas envie de sortir aujourd’hui, fit-il en l’embrassant sur le front. Elle est fatiguée en ce moment et…
- Chrysie : Je sais. Dis papa ? Quand est-ce que tu vas venir dormir à la maison ?
Michael sentit son cœur se serrer à cette question. Il inspira longuement et lui sourit avant de lui répondre.
- Michael : Je ne crois pas que maman voudrait que je vienne vivre avec vous, tu sais… elle est très en colère contre moi, mais c’est normal.
- Chrysie : Oui, ça je sais aussi mais elle est contente que tu sois revenu.
- Michael : Tu le crois ? Demanda-t-il en haussant un sourcil.
- Chrysie : Ben oui ! Je le vois dans ses yeux quand elle te regarde et elle n’avait jamais regardé personne comme ça, fit-elle d’une voix innocente.
- Michael : Moi aussi, ma chérie, je suis très content d’être prêt de vous. Et tu sais, ça prendra du temps mais je te promets qu’un jour, nous formerons une famille unie, tous les trois…
Rassurée, la fillette posa son visage souriant sur le torse de son père. Michael la serra contre lui, le cœur emplit d’amour pour sa petite fille.
Sara rapporta une tasse de café au salon et s’installa dans le fauteuil, face à Jensen, se demandant intérieurement ce que pouvait bien faire son chef de service chez elle.
- Sara : Comment ça se passe à l’hôpital ? Demanda-t-elle afin de rompre ce silence entre eux.
- Jensen : Tout va bien. Sara, je suis venue de voir pour t’apporter deux bonnes nouvelles, fit-il en se levant avant de s’avancer vers elle.
Sara écarquilla les yeux et se recula légèrement alors qu’il s’installa sur l’accoudoir de son fauteuil. Elle prit le dossier qu’il lui tendit.
- Sara : Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-elle, étonnée.
- Jensen : C’est le dossier de Jason CramPbell. Ouvre le, fit-il d’un air ravi.
Sara fronça les sourcils et ouvrit le dossier de son patient d’une main tremblante. Nerveuse, elle feuilleta les pages et lut le contenu de la dernière fiche de son dossier.
Un cri joyeux étouffé s’échappa de sa gorge. Elle se releva vivement et fixa le visage de Jensen qui sourit devant elle.
- Sara : Ho mon dieu… tu… tu lui as enfin trouvé un cœur !
- Jensen : Oui… je le transplante demain matin, fit-il en se levant à son tour.
La jeune femme relut une fois de plus les données du donneur tandis que les larmes lui montèrent aux yeux. Cela faisait plus d’un an que Jason attendait d’être transplanté. Elle s’était attaché à ce petit bonhomme de huit ans qui posséder un courage exceptionnel. Chaque jours, Sara allait lui rendre visite dans sa chambre où il était hospitalisé, et dés qu’elle avait encore un moment après sa garde, elle allait discuté avec lui. C’est comme si ce petit garçon lui donnait un peu de son courage au quotidien, pensa-t-elle en laissant une larme coulait le long de sa joue.
Jensen la fixait depuis un long moment et, quand il vit qu’elle pleurait silencieusement, il s’approcha d’elle et l’étreignit. Sara se laissa aller dans ses bras, heureuse de savoir que Jason serait entre de bonnes mains. Jensen était son chef de service dans l’hôpital, mais il était réputé en tant que grand cardiologue de Chicago.
Soudain, Sara sentit une sonnette d’alarme en elle qui la fit reculer d’un pas afin de s’écarter des bras du chirurgien.
- Sara : Il faut que j’aille le voir…
- Jensen : Ho.. Ne te précipite pas, Sara. Tu es en congé et je dois te dire…
- Sara : Il faut que j’aille le voir, il a confiance en moi…
- Jensen : Oui, je sais. Tu as passé beaucoup de temps à t’occuper de lui mais avant, je dois t’annoncer quelque chose.
- Sara : Quoi ? Demanda-t-elle en lui rendant le dossier médical de Jason.
- Jensen : Quand Katie m’a apprit que tu n’étais pas en forme pour venir au travail, je t’ai mis en congé une semaine…
- Sara : Oui, et alors ? Ça pose un problème ? Demanda-t-elle en proie à une irritation.
- Jensen : Ça dépend de quel point de vue, on se place ! Répliqua-t-il en reprenant sa place qu’il avait quitté quelques minutes auparavant.
- Sara : Qu’est-ce que tu veux dire ? Demanda la jeune femme, les sourcils plissés.
- Jensen : J’ai déposé tôt dans la matinée ta demande de congé et… le patron a remarqué que depuis les trois années que tu travailles avec nous, tu n’as pas prit un seul jour de repos…
- Sara : Ne me dis pas qu’il va m’imposer des jours de plus ? Répondit-elle en ouvrant grand les yeux. J’ai besoin de travailler, Jensen !
- Jensen : Pas seulement quelques jours, il t’a mis un mois d’office, pour commencer.
Sara leva les yeux au plafond et tenta de retenir un cri d’horreur ! Comment ferais-t-elle sans travailler ? Elle avait besoin d’être auprès de ses malades… pendant toutes ses années, elle se réfugiait dans son travail ! Et Michael qui était revenu qui plus ai ! Elle poussa un long soupire d’exaspération et porta son regard vers Jensen qui reposa sa tasse de café vide sur la table basse.
- Jensen : Tu en as besoin Sara. Tu devrais profiter avec Chrysie…
- Sara : Je n’ai pas le choix de toute façon !
- Jensen : Tu sais très bien qu’on a toujours le choix, Sara.
Sara fronça un instant les paupières. Elle ne reconnaissait pas le ton de sa voix. Bon, je crois que je ferais mieux de lui faire comprendre de partir, se dit-elle en se levant de son fauteuil.
- Jensen : Au fait, où est ta fille ? Demanda-t-il sans bouger du canapé.
Sara poussa un soupir.
- Sara : Elle est avec son père, lâcha-t-elle d’une voix impassible.
- Jensen : Hum, étonnant. Katie m’a informé qu’il était de retour de parmi les vivants.
- Sara : Ça suffit ! Si tu as envie de me dire quelque chose, concernant Michael, fait le, mais pas d’un ton cynique ou sarcastique, ok ?
Jensen la fixa un moment avant de répondre.
- Jensen : Je ne voulais pas te mettre en colère, excuse moi, fit-il en se levant d’un bond avant de prendre la jeune femme dans ses bras. Je suis désolé.
- Sara : Non, excuse moi… je…
- Jensen : Tu veux que je vienne te chercher cette après-midi ? On pourrait aller rendre visite tous les deux à Jason, il sera ravi de te voir. Il n’a pas arrêté d’embêter Katie pour pouvoir te téléphoner.
Sara s’écarta de son étreinte et se mit à rire.
- Sara : D’accord. Laisse moi le temps de voir avec Michael ou Lj pour voir si l’un deux peux garder Chrysie. Disons vers quinze heures ?fit-elle en s’avançant vers la porte pour qu’il comprenne qu’il est temps de prendre congé.
Jensen accepta d’un hochement de tête et s’avança vers elle. Prise au dépourvue, elle n’eut pas le temps de s’écarter davantage quand il la prise dans ses bras.
- Sara : Jensen…
Libérant la jeune femme dans un soupir, il la fixa et leva une main vers son visage. Délicatement, il replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Sara déglutit péniblement sous son regard noir intense et baissa le regard vers ses pieds où elle pria silencieusement pour qu’il s’en aille.
- Jensen : Je sais que tu es bouleversé par le retour de Scofield mais je suis là si tu as besoin de parler, d’accord ?
Sara répondit d’un mouvement de la tête et ouvrit la porte. Après l’avoir remercier pour Jason, elle s’effondra dans le canapé d’un air las. Elle aimait beaucoup Jensen, comme un ami qui a su la soutenir pendant des moments difficiles à l’hôpital, rien de plus, pensa-t-elle. Il était très séduisant, et très beau certes, mais son cœur ne battait que pour un seul homme, se dit-elle avant de se lever pour le retrouver dans l’appartement en face du sien…
[Bonne nouvelle !]
Michael referma la porte de l’appartement d’un air las. Tandis qu’il se posait des questions sur les rapports que Sara avait avec cet homme, Chrysie fixait son père de ses grands yeux bleus.
- Chrysie : Tu fais la tête, papa ? Demanda-t-elle quand il s’installa à ses côtés dans le canapé.
- Michael : Non, ma puce. Tu as bien dormis ? Lui demanda-t-il en la prenant sur ses genoux.
- Chrysie : Oui. Maman a été en colère contre moi ce matin.
- Michael : Ha… tu n’as pas été sage ?
- Chrysie : Ben, je crois que je l’embêtais, fit-elle en haussant les épaules. Je voulais aller voir Junior mais maman ne voulait pas et elle était furieuse que je le demande.
- Michael : Mais non, ta maman n’avait peut-être pas envie de sortir aujourd’hui, fit-il en l’embrassant sur le front. Elle est fatiguée en ce moment et…
- Chrysie : Je sais. Dis papa ? Quand est-ce que tu vas venir dormir à la maison ?
Michael sentit son cœur se serrer à cette question. Il inspira longuement et lui sourit avant de lui répondre.
- Michael : Je ne crois pas que maman voudrait que je vienne vivre avec vous, tu sais… elle est très en colère contre moi, mais c’est normal.
- Chrysie : Oui, ça je sais aussi mais elle est contente que tu sois revenu.
- Michael : Tu le crois ? Demanda-t-il en haussant un sourcil.
- Chrysie : Ben oui ! Je le vois dans ses yeux quand elle te regarde et elle n’avait jamais regardé personne comme ça, fit-elle d’une voix innocente.
- Michael : Moi aussi, ma chérie, je suis très content d’être prêt de vous. Et tu sais, ça prendra du temps mais je te promets qu’un jour, nous formerons une famille unie, tous les trois…
Rassurée, la fillette posa son visage souriant sur le torse de son père. Michael la serra contre lui, le cœur emplit d’amour pour sa petite fille.
Sara rapporta une tasse de café au salon et s’installa dans le fauteuil, face à Jensen, se demandant intérieurement ce que pouvait bien faire son chef de service chez elle.
- Sara : Comment ça se passe à l’hôpital ? Demanda-t-elle afin de rompre ce silence entre eux.
- Jensen : Tout va bien. Sara, je suis venue de voir pour t’apporter deux bonnes nouvelles, fit-il en se levant avant de s’avancer vers elle.
Sara écarquilla les yeux et se recula légèrement alors qu’il s’installa sur l’accoudoir de son fauteuil. Elle prit le dossier qu’il lui tendit.
- Sara : Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-elle, étonnée.
- Jensen : C’est le dossier de Jason CramPbell. Ouvre le, fit-il d’un air ravi.
Sara fronça les sourcils et ouvrit le dossier de son patient d’une main tremblante. Nerveuse, elle feuilleta les pages et lut le contenu de la dernière fiche de son dossier.
Un cri joyeux étouffé s’échappa de sa gorge. Elle se releva vivement et fixa le visage de Jensen qui sourit devant elle.
- Sara : Ho mon dieu… tu… tu lui as enfin trouvé un cœur !
- Jensen : Oui… je le transplante demain matin, fit-il en se levant à son tour.
La jeune femme relut une fois de plus les données du donneur tandis que les larmes lui montèrent aux yeux. Cela faisait plus d’un an que Jason attendait d’être transplanté. Elle s’était attaché à ce petit bonhomme de huit ans qui posséder un courage exceptionnel. Chaque jours, Sara allait lui rendre visite dans sa chambre où il était hospitalisé, et dés qu’elle avait encore un moment après sa garde, elle allait discuté avec lui. C’est comme si ce petit garçon lui donnait un peu de son courage au quotidien, pensa-t-elle en laissant une larme coulait le long de sa joue.
Jensen la fixait depuis un long moment et, quand il vit qu’elle pleurait silencieusement, il s’approcha d’elle et l’étreignit. Sara se laissa aller dans ses bras, heureuse de savoir que Jason serait entre de bonnes mains. Jensen était son chef de service dans l’hôpital, mais il était réputé en tant que grand cardiologue de Chicago.
Soudain, Sara sentit une sonnette d’alarme en elle qui la fit reculer d’un pas afin de s’écarter des bras du chirurgien.
- Sara : Il faut que j’aille le voir…
- Jensen : Ho.. Ne te précipite pas, Sara. Tu es en congé et je dois te dire…
- Sara : Il faut que j’aille le voir, il a confiance en moi…
- Jensen : Oui, je sais. Tu as passé beaucoup de temps à t’occuper de lui mais avant, je dois t’annoncer quelque chose.
- Sara : Quoi ? Demanda-t-elle en lui rendant le dossier médical de Jason.
- Jensen : Quand Katie m’a apprit que tu n’étais pas en forme pour venir au travail, je t’ai mis en congé une semaine…
- Sara : Oui, et alors ? Ça pose un problème ? Demanda-t-elle en proie à une irritation.
- Jensen : Ça dépend de quel point de vue, on se place ! Répliqua-t-il en reprenant sa place qu’il avait quitté quelques minutes auparavant.
- Sara : Qu’est-ce que tu veux dire ? Demanda la jeune femme, les sourcils plissés.
- Jensen : J’ai déposé tôt dans la matinée ta demande de congé et… le patron a remarqué que depuis les trois années que tu travailles avec nous, tu n’as pas prit un seul jour de repos…
- Sara : Ne me dis pas qu’il va m’imposer des jours de plus ? Répondit-elle en ouvrant grand les yeux. J’ai besoin de travailler, Jensen !
- Jensen : Pas seulement quelques jours, il t’a mis un mois d’office, pour commencer.
Sara leva les yeux au plafond et tenta de retenir un cri d’horreur ! Comment ferais-t-elle sans travailler ? Elle avait besoin d’être auprès de ses malades… pendant toutes ses années, elle se réfugiait dans son travail ! Et Michael qui était revenu qui plus ai ! Elle poussa un long soupire d’exaspération et porta son regard vers Jensen qui reposa sa tasse de café vide sur la table basse.
- Jensen : Tu en as besoin Sara. Tu devrais profiter avec Chrysie…
- Sara : Je n’ai pas le choix de toute façon !
- Jensen : Tu sais très bien qu’on a toujours le choix, Sara.
Sara fronça un instant les paupières. Elle ne reconnaissait pas le ton de sa voix. Bon, je crois que je ferais mieux de lui faire comprendre de partir, se dit-elle en se levant de son fauteuil.
- Jensen : Au fait, où est ta fille ? Demanda-t-il sans bouger du canapé.
Sara poussa un soupir.
- Sara : Elle est avec son père, lâcha-t-elle d’une voix impassible.
- Jensen : Hum, étonnant. Katie m’a informé qu’il était de retour de parmi les vivants.
- Sara : Ça suffit ! Si tu as envie de me dire quelque chose, concernant Michael, fait le, mais pas d’un ton cynique ou sarcastique, ok ?
Jensen la fixa un moment avant de répondre.
- Jensen : Je ne voulais pas te mettre en colère, excuse moi, fit-il en se levant d’un bond avant de prendre la jeune femme dans ses bras. Je suis désolé.
- Sara : Non, excuse moi… je…
- Jensen : Tu veux que je vienne te chercher cette après-midi ? On pourrait aller rendre visite tous les deux à Jason, il sera ravi de te voir. Il n’a pas arrêté d’embêter Katie pour pouvoir te téléphoner.
Sara s’écarta de son étreinte et se mit à rire.
- Sara : D’accord. Laisse moi le temps de voir avec Michael ou Lj pour voir si l’un deux peux garder Chrysie. Disons vers quinze heures ?fit-elle en s’avançant vers la porte pour qu’il comprenne qu’il est temps de prendre congé.
Jensen accepta d’un hochement de tête et s’avança vers elle. Prise au dépourvue, elle n’eut pas le temps de s’écarter davantage quand il la prise dans ses bras.
- Sara : Jensen…
Libérant la jeune femme dans un soupir, il la fixa et leva une main vers son visage. Délicatement, il replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Sara déglutit péniblement sous son regard noir intense et baissa le regard vers ses pieds où elle pria silencieusement pour qu’il s’en aille.
- Jensen : Je sais que tu es bouleversé par le retour de Scofield mais je suis là si tu as besoin de parler, d’accord ?
Sara répondit d’un mouvement de la tête et ouvrit la porte. Après l’avoir remercier pour Jason, elle s’effondra dans le canapé d’un air las. Elle aimait beaucoup Jensen, comme un ami qui a su la soutenir pendant des moments difficiles à l’hôpital, rien de plus, pensa-t-elle. Il était très séduisant, et très beau certes, mais son cœur ne battait que pour un seul homme, se dit-elle avant de se lever pour le retrouver dans l’appartement en face du sien…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
ce Jensen si je te dit que je ne l'aime pas ça va t'étonner
Chrysie est trop mimi, oui c'est vrai ça, quand Sara va demander à son mari de revenir
Jason va avoir un coeur, c'est super mais je crois que ça va pas durer
1 mois de congé pour Sara puisse retrouver des petits moments avec sa fille et Michael
allez Michael arrange toi pour virer ce gars de Sara
gros et merci pour ces deux belles suites
Chrysie est trop mimi, oui c'est vrai ça, quand Sara va demander à son mari de revenir
Jason va avoir un coeur, c'est super mais je crois que ça va pas durer
1 mois de congé pour Sara puisse retrouver des petits moments avec sa fille et Michael
allez Michael arrange toi pour virer ce gars de Sara
gros et merci pour ces deux belles suites
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Super suite ! Trop mimi Chrysie avec son papa J'vais te dire aussi, ce Jesen je l'aime pas non plus Esperons qu'un jour Sara demandera à son mari de revenir à la maison pour former une famille
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
hello
je me demandais si ce soir on aurait droit à ça ou un avant goût
non je le savais
un petit bisou alors
gros
je me demandais si ce soir on aurait droit à ça ou un avant goût
- Spoiler:
non je le savais
un petit bisou alors
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci pour vos coms les miss
j'ai eu un soucis de connexion hier donc je vous poste la suite maintenant,
j'espère que ça vous plaira toujours
gros bisous biz et bonne lecture biz
Chapitre 20.
[Jalousie]
Chrysie ouvrit la porte en souriant à sa mère qui se tenait devant elle. Surprise de ne pas trouver Michael avec sa fille, elle balaya la pièce du regard, inquiète.
- Chrysie : Papa m’a dit que je pouvais t’ouvrir, fit-elle en s’installant devant son dessin animé préféré.
- Sara : Où est ton père ?
- Michael : Je suis là ! S’exclama-t-il de la cuisine.
Sara sourit légèrement à Chrysie qui était plongée dans ce qui se passer à l’écran. Soudain, alors qu’elle allait s’asseoir aux côtés de son enfant, un cri aigue de douleur envahit le salon. Sara bondit précipitamment, le cœur affolé vers la cuisine.
- Sara : Qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle en s’approchant de Michael qui tenait fermement sa main, s’injuriant entre ses dents.
- Michael : Je me suis brûlé avec cette foutue casserole !
Sara repoussa l’envie d’éclater de rire alors qu’il se tordait de douleur en agitant sa main.
- Michael : C’est pas drôle !
- Sara : Assied-toi ! Fit-elle en souriant avant de prendre la trousse de soin qu’elle avait utilisé pour soigner la plaie de son arcade sourcilière.
Michael s’installa sur une chaise et la contempla. Bientôt, la douleur s’estampa au fur et mesure que ses yeux parcouraient les courbes de son corps. Alors qu’elle se retourna vers lui, il baissa le regard sur sa main rougit afin de cacher le désir qu’il avait dans les yeux.
Sara n’était pas idiote, loin de là. Elle s’était rendue compte de son regard insistant sur elle, mais elle n’en fit pas de remarque. Autant éviter ce genre de conversation, se dit-elle en prenant un tabouret pour s’y installer. Prenant sa main douloureuse, elle la posa sur la table et sortit le tube de pommade.
- Sara : Tu ne t’es pas raté !
- Michael : Aie !
- Sara : Pardon, fit-elle en commençant à masser délicatement la rougeur enflée. Qu’est-ce que tu étais en train de faire ?
- Michael : Je préparais le dîner.
- Sara : Lincoln ne déjeune pas au centre ? D’ailleurs où est Lj ? J’aurais besoin de lui cette après-midi….
- Michael : Lincoln lui a demandé un coup de main au centre pour la journée. Tu as besoin de lui pourquoi ?
- Sara : Pour garder Chrysie.
- Michael : Elle reste ici, je lui prépare à…
- Sara : Non !
- Michael : Quoi, non ?
- Sara : Je….
- Michael : Elle ne sera pas contente si tu ne veux pas me tenir compagnie pour manger…
Surprise, Sara le fixa un instant et préféra de ne pas répondre. Elle se concentra sur sa brûlure et prit soin de bien pénétrer la pommade.
- Sara : J’ai l’impression que j’ai passé ma vie à te rafistoler, fit-elle dans un murmure.
Michael posa sa main libre sur celle de la jeune femme. Elle leva le regard vers lui alors que les battements de son cœur s’accéléraient dangereusement. Elle aurait du ôter sa main mais la douceur de sa peau lui refoula cette idée. Déglutissant péniblement, Sara plongea son regard dans le sien.
- Michael : Sara…
- Sara : Oui…
- Michael : Je… tu me manques.
- Sara : Michael…
Elle s’interrompit, fermant les yeux au contact de la main qu’il posa à présent sur sa joue. Michael caressa délicatement les traits de son visage. Du bout des doigts, il se mit à tracer le contour de ses lèvres d‘une lenteur délibérée.
- Sara : Michael… murmura-t-elle dans un souffle avant d’ouvrir les yeux.
Alors qu’elle aurait voulu qu’il continue à la toucher ainsi, Michael laissa retomber son bras en souriant.
- Michael : Désolé.
- Sara : Tu… tu en remettras dans une heure pour la douleur, l’informa-t-elle en rangeant le tube dans la trousse
- Michael : Pourquoi ? Ce n’est pas toi qui le ferait ?
- Sara : Tu es assez grand pour te la mettre toi-même, rétorqua-t-elle en souriant.
- Michael : Je peux te poser une question sans que tu te fâches ? Lui demanda-t-il tandis qu’elle se leva du tabouret.
- Sara : Essaie toujours, répliqua-t-elle en s’approchant de l’évier pour passer ses mains sous l’eau.
Michael sourit et la suivit. Elle fronça les yeux tandis qu’elle ouvrit le robinet. Soudain, elle sentit un flot d’émotion bouleversant la traverser alors que Michael posa ses mains sur ses hanches.
- Michael : Qui est cet homme, Sara ? Demanda-t-il enfin la question qui lui brûler les lèvres depuis qu’il avait vu Jensen.
- Sara : Mich…, murmura-t-elle, troublée par le contact de son corps qu’il colla contre son dos.
Rapidement, elle ferma les robinets et attrapa une serviette pour s’essuyer les mains. Elle allait le repousser et lui dire que ce n’était pas ses affaires mais elle n’en fit rien. Incapable de faire le moindre mouvement quand Michael nicha son visage dans son cou.
- Michael : Hum… ton odeur m’a manqué, murmura-t-il en déposant un baiser sur sa veine qui palpitée rapidement du au désir qui montait en elle. Qui est cet homme, ma puce ? Il t’a embrassé ?
S’en fut trop ! Comment osait-il profiter de la situation ? Furieuse, elle se retourna et lui fit face.
- Sara : Ce ne sont pas tes affaires, Scofield !
- Michael : Tu es ma femme, Sara, répliqua-t-il en insistant sur chacun de ses mots.
- Sara : Tu… je ne suis pas ta propriété ! S’écria-t-elle, rouge de colère.
- Michael : Tu as couché avec lui ?
Stupéfaite par la froideur dont il prononça ses mots et la colère qu’elle lisait dans son regard, elle se mit à trembler de rage. Michael avait changé, constata-t-elle en proie à une émotion grandissante.
- Sara : Comment peux-tu me demander ça ? Pendant quatre ans, je n’ai jamais cessé de t’aimer et tu oses…
Satisfait, Michael l’attira à lui et l’embrassa fougueusement pour l’interrompre. Surprise que la colère qui influait dans ses veines s’effaça peu à peu à son baiser, elle lâcha un soupir. Michael resserra son étreinte, et s’écarta légèrement de ses lèvres.
- Michael : Sara, murmura-t-il contre sa bouche afin qu’elle entrouvre les lèvres.
- Sara : Qu’est-ce que tu veux ? Lui demanda-t-elle en s’écartant.
Michael la fixa avec intensité sans lâcher son corps qu’il serrait contre lui d’une façon désespérée.
- Michael : Je te promets de te laisser le temps qu’il te faudra, mais…
- Sara : Arrête, Michael ! Tu es jaloux et…
- Michael : C’est vrai, avoua-t-il en la serrant dans ses bras, collant son front contre le sien. Sara, je ne supporterais pas qu’un autre homme te touche… et j’ai eu l’impression…
- Sara : C’est un chirurgien et de surcroît, mon chef ! Il est venu m’apporter des nouvelles d’un patient si tu veux tout savoir ! Et de plus, il m’a informé que j’étais en congé un mois entier, finit-elle par dire d’un air las.
Pourquoi se justifiait-elle, se demanda Sara. Il n’avait pas à connaître ce détail. Elle le gratifia du regard et ne put s’empêcher de sourire de la situation. Il avait l’air soulagé de savoir que Jensen n’était qu’un collègue et qu’elle ne ressentait rien de plus pour lui.
Sara tenta une fois de plus de s’échapper de ses mais il ouvrit la bouche pour continuer.
- Michael : Tu restes avec Chrysie ? Pour me tenir compagnie pour déjeuner ? Lui demanda-t-il dans un sourire charmeur.
- Sara : D’accord, accepta-t-elle. Tu peux me lâcher ?
- Michael : Embrasse-moi avant, juste…
- Sara : Tu ne crois pas que tu pousses un peu loin ? Lui dit-elle en le foudroyant du regard tandis que ses lèvres esquissèrent un sourire.
Chose qu’elle n’aurait pas du faire, songea-t-elle alors que leurs lèvres se frôlèrent avant qu’il intensifiait son baiser. Sara ferma les yeux et referma ses bras autour de son cou. Forçant peu à peu le barrage de ses lèvres, ils poussèrent tous deux un gémissement incontrôlé au contact de leurs langues qui s’enroulaient l’une à l’autre dans un balai majestueux et enivrant….
j'ai eu un soucis de connexion hier donc je vous poste la suite maintenant,
j'espère que ça vous plaira toujours
gros bisous biz et bonne lecture biz
Chapitre 20.
[Jalousie]
Chrysie ouvrit la porte en souriant à sa mère qui se tenait devant elle. Surprise de ne pas trouver Michael avec sa fille, elle balaya la pièce du regard, inquiète.
- Chrysie : Papa m’a dit que je pouvais t’ouvrir, fit-elle en s’installant devant son dessin animé préféré.
- Sara : Où est ton père ?
- Michael : Je suis là ! S’exclama-t-il de la cuisine.
Sara sourit légèrement à Chrysie qui était plongée dans ce qui se passer à l’écran. Soudain, alors qu’elle allait s’asseoir aux côtés de son enfant, un cri aigue de douleur envahit le salon. Sara bondit précipitamment, le cœur affolé vers la cuisine.
- Sara : Qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle en s’approchant de Michael qui tenait fermement sa main, s’injuriant entre ses dents.
- Michael : Je me suis brûlé avec cette foutue casserole !
Sara repoussa l’envie d’éclater de rire alors qu’il se tordait de douleur en agitant sa main.
- Michael : C’est pas drôle !
- Sara : Assied-toi ! Fit-elle en souriant avant de prendre la trousse de soin qu’elle avait utilisé pour soigner la plaie de son arcade sourcilière.
Michael s’installa sur une chaise et la contempla. Bientôt, la douleur s’estampa au fur et mesure que ses yeux parcouraient les courbes de son corps. Alors qu’elle se retourna vers lui, il baissa le regard sur sa main rougit afin de cacher le désir qu’il avait dans les yeux.
Sara n’était pas idiote, loin de là. Elle s’était rendue compte de son regard insistant sur elle, mais elle n’en fit pas de remarque. Autant éviter ce genre de conversation, se dit-elle en prenant un tabouret pour s’y installer. Prenant sa main douloureuse, elle la posa sur la table et sortit le tube de pommade.
- Sara : Tu ne t’es pas raté !
- Michael : Aie !
- Sara : Pardon, fit-elle en commençant à masser délicatement la rougeur enflée. Qu’est-ce que tu étais en train de faire ?
- Michael : Je préparais le dîner.
- Sara : Lincoln ne déjeune pas au centre ? D’ailleurs où est Lj ? J’aurais besoin de lui cette après-midi….
- Michael : Lincoln lui a demandé un coup de main au centre pour la journée. Tu as besoin de lui pourquoi ?
- Sara : Pour garder Chrysie.
- Michael : Elle reste ici, je lui prépare à…
- Sara : Non !
- Michael : Quoi, non ?
- Sara : Je….
- Michael : Elle ne sera pas contente si tu ne veux pas me tenir compagnie pour manger…
Surprise, Sara le fixa un instant et préféra de ne pas répondre. Elle se concentra sur sa brûlure et prit soin de bien pénétrer la pommade.
- Sara : J’ai l’impression que j’ai passé ma vie à te rafistoler, fit-elle dans un murmure.
Michael posa sa main libre sur celle de la jeune femme. Elle leva le regard vers lui alors que les battements de son cœur s’accéléraient dangereusement. Elle aurait du ôter sa main mais la douceur de sa peau lui refoula cette idée. Déglutissant péniblement, Sara plongea son regard dans le sien.
- Michael : Sara…
- Sara : Oui…
- Michael : Je… tu me manques.
- Sara : Michael…
Elle s’interrompit, fermant les yeux au contact de la main qu’il posa à présent sur sa joue. Michael caressa délicatement les traits de son visage. Du bout des doigts, il se mit à tracer le contour de ses lèvres d‘une lenteur délibérée.
- Sara : Michael… murmura-t-elle dans un souffle avant d’ouvrir les yeux.
Alors qu’elle aurait voulu qu’il continue à la toucher ainsi, Michael laissa retomber son bras en souriant.
- Michael : Désolé.
- Sara : Tu… tu en remettras dans une heure pour la douleur, l’informa-t-elle en rangeant le tube dans la trousse
- Michael : Pourquoi ? Ce n’est pas toi qui le ferait ?
- Sara : Tu es assez grand pour te la mettre toi-même, rétorqua-t-elle en souriant.
- Michael : Je peux te poser une question sans que tu te fâches ? Lui demanda-t-il tandis qu’elle se leva du tabouret.
- Sara : Essaie toujours, répliqua-t-elle en s’approchant de l’évier pour passer ses mains sous l’eau.
Michael sourit et la suivit. Elle fronça les yeux tandis qu’elle ouvrit le robinet. Soudain, elle sentit un flot d’émotion bouleversant la traverser alors que Michael posa ses mains sur ses hanches.
- Michael : Qui est cet homme, Sara ? Demanda-t-il enfin la question qui lui brûler les lèvres depuis qu’il avait vu Jensen.
- Sara : Mich…, murmura-t-elle, troublée par le contact de son corps qu’il colla contre son dos.
Rapidement, elle ferma les robinets et attrapa une serviette pour s’essuyer les mains. Elle allait le repousser et lui dire que ce n’était pas ses affaires mais elle n’en fit rien. Incapable de faire le moindre mouvement quand Michael nicha son visage dans son cou.
- Michael : Hum… ton odeur m’a manqué, murmura-t-il en déposant un baiser sur sa veine qui palpitée rapidement du au désir qui montait en elle. Qui est cet homme, ma puce ? Il t’a embrassé ?
S’en fut trop ! Comment osait-il profiter de la situation ? Furieuse, elle se retourna et lui fit face.
- Sara : Ce ne sont pas tes affaires, Scofield !
- Michael : Tu es ma femme, Sara, répliqua-t-il en insistant sur chacun de ses mots.
- Sara : Tu… je ne suis pas ta propriété ! S’écria-t-elle, rouge de colère.
- Michael : Tu as couché avec lui ?
Stupéfaite par la froideur dont il prononça ses mots et la colère qu’elle lisait dans son regard, elle se mit à trembler de rage. Michael avait changé, constata-t-elle en proie à une émotion grandissante.
- Sara : Comment peux-tu me demander ça ? Pendant quatre ans, je n’ai jamais cessé de t’aimer et tu oses…
Satisfait, Michael l’attira à lui et l’embrassa fougueusement pour l’interrompre. Surprise que la colère qui influait dans ses veines s’effaça peu à peu à son baiser, elle lâcha un soupir. Michael resserra son étreinte, et s’écarta légèrement de ses lèvres.
- Michael : Sara, murmura-t-il contre sa bouche afin qu’elle entrouvre les lèvres.
- Sara : Qu’est-ce que tu veux ? Lui demanda-t-elle en s’écartant.
Michael la fixa avec intensité sans lâcher son corps qu’il serrait contre lui d’une façon désespérée.
- Michael : Je te promets de te laisser le temps qu’il te faudra, mais…
- Sara : Arrête, Michael ! Tu es jaloux et…
- Michael : C’est vrai, avoua-t-il en la serrant dans ses bras, collant son front contre le sien. Sara, je ne supporterais pas qu’un autre homme te touche… et j’ai eu l’impression…
- Sara : C’est un chirurgien et de surcroît, mon chef ! Il est venu m’apporter des nouvelles d’un patient si tu veux tout savoir ! Et de plus, il m’a informé que j’étais en congé un mois entier, finit-elle par dire d’un air las.
Pourquoi se justifiait-elle, se demanda Sara. Il n’avait pas à connaître ce détail. Elle le gratifia du regard et ne put s’empêcher de sourire de la situation. Il avait l’air soulagé de savoir que Jensen n’était qu’un collègue et qu’elle ne ressentait rien de plus pour lui.
Sara tenta une fois de plus de s’échapper de ses mais il ouvrit la bouche pour continuer.
- Michael : Tu restes avec Chrysie ? Pour me tenir compagnie pour déjeuner ? Lui demanda-t-il dans un sourire charmeur.
- Sara : D’accord, accepta-t-elle. Tu peux me lâcher ?
- Michael : Embrasse-moi avant, juste…
- Sara : Tu ne crois pas que tu pousses un peu loin ? Lui dit-elle en le foudroyant du regard tandis que ses lèvres esquissèrent un sourire.
Chose qu’elle n’aurait pas du faire, songea-t-elle alors que leurs lèvres se frôlèrent avant qu’il intensifiait son baiser. Sara ferma les yeux et referma ses bras autour de son cou. Forçant peu à peu le barrage de ses lèvres, ils poussèrent tous deux un gémissement incontrôlé au contact de leurs langues qui s’enroulaient l’une à l’autre dans un balai majestueux et enivrant….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
J'adore cette suite ! Michael qui est jaloux ! Encore un baiser de + ! On dirait que maintenant il se rapprochent de plus en plus ... J'suis trop heureuse ! Vivement la suite !
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci les filles pour vos coms^^
voilà la suite biz
Chapitre 21.
[Premier moment en famille]
Une heure plus tard, après qu’ils avaient échangé ce baiser fougueux, Michael s’activa dans la cuisine tandis que Sara et Chrysie regardaient la télévision dans le salon.
- Chrysie : Il fait quoi à manger, papa ? Demanda la fillette en se levant du canapé.
- Sara : Je ne sais pas, ma puce. On va le rejoindre pour l’aider ?
La jeune femme éclata de rire en regardant sa fille courir joyeusement vers la pièce où se trouver son père. Nostalgique, elle se leva à son tour et les rejoignit.
- Michael : Alors ? Demanda-t-il à Chrysie alors qu’il venait de lui faire goûter la sauce tomate qu‘il venait de préparer.
- Chrysie : Ben, je sais pas, fit-elle en haussant les épaules. Elle a pas le même goût de celle de maman en tout cas.
Michael pouffa de rire et lança un rapide coup d’œil vers Sara qui écarquillait les yeux, vexée.
- Chrysie : Maman, il faut que tu goûtes la sauce de papa, il a oublié de mettre quelque chose dedans mais je sais pas quoi, informa la fillette.
- Sara : J’arrive.
La jeune femme s’avança vers Michael, priant silencieusement pour qu’il arrête de la regarder de cette façon où son corps s’embraser à la minute.
Délicatement, Michael avança la cuillère vers les lèvres de Sara qui leva une main pour la lui prendre mais il secoua la tête en souriant. Levant les yeux au plafond, excédée, elle ouvrit la bouche, plongea son regard dans celui de son mari.
- Sara : Du sel. Tu n’en as pas mis assez mais je doute que tu ne le sais pas.
Michael sourit et laissa son regard rivé vers ses lèvres.
- Sara : Quoi ?
- Michael : Tu as de la sauce sur les lèvres, dit-il avant d’effacer les dégâts de son pouce, dans un geste tendre.
- Sara : Merci, murmura-t-elle, peinant pour cacher son trouble.
- Michael : C’est presque prêt !
- Chrysie : Je peux mettre la table ?
- Sara : Je vais t’aider, ma puce, fit-elle en rejoignant sa fille sous le regard ému de Michael.
Au court du déjeuner, ils plaisantèrent avec Chrysie sur les anecdotes qu’elle racontait à son père. Elle lui informa qu’elle adorait faire du cheval et qu’elle ne savait pas encore rouler à vélo. Michael, le sourire aux lèvres, lui promit qu’il le lui apprendrait. Sara constatait combien il lui était difficile de cacher la souffrance qu’il ressentait de ne pas avoir été présent.
En effet, Michael regrettait toutes ses années douloureuses où il était absent. Tous ses moments importants qu’il n’avait pas vécu avec Sara sur l’évolution et l’épanouissement de son enfant. Son premier cri, ses premiers pas…
Perdu dans ses pensées où il énumérait tous les remords qui l’assaillaient, il n’entendit pas Chrysie lui parler.
- Sara : Michael ?
- Michael : Désolé…
- Chrysie : Tu viendras à la maison ?
- Michael : Quand ?
- Chrysie : Après qu’on est rentrés du parc.
- Sara : Ho, ma chérie, murmura Sara, peinée de lui apprendre qu’elles ne pourront pas y aller comme elle le lui avait promit. Je suis désolée, mon cœur. Je ne pourrais pas t’y emmener. Je dois passer voir Jason. Tu sais, le petit garçon dont je te parle souvent ? Il doit subir une intervention demain matin, et…
- Chrysie : Jensen va lui mettre un nouveau cœur ? Demanda soudainement la fillette dans une exclamation joyeuse.
- Sara : Oui ma puce. Papa veut te garder le temps que j’aille lui rendre visite. Il pourrait t’y accompagner si il est d’accord ?
- Chrysie : Dis oui, papa !
- Michael : Bien sur ma princesse… répondit-il tandis qu’elle se leva pour l’embrasser.
- Chrysie : Je peux retourner voir la télé, maman ?
- Sara : Oui, accepta Sara avant de vérifier si elle avait terminé son assiette.
Dix minutes plus tard, Sara termina de ranger la vaisselle quand Michael l’attira dans ses bras.
- Sara : Michael…
- Michael : Je veux juste de prendre dans mes bras, murmura-t-il en la serrant contre lui.
Sara se laissa aller à son étreinte, bouleversée par l’émotion qu’il avait en lui.
- Sara : Qu’est-ce que tu as, Michael ?
- Michael : Je m’en veux tellement de ne pas avoir été là…
La jeune femme s’écarta légèrement de lui et déglutit péniblement à la vue de ses yeux emplis de larmes. Son cœur se serra et avant même qu’elle se rendit compte de ce qu’elle faisait, elle l’attira contre elle.
- Sara : Tu es là, maintenant, fit-elle dans un murmure saccadé par l’émotion.
Ils restèrent enlacés un moment puis Michael finit par s’écarter de l’étreinte de la jeune femme. Il lui sourit tendrement et déposa ses lèvres sur son front, lui donnant un baiser tendre et doux qui souleva son cœur emplit d’émotion.
C’est à cet instant que leur fille apparut, un grand sourire aux lèvres, dans la pièce. Elle s’exclama qu’elle avait envie de partir se promener. Sara accepta en s’apercevant de l’heure tardive. Jensen n’allait pas tarder et elle préférait que les deux hommes ne se rencontrent pas….
voilà la suite biz
Chapitre 21.
[Premier moment en famille]
Une heure plus tard, après qu’ils avaient échangé ce baiser fougueux, Michael s’activa dans la cuisine tandis que Sara et Chrysie regardaient la télévision dans le salon.
- Chrysie : Il fait quoi à manger, papa ? Demanda la fillette en se levant du canapé.
- Sara : Je ne sais pas, ma puce. On va le rejoindre pour l’aider ?
La jeune femme éclata de rire en regardant sa fille courir joyeusement vers la pièce où se trouver son père. Nostalgique, elle se leva à son tour et les rejoignit.
- Michael : Alors ? Demanda-t-il à Chrysie alors qu’il venait de lui faire goûter la sauce tomate qu‘il venait de préparer.
- Chrysie : Ben, je sais pas, fit-elle en haussant les épaules. Elle a pas le même goût de celle de maman en tout cas.
Michael pouffa de rire et lança un rapide coup d’œil vers Sara qui écarquillait les yeux, vexée.
- Chrysie : Maman, il faut que tu goûtes la sauce de papa, il a oublié de mettre quelque chose dedans mais je sais pas quoi, informa la fillette.
- Sara : J’arrive.
La jeune femme s’avança vers Michael, priant silencieusement pour qu’il arrête de la regarder de cette façon où son corps s’embraser à la minute.
Délicatement, Michael avança la cuillère vers les lèvres de Sara qui leva une main pour la lui prendre mais il secoua la tête en souriant. Levant les yeux au plafond, excédée, elle ouvrit la bouche, plongea son regard dans celui de son mari.
- Sara : Du sel. Tu n’en as pas mis assez mais je doute que tu ne le sais pas.
Michael sourit et laissa son regard rivé vers ses lèvres.
- Sara : Quoi ?
- Michael : Tu as de la sauce sur les lèvres, dit-il avant d’effacer les dégâts de son pouce, dans un geste tendre.
- Sara : Merci, murmura-t-elle, peinant pour cacher son trouble.
- Michael : C’est presque prêt !
- Chrysie : Je peux mettre la table ?
- Sara : Je vais t’aider, ma puce, fit-elle en rejoignant sa fille sous le regard ému de Michael.
Au court du déjeuner, ils plaisantèrent avec Chrysie sur les anecdotes qu’elle racontait à son père. Elle lui informa qu’elle adorait faire du cheval et qu’elle ne savait pas encore rouler à vélo. Michael, le sourire aux lèvres, lui promit qu’il le lui apprendrait. Sara constatait combien il lui était difficile de cacher la souffrance qu’il ressentait de ne pas avoir été présent.
En effet, Michael regrettait toutes ses années douloureuses où il était absent. Tous ses moments importants qu’il n’avait pas vécu avec Sara sur l’évolution et l’épanouissement de son enfant. Son premier cri, ses premiers pas…
Perdu dans ses pensées où il énumérait tous les remords qui l’assaillaient, il n’entendit pas Chrysie lui parler.
- Sara : Michael ?
- Michael : Désolé…
- Chrysie : Tu viendras à la maison ?
- Michael : Quand ?
- Chrysie : Après qu’on est rentrés du parc.
- Sara : Ho, ma chérie, murmura Sara, peinée de lui apprendre qu’elles ne pourront pas y aller comme elle le lui avait promit. Je suis désolée, mon cœur. Je ne pourrais pas t’y emmener. Je dois passer voir Jason. Tu sais, le petit garçon dont je te parle souvent ? Il doit subir une intervention demain matin, et…
- Chrysie : Jensen va lui mettre un nouveau cœur ? Demanda soudainement la fillette dans une exclamation joyeuse.
- Sara : Oui ma puce. Papa veut te garder le temps que j’aille lui rendre visite. Il pourrait t’y accompagner si il est d’accord ?
- Chrysie : Dis oui, papa !
- Michael : Bien sur ma princesse… répondit-il tandis qu’elle se leva pour l’embrasser.
- Chrysie : Je peux retourner voir la télé, maman ?
- Sara : Oui, accepta Sara avant de vérifier si elle avait terminé son assiette.
Dix minutes plus tard, Sara termina de ranger la vaisselle quand Michael l’attira dans ses bras.
- Sara : Michael…
- Michael : Je veux juste de prendre dans mes bras, murmura-t-il en la serrant contre lui.
Sara se laissa aller à son étreinte, bouleversée par l’émotion qu’il avait en lui.
- Sara : Qu’est-ce que tu as, Michael ?
- Michael : Je m’en veux tellement de ne pas avoir été là…
La jeune femme s’écarta légèrement de lui et déglutit péniblement à la vue de ses yeux emplis de larmes. Son cœur se serra et avant même qu’elle se rendit compte de ce qu’elle faisait, elle l’attira contre elle.
- Sara : Tu es là, maintenant, fit-elle dans un murmure saccadé par l’émotion.
Ils restèrent enlacés un moment puis Michael finit par s’écarter de l’étreinte de la jeune femme. Il lui sourit tendrement et déposa ses lèvres sur son front, lui donnant un baiser tendre et doux qui souleva son cœur emplit d’émotion.
C’est à cet instant que leur fille apparut, un grand sourire aux lèvres, dans la pièce. Elle s’exclama qu’elle avait envie de partir se promener. Sara accepta en s’apercevant de l’heure tardive. Jensen n’allait pas tarder et elle préférait que les deux hommes ne se rencontrent pas….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Haaaa j'adore cette suite ! Premier moment en famille ! Michael et Sara ça avance !
Trop chou ce moment
- Sara : Michael…
- Michael : Je veux juste de prendre dans mes bras, murmura-t-il en la serrant contre lui.
Trop chou ce moment
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
bon bah si tu postes la seconde alors que j'ai pas eut le temps de te demander la suite, je vais être triste
alors la première
Michael qui prépare un petit repas et voilà que monsieur ne trouve pas mieux que de se blesser, il l'a pas fait exprès par hasard
donc voilà sa femme chérie qui doit une fois de plus le rafistoler
quelques baisers et Sara commence à céder
Michael qui ne se gêne pas pour lui demander des détails sur jensen et maintenant qu'on sait qu'il n'est rien pour Sara, et bah Michael peut le taper
la seconde suite
comme le titre le dit si bien, premier moment en famille
Chrysie n'a pas l'air d'être perturbée par la présence de son papa
Michael est très peiné car il se rend compte à quel point il a manqué de tant de chose dans les premières années de leur fille
Sara qui le réconforte WAOU elle continue à céder, mais alors qu'est ce que ça me rend heureuse
alors Chrysie va t'elle faire tourner son papa en bourique pendant que sa maman va aller voir Jason
et le soir où Michael va faire dodo
ce n'est pas parce que tu as mis deux suites, que ce soir tu vas pas de voir en remettre encore
bah oui ça c'est celles d'hier
alors la première
Michael qui prépare un petit repas et voilà que monsieur ne trouve pas mieux que de se blesser, il l'a pas fait exprès par hasard
donc voilà sa femme chérie qui doit une fois de plus le rafistoler
quelques baisers et Sara commence à céder
Michael qui ne se gêne pas pour lui demander des détails sur jensen et maintenant qu'on sait qu'il n'est rien pour Sara, et bah Michael peut le taper
la seconde suite
comme le titre le dit si bien, premier moment en famille
Chrysie n'a pas l'air d'être perturbée par la présence de son papa
Michael est très peiné car il se rend compte à quel point il a manqué de tant de chose dans les premières années de leur fille
Sara qui le réconforte WAOU elle continue à céder, mais alors qu'est ce que ça me rend heureuse
alors Chrysie va t'elle faire tourner son papa en bourique pendant que sa maman va aller voir Jason
et le soir où Michael va faire dodo
ce n'est pas parce que tu as mis deux suites, que ce soir tu vas pas de voir en remettre encore
bah oui ça c'est celles d'hier
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
love-misa-love a écrit:Haaaa j'adore cette suite ! Premier moment en famille ! Michael et Sara ça avance !- Sara : Michael…
- Michael : Je veux juste de prendre dans mes bras, murmura-t-il en la serrant contre lui.
Trop chou ce moment
tout pareil
comment ne pas craquer
vite la suite please gro
comment ne pas craquer
vite la suite please gro
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 26/12/2007
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
oh je n'avais pas fais attention que cette fic etait la suite, j'ai tout lu d'un trait et c'est super.
orilimi- Rendez vous avec le Coyote...
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Age : 41
Localisation : j'attend linc mike et sara à la frontiere
Date d'inscription : 13/06/2008
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
merci beaucoup les miss
voici une suite^^
bonne lecture
Chapitre 22.
[Espérance…]
Une heure plus tard, Michael gara son 4x4 devant le centre de l’espérance et sortit de son véhicule, le sourire aux lèvres. Rapidement, il aida Chrysie a descendre, toute excitée.
- Chrysie : Dépêche toi, papa, fit-elle en sautillant dans l’herbe alors que Michael éclatait de rire avant de sortir le vélo flamboyant neuf qu’il venait de lui offrir.
- Michael : Tu es bien pressée, mon ange, répondit-il en posant sa bicyclette à côté d’elle.
- Chrysie : J’ai envie de le montrer à Oncle Linc et Lj !
- Michael : Je sais, fit-il en souriant. Tu me montres le chemin pour trouver ton oncle ?
La fillette hocha la tête et l’entraîna par la main à l’intérieur du bâtiment. Très vite, Chrysie ouvrit une porte où jaillit une exclamation effrayée. Vivement, Michael posa une main sur les yeux de Christina qui riait aux éclats, suivit très vite de Michael.
- Lincoln : Christina-Rose Scofield ! Je t’ai déjà dis un million de fois de frapper avant d’entrer dans ce bureau !
- Michael : Linc ! Fit-il en ôtant sa main du visage de sa fille, après que la jeune femme s’écarta des bras de Lincoln.
- Chrysie : Bonjour Oncle Lincoln, bonjour Valéria.
- Valéria : Bonjour ma chérie. Ce n’est pas grave ma puce, fit la jeune femme en la prenant dans ses bras.
Michael lança un regard interrogateur vers son frère qui leva les yeux au plafond avant de s’avancer vers lui.
- Lincoln : Michael, Valéria, murmura-t-il d’un air penaud en les présentant.
- Valéria : Enchantée de vous connaître, Michael. Lincoln m’a beaucoup parler de vous.
- Michael : Merci…
- Valéria : Dis moi, Chrysie ! J’ai quelque chose pour toi dans mon bureau. Je peux l’emmener un instant ? Demanda-t-elle en s’adressant à Michael qui lança un regard vers Lincoln.
- Lincoln : Tu peux la laisser.
- Michael : Ok, répondit-il en souriant à Valéria avant d’embrasser sa fille. Tu es sage, hein ?
La fillette hocha la tête. Une fois seuls, Lincoln fixa son frère, attendant qu’il lui pose les questions qui lui brûlaient les lèvres.
- Lincoln : Quoi ?
- Michael : Mais rien !
- Lincoln : Tu n’as pas envie de savoir qui est cette femme ?
- Michael : Non, a moins que tu ais envie d’en parler. Répondit-il en souriant.
- Lincoln : C’est Valéria.
- Michael : Oui, ça j’avais compris, répliqua Michael en riant.
- Lincoln : Nous travaillons ensemble. Elle s’occupe des filles avec sa sœur, Alicia.
- Michael : Hum… tu es avec elle depuis longtemps ? Demanda-t-il en s’installant dans un des fauteuil.
- Lincoln : Un peu plus de trois mois, répondit Lincoln en soupirant. Sara ne le sait pas, ni Chrysie, bien que je pense qu’elle se doutait vu sa réaction.
- Michael : Pourquoi ne pas l’avoir dit à Sara ? Demanda-t-il, soucieux.
Lincoln s’avança vers un mini bar, derrière son bureau et en sortit deux bières avant de rejoindre son frère où il s’installa dans un fauteuil, face à lui.
- Lincoln : Tout simplement parce que je me voyais mal lui balancer à la figure que je vivais du bonheur alors qu’elle…
- Michael : Linc…
- Lincoln : Désolé.
- Michael : Elle serait heureuse pour toi, tu sais.
- Lincoln : Depuis que tu es là, oui sans doute. Au fait ? Où est-elle ?
Michael lui expliqua la visite que faisait Sara à l’hôpital. Il lui parla également de Jensen, et des doutes qui l’avaient assaillit quand il l’avait vu s’approcher de sa femme pour l’embrasser.
- Lincoln : Tu n’as rien à craindre, Michael. Sara a toujours repoussé ses avances…
- Michael : Donc il a essayé ! S’écria-t-il d’une voix furieuse, à l’idée qu’un homme puisse poser les mains sur elle.
- Lincoln : Attend, elle était libre. Mais je te l’ai dis, elle a toujours refusé de sortir avec lui, fit Lincoln en se levant.
Michael soupira de lassitude et se redressa avant de sourire à son frère qui le fixait d‘un regard ému.
- Michael : Où est Lj ? Chrysie voulait à tout prix qu’on passe pour que vous voyez son nouveau vélo.
- Lincoln : Il est dans la cour avec un groupe d’ado, ils sont en train de réparer une clôture… un vélo ?
- Michael : Oui, je viens de lui offrir. Y’a un problème ? Demanda-t-il en se levant.
- Lincoln : Non, aucun. Allez viens, on va aller chercher ta fille et je te fais visiter !
Quelques minutes plus tard, Chrysie montra à son père la robe de princesse que lui avait offert Valéria pour son anniversaire et ils avaient fait le tour des bâtiments. Arrivés dans la cour, Lj s’approcha avec le sourire vers Michael et l’embrassa d’une accolade fraternelle.
- Chrysie : Et regarde Lj ! Papa m’a acheté mon vélo !
- Lj : Waouh ! Il est super joli, dis dont ! Fit-il en admirant la bicyclette.
- Chrysie : Je peux en faire ici, papa ?
- Michael : Bien sur ma puce.
Pendant près d’une heure, Michael fit la connaissance d’une dizaine d’adolescents dont son frère s’occupait avec patience. Il apprit que Valéria et Alicia vivaient au centre, responsables des adolescentes tandis que Conrad et Brad, s’occupaient des adolescents. La journée, Lincoln et Fernando ainsi que le père David supervisaient si les jeunes étaient à l’aise et qu’ils ne manquaient de rien. Chaque gamins échoués dans ce centre, étaient la priorité de Lincoln, avait constaté Michael tandis qu’il s’occupait de deux adolescents qui venaient d’avoir une altercation. En conversant avec eux, il apprit que Sara venait régulièrement leur rendre visite. Un jeune garçon d’une quinzaine d’années restait un peu à l’écart de Michael, ce qui attira son attention. Ressentant beaucoup d’animosité aux regards furieux que l’adolescent lui adressaient, il fronça les sourcils et soutint son regard un long moment.
Fernando les rejoignit et discutait avec Michael avec humour tandis qu’ils regardaient Chrysie, roulait sur son vélo alors que Lj la suivait en filmant.
- Michael : Il a toujours cette caméra à la main !
- Fernando : Oui, il filme toujours Chrysie. Depuis sa naissance, il s’est mit en tête de graver tous les moments que tu… désolé, papi…
Michael sourit et baissa le regard un instant avant de passer son bras autour des épaules de son ami.
- Michael : Tu m’as beaucoup manqué, Sucre, fit-il d’une voix émue.
- Fernando : Toi aussi, papi, répondit son ami en lui donnant un large sourire.
- Michael : Dis-moi ? Qui c’est-ce gosse là-bas ? Il n’arrête pas de me foudroyer du regard depuis que je suis arrivé.
Fernando regarda dans la direction de Michael et sourit.
- Fernando : C’est Kylian. Heu… c’est le petit protéger de Sara, il l’adore. C’est elle qui la ramené au centre après qu’il s’est remit de l’accident de voiture qui l’avait plongé dans le coma pendant plus d’un mois.
- Michael : Il n’a pas de parents ?
- Fernando : Non, ils sont morts dans un accident quand il avait deux ans. Il a été ballotté de foyer en foyer. On peut dire qu’il n’a pas eut une vie toute rose, si tu vois ce que je veux dire.
- Michael : Ça fait longtemps qu’il est ici ? Demanda Michael, s’intéressant au cas de l’adolescent.
- Fernando : Heu… un peu plus de deux ans, je pense. Tu sais, c’est comme un refuge ici, on a les pires ados délaissés soit par leurs parents ou leurs familles. Mais ne cherche pas trop à t’en approcher. Linc et moi avons eut beaucoup de mal à le mettre en confiance. Il est très agressif, impulsif… seule Sara arrive à le calmer quand il nous fait une crise.
- Michael : Ça arrive souvent ? Ces crises ?
- Fernando : La dernière qu’il a faite, c’est l’année passée. Je ne sais pas exactement ce qu’il s’était passé mais Linc a du appelé Sara pour qu’elle vienne lui parler, expliqua Fernando en fixant l’adolescent. Ne t’approche pas de lui, laisse Sara lui parler de toi avant... Je pense que ça vaut mieux, fit Fernando en regardant Kylian, adossé contre un arbre, regardant Michael d’un air méprisant.
- Michael : Tu crois que j’ai peur de ce gosse ? Demanda Michael en pouffant de rire.
- Fernando : Non, mais si tu lui fais du mal, tu te risques à Sara, c’est moi qui te le dis. Je te l’ai dis, Mich ! Kylian est son protéger. Ils se sont beaucoup confiés tous les deux. Je suis presque prêt à parier qu’il en sait plus sur toi que nous, nous le savons.
Michael lui sourit et hocha la tête.
- Michael : Ok. Je suivrais ton conseil, dans ce cas, fit-il en pensant au regard que Sara avait quand elle lui avait parlé de Jason.
Elle n’avait pas changé, pensa Michael silencieusement. Sara aimait venir en aide aux autres, et elle aimait s’investir, coûte que coûtes dans des cas difficiles, voir insurmontables.
Reportant son attention vers Kylian, Michael lui sourit et comprit que ce n’était pas gagné d’avance pour établir un contact avec lui. L’adolescent cracha sur le sol en le foudroyant du regard avant de rentrer dans l’établissement.
voici une suite^^
bonne lecture
Chapitre 22.
[Espérance…]
Une heure plus tard, Michael gara son 4x4 devant le centre de l’espérance et sortit de son véhicule, le sourire aux lèvres. Rapidement, il aida Chrysie a descendre, toute excitée.
- Chrysie : Dépêche toi, papa, fit-elle en sautillant dans l’herbe alors que Michael éclatait de rire avant de sortir le vélo flamboyant neuf qu’il venait de lui offrir.
- Michael : Tu es bien pressée, mon ange, répondit-il en posant sa bicyclette à côté d’elle.
- Chrysie : J’ai envie de le montrer à Oncle Linc et Lj !
- Michael : Je sais, fit-il en souriant. Tu me montres le chemin pour trouver ton oncle ?
La fillette hocha la tête et l’entraîna par la main à l’intérieur du bâtiment. Très vite, Chrysie ouvrit une porte où jaillit une exclamation effrayée. Vivement, Michael posa une main sur les yeux de Christina qui riait aux éclats, suivit très vite de Michael.
- Lincoln : Christina-Rose Scofield ! Je t’ai déjà dis un million de fois de frapper avant d’entrer dans ce bureau !
- Michael : Linc ! Fit-il en ôtant sa main du visage de sa fille, après que la jeune femme s’écarta des bras de Lincoln.
- Chrysie : Bonjour Oncle Lincoln, bonjour Valéria.
- Valéria : Bonjour ma chérie. Ce n’est pas grave ma puce, fit la jeune femme en la prenant dans ses bras.
Michael lança un regard interrogateur vers son frère qui leva les yeux au plafond avant de s’avancer vers lui.
- Lincoln : Michael, Valéria, murmura-t-il d’un air penaud en les présentant.
- Valéria : Enchantée de vous connaître, Michael. Lincoln m’a beaucoup parler de vous.
- Michael : Merci…
- Valéria : Dis moi, Chrysie ! J’ai quelque chose pour toi dans mon bureau. Je peux l’emmener un instant ? Demanda-t-elle en s’adressant à Michael qui lança un regard vers Lincoln.
- Lincoln : Tu peux la laisser.
- Michael : Ok, répondit-il en souriant à Valéria avant d’embrasser sa fille. Tu es sage, hein ?
La fillette hocha la tête. Une fois seuls, Lincoln fixa son frère, attendant qu’il lui pose les questions qui lui brûlaient les lèvres.
- Lincoln : Quoi ?
- Michael : Mais rien !
- Lincoln : Tu n’as pas envie de savoir qui est cette femme ?
- Michael : Non, a moins que tu ais envie d’en parler. Répondit-il en souriant.
- Lincoln : C’est Valéria.
- Michael : Oui, ça j’avais compris, répliqua Michael en riant.
- Lincoln : Nous travaillons ensemble. Elle s’occupe des filles avec sa sœur, Alicia.
- Michael : Hum… tu es avec elle depuis longtemps ? Demanda-t-il en s’installant dans un des fauteuil.
- Lincoln : Un peu plus de trois mois, répondit Lincoln en soupirant. Sara ne le sait pas, ni Chrysie, bien que je pense qu’elle se doutait vu sa réaction.
- Michael : Pourquoi ne pas l’avoir dit à Sara ? Demanda-t-il, soucieux.
Lincoln s’avança vers un mini bar, derrière son bureau et en sortit deux bières avant de rejoindre son frère où il s’installa dans un fauteuil, face à lui.
- Lincoln : Tout simplement parce que je me voyais mal lui balancer à la figure que je vivais du bonheur alors qu’elle…
- Michael : Linc…
- Lincoln : Désolé.
- Michael : Elle serait heureuse pour toi, tu sais.
- Lincoln : Depuis que tu es là, oui sans doute. Au fait ? Où est-elle ?
Michael lui expliqua la visite que faisait Sara à l’hôpital. Il lui parla également de Jensen, et des doutes qui l’avaient assaillit quand il l’avait vu s’approcher de sa femme pour l’embrasser.
- Lincoln : Tu n’as rien à craindre, Michael. Sara a toujours repoussé ses avances…
- Michael : Donc il a essayé ! S’écria-t-il d’une voix furieuse, à l’idée qu’un homme puisse poser les mains sur elle.
- Lincoln : Attend, elle était libre. Mais je te l’ai dis, elle a toujours refusé de sortir avec lui, fit Lincoln en se levant.
Michael soupira de lassitude et se redressa avant de sourire à son frère qui le fixait d‘un regard ému.
- Michael : Où est Lj ? Chrysie voulait à tout prix qu’on passe pour que vous voyez son nouveau vélo.
- Lincoln : Il est dans la cour avec un groupe d’ado, ils sont en train de réparer une clôture… un vélo ?
- Michael : Oui, je viens de lui offrir. Y’a un problème ? Demanda-t-il en se levant.
- Lincoln : Non, aucun. Allez viens, on va aller chercher ta fille et je te fais visiter !
Quelques minutes plus tard, Chrysie montra à son père la robe de princesse que lui avait offert Valéria pour son anniversaire et ils avaient fait le tour des bâtiments. Arrivés dans la cour, Lj s’approcha avec le sourire vers Michael et l’embrassa d’une accolade fraternelle.
- Chrysie : Et regarde Lj ! Papa m’a acheté mon vélo !
- Lj : Waouh ! Il est super joli, dis dont ! Fit-il en admirant la bicyclette.
- Chrysie : Je peux en faire ici, papa ?
- Michael : Bien sur ma puce.
Pendant près d’une heure, Michael fit la connaissance d’une dizaine d’adolescents dont son frère s’occupait avec patience. Il apprit que Valéria et Alicia vivaient au centre, responsables des adolescentes tandis que Conrad et Brad, s’occupaient des adolescents. La journée, Lincoln et Fernando ainsi que le père David supervisaient si les jeunes étaient à l’aise et qu’ils ne manquaient de rien. Chaque gamins échoués dans ce centre, étaient la priorité de Lincoln, avait constaté Michael tandis qu’il s’occupait de deux adolescents qui venaient d’avoir une altercation. En conversant avec eux, il apprit que Sara venait régulièrement leur rendre visite. Un jeune garçon d’une quinzaine d’années restait un peu à l’écart de Michael, ce qui attira son attention. Ressentant beaucoup d’animosité aux regards furieux que l’adolescent lui adressaient, il fronça les sourcils et soutint son regard un long moment.
Fernando les rejoignit et discutait avec Michael avec humour tandis qu’ils regardaient Chrysie, roulait sur son vélo alors que Lj la suivait en filmant.
- Michael : Il a toujours cette caméra à la main !
- Fernando : Oui, il filme toujours Chrysie. Depuis sa naissance, il s’est mit en tête de graver tous les moments que tu… désolé, papi…
Michael sourit et baissa le regard un instant avant de passer son bras autour des épaules de son ami.
- Michael : Tu m’as beaucoup manqué, Sucre, fit-il d’une voix émue.
- Fernando : Toi aussi, papi, répondit son ami en lui donnant un large sourire.
- Michael : Dis-moi ? Qui c’est-ce gosse là-bas ? Il n’arrête pas de me foudroyer du regard depuis que je suis arrivé.
Fernando regarda dans la direction de Michael et sourit.
- Fernando : C’est Kylian. Heu… c’est le petit protéger de Sara, il l’adore. C’est elle qui la ramené au centre après qu’il s’est remit de l’accident de voiture qui l’avait plongé dans le coma pendant plus d’un mois.
- Michael : Il n’a pas de parents ?
- Fernando : Non, ils sont morts dans un accident quand il avait deux ans. Il a été ballotté de foyer en foyer. On peut dire qu’il n’a pas eut une vie toute rose, si tu vois ce que je veux dire.
- Michael : Ça fait longtemps qu’il est ici ? Demanda Michael, s’intéressant au cas de l’adolescent.
- Fernando : Heu… un peu plus de deux ans, je pense. Tu sais, c’est comme un refuge ici, on a les pires ados délaissés soit par leurs parents ou leurs familles. Mais ne cherche pas trop à t’en approcher. Linc et moi avons eut beaucoup de mal à le mettre en confiance. Il est très agressif, impulsif… seule Sara arrive à le calmer quand il nous fait une crise.
- Michael : Ça arrive souvent ? Ces crises ?
- Fernando : La dernière qu’il a faite, c’est l’année passée. Je ne sais pas exactement ce qu’il s’était passé mais Linc a du appelé Sara pour qu’elle vienne lui parler, expliqua Fernando en fixant l’adolescent. Ne t’approche pas de lui, laisse Sara lui parler de toi avant... Je pense que ça vaut mieux, fit Fernando en regardant Kylian, adossé contre un arbre, regardant Michael d’un air méprisant.
- Michael : Tu crois que j’ai peur de ce gosse ? Demanda Michael en pouffant de rire.
- Fernando : Non, mais si tu lui fais du mal, tu te risques à Sara, c’est moi qui te le dis. Je te l’ai dis, Mich ! Kylian est son protéger. Ils se sont beaucoup confiés tous les deux. Je suis presque prêt à parier qu’il en sait plus sur toi que nous, nous le savons.
Michael lui sourit et hocha la tête.
- Michael : Ok. Je suivrais ton conseil, dans ce cas, fit-il en pensant au regard que Sara avait quand elle lui avait parlé de Jason.
Elle n’avait pas changé, pensa Michael silencieusement. Sara aimait venir en aide aux autres, et elle aimait s’investir, coûte que coûtes dans des cas difficiles, voir insurmontables.
Reportant son attention vers Kylian, Michael lui sourit et comprit que ce n’était pas gagné d’avance pour établir un contact avec lui. L’adolescent cracha sur le sol en le foudroyant du regard avant de rentrer dans l’établissement.
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Super suite ! Woah, le choc qu'a du avoir Kylian, qui est le protégé de Sara Chrysie qui a hâte de montrer son nouveau vélo que Mike lui a offert Vivement la suite !
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Voilà voilà une fic de plus que je me suis mise à lire lol
J'aime bcp bcp ! Bravo !
J'adore aussi ton autre fic : j'aurais 2 sujets pour demander des suites mmt c'est pas beau ça ? lool
J'aime bien la relation de Michael et Christy c'est tout mignon
Puis avec Sara de mieux en mieux...
Donc il faut une suiiiiiiiite !!! lol
J'aime bcp bcp ! Bravo !
J'adore aussi ton autre fic : j'aurais 2 sujets pour demander des suites mmt c'est pas beau ça ? lool
J'aime bien la relation de Michael et Christy c'est tout mignon
Puis avec Sara de mieux en mieux...
Donc il faut une suiiiiiiiite !!! lol
Invité- Invité
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Michael est un super papa, il a offert un vélo à sa fille, par contre est ce que Sara ne va pas crier
Chrysie qui joue les petits boulets
Linc qui a une nouvelle amoureuse
Kylian qui n'est pas heureux de voir Michael, tu m'étonnes si Sara s'est confié à lui sur toute la souffrance qu'elle a enduré quand elle le croyait mort et si il sait pour la TS il y a de grande chance pour qu'ils ne deviennent pas amis maintenant en plus c'est un rival pour lui, si il n'y a que Sara qui peux lui parler c'est qu'il est un peu amoureux non???????
allez encore une suite STP
gros
Chrysie qui joue les petits boulets
Linc qui a une nouvelle amoureuse
Kylian qui n'est pas heureux de voir Michael, tu m'étonnes si Sara s'est confié à lui sur toute la souffrance qu'elle a enduré quand elle le croyait mort et si il sait pour la TS il y a de grande chance pour qu'ils ne deviennent pas amis maintenant en plus c'est un rival pour lui, si il n'y a que Sara qui peux lui parler c'est qu'il est un peu amoureux non???????
allez encore une suite STP
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
je sais que tu sais ce que je veux
alors ce serait bien que tu excauses mon voeu
gros
alors ce serait bien que tu excauses mon voeu
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci pour vos coms les miss
bonne lecture biz
Chapitre 23.
[Deux jours plus tard…]
Sara avait oublié comme les journées pouvaient passé si vite. Elle avait encore été voir Jason à l’hôpital, dans l’après-midi. L’intervention s’était bien passé, et pour le moment, son organisme ne présentait aucun signe de rejet. Mais Sara était consciente qu’il n’était pas sortit d’affaire pour autant, les quarante huit prochaines heures seraient décisives, pensa-t-elle. Elle avait retrouvé Katie et les autres collègues également. Pendant dix minutes, elles avaient conversé du cas de Jason et de ses autres patients dont elle s’occupait. Katie l’avait prise à l’écart un instant afin de la questionner sur son moral. Incapable de lui mentir, elle lui avait confié la colère qu’elle éprouvait en elle pour Michael… mais aussi ses sentiments intacts, malgré la blessure douloureuse de son cœur, encore ouverte….
Il était plus de vingt-deux heures et Sara finit par sortir de la chambre de Chrysie. Elle venait de s’endormir enfin, épuisée à lui raconter sa journée, pensa-t-elle en se dirigeant dans le salon.
Chrysie passait énormément de temps avec son père. Elle en était heureuse. La situation entre Michael et elle n’avait guerre évoluée, mais elle esquissa un faible sourire et s’installa dans le canapé.
Pendant ces deux derniers jours, Michael emmenait souvent Chrysie au centre où il aimait s’y trouvé, avait-elle constaté. Faisant abstraction à ses pensées qui voguaient dans son esprit, elle appuya sur la télécommande du lecteur DVD et enclencha la lecture de la dernière vidéo que Lj lui avait donné, dans la soirée. Elle se mit à rire, contemplant les images défilées sur l’écran. Chrysie riait joyeusement, roulant sur son vélo au bord de l’enclos des chevaux du centre tandis que Michael courait à petite foulée à ses côtés. Ses larmes montèrent à la vue du père et de sa fille, ils se ressemblaient tant, tous les deux.
Elle essuya ses larmes au moment où des coups se firent entendre derrière la porte. Ce devait être Lincoln, pensa-t-elle en se levant. Elle n’avait pas encore vu son beau-frère de la journée, se dit-elle, resserrant les pans de son peignoir avant d’aller ouvrir la porte.
- Sara : ho…
- Michael : Salut, fit-il d’un sourire éblouissant. Je te réveille ?
- Sara : Non… Chrysie vient de s’endormir. Tu peux entrer, si tu veux….
- Michael : Merci.
Sara referma la porte, surprise que son cœur s’emballer en sa présence. Elle tenta vainement de faire ralentir son rythme cardiaque mais c’était sans espoir, pensa-t-elle alors qu’il la dévorait du regard.
- Sara : Tu veux boire quelque chose ?
- Michael : Non, merci, répondit Michael en souriant avant de porter son regard sur l’écran où Sara avait mis la vidéo en pause sur lui qui prenait Chrysie dans ses bras.
- Sara : Tu veux… assied-toi, proposa-t-elle en déglutissant péniblement.
Michael accepta et balaya la pièce du regard. Surpris de découvrir une photo de lui sur une console, dans le salon, il la regarda, ému.
- Michael : Lj m’a dit que tu avais pas mal de vidéos de notre fille.
- Sara : Oui, il faut dire qu’il adore jouer avec sa camera et ne perdait pas une occasion pour s’en servir, fit-elle d’une voix nerveuse en souriant avant de s’éclipser dans une autre pièce.
Surpris, Michael la regarda s’enfuir du salon, mais il resta assis dans le canapé et appuya sur la télécommande du DVD il sourit tendrement et se concentra sur les images de la veille dans l’après-midi qu’il avait passé avec Chrysie, au centre. Il appréciait beaucoup y aller pour discuter avec ses ados, enfin, sauf Kylian dont il n’avait toujours pas établit le contact, pensa-t-il avec regret.
La jeune femme revint quelques minutes après et déposa un carton sur la table basse.
- Michael : Qu’est-ce que c’est ? Demanda Michael en se redressant.
- Sara : Toutes les vidéos que Lj a faite, répondit-elle en l’ouvrant.
- Michael : De Chrysie ?
- Sara : Oui. De sa naissance à ses premiers pas et tous les autres moments importants de sa vie…
Ému, Michael prit une boite où il était inscrit « Naissance de Christina-Rose Scofield ». Le cœur battant à tout rompre, il déglutit péniblement par l’émotion qui lui brûler la gorge sous les yeux de Sara, brillants d’émotion.
- Sara : Tu veux la regarder ?
Surpris, il accepta avant de se lever pour changer le DVD qu’il tendit à Sara. Quelques minutes plus tard, ils s’installèrent dans le canapé et regardèrent Chrysie pleurait dans son berceau transparent de la maternité.
Un flot d’émotion le submergea. Discrètement il essuya la larme qui perlait à sa paupière mais Sara le remarqua avec un pincement au cœur. Elle se pencha pour attraper la télécommande puis stoppa la vidéo, bouleversée également de revivre cet instant si douloureux alors que cet événement n’aurait jamais dû être si déchirant.
Faisant un effort pour cacher son trouble, Sara poussa un long soupir.
- Sara : Tu pourras les prendre, si tu le veux..
- Michael : C’est avec toi que je veux les voir, Sara, répondit Michael dans un murmure rauque en prenant la main de la jeune femme dans la sienne.
Elle fit un faible sourire et baissa le regard sur leurs mains unies. Alors qu’elle tentait de refouler l’émotion qui la traverser sans préambule. Michael se redressa et lui prit les lèvres d’un léger baiser.
- Michael : Merci, Sara…
- Sara : De rien, murmura-t-elle, incapable de détourner son regard du sien.
- Michael : Il vaut mieux que je rentre, dit-il en se levant, rompant la magie de l’instant.
- Sara : D’accord, répondit la jeune femme en se levant pour l’accompagner à la porte, le cœur serré.
Michael posa la main sur la poignet de la porte, devinant la déception de Sara mais aussi, il prit conscience qu’il n’avait pas envie de quitter cet appartement où sa femme se trouver. Sa femme, et leur fille !
Il se retourna vers elle et plongea son regard dans celui de la jeune femme et avec une voix vibrante de désir, il murmura d‘une voix grave :
- Michael : Je pourrais passer cette porte et rentrer chez Lincoln… mais j’en ai aucune envie…
Pendant ce qu’il lui parut une éternité, Sara attendit qu’il continue mais il referma les lèvres. Lentement, il retira sa main de la porte, et fit un pas vers elle. Troublée, elle baissa le regard, incapable de lui montrer son trouble.
Doucement, Michael releva son visage et fut bouleversé de lire dans le fond de ses yeux, tout l’amour qu’elle lui portait encore….
- Michael : Si tu veux, que je parte, je partirais, fit-il dans un murmure douloureux.
Sara ferma les yeux un court instant. Elle ne voulait pas qu’ils se retrouvent si vite alors qu’elle ait souffert pendant si longtemps. C’était trop facile, songea-t-elle, le cœur en larme. Mais tous ses sens lui influaient le contraire… son cœur lui hurlait le contraire…. En proie à un dilemme silencieux, elle se força à lui sourire faiblement avant d’ancrer son regard dans l’océan de ses pupilles.
- Sara : Je suis fatiguée…
- Michael : D’accord, répondit-il d’une voix déçue.
Michael s’écarta d’elle, ne voulant pas la tourmenter plus longtemps. Alors qu’il se retourna vers la porte, un vide submergea la jeune femme. Vivement, elle posa une main sur le dos de Michael qui frissonna jusqu’à l’échine, il s’arrêta et attendit, les yeux fermés….
- Sara : Reste, Michael, fit la jeune femme dans un souffle court….
bonne lecture biz
Chapitre 23.
[Deux jours plus tard…]
Sara avait oublié comme les journées pouvaient passé si vite. Elle avait encore été voir Jason à l’hôpital, dans l’après-midi. L’intervention s’était bien passé, et pour le moment, son organisme ne présentait aucun signe de rejet. Mais Sara était consciente qu’il n’était pas sortit d’affaire pour autant, les quarante huit prochaines heures seraient décisives, pensa-t-elle. Elle avait retrouvé Katie et les autres collègues également. Pendant dix minutes, elles avaient conversé du cas de Jason et de ses autres patients dont elle s’occupait. Katie l’avait prise à l’écart un instant afin de la questionner sur son moral. Incapable de lui mentir, elle lui avait confié la colère qu’elle éprouvait en elle pour Michael… mais aussi ses sentiments intacts, malgré la blessure douloureuse de son cœur, encore ouverte….
Il était plus de vingt-deux heures et Sara finit par sortir de la chambre de Chrysie. Elle venait de s’endormir enfin, épuisée à lui raconter sa journée, pensa-t-elle en se dirigeant dans le salon.
Chrysie passait énormément de temps avec son père. Elle en était heureuse. La situation entre Michael et elle n’avait guerre évoluée, mais elle esquissa un faible sourire et s’installa dans le canapé.
Pendant ces deux derniers jours, Michael emmenait souvent Chrysie au centre où il aimait s’y trouvé, avait-elle constaté. Faisant abstraction à ses pensées qui voguaient dans son esprit, elle appuya sur la télécommande du lecteur DVD et enclencha la lecture de la dernière vidéo que Lj lui avait donné, dans la soirée. Elle se mit à rire, contemplant les images défilées sur l’écran. Chrysie riait joyeusement, roulant sur son vélo au bord de l’enclos des chevaux du centre tandis que Michael courait à petite foulée à ses côtés. Ses larmes montèrent à la vue du père et de sa fille, ils se ressemblaient tant, tous les deux.
Elle essuya ses larmes au moment où des coups se firent entendre derrière la porte. Ce devait être Lincoln, pensa-t-elle en se levant. Elle n’avait pas encore vu son beau-frère de la journée, se dit-elle, resserrant les pans de son peignoir avant d’aller ouvrir la porte.
- Sara : ho…
- Michael : Salut, fit-il d’un sourire éblouissant. Je te réveille ?
- Sara : Non… Chrysie vient de s’endormir. Tu peux entrer, si tu veux….
- Michael : Merci.
Sara referma la porte, surprise que son cœur s’emballer en sa présence. Elle tenta vainement de faire ralentir son rythme cardiaque mais c’était sans espoir, pensa-t-elle alors qu’il la dévorait du regard.
- Sara : Tu veux boire quelque chose ?
- Michael : Non, merci, répondit Michael en souriant avant de porter son regard sur l’écran où Sara avait mis la vidéo en pause sur lui qui prenait Chrysie dans ses bras.
- Sara : Tu veux… assied-toi, proposa-t-elle en déglutissant péniblement.
Michael accepta et balaya la pièce du regard. Surpris de découvrir une photo de lui sur une console, dans le salon, il la regarda, ému.
- Michael : Lj m’a dit que tu avais pas mal de vidéos de notre fille.
- Sara : Oui, il faut dire qu’il adore jouer avec sa camera et ne perdait pas une occasion pour s’en servir, fit-elle d’une voix nerveuse en souriant avant de s’éclipser dans une autre pièce.
Surpris, Michael la regarda s’enfuir du salon, mais il resta assis dans le canapé et appuya sur la télécommande du DVD il sourit tendrement et se concentra sur les images de la veille dans l’après-midi qu’il avait passé avec Chrysie, au centre. Il appréciait beaucoup y aller pour discuter avec ses ados, enfin, sauf Kylian dont il n’avait toujours pas établit le contact, pensa-t-il avec regret.
La jeune femme revint quelques minutes après et déposa un carton sur la table basse.
- Michael : Qu’est-ce que c’est ? Demanda Michael en se redressant.
- Sara : Toutes les vidéos que Lj a faite, répondit-elle en l’ouvrant.
- Michael : De Chrysie ?
- Sara : Oui. De sa naissance à ses premiers pas et tous les autres moments importants de sa vie…
Ému, Michael prit une boite où il était inscrit « Naissance de Christina-Rose Scofield ». Le cœur battant à tout rompre, il déglutit péniblement par l’émotion qui lui brûler la gorge sous les yeux de Sara, brillants d’émotion.
- Sara : Tu veux la regarder ?
Surpris, il accepta avant de se lever pour changer le DVD qu’il tendit à Sara. Quelques minutes plus tard, ils s’installèrent dans le canapé et regardèrent Chrysie pleurait dans son berceau transparent de la maternité.
Un flot d’émotion le submergea. Discrètement il essuya la larme qui perlait à sa paupière mais Sara le remarqua avec un pincement au cœur. Elle se pencha pour attraper la télécommande puis stoppa la vidéo, bouleversée également de revivre cet instant si douloureux alors que cet événement n’aurait jamais dû être si déchirant.
Faisant un effort pour cacher son trouble, Sara poussa un long soupir.
- Sara : Tu pourras les prendre, si tu le veux..
- Michael : C’est avec toi que je veux les voir, Sara, répondit Michael dans un murmure rauque en prenant la main de la jeune femme dans la sienne.
Elle fit un faible sourire et baissa le regard sur leurs mains unies. Alors qu’elle tentait de refouler l’émotion qui la traverser sans préambule. Michael se redressa et lui prit les lèvres d’un léger baiser.
- Michael : Merci, Sara…
- Sara : De rien, murmura-t-elle, incapable de détourner son regard du sien.
- Michael : Il vaut mieux que je rentre, dit-il en se levant, rompant la magie de l’instant.
- Sara : D’accord, répondit la jeune femme en se levant pour l’accompagner à la porte, le cœur serré.
Michael posa la main sur la poignet de la porte, devinant la déception de Sara mais aussi, il prit conscience qu’il n’avait pas envie de quitter cet appartement où sa femme se trouver. Sa femme, et leur fille !
Il se retourna vers elle et plongea son regard dans celui de la jeune femme et avec une voix vibrante de désir, il murmura d‘une voix grave :
- Michael : Je pourrais passer cette porte et rentrer chez Lincoln… mais j’en ai aucune envie…
Pendant ce qu’il lui parut une éternité, Sara attendit qu’il continue mais il referma les lèvres. Lentement, il retira sa main de la porte, et fit un pas vers elle. Troublée, elle baissa le regard, incapable de lui montrer son trouble.
Doucement, Michael releva son visage et fut bouleversé de lire dans le fond de ses yeux, tout l’amour qu’elle lui portait encore….
- Michael : Si tu veux, que je parte, je partirais, fit-il dans un murmure douloureux.
Sara ferma les yeux un court instant. Elle ne voulait pas qu’ils se retrouvent si vite alors qu’elle ait souffert pendant si longtemps. C’était trop facile, songea-t-elle, le cœur en larme. Mais tous ses sens lui influaient le contraire… son cœur lui hurlait le contraire…. En proie à un dilemme silencieux, elle se força à lui sourire faiblement avant d’ancrer son regard dans l’océan de ses pupilles.
- Sara : Je suis fatiguée…
- Michael : D’accord, répondit-il d’une voix déçue.
Michael s’écarta d’elle, ne voulant pas la tourmenter plus longtemps. Alors qu’il se retourna vers la porte, un vide submergea la jeune femme. Vivement, elle posa une main sur le dos de Michael qui frissonna jusqu’à l’échine, il s’arrêta et attendit, les yeux fermés….
- Sara : Reste, Michael, fit la jeune femme dans un souffle court….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Chapitre 24.
[Sentiments troublants]
Les mains tremblantes, Sara se demanda pour la énième fois comment avait-elle pu prononcer ces mots ? Michael n’avait pas bougé, il restait immobile. Sans s’en rendre compte, la jeune femme soupira. Il se tourna enfin vers elle, le regard brillant de larmes et l’attira dans ses bras.
Le cœur battant à tout rompre, elle se blottit contre son torse avant de lever son visage vers le sien.
- Sara : Je veux simplement dormir dans tes bras, souffla-t-elle dans un murmure.
- Michael : D’accord, répondit-il en la serrant plus fort contre lui.
Il la serra contre lui, fermant les yeux en proie à l’intensité des émotions qu’il ressentait. Lentement, il s’écarta doucement et releva son menton entre son pouce et son index. Il plongea son regard dans le sien, et lui sourit afin de ne pas laisser paraître son trouble. Inspirant profondément, il lui demanda d’une voix émue :
- Michael : Tu es sure ? Je ne veux pas que tu me le demandes pour moi, pour me faire…
- Sara : Non… j’ai besoin de sentir tes bras autour de moi, Michael, répondit-elle en fixant ses lèvres.
Il l’attira alors dans ses bras et l’étreignit avec amour. Ils restèrent enlacés dans les bras l’un de l’autre durant de longues minutes quand un faible bruit attira leur attention.
Sara s’écarta de l’étreinte réconfortante de son mari et lui sourit avant de s’avancer vers Chrysie qui se tenait près du couloir. Michael regarda sa fille avec tendresse, incapable de comprendre ce qu’il ressentait à cet instant. Étais-ce la fin d’un cauchemar ? Étais-ce l’heure qu’il puisse retrouver sa vie, bousculée, brisée quatre ans plutôt ? Toutes les questions se bousculaient dans sa tête. C’est dans un brouillard humide qu’il vit Sara s’approcher de lui, tenant leur fille dans ses bras.
- Chrysie : Papa, s’exclama-t-elle d’une voix endormie avant de passer ses bras autour du cou de son père.
- Michael : Salut, mon ange. Tu as fais un mauvais rêve ? Lui demanda Michael en la prenant dans ses bras.
La fillette hocha la tête en fermant les yeux et nicha son visage dans le creux du cou de Michael. Le jeune homme sourit et leva une main vers la joue de Sara qui se tenait tout près de lui. Elle ferma les yeux un instant, savourant la magie de l’instant. Ils étaient réunis tous les trois… après tant de souffrance, après toutes ses nuits à dormir seule… à pleurer l’homme qu’elle aimait. Sara sentit l’émotion la gagner.
- Michael : Je crois qu’elle s’est rendormie, chuchota Michael, d’un murmure rauque.
- Sara : Suis-moi.
Doucement, Michael suivit Sara dans la chambre de leur fille et la recouchèrent dans son lit. Ils la contemplèrent pendant quelques minutes et sortirent de sa chambre après lui avoir déposé un baiser.
Michael referma la porte et prit la main de Sara dans la sienne. Ils se fixèrent un moment dans le fond des yeux, ne sachant qui ferait le premier pas, le premier geste des deux. Il sentit son cœur battre dangereusement dans sa poitrine lorsque la main de la jeune femme s’avança vers son torse. Immobile, il savoura l’instant.
Alors qu’elle ferma les paupières, épuisée par les émotions qui la submerger, Michael l’attira contre lui. Lentement, il pencha le visage vers celui de Sara et attendit un geste de sa part avant de prendre l’initiative de poser ses lèvres sur les siennes.
La jeune femme comprit ce qu’il attendait et émit un faible soupire avant d’effleurer ses lèvres. Elle se recula légèrement et lui sourit tendrement avant de lui donner un baiser passionné.
A bout de souffle, elle s’écarta, les joues rougis et ouvrit la porte de sa chambre avant de pénétrer à l’intérieur.
- Sara : Je vais me coucher, Michael, fit-il d’un murmure avant de s’avancer dans la pénombre de la pièce, éclairer par la lueur de la lune.
Il savait qu’ils en resteraient là tous les deux, du moins pour le moment, pensa-t-il. Avant de se retrouver, il devait regagner sa confiance, l’aider à reconquérir sa propre estime.
Poussant un soupir incrédule, il retourna dans le salon et éteignit la télévision. Perdu dans ses pensées, il prit un temps de réflexion avant de rejoindre Sara, priant intérieurement pour qu’il soit capable de résister à son propre désir….
Cinq minutes plus tard, il entra dans la chambre, baignée d’une douce lueur aux reflets de la lune. Il regarda Sara et sourit, elle avait les yeux fermés et était recroquevillée dans les couvertures qu’elle avait monté jusqu’au nez. Il marcha lentement, apprenant à connaître les pièges qu’il pouvait rencontrer sur le sol. Ses yeux s’habituèrent rapidement à l’obscurité de la chambre et s’avança en contournant le lit.
Poussant un soupir où les questions se bousculaient dans son esprit, il resta habillé et s’allongea à ses côtés. Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Elle savait comment fonctionner Michael. Il attendait qu’elle fasse le premier pas et c’est-ce qu’elle fit. Avec une lenteur assurée, prenant le temps de comprendre ce qu’elle était en train de faire, Sara se retourna vers lui.
- Sara : Michael ?
- Michael : Hum ?
Incapable de parler à la proximité de leurs corps, la jeune femme posa une main sur le torse de son mari.
- Sara : Tu devrais enlever…
Michael se redressa sans attendre qu’elle termine sa phrase et se déshabilla avant de se recoucher sous les couvertures.
- Michael : Viens, ma puce, murmura Michael dans un souffle.
Elle hésita quelques secondes et finit par se blottir dans les bras de Michael. Il l’attira contre lui, le cœur battant la chamade alors que leurs peaux se retrouvèrent, sans préambule. Sara ferma les yeux, le cœur serré afin de garder son calme, et d’apaiser les palpitations qu’elle ressentait dans toutes les parties de son corps.
- Michael : Tu as froid ? Demanda Michael dans le creux de son oreille.
- Sara : Non, fit-elle en balbutiant alors qu’il sourit tendrement.
La jeune femme se détendit peu à peu et déposa son tête dans le cou de son époux. Elle déglutit péniblement, sentant les battements de Michael prendre une cadence précipité. Elle déposa un léger baiser sur sa veine palpitante. Un gémissement rauque s’échappa à ce contact, et avec tendresse, Michael se mit sur le côté et la plaqua plus étroitement contre lui.
Leurs regards se croisèrent et restèrent rivés l’un à l’autre. Ce moment intense la fit frissonner de plus belle. En une seconde, tout sembla disparaître autour d’eux. Elle n’entendait plus que le bruit de son souffle court et les battements de son coeur.
- Michael : On devrait dormir, j’ai promis…, fit-il d’une voix emplit de désir qu’il essayait désespérément de refouler. J’ai promis à Linc de venir vous donner un coup de main, au centre…
Sara fronça les sourcils et se souvint brusquement qu’elle avait promis également à Lincoln de venir aider pour les préparatifs du barbecue annuel.
- Sara : Ho c’est pas vrai ! J’avais complètement oublié, fit-elle en nichant son visage dans le cou de Michael, qui la serra instinctivement contre lui.
- Michael : Tu avais quelques choses de prévu ?
- Sara : Non. Je ne passe pas à l’hôpital demain. Jason a sa famille qui sera avec lui…
Sara s’interrompit un instant et redressa la tête vers Michael.
- Sara : Tu… tu as rencontré tous les ados ?
- Michael : Oui, répondit-il en caressant le dos de la jeune femme. Il y en a un qui ne m’aime pas beaucoup. Il refuse que je m’approche de lui…
- Sara : Kylian ?
Michael hocha la tête et lui sourit.
- Michael : Il t’aime beaucoup…
- Sara : Il te ressemble. Laisse lui le temps, ce n’est pas quelqu’un de méchant, au contraire.
- Michael : Je me doute. Sara…
- Sara : Quoi ?
Michael se redressa sur le lit, faisant glisser le drap de sa poitrine. La jeune femme fixa son torse, descendant machinalement sur les dédales de son tatouage qui chutaient vers le bas. Elle se reprit aussitôt en entendant un faible rire et releva son regard pour le plonger dans celui de Michael, assombri par le désir.
Il releva une main et du bout des doigts, caressa sa joue rosie par l’émotion. Troublée par le contact de sa main sur son visage, elle ferma les yeux tandis que Michael murmura d‘une voix émouvante :
- Michael : Je t’aime, Sara…
Elle ouvrit brusquement les yeux et n’eut pas le temps de répondre pour lui dire qu’elle aimait d’une puissance inimaginable qu’il l’attira de nouveau dans ses bras et lui souhaita bonne nuit. Frustrée, elle ferma les yeux et savoura son corps contre le sien et s’endormit un long moment plus tard.
[Sentiments troublants]
Les mains tremblantes, Sara se demanda pour la énième fois comment avait-elle pu prononcer ces mots ? Michael n’avait pas bougé, il restait immobile. Sans s’en rendre compte, la jeune femme soupira. Il se tourna enfin vers elle, le regard brillant de larmes et l’attira dans ses bras.
Le cœur battant à tout rompre, elle se blottit contre son torse avant de lever son visage vers le sien.
- Sara : Je veux simplement dormir dans tes bras, souffla-t-elle dans un murmure.
- Michael : D’accord, répondit-il en la serrant plus fort contre lui.
Il la serra contre lui, fermant les yeux en proie à l’intensité des émotions qu’il ressentait. Lentement, il s’écarta doucement et releva son menton entre son pouce et son index. Il plongea son regard dans le sien, et lui sourit afin de ne pas laisser paraître son trouble. Inspirant profondément, il lui demanda d’une voix émue :
- Michael : Tu es sure ? Je ne veux pas que tu me le demandes pour moi, pour me faire…
- Sara : Non… j’ai besoin de sentir tes bras autour de moi, Michael, répondit-elle en fixant ses lèvres.
Il l’attira alors dans ses bras et l’étreignit avec amour. Ils restèrent enlacés dans les bras l’un de l’autre durant de longues minutes quand un faible bruit attira leur attention.
Sara s’écarta de l’étreinte réconfortante de son mari et lui sourit avant de s’avancer vers Chrysie qui se tenait près du couloir. Michael regarda sa fille avec tendresse, incapable de comprendre ce qu’il ressentait à cet instant. Étais-ce la fin d’un cauchemar ? Étais-ce l’heure qu’il puisse retrouver sa vie, bousculée, brisée quatre ans plutôt ? Toutes les questions se bousculaient dans sa tête. C’est dans un brouillard humide qu’il vit Sara s’approcher de lui, tenant leur fille dans ses bras.
- Chrysie : Papa, s’exclama-t-elle d’une voix endormie avant de passer ses bras autour du cou de son père.
- Michael : Salut, mon ange. Tu as fais un mauvais rêve ? Lui demanda Michael en la prenant dans ses bras.
La fillette hocha la tête en fermant les yeux et nicha son visage dans le creux du cou de Michael. Le jeune homme sourit et leva une main vers la joue de Sara qui se tenait tout près de lui. Elle ferma les yeux un instant, savourant la magie de l’instant. Ils étaient réunis tous les trois… après tant de souffrance, après toutes ses nuits à dormir seule… à pleurer l’homme qu’elle aimait. Sara sentit l’émotion la gagner.
- Michael : Je crois qu’elle s’est rendormie, chuchota Michael, d’un murmure rauque.
- Sara : Suis-moi.
Doucement, Michael suivit Sara dans la chambre de leur fille et la recouchèrent dans son lit. Ils la contemplèrent pendant quelques minutes et sortirent de sa chambre après lui avoir déposé un baiser.
Michael referma la porte et prit la main de Sara dans la sienne. Ils se fixèrent un moment dans le fond des yeux, ne sachant qui ferait le premier pas, le premier geste des deux. Il sentit son cœur battre dangereusement dans sa poitrine lorsque la main de la jeune femme s’avança vers son torse. Immobile, il savoura l’instant.
Alors qu’elle ferma les paupières, épuisée par les émotions qui la submerger, Michael l’attira contre lui. Lentement, il pencha le visage vers celui de Sara et attendit un geste de sa part avant de prendre l’initiative de poser ses lèvres sur les siennes.
La jeune femme comprit ce qu’il attendait et émit un faible soupire avant d’effleurer ses lèvres. Elle se recula légèrement et lui sourit tendrement avant de lui donner un baiser passionné.
A bout de souffle, elle s’écarta, les joues rougis et ouvrit la porte de sa chambre avant de pénétrer à l’intérieur.
- Sara : Je vais me coucher, Michael, fit-il d’un murmure avant de s’avancer dans la pénombre de la pièce, éclairer par la lueur de la lune.
Il savait qu’ils en resteraient là tous les deux, du moins pour le moment, pensa-t-il. Avant de se retrouver, il devait regagner sa confiance, l’aider à reconquérir sa propre estime.
Poussant un soupir incrédule, il retourna dans le salon et éteignit la télévision. Perdu dans ses pensées, il prit un temps de réflexion avant de rejoindre Sara, priant intérieurement pour qu’il soit capable de résister à son propre désir….
Cinq minutes plus tard, il entra dans la chambre, baignée d’une douce lueur aux reflets de la lune. Il regarda Sara et sourit, elle avait les yeux fermés et était recroquevillée dans les couvertures qu’elle avait monté jusqu’au nez. Il marcha lentement, apprenant à connaître les pièges qu’il pouvait rencontrer sur le sol. Ses yeux s’habituèrent rapidement à l’obscurité de la chambre et s’avança en contournant le lit.
Poussant un soupir où les questions se bousculaient dans son esprit, il resta habillé et s’allongea à ses côtés. Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Elle savait comment fonctionner Michael. Il attendait qu’elle fasse le premier pas et c’est-ce qu’elle fit. Avec une lenteur assurée, prenant le temps de comprendre ce qu’elle était en train de faire, Sara se retourna vers lui.
- Sara : Michael ?
- Michael : Hum ?
Incapable de parler à la proximité de leurs corps, la jeune femme posa une main sur le torse de son mari.
- Sara : Tu devrais enlever…
Michael se redressa sans attendre qu’elle termine sa phrase et se déshabilla avant de se recoucher sous les couvertures.
- Michael : Viens, ma puce, murmura Michael dans un souffle.
Elle hésita quelques secondes et finit par se blottir dans les bras de Michael. Il l’attira contre lui, le cœur battant la chamade alors que leurs peaux se retrouvèrent, sans préambule. Sara ferma les yeux, le cœur serré afin de garder son calme, et d’apaiser les palpitations qu’elle ressentait dans toutes les parties de son corps.
- Michael : Tu as froid ? Demanda Michael dans le creux de son oreille.
- Sara : Non, fit-elle en balbutiant alors qu’il sourit tendrement.
La jeune femme se détendit peu à peu et déposa son tête dans le cou de son époux. Elle déglutit péniblement, sentant les battements de Michael prendre une cadence précipité. Elle déposa un léger baiser sur sa veine palpitante. Un gémissement rauque s’échappa à ce contact, et avec tendresse, Michael se mit sur le côté et la plaqua plus étroitement contre lui.
Leurs regards se croisèrent et restèrent rivés l’un à l’autre. Ce moment intense la fit frissonner de plus belle. En une seconde, tout sembla disparaître autour d’eux. Elle n’entendait plus que le bruit de son souffle court et les battements de son coeur.
- Michael : On devrait dormir, j’ai promis…, fit-il d’une voix emplit de désir qu’il essayait désespérément de refouler. J’ai promis à Linc de venir vous donner un coup de main, au centre…
Sara fronça les sourcils et se souvint brusquement qu’elle avait promis également à Lincoln de venir aider pour les préparatifs du barbecue annuel.
- Sara : Ho c’est pas vrai ! J’avais complètement oublié, fit-elle en nichant son visage dans le cou de Michael, qui la serra instinctivement contre lui.
- Michael : Tu avais quelques choses de prévu ?
- Sara : Non. Je ne passe pas à l’hôpital demain. Jason a sa famille qui sera avec lui…
Sara s’interrompit un instant et redressa la tête vers Michael.
- Sara : Tu… tu as rencontré tous les ados ?
- Michael : Oui, répondit-il en caressant le dos de la jeune femme. Il y en a un qui ne m’aime pas beaucoup. Il refuse que je m’approche de lui…
- Sara : Kylian ?
Michael hocha la tête et lui sourit.
- Michael : Il t’aime beaucoup…
- Sara : Il te ressemble. Laisse lui le temps, ce n’est pas quelqu’un de méchant, au contraire.
- Michael : Je me doute. Sara…
- Sara : Quoi ?
Michael se redressa sur le lit, faisant glisser le drap de sa poitrine. La jeune femme fixa son torse, descendant machinalement sur les dédales de son tatouage qui chutaient vers le bas. Elle se reprit aussitôt en entendant un faible rire et releva son regard pour le plonger dans celui de Michael, assombri par le désir.
Il releva une main et du bout des doigts, caressa sa joue rosie par l’émotion. Troublée par le contact de sa main sur son visage, elle ferma les yeux tandis que Michael murmura d‘une voix émouvante :
- Michael : Je t’aime, Sara…
Elle ouvrit brusquement les yeux et n’eut pas le temps de répondre pour lui dire qu’elle aimait d’une puissance inimaginable qu’il l’attira de nouveau dans ses bras et lui souhaita bonne nuit. Frustrée, elle ferma les yeux et savoura son corps contre le sien et s’endormit un long moment plus tard.
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Super ces deux suites Pauvre Michael qui regrette de ne pas avoi été là Sara qui veut que Michael reste Et ils dorment ensemble On dirait qu'ils s'approchent de plus en plus
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
alors maintenant que Sara a ouvert un peu plus son coeur à son mari que va t'il se passer cette nuit câlin ou pas câlin
ils se redécouvrent tout doucement
allez STP une autre suite
gros
ils se redécouvrent tout doucement
allez STP une autre suite
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Merci les miss pour vos coms
voici la suite :biz:
Chapitre 25.
[Instant rêvé]
Jamais Michael n’avait éprouvé tel conflit. Il ignorait combien de temps il avait dormi, mais lorsqu’il se réveilla, il fut surprit de se rendre compte que Sara était blottie contre lui. Elle avait posé son bras sur son torse et une jambe était sur les siennes.
Il déglutit et demeura sans bouger, essayant de s’accoutumer à l’obscurité de la pièce. Il regarda vers la fenêtre et comprit qu’ils étaient toujours au milieu de la nuit. Il poussa un soupir de lassitude, il n’avait plus sommeil. Mais comment réussir à dormir alors que la pure et douce tentation était lovée contre lui ?
Il se frotta le visage d’une main énergique, espérant recouvrir toute sa raison mais ce fut impossible. La main de Sara venait de glisser juste à l’élastique de son boxer ! Bon sang ! Le souffle court par le désir qui le submergeait avec une force incroyable, il essaya vainement de penser à autre chose, que les images de leurs corps nus enlacés. Ce fut un échec considérable, constata-t-il, d’un air dépité.
Une douche froide était la meilleure solution, se dit-il avant de poser sa main sur celle de Sara pour se libérer. Mais la jeune femme remua légèrement et resserra son étreinte. Il ne put que sourire en l’entendant émettre un grognement de protestation ensommeillé. Il la contempla et abandonna l’idée de prendre une douche alors que son regard s’attarda sur ses lèvres entrouvertes.
Sara sortit peu à peu de ses rêves et constata qu’il était bien là. Elle bougea doucement un doigt et sentit des muscles se durcir sous la paume de sa main. Elle n’avait donc pas rêvée, se dit-elle dans un soupir de soulagement. Elle ouvrit lentement les yeux et un flot d’émotion la traversa alors que son regard était rivé sur le ventre plat de Michael. Tandis qu’elle resta immobile, elle leva les yeux et eut un faible sursaut en se heurtant au regard de Michael. Il était réveillé ! Soudain, elle se sentit gênée qu’il la voit ainsi, presque alanguis sur lui.
Prenant conscience du désir qui la consumer, elle remit sa jambe sur le matelas mais Michael la remit où elle était été reposé. Le souffle coupé, elle se perdit dans l’océan de ses pupilles et ne put résister plus longtemps.
Michael murmura son nom dans un souffle et se pencha vers elle. A peine eut-elle comprit que plus rien ne pourrait la retenir, il s’empara de ses lèvres. Le baiser de Michael fut empreint d’une grande douceur. C’était un baiser pur et délicat, presque timide, comme le premier baiser qu’il lui avait donné, ce fameux après-midi où il était venu faire soigner la brûlure de son dos, dans l’infirmerie de Fox River.
Mais très vite, son baiser devint plus exigeant, sa langue chercha la sienne tandis qu’il enfouissait ses mains dans ses cheveux. Submerger par le désir, elle s’accrocha à lui et lui rendit ses caresses avec ferveur.
Abandonnant ses lèvres, il déposa de légers baisers dans son cou, murmurant d’une voix rauque des mots dont elle se refusait d’entendre. Sara eut bientôt la respiration saccadée par la force de ses baisers brûlants que lui prodiguer Michael. Elle caressa d’une main timide, son dos, l’attirant enfin contre elle. Toutes les fibres de son corps, chaque terminaisons nerveuses s’éveillaient à nouveau au bout de cette longue absence de quatre interminable années.
Michael émit un gémissement sourd, il redressa la tête et ancra son regard au sien.
- Michael : Je t’ai si souvent rêvé, Sara…, fit-il dans un souffle avant de coller ses lèvres aux siennes en un baiser enfiévré, avant de faire monter en elle des ondes de plaisir retrouvées.
- Sara : Mich…
Elle ne pouvait plus lutter…
Elle n’en avait plus la force…
Quatre ans à l’attendre, à espérer l’impossible…
Lentement, Michael fit glisser la bretelle de sa chemise de nuit et caressa les contours de sa poitrine.
- Michael : Sara…
Elle ferma les yeux tandis qu’il lui ôta sa chemise de nuit. Frémissante, elle se cambra sous les caresses de sa langue, de ses lèvres qu’il fit glisser sur son ventre, sa poitrine où il s’attarda à la rendre tremblante dans ses bras. Un gémissement s’échappa de sa gorge, elle l’attira dans ses bras, l’agrippant de peur qu’il s’évanouisse dans la nature…
Sara le caressa à son tour, retrouvant les contours de son corps. Il n’avait pas changé, si ce n’est qu’il possédait un peu plus de masse musculaire. Elle fronça les yeux, étonnée et inquiète lorsque ses doigts passèrent sur des cicatrices qu’elle ne connaissait pas.
Michael comprit son trouble, il la serra dans ses bras afin qu’elle ne pense pas à cela. Il n’avait pas envie de lui parler de tous ce qu’il avait vécu loin d’elle. Pas maintenant…. Il reprit ses caresses, Sara l’embrassa, grisée par leur étreinte, elle se laissa aller à leurs retrouvailles.
Michael reprit sa bouche d’un baiser tendre et s’écarta tandis que les mains de la jeune femme enlevait avec une lenteur délivrée son boxer.
- Sara : Fais moi l’amour, Michael…
Le jeune homme frissonna à la douleur qu’il perçut dans sa voix. Il posa sa main sur sa joue et y déposa une myriade de baisers avant de lui prodiguer de délicieuses caresses qui lui coupèrent le souffle.
Elle ne pouvait plus nier la puissance de leur désir intact.
Elle ne pouvait plus reculer, malgré la patience de son mari qui venait de s’arrêter. Elle plongea son regard dans le sien et lui sourit. Comme si il attendait son accord, il la serra dans ses bras. Leurs deux corps enlacés, retrouvaient cette sensation unique qui seul, leur appartenait.
- Sara : Je t’aime, Michael, murmura-t-elle en prenant le visage de son époux entre ses mains avant de poser ses lèvres sur les siennes.
- Michael : Je n’ai jamais cesser de t’aimer…
C’est alors que délicatement, Michael entra en elle dans un sanglot étouffé et se perdit avec volupté dans l’antre qui rêvait de retrouver.
Sara ouvrit les yeux au moment où les lèvres de Michael s’écrasèrent sur les siennes. Lentement, il commença ses va-et-vient, s’enfonçant davantage, avec douceur, la faisant gémir de plaisir. Il entendit son souffle devenir de plus en plus court et vit qu’elle commençait à frémir sous lui.
Alors, il s’interrompit un instant, il voulait que cet instant dur à jamais pour qu’il puisse graver chaque seconde de leur étreinte au plus profond de son âme. Mais elle se cambra et s’accrocha à ses hanches, l’incitant à continuer. Ce qu’il fit avec une lenteur délibérée.
Continuant à l’embrasser avec une passion désespérée il donna un dernier coup de rein et soudain, il se laissa allé à la délivrance de leur union, épousant le cri de Sara dans sa bouche. Ils restèrent un instant, ainsi, puis, Michael leva son visage vers le sien et vint cueillir les larmes de sa femme de ses lèvres….
voici la suite :biz:
Chapitre 25.
[Instant rêvé]
Jamais Michael n’avait éprouvé tel conflit. Il ignorait combien de temps il avait dormi, mais lorsqu’il se réveilla, il fut surprit de se rendre compte que Sara était blottie contre lui. Elle avait posé son bras sur son torse et une jambe était sur les siennes.
Il déglutit et demeura sans bouger, essayant de s’accoutumer à l’obscurité de la pièce. Il regarda vers la fenêtre et comprit qu’ils étaient toujours au milieu de la nuit. Il poussa un soupir de lassitude, il n’avait plus sommeil. Mais comment réussir à dormir alors que la pure et douce tentation était lovée contre lui ?
Il se frotta le visage d’une main énergique, espérant recouvrir toute sa raison mais ce fut impossible. La main de Sara venait de glisser juste à l’élastique de son boxer ! Bon sang ! Le souffle court par le désir qui le submergeait avec une force incroyable, il essaya vainement de penser à autre chose, que les images de leurs corps nus enlacés. Ce fut un échec considérable, constata-t-il, d’un air dépité.
Une douche froide était la meilleure solution, se dit-il avant de poser sa main sur celle de Sara pour se libérer. Mais la jeune femme remua légèrement et resserra son étreinte. Il ne put que sourire en l’entendant émettre un grognement de protestation ensommeillé. Il la contempla et abandonna l’idée de prendre une douche alors que son regard s’attarda sur ses lèvres entrouvertes.
Sara sortit peu à peu de ses rêves et constata qu’il était bien là. Elle bougea doucement un doigt et sentit des muscles se durcir sous la paume de sa main. Elle n’avait donc pas rêvée, se dit-elle dans un soupir de soulagement. Elle ouvrit lentement les yeux et un flot d’émotion la traversa alors que son regard était rivé sur le ventre plat de Michael. Tandis qu’elle resta immobile, elle leva les yeux et eut un faible sursaut en se heurtant au regard de Michael. Il était réveillé ! Soudain, elle se sentit gênée qu’il la voit ainsi, presque alanguis sur lui.
Prenant conscience du désir qui la consumer, elle remit sa jambe sur le matelas mais Michael la remit où elle était été reposé. Le souffle coupé, elle se perdit dans l’océan de ses pupilles et ne put résister plus longtemps.
Michael murmura son nom dans un souffle et se pencha vers elle. A peine eut-elle comprit que plus rien ne pourrait la retenir, il s’empara de ses lèvres. Le baiser de Michael fut empreint d’une grande douceur. C’était un baiser pur et délicat, presque timide, comme le premier baiser qu’il lui avait donné, ce fameux après-midi où il était venu faire soigner la brûlure de son dos, dans l’infirmerie de Fox River.
Mais très vite, son baiser devint plus exigeant, sa langue chercha la sienne tandis qu’il enfouissait ses mains dans ses cheveux. Submerger par le désir, elle s’accrocha à lui et lui rendit ses caresses avec ferveur.
Abandonnant ses lèvres, il déposa de légers baisers dans son cou, murmurant d’une voix rauque des mots dont elle se refusait d’entendre. Sara eut bientôt la respiration saccadée par la force de ses baisers brûlants que lui prodiguer Michael. Elle caressa d’une main timide, son dos, l’attirant enfin contre elle. Toutes les fibres de son corps, chaque terminaisons nerveuses s’éveillaient à nouveau au bout de cette longue absence de quatre interminable années.
Michael émit un gémissement sourd, il redressa la tête et ancra son regard au sien.
- Michael : Je t’ai si souvent rêvé, Sara…, fit-il dans un souffle avant de coller ses lèvres aux siennes en un baiser enfiévré, avant de faire monter en elle des ondes de plaisir retrouvées.
- Sara : Mich…
Elle ne pouvait plus lutter…
Elle n’en avait plus la force…
Quatre ans à l’attendre, à espérer l’impossible…
Lentement, Michael fit glisser la bretelle de sa chemise de nuit et caressa les contours de sa poitrine.
- Michael : Sara…
Elle ferma les yeux tandis qu’il lui ôta sa chemise de nuit. Frémissante, elle se cambra sous les caresses de sa langue, de ses lèvres qu’il fit glisser sur son ventre, sa poitrine où il s’attarda à la rendre tremblante dans ses bras. Un gémissement s’échappa de sa gorge, elle l’attira dans ses bras, l’agrippant de peur qu’il s’évanouisse dans la nature…
Sara le caressa à son tour, retrouvant les contours de son corps. Il n’avait pas changé, si ce n’est qu’il possédait un peu plus de masse musculaire. Elle fronça les yeux, étonnée et inquiète lorsque ses doigts passèrent sur des cicatrices qu’elle ne connaissait pas.
Michael comprit son trouble, il la serra dans ses bras afin qu’elle ne pense pas à cela. Il n’avait pas envie de lui parler de tous ce qu’il avait vécu loin d’elle. Pas maintenant…. Il reprit ses caresses, Sara l’embrassa, grisée par leur étreinte, elle se laissa aller à leurs retrouvailles.
Michael reprit sa bouche d’un baiser tendre et s’écarta tandis que les mains de la jeune femme enlevait avec une lenteur délivrée son boxer.
- Sara : Fais moi l’amour, Michael…
Le jeune homme frissonna à la douleur qu’il perçut dans sa voix. Il posa sa main sur sa joue et y déposa une myriade de baisers avant de lui prodiguer de délicieuses caresses qui lui coupèrent le souffle.
Elle ne pouvait plus nier la puissance de leur désir intact.
Elle ne pouvait plus reculer, malgré la patience de son mari qui venait de s’arrêter. Elle plongea son regard dans le sien et lui sourit. Comme si il attendait son accord, il la serra dans ses bras. Leurs deux corps enlacés, retrouvaient cette sensation unique qui seul, leur appartenait.
- Sara : Je t’aime, Michael, murmura-t-elle en prenant le visage de son époux entre ses mains avant de poser ses lèvres sur les siennes.
- Michael : Je n’ai jamais cesser de t’aimer…
C’est alors que délicatement, Michael entra en elle dans un sanglot étouffé et se perdit avec volupté dans l’antre qui rêvait de retrouver.
Sara ouvrit les yeux au moment où les lèvres de Michael s’écrasèrent sur les siennes. Lentement, il commença ses va-et-vient, s’enfonçant davantage, avec douceur, la faisant gémir de plaisir. Il entendit son souffle devenir de plus en plus court et vit qu’elle commençait à frémir sous lui.
Alors, il s’interrompit un instant, il voulait que cet instant dur à jamais pour qu’il puisse graver chaque seconde de leur étreinte au plus profond de son âme. Mais elle se cambra et s’accrocha à ses hanches, l’incitant à continuer. Ce qu’il fit avec une lenteur délibérée.
Continuant à l’embrasser avec une passion désespérée il donna un dernier coup de rein et soudain, il se laissa allé à la délivrance de leur union, épousant le cri de Sara dans sa bouche. Ils restèrent un instant, ainsi, puis, Michael leva son visage vers le sien et vint cueillir les larmes de sa femme de ses lèvres….
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
Ha ! Enfin les retrouvailles qu'on attendait ! Ils sont trop mignons, surtout avec ces " je t'aime "
Re: Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49
il fait une de ces chaleurs en ce moment
très belle scène pleine d'amour et pas que à cause de
ils se retrouvent après ces 4 longues années de tristesse
mais le réveil va se passer comment??? pas de remords j'espère
merci miss angie pour cette belle suite
très belle scène pleine d'amour et pas que à cause de
ils se retrouvent après ces 4 longues années de tristesse
mais le réveil va se passer comment??? pas de remords j'espère
merci miss angie pour cette belle suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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