¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Vous êtes super ^^ Promis je vous tiens au courant !! Ca ne sera pas avant le 2 juillet ...
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
et oh! t'en vas pas comme ça jeune fille.... et nos suites elles sont où.... le bac est fini, tu ne vas pas t'en tirer comme ça???? il y a encore du travail qui t'attend... aller je t'en pris donne nous des suites....
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Je suis chez Elidria jusqu'à dimanche, mais promis après j'écris non stop !! En tout cas merci beaucoup à vous tous !!
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Alors ma belle.... aura t'on le plaisir d'avoir une suite ou deux d'ici ce soir?????
Dis moi que oui, car je crois que je serai capable de mourir d'impatience......
Dis moi que oui, car je crois que je serai capable de mourir d'impatience......
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Ahh nannn !! Meurs pas !!! Voici une suite que j'avais écrite avant de partir, c'est super court mais c'est pour patienter, le temps que je me remette dans le bain lol ^^
Sara avait l’impression de se trouver sous l’eau. Comme si les événements qu’elle était en train de vivre lui paraissaient lointains, comme sortis d’un autre monde ... Comme lorsqu’on est à la piscine et que, pour ne plus entendre les cris des gamins à côté, on plonge la tête sous l’eau. Et on n’entend plus rien. Sara n’entendait plus.
Et pourtant, il s’agissait de sa propre vie. Sa vie qui partait une fois de plus en morceaux. Comme la fois où elle avait laissé la porte ouverte à Michael. Ou lorsqu’elle s’était réveillée, ce matin-là, et qu’elle avait vainement attendu le retour d’un homme qui n’était jamais revenu. Jusqu’à aujourd’hui.
Et Sara lui en voulait pour ça : foutre une fois de plus sa vie en l’air.
Et quoi ? Elle allait le regarder partir, encore une fois ? Cette nuit-là, elle n’avait pas eu l’occasion de le retenir. Et aujourd’hui, c’était possible mais...Il y avait John. Comment pourrait-elle partir avec Michael, en laissant un mot à son futur mari disant « Chéri, je me suis fait la belle avec le véritable amour de ma vie. Sans rancune ? » ? John n’était certes pas l’homme idéal, mais grâce à lui elle avait progressivement réussi à se reconstruire un semblant de vie. Qui sonnait faux, certes. Il n’empêchait qu’elle ne pouvait pas agir comme ça. Il fallait trouver une autre solution.
La porte s’était maintenant presque refermée sur Michael. Les larmes de Sara s’étaient taries, mais ses yeux brillaient toujours, signe que le calvaire qu’elle vivait était loin d’être terminé ...
-Attends.
Ce fut à peine un murmure. Mais ce fut suffisant à Michael. Le jeune homme revint sur ses pas et planta une nouvelle fois son regard dans celui de Sara, sans dire un mot. Juste avec ce regard qui lui laissait le choix.
-Je...Je ne peux pas te laisser repartir comme ça. Pas encore une fois. Je hem ... Tu...Tu m’a tellement manqué.
Effort surhumain pour ne pas se remettre à pleurer. Surtout, reprendre sa vie en main.
Sara croisa les bras sur sa poitrine et tenta de soutenir le regard de Michael, toujours aussi pénétrant, toujours aussi sournois, comme s’il lisait en elle comme dans un livre ouvert ...
Une vague de soulagement avait submergé le jeune homme lorsque Sara avait prononcé ce simple mot : « attends ». Il pensait que Sara avait tourné la page malgré ses sentiments, mais en même temps il espérait jusqu’à en devenir dingue que la jeune femme ne le repousse pas ... Après tout, elle avait entièrement raison. Qui était-il ? Scofield la Tornade ? Le type qui débarque et qui détruit tout sur son passage ?
Michael referma la porte. Bon sang. A cet instant, il aurait donné n’importe quoi pour pouvoir la prendre dans ses bras, ne serait-ce que quelques secondes ... Sentir encore une fois son corps contre le sien et l’odeur de ses cheveux ... Sentir cette chaleur qui se diffusait en lui chaque fois qu’elle était là ...
Mais il ne voulait pas l’influencer dans ses choix. Il ne voulait pas la contraindre de partir avec lui. Il voulait simplement qu’elle prenne la bonne décision. Pour elle.
Ce fut finalement Sara qui franchit la distance qui les séparaient. Depuis son départ, un manque qu’elle n’avait pu combler était présent en elle. Avec le temps, ce manque s’était fait moins présent, moins douloureux...mais il était toujours là. Et puis elle ne demandait rien de plus qu’une simple étreinte...Rien d’autre. Malgré le fait qu’elle savait qu’une fois qu’elle aurait touché à Michael, il lui serait difficile de ne pas recommencer...
Dernière édition par le Lun 25 Juin - 17:36, édité 1 fois
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
C'est toujours aussi beau j'adore mais je veux une suite et vite je serais pas attendre trop longtemps. il faut que sara se decide et prenne michael qui ne le choisirait pas moi je le choisirait sans hesitation.
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Sublime cette suite!!!!!!
C'est bien Sara ta bien fait de retenir Mick!!!!!
J'espère qu'elle prendra vite une décision!!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeee
C'est bien Sara ta bien fait de retenir Mick!!!!!
J'espère qu'elle prendra vite une décision!!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeee
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
trop trop bien!!! merci Nickki!!
encore!!!!!
encore!!!!!
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
un grand merci.... ouah!!!! quelle femme cette sara, forte et fragile à la fois face à Mickael.....
Elle ne peut se passer de lui mais saura t'il la rendre heureuse, ne la quittera t'elle pas une fois encore... mais les sentiments sont plus fort que les doutes... c'est ça l'amour le vrai celui qui vous donne des ailes et pour qui on se bat jusqu'au bout comme Mickael et Sara à l'instant....
Je te laisse un peu tranquille pour nous pondre d'autre merveilleuse suite... mon coeur est ravie à la lecture de se chapitre... j'avais besoin de douceur et de passion... merci à toi
Elle ne peut se passer de lui mais saura t'il la rendre heureuse, ne la quittera t'elle pas une fois encore... mais les sentiments sont plus fort que les doutes... c'est ça l'amour le vrai celui qui vous donne des ailes et pour qui on se bat jusqu'au bout comme Mickael et Sara à l'instant....
Je te laisse un peu tranquille pour nous pondre d'autre merveilleuse suite... mon coeur est ravie à la lecture de se chapitre... j'avais besoin de douceur et de passion... merci à toi
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Bravo Sara!!!!
J'adore la dernière phrase c'est vrai que Michael est comme une droque pour Sara
vivement la suite
J'adore la dernière phrase c'est vrai que Michael est comme une droque pour Sara
vivement la suite
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
tout simplement sublime!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Halala trop beau, je ne sais quoi a part que ses deux là c'est pour la vie. Ha oui jvoudrais bien une suite aussi magnifique que celle là
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Roh là là .. Merci pour tout vos magnifiques commentaires les filles, vous ne pouvez pas savoir, c'est comme une bonne tasse de café le matin: une gorgée et ça repart ^^
Voici une petite suite ^^'
Voici une petite suite ^^'
Sans trop réfléchir aux conséquences de son acte, Sara fit quelques pas vers Michael, qui ne bougeait toujours pas. Il se contentait de l’observer, guettant le moment où les yeux de la jeune femme rencontreraient les siens. Et puis Sara leva le regard et ce fut comme si elle plongeait dans celui de Michael : retenir sa respiration et presque se noyer. Un concentré des émotions d’autrefois resurgit, et à cet instant elle ne pensa plus à John, à son futur mariage, à sa vie, à tout ce qui l’entourait : il n’y avait rien d’autre que Michael qui la contemplait avec ce sérieux et ce désir qui parfois la déstabilisait.
Quelques centimètres les séparaient désormais. La tension dans l’air était palpable, Sara ne savait pas si elle allait pouvoir garder le contrôle d’elle-même très longtemps ; pourtant, elle se fit violence pour ne pas céder à l’attraction qui la poussait vers Michael.
La proximité de leur visage n’était qu’une souffrance de plus infligée au jeune homme. Les effluves du parfum de Sara l’enveloppaient telle des griffes qui peu à peu se refermaient sur lui jusqu’à l’en faire suffoquer. Il ne sut où il trouva la force de résister à l’envie d’embrasser Sara, tant ses lèvres étaient proches, à sa portée, là, tout près ...
La jeune femme détourna les yeux et vint se blottir contre Michael, frôlant de sa joue la sienne. Il referma ses bras sur le corps de Sara et caressa ses cheveux, savourant plus que de raison sa chaleur, son odeur et la délicieuse sensation d’euphorie qui l’emplissait.
-Tu m’as manqué aussi, Sara, murmura Michael.
Un frisson la parcourut alors que la main droite du jeune homme descendait un peu trop bas dans son dos, s’arrêtant juste au creux de ses reins, appréciant la douceur de la peau de la jeune femme qu’il devinait à travers le fin tissu du T-shirt noir. Ils restèrent ainsi plusieurs minutes, le silence uniquement troublé par le bruit de leur respiration et le tic-tac régulier de la pendule de la cuisine. Puis Sara s’arracha à cette étreinte à contre cœur, en prenant bien soin de ne pas recroiser le regard de Michael. Elle s’écarta de plusieurs pas avant de relever la tête, puis :
-Tu...tu veux peut-être boire quelque chose maintenant ?
-Je prendrais volontiers un café, répondit Michael d’une voix où perçait sa frustration.
« Que Dieu bénisse l’inventeur du café ! » pensa Sara en fuyant vers la cuisine.
Michael, un brin désorienté, alla s’asseoir sur son fauteuil. Il écouta distraitement les bruits qui provenaient de la cuisine, des bruits qui trahissaient la nervosité de Sara.
*
Tout en versant de l’eau chaude dans la cafetière, la jeune femme se maudit pour avoir laissé parler son corps plutôt que sa raison : elle savait pertinemment que Michael Scofield était comme ces doses de morphine qu’elle s’injectait, avant : nécessaire, bienfaisante dans un certain sens seulement, mais surtout ... dangereuse. Terriblement dangereuse et en même temps horriblement nécessaire. Un foutu paradoxe.
*
Michael avala une gorgée de café brûlant puis reposa la tasse sur la table basse. Ils étaient là, comme deux adolescents : lui assis sur le bord du fauteuil, les mains nerveusement croisées, elle enfoncée dans le sofa, les jambes croisées, mordillant tout aussi nerveusement sa lèvres inférieure. Elle ne savait comment engager une conversation, n’importe laquelle, sur n’importe quoi, lui n’avait aucune de la manière de lui demander ce qu’elle comptait faire, maintenant.
-Alors tu...tu es de nouveau médecin ?
Cette phrase avait brisé le silence comme on brise un vase en le faisant maladroitement tomber par terre.
-Oui, je travaille dans un hôpital de Chicago. Ce n’est pas ... Ce n’est pas le luxe mais je me contente de ça.
-Et ton travail n’est pas trop difficile ?
Question stupide, il le savait. Ridiculement stupide et horriblement hors de propos. Mais tout plutôt que de laisser le silence s’installer de nouveau.
-Je gère.
Parfait. Et maintenant ?
Michael attrapa de nouveau sa tasse, avala une autre gorgée de café brûlant. En voulant la reposer, sa main heurta la table et la tasse atterrit par terre, sur le magnifique tapis blanc.
Telle un ressort, Sara se leva et s’agenouilla précipitamment par terre pour éponger le liquide avec une serviette en papier. Michael fit de même, au même moment, au même instant. En une fraction de seconde, ils se retrouvèrent nez-à-nez, le visage à une dangereuse proximité, elle la main crispée sur une serviette en papier, la sienne posé sur celle de la jeune femme. Pendant un instant, le temps fut comme suspendu. Michael, presque malgré lui, approcha son visage un peu plus près. Sara sentait son souffle sur ses lèvres, cette main sur la sienne, cette foutu attirance qui...
Soudain, un bruit de moteur, tout près. Le claquement d’une portière. Et puis le sifflement joyeux d’un homme qui ne se trouvait plus qu’à quelques mètres de la porte d’entrée.
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
arhhhhhhh trop trop trop bien!!!!
décidément j'adore!!! je suis fan!!!!
trop bien j'en redemande!!!
c'est tellement bien écris, j'avais l'impression d'être à coté d'eux!!!
vivement la suite!
décidément j'adore!!! je suis fan!!!!
trop bien j'en redemande!!!
c'est tellement bien écris, j'avais l'impression d'être à coté d'eux!!!
vivement la suite!
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
MAGNIFIQUE ta fic!!!!!!
Elle est superbement décrite et spécialement leurs sentiments!!!!! J'en redemande beaucoup beaucoup!!!!!!
Elle est superbement décrite et spécialement leurs sentiments!!!!! J'en redemande beaucoup beaucoup!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Rooooo pourquoi faut il qu'ils soient interrompus!!!!!!!
j'adore ta façon d'écrire
vivement la suite
j'adore ta façon d'écrire
vivement la suite
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Merde c'est John pourquoi il arrive maintenant ce clown seul toi peu nous le dire alors pour ça faut ^mettre la suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
wow, suspence quand tu nous tiens... bon j'espère que l'on aura le droit à une magnifique scène de retrouvailles enflammées.... cette tension entre eux est palpable..... c'était vraiment intense... bravo c'était magnifiquement écrit... tu as du talent c'est indéniable( hihihihi!!!! jeu de mot!!!)
bravo
mais tu dois nous en mettre plus.... mickael est la drogue de sara moi ce sont les fic de Nikki.....
a très vite...
bravo
mais tu dois nous en mettre plus.... mickael est la drogue de sara moi ce sont les fic de Nikki.....
a très vite...
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
non mais pourquoi tu le fais revenir maintenant !!!
c'est trop méchant... j'étais à fond dedans... j'avais l'impression d'être la serviette que serrait Sara!!!
c'est trop méchant... j'étais à fond dedans... j'avais l'impression d'être la serviette que serrait Sara!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Il était vraiment obligé de revenir lui ?
J'sais pas, il pouvait pas se faire écraser par un autobus juste devant la maison ???
J'sais pas, il pouvait pas se faire écraser par un autobus juste devant la maison ???
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
charline-kilou a écrit:Il était vraiment obligé de revenir lui ?
J'sais pas, il pouvait pas se faire écraser par un autobus juste devant la maison ???
Ouai c'est clair p n il vient juste de gacher un super moment nonmais vraimen quel idée de rentrer maintenant
Vivement la suite
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Merci infiniment pour tout vos commentaires, dans le genre remonteuse de moral vous êtes fortiches vous hein ^^ En plus ça me motive à mort pour écrire ^^
Alors voici une suite, je viens de la terminer.
Aéroport international O'Hare de Chicago, quatre ans plus tôt
Alors voici une suite, je viens de la terminer.
Aéroport international O'Hare de Chicago, quatre ans plus tôt
Une jeune femme au teint hâlé par le soleil et aux longs cheveux bruns éparpillés sur ses épaules marchait d’un pas rapide à travers le terminal de l’aéroport. Elle traînait derrière elle une valise et semblait perdue au milieu de l’agitation qui régnait dans ce stupide terminal, qui se remplissait de voyageurs à vue d’œil. La sensation d’étouffement qui l’avait saisit lorsqu’elle était montée dans l’avion ne la quittait plus. Il fallait qu’elle sorte d’ici, et vite. Elle sentait poindre la crise d’angoisse et dans l’état où elle se trouvait, elle risquait bien de finir à l’hôpital.
Pressant encore le pas, elle se rua vers une des sorties et aspira une grande goulée d’air frais. Malgré la pollution qui stagnait sur Chicago, cela lui fit du bien et elle se dirigea vers sa voiture qu’elle avait laissée stationnée sur le parking de l’aéroport.
Une fois au volant de sa Smart noire qui aurait bien eu besoin d’être nettoyé, la jeune femme démarra et laissa le moteur tourner quelques instants. Le silence qui l’avait subitement enveloppé était plus pénible encore que le brouhaha du terminal ; ce silence la renvoyait constamment à ses réflexions plus horribles les unes que les autres. Machinalement, elle fouilla dans la poche droite de sa veste pour y chercher un chewing-gum-le seul moyen qu’elle avait trouvé pour combattre le stress, étrange certes mais efficace-et ses doigts rencontrèrent un bout de papier rigide, qu’elle extirpa de sa poche.
Il s’agissait de son billet d’avion, un aller simple pour Khartoum, au Soudan. Ce simple nom fit ressurgir en elle des souvenirs atroces, des souvenirs qu’elle aurait bien voulu effacer, des souvenirs qui la meurtrissaient comme autant de griffes qui la blessaient chaque fois qu’elle y pensait.
Quelques jours avant de prendre l’avion pour rentrer, cette jeune femme s’était occupée de centaines de personnes atteintes d’un des fléaux de notre siècle : le SIDA. Des dizaines et des dizaines de gens affluaient vers le petit dispensaire qu’elle avait créé avec l’aide de médecins locaux dans la capitale. Des personnes de tous âges, des jeunes, des vieux, et même de jeunes enfants de six ou sept ans faisaient la queue pour recevoir le traitement approprié.
La jeune femme n’en revenait pas. Toutes les tranches d’âges avaient besoin de médicaments contre le SIDA. Malgré la prévention et la sensibilisation, la plupart des populations croyaient que cette maladie n’arrivait qu’aux autres, et que faire l’amour sans préservatif, s’injecter de la drogue avec une seringue ayant servie plusieurs fois ne constituait pas de réel danger. Jusqu’au jour où ils tombaient malade.
Cette jeune femme, une Américaine d’une trentaine d’années, tentait tant bien que mal de faire face au flux ininterrompus de personnes qui affluaient de tous les côtés.
Alors qu’elle faisait une pause, assise sur un lit de camp vide, à l’écart de l’agitation qui régnait dans le dispensaire, elle les vit. Deux filles. Une adolescente et sa petite sœur, une gamine d’à peine cinq ans. Recroquevillées sur le sol, elles attendaient leur tour. La petite ne comprenait visiblement pas ce qu’il lui arrivait, mais sa grande sœur semblait complètement perdue, elle jetait des regards affolés autour d’elle et semblait prête à prendre sa petite sœur et à se tirer de cet endroit où régnaient la maladie et surtout, la peur.
Cette Américaine s’appelait Sara Tancredi. Après un an à poursuivre le fantôme de Michael Scofield, il avait bien fallu reprendre pied dans la réalité. Un petit hôpital l’avait engagé comme médecin, ce n’était pas le luxe mais elle se contentait de ça. Une autre année après avoir enfin émergé de la tornade de chagrin qui l’avait dévastée, Sara avait décidé de partir au Soudan combattre toutes les maladies qu’elle pourrait trouver. Si elle ne pouvait pas mettre une bonne gifle à Scofield pour l’avoir lâchement abandonnée, au moins pouvait-elle tenter d’endiguer des épidémies mortelles.
Les deux années auxquelles elle avait consacré son travail humanitaire touchaient à leur fin, et Sara devait repartir aux Etats-Unis dans quelques jours. Mais avant, il fallait lancer et faire connaître ce dispensaire à la population locale.
La jeune femme se leva et se dirigea vers les deux filles, auxquelles personnes ne faisaient vraiment attention. Elle s’agenouilla près de la plus âgée, en priant le ciel pour qu’elle parle anglais.
-Bonjour, comment t’appelles-tu ?
L’adolescente la regarda avec un mélange de méfiance et d’espoir dans les yeux. Pus elle se décida à répondre.
-Je m’appelle Leïla, et voici ma petite sœur, Anissa.
- Très bien, vous allez me suivre, je vais vous soigner, d’accord ?
Sara les entraîna vers le lit de camp où elle se reposait et les fit s’asseoir. La blouse blanche que portait la jeune femme devait sûrement inspirer confiance à l’aînée, car déjà son attitude se voulait moins méfiante. Sara s’agenouilla à ses pieds et désigna la petite Anissa.
-Qu’est-ce qui vous amène ? Quelqu’un chez vous est malade ?
La jeune femme espérait toujours, en voyant débarqué de tous jeunes enfants, qu’ils ne venaient que pour prévenir les médecins que quelqu’un chez eux était malade. Malheureusement, ses espoirs étaient vite déçus...
Leïla secoua la tête. Elle semblait gênée, comme si ce qu’elle allait révéler pouvait nuire à leur sécurité.
-Tu peux tout me dire, tu es en sécurité ici, la rassura Sara. Nous sommes ici pour t’aider.
Alors, et d’une voix à peine murmurée, Leïla livra son terrible secret à cette jeune femme qu’elle trouvait très sympathique. Il brillait dans ses yeux une lueur étrange, un mélange de chagrin et de bienveillance, ce incita la jeune fille à commencer son récit.
Son père, alcoolique depuis plusieurs années, était connu dans la famille pour multiplier les maîtresses. Sa femme n’en savait rien, ou alors elle faisait semblant de ne rien savoir ... Toujours est-il qu’un soir, quelques semaines auparavant, imbibé d’alcool et d’une violence inouïe, ce père s’était mis à frapper sa femme. Leïla et Anissa s’était cachées sous leur lit, dans leur chambre. Les cris et les pleurs de leur mère leur parvenaient, et, alors que Leïla se bouchait les oreilles pour ne plus rien entendre, Anissa sortit prestement de dessous le lit pour stopper son père. Sa grande sœur savait bien que dans l’était dans lequel ce dernier se trouvait, personne ne pouvait l’arrêter, et surtout pas une gamine de cinq ans ...
Après s’être pris plusieurs coups, Anissa fut traînée jusqu’à la chambre de ses parents, où, dans sa rage destructrice, son père la viola, lui transmettant ainsi le virus du SIDA.
Leïla avait alors quitté la maison, emmenant sa petite sœur, pour fuir les violences de son père. Elle ne sut si sa mère était encore en vie ; tout ce qu’il lui importait désormais était de conduire Anissa chez un médecin. La sensibilisation et la prévention contre cette maladie affreuse avait portée ses fruits.
A la fin du récit de Leïla, Sara se sentit nauséeuse. Depuis plusieurs jours, elle attendait que la fatigue et les horreurs qu’elle voyait ici aient raison d’elle...
La jeune femme s’excusa auprès des deux filles, se dirigea d’un pas qu’elle voulait rassurant jusqu’aux toilettes, se précipita dans une cabine, s’y enferma et vomit le frugal petit déjeuner qu’elle avait avalé.
A bord de sa Smart noire, Sara sentit une irrépressible vague de chagrin déferler sur elle. Elle avait eu l’illusion d’arriver à maintenir la tête hors de l’eau depuis qu’elle avait ce job à l’hôpital. Mais cette mission humanitaire l’avait détruite. Anissa avait le virus du SIDA. Et au vu de l’état dans lequel Sara se trouvait, ses supérieurs avaient exigés d’elle qu’elle retourne aux Etats-Unis sans discuter. Elle ne savait pas du tout ce qui avait bien pu arriver aux deux filles.
Mais ce n’était pas tout. Sara avait vu des bébés de quelques semaines crever de faim, des adolescents assassinés, des dizaines d’hommes et de femmes mourir de maladies qu’ici, dans les pays que l’ont disait développés, on soignait très bien.
Des larmes brûlantes dévalèrent les joues de Sara sans qu’elle cherche à les retenir. La jeune femme avait la sale impression que cette fois, elle ne se relèverait pas. La sale impression de se trouver encore une fois au bord d’un précipice, et de n’être qu’à deux doigts d’y tomber. D’ailleurs, elle se demandait si elle n’était pas déjà en train de plonger dans l’abîme sans fond de la dépression. Depuis que Michael était partit, Sara n’avait plus rien eu à quoi se raccrocher. Et sauver des vies dans des pays ravagés par la guerre et la maladie lui avait donné un dégoût profond pour la vie en général. Malgré tout, elle tentait de faire face et de survivre plutôt que vivre. Certains jours étaient plus difficiles que d’autres.
Rageusement, Sara donna plusieurs coups de poings au volant avant d’être secoué par les sanglots. Elle détestait sa vie. Elle se détestait.
Elle n’aperçut pas tout de suite l’homme qui se dirigeait vers son véhicule, juste à côté du sien. Un architecte, au costume bien coupé et aux chaussures noires impeccables. Devant la détresse de sa voisine de parking, il frappa à la vitre. Sara l’abaissa et s’essuya les yeux.
-Mademoiselle, vous avez l’air mal en point ! Vous êtes sûre que ça va ?
-Oui oui, très bien, bredouilla qui n’avait aucune envie de parler à quelqu’un.
-Laissez-moi en douter. Si nous allions prendre un café, vous pourrez me raconter ce qui vous tourmente ? Au fait, je m’appelle John Clayton.
Pressant encore le pas, elle se rua vers une des sorties et aspira une grande goulée d’air frais. Malgré la pollution qui stagnait sur Chicago, cela lui fit du bien et elle se dirigea vers sa voiture qu’elle avait laissée stationnée sur le parking de l’aéroport.
Une fois au volant de sa Smart noire qui aurait bien eu besoin d’être nettoyé, la jeune femme démarra et laissa le moteur tourner quelques instants. Le silence qui l’avait subitement enveloppé était plus pénible encore que le brouhaha du terminal ; ce silence la renvoyait constamment à ses réflexions plus horribles les unes que les autres. Machinalement, elle fouilla dans la poche droite de sa veste pour y chercher un chewing-gum-le seul moyen qu’elle avait trouvé pour combattre le stress, étrange certes mais efficace-et ses doigts rencontrèrent un bout de papier rigide, qu’elle extirpa de sa poche.
Il s’agissait de son billet d’avion, un aller simple pour Khartoum, au Soudan. Ce simple nom fit ressurgir en elle des souvenirs atroces, des souvenirs qu’elle aurait bien voulu effacer, des souvenirs qui la meurtrissaient comme autant de griffes qui la blessaient chaque fois qu’elle y pensait.
Quelques jours avant de prendre l’avion pour rentrer, cette jeune femme s’était occupée de centaines de personnes atteintes d’un des fléaux de notre siècle : le SIDA. Des dizaines et des dizaines de gens affluaient vers le petit dispensaire qu’elle avait créé avec l’aide de médecins locaux dans la capitale. Des personnes de tous âges, des jeunes, des vieux, et même de jeunes enfants de six ou sept ans faisaient la queue pour recevoir le traitement approprié.
La jeune femme n’en revenait pas. Toutes les tranches d’âges avaient besoin de médicaments contre le SIDA. Malgré la prévention et la sensibilisation, la plupart des populations croyaient que cette maladie n’arrivait qu’aux autres, et que faire l’amour sans préservatif, s’injecter de la drogue avec une seringue ayant servie plusieurs fois ne constituait pas de réel danger. Jusqu’au jour où ils tombaient malade.
Cette jeune femme, une Américaine d’une trentaine d’années, tentait tant bien que mal de faire face au flux ininterrompus de personnes qui affluaient de tous les côtés.
Alors qu’elle faisait une pause, assise sur un lit de camp vide, à l’écart de l’agitation qui régnait dans le dispensaire, elle les vit. Deux filles. Une adolescente et sa petite sœur, une gamine d’à peine cinq ans. Recroquevillées sur le sol, elles attendaient leur tour. La petite ne comprenait visiblement pas ce qu’il lui arrivait, mais sa grande sœur semblait complètement perdue, elle jetait des regards affolés autour d’elle et semblait prête à prendre sa petite sœur et à se tirer de cet endroit où régnaient la maladie et surtout, la peur.
Cette Américaine s’appelait Sara Tancredi. Après un an à poursuivre le fantôme de Michael Scofield, il avait bien fallu reprendre pied dans la réalité. Un petit hôpital l’avait engagé comme médecin, ce n’était pas le luxe mais elle se contentait de ça. Une autre année après avoir enfin émergé de la tornade de chagrin qui l’avait dévastée, Sara avait décidé de partir au Soudan combattre toutes les maladies qu’elle pourrait trouver. Si elle ne pouvait pas mettre une bonne gifle à Scofield pour l’avoir lâchement abandonnée, au moins pouvait-elle tenter d’endiguer des épidémies mortelles.
Les deux années auxquelles elle avait consacré son travail humanitaire touchaient à leur fin, et Sara devait repartir aux Etats-Unis dans quelques jours. Mais avant, il fallait lancer et faire connaître ce dispensaire à la population locale.
La jeune femme se leva et se dirigea vers les deux filles, auxquelles personnes ne faisaient vraiment attention. Elle s’agenouilla près de la plus âgée, en priant le ciel pour qu’elle parle anglais.
-Bonjour, comment t’appelles-tu ?
L’adolescente la regarda avec un mélange de méfiance et d’espoir dans les yeux. Pus elle se décida à répondre.
-Je m’appelle Leïla, et voici ma petite sœur, Anissa.
- Très bien, vous allez me suivre, je vais vous soigner, d’accord ?
Sara les entraîna vers le lit de camp où elle se reposait et les fit s’asseoir. La blouse blanche que portait la jeune femme devait sûrement inspirer confiance à l’aînée, car déjà son attitude se voulait moins méfiante. Sara s’agenouilla à ses pieds et désigna la petite Anissa.
-Qu’est-ce qui vous amène ? Quelqu’un chez vous est malade ?
La jeune femme espérait toujours, en voyant débarqué de tous jeunes enfants, qu’ils ne venaient que pour prévenir les médecins que quelqu’un chez eux était malade. Malheureusement, ses espoirs étaient vite déçus...
Leïla secoua la tête. Elle semblait gênée, comme si ce qu’elle allait révéler pouvait nuire à leur sécurité.
-Tu peux tout me dire, tu es en sécurité ici, la rassura Sara. Nous sommes ici pour t’aider.
Alors, et d’une voix à peine murmurée, Leïla livra son terrible secret à cette jeune femme qu’elle trouvait très sympathique. Il brillait dans ses yeux une lueur étrange, un mélange de chagrin et de bienveillance, ce incita la jeune fille à commencer son récit.
Son père, alcoolique depuis plusieurs années, était connu dans la famille pour multiplier les maîtresses. Sa femme n’en savait rien, ou alors elle faisait semblant de ne rien savoir ... Toujours est-il qu’un soir, quelques semaines auparavant, imbibé d’alcool et d’une violence inouïe, ce père s’était mis à frapper sa femme. Leïla et Anissa s’était cachées sous leur lit, dans leur chambre. Les cris et les pleurs de leur mère leur parvenaient, et, alors que Leïla se bouchait les oreilles pour ne plus rien entendre, Anissa sortit prestement de dessous le lit pour stopper son père. Sa grande sœur savait bien que dans l’était dans lequel ce dernier se trouvait, personne ne pouvait l’arrêter, et surtout pas une gamine de cinq ans ...
Après s’être pris plusieurs coups, Anissa fut traînée jusqu’à la chambre de ses parents, où, dans sa rage destructrice, son père la viola, lui transmettant ainsi le virus du SIDA.
Leïla avait alors quitté la maison, emmenant sa petite sœur, pour fuir les violences de son père. Elle ne sut si sa mère était encore en vie ; tout ce qu’il lui importait désormais était de conduire Anissa chez un médecin. La sensibilisation et la prévention contre cette maladie affreuse avait portée ses fruits.
A la fin du récit de Leïla, Sara se sentit nauséeuse. Depuis plusieurs jours, elle attendait que la fatigue et les horreurs qu’elle voyait ici aient raison d’elle...
La jeune femme s’excusa auprès des deux filles, se dirigea d’un pas qu’elle voulait rassurant jusqu’aux toilettes, se précipita dans une cabine, s’y enferma et vomit le frugal petit déjeuner qu’elle avait avalé.
A bord de sa Smart noire, Sara sentit une irrépressible vague de chagrin déferler sur elle. Elle avait eu l’illusion d’arriver à maintenir la tête hors de l’eau depuis qu’elle avait ce job à l’hôpital. Mais cette mission humanitaire l’avait détruite. Anissa avait le virus du SIDA. Et au vu de l’état dans lequel Sara se trouvait, ses supérieurs avaient exigés d’elle qu’elle retourne aux Etats-Unis sans discuter. Elle ne savait pas du tout ce qui avait bien pu arriver aux deux filles.
Mais ce n’était pas tout. Sara avait vu des bébés de quelques semaines crever de faim, des adolescents assassinés, des dizaines d’hommes et de femmes mourir de maladies qu’ici, dans les pays que l’ont disait développés, on soignait très bien.
Des larmes brûlantes dévalèrent les joues de Sara sans qu’elle cherche à les retenir. La jeune femme avait la sale impression que cette fois, elle ne se relèverait pas. La sale impression de se trouver encore une fois au bord d’un précipice, et de n’être qu’à deux doigts d’y tomber. D’ailleurs, elle se demandait si elle n’était pas déjà en train de plonger dans l’abîme sans fond de la dépression. Depuis que Michael était partit, Sara n’avait plus rien eu à quoi se raccrocher. Et sauver des vies dans des pays ravagés par la guerre et la maladie lui avait donné un dégoût profond pour la vie en général. Malgré tout, elle tentait de faire face et de survivre plutôt que vivre. Certains jours étaient plus difficiles que d’autres.
Rageusement, Sara donna plusieurs coups de poings au volant avant d’être secoué par les sanglots. Elle détestait sa vie. Elle se détestait.
Elle n’aperçut pas tout de suite l’homme qui se dirigeait vers son véhicule, juste à côté du sien. Un architecte, au costume bien coupé et aux chaussures noires impeccables. Devant la détresse de sa voisine de parking, il frappa à la vitre. Sara l’abaissa et s’essuya les yeux.
-Mademoiselle, vous avez l’air mal en point ! Vous êtes sûre que ça va ?
-Oui oui, très bien, bredouilla qui n’avait aucune envie de parler à quelqu’un.
-Laissez-moi en douter. Si nous allions prendre un café, vous pourrez me raconter ce qui vous tourmente ? Au fait, je m’appelle John Clayton.
**
Voilà, j'espère que ça vous a plu ^^ Ce n'était pas une suite directe mais je voulais faire un flash-back sur la rencontre de Sara et John. J'adôoôôôre les flashs-back!!!!
Nickki- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 10/10/2006
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Tiens,un architecte aussi... Pendant un instant, j'ai cru que c'était Mike
Super flash back !
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Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
Pauvre Sara deja qu'elle souffrait a cause Mick mais voir en plus toutes ses personnes innoncents mourrir c'est normal qu'elle pète un cable!!!
C'est qu'elle a un faible pour les architectes notre petite Sara spécialement ceux qui s'évadent de prison!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeee
C'est qu'elle a un faible pour les architectes notre petite Sara spécialement ceux qui s'évadent de prison!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeee
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: ¤¤ Nickki's Stories ¤¤ [ Arlington Heights, suite et fin ]
nestella a écrit:Pauvre Sara deja qu'elle souffrait a cause Mick mais voir en plus toutes ses personnes innoncents mourrir c'est normal qu'elle pète un cable!!!
C'est qu'elle a un faible pour les architectes notre petite Sara spécialement ceux qui s'évadent de prison!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeee
C'est clair la pauvre Sara
Mais il n'y a qu'UN architecte dans son coeur et c'est Michael....
vivement la suite
Dernière édition par le Jeu 28 Juin - 21:23, édité 1 fois
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