¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]

Superbe

Merci nickki d'écrire d'aussi belles fics!!!
C'est M-O-R-T-E-L !

Merci Nikki!!!!!! C'est vraiment M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E!!!! Merveilleux, sublime, fantastique!! En plus y'a de l'humour, de l'action, du suspens, du romantisme... tout quoi!
Bravo bravo bravo!

c'est trés beau

J'ai lu la suite hier mais je n'avais pas eu le temps de rédiger mon commentaires. Soyons Bref : Excellent !!!

Un fois n'est pas coutume, c'est bien écrit ! Et c'est tellement agréable. Je le dis souvent mais ça fait vraiment très plaisir. Puis l'histoire est vraiment très bien. les choses ne se passent pas trop rapidement malgré le fait que quand on écrit une fic, on veut aller un peu plus vite pour arriver au dénouement (c'est ce qu'il se fait généralement et ce qui se passe quand j'en écris aussi (pas de Misa aussi )). Puis j'ai beaucoup aimé le dialogue entre Sara et Michael au sujet du fait qu'elle ne soit pas prête. Je pense que cela correspond bien à l'Etat d'esprit de Sara et que la faire tomber dans les bras de Mike tout de suite aurait peut être été un peu rapide. En même temps, c'est tellement tentant de la faire. :lol:Bon je vais m'arrêter la pour mon commentaire mais j'ai vraiment hâte de lire la suite ! Continue comme ça, on est tous fan !

j'adoooooore la suite vite
BRAVO!!!!!!!!!!

j'adore ta fic Nickki, elle est géniale, tu écrit très bien et tu colles parfaitement aux personnalités des personnages, BRAVO et merci!

Roh là là!!!!!!!!!!!!!!!! Je ne m'attendais pas à un tel engouement!! MY GOOOODDDD!!!!!!!!!! Merciiiiiiiii!!! Je vous promet une petite suite ce soir (espérons que j'ai le temps d'écrire!) ou au pire demain.

NONONON !!!!!!!!!!!!!! Ne nous fais pas çà.... . Enfin çà dépend si ç'est pour la qualité de la fic !

yeah c'est très mignon tout ça ^^ ah Sara résiste c'est bien ! ^^ en tout cas vivement la suite.

Une petite suite^^

On The Run…6


Minuit arrivait. Alexander Mahone ne voyait presque plus où il mettait les pieds. Seule la faible lueur de la lune l’empêchait de se retrouver dans le fossé….Mahone doutait fortement que quelqu’un passe par là et le sorte de cette galère. Cette route était très peu fréquentée, et la ville la plus proche se trouvait à plusieurs dizaines de kilomètres. Et dans l’état où il se trouvait, Mahone pensait qu’il allait sans doute servir de repas aux rapaces du coin. Il continua tout de même à marcher, poussé par l’idée de pouvoir regarder Scofield souffrir autant que cela était possible.

Paul Kellerman n’était plus qu’à quelques kilomètres du point de rendez vous de Michael et Sara. Les deux fugitifs n’y seraient certainement plus, mais Mahone avait été prévenu de son arrivée et devait l’attendre là-bas. A partir de là, ils pourraient tenter de savoir où Scofield et Tancredi étaient allés. « Et puis Alex Mahone est un homme intelligent. Il trouva sans aucun doute la planque de ceux deux idiots. » Kellerman admirait Mahone, c’était certain. Mais il avait aussi le don de l’agacer profondément. En quelques jours seulement et grâce aux tatouages de Scofield, Mahone avait découvert les plans du jeune homme, ce qu’il comptait faire, où il devait se rendre… Bien sûr, Mahone avait toujours un petit train de retard sur Michael. Mais il était à chaque fois très près de lui mettre la main dessus…Le problème était que Mahone était un homme compliqué. Il aimait faire cavalier seul, avoir un certain temps d’avance sur les gens qui travaillaient, ou plutôt qui étaient sensés, travailler avec lui. Ces gens n’étaient que des outils pour Mahone. Eux trouvaient les infos, lui s’occupaient de la traque. Le reste ne l’intéressait pas. Il se fixait ses propres règles, il menait sa propre barque, parfois au détriment d’autres personnes…
A la lumière des phares de sa voiture, Kellerman aperçut un homme qui marchait sur le bord de la route. Plus il se rapprochait, et plus il lui semblait qu’il connaissait cet homme…

Sara se trouvait à l’enterrement de son père. Beaucoup de gens se trouvaient autour d’elle, mais elle ne les voyaient pas. Ces personnes n’avaient pas de visages. Ce n’étaient que des ombres vêtues de noir, formant un cercle autour du cercueil de Franck Tancredi. Elle, Sara, la fille du défunt, se tenait à l’intérieur de ce cercle, à côté d’un prêtre. Elle avait l’impression que toutes les personnes présentes la regardaient avec mépris et dégoût. Elle ne voyait pas leurs visages, mais elle pouvait sentir leur regard sur elle…Puis soudain, elles se dispersèrent. Seul resta le prêtre, et Sara se retrouva seule à côté de lui, devant le cercueil.
Le ciel, bleu et dégagé jusque là, s’assombrit brusquement. Les feuilles mortes qui se trouvaient par terre furent emportées par une rafale de vent. Sara leva les yeux vers le ciel alors que de grosses gouttes de pluie se mirent à tomber. En une minute, Sara fut trempée.
La jeune femme reporta son attention sur le cercueil. C’était un beau cercueil, en bois verni. Sara ne se rappelait pas l’avoir choisi, la mort de son père lui semblait tellement irréelle…Il ne pouvait pas être mort. Il ne pouvait pas l’avoir laissé toute seule. Il l’avait laissée seule, seule avec sa culpabilité. Seule avec ses remords.
« Si je ne t’avais pas donné le dossier sur Lincoln Burrows, papa…Si je l’aurais laissé mourir, alors qu’il était innocent, sur cette chaise électrique…Tu serais encore là, papa. Tu n’as pas le droit de me laisser toute seule. Tu n’en as pas le droit, papa. TU M’ENTENDS ?? »
Des larmes coulèrent le long des joues de Sara. Son père n’était plus là. Il ne pouvait pas l’entendre.
« Oh si, Sara, je t’entends… »
D’où provenait cette voix ? Etait-ce dans sa tête ? Ou bien…
Avec horreur, Sara Tancredi vit le cercueil de son père s’ouvrir. Elle ne comprenait plus. Lentement, elle s’approcha du cercueil, la main tendue en avant. Son père reposait là, le visage détendu, comme s’il dormait…La jeune femme s’approcha encore. Elle toucha la joue glacée de son père. Et celui-ci ouvrit les yeux.
Sara retira brusquement sa main mais Franck Tancredi fut plus rapide. Il saisit le poignet de sa fille qui poussa un hurlement de terreur, puis il s’assit dans son cercueil et tourna la tête vers Sara. Une violente nausée saisit la jeune femme.
Le visage de son père avait quitté son aspect serein et détendu. Sa peau était parcheminée, en lambeaux par endroits. Ses yeux étaient profondément enfoncés dans leurs orbites et injectés de sang. Sa bouche était déformée par un rictus hideux. Sara fut sur le point de vomir.
« Ma fille… »
Le père de la jeune femme, ou du moins ce qu’il en restait, passa par-dessus le bord du cercueil et en sortit, agrippant toujours le poignet de Sara qui se débattait. Elle tentait de reculer, mais son père avait une poigne de fer, et Sara crut qu’il allait lui casser le poignet... La respiration coupée, elle regarda son père s’approcher d’elle. Il la saisit par le cou et commença à serrer.
« Papa…Ar…Arrête… »
Mais, insensible aux supplications de sa fille, il serrait toujours, de plus en plus fort. Sara commença à voir des points noirs danser devant ses yeux. Puis le prêtre, resté silencieux et passif jusque là, s’approcha de Sara et lui murmura dans l’oreille.
« Sara…Je suis désolée…J’aimerais t’aider mais…Mes fonctions me l’interdisent. »
« S’il vous plaît…Aidez…Aidez-moi… »
« T’aider ? Continua le prêtre en riant. Mais, jeune fille, mon travail n’est pas d’aider les traînées dans ton genre.
Sara, qui suffoquait de plus en plus, ne comprenait pas ce que le prêtre voulait dire.
« Dans cette chambre…Avec un fugitif recherché par toutes les autorités du pays…ne me dis pas que tu n’as pas eu envie de coucher avec lui alors que son corps te réclamait…De te perdre dans cet instant, d’oublier le monde autour de toi…De ne rien ressentir d’autre que sa peau contre la tienne…Allez, Sara…Avoue-le… »
Mais Sara ne pu rien avouer du tout. La pression de la main de son père autour de son cou était trop forte. Elle n’avait plus d’air. Elle suffoquait. La dernière image qu’elle emporta avant de fermer les yeux fut le rictus horrible de son père et les éclats de rire du prêtre à son oreille.

Sara se réveilla en sursaut, respirant avec énormément de difficulté. Son cauchemar était si prenant qu’il l’avait réveillé brutalement, elle se trouvait maintenant assise sur le lit, respirant bruyamment. Elle pouvait encore sentir la main de son père autour de son cou, la pression sur sa gorge, la pluie dégoulinant le long de son visage alors qu’elle suffoquait…
Michael, qui pendant la nuit s’était mis sur le côté droit pour dormir, se tourna vers Sara. Il la vit assise, la respiration difficile, se tenant la gorge à deux mains, comme si elle s’étouffait.
-Sara ?? Qu’est-ce qu’il y a ??
La jeune femme tremblait comme une feuille. Sans cesse, des images de son horrible cauchemar lui revenaient en tête. Elle se sentait nauséeuse, son cœur battait à une telle vitesse qu’elle crut qu’il allait s’arrêter. Michael s’assit lui aussi et entoura les épaules de Sara de son bras.
-Tu as fais un cauchemar, c’est ça ?
Pour toute réponse, elle hocha la tête, incapable de parler. Michael commença à lui caresser les cheveux pour la calmer.
-Ca va aller…Ne t’en fais pas, c’est fini…
Michael lui murmurait des paroles de réconfort à l’oreille. Sara se laissa aller dans les bras de Michael, des larmes de terreur mais aussi de soulagement coulant sur ses joues. Ce n’était qu’un rêve…Jamais elle n’avait fait un tel cauchemar. Les paroles du prêtre résonnaient encore à ses oreilles…
Doucement, Michael força Sara à se coucher. La jeune femme resta quelques minutes allongée sur le dos, puis elle se tourna et posa sa tête sur la poitrine de Michael, agrippant le T-shirt du jeune homme, comme pour éviter de retomber dans un autre cauchemar…
Dans la pénombre, Michael ne put s’empêcher de ressentir une immense peine. C’était un de ces moments où l’on a envie de tout lâcher, de tout abandonner, d’arrêter de se battre…Il n’avait jamais voulu ça. Faire souffrir Sara…Ca n’était pas dans ses plans.

c'etait magnifique

la suite stp

WWhoooooooooooooooooo
Le rêve était incroyable, j'ai adoré
Sans parler de la fin avec Sara et Mike rahhhhhh

Wow
JE VEUX LA SUITEEEEEEEEEEEEEE!!!!!!
Ta fic est parfaite!!!
Ca va pas trop vite, pas trop lentement, c'est juste parfait!
J'attend la suite avec impatience!!
J'aime vraiment bcp ta fic et comment tu l'ecris et jpourrais ecrire une page a te faire des compliments
Bon okkay jme tais

magnifique la suite

S'est superbe

Vive la suite

toujours aussi géniale!!

c'est mortel!!!!

Merci^^ Je n'était pas sûre que ça plairait avec l'épisode du prêtre...J'essaie de poster la suite ce soir mais ce n'est vraiment pas sûr, au pire demain.

Merci à tous pour vos commentaires!!

ç'est sublime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Heureusement qu'il ya beaucoup de mots pour dire à quel point ta fic est génial sinon on serait en pénurie !!!

Je croit que c'est mon premier message sur ce forum ,je voulais juste te dire que ta fic est vraiment ..GENIALE ,j'ai hate de voir la suite ,ta trop du talent .. Continue j'adore !!

Arf stp met la suite ce soiiiir ,j'vais pas en dormir!!
And ..I love you Michael !!

Il n'y a as beaucoup d'action dans cette partie, mais on va dire que c'est la calme avant la tempête^^ J'espère que vous aimerez!^^


On The Run…7


Kellerman arrêta se voiture mais laissa tourner le moteur. Il avait reconnu l’homme au bord de la route : Mahone.
Celui-ci, apercevant deux ronds lumineux percer la nuit, s’était arrêter de marcher et attendait que le véhicule arrive à sa hauteur. Il eut la stupéfaction d’en voir sortir Paul Kellerman.
-Kellerman ? Qu’est-ce que vous faites ici ?
L’intéressé contemplait Mahone, grâce à la lumière des phares, d’un air critique.
-Mahone. Vous n’étiez pas sensé mettre le grappin sur Scofield et Tancredi ? Où est votre voiture ?
Mahone soutint le regard de Kellerman. Avouer qu’il avait échoué lui était insupportable.
-J’ai…J’ai perdu le contrôle de mon véhicule. Ils se sont enfuis.
Kellerman l’observait maintenant d’un air dubitatif. Il connaissait les difficultés de Mahone à avouer qu’il avait échoué dans quelque chose. Il doutait qu’Alex Mahone ait perdu le contrôle de son véhicule…
-Les deux tourtereaux ont dû s’arrêter dans un motel. Je vais demander à ce qu’on m’envoie la liste de tous les motels dans un rayon de cent cinquante kilomètres. Ils n’ont pas dû aller bien loin…Quant à vous, Mahone, nous allons vous emmener à l’hôpital. Vous êtes dans un état lamentable.
Mahone ne supportait plus le ton supérieur et ironique que prenait Kellerman pour lui parler. Ce dernier, quant à lui, prenait un certain plaisir à prendre le contrôle des opérations. Pour une fois que Mahone n’avait pas réponse à tout…
-Qu’est-ce que vous racontez ? S’insurgea Mahone. Nous allons tout de suite aller chercher Scofield !! Je n’ai pas besoin d’aller à l’hôpital. Vous…
-Regardez-vous ! Le coupa Kellerman. Vous tenez à peine debout. Michael et Sara sont fatigués. Sara vient de perdre son père. Michael est inquiet pour sa famille. Ils sont tout les deux exténués. Ils vont s’arrêter plus d’une nuit, croyez-moi. Allez, montez en voiture.
Mahone n’eut pas le cœur de discuter. Au fond, Kellerman avait raison : il était dans un état pitoyable.

Sara s’était finalement rendormie. Pendant plusieurs dizaines de minutes, elle avait continué de trembler, respirant difficilement, incapable de se calmer. Michael la serrait contre lui, il lui murmurait des paroles apaisantes à l’oreille, et il avait posé sa main sur celle de Sara qui agrippait toujours le T-shirt du jeune homme.
Finalement, Sara redevint calme et détendue. Sa respiration s’apaisa et devint régulière, sa main se décrispa sur le T-shirt de Michael. Celui-ci baissa les yeux vers la jeune femme et vit qu’elle s’était endormie. Délicatement, il repoussa une mèche de cheveux brune de son visage, puis il ferma les yeux à son tour. Il ne dormirait pas beaucoup pendant cette deuxième partie de la nuit…

Kellerman avait finalement conduit Mahone à l’hôpital. Dans le hall de l’établissement, une infirmière se précipita vers lui en voyant l’état dans lequel il se trouvait. Kellerman avait affiché un air faussement inquiet sur son visage.
-Un chauffard ivre nous a percutés, expliqua-t-il. Mon ami a vraiment besoin de soin.
L’infirmière lança un regard compatissant à Kellerman, fit signe à une autre infirmière d’amener un brancard. Quelques minutes après, Mahone fut emmené en salle de soin.
Quant à Kellerman, il n’avait pas l’intention d’attendre toute la nuit que Mahone sorte de l’hôpital. Il prit la direction de la sortie, trop heureux de pouvoir s’occuper seul de Michael et Sara. Lorsqu’il arriva à sa voiture, son agenda électronique sonna. On lui avait envoyé la liste de tout les motels dans un rayon de cent cinquante kilomètres à partir du point de rendez vous convenu par Scofield. Kellerman entra dans son véhicule pour étudier la liste. Après un instant, il retint une dizaine motels, qui lui semblaient correspondre au choix qu’aurait fait Michael. Kellerman consulta sa montre. Il était deux heures passée de quelques minutes. La traque commençait.


Vers dix heures le lendemain matin, Michael fut réveillé par les rayons du soleil qui passaient à travers les stores de la fenêtre. Il resta allongé quelques minutes, savourant le silence. Il entendait juste la respiration régulière de Sara près de lui. Il tourna la tête vers elle et la contempla quelques instants. Que n’aurai-t-il pas fait pour cette femme… « J’avais tout prévu. Tout. Dans les moindres détails. Mais elle…Sara… »
En prenant soin de ne pas faire trop de bruit, Michael se leva et s’habilla. Il décida d’aller acheter de quoi manger. Mais avant, il s’empara d’une feuille de papier, et, avec une dextérité hors du commun et en une minute, il réalisa une grue de papier. Il écrivit un mot pour Sara, posa l’origami sur la table de nuit, prit son porte feuille et sortit.

-Ah, mon garçon ! Comment allez-vous ce matin ?
Michael fut surpris par l’accueil chaleureux que lui réserva le gérant du magasin.
-Je vais bien, merci, et vous ?
-Oh très bien, très bien. Vous venez chercher de quoi manger ?
-Oui, en effet.
-Très bien, je vous laisse flâner dans les rayons alors !
Michael se dirigea vers le rayon alimentaire, ne pouvant retenir un sourire. Ce vieil homme devait être l’un de ceux qui ne vivent pas avec leur temps…Il ne devait ni lire les journaux, ne regarder les flashs infos à la télévision. Et même s’il avait entendu parler d’évasion, il ne reconnaîtrait sûrement aucun visage. Michael se détendit un peu.
Après avoir remplis son panier, il se rendit à la caisse. Le gérant le regarda avec un air malicieux.
-Alors, fiston, et votre lune de miel ? Le motel était au goût de mademoiselle ?
Pendant un instant, Michael se demanda de quoi il parlait. Mais ensuite, il se souvint de l’excuse exubérante de Sara.
-Oh, vous savez, c’est le genre de femme à qui il ne faut pas beaucoup pour être heureuse ! Improvisa-t-il. Un vieux motel, un bon petit déjeuner…
Les yeux du gérant brillaient de curiosité, ce qui amusait encore plus Michael. Il commençait à se prendre au jeu.
-La nuit a dû être longue, alors !
-Ah…en effet ! Vous savez ce que c’est, une lune de miel…Et puis…Les femmes…Jamais satisfaites !
Le gérant parti d’un grand éclat de rire. Michael paya ses articles puis le salua. Qu’est-ce qu’il ne fallait pas inventer…

Lorsqu’il sortit du magasin, il aspira une grande bouffée d’air frais. Plus qu’une journée et une nuit, et Sara et lui iraient retrouver Lincoln pour prendre l’avion pour Panama. Une nouvelle vie les attendait…
A quelques mètres de la porte de leur chambre, Michael aperçut Sara sur le pas de la porte. Elle s’étirait, et le jeune homme remarqua qu’elle avait l’origami dans une main.
-Michael ! L’interpella-t-elle lorsqu’elle le vit.
-Sara, tu vas bien ?
-Oui, et toi ? Tu ramènes des choses à manger ?
Michael sourit au ton d’affamé sur lequel Sara avait dit cela.
-Oui, plein de bonnes choses !
Michael s’arrêta à quelques centimètres d’elle, ne sachant s’il devait l’embrasser ou pas…Mais Sara mit fin à ses interrogations en lui déposant un baiser sur les lèvres.
-Le gérant a encore remis cette histoire de lune de miel sur le tapis, dit Michael en entrant dans la chambre.
Sara pouffa de rire.
-Tu lui as raconté quoi cette fois ?
-Que vous les femmes n’aviez pas besoin de beaucoup pour être heureuse. Il a ensuite voulu avoir des détails sur notre longue nuit…
Sara ne souriait plus. Elle venait subitement de se remémorer son cauchemar…Elle s’assit sur le lit et Michael comprit aussitôt.
-Ton cauchemar…
Sara hocha ma tête.
-Si tu veux que nous en parlions…
La jeune femme fit signe que oui et Michael s’assit à côté d’elle.
-Je n’avais jamais fait un tel cauchemar…

Superbe

Vive la suite

Que dire de plus : Continue, c'est super !!! J'adore !!!