je veux juste une nouvelle vie, chap 29
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
c'est magnifique tout en retenu!!!
pauvre Morgane... elle les accumule!
et Went ne l'aide pas... mais il essaye de se préserver le pauvre... mais on dirait que ses barrières sont en train de tomber...
ne tarde pas trop à mettre la suite... j'adore ta fic
pauvre Morgane... elle les accumule!
et Went ne l'aide pas... mais il essaye de se préserver le pauvre... mais on dirait que ses barrières sont en train de tomber...
ne tarde pas trop à mettre la suite... j'adore ta fic
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
oula elle se sent plus morganne
en tout cas jolie (petit) rapprochement avec went mais sa a pas durer vivement qu'ils s'expliquent plus serieusement et se remettent ensemble ils ont deja perdu 3ans alors la faut les bouger un petit peut!!!
j'adore ta fic il va falloire que tu mettes une suite car la j'en peu plus!!
en tout cas jolie (petit) rapprochement avec went mais sa a pas durer vivement qu'ils s'expliquent plus serieusement et se remettent ensemble ils ont deja perdu 3ans alors la faut les bouger un petit peut!!!
j'adore ta fic il va falloire que tu mettes une suite car la j'en peu plus!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
j'ai lu toute ta fic et j'adore vivement la suite
scratoune- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 27/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Le trajet de retour se fait dans le silence. Je ne cesse de repenser aux évènements de ces deux derniers jour. J’avais mis trois années à tenter d’oublier, trois années réduites à néant en une après midi. Went ne décroche pas un mot pour apaiser l’atmosphère mais il ne cesse de jeter des coups d’œil sur moi. Mon regard, lui, ne se détache pas du paysage. Voiture, immeuble, ciment, encore voitures et quelques piétons. Quelle vue magnifique. Depuis combien de temps, je n’ai pas vu la vrai nature, les arbres, l’herbe à perte de vue, de jolies petites fleurs de pré, des papillons. Pourquoi je pense à tout cela maintenant. C’est une bonne question. Un mec hyper sexy est à côté de moi et moi je pense aux papillons.
Je soupire et me redresse sur le siège. La nuit a été courte et je sens encore les plis du canapé dans mon dos. Je m’étire le dos et les bras et me relâche en soufflant fort. Il ne dit rien mais je remarque son petit sourire amusé. Nous venons de passer devant mon appartement pourtant il ne s’arrête pas. Je le vois rouler sans même savoir où il va puisque j’ai déménagé depuis la dernière fois. Sentant une bonne occasion de s’amuser, je le fixe longuement jusqu’à ce qu’il lâche sur le bout des lèvres.
Tu comptes mes poils.
Je souris à sa remarque. Oui, je vais pouvoir rire.
Non, je me demandais juste où on allait.
Question idiote, chez toi bien sûr.
Je répète, où ?
Il ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Je pense qu’il commence à comprendre où je veux en venir. Ses lèvres s’élargissent en un fin sourire. Un sourire à croquer tellement il est sexy, j’ai beau ne pas l’avoir vu pendant plusieurs années, il n’a pas perdu l’effet aimant qu’il avait sur moi.
Ok, tu as gagné. Où habites tu ?
Je ne sais pas si je peux te le dire, tu pourrais venir me persécuter.
Bien sûr, et puis si tu re disparaissait un jour, je ne pourrais pas te retrouver.
…
Went.
Oui.
Je suis désolée.
Indique moi au moins par où je dois aller.
J’habite sur la 46 ° Est.
Bien.
Il se re plonge dans sa conduite. Je repose ma tête sur l’accoudoir et regarde défiler les voitures. Nous arrivons enfin, il se gare, coupe le moteur et attend.
Tu veux monter.
Je ne sais pas si c’est une bonne idée.
Viens juste prendre un café, s’il te plaît.
Il soupire mais sors de la voiture. Je descends à mon tour et rentre dans l’immeuble rapidement pour pas que l’on se fasse repérer. Même s’il est beaucoup moins médiatisé qu’auparavant, il n’est pas rare de le voir apparaître en couverture des magazines people. Il faut bien dire que ses nombreuses « relations » ont permis aux journalistes de pouvoir enfin discréditer le grand Wentworth Miller.
La cafetière est dans la cuisine, tu trouveras tout ce qu’il te faut dans les placards, je me dépêche pour prendre ma douche et je te rejoint.
Je t’attendrais.
Je souris et pars chercher des affaires propres dans ma chambre avant d’aller sous la douche. L’eau chaude me transporte littéralement après la journée de folie que j’ai passé hier. Pourtant je ne reste pas longtemps à ne rien faire sous le jet brûlant. Went m’attend et pour la première fois depuis longtemps, je sens suffisamment de courage en moi pour lui expliquer mon comportement. Le visage dans le miroir me paraît différent. Je me trouve différente.
Morgane, tu dérailles.
Je m’habille rapidement et pars le rejoindre dans le salon. Deux tasses trônent sur la table, l’une est vide, l’autre est pleine. Je le remercie pour le café et m’installe face à lui dans un des fauteuils.
Je crois qu’on y est … J’ai tellement de choses à dire que je ne sais pas par où commencer, et je ne suis pas très doué pour les déclarations alors je vais tenter de faire vite. S’il te plaît, ne m’interromps pas… D’abord, tu dois savoir que je t’en ai voulu énormément, encore aujourd’hui je crois bien. Ce soir-là, tes paroles m’ont complètement détruites. J’avais l’impression que plus jamais je n’aurais droit au bonheur, qu’à chaque fois que je penserais l’atteindre, on me l’enlèverait brutalement. Pendant ton mois de tournage j’ai voulu me jeter par la fenêtre. Heureusement une amie est arrivée et m’en a empêché. Depuis, je vis ici avec elle. Elle s’appelle Monica et c’est elle qui m’a sauvée. Elle m’a empêché de sombrer, toujours là au bon moment sans pour autant s’imposer, je lui dois tellement … J’ai commencé à me reprendre, je voulais lui faire plaisir et montrer que je pouvais être quelqu’un de bien. Je me suis jeté corps et âme dans mes études pour t’oublier, oublier que mon cœur était une nouvelle fois en miettes, et ça a plutôt bien marché. Après l’obtention de mon diplôme, je voulais m’amusé, ne pas rater ma jeunesse pour des études, du coup j’ai enchaîné les soirées en boites, les mecs d’une nuit. Là tu vas sûrement me prendre pour une pétasse et tu aurais raison car c’est aussi l’opinion que j’ai de moi, du moins avait. Mais tout cela me plaisait, je n’avais aucune contrainte, aucune peur de souffrir, de m’attacher et d’être abandonné par la suite … Jusqu’à cette nuit là. Je ne suis pas fière de m’être sauvée le lendemain mais que voulais tu que je te dise. « Hé, sa va ? La nuit t’as plu ? ». Je ne pouvais pas rester, je me suis une nouvelle fois enfuie et comme tu l’as dit hier, c’est ma spécialité. Parce que faut pas croire que je sois forte ou quoi que ce soit. La vérité, c’est que je suis lâche. Je n’assumes rien, au moindre obstacle je m’enfuis au galop. Par la suite, je me suis calmée, je ne sortais plus en boite, j’avais trop peur de retomber sur toi. Une petite routine s’est installée entre mon boulot et Monica. Je n’ai pas réussi à trouver de petits amis corrects, j’imagine que je te cherchais à travers eux. Enfin bref, voilà, tu sais pratiquement tout sur ces trois dernières années.
Il reste stoïque. Je me plonge dans le dossier du fauteuil pendant qu’il assimile tout ce que je viens de lui dire. Il se redresse sur le canapé et pose sa tête dans ses mains, supportés par ces coudes sur ses genoux.
Bien, c’est à mon tour. Je t’en veux aussi énormément mais je m’en veux à moi aussi. Tu ne peux même pas imaginer le poids de culpabilité et de colère que je porte chaque jour depuis que tu es partie. Sur ce point, on est à égalité. Nous nous sommes détruits en nous éloignant l’un de l’autre. J’aurais jamais cru pouvoir tomber aussi rapidement amoureux de quelqu’un et pourtant, je t’aimais à en crever. Tu n’as pas été la seule Morgane, j’étais aussi perdu que toi. J’ai fais une grosse dépression, je passais mes soirées affalé devant la télé avec plusieurs bouteilles de whisky pour me tenir compagnie. Amaury et Dominic m’ont convaincu d’aller à des réunions d’alcooliques anonyme. J’ai déballé ma vie devant ces gens, moi qui déteste cela, mais pourtant tout cela m’a énormément aidé. J’ai arrêté de boire, même s’il m’arrivait de temps en temps de boire un verre lors de soirées. Puis j’ai fait le tour des boîtes de la ville, pourquoi je ne sais pas, j’en avais seulement besoin. Et je t’ai revu. Ce soir-là, j’étais sobre et je te savais soule. Pourtant je n’ai pas su me contenir, tu me manquais tellement, et te sentir danser contre moi a réveillé mes sentiments. Je ne me contrôlais plus et toi non plus, tu tenais à peine sur tes jambes. La suite, tu la connais. Jamais je n’avais ressentis cela pour personne d’autre. Je suppose que tu as du voir certains journaux, j’étais toujours à l’affût d’une nouvelle fille pour t’oublier mais je n’ai jamais réussi à trouver quelqu’un qui puisse t’égaler … Je vais t’en demander beaucoup mais s’il te plaît, dis moi que tu veux bien nous laisser une deuxième chance. Ces trois années ont été un calvaire, autant pour toi que pour moi. En ce qui me concerne, je ne peux pas vivre sans toi. Alors, oui, il y a treize années qui nous séparent, oui, je suis célèbre et toi inconnu, et oui, on ne se connaît pas tant que cela. Mais je sais que je t’aime et c’est la seule chose qui compte pour moi, le reste on apprendra à faire avec.
…
Je soupire et me redresse sur le siège. La nuit a été courte et je sens encore les plis du canapé dans mon dos. Je m’étire le dos et les bras et me relâche en soufflant fort. Il ne dit rien mais je remarque son petit sourire amusé. Nous venons de passer devant mon appartement pourtant il ne s’arrête pas. Je le vois rouler sans même savoir où il va puisque j’ai déménagé depuis la dernière fois. Sentant une bonne occasion de s’amuser, je le fixe longuement jusqu’à ce qu’il lâche sur le bout des lèvres.
Tu comptes mes poils.
Je souris à sa remarque. Oui, je vais pouvoir rire.
Non, je me demandais juste où on allait.
Question idiote, chez toi bien sûr.
Je répète, où ?
Il ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Je pense qu’il commence à comprendre où je veux en venir. Ses lèvres s’élargissent en un fin sourire. Un sourire à croquer tellement il est sexy, j’ai beau ne pas l’avoir vu pendant plusieurs années, il n’a pas perdu l’effet aimant qu’il avait sur moi.
Ok, tu as gagné. Où habites tu ?
Je ne sais pas si je peux te le dire, tu pourrais venir me persécuter.
Bien sûr, et puis si tu re disparaissait un jour, je ne pourrais pas te retrouver.
…
Went.
Oui.
Je suis désolée.
Indique moi au moins par où je dois aller.
J’habite sur la 46 ° Est.
Bien.
Il se re plonge dans sa conduite. Je repose ma tête sur l’accoudoir et regarde défiler les voitures. Nous arrivons enfin, il se gare, coupe le moteur et attend.
Tu veux monter.
Je ne sais pas si c’est une bonne idée.
Viens juste prendre un café, s’il te plaît.
Il soupire mais sors de la voiture. Je descends à mon tour et rentre dans l’immeuble rapidement pour pas que l’on se fasse repérer. Même s’il est beaucoup moins médiatisé qu’auparavant, il n’est pas rare de le voir apparaître en couverture des magazines people. Il faut bien dire que ses nombreuses « relations » ont permis aux journalistes de pouvoir enfin discréditer le grand Wentworth Miller.
La cafetière est dans la cuisine, tu trouveras tout ce qu’il te faut dans les placards, je me dépêche pour prendre ma douche et je te rejoint.
Je t’attendrais.
Je souris et pars chercher des affaires propres dans ma chambre avant d’aller sous la douche. L’eau chaude me transporte littéralement après la journée de folie que j’ai passé hier. Pourtant je ne reste pas longtemps à ne rien faire sous le jet brûlant. Went m’attend et pour la première fois depuis longtemps, je sens suffisamment de courage en moi pour lui expliquer mon comportement. Le visage dans le miroir me paraît différent. Je me trouve différente.
Morgane, tu dérailles.
Je m’habille rapidement et pars le rejoindre dans le salon. Deux tasses trônent sur la table, l’une est vide, l’autre est pleine. Je le remercie pour le café et m’installe face à lui dans un des fauteuils.
Je crois qu’on y est … J’ai tellement de choses à dire que je ne sais pas par où commencer, et je ne suis pas très doué pour les déclarations alors je vais tenter de faire vite. S’il te plaît, ne m’interromps pas… D’abord, tu dois savoir que je t’en ai voulu énormément, encore aujourd’hui je crois bien. Ce soir-là, tes paroles m’ont complètement détruites. J’avais l’impression que plus jamais je n’aurais droit au bonheur, qu’à chaque fois que je penserais l’atteindre, on me l’enlèverait brutalement. Pendant ton mois de tournage j’ai voulu me jeter par la fenêtre. Heureusement une amie est arrivée et m’en a empêché. Depuis, je vis ici avec elle. Elle s’appelle Monica et c’est elle qui m’a sauvée. Elle m’a empêché de sombrer, toujours là au bon moment sans pour autant s’imposer, je lui dois tellement … J’ai commencé à me reprendre, je voulais lui faire plaisir et montrer que je pouvais être quelqu’un de bien. Je me suis jeté corps et âme dans mes études pour t’oublier, oublier que mon cœur était une nouvelle fois en miettes, et ça a plutôt bien marché. Après l’obtention de mon diplôme, je voulais m’amusé, ne pas rater ma jeunesse pour des études, du coup j’ai enchaîné les soirées en boites, les mecs d’une nuit. Là tu vas sûrement me prendre pour une pétasse et tu aurais raison car c’est aussi l’opinion que j’ai de moi, du moins avait. Mais tout cela me plaisait, je n’avais aucune contrainte, aucune peur de souffrir, de m’attacher et d’être abandonné par la suite … Jusqu’à cette nuit là. Je ne suis pas fière de m’être sauvée le lendemain mais que voulais tu que je te dise. « Hé, sa va ? La nuit t’as plu ? ». Je ne pouvais pas rester, je me suis une nouvelle fois enfuie et comme tu l’as dit hier, c’est ma spécialité. Parce que faut pas croire que je sois forte ou quoi que ce soit. La vérité, c’est que je suis lâche. Je n’assumes rien, au moindre obstacle je m’enfuis au galop. Par la suite, je me suis calmée, je ne sortais plus en boite, j’avais trop peur de retomber sur toi. Une petite routine s’est installée entre mon boulot et Monica. Je n’ai pas réussi à trouver de petits amis corrects, j’imagine que je te cherchais à travers eux. Enfin bref, voilà, tu sais pratiquement tout sur ces trois dernières années.
Il reste stoïque. Je me plonge dans le dossier du fauteuil pendant qu’il assimile tout ce que je viens de lui dire. Il se redresse sur le canapé et pose sa tête dans ses mains, supportés par ces coudes sur ses genoux.
Bien, c’est à mon tour. Je t’en veux aussi énormément mais je m’en veux à moi aussi. Tu ne peux même pas imaginer le poids de culpabilité et de colère que je porte chaque jour depuis que tu es partie. Sur ce point, on est à égalité. Nous nous sommes détruits en nous éloignant l’un de l’autre. J’aurais jamais cru pouvoir tomber aussi rapidement amoureux de quelqu’un et pourtant, je t’aimais à en crever. Tu n’as pas été la seule Morgane, j’étais aussi perdu que toi. J’ai fais une grosse dépression, je passais mes soirées affalé devant la télé avec plusieurs bouteilles de whisky pour me tenir compagnie. Amaury et Dominic m’ont convaincu d’aller à des réunions d’alcooliques anonyme. J’ai déballé ma vie devant ces gens, moi qui déteste cela, mais pourtant tout cela m’a énormément aidé. J’ai arrêté de boire, même s’il m’arrivait de temps en temps de boire un verre lors de soirées. Puis j’ai fait le tour des boîtes de la ville, pourquoi je ne sais pas, j’en avais seulement besoin. Et je t’ai revu. Ce soir-là, j’étais sobre et je te savais soule. Pourtant je n’ai pas su me contenir, tu me manquais tellement, et te sentir danser contre moi a réveillé mes sentiments. Je ne me contrôlais plus et toi non plus, tu tenais à peine sur tes jambes. La suite, tu la connais. Jamais je n’avais ressentis cela pour personne d’autre. Je suppose que tu as du voir certains journaux, j’étais toujours à l’affût d’une nouvelle fille pour t’oublier mais je n’ai jamais réussi à trouver quelqu’un qui puisse t’égaler … Je vais t’en demander beaucoup mais s’il te plaît, dis moi que tu veux bien nous laisser une deuxième chance. Ces trois années ont été un calvaire, autant pour toi que pour moi. En ce qui me concerne, je ne peux pas vivre sans toi. Alors, oui, il y a treize années qui nous séparent, oui, je suis célèbre et toi inconnu, et oui, on ne se connaît pas tant que cela. Mais je sais que je t’aime et c’est la seule chose qui compte pour moi, le reste on apprendra à faire avec.
…
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
- Nombre de messages : 828
Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
stp morgane dis lui OUIIIII!!!!
enfin ils vont se retrouver deja ils se sont avouer leurs erreurs ils se sont tous dis alors maintenant morgane tu bouges tes fesses et tu lui sautes dessus sinon c'est moi qui mi colle (je sais l'espoir fait vivre)
magnifique suite!!!
enfin ils vont se retrouver deja ils se sont avouer leurs erreurs ils se sont tous dis alors maintenant morgane tu bouges tes fesses et tu lui sautes dessus sinon c'est moi qui mi colle (je sais l'espoir fait vivre)
magnifique suite!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Morganne tu as intérêt à dire oui ou tata Enneade va te botter les fesses!!
depuis le temps que je l'attendais cette suite...
ils sont trop mignons à se déclarer ainsi.
depuis le temps que je l'attendais cette suite...
ils sont trop mignons à se déclarer ainsi.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
j'adore cette fic mais quand allons nous avoir une suiiite
scratoune- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 27/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
je suis triste car j'attend toujours la suite et je ne l'a voit pas arrivé.
scratoune- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 27/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
je regarde régulièrement et je ne vois toujours rien arrivé j'espère que tu nous fera une suite avant de devenir
scratoune- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 27/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
J'ai lu ta fic d'une traite et j'ai tt simplement adoré !!!
c'est original e tre bo !!!!
Allez Morganne Dis oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lol
SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE!!
c'est original e tre bo !!!!
Allez Morganne Dis oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lol
SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
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