les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ché pa pourquoi mais jai un mauvais préssentiment jaimerais bien savoir très viiiiiittte!!!!!!!! ce quil va se passer entre nos deux futurs meilleurs amies!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite ta suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite ta suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Alors je ne vais rien dévoilé même si je suis le 100 eme com's je laisse le mystère mais je voulais te rep la car les com's te motivent donc tu nous écrira une suite très viiiiiiiite !!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Super ta suite !! Linc a été un peu vache avec Mike et son "futur mioche".... VIVEMENT LA SUITE !!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Houla la situation se complique!!!!
J'ai hate de lire la conversation de lorène et mick!!!!
vite vite une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai hate de lire la conversation de lorène et mick!!!!
vite vite une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
wow! quel suite
*peut plus parler*
vivement la suite
*peut plus parler*
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Non Michael tu n'es pas un monstre! faut pas qu'il pense ça
mais bordel comment j'ai peur de la conversation qui va arriver entre Michael et Lorène les pauvres me font vraiment de la peine et Lincoln qui s'en fou de Sara tssssssss quel salaud si elle n'aurait pas laissé la porte de l'infirmerie ouverte il serait à six pieds sous terre à l'heure qu'il est alors un peu de reconnaissance SVP!!
par pitié met la suite!
mais bordel comment j'ai peur de la conversation qui va arriver entre Michael et Lorène les pauvres me font vraiment de la peine et Lincoln qui s'en fou de Sara tssssssss quel salaud si elle n'aurait pas laissé la porte de l'infirmerie ouverte il serait à six pieds sous terre à l'heure qu'il est alors un peu de reconnaissance SVP!!
par pitié met la suite!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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fanfic enneade
Je tenais à te dire, ENNEADE, que je suis fan de prison break, que je suis fan de wentworth miller, que je suis fan du couple michael/sara mais sache que dorénavant je suis fan de toi.....
alors, please, une suite.....
alors, please, une suite.....
Erin- Admis à l'infirmerie
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci, merci ... c'est super réconfortant et motivant
bon! préparez les mouchoirs
pensée de Lorène : vert
pensée de sara : violet
pensée de Mike : bleu
Mickaël me laisse descendre, sans même me regarder. Son regard est si maussade, morose… je ne sais ce qui c’est passé mais mon dieu, je ne l’ai jamais vu ainsi. C’est vrai que cela ne fait que quelques semaines, mais je l’ai vu dans des situations tellement fortes. Il m’a promis qu’il me dirait, je dois être positive. Déjà, il m’a dit que çà n’allait pas. De toute façon s’il avait dit le contraire je ne l’aurai pas cru. Personne, en bas. Je distingue par la fenêtre, Lincoln dans les bras de Jane. Mickaël n’a pu avoir une altercation avec son frère. Ce n’est pas possible. Je ressens bien les tensions entre eux depuis que l’on est ici, mais non… ils ne peuvent pas être aussi stupides ! !Faut que je trouve un moyen de parler à Lincoln de ces médicaments. Peut-être que Jane est au courant, après tout elles vivent ensemble. Je ne me sens pas l’audace de les rejoindre. Ils sont mignons l'un avec l'autre. On dirait tous les deux des rocs que rien ne peut ébranler mais dès que l’on gratte un peu, ce sont deux grands sensibles. Aussi bien l’un que l’autre, ils font énormément attention aux gens qui les entourent. Cela, à notre insu, souvent. Je réinvestis le canapé, ils ont tout laissé en plan sur la table basse. Bien des mecs…bon, voilà de quoi m’occuper en les attendant : Ranger. Paul, n’a pas finit son café. Je ne peux m’empêcher d’afficher un large sourire.
J : Sara !
S : je voulais vous parler, il y a un petit quelque chose qui me chiffonne !
Ils me rejoignent tous les deux dans la cuisine. Les visages blêmes. Ils s’assoient côte à côte, à table. J’ai l’impression, qu’ils n’avaient pas prévus de me voir. Je suis complètement confuse devant la situation que j’ai créée.
J (se triturant les mains) : oui, alors ?
S : voilà, j’ai vu sur la table de nuit de Lorène, une boîte de médicaments. Elle m’a dit qu’elle n’était pas souffrante, mais son attitude m’inquiète. Elle paraissait troublée.
J : ah ! Je vois… non ne t’inquiètes pas Sara, c’est juste qu’elle à des petits problèmes, des maux de ventre… tu vois des trucs de filles. En regardant Lincoln de biais.
S : j’suis bête parfois… Lincoln, j’ai croisé Mickaël, tout va bien ? Entre vous ?
L (inquiet) : oui, vous l’avez vu, il y a longtemps ? Qu’est-ce qu’il vous a dis ?
S : non, à l’instant on s’est croisé en haut de l’escalier. Il ne m’a rien dit mais paraissait comme dérouté.
J : la fatigue commence à vous faire tourner tous en bourrique !
S : oui, je monte me coucher. Si vous voyez Mickaël, vous lui direz.
L : bien sur Sara. Bonne nuit et merci.
Je lui souris. Je comprends qu’il apprécie mon inquiétude envers eux. Ils semblent contents que je m’en aille, comme soulager.
Je pose ma main sur la poignée. Aucune lumière, seulement celle de la lune. J’avance sans faire de bruit dans cette chambre. Tellement de souvenirs se bousculent dans mon cerveau. J’en connais les moindres recoins. C’était la seule pièce qu’elle ne voulait pas qu’on change, pendant les travaux. Elle me disait toujours qu’elle était parfaite et que c’était notre nid. Mon dieu, je ne me reconnais plus. Elle est là allongée sur le côté. Je sens sa respiration lente et régulière. C’est le seul bruit. Je ne peux plus bouger. Mes jambes pèsent des tonnes, elles n’ont jamais été aussi lourdes. Je referme précautionneusement cette porte. Rien ne dois troubler ce moment. Son dos me fait face, elle doit dormir, sinon elle aurait bougé. Je ne peux pas la réveiller. Pourvu que ses rêves soient doux. J’avance doucement, à pas de loup…je les fais tellement de fois, que s’en est instinctif. J’allais souvent de coucher après elle, au début des cours à réviser, des plans à finir…mais chaque fois que nos peaux se frôlaient, elle ne pouvait s’empêcher de traduire son éveil par de doux baisers dans ma nuque… elles savaient si elle faisait cela je ne lui refusais rien. Pourtant, tout comme aujourd’hui la réveiller me fendait le cœur. Je m’allonge derrière elle, elle ne dort pas, je le sens. Son corps entier réagis. Je passe mon bras sous sa nuque, pour rejoindre ses doigts. Elle les resserre, comme avant. Je me blottis contre elle. Pose ma tête au creux de son épaule. Ses cheveux, cache mon visage, me protègent. Jamais je ne pourrais la regarder droits dans les yeux. Mon autre main se pose, instinctivement, sur son ventre. Elle tressaille, devant cet enlacement. J’appuie fermement ma main, mes doigts passent parfois, entre les boutons de sa chemise. Sa peau est si chaude, douce. Je fonds radicalement. Les sanglots que j’ai voulu réfréner durant toutes ces minutes, se déversent comme des torrents. Sa main se pose sur la mienne, comme pour me dire qu’elle est là. Je sens ses larmes roulées. Je n’ai jamais voulu lui faire du mal.
M : Lorène…
Lo : chut…
Je la sers encore plus contre moi, pour que nous ne fassions plus qu’un. Cela a toujours été ainsi entre nous. Pas besoin de se parler. Elle se brise dans mes bras, je ne l’ai jamais sentie aussi fragile, désemparée… Tous les mots que je voulais lui dire me semblent si pâles à cet instant.
M : je suis désolé, si…
Lo : pas de cela, Mike… tu vaux mieux…
M : je… notre enfant…
Je la sens redoubler de sanglots. On ne maîtrise plus rien. La seule chose dont j’ai réellement envie c’est de rester ainsi. Ne pas lui dire de banalités, on a toujours été au-dessus de cela. Je veux juste partager ma peine avec elle et surtout lui montrer que je suis là… là où j’aurai du être …
Il s’avance à pas de loup, je sens son souffle contre ma nuque. Je sais que c’est lui. Je pourrai le reconnaître entre des milliers. Il pose sa main, sur mon ventre, ces larmes atterrissent sur mon épaule. Mon dieu, il sait…que j’ai perdu mon enfant, son enfant, le nôtre…aucun mot n’arrivent à sortir de ma bouche…j’ai envie de lui hurler de partir, de me lâcher alors que mon corps se cale contre le sien, comme un aimant. La seule chose dont j’ai besoin est là…je réalise à cet instant qu’il est tellement plus facile de lui en vouloir à lui…le haïr, comme je le fais depuis des jours. Alors que personne n’y pouvait rien.
On reste ainsi, un moment qui me semble indéfinis…le temps de tarir toutes les larmes de nos corps. Je le sens comme défais. Je ne voulais pas lui faire endurer cette culpabilité. Elle est bien trop lourde pour lui. Je sèche les sillons creusés par mes larmes. Il s’est lui aussi calmé, un peu. Faut que je lui parle, pour qu’il refrène ses émotions, sinon il ne pourra plus avancer.
Lo : tu n’as rien à te reprocher, Mike…
M (resserrant son étreinte) : Lorène, je suis là maintenant, je ne te laisserai pas
Je le ressens perdu, comme un enfant apeuré. Mon dieu, la dernière fois ou je l’ai vu ainsi, c’est quand on avait appris la condamnation de Linc. Il avait passé la nuit dans mes bras à pleurer. Il aurait voulu se contrôler mais il n’avait pas put. Faut que je le fasse sourire, il ne doit pas s’engouffrer dans le chagrin
Lo : j’aime pas les braqueurs de banque !
M : je n’ai pas envie de rire. Je sais que tu m’en veux, mais faudrait que l’on parle…s’il te plaît ?
Lo : Mike, je comprends que tout se bouscule pour toi, mais … si j’ai un conseille à te donner recentres-toi.
J’ai l’impression de défaillir à chaques mots qu’elle prononce. L’étrange sentiment d’être une ombre, une ombre noire qui répand la souffrance autour de lui. Elle se révèle forte, bien plus que moi. Elle l’a toujours été. Mais elle ne doit pas. J’ai besoin qu’elle m’explique ce qui s’est passé, pourquoi elle n’est pas venue vers moi ? Si elle me hait à ce point pourquoi est-elle dans mes bras ? Je dois savoir si …cela aurait pût être si différent. Toujours dans la même position, je murmure au creux de son oreille. J’ai peur, de la brusquer, de la perdre plus encore. Je sens que ces mots, ont du mal à sortir, tous comme les miens. Chaques sons est entrecoupés de sanglots.
M : que… j’ai besoin de savoir … quand l’as tu appris ? Pourquoi tu ne m’as rien dis ?
Lo : Mike, non je t’en supplie, je peux…c’est trop dur !
M : j’aurais été là !
Lo : Tu n’y étais pas. D’accord c’est ainsi.
M : faut qu’on mette les choses au clair, j’en ai besoin.
J’ai l’impression que je vais exploser. Jamais, jamais je ne t’aurais fais souffrir.
Lo : le jour ou tu m’as annoncé que nous deux, c’était fini…
M : oui…
Lo : tu te rappelles, ce que je t’ai dis en rentrant.
M : oui que «tu avais un p’tit truc à me dire »
Lo : un p’tit, oui. Je revenais juste de l’écho. Je voulais être sur avant de t’en parler. Je ne voulais pas qu’on se refasse une fausse joie.
M : je… tu ne m’as rien dis, si tu l’avais fais
Lo : quoi, tu aurais laissé Linc mourir, peut-être ?
M : je ne sais pas, je suis sur qu’on aurait pu faire un autre plan.
Lo : Mike arrêtes. Je savais ce que je faisais. Quand tu m’as quitté, j’ai mis cela sur le dos de l’exécution de Linc qui approchée. Mais le jour ou tu as braqué la banque, ce jour là j’ai tout compris. Je ne savais pas exactement ce que tu allais faire, mais j’ai su que Linc ne finirait pas ses jours derrière les barreaux. Et, dans un certain sens je crois que je préférais ceci.
M (offusqué) : tu plaisantes ! Je t’ai laissé, toute seule avec notre enfant, et toi cela te vas, pas moi !
Lo : j’aurai préféré expliquer à notre fils que son père avait libérer son frère innocent de prison. Plutôt que de lui expliquer pourquoi son oncle n’était pas là. Par égoïsme.
M (réservé) : un garçon ?
Lo (souriant) : c’est à croire que vous avez perdu le mode d’emploi pour faire les filles !
M : je ne te permets pas…passant ses mains sur le ventre de Lorène alors qu’il sent ses yeux se mouiller de nouveau. Cela fait combien de temps ?
Lo : Mike, c’est fini…
M : tu as besoin d’en parler à quelqu’un, à moi…
Lo : il me faut du temps, pour…l’accepter. Je me sens si vide, comme si un gouffre dont je ne pouvais voir le fond étais là, au plus profond de moi. Je ne sais pas pourquoi je me lève tous les matins…
Elle craque dans mes bras, elle est si fragile. J’ai l’impression que rien ne pourra la ramener auprès de moi, je la sens fuir. Fuir sa peine et son chagrin, loin trop loin pour que je puisse la réconforter. Je vois mon passé se disloquer au fur et à mesure que je l’entends pleurer, au milieu de ses sanglots, des sons arrivent à mes oreilles. J’ai du mal à discerner. Ou bien j'ai du mal à approuver ce que mon cerveau entend. Elle veut son enfant, son bébé…mon cœur se déchire d’autant à chaques larmes qu’elle verse. Je la berce plus que ne la soutient…je me sens désemparé.
M : parles moi, allez... je suis là, calme toi…je suis auprès de toi…
Lo : je m’en veux tant. J’aurai du faire plus attention.
M : chut, ce n’est pas de ta faute…tu étais avec quelqu’un quand c’est arrivé, tu n’étais pas toute seule au moins.
Lo : L.J. ne m’a pas quitté, et Jane non plus.
M : ils … tu aurais du me le dire, je serai venu dans l’heure. j’étais dehors, j’aurai put…
Lo : Mike, je ne pouvais pas te faire prendre de risque… LJ était bien assez présent.
Je la serre au point de l’étouffer. Elle ne cesse de pleurer. Je veux qu’elle se laisse totalement aller. Les minutes me semblent des secondes…j’ouvre un œil, elle dort paisiblement dans mes bras comme sereine. Notre étreinte s’est défaite naturellement. Elle dort paisiblement, dans mes bras, face à moi. Nos jambes entrelacées. Je parcours son dos avec mes mains. J’en connais les moindres parcelles. Son odeur est si familière, réconfortante, bienfaitrice. Mon cœur semble si léger à son contact. Ses lèvres si douces m’appellent comme des milliers de fois auparavant. Mes mains dans son dos, j’effleure ses lèvres, elle y répond spontanément. Je la rapproche de moi, passe par-dessus son corps encore ensommeillé. Ses mains sous mon t-shirt, je la sens prendre doucement conscience. Ses doigts sur ma peau, elle s’écarte brusquement de moi en me repoussant de ses petites mains sur mon torse. Elle semble hagarde. Je la regarde, plonge mon regard dans le sien…on éclate de rire…
Lo (feignant d’être choquée) : Mickaël Scofield !
M : Lorène Mossé, (avec des yeux taquins) je suis désolé…
Lo : tu ne recommences plus jamais.
Je me noie pour une dernière fois dans ces yeux bleus. Il a voulu être doux, comme il l’a toujours été. Il voulait réparer ses erreurs et par la même occasion…
Lo : C’était un adieu…
M : oui, celui que j’aurais du te faire, il y a quelque mois.
Lo : eh ! je ne veux pas d’histoire moi, Sara…
M : je suis désolé, pour Sara, je veux…
Lo : tu l’aimes !
M (confus) : tu lis en moi ?
Lo : non, faut juste te connaître un peu…elle est bien, mais si elle te fait du mal !
M (souriant) : tu me défendras !
Lo : cela va dans les deux sens Mr Scofield. Je sais que cela ne me regarde pas, mais parle-lui, de tout, confies-toi à elle. Dis-lui tout ce que tu as sur le cœur. Ne remet rien au lendemain.
M : à vos ordres. Tu me surprendras toujours, tu le sais ? je t’aime tellement, tu feras toujours partie de moi, tu es en moi et tu seras toujours avec moi … (montrant son cœur)
Lo : arrêtes, tu ferais mieux de rejoindre ta dulcinée… et dis lui tes sentiments.
On se détache, pour la dernière fois. Je me sens enfin bien, apaisé. Je suis chargé de regrets, de remords sur cet enfant surtout. Mais être avec elle, ainsi, sans animosités. Cela me paraissait impossible. Je dois rejoindre Sara, mais comment lui dire ce que je viens d’apprendre, ce qui s’est passé…il est plus d’une heure du matin, elle doit dormir…j’ai envie de la voir.
Lo : Mike, dans le tiroir de la table de nuit.
M (surpris): quoi ? Non, mais tu me prends pour qui ?
Lo : oh ! Après le film qu’on a vu, je ne pense pas qu’elle se contente d’un petit bisou, prince charmant !
M : vous avez vu quoi comme film ?
Lo (avec les yeux pleins de malice) : je te parle de l’acteur, mon p’tit cœur…
M (décontenancé) : fait de beaux rêves.
Il dépose un baiser tendre et assuré sur mon front. Il s’en va comme il est rentré à pas de velours.
un p'tit LIJA ça vous tente
bon! préparez les mouchoirs
pensée de Lorène : vert
pensée de sara : violet
pensée de Mike : bleu
Mickaël me laisse descendre, sans même me regarder. Son regard est si maussade, morose… je ne sais ce qui c’est passé mais mon dieu, je ne l’ai jamais vu ainsi. C’est vrai que cela ne fait que quelques semaines, mais je l’ai vu dans des situations tellement fortes. Il m’a promis qu’il me dirait, je dois être positive. Déjà, il m’a dit que çà n’allait pas. De toute façon s’il avait dit le contraire je ne l’aurai pas cru. Personne, en bas. Je distingue par la fenêtre, Lincoln dans les bras de Jane. Mickaël n’a pu avoir une altercation avec son frère. Ce n’est pas possible. Je ressens bien les tensions entre eux depuis que l’on est ici, mais non… ils ne peuvent pas être aussi stupides ! !Faut que je trouve un moyen de parler à Lincoln de ces médicaments. Peut-être que Jane est au courant, après tout elles vivent ensemble. Je ne me sens pas l’audace de les rejoindre. Ils sont mignons l'un avec l'autre. On dirait tous les deux des rocs que rien ne peut ébranler mais dès que l’on gratte un peu, ce sont deux grands sensibles. Aussi bien l’un que l’autre, ils font énormément attention aux gens qui les entourent. Cela, à notre insu, souvent. Je réinvestis le canapé, ils ont tout laissé en plan sur la table basse. Bien des mecs…bon, voilà de quoi m’occuper en les attendant : Ranger. Paul, n’a pas finit son café. Je ne peux m’empêcher d’afficher un large sourire.
J : Sara !
S : je voulais vous parler, il y a un petit quelque chose qui me chiffonne !
Ils me rejoignent tous les deux dans la cuisine. Les visages blêmes. Ils s’assoient côte à côte, à table. J’ai l’impression, qu’ils n’avaient pas prévus de me voir. Je suis complètement confuse devant la situation que j’ai créée.
J (se triturant les mains) : oui, alors ?
S : voilà, j’ai vu sur la table de nuit de Lorène, une boîte de médicaments. Elle m’a dit qu’elle n’était pas souffrante, mais son attitude m’inquiète. Elle paraissait troublée.
J : ah ! Je vois… non ne t’inquiètes pas Sara, c’est juste qu’elle à des petits problèmes, des maux de ventre… tu vois des trucs de filles. En regardant Lincoln de biais.
S : j’suis bête parfois… Lincoln, j’ai croisé Mickaël, tout va bien ? Entre vous ?
L (inquiet) : oui, vous l’avez vu, il y a longtemps ? Qu’est-ce qu’il vous a dis ?
S : non, à l’instant on s’est croisé en haut de l’escalier. Il ne m’a rien dit mais paraissait comme dérouté.
J : la fatigue commence à vous faire tourner tous en bourrique !
S : oui, je monte me coucher. Si vous voyez Mickaël, vous lui direz.
L : bien sur Sara. Bonne nuit et merci.
Je lui souris. Je comprends qu’il apprécie mon inquiétude envers eux. Ils semblent contents que je m’en aille, comme soulager.
Je pose ma main sur la poignée. Aucune lumière, seulement celle de la lune. J’avance sans faire de bruit dans cette chambre. Tellement de souvenirs se bousculent dans mon cerveau. J’en connais les moindres recoins. C’était la seule pièce qu’elle ne voulait pas qu’on change, pendant les travaux. Elle me disait toujours qu’elle était parfaite et que c’était notre nid. Mon dieu, je ne me reconnais plus. Elle est là allongée sur le côté. Je sens sa respiration lente et régulière. C’est le seul bruit. Je ne peux plus bouger. Mes jambes pèsent des tonnes, elles n’ont jamais été aussi lourdes. Je referme précautionneusement cette porte. Rien ne dois troubler ce moment. Son dos me fait face, elle doit dormir, sinon elle aurait bougé. Je ne peux pas la réveiller. Pourvu que ses rêves soient doux. J’avance doucement, à pas de loup…je les fais tellement de fois, que s’en est instinctif. J’allais souvent de coucher après elle, au début des cours à réviser, des plans à finir…mais chaque fois que nos peaux se frôlaient, elle ne pouvait s’empêcher de traduire son éveil par de doux baisers dans ma nuque… elles savaient si elle faisait cela je ne lui refusais rien. Pourtant, tout comme aujourd’hui la réveiller me fendait le cœur. Je m’allonge derrière elle, elle ne dort pas, je le sens. Son corps entier réagis. Je passe mon bras sous sa nuque, pour rejoindre ses doigts. Elle les resserre, comme avant. Je me blottis contre elle. Pose ma tête au creux de son épaule. Ses cheveux, cache mon visage, me protègent. Jamais je ne pourrais la regarder droits dans les yeux. Mon autre main se pose, instinctivement, sur son ventre. Elle tressaille, devant cet enlacement. J’appuie fermement ma main, mes doigts passent parfois, entre les boutons de sa chemise. Sa peau est si chaude, douce. Je fonds radicalement. Les sanglots que j’ai voulu réfréner durant toutes ces minutes, se déversent comme des torrents. Sa main se pose sur la mienne, comme pour me dire qu’elle est là. Je sens ses larmes roulées. Je n’ai jamais voulu lui faire du mal.
M : Lorène…
Lo : chut…
Je la sers encore plus contre moi, pour que nous ne fassions plus qu’un. Cela a toujours été ainsi entre nous. Pas besoin de se parler. Elle se brise dans mes bras, je ne l’ai jamais sentie aussi fragile, désemparée… Tous les mots que je voulais lui dire me semblent si pâles à cet instant.
M : je suis désolé, si…
Lo : pas de cela, Mike… tu vaux mieux…
M : je… notre enfant…
Je la sens redoubler de sanglots. On ne maîtrise plus rien. La seule chose dont j’ai réellement envie c’est de rester ainsi. Ne pas lui dire de banalités, on a toujours été au-dessus de cela. Je veux juste partager ma peine avec elle et surtout lui montrer que je suis là… là où j’aurai du être …
Il s’avance à pas de loup, je sens son souffle contre ma nuque. Je sais que c’est lui. Je pourrai le reconnaître entre des milliers. Il pose sa main, sur mon ventre, ces larmes atterrissent sur mon épaule. Mon dieu, il sait…que j’ai perdu mon enfant, son enfant, le nôtre…aucun mot n’arrivent à sortir de ma bouche…j’ai envie de lui hurler de partir, de me lâcher alors que mon corps se cale contre le sien, comme un aimant. La seule chose dont j’ai besoin est là…je réalise à cet instant qu’il est tellement plus facile de lui en vouloir à lui…le haïr, comme je le fais depuis des jours. Alors que personne n’y pouvait rien.
On reste ainsi, un moment qui me semble indéfinis…le temps de tarir toutes les larmes de nos corps. Je le sens comme défais. Je ne voulais pas lui faire endurer cette culpabilité. Elle est bien trop lourde pour lui. Je sèche les sillons creusés par mes larmes. Il s’est lui aussi calmé, un peu. Faut que je lui parle, pour qu’il refrène ses émotions, sinon il ne pourra plus avancer.
Lo : tu n’as rien à te reprocher, Mike…
M (resserrant son étreinte) : Lorène, je suis là maintenant, je ne te laisserai pas
Je le ressens perdu, comme un enfant apeuré. Mon dieu, la dernière fois ou je l’ai vu ainsi, c’est quand on avait appris la condamnation de Linc. Il avait passé la nuit dans mes bras à pleurer. Il aurait voulu se contrôler mais il n’avait pas put. Faut que je le fasse sourire, il ne doit pas s’engouffrer dans le chagrin
Lo : j’aime pas les braqueurs de banque !
M : je n’ai pas envie de rire. Je sais que tu m’en veux, mais faudrait que l’on parle…s’il te plaît ?
Lo : Mike, je comprends que tout se bouscule pour toi, mais … si j’ai un conseille à te donner recentres-toi.
J’ai l’impression de défaillir à chaques mots qu’elle prononce. L’étrange sentiment d’être une ombre, une ombre noire qui répand la souffrance autour de lui. Elle se révèle forte, bien plus que moi. Elle l’a toujours été. Mais elle ne doit pas. J’ai besoin qu’elle m’explique ce qui s’est passé, pourquoi elle n’est pas venue vers moi ? Si elle me hait à ce point pourquoi est-elle dans mes bras ? Je dois savoir si …cela aurait pût être si différent. Toujours dans la même position, je murmure au creux de son oreille. J’ai peur, de la brusquer, de la perdre plus encore. Je sens que ces mots, ont du mal à sortir, tous comme les miens. Chaques sons est entrecoupés de sanglots.
M : que… j’ai besoin de savoir … quand l’as tu appris ? Pourquoi tu ne m’as rien dis ?
Lo : Mike, non je t’en supplie, je peux…c’est trop dur !
M : j’aurais été là !
Lo : Tu n’y étais pas. D’accord c’est ainsi.
M : faut qu’on mette les choses au clair, j’en ai besoin.
J’ai l’impression que je vais exploser. Jamais, jamais je ne t’aurais fais souffrir.
Lo : le jour ou tu m’as annoncé que nous deux, c’était fini…
M : oui…
Lo : tu te rappelles, ce que je t’ai dis en rentrant.
M : oui que «tu avais un p’tit truc à me dire »
Lo : un p’tit, oui. Je revenais juste de l’écho. Je voulais être sur avant de t’en parler. Je ne voulais pas qu’on se refasse une fausse joie.
M : je… tu ne m’as rien dis, si tu l’avais fais
Lo : quoi, tu aurais laissé Linc mourir, peut-être ?
M : je ne sais pas, je suis sur qu’on aurait pu faire un autre plan.
Lo : Mike arrêtes. Je savais ce que je faisais. Quand tu m’as quitté, j’ai mis cela sur le dos de l’exécution de Linc qui approchée. Mais le jour ou tu as braqué la banque, ce jour là j’ai tout compris. Je ne savais pas exactement ce que tu allais faire, mais j’ai su que Linc ne finirait pas ses jours derrière les barreaux. Et, dans un certain sens je crois que je préférais ceci.
M (offusqué) : tu plaisantes ! Je t’ai laissé, toute seule avec notre enfant, et toi cela te vas, pas moi !
Lo : j’aurai préféré expliquer à notre fils que son père avait libérer son frère innocent de prison. Plutôt que de lui expliquer pourquoi son oncle n’était pas là. Par égoïsme.
M (réservé) : un garçon ?
Lo (souriant) : c’est à croire que vous avez perdu le mode d’emploi pour faire les filles !
M : je ne te permets pas…passant ses mains sur le ventre de Lorène alors qu’il sent ses yeux se mouiller de nouveau. Cela fait combien de temps ?
Lo : Mike, c’est fini…
M : tu as besoin d’en parler à quelqu’un, à moi…
Lo : il me faut du temps, pour…l’accepter. Je me sens si vide, comme si un gouffre dont je ne pouvais voir le fond étais là, au plus profond de moi. Je ne sais pas pourquoi je me lève tous les matins…
Elle craque dans mes bras, elle est si fragile. J’ai l’impression que rien ne pourra la ramener auprès de moi, je la sens fuir. Fuir sa peine et son chagrin, loin trop loin pour que je puisse la réconforter. Je vois mon passé se disloquer au fur et à mesure que je l’entends pleurer, au milieu de ses sanglots, des sons arrivent à mes oreilles. J’ai du mal à discerner. Ou bien j'ai du mal à approuver ce que mon cerveau entend. Elle veut son enfant, son bébé…mon cœur se déchire d’autant à chaques larmes qu’elle verse. Je la berce plus que ne la soutient…je me sens désemparé.
M : parles moi, allez... je suis là, calme toi…je suis auprès de toi…
Lo : je m’en veux tant. J’aurai du faire plus attention.
M : chut, ce n’est pas de ta faute…tu étais avec quelqu’un quand c’est arrivé, tu n’étais pas toute seule au moins.
Lo : L.J. ne m’a pas quitté, et Jane non plus.
M : ils … tu aurais du me le dire, je serai venu dans l’heure. j’étais dehors, j’aurai put…
Lo : Mike, je ne pouvais pas te faire prendre de risque… LJ était bien assez présent.
Je la serre au point de l’étouffer. Elle ne cesse de pleurer. Je veux qu’elle se laisse totalement aller. Les minutes me semblent des secondes…j’ouvre un œil, elle dort paisiblement dans mes bras comme sereine. Notre étreinte s’est défaite naturellement. Elle dort paisiblement, dans mes bras, face à moi. Nos jambes entrelacées. Je parcours son dos avec mes mains. J’en connais les moindres parcelles. Son odeur est si familière, réconfortante, bienfaitrice. Mon cœur semble si léger à son contact. Ses lèvres si douces m’appellent comme des milliers de fois auparavant. Mes mains dans son dos, j’effleure ses lèvres, elle y répond spontanément. Je la rapproche de moi, passe par-dessus son corps encore ensommeillé. Ses mains sous mon t-shirt, je la sens prendre doucement conscience. Ses doigts sur ma peau, elle s’écarte brusquement de moi en me repoussant de ses petites mains sur mon torse. Elle semble hagarde. Je la regarde, plonge mon regard dans le sien…on éclate de rire…
Lo (feignant d’être choquée) : Mickaël Scofield !
M : Lorène Mossé, (avec des yeux taquins) je suis désolé…
Lo : tu ne recommences plus jamais.
Je me noie pour une dernière fois dans ces yeux bleus. Il a voulu être doux, comme il l’a toujours été. Il voulait réparer ses erreurs et par la même occasion…
Lo : C’était un adieu…
M : oui, celui que j’aurais du te faire, il y a quelque mois.
Lo : eh ! je ne veux pas d’histoire moi, Sara…
M : je suis désolé, pour Sara, je veux…
Lo : tu l’aimes !
M (confus) : tu lis en moi ?
Lo : non, faut juste te connaître un peu…elle est bien, mais si elle te fait du mal !
M (souriant) : tu me défendras !
Lo : cela va dans les deux sens Mr Scofield. Je sais que cela ne me regarde pas, mais parle-lui, de tout, confies-toi à elle. Dis-lui tout ce que tu as sur le cœur. Ne remet rien au lendemain.
M : à vos ordres. Tu me surprendras toujours, tu le sais ? je t’aime tellement, tu feras toujours partie de moi, tu es en moi et tu seras toujours avec moi … (montrant son cœur)
Lo : arrêtes, tu ferais mieux de rejoindre ta dulcinée… et dis lui tes sentiments.
On se détache, pour la dernière fois. Je me sens enfin bien, apaisé. Je suis chargé de regrets, de remords sur cet enfant surtout. Mais être avec elle, ainsi, sans animosités. Cela me paraissait impossible. Je dois rejoindre Sara, mais comment lui dire ce que je viens d’apprendre, ce qui s’est passé…il est plus d’une heure du matin, elle doit dormir…j’ai envie de la voir.
Lo : Mike, dans le tiroir de la table de nuit.
M (surpris): quoi ? Non, mais tu me prends pour qui ?
Lo : oh ! Après le film qu’on a vu, je ne pense pas qu’elle se contente d’un petit bisou, prince charmant !
M : vous avez vu quoi comme film ?
Lo (avec les yeux pleins de malice) : je te parle de l’acteur, mon p’tit cœur…
M (décontenancé) : fait de beaux rêves.
Il dépose un baiser tendre et assuré sur mon front. Il s’en va comme il est rentré à pas de velours.
un p'tit LIJA ça vous tente
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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fanfic enneade
génial. Tu m'as fait un peu peur, j'ai cru que mick et lorène c'était reparti...
Je veux bien une LIJA
mais j'attend surtout la MISA
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lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Date d'inscription : 06/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
UN PETIT QUOI ? j' ai pas compris
magnifique ta suite
j' en redemande encore , encore , encore et ENCORE
MET LA VITE S T P
magnifique ta suite
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Olala jai été obligé de relir deux fois cette suite premièrement parceque jaime trop et en plus parceque plus je lie et plus jimagine la suiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
C'etait tres emouvant
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 37
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ha ouais moi aussi j'ai flippé pendant un moment lais c'était trop beau cette scène je veux bien une scène LiJa mais d'abord une MiSa avant tout
J'aime trop ta fic magnifique!
J'aime trop ta fic magnifique!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ta suite était vraiment super!!!
Je suis préssée de lire la suite surtout si c'est du misa!
Et du Lija, Oui sa me plairai!!!
A quand la suite????
Je suis préssée de lire la suite surtout si c'est du misa!
Et du Lija, Oui sa me plairai!!!
A quand la suite????
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Moi aussi je veux du LiJa !!! A QUAND LA SUITE ???????
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Waouh magnifique j'ai hate de voir la suite je ve savoir ce kil va dire a sara.
Ne tarde pas trop pour la suite stp
Ne tarde pas trop pour la suite stp
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci pour les comms... j'suis toute retournée
la suite demain, si vous êtes sages!!!
LIJA MISA je sais pas encore en premier...
la suite demain, si vous êtes sages!!!
LIJA MISA je sais pas encore en premier...
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Cool une suite demain!!
Trop contente
Fait le lija en premier et garde nous le meilleur pour la fin!
Trop contente
Fait le lija en premier et garde nous le meilleur pour la fin!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Eh bien vivement demain ca(r cette suite etait tout simplement sublime!!!
Le fait que mick et lorène se soit enfin expliquer c 'est tro beau!!
C'est clair que vu le beau film qu'eels ont vu avec le petit went nu sa vaut le detour!!!!!
vivemetn la suite!!!!!!!!!!!!!!!!
Le fait que mick et lorène se soit enfin expliquer c 'est tro beau!!
C'est clair que vu le beau film qu'eels ont vu avec le petit went nu sa vaut le detour!!!!!
vivemetn la suite!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
super vivement demain
moi aussi je veux du MiSa et du LiJa
moi aussi je veux du MiSa et du LiJa
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
sara60 a écrit:Ta suite tu la met quand?
Je suis préssée moi!!!
Mais trop moi ossi jai dévoré cette suite !!!!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Age : 34
Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
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