je veux juste une nouvelle vie, chap 29

Oui faut absolument reésayer, on sait pas si cétait mieux faut approfondire dans tout les sens du terme comme j'aimerais être a sa place a cette chanceuse, être dans ces bras, plaqué a mur par lui et .... je m'égare!!

Désolé pour mon retard mais j'étais en plein dans mes révisions de français ... J'espère que la suite vous plaira autant que les autres, merci beaucoup pour tous vos commentaires


M : Je ne crois pas non, il ne faut pas abuser des bonnes choses …

W : Ouai mais faut bien que j’en profite un peu quand même.

Je lève les yeux au ciel. Je me décale de ses bras et me glisse à mon tour dans la salle de bain avant qu’il ne me rattrape. L’eau s’écoule doucement sur mon corps ce qui me procure un bien être fou. Enfin je pense plutôt que c’est notre baiser qui me rend autant euphorique. Mes mains se portent à mes lèvres et mes doigts les caresse. Je ne me souviens pas la dernière fois que j’ai été aussi heureuse et bien dans ma tête, ah si je m’en souviens maintenant. Mes lèvres s’étirent en un petit sourire en repensant à ce voyage fait avec ma famille en France. Je me souviens encore des moindres détails de ce voyage, le dernier que nous avons fait, tous unis.

** Flash-Back **

01h23, septième fois que je regarde ma montre en 20 minutes.

M : Maman, quand est ce qu’on décolle ?

Maman : Sois patiente un peu Morgane, les avions sont toujours en retard, et puis il faut le temps de mettre tous les bagages dans la soute … T’inquiètes pas va ! Dans quelques heures nous serons sur le sol français.

** Fin du Flash- Back **

Nous avions décollé dix minutes plus tard. Mon frère s’était endormi, à l’époque il n’avait que 5 ans et nous n’avions pas dormi la nuit dernière. Pour moi il était impossible de dormir tellement j’étais excitée à l’idée de toucher le sol français. Ma meilleure amie voyageait beaucoup et connaissait parfaitement Paris. Elle m’avait même appris quelques mots d’anglais avant que je ne parte, ce qui s’était révélé une tâche ardue.

** Flash-Back **

P : Enfin Morgane, c’est pas si compliqué, répète après moi : bonjour je m’appelle Morgane, et toi ?

M : Bonjouuur I m’apelllllle Morgane et you ?

P: Pff je laisse tomber, faut pas mélanger les deux langues. T’es stupide ou quoi ??

** Fin du Flash-Back **

Le fou rire qui nous avait pris par la suite avait été violent. Pauline venait de me faire une excellente imitation d’une pimbêche de ma classe que Popo et moi ne pouvions supporter. Finalement au bout d’une heure et demi, je savais dire mon prénom et demander celui des autres, je ne mélangeais plus les deux langues. Des coups frappés à ma porte me ramenèrent au moment présent.

W : Balors, qu’est ce que tu fous ?? Ma douche est grande mais quand même…

M : Je te manque déjà ? … Je joue avec les jets … c’est pas moi qui paye la facture alors j’en profite, et puis t’es riche alors bon.

W : Heureusement pour toi que tu as fermé le loquet sinon je serais venu éteindre l’eau moi même.

M : Oh oui quelle chance j’ai eu de penser à bloquer la porte, tu imagines toi ? Tu m’aurais vue toute nue. Ohh quelle horeur.

W : Bah ouvre la porte et je te dirais réellement si c’est une horreur.

J’éclate de rire en entendant sa dernière phrase et pour le faire enrager je ne réponds pas. Mais estimant ma douche suffisamment longue, je coupe l’eau et m’enroule dans une serviette. J’entends ses pas s’éloigner de la porte alors je sors et coure en direction de ma chambre où je bloque la porte. Je pouffe toute seule de rire tellement la situation est grotesque Je m’habille rapidement. Enfin j’essaye mais je ne trouve rien à me mettre. En temps ordinaire, j’aurais mis un vulgaire jean avec n’importe quel tee-shirt, mais là j’avais envie de plaire à Wentworth. Après mûre réflexion, j’opte pour un débardeur blanc en dessous mon gros pull en laine que j’adore et un jean qui met bien en valeur ma taille. Je me maquille légèrement et retourne auprès de lui.

c'est super émouvant!!! j'adore

continue j'aimerai bien connaitre la suite

ENNEADE a écrit:c'est super émouvant!!! j'adore

continue j'aimerai bien connaitre la suite

moi jen aie lue deux dun coup et je dis tout pareil meme plus je veux et jéxige de connaittre la suiiite

miss_sa_69 a écrit:

ENNEADE a écrit:c'est super émouvant!!! j'adore

continue j'aimerai bien connaitre la suite

moi jen aie lue deux dun coup et je dis tout pareil meme plus je veux et jéxige de connaittre la suiiite

Je ne pourrais pas dire mieu je crois!!!!!!!!!!!
Et je suis de votre avis!!!!!!!!!

Merci beaucoup pour vos coms ^^ la suite ce soir si l'orage se calme un peu ... ( j'aime pas laisser mon ordi allumer quand y'a de l'orage)

M : me voilà !
W : Ah bah enfin. On va pouvoir bouger. Bon que me proposes-tu ?

M : Hey ce serait plutôt à toi de me faire visiter, souviens toi, je suis une londonienne et non une américaine. Donc fais moi découvrir les environs.

W : Très bien, alors on fait un saut rapide à l’hôpital, ensuite je t’emmène à Disneyland, sa te va ?

M : Pas de problèmes. Laisse moi le temps de trouver mes chaussures et mon manteau et on est partit.

L’idée de went me rend folle. Je n’ai été qu’une seule fois dans un parc d’attraction et c’était à Paris, le Parc Astérix si je me souviens bien. J’avais adorée et j’espérais que Disneyland était dans le même style. Je me doutais bien à quoi cela ressemblait mais aucune de mes amies n’y avaient jamais été pour me raconter et je me suis toujours refusée de croire ce qu’il y a sur une photo sans l’avoir vu de mes propres yeux.

Notre premier arrêt à l’hôpital aura durer un peu plus longtemps que prévu. Le médecin est resté pas mal de temps dans son bureau avec Went pour discuter. Pendant ce temps-là, j’ai fait la « connaissance » de Mme Miller. Son visage était pâle et elle avait les traits tirés, ses mains étaient tiède. Je sais que cela peut paraître stupide mais je me suis présentée devant elle. Je lui ai raconté aussi ma rencontre avec Went et lui ai précisé qu’elle lui manquait énormément. Peu après, Went est arrivé dans la chambre ; j’ai rejoint notre voiture pendant qu’il restait auprès d’elle quelques minutes.

Went est revenu et nous voilà partis en direction de Disneyland. Il n’a pas ouvert la bouche depuis qu’il est revenu, enfin non j’exagère, il m’a demandé 3 fois si j’allais bien. Depuis un silence dans la voiture, ce n’est pas du tout un silence gênant. Went est plongé dans ses pensées, sûrement sur ce que le médecin lui a dit. Son visage est concentré sur la route, ses yeux légèrement froncés le témoigne, sa main gauche sur le volant, l’autre est posé négligemment sur le levier de vitesse. Ah ces mains. J’adore ses mains. De longs doigts fins, pas poilus. Je me surprends a penser à cette main et ces doigts parcourant mon corps. Mes joues s’enflamment, je tourne la tête sur le paysage pour pas qu’il s’en aperçoive.

Sa fait vingt minutes maintenant que nous roulons et il nous en reste encore vingt. Il n’a pas bougé depuis tout à l’heure alors que moi je tourne dans tous les sens. Mes pensées affluent en masse dans mon esprit et m’embrouillent. Pour vous dire, sa doit bien faire cinq minutes que mon cœur bataille avec mon cerveau pour savoir si je dois oui ou non prendre cette adorable main sur ce putain de levier. Oh et puis zut, Morgane, tu n’est plus une gamine. Je me redresse et pose ma paume sur la main de Went. Il a sursauté. Ohoh mais pourquoi j’ai fais sa … pourquoi. Eh attends, il entrelace ses doigts aux miens. Oh mon dieu, mon cœur va exploser, je lève les yeux sur son visage et lui offre mon plus beau sourire. Ce qui le fait sourire lui aussi. Et nous voilà comme deux idiots à se dévisager un grand sourire aux lèvres dans une voiture. D’ailleurs vaudrait peut être mieux pour nous qu’il regarde à nouveau la route. Comme s’il avait entendu mes pensées, il tourne son visage et se reconcentre sur la route tandis que je repars dans ma contemplation du paysage comme tout à l’heure mais cette fois-ci avec un sourire.

so cute

TRop craquant ce passage!!!!!!!!!!!
Vivement le prochain!!!

BAAAAAAAAAAAAAAAAAa cest trooop chouXXXXXXXXX pour quand ta longueee suiiite hein diiit?????????????

Nous arrivons sur le parking déjà bondé par le monde. Nous luttons pendant au moins dix minutes pour se trouver une place. Notre voiture est rempli par des éclats de rire, Went et moi ne faisons que nous moquer des personnes alentours. Il faut bien dire qu’il y a des cas, on se demande où ils ont pu avoir leur permis. Nous sortons enfin de cette voiture et suivons la masse de monde vers les caisses. Went enfile une casquette et une paire de lunette quand certains regards se font insistants. Je commence à penser que ce n’était pas forcément de venir dans cet endroit bondé de monde et plus particulièrement de fans de Wentworth Miller. Went me sourit et me prends la main. Ce simple geste me rassure. Went me passe l’argent et je paye nos tickets d’entrée, après tout, mieux vaut ne pas tenter le diable en envoyant Went. Je rigole intérieurement des regards des autres femmes. Elles le regarde toutes avec admiration, c’est vrai que c’est un bel homme, très bel homme même mais je suis persuadée et personne ne me fera changer d’avis que personne ne le dévisageait comme aujourd’hui avant qu’il ne joue dans Prison Break. Il y avait peut être quelques femmes qui se retournaient sur son passage mais pas une horde de filles hystériques et baveuses. Le temps que je le rejoigne, une fille l’avait accosté. Je ne rêve pourtant pas, elle lui fait du rentre dedans. Mes sourcils se lèvent quand je la vois se coller contre lui. Je sens le feu monter en moi quand je le vois sourire. Finalement je me détend et décide de jouer moi aussi puisque c’est bien ce qu’il fait en ce moment. Je m’approche d’un pas déterminé vers ce « couple » ragoûtant et horrible.

M : Hum .. hum

La femme se retourne vers moi, ah c’est horrible, il a du lui falloir une bétonnière pour appliquer tout ce maquillage. Oh là, elle n’a pas l’air contente, ses yeux se froncent méchamment et creusent une ride sur son front. Ses lèvres se pinces et son joues deviennent légèrement rouge, peut être sous l’effet de la colère. Pourtant je n’ai encore rien dit, sa va être un jeu d’enfant de la faire sortir de ses gonds. Went lui me regarde amusé, je m’étonne de comprendre aussi facilement les expressions de son visage alors que ses lunettes en cache une bonne partie et que je ne le connais pas depuis si longtemps.

Femme : Qu’est ce que tu veux toi ? Retournes joué à la poupée, je suis occupée.

Complètement abasourdie par sa réponse, je met un certain temps à me reprendre et tenter de refouler le fou rire à plus tard. Même au collège je répondais mieux.

M : Hum .. oui et c’est bien ce qui m’embête parce que vois tu, je suis avec le jeune homme.

F : Ah ah ah ah mais bien sûr et moi je suis la cousine de la reine d’Angleterre, que veux tu qu'un homme comme lui fasse avec une personne comme toi !

M : Franchement j’en ai rien à foutre, tu peux être la cousine de n’importe qui, sa n’empêchera pas le fait que le mec face à toi est déjà pris, du moins pour la journée alors bouge ton derrière et ta face de truie peinturée et dégage voir ailleurs si j’y suis.

Je tente de garder un minimum de self-contrôle mais tout en elle me dégoûte. La voir toujours collé contre lui m’exaspére et fait monter la colère en moi déjà bien présente. Went ne réagit toujours pas, ne la repousse pas, ne parle pas ce qui ajoute encore plus à ma colère. J’aurais réellement apprécié de le voir la décollé et l’envoyer balader, après tout on est ensemble non.

F : Mais pour qui tu te prends, sale gamine, je t’ai prévenu de retourner dans ton bac à sable, sinon tu vas subir la colère de Aurélie Blanchefort. Alors maintenant casse-toi avant que je ne t’en colle une et abîme ta jolie face.

Je la défis du regard d’oser s’approcher de moi, je suis peut être plus jeune et plus petite qu’elle mais sans me vanter je parais quand même plus intelligente qu’elle. Je la regarde de haut en bas, je souris méchamment.

M : Effectivement sa doit être impressionnant de voir une hystérique en colère mais je ne vois pas trop comment tu pourrais me faire du mal. Tu es tellement serrée dans tes habits que tu ne pourrais même pas lever la main jusqu’à mon visage sans faire craquer ton manteau et ton jean n’en parlons pas. Sans compter que tes échasses ne te permettraient pas de me courir après. Donc tout sa pour dire que tes menaces ne me font pas peur, de plus tu devrais apprendre à canaliser ta colère parce que je n’ai pas dit grand chose et tu es complètement en pétard, ce qui confirme ma théorie sur ton hystérie. Par contre je te le répète dégage d’ici, vois tu je voulais passer une bonne journée avec mon copain et tu commences légèrement à gâcher ma journée.

Son visage se ferme au fur et à mesure de mon monologue, ses yeux lancent des éclairs, je crois que je l’ai vraiment énervé cette fois. Je lui offre mon plus grand sourire colgate puisqu’elle ne répond pas. Ses lèvres tremblent et ses poings se ferment. Les gens passent à côté de nous sans s’arrêter même si quelques regards s’attardent cette fois sur cette femme et moi et non sur Went.

F : Sale pute, tu vas regretter ce que tu viens de dire.

Elle brandit son poing en l’air et se dirige rapidement vers moi, je tente de garder mon sourire même si j’avoue qu’elle me fait peur. Je l’attend, prête à me décaler au dernier moment pour éviter la gifle qui semble m’attendre. Trois …. Deux …

… Une main l’empêche de continuer. Enfin il est intervenu. Ses lunettes sont relevés sur son crane ses yeux se sont nettement assombris. Il ne semble plus du tout amusé. Ses lèvres sont contractés, il fixe la femme sans sourcilier tandis que cette dernière baisse le regard.

W : N’espères même pas la toucher, maintenant tires toi.

Je suis soulagée de la voir partir mais aussi frustrée qu’il ne soit intervenu que maintenant. Une fois cette femme hors de vue, il se retourne penaud vers moi. Mes bras sont croisés sur ma poitrine et je le fixe assez durement. Il relève la tête et me regarde mais ne dit aucun mot. Je soupire, lui tend son ticket et me retourne pour passer les caisses. Je le sens proche dans mon dos, bien trop proche. Il m’enserre par la taille et m’empêche d’aller plus loin.

W : Je suis désolé, tu me fais la tête ?

Sa voix n’a été qu’un murmure dans mon oreille. Je ferme les yeux un instant et me retourne vers lui.

M : On peut y aller maintenant et oublier cette bonne femme.

W : Bien sûr, alors par où veut tu commencer.

On s’arrête devant une carte sur un panneau, je regarde attentivement les différentes parties pour en choisir une. Went m’enserre toujours la taille, ses lunettes de nouveau sur son nez. Je choisis finalement de commencer par Fantasyland. J’ai toujours adoré les contes de fées. Went me suit en souriant.

La matinée est passé très rapidement entre notre altercation, les queues, les manège, de nouveau les queues puis les manèges. Nous avons ensuite été à Adventureland où Went m’a fait monté dans des manèges que je n’aurais jamais fait avant. Mais sa présence me donne des ailes et je me sens prête à tout pour lui, pourvu que cela dure. Nous marchons maintenant main dans la main dans Main Street . Mon ventre se mit à gargouillé assez fortement ce qui fit rire Went.

W : bon on va chercher un restaurant.

Nous sommes rentrés dans un restaurant un peu ancien style FarWest, de la musique country passait en boucle. Il y avait du monde mais pas énormément non plus. La décoration rendait le lieu attirant et chaleureux. Nous nous sommes assis dans un coin et avons commandé. Went a pu retiré sa casquette et ses lunettes. Pendant le repas nous avons parlé de tout et de rien, de nos vies passées, de nos espoirs et attentes pour l’avenir. Nous flirtions aussi beaucoup, se taquinant l’un l’autre. Nous en étions maintenant au dessert, il tentait par tous les moyens de me déstabiliser, me faire rougir à cause d’un petit défi entre nous. Je lui souriais mais à aucun moment ne défaisait mon regard du sien. Au bout d’un petit moment, je fis glisser mon pied sur sa jambe, en temps ordinaire je ne suis pas expansive en public mais là la nappe descendait jusqu’au sol, et j’étais loin d’être en temps ordinaire. Sa réaction m’étonne, il commence à s’étouffer. Je retire aussitôt mon pied et pouffe de rire.

M : Sa va aller ?

W : Oué … bon sa suffit, arrête de pouffer comme cela, tout le monde nous regarde.

M : Mais ils nous regardent toutes les cinq minutes depuis qu’on est rentré, tu n’as rien remarque ?

W : Nan je n’arrivais pas à détacher mon regard de la beauté en face de moi.

Mon rire se stoppe net, je me retourne pour voir ce qu’il y a derrière moi mais je me retrouve face à une plante. Je comprends enfin qu’il parle de moi lorsque j’entends son éclat de rire. Mes joues s’enflamment, de nombreuses personnes nous regardent pour comprendre ce qui peut autant faire rire l’acteur élu l’homme le plus sexy de l’année. Je me retourne doucement et avale mon verre d’eau cul sec. Went s’arrête enfin de rire et me regarde presque amoureusement. Son regard me trouble et c’est à son tour de venir poser son pied sur ma jambe.

M : Merci du compliment … Je … Je n’avais pas compris que tu parlais de moi !

W : J’avais cru comprendre. Je règle l’addition et on y va ?

M : Ok, je vais aux toilettes en t’attendant.

Les W.C sont presque désert, une femme d’un certain âge me sourit amicalement lorsque je rentre. Quand je ressort pour me laver les mains elle est encore là.

F : Gardez le bien celui-là , vous avez bien de la chance, beaucoup de femmes tueraient pour être à votre place.

Je souris à l’entente de sa remarque.

M : Je vais essayer, la pression autour de nous est assez forte quand même, nous avons plusieurs années d’écart et les paparazzis ne sont pas forcément amicaux il paraît.

F : Effectivement, je suis moi même journaliste. Mais si je peux vous donner un conseil : vivez à fond votre amour, les paparazzis finiront par le lâcher lorsqu’il ne sera plus célibataire et l’âge n’est qu’une formalité. Sur ce bonne journée, je m’en vais retrouver mon homme.

Après un dernier clin d’œil, elle referme la porte derrière elle. Cette conversation était plutôt surprenante, une parfaite inconnue me donne des conseils pour garder l’homme que j’aime près de moi. Oh et puis je ne vais pas m’en plaindre après tout, c’est toujours mieux que l’hystérique de tout à l’heure.

Je rejoins Went au dehors, sa casquette est de nouveau vissée sur sa tête ainsi que ses lunettes. Je place mon bras autour de sa taille et nous voilà reparti pour notre exploration. Nous continuons de marcher et de faire des attractions ainsi toute l’après-midi. Quelques personnes demandèrent des autographes, dans ces moments-là, je me mettais toujours en retraits et j’attendais qu’il est finit. Il fit deux photos avec deux personnes différentes. Toujours souriant, toujours aimable, j’avais surtout l’impression qu’il jouait un rôle, peut être parce qu’il m’avait déjà confié que les autographes étaient ce qu’il détestait le plus dans son métier avec les paparazzis mais c’était réellement un bon acteur et les fans ne semblaient pas le remarquer. Les papiers signés et la photo prise nous repartions bras dessus bras dessous. Un enfant d’environ 7 ans vient à son tour lui demander s’il peut le prendre en photo, ses parents pas loin derrière. Je m’écarte donc de nouveau quand le petit m’interpelle.

Enfant : Bah vous allez ou, je vais pas le prendre tout seul, vous êtes son amoureuse nan ? Donc faut que vous soyez sur la photo et puis vous êtes plus jolie que lui.

Je lui souris et me remet dans les bras de Went. Le flash est tellement fort qu’il m’aveugle quelques secondes. Le petit nous remercie et me demande un bisou. Je rigole et lui embrasse la joue, il repart en courant dans les bras de sa mère et les trois s’éloigne.

W : Si tous les fans pouvaient être comme cela, ce serait super …

M : Effectivement, c’est le premier qui m’a demandé un bisou, c’était tellement mignon.

W : Bah j’espère bien que ce sera le dernier, non mais ho, tu n’es plus célibataire, navré pour toi. Et puis les bisous quand ils sont comme sa, c’est bon mais face à des ado hystériques, les bisous tu les gardes pour toi.

J’éclate de rire face à la grimace qu’il fait en même temps qu’il parle. Nous repartons vers la voiture collés. Je m’affale dans la voiture et essaye de compter le temps qu’il me reste avant de retrouver mon lit. Alors nous sommes à quarante kilomètres de Los Angeles, une fois arrivé, il faut bien dix minutes pour rejoindre mon appartement, vingt pour celui de Went. Je crois qu’on ira dans le mien, c’est le plus proche.

M : Dis, sa ne te dérange pas d’aller qu’on aille dans mon appartement ?

W : Le mien ne te plaît pas ?

M : Le mien est plus proche, donc mon lit est plus proche que le tien et je suis tellement épuisée que je veux être au plus court dans ma couette.

J’entends son rire que j’adore tant.

W : Ok, y’a pas de problèmes, cap sur ton appartement.

Wouah pour une fois j'ai bien tapé lool ...

enneade, miss sa et nestella merci beaucoup pour vos commentaires

oh!!! ils sont trop mignons... je veux bein allez à disney aussi!!!

et puis la journaliste dans les WC c'est énorme!!!

si tu pouvez envore nous en mettre!!! ce serait rop bien!!!

ENNEADE a écrit:oh!!! ils sont trop mignons je veux bein allez à disney aussi!!!

et puis la journaliste dans les WC c'est énorme!!!

si tu pouvez envore nous en mettre!!! ce serait rop bien!!!

tu dis tout le temps ce que je veux diiiire ma titine méchante

Bravoo a toi la suiiiiteee
Ps: moi je veux faire minie

va falloir ty faire MISS SA!!! je passe d'abord!!!

sinon Ponou... je viens de relire et je sais pas mais je trouve cela trop beau!!!

tu nous prépare un coup!!! je le sens bien!!! ils se sont fais photographiés!!!la différence d'âge!!! le sujet arrive là innocement mais peut-être pas si innocement ???

Mdr Enneade mais si tu devines tout c'est pas marrant

Moi aussi, j'adore, je suis accro et j'ai hâte de lire la suite !

Merci soso burrows, je vais essayer de refaire une suite ce soir mais bon vous inquiétez pas pour Went et Morgane après tout ils ont déjà eu plein de malheurs enfin surtout Morgane donc je lui laisse un peu de répit pour le moment

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA j'ai tout lu trop bien, j'ai bien cru que la cinglé elle allait en mettre une a Morgane Went a été un peu d'attendre comme ça allez direction chez Morgane, ils ne vont pas faire que dodo hein??

Mdr bien sûr ke nan mais j'ai un peu de mal à finir cette partie ...

Contente de te revoir parmi nous Amaria

Elle dort trop cette fille là!

J'attends la suite!!!

Bon finalement c'est pas pour ce soir la scène croustillante lol, j'ai préféré coupé la partie en deux pour faire durer le suspense

Une heure et demie plus tard nous arrivons enfin dans mon chez moi. Je suis légèrement sur les nerfs à cause de ces imbéciles au volant qui créaient des accidents et donc des embouteillages. Ce qui devait durer trois quart d’heure a duré une heure et demie. Je laisse la porte ouverte pour Went et m’affale dans le canapé, je suis autant affamée qu’épuisée mais je n’ai même plus la force de préparer des sandwichs. Je me tourne vers Went et le voit qui me sourit.

W : J’ai faim

M : Cherche dans le réfrigérateur quelque chose

W : Quoi ! Tu ne prépares même pas a manger … C’est pourtant ton rôle de femme non !

Je fronce les sourcils, il est pas sérieux là. Je me relève et vient me poster devant lui, je ne sais toujours pas comment réagir. Son visage est fermé mais ses yeux reflète plutôt un certain amusement. Finalement je pars en direction de la cuisine un petit sourire au coin des lèvres. Je l’entends pouffer derrière moi. Ma vengeance sera terrible. Je fais cuire des pâtes et un steak haché. Pendant ce temps, je lui prépare une petite salade maison remixée à ma manière. Je jette un œil vite fait pour vérifier qu’il n’est pas dans les parages et coupe rapidement des piments extra fort. Je les ajoute à ma salade déjà bien arrosée. Je retourne dans le salon 20 minutes plus tard. Je lui lâche plus que je ne pose le plateau sur la table basse. Il me regarde étonnée et commence à begayer.

W : Mais qu’est ce que … Morgane … Je rigolais… Je n’ai pas f…..

M : Ah nan, tu vas pas me dire que tu n’as pas faim alors que sa fait vingt minutes que je te prépare à manger alors maintenant tu vas manger tout et tout de suite.

Je le vois avaler sa salive, et regarder ce qu’il y a sur le plateau puis finalement il sourit et prend sa fourchette.

W : Bien madame.

M : Mademoiselle

Je m’assois à côté de lui et fais mine de regarder la télé alors que je ne veux louper aucun moment de sa dégustation. Je souris intérieurement en l’entendant s’étouffer.

M : Bah qu’est ce qu’il t’arrive, faut aussi que je te fasse manger ?

W : Wouah, mais qu’est ce que t’as mis dans cette salade.

Son poing serré devant sa bouche le rend assez touchant. Merde il a un haut le cœur, il va quand même pas vomir ; nan c’est bon l’eau qu’il vient d’ingurgiter semble le calmer. Il me regarde avec de gros yeux qui me font plus sourire que peur. Je prend un air outré et met mes poings sur mes hanches.

M : Nan mais c’est va là ! Tu m’ordonnes de te préparer à manger et ensuite tu critiques, tu n’es pas au restaurant, si sa ne te plaît pas dégages.

Il semble perdu, ses mains tripotent nerveusement le bord du plateau et ses joues rougissent quelque peu. J’éclate de rire devant ce tableau, je n’arrive plus à me retenir. Maintenant il doit me prendre pour une folle qui change d’humeur toutes les cinq minutes. J’aurais peut-être du faire actrice, il est tombé à fond dans le piège.

M : Allez tu me fais un peu pitié comme cela, je t’ai fais une petite salade maison remixée à ma manière. Tu as dans ton assiette une salade qui a nagée dans du vinaigre, des tomates poivrées et des piments extra forts. Le tout bien salé.

W : Je vois, c’était une vengeance.

M : Exact, tu comprends vite c’est bien.

Je souris, lui commence à comprendre qu’il s’est bien fait avoir.

W : Dis moi, pour le reste, c’est plus naturel ou tu t’es lâché ?

M : Alors pour les pâtes, je les ais juste énormément salée et pour le steak par contre je n’ai rien rajouté de louche.

W : Manges en un bout avant moi … s’il te plaît.

Je le regarde étonné et finalement coupe un bout que je fourre dans ma bouche. Je le fixe sans relâche en mastiquant ma viande. D'ailleurs elle a un goût de grillé, il va pas être content ( désolé je rigole toute seule :p ). Une idée me trotte dans la tête depuis déjà quelques secondes mais est ce que je vais réellement le faire. Oh et puis zut, je n'ai rien à perdre. Je reprend un bout et met la moitié de ma bouche. Je m'approche de Went et l'embrasse. Il croque dans le steak et se dégage. Son sourire me fait fondre sur place.

W : Il est un peu grillé mais ce n'est pas si mauvais, recommence pour voir.

Je lui souris à mon tour et recommence l'opération. Il croque à nouveau et s'écarte aussitôt.

W : Mué finalement ce n'est pas une si bonne idée, on arrête et on passe au dessert.

Je le regarde amusée, il n'y a pas de dessert sur la table. Ni dans mon frigo d'ailleurs.

M : Euh bah écoute le seul dessert que je peux te proposer c'est une pomme. Et encore je ne sais pas si elle est encore mangeable.

W : Bah à vrai dire, je ne pensais pas vraiment à sa.

Son air coquin ne trompe pas. Mais est ce que je suis vraiment prête à aller jusque là avec lui. Pour mon corps aucun problème, dans mon coeur non plus mais ma tête, elle, ne semble pas prête. Je n'arrive pas moi même à comprendre pourquoi puisque je l'ai déjà fait avec mon ex petit ami. Mais en même temps j'étais avec lui depuis déjà deux mois tandis que Went sa ne fait que quelques jours. Et puis si je couche avec lui sa officialisera notre relation et est ce que je suis prête a cela. Des baisers ce n'est rien, sa pourrait être un jeu pour lui comme pour moi. Je ne suis pas prête à m'engager, pas encore.

Je m'apprête à lui dire quand ses lèvres chaudes se posent sur les miennes. Son baiser est tendre et doux. Mes mains se placent sur les contours de son visage. Sa langue force peu à peu le passage et carresse la mienne. Je soupire. S'il continue comme cela, je ne pourrais jamais le repousser. Ses mains se posent sur mes hanches et me rapproche tout doucement de lui. Je frémis sous le contact de ses longs doigts qui parcourent mon dos. Il plonge dans mon cou et me sert contre son torse. Mon Dieu, qu'est ce que je peux faire ?

Alors qu'est ce que je fais ??

Choix 1 : Morgane s'enfuie en courant lool
Choix 2 : Elle se lâche et il passe leur première nui ensemble