Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49

Ouaiiiiiiiiiis les travaux sont fini ! Il reste plus qu'à meubler !!!

Chrysie qui veut voir son papa c'est mimi

La suiiiite !!!

coucou les miss
merci pour vos coms
voici la suite
bonne lecture

Chapitre 46.


[Troubles…]

Sara referma la porte de la chambre de Chrysie qui venait de s’endormir puis retourna à la cuisine afin de terminer la vaisselle. Contrairement à ce qu’elle avait pensé, Michael n’était pas rentré de son retour de la clinique avec la fillette.

C’est une heure plus tard, qu’il avait réapparut, couvert de poussière et de taches de peinture. Il avait raconté la journée des travaux à ses deux petites femmes pendant le repas, après qu’il s’était douché. Comme elle le trouvait fatigué, Sara lui avait ordonné gentiment d’aller se reposer un peu dans le salon, le temps qu’elle terminait de ranger.

Dix minutes plus tard, elle le rejoignit dans la pièce et sourit, découvrant son mari endormit dans le canapé. Elle se dirigea vers lui et lentement, elle libéra la télécommande de sa main. Il ouvrit brusquement les yeux et sourit à sa femme qui fit la moue.

- Sara : Désolée, je ne voulais pas te réveiller, murmura-t-elle, s’installant à ses côtés.
- Michael : Je ne dormais pas, j’avais juste fermé les yeux un instant, répondit-il d’une voix douce en la prenant dans ses bras.
- Sara : J’ai hâte de venir voir ce que cela donne, fit-elle en calant sa tête au creux de son épaule.
- Michael : Tout sera parfait qu’on sera installé.
- Sara : Hum…
- Michael : Tout va bien ? Demanda Michael en passant une main dans ses cheveux.
- Sara : Oui, ça va. Et Carla n’a pas été trop…
- Michael : Trop collante ? Continua-t-il en riant.

Sara s’écarta de son étreinte,vexée qu’il se moque d’elle mais il la rattrapa rapidement et la serra contre lui.

- Michael : Je n’ai pas fais attention, ma puce. Et puis, c’est une gamine…
- Sara : Ce n’est pas une excuse ! J’ai remarqué comme tous le monde d’ailleurs qu’elle ne fait que te regarder !
- Michael : Sara…

Furieuse, elle le fixa tandis qu’il éclatait de rire.

- Sara : Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle, Scofield !
- Michael : Tu es jalouse…. Kylian est fou amoureux d’elle, ma chérie.
- Sara : Je ne suis pas jalouse, d’abord ! Et je pense que tu es mal placé pour me dire que je suis jalouse, Michael ! Moi, Jensen ne m’a jamais demandé que j’enlève mon tee-shirt !

Michael resta interdit un instant, puis il lui sourit tendrement.


- Michael : D’accord. Excuse moi, murmura-t-il en prenant possession de ses lèvres en un baiser tendre.
- Sara : Tu ne lui as pas montré ton tatouage, quand même ?
- Michael : Non, ma puce… tu sais que je t’aime, toi ? Fit-il en prenant son visage entre ses mains.

Sara lui sourit puis s’installa à califourchon sur ses genoux. Elle déposa un doux baiser sur ses lèvres, puis mordilla sa lèvre inférieur sous le gémissement de Michael qui l’attira contre lui.

- Michael : Qu’est-ce que tu fais, Sara ? Demanda-t-il alors qu’elle passa ses mains sous l’élastique de short.
- Sara : A ton avis ? Rétorqua-t-elle d’une voix malicieuse dans le creux de son oreille.
- Michael : Hum… j’ai bien ma petite idée, Madame Scofield, répondit-il avant de lui prendre ses poignets afin qu’elle cesse ses caresses. Chérie… Il s’est passé quelque chose avec Chrysie, aujourd’hui ?


La jeune femme le jugea un instant puis passa les bras autour de son cou.

- Sara : Non. Elle a été très sage. Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Michael : Je ne sais pas trop… quand je suis entré, j’ai eu l’impression qu’elle était soulagée.
- Sara : Hum… quand nous sommes sortis de l’hôpital, elle a réclamé après toi, mais c’est normal… ta fille t’aime, mon cœur elle avait besoin d’être avec toi.
- Michael : Hum. Tu dois avoir raison. Quand tu as été l’embrasser tout à l’heure après que je suis allé la coucher, elle ne t’a rien dit ?
- Sara : Non, elle s’est très vite endormit.

Cette information le fit froncer les sourcils. C’est étrange, songea-t-il, silencieusement. Chrysie lui avait dit qu’elle ne voulait pas dormir.

- Sara : Que se passe-t-il, Michael ? Demanda Sara, inquiète en constatant le silence de son époux.
- Michael : Rien, ma puce, tout va bien.
- Sara : On va se coucher ?
- Michael : Vas-y, ma chérie, je te rejoins, répondit-il en l’embrassant sur les lèvres.

Michael la regarda s’éclipser de la pièce et poussa un long soupir. Pensif, il se leva du canapé et s’avança vers les baies vitrées. Instinctivement, il jeta un œil vers les trottoirs et fixa, les yeux plissés d’un air concentré, les quelques passants qui se promenaient encore dans la rue, vu l’heure tardive de la soirée.

- Michael : Tu deviens parano, Mich… chuchota-t-il avant de s’éloigner rapidement des vitres.

Alors qu’il allait rejoindre Sara dans leur chambre, il s’arrêta devant la porte de Chrysie et l’ouvrit doucement. Il s’avança vers elle sur la pointe des pieds, constatant qu’elle étaient effectivement endormit. Il la contempla un instant puis déposa un tendre baiser sur son front.

- Michael : Je t’aime, ma princesse, murmura-t-il avant de rejoindre sa femme qui l’attendait.

Quelques minutes plus tard, Michael attira Sara dans ses bras dés qu’il fut sous les draps.

- Sara : Tu n’es pas fatigué ? Demanda-t-elle d’une voix malicieuse.


Michael se mit à rire et la plaqua contre le matelas avant d’emprisonner ses bras au dessus de sa tête.

- Michael : Je ne suis jamais fatigué pour toi, mon ange, rétorqua-t-il avant de capturer ses lèvres en un baiser passionné.

Beaucoup plus tard, après un long moment où ils ne laissèrent que souffles haletants et gémissements de plaisir autour d’eux, ils sombrèrent tous les deux, jambes et bras mêlés dans un sommeil réparateur…

ça faisait longtemps
que va t'il se passer ?? Nika va s'en prendre à Chrysie

bref toujours aussi super, je suis accro

allez Angie pleins de suites

coucou les miss
merci beaucoup pour vos coms
normalement, je ne devais pas poster sur cette fic ce soir, mais je vous la mets quand même ;sdz
j'espère que vous aimerez mdr.
bonne lecture :kis

Chapitre 47.


[Confidences…]

Sara laissa Michael et Chrysie, le temps qu’elle allait rendre visite à Jason. Katie venait de l’appeler, l’informant que son petit patient n’allait pas très bien.
Le jeune homme venait de terminer de préparer le petit déjeuner de sa fille quand Lj sonna à la porte.

- Michael : Salut, mon grand ! Fit Michael en embrassant son neveu.
- Lj : Salut Oncle Mich ! Sara n’est pas là ? Demanda le jeune homme avant d’embrasser la fillette.
- Michael : Non, elle est passée à la clinique. Elle n’en a pas pour longtemps, l’informa-t-il en posant le regard sur sa fille.
- Lj : Et toi, princesse, tu vas bien, ce matin ?
- Chrysie : Oui, ça va, répondit-elle sans lever les yeux de son bol de chocolat.
- Lj : Tu dois être impatiente de vivre dans ta nouvelle maison, ma puce.

Chrysie haussa les épaules et continua son petit déjeuner sous les regards surpris de Michael et d’Lj.

- Lj : Elle n’a pas l’air enchantée, murmura-t-il en s’adressant à son oncle.
- Michael : Chrysie ? Tu m’en veux encore pour le billard ? Demanda-t-il, soucieux du silence de sa fille.
- Chrysie : Non, répondit-elle en secouant la tête.
- Michael : Qu’est-ce qui ne va pas alors ? Demanda Michael.
- Chrysie : Rien… c’est juste…

La fillette s’interrompit puis leva les yeux vers les deux adultes qui attendaient une réponse de sa part. Comprenant qu’elle voulait parler avec Michael, Lj lança un clin d’œil à son oncle avant de quitter la pièce.

Une fois seuls, Chrysie se leva de sa chaise et alla s’installer sur les genoux de son père; qui la serra aussitôt contre lui.

- Michael : Dis moi ce qui te préoccupe, ma puce ? Demanda Michael, d’une voix douce avant de déposer un tendre baiser sur son front.
- Chrysie : Hier, quand maman et moi on est sortit de l’hôpital… j’ai vu une dame qui me regardait… c’était bizarre….
- Michael : Et ? Elle te regardait d’une façon méchante ou gentille ? Demanda Michael, les sourcils froncés.
- Chrysie : Je sais pas dire, elle était drôle…. En plus… ça fait trois fois que je la vois.
- Michael : Comment ça, Chrysie ? Où est-ce que tu l’as vu, la première fois ?
- Chrysie : C’était quand j’ai été au centre avec oncle Lincoln et après on était à la maison qu’on va habiter…
- Michael : Tu serais décrire cette dame à papa, mon ange ? Demanda-t-il, évitant de laisser son angoisse paraître devant son enfant.

Chrysie leva les épaules, puis fixa son père dans les yeux.

- Chrysie : Elle est jolie mais pas aussi belle que maman… elle a des longs cheveux noirs et… je sais plus, papa.
- Michael : Ce n’est rien, ma puce. C’est très bien, mais je ne veux pas que tu t’inquiètes, d’accord ? Cela doit être une dame qui a passé au même moment que toi…
- Chrysie : Une coïncidence ? Trois fois ? Demanda la fillette, les yeux écarquillés.

Michael lui sourit, et l’embrassa sur la joue avant de la serrer dans ses bras.

- Michael : Tu es beaucoup plus intelligente que ton père, ma puce, murmura-t-il d’une voix brisée par les craintes qu’il ressentait.
- Chrysie : Je t’aime papa…
- Michael : Moi aussi, je t’aime Christina, murmura-t-il en fermant les yeux, savourant l’instant tendre qu’il passait avec sa petite fille.

Dix minutes plus tard, alors que Chrysie jouait dans sa chambre, Michael continuait à scruter les environs par la baie vitrée. Lj était installé dans le canapé, visionnant un film à la télévision. Il poussa un soupir las, puis se leva pour rejoindre Michael.

- Lj : Qu’est-ce qui se passe, Oncle Mich ? Demanda-t-il, soucieux de retrouver son oncle si pensif.

Michael se tourna et lança un regard furtif dans la pièce. Il posa son bras sur les épaules d’Lj et l’emmena dans la cuisine. De plus en plus inquiet par le comportement de son oncle, le jeune homme le scruta un instant.

- Lj : Dis moi ce qui se passe, Oncle Michael ! Je te connais et…
- Michael : Peux-tu me rendre un service, Lj ?
- Lj : Oui… mais…
- Michael : Lj ! Interrompit-il dans un murmure.
- Lj : D’accord.
- Michael : Emmènes Chrysie au parc.
- Lj : Au parc ? Répéta le jeune homme, incompréhensif.
- Michael : Oui, celui en face, ajouta Michael.

Lj plissa les yeux et accepta sans poser de question qu’il savait, resteraient sans réponse. En outre, il avait l’intime conviction que son oncle préparait quelque chose.

- Michael : Tu lui donnes bien la main, et tu ne la lâches pas, Lj ! Je te dirais de quoi il s’agit plus tard.
- Lj : D’accord, mais j’espère que tu sais ce que tu fais, oncle Mich…

Michael hocha la tête puis quitta la pièce. Dix minutes plus tard, il vérifia si l’arme qu’il avait placé sous sa ceinture n’était pas visible et retourna à la fenêtre. Il vit Lj et Chrysie traversaient la rue, et scruta attentivement ce qui se passait autour. Les battements de son cœur s’accéléraient à la poussée d’adrénaline qui pulsait dans ses veines, revivant soudain les moments pénibles de ces quatre dernières années…

Pestant intérieurement, il continua de fixer l’extérieur quand il entendit quelqu’un introduire une clé dans la serrure. Vivement, il se tourna, l’air paniqué en découvrant Sara.

- Michael : C’est toi, ma puce, fit-il dans un souffle.

Sara fronça les sourcils, soucieuse de voir son mari si nerveux. La lueur paniquée dans son regard ne lui échappa pas et elle s’avança vers lui d’un pas rapide.

- Sara : Que se passe-t-il, Michael ? Demanda-t-elle d’une voix grave.

Il la regarda, puis ferma les yeux, avant de l’attirer dans ses bras.

- Michael : Rien, ma puce. Tout va bien, mentit-il d’une voix mal assurée, espérant qu’elle ne découvre pas l’arme qu’il portait.


La jeune femme s’écarta de son étreinte et le fixa.

- Sara : Tu mens très mal. Où est Chrysie ? Demanda-t-elle, paniquée.
- Michael : Elle est au parc avec Lj, ne t’inquiète pas, ma puce. Je les regardais juste par la fenêtre quand tu es entrée…

Michael qui a compris que Chrysie avait été suivie et du coup il tente un truc (risqué )
Sara qui arrive et comprend que Michael est inquiet, si elle sent l'arme elle va être très en colère
un parce que Chrysie est en danger et deux parce que Chrysie aurait pu trouver l'arme et et trois ....tout ce que ton esprit va trouver

très belle suite mais voilà maintenant


encore

merci ma chérie


bonne lecture

Chapitre 48.


[Tensions…]


Sara soupira de soulagement puis répondit à son sourire avant de passer ses bras autour de son cou. Michael la serra contre lui, fermant les yeux de soulagement alors qu’il éprouva une fois de plus ce sentiment de mépris envers lui-même. Il savait qu’il ne devait pas lui cacher ses craintes et les pressentiments qu’il ressentait mais en aucun cas, il ne voulait qu’elle prenne peur et qu’elle souffre une fois encore. Rien n’était certain concernant cette mystérieuse femme, songea-t-il, tandis que la jeune femme s’écarta de son étreinte.

- Michael : Et Jason ? Comment va-t-il ? S’enquit-il de lui demander pour ne pas éveiller les soupçons.
- Sara : Il a du être placé sous oxygène toute la nuit. Jensen espère qu’il ne fasse pas de rejet mais les examens pratiqués s’avèrent normaux, répondit la jeune femme en s’avançant vers la cuisine.

Michael jeta un coup d’œil vers la vitre puis suivit Sara. Il sourit, l’observant se servir un jus de fruit puis s’avança vers elle. Sara se retourna vers lui, et entoura sa taille de ses bras pour l’enlacer quand soudain, ses doigts heurtèrent un objet métallique et froid. Michael ferma les yeux, s’injuriant intérieurement tandis qu’elle prenait l’arme d’une main tremblante.

- Michael : Donne moi ça, Sarah, fit-il en la lui prenant des mains.

Sous le choc, elle sentit les larmes monter en elle puis la colère balaya rapidement la panique qui venait de l’envahir à la vue de cette arme.

- Sara : Pourquoi as-tu ça, Michael ? S’écria-t-elle d’une voix forte.
- Michael : Ce n’est rien, Sarah…

La jeune femme recula d’un pas, furieuse tandis qu’il s’approchait d’elle. Elle inspira profondément, essayant de garder son calme avant de le foudroyer du regard.

- Michael : Sara…
- Sara : Dis moi tout de suite ce que cette arme fait ici ?! Et ne me ment pas !
- Michael : D’accord, l’interrompit-elle en agrippant ses poignets d’un geste vif. D’accord Sara, je vais tout te dire…
- Sara : N’essaie pas de m’avoir, Michael, fit-elle d’une voix brisée.

Michael poussa un long soupir et finit par lui expliquer la conversation qu’il avait eut avec Chrysie, ainsi que les pressentiments qu’il ressentait. La jeune femme le regardait, transit de peur et secouant la tête nerveusement.

- Michael : Excuse moi, Sara. J’allais t’en parler, je te le jure mais je voulais m’en assurer par moi-même…
- Sara : Mais cette arme, Mich ! Tu te rends compte que notre fille aurait très bien pût tomber dessus ! Fit-elle, furieuse.
- Michael : J’ai fais attention, ma puce….
- Sara : D’accord… d’accord, fit- elle, l’air déboussolée. Qui est-ce que ça peut être ?
- Michael : Je n’en sais rien mais ce n’est pas un membre de la compagnie…
- Sara : Je vais chercher ma fille !
- Michael : Sara ?!

Michael poussa un juron et s’élança vers la jeune femme qui se précipitait déjà vers l’ascenseur. Il eut juste le temps d’entrer à l’intérieur avant que les portes ne se refermèrent.

- Michael : Sara…
- Sara : Tais toi, Michael, le stoppa la jeune femme en cachant son visage dans le creux de ses mains.

Le jeune homme baissa les yeux puis les releva brusquement vers elle. L’incompréhension et la peur qu’il lisait sur son visage lui fit mal.

- Michael : Cette femme n’est peut être personne, ma puce.
- Sara : Je l’espère car si tu as mis Chrysie en danger, je…
- Michael : Elle est avec Lj ! Jamais je ne vous mettrais en danger elle et toi !

Sara ferma les yeux, apeuré à l’idée que quelqu’un puisse s’en prendre à leur fille… à leur vie, encore une fois. Alors qu’il essuya délicatement les larmes qui roulaient le long de ses joues, il l’attira dans ses bras.

- Michael : Personne ne vous fera du mal, ma puce, murmura-t-il, les mâchoires serrées.
- Sara : J’ai si peur, Michael, fit-elle en s’accrochant à son cou d’une façon désespérée…
- Michael : Je suis là, ma puce….

Il s’interrompit lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Très vite, ils se trouvèrent à l’extérieur et se dirigèrent vers le parc d’un pas rapide, balayant tous les deux du regard, chaque mouvement autour d’eux. Alors qu’ils débouchèrent dans l’allée peuplée de peupliers, Sara s’arrêta soudainement et observa, soulagée sa fille et Lj qui arrivèrent vers eux.

- Sara : Chrysie… murmura la jeune femme avant de les rejoindre.

Michael ferma les yeux, soulagé également et les rouvrit brusquement tandis que son neveu posa une main sur son épaule. Alors que Sara serrait sa fille dans ses bras, un peu plus loin, Lj lui murmura :

- Lj : Derrière toi, la femme qui porte un sac en bandoulière rouge, un béret de la même couleur sur la tête et des lunettes de soleil.

Michael fixa son neveu une fraction de seconde, puis se tourna discrètement. Surpris, il contempla la silhouette de la jeune femme s’éloigner d’un pas pressé un court instant puis regarda son neveu.

- Michael : Ramène les à l’appartement et appelle Lincoln.
- Lj : Oncle Mich….
- Michael : Fais ce que je te dis, Lj ! Ordonna-t-il avant de partir dans la direction de l’inconnue….

coucou mes chéries !!!
merci pour vos coms
me revoilou pour la suite lol
Bonne lectureeeeeeeeeeee
:kis

Chapitre 49.


[Douloureux souvenirs…]



Les nuages se firent menaçant sur la ville de Chicago. La pluie pouvait tomber à chaque instant. Sara fixa la silhouette de Michael s’éloigner au loin, d’un air complètement ahurit, incapable de faire le moindre mouvement que de serrer sa fille contre elle. La jeune femme se sentait vidée, un sentiment de trahison l’envahissant tandis que la colère qu’elle ressentait pour Michael, pour ce qui venait de faire en se précipitant à la poursuite de cette inconnue, la submergea.

- Lj : Sara ?

Elle ferma enfin les yeux un bref instant puis tourna la tête vers son neveu. A présent, les larmes brouillaient sa vue tandis que la pluie commençait à tomber…

- Sara : Rentrons, lança-t-elle d’une voix brisée.

Lj l’accompagna jusqu’à l’appartement puis il se réfugia dans la cuisine afin de prévenir son père au téléphone. Une pluie diluvienne s’abattit à présent contre les vitres du salon, assombrissant le ciel. Le regard perdu dans la contemplation des nuages noirs, Sara se faisait violence pour rester calme et ne pas descendre pour retrouver Michael. Comment avait-il put agir ainsi ? Il se mettait une fois de plus en danger malgré les discussions qu’ils avaient eut tous les deux. La colère bouilla dans ses veines, obstruant le passage de l’air dans ses poumons mais cette boule au fond de sa gorge, l’empêcher de respirer correctement.

Lj s’occupa de Chrysie pendant plus de dix minutes déjà, et il constata que sa tante n’avait pas bouger de la baie vitrée. Il se trouvait à côté de la porte quand il entendit des coups frappés. Aussitôt, Sara fit volte face et planta son regard apeuré dans celui d’Lj qui l’informa que le visiteur devait être son père.

En effet, Lincoln entra dans le salon et resta silencieux une seconde, contemplant sa belle sœur. Il fixa son fils ensuite, et il comprit qu’il devait les laisser seuls. Une fois que Lj est rejoins Chrysie dans sa chambre, Lincoln s’avança prudemment vers Sara. Elle ne bougea pas non plus quand il posa une main réconfortante sur son épaule. Elle ferma juste les yeux et ne put remercier le ciel qu’il était toujours là quand elle en avait besoin. Lincoln toujours présent pour elle, songea-t-elle tristement alors qu’elle se disait que ce n’était pas le cas de Michael.

Alors que l’appréhension et tous les mauvais souvenirs refirent surface dans son esprit, elle se tourna vers Lincoln puis se laissa aller dans ses bras.

- Lincoln : Chut…, chuchota Lincoln en la berçant contre lui. Lj m’a appelé… je vais aller voir si je peux le trouver, d’accord ?
- Sara : Non, répondit-elle aussitôt en secouant la tête. Je ne sais pas de qui il s’agit, Linc !
- Lincoln : J’ai ma petite idée, Sarah….
- Sara : Quoi ? Mais…
- Lincoln : Je ne suis pas certain de ce que j’avance, mais d’après la description d’Lj, je pense à Nika, tu sais….
- Sara : Je sais qui elle est ! Rétorqua-t-elle d’une voix furieuse. Mais pourquoi a-t-elle suivit ma fille ?! Que veux-t-elle ? Que nous veux-t-elle, et Michael ?
- Lincoln : Je n’en sais rien, Sara mais attendons que Mich revienne, d’accord ?
- Sara : Si il revient ! Lâcha-t-elle en s’écartant de lui.

Lincoln la suivit du regard, les yeux froncés puis s’approcha à nouveau d’elle.

- Lincoln : Bien sur qu’il reviendra, Sara ! Ais confiance en lui ! Michael t’aime plus que tout, Chrysie et toi vous êtes sa vie !
- Sara : Arrête, Linc !

Il la fixa et n’insista pas. Elle avait peur et se sentait encore une fois dépassée par ce qui arriver, songea-t-il silencieusement. Mais il ne pouvait pas la laisser ainsi, avec les démons du passé qui se mettaient à revivre autour d’elle. Il s’approcha de la jeune femme et la fit s’installer dans le canapé.

- Lincoln : Assied-toi et écoute moi, fit-il d’une voix autoritaire en la prenant par les épaules.

Sara leva les yeux vers lui et le foudroya du regard et obéit malgré elle. Il s’installa en face de la jeune femme, sur la table basse et soupira avant de lui dire :

- Lincoln : Rien n’arrivera Sara ! Personne ne fera du mal ni à Michael ni à Chrysie et toi ! Tu m’entends ? Michael a combattu bien plus fort qu’une femme et si cela se trouve, elle n’a rien à voir dans un quelconque complot.
- Sara : On ne peux pas savoir, Linc, fit-elle dans un souffle. Qu’est-ce qu’elle lui veut, Linc ? Demanda-t-elle, étouffant un sanglot en prenant son visage dans ses mains.
- Lincoln : Je n’en sais rien, Sara… allez, ne t’en fais pas.

Lincoln l’attira dans ses bras et la serra contre lui, espérant que rien n’arriverait à son frère.

Michael s’arrêta, à bout de souffle et attendit qu’elle entra dans l’hôtel. Surpris de voir qui était cette mystérieuse femme, il patienta un peu à l’abris de tout regard afin d’essayer de comprendre. Pourquoi surveillait-elle sa famille ? Sa fille, Sara ? Que leurs voulait-elle ? Se questionna le jeune homme tandis qu’il éprouvait de la colère pour cette jeune femme qui avait été son épouse pour un temps convenu.

Alors qu’il repensait à la dernière fois qu’il l’avait vu, il poussa un long soupir et se dirigea vers la réception de l’établissement, convaincu qu’il devait obtenir des explications. Quelques instants plus tard, il demanda le numéro de chambre de Nika Volek. L’homme lui donna l’information sans poser de question pour la satisfaction de Michael. Il n’y avait plus aucun doute, cette femme était bien Nika, se dit-il en se dirigeant vers l’ascenseur.

Il tenta d’apaiser la colère qu’il éprouvait, puis arrivé au troisième étage, il avança d’un pas rapide vers la chambre. Il était tellement furieux en pensant à la réaction de Sara qu’elle pourrait avoir, qu’il ne prêta pas attention à la façon de frapper à la porte. Lourdement, son point martela le bois acajou de la porte et fixa d’un regard noir, droit devant lui….

SPOTTED , tu es connectée mdr
La suiiiiite please !!!

j'aime trop cette fic domage qu'il n'y ai pas d'suite

che4eva a écrit:j'aime trop cette fic domage qu'il n'y ai pas d'suite

ellle la poste sur un autre fofo

merci !

salut je viens de découvrir cette fic et je me demandais si quelqu'un saurais ou je dois aller afin de lire le tome 1 car la lien a la page 1 ne donne rien. Et est ce que quelqu'un saurais ou elle poste ces fic maintenant parce que je les adore mais ne connais pas la fin sniff ^^

je vois que j'avais des nouvelles lectrices !!!
merci beaucoup pour vos coms les filles, ça me touche beaucoup^^
Si cela t'intéresse Missol, tu peux trouver mes fics dans le lien sous ma signature
en tout cas, merci beaucoup