Avec elle [MAJ P.9]

salut les poulettes !!!

bon , comme neuf ne semble pas vouloir se décider à me donner accès à l'internet chez moi, j'ai du attendre ce matin pour poster ma fic...

C'est un fic post-série, en gardant la saison 4 et tous les spoilers qui vont avec. J'ai décidé de faire long pour une fois donc n'hésitez pas a me donner votre avis, ca ne pourra être que constructif !!!

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Introduction

Cela fait des heures qu’il l’observe. Il a beau connaitre l’ovale de son visage par cœur, il ne peut pas détacher son regard de ces courbes si délicates qu’il sait retracer les yeux fermés. Elle est allongée près de lui, elle est totalement détendue et aucun mouvement ne vient contrarier son repos. Parfois pourtant, ses paupières bougent légèrement, comme si elle allait se réveiller. Mais il sait que ce n’est pas le cas : il la regarde depuis trop longtemps pour le savoir. Il a appris à se faire une raison aussi, ni ses baisers ni ses caresses ne peuvent la sortir de cet état. Il reste donc là à attendre son réveil. Il sait que cela peut prendre des heures mais il préfère rester là plutôt que d’aller vaquer à ses occupations. Il a pris l’habitude de ramener ses dossiers inachevés chez lui mais pour quelques jours, ils s’entasseront dans un coin de son immense bureau. Il n’a pas envie de travailler, il veut juste être à ses côtés et profiter de sa présence. En y repensant, ils n’ont fait que de se croiser depuis qu’ils sont ensemble. Enfin vraiment ensemble. Cela a pris du temps mais ils y sont parvenus. Etre un vrai couple, habiter ensemble, prendre plaisir à se retrouver dans l’intimité d’un foyer, le leur.

Flash back

La clé tourne dans la serrure. Presque timidement, ils pénètrent dans la pièce. Une forte odeur de peinture les prend au visage. Sara se dirige directement vers la baie vitrée. Elle ouvre l’une des portes-fenêtres qui donne accès au grand balcon, qui semble surplomber tout Chicago. Michael la regarde faire, amusé. Elle semble déjà chez elle. Une vraie maitresse de maison. Une bouffée d’orgueil le surprend lorsqu’elle se retourne vers lui. Les rayons de soleil passent à travers les vitres et viennent éclairer le visage de Sara. Elle n’a pas besoin de cela pour être lumineuse. Elle respire le bonheur et elle irradie de joie. Son sourire est révélateur. Oui, ils y sont parvenus. L’avenir leur tend les bras et les invite à construire leur vie à deux. Rien n’est jamais acquis dans la vie mais tous deux savent qu’ils passeront le reste de leur vie ensemble et ici. Dans son ancien appartement. D’un commun accord, ils ont décidé de tout refaire à l’intérieur. De garder les bases de leur ancienne vie mais en changeant certains détails. Et Sara avait clairement spécifié qu’elle ne pouvait pas vivre dans un appartement dont l’un des murs était criblé de trous ! Alors le loft a été rénové, selon leurs goûts. Une décoration épurée mais chaleureuse, un mobilier chic mais confortable, capable de supporter une vie remplie de visites incessantes, de leur famille, de leurs amis. Il ne leur reste plus, à présent, qu’à prendre possession des lieux.

Sara revient à la hauteur de Michael. Elle l’embrasse furtivement avant de s’éloigner. Au bruit qu’elle fait, Michael devine qu’elle aère les autres pièces de la maison, à commencer par leur chambre. Ses talons résonnent dans le couloir. Elle est à présent dans la chambre d’amis. Etrangement, elle semble y rester. Il décide de la rejoindre. Elle est appuyée contre le chambranle de la porte, un délicat sourire aux lèvres, qu’il ne peut pas voir, de là où il est. Tendrement il se colle à elle et la prend dans ses bras. Ils pensent exactement à la même chose. Cette chambre n’est plus une chambre d’amis. La décoration a été totalement refaite, dans un style complètement différent. La bibliothèque a laissé place à une commode, le bureau à une table à langer et le lit deux places à un berceau. Les mains de Michael glissent doucement vers le ventre de Sara. Un discret renflement est témoin de la vie qui sommeille en elle. Ils seront bientôt parents. Ce combat va s’avouer sûrement plus difficile que de faire tomber la compagnie. La vie a décidé pour eux il y a trois mois alors même que leur combat contre la compagnie venait de s’achever. Chacun se sent prêt maintenant et à chaque temps son propre défi.


- Avant de s’occuper de cette chambre, je propose d’aller coloniser la nôtre, glisse Michael
- Je vois que Monsieur a l’esprit pratique, étouffe Sara dans un rire.

Elle se retourne avant de rapprocher son visage à quelques millimètres du sien. Elle caresse doucement sa nuque, jusqu’à sentir des frissons parcourir sa peau. Elle effleure ses lèvres, sans les toucher réellement pour autant. Elle sait pertinemment que cela aiguise ses sens, mais c’est bien le but qu’elle s’est fixé.

- Je crois qu’on a choisi un lit extra-large non ? demande-t-elle, mutine.
- Je ne sais plus, il faudrait aller revérifier.


Elle capture alors ses lèvres et se presse contre lui. Elle aime le contact de son corps avec le sien, sentir sa chaleur contre elle. Le baiser est fougueux, passionné. Ici, ils peuvent donner libre cours à toutes leurs envies, n’importe quand, sans avoir à vérifier qu’ils sont bien seuls. Ils ont du retard à rattraper et ils vont s’atteler à réparer cela. Envoûté par le baiser de celle qui sera bientôt sa femme, Michael sent le désir monter en lui comme une flèche. Il ne peut le contrôler et n’en a aucune envie de toute façon. Il pousse brutalement Sara contre le mur, l’emprisonnant de tout son corps. Tous deux halètent sous l’effet du désir qui brûle leurs veines. Sara fait tomber au sol la veste de Michael. La main de ce dernier remonte dangereusement le long de sa cuisse, glisse sous sa jupe et atteint le vêtement de dentelle qu’il cherche. IL l’effleure à peine, infligeant à son intimité la torture qu’elle a fait subir à ses lèvres. Elle fléchit légèrement sous l’action de ses doigts et se voit obligée de prendre appui sur lui pour ne pas s’effondrer totalement.

- Michael, arrête ca tout de suite… murmure-t-elle, sans grande conviction.
- Comme tu voudras.

Il retire alors sa main et fait mine de s’en aller. Les mains de la jeune femme agrippent fermement ses épaules et l’obligent à lui faire face de nouveau.

- Tu ne crois pas t’en tirer comme ca Michael j’espère.
- C’est toi qui voit mais si tu continues ton petit jeu…, il regarde les doigts de Sara, qui s’attèlent à déboutonner sa chemise avant de s’attaquer à la boucle de sa ceinture, … si tu continues poursuit-il d’une voix rauque c’est le couloir qu’on va coloniser pas la chambre.


Avant même d’attendre sa réponse, il place ses mains sous ses genoux, et d’un coup, la prend dans ses bras. Il l’emmène dans la chambre sans la quitter des yeux pour autant. Il franchit la porte. Cette dernière claque. On peut entendre depuis l’extérieur les rires et les gémissements étouffés par les deux tourtereaux.

Fin du flash back

Son esprit le ramène malgré lui à la réalité. Un sourire nostalgique se peint sur son visage. Il adore se remémorer ces moments d’intimité avec elle. Ca le réconforte souvent, de voir à quel point ils peuvent être heureux. Il caresse pour la énième fois ses cheveux et prend doucement sa main dans la sienne. A ce contact, la main de Sara se crispe machinalement puis se relâche aussitôt. Il sent qu’elle va bientôt se réveiller. Il redoute ce moment. Ce moment où il devra lui annoncer la terrible vérité. Sa main se contracte à nouveau et elle bouge doucement, sortant de sa léthargie. La perfusion vient de se terminer et les antalgiques ne vont bientôt plus faire effet. Ce n’est pas la main de Michael qui la réveille mais bien la douleur, qui envahit son corps à nouveau.

Il redoute ce moment. Ce moment où il devra lui annoncer la terrible vérité. Il est face à un choix. Il doit choisir entre la vie de sa femme et celle de leur enfant.

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voila c'est fini pour aujourd'hui je posterai la suite demain ( elle est déjà prête !!! lol )

et bien je trouve ça magnifique.... prenant , beau mais terriblement triste!!!!
J'attends la suite avec impatience!!!!!!

==> ça doit être a peu près la tête que je fais en ce moment

Plus sérieusement, je trouves que c'est très bien écrit. Beaucoup de sentiments dans ce début Je le trouves très beau, on comprend bien ce que ressent Michael et aussi la complicité qui règne entre les deux ( je pense au flash-back)est très bien décrite !

j'aime beaucoup le fait que tu ne dises pas tout de suite ce qui est arrivé a Sara. On voit qu'elle ne va pas bien, mais on en sait pas plus pour le moment... Un peu a la Prison Break quoi ! ^-^

En tout cas bravo pour ce début, j'attends impatiemment la suite !

tu vois j'avais un sourire jusqu'aux oreilles jusqu'à ces mots

Il redoute ce moment. Ce moment où il devra lui annoncer la terrible vérité. Il est face à un choix. Il doit choisir entre la vie de sa femme et celle de leur enfant.

POURQUOI COMMENT

moi je ne veux pas que Sara ou le bébé meurt
et toi qui dit que ta fic va être longue, tant que je ne pleure pas tout le long

en tout cas, très bel écrit et très bon début j'accroche


et si la suite est déjà prête POSTES car je vais pas dormir en sachant ce que tu réserves à Sara ou au bébé

M A G N I F I Q U E ♥

whaaa c'est juste magnifique et cette histoire à l'air terriblement torturé avec l'énorme dilemme imposé à michael et renforcé dans sa difficulté par le magnifique flash back que tu nous a mis... bref je vais adoré !!!

merci merci les filles bon ca y est j'ai la pression !!!

voila le premier chapitre ... le deuxième est en cours d'écriture donc ne devrait pas tarder non plus ...

Enjoy

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Ses yeux s’ouvrent. Ca y est. Il ne peut plus reculer. Il doit tout lui expliquer. Il se doute bien que de nombreux détails seront nécessaires pour lui faire comprendre la situation dans laquelle ils se trouvent, tous les trois. Sara se réveille difficilement, son corps entier hurle la souffrance. La seule chose qui semble l’apaiser est cette main qu’elle sent sur son front. Difficilement, elle tourne la tête vers Michael. Celui-ci, les larmes aux yeux, tente de lui sourire mais son expression a quelque chose de pitoyable. Il aimerait la réconforter, lui dire que tout va bien et que, bientôt, ils seront à la maison mais il ne peut pas.
- Reste calme, tu es encore faible.
- Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Comment va le bébé ?
Le visage de Sara perd toute expression. Les souvenirs lui reviennent peu à peu en mémoire. Elle sait pertinemment ce qu’il s’est passé.


Flash Back


- Michael, dépêche-toi ! on va ENCORE être en retard ! crie Sara depuis la cuisine.
- J’arrive, je finis ca et je suis à toi, lui répond Michael mais pas assez fort pour qu’elle entende.
- Michael, qu’est-ce que tu fais, bon sang…

Elle s’appuie au montant de la porte et le regarde, il est complètement absorbé par les plans qui se tiennent devant lui. Elle s’approche de lui. Il ne peut pas la voir et semble même de pas avoir remarqué sa présence. Elle se place derrière lui, entoure ses bras autour de son cou et place son visage tout près du sien.

- Tu sais que ton frère doit nous attendre depuis au moins dix
minutes…

Michael ne sursaute même pas. Il a senti sa présence à partir du moment où elle est entrée dans la pièce. Il sait également que le seul moyen pour elle de l’arracher à son travail est de l’occuper avec quelque chose de plus intéressant, en l’occurrence elle-même ! Il est inquiet en ce moment. Sara parait beaucoup plus fatiguée qu’auparavant. De légères cernes viennent marquer son visage. Elle lui cache sa faiblesse mais il n’est pas dupe. Sa grossesse ne se passe pas aussi bien qu’au début. Le deuxième trimestre de sa grossesse rime avec nausées, malaises, fatigue et insomnies, symptômes qui auraient dû disparaitre depuis longtemps. Elle a levé le pied au dispensaire, où elle est employée. Il ne cesse de l’interroger sur son état. Elle évite toujours la question en lui répondant que tout va bien et qu’il ne faut pas qu’il s’inquiète. Il garde donc pour lui ses inquiétudes mais continue de garder un œil sur ces deux êtres qu’il aime plus que tout au monde. Il fait pivoter sa chaise, pour se retrouver en face de sa compagne, les mains sur les hanches, un air faussement méchant sur le visage.

- Il a l’habitude que l’on soit en retard. Je le soupçonne même d’avancer les horaires de ses dîners, juste pour qu’on soit là à l’heure. Et ca ne marche même pas !
- Ca marcherait si tu y mettais un peu du tien, monsieur l’Ingénieur. Je sais que ton travail te tient à cœur mais, là, on doit vraiment y aller.

- Je te suis. Comme toujours, ajoute-t-il avec malice.

Sa réflexion lui vaut une claque bien sentie sur le torse. Il attrape alors rapidement les hanches de Sara, déjà bien épaissies par sa grossesse. Son visage est maintenant à la hauteur de son ventre. Doucement il dépose un baiser sur l’enfant qui sommeille en elle. Sara profite de cet instant pour passer sa main dans ses cheveux, qu’il garde toujours aussi courts. Il tourne son visage vers elle et ce qu’elle y voit la bouleverse. Michael relâche rarement sa garde, il a gardé cette protection, ce mur qui le protège d’un trop-plein d’émotions. A cet instant, à travers ce regard, il témoigne de tout l’amour qu’il lui porte, qu’il leur porte. Le silence est total au sein de l’appartement, chacun étant plongé dans le regard de l’autre. Michael se lève de sa chaise et oblige Sara à lever son visage vers lui. Il la surplombe de toute sa taille. Ses mains caressent son corps qu’il ne cesse de redécouvrir. Il embrasse son cou, descend le long de la clavicule.

- Je t’aime, dit-il simplement, tout contre sa peau.
- Je t’aime aussi, répond-elle en glissant un doigt sous son menton l’obligeant à la regarder. Mais, là on est en retard et tu n’arriveras pas à m’amadouer de cette manière, continue-t-elle dans un sourire.

Elle lui prend la main et l’emmène dans l’entrée. Malgré une fatigue évidente, elle semble heureuse et enjouée. Une fois encore, il tait ses inquiétudes et la suit de bon gré. Elle aime aller chez Lincoln. Ils s’entendent très bien. Michael soupçonne Sara d’avoir trouver chez lui le frère qu’elle n’a jamais eu. LJ aussi est très proche de Sara. Leur captivité a tissé des liens très forts entre eux, liens qui ne se sont jamais relâchés.

Avec près d’une demi-heure de retard, Michael et Sara franchissent le seuil de la maison de Lincoln. Amusé par la situation, ce dernier ne se gêne pas pour leur faire remarquer l’heure déjà tardive pour un dîner.

- Ne t’en fais pas, je sais que c’est la faute de Michael, glisse-t-il à Sara, en lui prenant son manteau, assez fort pour que Michael entende. Je suis sûr que s’il ne change pas, il arrivera en retard à ton propre accouchement !
- Eeeeeehhh, je t’entends Linc. Et je te ferais dire que pour te sortir de prison, j’étais dans le timing.
- Si mon souvenir est bon, pas vraiment Mike. A cause de toi, j’ai dû aller me frotter à la chaise électrique tu te rappelles ?
- Tu es vraiment de mauvaise fois, je ne pouvais pas sav….

Les deux garçons s’éloignent en direction du salon, tout en continuant à se chamailler. Sara reste dans le couloir quelques instants pour remettre en place ses cheveux, malmenés par le vent. Elle entend derrière elle les escaliers être dévalés. Elle ouvre grand ses bras pour accueillir LJ qui, malgré son âge, lui rend son étreinte. Sara est comme sa tante, voire même parfois sa mère. Il l’adore et la chouchoute encore plus depuis
qu’elle est enceinte.

- Salut Sara, contente de te voir. Alors, toujours en retard ? se moque-t-il
- Tu connais ton oncle…
- Sara, Oncle Mike n’est en retard que depuis que vous êtes ensemble, continue-t-il alors qu’ils se dirigent à leur tour
- LJ, tu peux garder tes théories pour …

Sara marque un temps d’arrêt. Elle porte instinctivement sa main droite à son ventre alors que la gauche cherche appui sur le mur pour ne pas tomber. Elle tente de respirer, son souffle est coupé par la violence de la douleur. LJ remarque rapidement que Sara ne le suit plus. Il accourt auprès d’elle.

- Sara, ca va ? demande anxieusement l’adolescent.
- Oui, ca va mieux, laisse moi juste le temps de reprendre mon souffle.

Elle se redresse difficilement. Ses reins sont en feu et une douleur lancinante laboure son bas ventre. Sa grossesse a beau être difficile, elle n’a jamais connu une telle douleur.

- Tu veux que je prévienne oncle Mike ?
- Non, non, surtout pas. N’embête pas ton oncle avec ça. Il est déjà assez inquiet comme ca. Ca va mieux, c’est passé, poursuit-elle en se donnant une contenance. Viens, ils nous attendent.

Ils rejoignent Michael et Lincoln, toujours en train de se chamailler au sujet de la ponctualité du cadet et Sofia, bien occupée à gérer tout ce petit monde et le repas qu’elle s’est évertuée à préparer.

Le repas se passe dans la convivialité et la bonne humeur, dans la tradition de leur repas de famille. Les deux frères gardent des relations très fortes et tiennent à se voir le plus souvent possible. Toute cette histoire les a indubitablement rapprochés, pour le meilleur et pour le pire. Les rires fusent et les assiettes sont les premières victimes de ce repas. Elles sont laissées totalement de côté, les convives leur préférant les frasques de LJ au lycée ou celle de Lincoln à son travail. Il est devenu éducateur spécialisé pour jeunes en difficulté, ce qui n’est pas de tout repos. Son œil au beurre noir est là pour le prouver.

- Qui aurait cru que Lincoln Burrows, dit Le déluge, serait terrassé par un gamin de 15 ans ?? se moque Michael
- Attends, ce gosse il tient plus de Belzébuth que de l’être humain, il est incontrôlable. C’est bizarre mais j’ai vraiment envie de l’aider.
- C’est peut-être parce qu’il te rappelle toi quand tu étais jeune ?
- Non … Peut-être…Sûrement … enfin toujours est-il qu’il doit se calmer tout de suite…

- … avant que tu ne finisses à l’hôpital ?!

Cette remarque fait sourire la petite assemblée. Sara, quant à elle, reste plutôt calme. Elle est inquiète. Depuis tout à l’heure, son ventre ne cesse de la tirailler. Le bébé n’arrête pas de bouger, ce qui la fatigue au plus haut point. Un mal de tête lui vrille le crâne et, pour tout avouer, elle ne se sent pas du tout dans son assiette. Elle se penche à l’oreille de sa voisine

- Sofia, est-ce que tu aurais quelque chose contre le mal de tête ?
- Oui, bien sûr, dans l’armoire à pharmacie. Attends, je vais te chercher ça.

- Non, non c’est bon, j’y vais. Ne te dérange pas.

Tout en envoyant un sourire à Michael, Sara quitte la table. Tous hormis Sofia pensent que Sara va simplement à la salle de bain. Elle essaie de garder une certaine contenance en se dirigeant vers le couloir mais sa vision est de plus en plus floue. Ses oreilles bourdonnent. Sa tête devient un étau et elle sent son sang battre dans tout son corps. Elle s’appuie sur la commode du couloir mais ses jambes ne la tiennent plus. Elle cherche désespérément à se retenir à quelque chose mais la seule chose qu’elle réussit à attraper est un vase qui finit sa course en mille morceaux sur le parquet du couloir. Elle s’effondre sur le sol, tout devient noir, elle se sent sombrer. Elle entend de loin, de très loin Michael qui prononce son nom, qui la soutient. Elle lutte, elle s’accroche à ce son mais la douleur est trop forte. Elle submerge tout et bientôt elle perd connaissance.

Fin du flash – back

La panique l’envahit. Elle veut savoir comment va son enfant, depuis quand elle est là, si tout va bien mais les mots n’arrivent pas à ses lèvres. Michael voit très bien la peur se peindre sur son visage. Le monitoring du bébé et de la future mère s’affolent. Une infirmière entre dans la chambre, replace une perfusion à la potence, vérifie quelques constantes et repart, dans un silence de plomb. Sara sent qu’elle sombre à nouveau mais elle lutte pour connaitre la vérité, celle-là même qu’elle entrevoit sur le visage défait de son amant.


- Je t’en prie Sara, calme toi. Tu as besoin de te reposer.
Elle veut encore lutter mais elle ne fait pas le poids contre les sédatifs.
- J’ai peur Michael, murmure-t-elle alors que ses paupières se font plus lourdes.

Cette phrase sonne comme un appel au secours. Il connait la solution à ses angoisses. Seule sa présence peut la soulager de ses terreurs. Délicatement, il monte sur le lit médicalisé, se place à ses côtés, colle son corps près du sien afin de l’envelopper complètement. Leurs mains se joignent sur le ventre de Sara. Elle s’accroche à lui, désespérée. Il la serre aussi fort qu’il le peut. Il susurre à son oreille des mots rassurants, des mots d’amour et d’avenir. Elle relâche bientôt son étreinte, les médicaments plus que sa présence ont fait leur effet. Lui resserre son étreinte au contraire. Il ne peut pas la perdre, pas maintenant qu’ils ont fait le plus dur. Elle est ce qu’il a de plus précieux dans la vie. Son enfant a ce moment là passe au second plan, il n’a aucune importance sans elle. Il s’en veut de penser de cette manière mais son cerveau ne lui renvoie que l’amour qu’il porte à cette femme. Quand elle se réveillera, il devra être là pour elle mais, à cet instant et ce pour la première fois depuis la mort de son père, il se laisse aller. Le désespoir s’empare de lui. Il éclate en sanglots, enfouit son visage dans le cou de Sara et laisse échapper sa douleur dans le silence et l’intimité de cette chambre d’hôpital.

waouuuu quelle suite mais encore trop angoissante pour moi, donc Sara a des symptômes de fausse couche et en tant que médecin n'y prête pas attention
sinon j'adore la façon dont tu alternes le présent, dans cette chambre d'hôpital, et les flashs qui nous conduisent au comment c'est arrivé
Michael est très inquiet pour Sara et le bébé mais cette phrase est tellement vrai

Elle est ce qu’il a de plus précieux dans la vie. Son enfant a ce moment là passe au second plan, il n’a aucune importance sans elle. Il s’en veut de penser de cette manière mais son cerveau ne lui renvoie que l’amour qu’il porte à cette femme

pour le moment seule Sara compte et même si c'est dur de penser qu'il a "choisit", c'est une réaction normale

très belle suite mais je reste très septique sur le déroulement de cette grossesse, elle en est qu'au second trimestre

ce soir, tu as dit une autre suite


non même pas vrai

WOUAH!!!! je ne sais pas quoi dire... j'ai été prise du début à la fin... manquant presque ma respiration à la fin de ce chapitre... vraiment un grand talent!!!!

je crois que je peux difficilement dire autre chose ! ^^

Vraiment, j'ai adoré... Je vais surement me répéter, mais les sentiments que tu développes dans cette suite, tout comme dans la première d'ailleurs sont vraiment très bien décrits. A la fin, j'avais les larmes aux yeux ! C'est tout simplement super bien écrit !^^

Alors, juste... VIVEMENT LA SUITE !!!

ludiivne1978 a écrit:WOUAH!!!! je ne sais pas quoi dire... j'ai été prise du début à la fin... manquant presque ma respiration à la fin de ce chapitre... vraiment un grand talent!!!!

Tu as exactement décrit ce que je pensais !!

J'adore et c'est vraiment très bien écrit.
J'en ai eu les larmes aux yeux et j'arrive parfaitement à m'imaginer la scène....J'ai hâte de connaître la suite ! Ne t'arrête pas maintenant !
La suittttteee

coucou

bon j'espère que tu vas pas être trop en nous faisant attendre pour avoir de bonnes nouvelles sur leur état de santé

ce soir tu postes HEIN?????

je poste même maintenant !!! c'est juste pour toi tinkerbel parce que les autres elles sont pas très motivées !!! lol
nan je plaisante .. mais soyez pas avare de commentaires !!!


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Le temps semble avoir suspendu son vol. Il ne sait combien de temps il est resté là, collé à elle, respirant son odeur. Il se relève en prenant garde à ne pas la réveiller, précaution inutile dans l’état léthargique où elle se trouve. Il se dirige vers les toilettes, ouvre le robinet d’eau froide et s’asperge le visage. La fraicheur de l’eau lui fait du bien, il a besoin de se remettre les idées en place. Au fond de lui, il sait que son choix est fait. Depuis le début.

Flash back

L’attente lui semble interminable. Les portes des urgences obstétriques demeurent closes. Il ne sait plus différencier les minutes des heures. Il ne compte plus les allers-retours dans le couloir. Il ne compte plus les carreaux de carrelage qui composent le sol. IL ne compte plus ceux qui sont fêlés, ceux qui sont neufs. Son déficit d’inhibition latente s’exacerbe en cet instant. Chacun lutte comme il peut contre ses émotions. Michael perd totalement le contrôle de la situation et il hait ce sentiment. A l’instant où il a entendu le vase se briser, c’est son esprit qui a éclaté. Il n’a pas pu arriver à temps pour éviter sa chute. Elle est tombée de tout son poids sur le parquet. Il revoit sa tête heurter le sol et son corps se meurtrir sur le verre cassé. Ils n’auraient jamais dû aller chez Lincoln ce soir. Il sait à quel point elle est épuisée en ce moment. Il aurait du chercher à la protéger. Il ne l’a pas fait et voilà le résultat : un silence de mort sans aucune nouvelle à l’horizon pour le rassurer ou au contraire confirmer son angoisse. Les minutes s’égrainent encore lentement. La présence de son frère ne suffit pas à la rasséréner. LJ et Sofia sont retournés chez eux, l’adolescent étant clairement choqué par la situation.

Les portes s’ouvrent enfin. Un chirurgien d’un certain âge cherche du regard qui peut bien être le mari de sa patiente. Il ne tarde pas à le deviner en voyant Michael venir à sa rencontre. Sa demande est muette.

- Aux vues des circonstances, on peut dire que votre femme a évité le pire dans sa chute. Elle ne souffre d’aucun traumatisme crânien. Nous allons surveiller cela pendant les prochaines vingt-quatre heures. De plus, les coupures qu’elle présente ne sont que superficielles, poursuit le vieux monsieur, cependant…
- Cependant, articule difficilement Michael
- Ce n’est pas sa chute qui m’inquiète mais bien ce qui l’a causée, continue-t-il en l’invitant à s’asseoir sur une chaise. Le malaise de Mme Scofield a été causé par une hémorragie interne. Elle souffre de ce qu’on appelle un hématome rétro placentaire.

Michael ne comprend rien à tout cela. Son cerveau, capable de traiter des dizaines d’informations en même temps, est proche de l’implosion. Il invite tacitement l’obstétricien à poursuivre.

- L e placenta s’est décollé de la paroi utérine et une poche de sang s’est formé entre les deux parois. Votre enfant est en souffrance, il ne reçoit plus assez d’oxygène, nécessaire à son bien-être. Dans la plupart des cas, un accouchement par césarienne peut résoudre le problème mais…
- Mais…
- Mais, M. Scofield vous devez comprendre que les hématomes rétro placentaires sont des complications du troisième trimestre. Il est rare de voir des femmes présenter ces hématomes si tôt. La prise d’alcool ou de drogue sont des facteurs aggravants, sans compter que Sara a dépassé la trentaine. Tout cela pour vous dire que votre femme n’est enceinte que de six mois et son cas est très rare. Il vous faut faire un choix monsieur. Nous pouvons plonger Sara dans un coma artificiel, dont elle ne sortira sûrement pas, jusqu’à ce que le fœtus soit viable ou procéder tout de suite à l’interruption de grossesse. C’est-à-dire procéder à une césarienne, sauver votre femme en stoppant l’hémorragie mais votre enfant n’y survivra pas. Je suis désolé de vous presser mais les formulaires nécessaires à votre consentement sont à votre disposition à l’accueil. Je vous accorde la nuit. Après il sera trop tard, pour tous les deux.

Le médecin s’éloigne. Il a fait son travail, voilà tout. Michael ne sait où donner de la tête. Lincoln est resté en retrait pendant le rapport du médecin mais a tout entendu. Il se rapproche de son cadet, pose sa main sur son épaule puis le prend simplement dans ses bras, sans rien dire. Les mots sont superflus. De toute manière, il ne saurait pas comment le réconforter mieux que cela. Une infirmière interrompt leur étreinte. Michael est invité à aller rejoindre sa femme, qui vient d’être admise dans le service. Il ne se fait pas prier et suit dans le dédale de l’hôpital la femme en blanc.

Fin du flash back


Alors qu’il ressort du cabinet de toilette, Michael se trouve nez à nez avec l’obstétricien qu’il a rencontré auparavant. Le temps presse. Dans un effort surhumain, il se dirige vers la petite table de chevet, prend les documents qui s’y trouvent et les tend au médecin. Le chirurgien les parcoure d’un œil expert, vérifiant la moindre ligne.

- Vous êtes certain de votre décision, demande-t-il une dernière fois.
- Certain, répond Michael dans un souffle.
Le sort en est jeté. Ils ne vivront plus jamais de la même manière mais ils vivront quand même. Elle vivra. Pas leur enfant.
- L’intervention devrait durer au moins trois heures, M. Scofield. Vous devriez vous reposer pendant ce temps-là. Votre femme aura besoin de vous quand elle se réveillera.

Le chirurgien s’en va, les infirmiers entrent. Ils l’emmènent. Ils les emmènent. Les brancardiers s’arrêtent à sa hauteur. Sara est là, toujours endormie. Elle semble apaisée. Elle n’aura pas pu profiter une dernière fois de son enfant. Michael les regarde s’éloigner dans le couloir. IL rentre à nouveau dans la petite chambre. Elle parait immense à cet instant, sans personne pour la remplir. Le vide de cette pièce n’a égale que son cœur en cet instant. Il regrette déjà la décision qu’il a prise. Mais que pouvait-il bien faire d’autre. Il remarque les marques de sa présence dans toute la pièce. La pince à cheveux qu’elle portait lors de l’incident, posée sur sa table de chevet. Ses habits sont posés sur une petite table. Michael ne contrôle en rien la situation. Il déteste ce sentiment d’impuissance, il ne lui rappelle que trop l’emprisonnement de son frère, le décès de sa mère ou celui de son père.

Il faut qu’il quitte cet endroit ou il va devenir fou. Il n’est utile à personne ici. En un instant, il récupère les clefs de sa voiture, sort presque en courant de l’hôpital et monte dans sa voiture. Il met le contact et démarre en trombe. Il n’a jamais adopté un comportement suicidaire mais, à ce moment, il a besoin d’évacuer toute cette souffrance, ce poids qui l’étouffe. L’air de l’extérieur le revigore. Les rues défilent devant lui mais il ne voit que son visage. Son sourire. Quand elle l’a revu chez Bruce, quand elle s’est réveillée pour la première fois à ses côtés, quand elle lui a annoncé qu’elle était enceinte et quand elle lui a dit oui il y a quelques semaines. Sans s’en rendre compte, il est arrivé devant son immeuble. Alors qu’il monte dans l’ascenseur pour rejoindre leur appartement, il ne ressent rien. Aucun sentiment. Rien du tout. Il est en train de se fermer à tout. Il pénètre chez lui et se dirige directement dans la future chambre d’enfant. Il allume la veilleuse posée sur la commode. La pièce se teint d’une lumière chaude. Il s’approche du berceau, effleure de son doigt le mobile qui lui renvoie une note stridente. Sara lui avait dit quelques jours plus tôt que cela portait malheur de préparer la chambre d’un enfant avant sa venue. Si elle avait su à cet instant à quel point elle avait raison. Il s’approche du mur où est accroché une photo d’eux deux, prise par LJ le jour de leur mariage. Ils y sont visiblement plus qu’heureux, un magnifique sourire illumine leurs visages. Michael prend le cadre, le décroche du mur et l’observe de plus près. Son ventre était déjà bien arrondi et on peut voir la main de Michael posé dessus. Ses mains se crispent sur le montant en argent. Le cadre finit sa course contre le mur, le verre éclate sous le choc, la photo se froisse. Emprisonné dans sa fureur, Michael attrape tout ce qui lui passe sous la main et le jette contre les murs. Tout y passe : Table à langer, berceau, peluches. Son petit ange ne connaitra jamais cette pièce, ces meubles, ces présents. Il tente de faire disparaitre avec cette chambre tous les espoirs qu’il plaçait en son enfant et en leur avenir. Lorsque tout est au sol, il s’arrête, épuisé. La pièce est un véritable carnage. Il contemple son travail, stoïque. Aucune expression ne passe sur son visage. Il s’affaisse lentement sous son propre poids. IL s’assoit contre le mur, pose sa tête contre ses genoux, fait le vide dans son esprit. Il sombre inconsciemment dans un sommeil sans rêve. Demain sera un autre jour.

Je suis sans voix.
J'adore ta façon d'écrire et les sentiments que ressent Michael me traversent le corps et font monter les larmes
C'est vraiment très triste mais très très bien écrit. On peut parfaitement ressentir la peine de Michael.... Bravo, vraiment. Pfiou, j'en suis scotchée ( ^^)
J'espère que tu as encore beaucoup de suites pour cette histoire

La suiteee ( avec un peu de bonheur pour le magnifique Michael et la belle Sara )

ET Bien c'est toujours aussi prenant... je ne sais quoi dire et peut presque ressentir la détresse de Mickaël...
J'espère que ta fic sera un jour plus joyeuse car là on sombre aussi profondément que le MISA!!!

Katelove a écrit: Je suis sans voix.
J'adore ta façon d'écrire et les sentiments que ressent Michael me traversent le corps et font monter les larmes
C'est vraiment très triste mais très très bien écrit. On peut parfaitement ressentir la peine de Michael.... Bravo, vraiment. Pfiou, j'en suis scotchée ( ^^)
J'espère que tu as encore beaucoup de suites pour cette histoire

La suiteee ( avec un peu de bonheur pour le magnifique Michael et la belle Sara )

Je crois qu'elle a tout dit alors je viens juste rajouter un petit mot quand même !^^

En fait, cette suite, elle était tout simplement magnifique !

Je trouve que les sentiments sont toujours aussi bien dit, et franchement la décision que Michael a du prendre, je l'a trouve horrible. Ceci dit, je dois pas être la seule a penser ça !

Enfin bref, j'adore ! Et j'avoues que je suis assez intriguée pour la suite, la manière dont Sara va réagir et la manière bien évidemment de lui annoncer une telle nouvelle ! ^^

En tout cas, merci beaucoup pour cette suite et surtout ... Postes vite ! Oui je sais, je suis un peu exigeante parfois !

et :

pfiouuuuuuuu, respire sab, souffle, pleure pas

c'est magnifique, tous ces sentiments, ces émotions, cette situation tragique ! Tu écris très très très bien mais c'est crève-coeur ton histoire là!!
Ils ont déjà tellement traversés d'épreuves, ils vont encore avoir ça à gérer... ça promet de pas être drôle
Sara va lui en vouloir... à moins que finalement tu fasses en sorte que le bébé vive encore allez steuplé

bravo minnie, c'est une fic magnifique et très prenante...

j'veux la suite !!!!! seulement si elle est pas triste

ZE VEUX LA SUITE !!!



( ^^)

LA SUITTTTTTTTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!

Elle m'a fait pleurer ta fanfic, je t'applaudis sérieusement tu as un talent remarquable, je t'avoue que je suis sans voix aussi. J'adore et je veux une suite vite!!!

ça ne va pas ça

Où tu es passée

On veut la suite maintenant, rnfin dès que tu peux mais très vite

je suis là tink t'en fais pas !!!!

Bonne nouvelle poupi s'est remise à la lecture ... enfin !!! mais la grande question c'est ou est passé Charlie mili ???

je vois que vous voulez une suite les filles ( normal tu me diras ... ca rime à rien une histoire sans fin !!! )

bon alors j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle ...

la bonne c'est que le chapitre 3 est écrit et prêt à poster... la mauvaise c'est qu'il est très court, trop court pour être poster dans l'état ...
le chapitre 4 est bien avancé mais pas terminé ddonc je posterai les deux en même tps... sauf si bien sûr vous insistez pour avoir le 3 maintenant

* minnie en mode aime se faire désirer *

merde j'étais sur le point de te dire, "mais t'as bu ou quoi ? je t'ai laissé un com sur la première page"... alors j'y retourne pour voir pour être sure parce que tu m'avais mis le doute et là je vois que t'as posté deux suites juste après mon com... et pourtant nan je te promets j'ai rien bu mais je sais plus trop où j'ai vu un de tes coms où tu disais que t'avais pas le temps d'écrire alors je suis pas allée en arrière... OUPS !!!

bon j'y vais de ce pas !!