je veux juste une nouvelle vie, chap 29
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Merci beaucoup pour tous vos commentaires, je vous ramène une suite qui j'espère vous fera au moins sourire histoire de remonter un peu le moral des troupes
Je me pose enfin dans mon canapé. Je suis exténuée, décidément les émotions fortes sont nombreuses en ce moment. Went s’assoit à côté de moi.
Avant de rentrer nous sommes allés à l’hôpital à pied, je sens encore les deux kilomètres que nous avons fait. Il est parti demander des nouvelles de sa mère pendant que je me dirigeai vers la chambre de Monica, Mandy était encore là. Je me suis assise à côté d’elle et elle me raconta que Monica avait eu une réaction contre un des médicaments et qu’elle avait fait un arrêt cardiaque. Son cœur ne s’était arrêté que quelques secondes et était maintenant stable. Je discutai encore avec ma voisine quand Went vint frapper à la porte. Je me souviens encore du regard de Mandy quand elle l’avait reconnue, j’en aurais ri si la situation avait été différente. J’ai salué cette femme que finalement je commençais à apprécier et je suis parti rejoindre Went.
Il n’y avait eu aucun changement pour sa mère, il aurait voulu rester plus longtemps à l’hôpital mais l’heure des visites se terminait et le médecin lui avait demander de rentrer chez lui se reposé. Il a donc récupéré sa voiture et m’a ramené chez moi, il avait toujours le regard vague, je ne voulais pas qu’il reste seul dans son grand appartement. C’est donc naturellement que je lui ai proposé de venir dormir chez moi. Et le voilà maintenant assis à côté de moi sur mon canapé face à la télé.
Je lui propose à manger bien que je m’attende à un refus. Pourtant il me regarde et hausse les épaules.
- Si tu veux …
Sa réponse me serre le cœur, je lui prépare finalement des pâtes, un des rares plats que je sache cuisiner. Et encore celles-ci sont un peu trop cuites. Il touche à peine à son assiette, je suis obligée de lui mettre directement dans la bouche avec ma fourchette. J’ai l’impression d’avoir affaire à un gosse têtu qui n’a pas faim. Pourtant il faut qu’il mange, il ne faut pas qu’il fasse comme moi. Une grève de la faim n’arrangera pas les choses et j’en sais quelque chose. Il me regarde avec un petit sourire mais ne mange pas pour autant, je soupire et range la vaisselle. Lui ne bouge plus un pouce, il fixe la télé sans la voir. J’en ai les larmes aux yeux de le voir dans cet état. Je reviens vers lui avec un pot de nutella et deux cuillères à café. Son regard me donne l’impression d’être une extraterrestre descendu sur Terre.
- Bah quoi, tu ne connais pas les effets du nutella sur la tristesse ?
- Pourquoi deux cuillères alors ?
- Bah et moi ?
IL ne bouge plus, des frissons me parcourent le dos quand je croise son regard. Il me sourit franchement et prend une grosse cuillère. Un vrai gamin. Sa chemise blanc cassé est baptisé au nutella. Je rigole devant son air désolé et dégoutté, sa mine boudeuse se transforme alors en un sourire narquois et avant que je ne puisse comprendre, je me retrouve avec du nutella sur le bout du nez. Je m’arrête aussitôt et le regarde. Il a toujours son petit sourire, ce qui m’énerve assez. Je prend donc une cuillère de nutella et lui aplatit sur le visage. Je m’éloigne vite avec le pot avant que sa ne dégénère entre nous deux. Je vais vite dans la salle de bain pour me rincer le visage dans le lavabo. Un bruit attire mon attention et me fait lever la tête. A travers le miroir je le vois torse nu. Je ne peux m’empêcher d’y jeter un coup d’œil rapide.
- Je pourrais t’emprunter ta douche s’il te plaît ?
- Euh … Oui, les serviettes sont dans le placard à côté.
Je ressors rapidement de cette pièce où la température semblait être montée de quelques degrés. Je sors sur le balcon pour calmer mes hormones. Un quart d’heure plus tard, l’eau s’arrête de couler. Je ferme la fenêtre derrière moi et commence à sortir un matelas pour went.
23h46 : Je tourne dans mon lit depuis une heure maintenant. Je n’arrive pas à dormir, trop de choses se bousculent dans ma tête pour que je puisse dormir paisiblement. Ma couette s’est retrouvée par terre, il faisait trop chaud pour moi. Finalement je me risque à me lever pour aller boire un verre d’eau. Au passage, j’entends Went gémir. Je le vois tourner la tête dans tous les sens et se « battre » avec son drap. Je m’assit à côté de lui et lui caresse le visage. Je continue mes caresses sur ses bras, il semble se calmer. L’expression de douleur sur son visage s’est atténuée, je m’apprête à repartir quand je sens une main sur mon poignet.
- Reste avec moi ! S’il te plaît.
Je ne peux résister à cette supplication. Sa voix tremblait mais sa main serrait fortement mon poignet. Je me suis glissé dans ses draps, il s’est tout de suite rapproché et m’a prise dans ses bras. Mes joues sont brûlantes, mes mains deviennent moites, je le sens mais je ne fais rien pour l’empêcher. Au contraire je me rapproche encore plus et ferme mes bras autour de sa taille. Ses larmes coulent sur ma nuque. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés dans cette position, mais je sais que je n’avais jamais été aussi bien dans les bras de quelqu’un. Epuisée par ces deux dernières journées, j’ai vite sombré dans le sommeil, pour me retrouver seule au réveil.
Je me pose enfin dans mon canapé. Je suis exténuée, décidément les émotions fortes sont nombreuses en ce moment. Went s’assoit à côté de moi.
Avant de rentrer nous sommes allés à l’hôpital à pied, je sens encore les deux kilomètres que nous avons fait. Il est parti demander des nouvelles de sa mère pendant que je me dirigeai vers la chambre de Monica, Mandy était encore là. Je me suis assise à côté d’elle et elle me raconta que Monica avait eu une réaction contre un des médicaments et qu’elle avait fait un arrêt cardiaque. Son cœur ne s’était arrêté que quelques secondes et était maintenant stable. Je discutai encore avec ma voisine quand Went vint frapper à la porte. Je me souviens encore du regard de Mandy quand elle l’avait reconnue, j’en aurais ri si la situation avait été différente. J’ai salué cette femme que finalement je commençais à apprécier et je suis parti rejoindre Went.
Il n’y avait eu aucun changement pour sa mère, il aurait voulu rester plus longtemps à l’hôpital mais l’heure des visites se terminait et le médecin lui avait demander de rentrer chez lui se reposé. Il a donc récupéré sa voiture et m’a ramené chez moi, il avait toujours le regard vague, je ne voulais pas qu’il reste seul dans son grand appartement. C’est donc naturellement que je lui ai proposé de venir dormir chez moi. Et le voilà maintenant assis à côté de moi sur mon canapé face à la télé.
Je lui propose à manger bien que je m’attende à un refus. Pourtant il me regarde et hausse les épaules.
- Si tu veux …
Sa réponse me serre le cœur, je lui prépare finalement des pâtes, un des rares plats que je sache cuisiner. Et encore celles-ci sont un peu trop cuites. Il touche à peine à son assiette, je suis obligée de lui mettre directement dans la bouche avec ma fourchette. J’ai l’impression d’avoir affaire à un gosse têtu qui n’a pas faim. Pourtant il faut qu’il mange, il ne faut pas qu’il fasse comme moi. Une grève de la faim n’arrangera pas les choses et j’en sais quelque chose. Il me regarde avec un petit sourire mais ne mange pas pour autant, je soupire et range la vaisselle. Lui ne bouge plus un pouce, il fixe la télé sans la voir. J’en ai les larmes aux yeux de le voir dans cet état. Je reviens vers lui avec un pot de nutella et deux cuillères à café. Son regard me donne l’impression d’être une extraterrestre descendu sur Terre.
- Bah quoi, tu ne connais pas les effets du nutella sur la tristesse ?
- Pourquoi deux cuillères alors ?
- Bah et moi ?
IL ne bouge plus, des frissons me parcourent le dos quand je croise son regard. Il me sourit franchement et prend une grosse cuillère. Un vrai gamin. Sa chemise blanc cassé est baptisé au nutella. Je rigole devant son air désolé et dégoutté, sa mine boudeuse se transforme alors en un sourire narquois et avant que je ne puisse comprendre, je me retrouve avec du nutella sur le bout du nez. Je m’arrête aussitôt et le regarde. Il a toujours son petit sourire, ce qui m’énerve assez. Je prend donc une cuillère de nutella et lui aplatit sur le visage. Je m’éloigne vite avec le pot avant que sa ne dégénère entre nous deux. Je vais vite dans la salle de bain pour me rincer le visage dans le lavabo. Un bruit attire mon attention et me fait lever la tête. A travers le miroir je le vois torse nu. Je ne peux m’empêcher d’y jeter un coup d’œil rapide.
- Je pourrais t’emprunter ta douche s’il te plaît ?
- Euh … Oui, les serviettes sont dans le placard à côté.
Je ressors rapidement de cette pièce où la température semblait être montée de quelques degrés. Je sors sur le balcon pour calmer mes hormones. Un quart d’heure plus tard, l’eau s’arrête de couler. Je ferme la fenêtre derrière moi et commence à sortir un matelas pour went.
23h46 : Je tourne dans mon lit depuis une heure maintenant. Je n’arrive pas à dormir, trop de choses se bousculent dans ma tête pour que je puisse dormir paisiblement. Ma couette s’est retrouvée par terre, il faisait trop chaud pour moi. Finalement je me risque à me lever pour aller boire un verre d’eau. Au passage, j’entends Went gémir. Je le vois tourner la tête dans tous les sens et se « battre » avec son drap. Je m’assit à côté de lui et lui caresse le visage. Je continue mes caresses sur ses bras, il semble se calmer. L’expression de douleur sur son visage s’est atténuée, je m’apprête à repartir quand je sens une main sur mon poignet.
- Reste avec moi ! S’il te plaît.
Je ne peux résister à cette supplication. Sa voix tremblait mais sa main serrait fortement mon poignet. Je me suis glissé dans ses draps, il s’est tout de suite rapproché et m’a prise dans ses bras. Mes joues sont brûlantes, mes mains deviennent moites, je le sens mais je ne fais rien pour l’empêcher. Au contraire je me rapproche encore plus et ferme mes bras autour de sa taille. Ses larmes coulent sur ma nuque. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés dans cette position, mais je sais que je n’avais jamais été aussi bien dans les bras de quelqu’un. Epuisée par ces deux dernières journées, j’ai vite sombré dans le sommeil, pour me retrouver seule au réveil.
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Tu ma même plus que remonté le MORAL (je ne sais pas si cest francais ) mais cest tellement magnifique JAIME vraiment beaucoup jai les joues chaudes avec elle va savoir pourquoi hihiihii bref sa ma fait sourir!!!
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
moi aussi je veux un Went torse nu dans ma salle de bains...
c'est trop bien, la "bataille" de nutella... j'imagine trop la scène...
la suite STP
c'est trop bien, la "bataille" de nutella... j'imagine trop la scène...
la suite STP
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
bien jouer le coup du Nutella personne n'y resiste, mais ou est passé Went??? serait il comme tout les autres hommes il s'eclipse comme ça!!!!!!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
ENNEADE a écrit:moi aussi je veux un Went torse nu dans ma salle de bains...
Ouais moi aussi jle veux sous ma douche!! mdr j'ai un peu dérivé!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
c génial la suite !!!
anso26- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 30/12/2006
Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Ouhlàlà, j'ai énormémen de retard, je suis vraiment désolée mais je viens juste d'avoir de nouveau internet chez moi ... Ces deux semaines sans internet ne m'ont pas empêché d'écrire donc voila la suite et merci pour tous vos commentaires
Un courant d’air me réveille. J’ai l’impression d’avoir du poids sur mes paupières tellement elles sont lourdes. J’ai mal au dos grâce au super confort du matelas. Attends mais qu’est ce que je fous sur le matelas. Puis les événements de la veille me revienne : l’accident de Monica, Went, ma « confession » et notre soirée. Ma main parcourre le matelas à côté de moi dans l’espoir d’y trouver un corps chaud. Pourtant aucun corps n’est présent. Cette constatation aura au moins eu l’avantage de me réveiller complètement et par la même occasion me mettre de mauvaise humeur. Je suis maintenant assise, les yeux grands ouverts, face à ma fenêtre qui est, elle aussi, grande ouverte. Merde. Je me lève rapidement avec l’idée d’aller fermer cette fenêtre. Qui est l’abruti qui a ouvert cette fenêtre par ce temps de novembre. Bon en même temps, il n’y a qu’une seule autre personne qui était dans l’appartement et ce n’est pas moi … enfin je crois.
- Salut !
Cette voix me fait sursauter, finalement il n’est pas parti. C’est fou comme ma mauvaise humeur est vite parti. Je lui répond avec un léger hochement de tête. Une odeur de café m’attire vers la cuisine. Je sens le regard de Went sur moi mais la cuisine me semble plus intéressante pour le moment. Quelques secondes après mon arrivée, il débarque et se jette sur le tabouret.
- J’ai une faim de loup …
- …
- T’es toujours aussi bavarde le matin ? … Je dis sa juste comme cela !
Mes yeux lui lancent des éclairs. Nan mais c’est pas de ma faute si je suis pas du matin. Son sourire me fait fondre, je n’arrive pas à lui en vouloir deux minutes d’affilée. Je m’assoit en face de lui avec mon café, je lui ai sorti quelques céréales et un bout de pain qui date de je ne sais pas quand. Il faudra qu’il s’en contente puisque je n’ai rien d’autre de toute façon.
- Alors quel est ton programme pour aujourd’hui ?
Grand blanc, mais de quoi il me parle lui. Lui, il l’est bien du matin. Il m’énerve à parler pendant que je déjeune. Non mais ho ! Mon petit déjeuner c’est sacré. Je veux du calme c’est pas compliqué.
- Dis moi t’es de meilleure humeur qu’hier toi !
Merde, la galle. Et voilà Morgane, j’avoue. Chapeau. Pour casser l’ambiance, y’a pas mieux. Je me mords la lèvre face à sa réaction, ses yeux se voilent de tristesse, je baisse les yeux.
- Je suis désolée. Je n’ai pas réfléchie. Excuse-moi s’il te plaît.
Ses yeux sont devenus glacials. La journée commence bien. Il se lève de table en disant qu’il n’a plus faim. Je le vois dans la salle à manger qui prend ses clés. Je me lève précipitamment pour l’intercepter avant qu’il ne sorte. Il se plante devant moi et me demande de dégager. J’accuse le coup, les larmes commencent à voiler ma vision. Qu’est ce que j’ai comme réserve de larmes moi pffiou.
- Nan ne pars pas s’il te plaît.
- Et pourquoi pas ? J’ai l’air de te faire chier alors je vais te laisser tranquille. Si c’était pour que je te laisse tranquille que tu m’as rappelé ma faiblesse d’hier soir, tu as réussi. Maintenant pousse toi, faut que j’aille prendre l’air.
- Mais arrête tes conneries ! Comment tu peux penser que je te juge. Je suis passé par là moi aussi je te rappelle. Pour tout à l’heure je suis vraiment désolée, mais je n’ai pas l’habitude d’avoir quelqu’un avec moi quand je petit déjeune. Je ne suis pas du matin, j’aime bien déjeuner en silence. Alors encore une fois, excuse-moi. Je ne veux pas que tu t’en ailles, j’aimerais passer la journée avec toi.
Il hésite, pour une fois je vois clairement ses sentiments. Il baisse les yeux et soupire, je crois que c’est gagné pour moi.
- C’est ok, file prendre ta douche, je t’emmène après. Mais dépêche toi.
- Cool, promis je me dépêche.
Je me mets sur la pointe des pieds et lui fait un gros bisou sonore sur la joue. Je file ensuite dans ma douche. 15 minutes plus tard, j’en sors habillée et prête à sortir. Nous restons encore 5 minutes le temps de trouver mes clefs puis nous sortons de l’appartement.
Je ne sais pas ce qu’à prévu Went ; d’après ce qu’il m’a dit nous faisons un arrêt chez lui pour qu’il prenne une douche et se change. C’est les seuls mots qu’il a décroché du trajet. Nous voilà maintenant chez lui. C’est impressionnant le nombre de photos qui ornent ses murs, j’essaye de toutes les regarder pendant qu’il prend sa douche. Malgré ce que l’on pourrait penser, il n’y a pas énormément de photo de lui. Une grande photo de l’équipe de Prison Break est accroché sur le mur face à la cuisine. Sur la cheminée, ce sont les photos de sa famille, enfin je suppose, qui dominent. Dans un coin, une photo de lui avec sa mère attire mon attention. Elle est superbe. Sa mère est dans ses bras, un grand sourire colgate au visage ( lol ), cette photo respire le bonheur. Je la repose avec attention avec de continuer mon examen. Je m’engage maintenant dans son couloir. Je ne sais pas vraiment si j’en ai le droit mais bon il est dans la douche, il n’en saura rien. Une photo de Sarah et d’Alexia me fait sourire. Plusieurs autres photos comme celle-ci reviennent et toujours pas de Josh, je me demande s’il faisait bien de douter des sentiments de Went pour Sarah. Après tout Went est tellement mystérieux.
Un photo shoot s’étale sur le mur. Il pose debout la tête haute. Cette attitude me fait sourire. Je le regarde plus attentivement, mes yeux sont captivés par les siens. Cela n’a beau être qu’une photo, on y retrouve le même éclat qui brille dans les originaux. Instinctivement ma main va caresser sa joue. Le contact du papier me ramène sur terre et je retire ma main.
- C’est Sarah qui a insisté pour que je l’accroche … ne va pas croire que je sois imbu de ma personne à ce stade là.
Sa voix me fait sursauter. Merde, je n’avais pas entendu l’eau de la douche arrêter de couler. Mes joues s’empourpre face à lui ou plutôt face à son torse. Nous sommes presque collés l’un à l’autre à cause de la faible largeur de son couloir. Je ne veux pas lever ma tête, je préfère la garder baissée, mes cheveux me permettent de cacher mes joues rougies. J’essaye de trouver une excuse me permettant d’être ici mais je n’en trouve aucune. Pas facile de réfléchir aussi quand le mec le plus sexy de l’année se trouve très proche face à vous et vous dévisage. J’ai plus envie de lui sauter dessus qu’autre chose. Houhou, sa chauffe dans ta petite tête Morgane, redescend vite sur terre, il attend une réponse…
- Ah … d’accord.
Pathétique. Je suis pathétique. Ma lèvre va exploser tellement je la mord. Je repars en direction de l’entrée en le prévenant que je l’attend. Il ne répond rien mais je sens son regard dans mon dos, dieu que je marche vite… Une fois dans le salon, je me jette sur le fenêtre, j’ai un besoin urgent d’air frais. Bah pour la fraîcheur c’est gagné. Il fait pas plus de 5 °C, rien de mieux pour se rafraîchir les idées. Je rentre quelques secondes après, il fait trop froid. Je lève enfin mes yeux vers lui quand il entre dans la pièce. Il porte maintenant une chemise et un pull sans manche par dessus. Je souris devant son col mis n’importe comment. Je me rapproche de lui et lui remet correctement.
- Là, c’est mieux …
- Merci. Je préfère quand tu me rhabille et que lorsque tu pars en courant en me voyant.
- … Je n’ai pas … couru …
Finalement je me mets à rigoler doucement devant son sourcil relevé. J’adore sa tête à ce moment, dommage que je n’ai pas d’appareil photo sur moi.
- Bon ok j’ai couru, sa te va ??
- Très, on peut y aller ou tu as besoin de quelque chose ?
- Nan sa ira.
- Ok, en route alors.
il vient de m’avertir que nous en avions pour au moins une heure de route. Ouais, cette journée va me plaire. Morgane ne sois pas pessimiste, tu es avec Went, tu ne peux que passer une bonne journée. A cette pensée, un grand sourire éclaira mon visage. Went, qui l’avait remarqué me demande si je vais bien. Je rigole, je n’ai plus le droit de sourire maintenant. J’essaye d’engager la conversation, je ne veux pas qu’il pense à ses parents, du moins pas pour la journée. Aujourd’hui, on laisse tous nos problèmes de côtés. C’est peut être stupide parce qu’on se reprend tout en pleine face en rentrant, mais bon pour le moment, nous pouvons faire une pause, enfin surtout Went.
Un courant d’air me réveille. J’ai l’impression d’avoir du poids sur mes paupières tellement elles sont lourdes. J’ai mal au dos grâce au super confort du matelas. Attends mais qu’est ce que je fous sur le matelas. Puis les événements de la veille me revienne : l’accident de Monica, Went, ma « confession » et notre soirée. Ma main parcourre le matelas à côté de moi dans l’espoir d’y trouver un corps chaud. Pourtant aucun corps n’est présent. Cette constatation aura au moins eu l’avantage de me réveiller complètement et par la même occasion me mettre de mauvaise humeur. Je suis maintenant assise, les yeux grands ouverts, face à ma fenêtre qui est, elle aussi, grande ouverte. Merde. Je me lève rapidement avec l’idée d’aller fermer cette fenêtre. Qui est l’abruti qui a ouvert cette fenêtre par ce temps de novembre. Bon en même temps, il n’y a qu’une seule autre personne qui était dans l’appartement et ce n’est pas moi … enfin je crois.
- Salut !
Cette voix me fait sursauter, finalement il n’est pas parti. C’est fou comme ma mauvaise humeur est vite parti. Je lui répond avec un léger hochement de tête. Une odeur de café m’attire vers la cuisine. Je sens le regard de Went sur moi mais la cuisine me semble plus intéressante pour le moment. Quelques secondes après mon arrivée, il débarque et se jette sur le tabouret.
- J’ai une faim de loup …
- …
- T’es toujours aussi bavarde le matin ? … Je dis sa juste comme cela !
Mes yeux lui lancent des éclairs. Nan mais c’est pas de ma faute si je suis pas du matin. Son sourire me fait fondre, je n’arrive pas à lui en vouloir deux minutes d’affilée. Je m’assoit en face de lui avec mon café, je lui ai sorti quelques céréales et un bout de pain qui date de je ne sais pas quand. Il faudra qu’il s’en contente puisque je n’ai rien d’autre de toute façon.
- Alors quel est ton programme pour aujourd’hui ?
Grand blanc, mais de quoi il me parle lui. Lui, il l’est bien du matin. Il m’énerve à parler pendant que je déjeune. Non mais ho ! Mon petit déjeuner c’est sacré. Je veux du calme c’est pas compliqué.
- Dis moi t’es de meilleure humeur qu’hier toi !
Merde, la galle. Et voilà Morgane, j’avoue. Chapeau. Pour casser l’ambiance, y’a pas mieux. Je me mords la lèvre face à sa réaction, ses yeux se voilent de tristesse, je baisse les yeux.
- Je suis désolée. Je n’ai pas réfléchie. Excuse-moi s’il te plaît.
Ses yeux sont devenus glacials. La journée commence bien. Il se lève de table en disant qu’il n’a plus faim. Je le vois dans la salle à manger qui prend ses clés. Je me lève précipitamment pour l’intercepter avant qu’il ne sorte. Il se plante devant moi et me demande de dégager. J’accuse le coup, les larmes commencent à voiler ma vision. Qu’est ce que j’ai comme réserve de larmes moi pffiou.
- Nan ne pars pas s’il te plaît.
- Et pourquoi pas ? J’ai l’air de te faire chier alors je vais te laisser tranquille. Si c’était pour que je te laisse tranquille que tu m’as rappelé ma faiblesse d’hier soir, tu as réussi. Maintenant pousse toi, faut que j’aille prendre l’air.
- Mais arrête tes conneries ! Comment tu peux penser que je te juge. Je suis passé par là moi aussi je te rappelle. Pour tout à l’heure je suis vraiment désolée, mais je n’ai pas l’habitude d’avoir quelqu’un avec moi quand je petit déjeune. Je ne suis pas du matin, j’aime bien déjeuner en silence. Alors encore une fois, excuse-moi. Je ne veux pas que tu t’en ailles, j’aimerais passer la journée avec toi.
Il hésite, pour une fois je vois clairement ses sentiments. Il baisse les yeux et soupire, je crois que c’est gagné pour moi.
- C’est ok, file prendre ta douche, je t’emmène après. Mais dépêche toi.
- Cool, promis je me dépêche.
Je me mets sur la pointe des pieds et lui fait un gros bisou sonore sur la joue. Je file ensuite dans ma douche. 15 minutes plus tard, j’en sors habillée et prête à sortir. Nous restons encore 5 minutes le temps de trouver mes clefs puis nous sortons de l’appartement.
Je ne sais pas ce qu’à prévu Went ; d’après ce qu’il m’a dit nous faisons un arrêt chez lui pour qu’il prenne une douche et se change. C’est les seuls mots qu’il a décroché du trajet. Nous voilà maintenant chez lui. C’est impressionnant le nombre de photos qui ornent ses murs, j’essaye de toutes les regarder pendant qu’il prend sa douche. Malgré ce que l’on pourrait penser, il n’y a pas énormément de photo de lui. Une grande photo de l’équipe de Prison Break est accroché sur le mur face à la cuisine. Sur la cheminée, ce sont les photos de sa famille, enfin je suppose, qui dominent. Dans un coin, une photo de lui avec sa mère attire mon attention. Elle est superbe. Sa mère est dans ses bras, un grand sourire colgate au visage ( lol ), cette photo respire le bonheur. Je la repose avec attention avec de continuer mon examen. Je m’engage maintenant dans son couloir. Je ne sais pas vraiment si j’en ai le droit mais bon il est dans la douche, il n’en saura rien. Une photo de Sarah et d’Alexia me fait sourire. Plusieurs autres photos comme celle-ci reviennent et toujours pas de Josh, je me demande s’il faisait bien de douter des sentiments de Went pour Sarah. Après tout Went est tellement mystérieux.
Un photo shoot s’étale sur le mur. Il pose debout la tête haute. Cette attitude me fait sourire. Je le regarde plus attentivement, mes yeux sont captivés par les siens. Cela n’a beau être qu’une photo, on y retrouve le même éclat qui brille dans les originaux. Instinctivement ma main va caresser sa joue. Le contact du papier me ramène sur terre et je retire ma main.
- C’est Sarah qui a insisté pour que je l’accroche … ne va pas croire que je sois imbu de ma personne à ce stade là.
Sa voix me fait sursauter. Merde, je n’avais pas entendu l’eau de la douche arrêter de couler. Mes joues s’empourpre face à lui ou plutôt face à son torse. Nous sommes presque collés l’un à l’autre à cause de la faible largeur de son couloir. Je ne veux pas lever ma tête, je préfère la garder baissée, mes cheveux me permettent de cacher mes joues rougies. J’essaye de trouver une excuse me permettant d’être ici mais je n’en trouve aucune. Pas facile de réfléchir aussi quand le mec le plus sexy de l’année se trouve très proche face à vous et vous dévisage. J’ai plus envie de lui sauter dessus qu’autre chose. Houhou, sa chauffe dans ta petite tête Morgane, redescend vite sur terre, il attend une réponse…
- Ah … d’accord.
Pathétique. Je suis pathétique. Ma lèvre va exploser tellement je la mord. Je repars en direction de l’entrée en le prévenant que je l’attend. Il ne répond rien mais je sens son regard dans mon dos, dieu que je marche vite… Une fois dans le salon, je me jette sur le fenêtre, j’ai un besoin urgent d’air frais. Bah pour la fraîcheur c’est gagné. Il fait pas plus de 5 °C, rien de mieux pour se rafraîchir les idées. Je rentre quelques secondes après, il fait trop froid. Je lève enfin mes yeux vers lui quand il entre dans la pièce. Il porte maintenant une chemise et un pull sans manche par dessus. Je souris devant son col mis n’importe comment. Je me rapproche de lui et lui remet correctement.
- Là, c’est mieux …
- Merci. Je préfère quand tu me rhabille et que lorsque tu pars en courant en me voyant.
- … Je n’ai pas … couru …
Finalement je me mets à rigoler doucement devant son sourcil relevé. J’adore sa tête à ce moment, dommage que je n’ai pas d’appareil photo sur moi.
- Bon ok j’ai couru, sa te va ??
- Très, on peut y aller ou tu as besoin de quelque chose ?
- Nan sa ira.
- Ok, en route alors.
il vient de m’avertir que nous en avions pour au moins une heure de route. Ouais, cette journée va me plaire. Morgane ne sois pas pessimiste, tu es avec Went, tu ne peux que passer une bonne journée. A cette pensée, un grand sourire éclaira mon visage. Went, qui l’avait remarqué me demande si je vais bien. Je rigole, je n’ai plus le droit de sourire maintenant. J’essaye d’engager la conversation, je ne veux pas qu’il pense à ses parents, du moins pas pour la journée. Aujourd’hui, on laisse tous nos problèmes de côtés. C’est peut être stupide parce qu’on se reprend tout en pleine face en rentrant, mais bon pour le moment, nous pouvons faire une pause, enfin surtout Went.
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
il me tardait cette suite
maintenant vivement la prochaine
maintenant vivement la prochaine
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
qu'est-ce que l'aime Morgane....
vivement la suite
vivement la suite
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Alalala enfin une suiiiiite tavais disparue méchante !!!!!!!!!!!
en tout cas trooooo biiiiiieeeen contente que tu sois réaparue vivement la prochaine suiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
miss_sa_69 a écrit:Alalala enfin une suiiiiite tavais disparue méchante !!!!!!!!!!!
en tout cas trooooo biiiiiieeeen contente que tu sois réaparue vivement la prochaine suiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
C'est clair,jdit pareil
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Merci beaucoup pour vos coms
Il est 21 heures. Sa fait une heure et demi que nous sommes sur la route du retour. Je suis épuisée par cette escapade. Nous avons été dans une crique hors de la ville. Au chemin l’on s’était arrêté pour prendre de quoi pique niquez. Nous avons passé notre journée dans une crique à marcher, parler, jouer au beach volley, encore parler et nous voilà maintenant dans la voiture éreintés par notre journée. Je dois bien avouer que je suis fière de moi, Went a été souriant une bonne partie de l’après midi. Ses sourires ont pris le pas sur son regard vide que je pouvais apercevoir par moment. Seulement depuis que nous sommes remontés en voiture, son visage s’est fermé et ses yeux se sont assombris. Je ne doute pas un seul instant que nous allons faire un arrêt à l’hôpital pour voir sa mère.
Cela fait déjà 10 bonnes minutes que Went est entré dans la chambre de sa mère. Je n’ai pas voulu rentrer malgré l’invitation de mon compagnon. Pendant ce temps là, j’étais parti demander à l’accueil si Monica XX était encore ici. L’hôtesse m’apprit qu’elle était en soins intensif après un arrêt cardiaque. Je l’avais remercié et était remontée comme une automate dans le couloir de Mme Miller. Je m’affalais sur une chaise face à une chambre. Mes coudes sur mes genoux et mes mains encerclant ma tête, je me permit de soupirer. J’avais tendance à beaucoup serpenter les hôpitaux en ce moment, et cela ne me plaisait pas du tout. Une main sur mon bras me fit relever la tête. Une paire d’yeux me fixe avec insistance. Je lui souris pour qu’il ne s’inquiète pas. Nous sortons de l’hôpital main dans la main sous l’œil médusé de certaines infirmières qui le reconnaissent.
Dehors il fait nuit noire, il me propose d’aller manger au restaurant mais ma fatigue l’emporte et il décide de me raccompagner chez moi. Je descends de la voiture 5 minutes plus tard, Went lui reste dans la voiture, hésitant.
M : Tu ne montes pas un peu ??
W : Si si j’arrive.
Son sourire me fait chaud au cœur. Je suis tellement exténuée que l’ascension des marches des 2 étages me paraît énorme. Mes gestes sont automatiques, j’enfonce la clé dans la serrure et tourne la poignée. La porte me paraît énorme. Je demande à Went de fermer derrière lui pendant que je me jette sur le canapé. Même ce vieux canapé me paraît confortable. Je l’entends rire de mon gémissement de bien-être. Je grogne légèrement tandis qu’il s’assoit et prend ma tête sur ces genoux. Ses longs doigts parcourent mes cheveux et ma nuque. Des frissons me parcourent le dos, je soupire de nouveau de soulagement cette fois. Je commence à sentir les larmes de Went sur ma nuque, seulement je ne veux pas briser ce moment en lui demandant s’il va bien. La réponse me paraît évidente, je préfère attendre qu’il en parle de lui même.
Deux minutes plus tard, je me sens partir. Je devrais aller dans mon lit mais je n’ai pas la force de me lever ni de quitter ces doigts qui glissent à travers mes cheveux. Je soupire une dernière fois avant de m’endormir.
Il est 21 heures. Sa fait une heure et demi que nous sommes sur la route du retour. Je suis épuisée par cette escapade. Nous avons été dans une crique hors de la ville. Au chemin l’on s’était arrêté pour prendre de quoi pique niquez. Nous avons passé notre journée dans une crique à marcher, parler, jouer au beach volley, encore parler et nous voilà maintenant dans la voiture éreintés par notre journée. Je dois bien avouer que je suis fière de moi, Went a été souriant une bonne partie de l’après midi. Ses sourires ont pris le pas sur son regard vide que je pouvais apercevoir par moment. Seulement depuis que nous sommes remontés en voiture, son visage s’est fermé et ses yeux se sont assombris. Je ne doute pas un seul instant que nous allons faire un arrêt à l’hôpital pour voir sa mère.
Cela fait déjà 10 bonnes minutes que Went est entré dans la chambre de sa mère. Je n’ai pas voulu rentrer malgré l’invitation de mon compagnon. Pendant ce temps là, j’étais parti demander à l’accueil si Monica XX était encore ici. L’hôtesse m’apprit qu’elle était en soins intensif après un arrêt cardiaque. Je l’avais remercié et était remontée comme une automate dans le couloir de Mme Miller. Je m’affalais sur une chaise face à une chambre. Mes coudes sur mes genoux et mes mains encerclant ma tête, je me permit de soupirer. J’avais tendance à beaucoup serpenter les hôpitaux en ce moment, et cela ne me plaisait pas du tout. Une main sur mon bras me fit relever la tête. Une paire d’yeux me fixe avec insistance. Je lui souris pour qu’il ne s’inquiète pas. Nous sortons de l’hôpital main dans la main sous l’œil médusé de certaines infirmières qui le reconnaissent.
Dehors il fait nuit noire, il me propose d’aller manger au restaurant mais ma fatigue l’emporte et il décide de me raccompagner chez moi. Je descends de la voiture 5 minutes plus tard, Went lui reste dans la voiture, hésitant.
M : Tu ne montes pas un peu ??
W : Si si j’arrive.
Son sourire me fait chaud au cœur. Je suis tellement exténuée que l’ascension des marches des 2 étages me paraît énorme. Mes gestes sont automatiques, j’enfonce la clé dans la serrure et tourne la poignée. La porte me paraît énorme. Je demande à Went de fermer derrière lui pendant que je me jette sur le canapé. Même ce vieux canapé me paraît confortable. Je l’entends rire de mon gémissement de bien-être. Je grogne légèrement tandis qu’il s’assoit et prend ma tête sur ces genoux. Ses longs doigts parcourent mes cheveux et ma nuque. Des frissons me parcourent le dos, je soupire de nouveau de soulagement cette fois. Je commence à sentir les larmes de Went sur ma nuque, seulement je ne veux pas briser ce moment en lui demandant s’il va bien. La réponse me paraît évidente, je préfère attendre qu’il en parle de lui même.
Deux minutes plus tard, je me sens partir. Je devrais aller dans mon lit mais je n’ai pas la force de me lever ni de quitter ces doigts qui glissent à travers mes cheveux. Je soupire une dernière fois avant de m’endormir.
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
oh c'est trop beau
le regard de tueuse qu'elles doivent faire les infirmières en les voyant main dans la main
continue STP je veux la suite
le regard de tueuse qu'elles doivent faire les infirmières en les voyant main dans la main
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
pareil pour moiENNEADE a écrit:oh c'est trop beau
le regard de tueuse qu'elles doivent faire les infirmières en les voyant main dans la main
continue STP je veux la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
lily24 a écrit:pareil pour moiENNEADE a écrit:oh c'est trop beau
le regard de tueuse qu'elles doivent faire les infirmières en les voyant main dans la main
continue STP je veux la suite
aouais raaave je les imagines bien comme sa ou comme ca
vivement la suiiite
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Merci beaucoup
La suite ce soir promis
La suite ce soir promis
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Le réveil fut horrible, mes muscles étaient quasiment tous courbaturés, j’avais un mal de crâne ( je vous jure pourtant je n’avais rien bu) effroyable et je me suis réveillé dans un lieu autre que celui où je me suis endormie. Evidemment moi qui suis grognon quand je me lève du mauvais pied, je ronchonne donc depuis tout à l’heure. Parce-qu’en plus je suis toute seule, Went n’est plus là. Après que je me sois endormie, il a du me porter jusqu’à mon lit et partir. Il n’est parti que depuis hier soir et il me manque déjà. Je n’arrête pas de me poser des questions : qu’est ce qu’il fait, est ce qu’il pense a moi, est il à l’hôpital, pourquoi s’est il enfui comme cela, est ce que je vais pouvoir le revoir aujourd’hui.
Je secoue ma tête pour chasser mes pensées. S’il y a ne serait ce qu’un avantage à tous ces morts autour de moi, c’est qu’il m’aura appris à ne pas m’apitoyer sur mon sort. Après tout ruminer ne sert à rien. Je me lève donc et part dans la salle de bain à la recherche d’aspirine. Revenu à la cuisine, j’avale mes deux cachets, cela devrait être suffisant. Du café est prêt et des croissants traînent sur la table. J’ai beau chercher dans ma mémoire, je ne me souviens pas avoir été à la boulangerie dernièrement. Une idée effleure mon esprit, et si c’était Wentworth. Mon visage s’illumine, les croissants sont chauds, il était donc là ce matin. A t’il dormi à côté de moi, m’a t’il prise dans ses bras. Je secoue de nouveau ma tête. Cela va devenir une habitude décidément. Je me dirige vers le salon avec ma tasse de café et un croissant dans la main. Finalement, je crois que je ne me suis pas sentie aussi bien depuis des lustres. IL est là, allongé sur le côté, un bras sous sa tête en travers du canapé déplié. Il a du se recoucher après avoir été cherché le petit déjeuner car il est habillé.
Je pose ma tasse et le peu qu’il reste de mon croissant sur la table basse. Je me glisse doucement sur le canapé. Mes gestes sont lents, je ne veux pas le réveiller. Je lève légèrement son bras pour me glisser en-dessous. Je stoppe tout lorsque je l’entends soupirer, puis mes joues rougissent instantanément. Il vient de m’appeler et son bras se resserre autour de ma taille. Son souffle sur ma joue me paralyse. Il continue à ma rapprocher de lui, je commence à sentir la chaleur de son corps sur le mien. Je ferme les yeux et tente de me calmer, j’ai l’impression d’avoir couru le marathon de New York tellement je suis essoufflée. Finalement, je reprend une respiration à peu près normale, ma main se pose sur la sienne et je caresse ses doigts du bout des miens. Petit à petit je remonte sur sa main puis sur son avant-bras, encouragée par ses soupirs. Je n’arrive pas à définir s’il est réveillé ou non, si c’est le cas, c’est un excellent acteur ( :p ). Je cherche à me défaire de cette étreinte, s’il venait à se réveiller maintenant, je ne saurais plus où me mettre. Cependant il raffermit sa prise à l’instant même où je tente de m’écarter. Je commence à paniquer, qu’est ce qu’il dirait s’il me voyait dans ses bras. Après tout il m’a rapporté dans mon lit la nuit dernière, c’est qu’il ne voulait pas dormir avec moi. Je retente une nouvelle fois en vain, je soupire et me relaisse tomber lourdement sur le matelas.
W : Mes bras sont si inconfortables que ça pour que tu veuilles t’enfuir ?
Sa voix est rauque, sûrement du à son réveil. Je n’ose plus bouger, au lieu de s’affoler comme précédemment, mon souffle se coupe. Je le sens renifler mes cheveux et souffler dessus légèrement. Un long frisson me parcourre de la tête au pied. En parlant de pied, je sens un des siens glisser légèrement au niveau de ma cheville. Au bout de quelques secondes, mon cerveau semble reprendre le contrôle de mon corps. Je me tourne contre lui pour me retrouver face à son visage. Ses yeux sont clos mais un petit sourire se dessine sur son visage. Mon regard s’attarde sur ses lèvres si attirantes, ma main se lève pour venir les toucher. Je m’en rend compte affolé et soulagée qu’il n’ait rien vu. Je décide de la poser sous ma tête pour pouvoir la garder sous contrôle. Je souris légèrement et réponds à sa question.
M : Effectivement, et puis ma tasse et un croissant m’attendent impatiemment. Que veux tu, je suis très demandée.
W : En effet, eh bien ils devront attendre quelques secondes le temps que mes yeux s’habituent à la lumière et que je puisse t’observer au moins un matin dans mes bras.
Je rougis sous le compliment et lui murmure un faible merci dans l’oreille pour les croissants. Il ouvre grand les yeux sûrement surpris de me retrouver aussi proche de son visage. Je n’ai jamais vu un regard comme cela. Si je n’avais pas ce foutu cerveau je me jetterais sur lui. Et pourtant je ne le fais pas, je me relève et m’apprête à descendre du canapé-lit. Sa main se rattrape à mon bras et me propulse en arrière, je me retrouve de nouveau allongé sur le lit. Inversion des rôles cette fois-ci, JE suis allongé sur le dos, LUI légèrement sur moi. Nos regards se croisent, mon cœur semble dépasser le bruit d’un concert de rock. J’en ai mal aux poumons. Je frissonne lorsqu’il se rapproche de mon visage. Je ferme instinctivement les yeux. Pourtant rien ne vient. Il souffle doucement sur mes cheveux pour dégager mon oreille et murmure d’une voix affreusement sexy.
W : On ne joue pas avec moi, mademoiselle, sous peine de représailles. Est ce bien compris ?
Je secoue ma tête pour chasser mes pensées. S’il y a ne serait ce qu’un avantage à tous ces morts autour de moi, c’est qu’il m’aura appris à ne pas m’apitoyer sur mon sort. Après tout ruminer ne sert à rien. Je me lève donc et part dans la salle de bain à la recherche d’aspirine. Revenu à la cuisine, j’avale mes deux cachets, cela devrait être suffisant. Du café est prêt et des croissants traînent sur la table. J’ai beau chercher dans ma mémoire, je ne me souviens pas avoir été à la boulangerie dernièrement. Une idée effleure mon esprit, et si c’était Wentworth. Mon visage s’illumine, les croissants sont chauds, il était donc là ce matin. A t’il dormi à côté de moi, m’a t’il prise dans ses bras. Je secoue de nouveau ma tête. Cela va devenir une habitude décidément. Je me dirige vers le salon avec ma tasse de café et un croissant dans la main. Finalement, je crois que je ne me suis pas sentie aussi bien depuis des lustres. IL est là, allongé sur le côté, un bras sous sa tête en travers du canapé déplié. Il a du se recoucher après avoir été cherché le petit déjeuner car il est habillé.
Je pose ma tasse et le peu qu’il reste de mon croissant sur la table basse. Je me glisse doucement sur le canapé. Mes gestes sont lents, je ne veux pas le réveiller. Je lève légèrement son bras pour me glisser en-dessous. Je stoppe tout lorsque je l’entends soupirer, puis mes joues rougissent instantanément. Il vient de m’appeler et son bras se resserre autour de ma taille. Son souffle sur ma joue me paralyse. Il continue à ma rapprocher de lui, je commence à sentir la chaleur de son corps sur le mien. Je ferme les yeux et tente de me calmer, j’ai l’impression d’avoir couru le marathon de New York tellement je suis essoufflée. Finalement, je reprend une respiration à peu près normale, ma main se pose sur la sienne et je caresse ses doigts du bout des miens. Petit à petit je remonte sur sa main puis sur son avant-bras, encouragée par ses soupirs. Je n’arrive pas à définir s’il est réveillé ou non, si c’est le cas, c’est un excellent acteur ( :p ). Je cherche à me défaire de cette étreinte, s’il venait à se réveiller maintenant, je ne saurais plus où me mettre. Cependant il raffermit sa prise à l’instant même où je tente de m’écarter. Je commence à paniquer, qu’est ce qu’il dirait s’il me voyait dans ses bras. Après tout il m’a rapporté dans mon lit la nuit dernière, c’est qu’il ne voulait pas dormir avec moi. Je retente une nouvelle fois en vain, je soupire et me relaisse tomber lourdement sur le matelas.
W : Mes bras sont si inconfortables que ça pour que tu veuilles t’enfuir ?
Sa voix est rauque, sûrement du à son réveil. Je n’ose plus bouger, au lieu de s’affoler comme précédemment, mon souffle se coupe. Je le sens renifler mes cheveux et souffler dessus légèrement. Un long frisson me parcourre de la tête au pied. En parlant de pied, je sens un des siens glisser légèrement au niveau de ma cheville. Au bout de quelques secondes, mon cerveau semble reprendre le contrôle de mon corps. Je me tourne contre lui pour me retrouver face à son visage. Ses yeux sont clos mais un petit sourire se dessine sur son visage. Mon regard s’attarde sur ses lèvres si attirantes, ma main se lève pour venir les toucher. Je m’en rend compte affolé et soulagée qu’il n’ait rien vu. Je décide de la poser sous ma tête pour pouvoir la garder sous contrôle. Je souris légèrement et réponds à sa question.
M : Effectivement, et puis ma tasse et un croissant m’attendent impatiemment. Que veux tu, je suis très demandée.
W : En effet, eh bien ils devront attendre quelques secondes le temps que mes yeux s’habituent à la lumière et que je puisse t’observer au moins un matin dans mes bras.
Je rougis sous le compliment et lui murmure un faible merci dans l’oreille pour les croissants. Il ouvre grand les yeux sûrement surpris de me retrouver aussi proche de son visage. Je n’ai jamais vu un regard comme cela. Si je n’avais pas ce foutu cerveau je me jetterais sur lui. Et pourtant je ne le fais pas, je me relève et m’apprête à descendre du canapé-lit. Sa main se rattrape à mon bras et me propulse en arrière, je me retrouve de nouveau allongé sur le lit. Inversion des rôles cette fois-ci, JE suis allongé sur le dos, LUI légèrement sur moi. Nos regards se croisent, mon cœur semble dépasser le bruit d’un concert de rock. J’en ai mal aux poumons. Je frissonne lorsqu’il se rapproche de mon visage. Je ferme instinctivement les yeux. Pourtant rien ne vient. Il souffle doucement sur mes cheveux pour dégager mon oreille et murmure d’une voix affreusement sexy.
W : On ne joue pas avec moi, mademoiselle, sous peine de représailles. Est ce bien compris ?
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
oh non, tu ne peux pas me laissr comme ça..
allez mets nous les représailes
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
a ouais non hein dit ho ta vue comment tu nous laisse!!!!!!!!!!
allez mais nous les représailles comme dit enneade elle a rasion!!!!!!!!!!
vivement la suiiiiiiteeeeeeeee
allez mais nous les représailles comme dit enneade elle a rasion!!!!!!!!!!
vivement la suiiiiiiteeeeeeeee
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
vas y continues de jouer
vite une suite
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lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Merci bcp, j'esayerais une autre suite avant ce soir mais rien n'est sûr ...
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
Je relève les yeux au moment où je le sens se rapprocher de moi. Il a sur son joli petit minois, un sourire que je n’avais encore jamais vu, celui que les gens font lorsqu’ils se sentent supérieurs. Le voilà qu’il ferme les yeux maintenant, les centimètre nous séparant se réduisent à vue d’œil. Finalement, je décale ma tête de sorte qu’il ne touche pas mes lèvres. Je rigole intérieurement lorsque je l’entends grogner mais je m’arrête bien trop vite à mon goût puisqu’il descend à présent embrasser mon cou. Je ne peux m’empêcher de gémir. Son oreille me nargue depuis maintenant plusieurs secondes, mes dents lui mordille gentiment son lobe. J’enroule ensuite mes bras sur son cou et pose ma tête sur son épaule. Lui passe une de ses mains dans mon dos et me maintient contre son torse. Nous restons posé ainsi quelques minutes. Il finit par mettre fin à notre étreinte et se décale sur le côté.
W : qu’est ce que tu vas faire aujourd’hui ?
M : Je n’en ai aucune idée, pourquoi ?
W : Comme sa, on reste ensemble ?
M : Hum … C’est à voir, il y a tellement de beaux mecs que je pourrais rencontrer dans cette ville.
W : A si c’est comme sa, je prends une douche et je m’en vais. Au revoir très chère !!
Sur ce ton magistral, il sort de la pièce. Sa démarche de mannequin me tord le ventre tellement je rigole. Son air catastrophé en rajoute encore plus, et jackpot, me voilà parti dans un fou rire. C’est horrible, je n’arrive plus à m’arrêter, mes abdos me font mal et pourtant je n’en ai pas beaucoup. Went est revenu, je sens mes longs doigts me chatouillé le ventre. C’est malin il s’y met aussi. Je me mets à hurler de rire en lui suppliant d’arrêter. Mon corps se tord dans tous les sens. Mes supplications n’y font rien, ses doigts savent exactement où se poser pour faire réagir mon corps. Ce sont finalement les coups de balais tapés sur mon plafond par le voisin du dessus qui nous calme. Je me mets à pouffer la tête dans l’oreiller. Went se relève et se dirige pour de bon dans la salle de bain. J'entends l'eau qui coule et me décide moi aussi à me lever. Mon café est dégueulasse tellement il est froid, et hop direction l'évier. En attendant Went, je finis toutes les viennoiseries. L'eau s'est arrêtée de couler, j'hésite à aller lui faire peur. Mon âme d'enfant a tendance a ressurgir avec lui. Je me dirige donc vers la salle de bain. Face à la porte j'attend qu'il ouvre la porte. Je m'apprête à lui hurler bouhh quand je sens deux mains serrer mes poignets et me pousser contre le mur. Un juron s'échappe de ma bouche.
W: Tut, tut, tut, quel beau vocabulaire jeune fille. Je ne vous félicite pas.
M: Nan mais quel toupet. Vous osez parler de mon vocabulaire mais regardé vos manières jeune homme. Vous emprisonnez une pauvre femme sans défense dans votre grand corps musclé.
W : Effectivement vous ne pouvez plus bouger, mais nous sommes très bien comme cela nan, et puis cela vous apprendra à vouloir me faire peur.
M: Il est évident que je ne peux pas vous faire bouger par ma force, mais j'aurais quelque idées qui pourraient vous dégagé de mon chemin.
W: Je t'attend.
Je lui lance mon plus beau sourire et rapproche mon visage du sien. Lui ne bouge pas d'un centimètre, il se contente de me fixer avec un petit sourire en coin. Je m'amuse avec son nez, le bougeant légèrement avec le mien. Je voudrais embrasser ces lèvres qui m'appellent tant mais je ne veux pas donner ce plaisir à Went. Je continue donc à souffler légèrement sur ces lèvres, me reculant dès qu'il s'approche. J'adore ce jeu mais il n'a pas l'air de plaire à Went. Ma tête rebomdit contre le mur lorsqu'il se plaque entièrement contre moi. Nos lèvres se heurtent violemment. Ses mains lâchent mon poignet pour emprisonner mon cou. Ses doigts froids me provoquent des frissons jusque dans mes doigts de pied. Je m'accroche désespérement à sa chemise pour ne pas flancher. Nos langues se cherchent, se trouvent, jouent. Je finis par mettre fin au baiser par manque de souffle. J'appose mon front contre le sien. Lui aussi tente de reprendre son souffle, ses yeux sont toujours fermés. Mes doigs parcourent son visage, allant du front jusqu'à son cou. Il emprisonne ma main dans la sienne et l'embrasse.
W: Pour un premier baiser, j'en avais imaginé un plus ... doux
Je rigole doucement et pose mes lèvres délicatement sur les siennes. Cette fois-ci, notre baiser est plus doux, plus langoureux. Il me torture mais quelle torture. Sa langue carressa la mienne délicatement. J'ai eu plusieurs petits amis dans ma vie mais aucun n'embrassait aussi bien. Une larme coule le long de ma joue. Il se détache de moi et me regarde dans les yeux. il vient cueillir ma larme avec ses lèvres. Je souris doucement et me calle dans ses bras.
M: C'était mieux ??
W: Bah je ne suis pas sûr, faudrait peut être réessayer pour voir non ??
W : qu’est ce que tu vas faire aujourd’hui ?
M : Je n’en ai aucune idée, pourquoi ?
W : Comme sa, on reste ensemble ?
M : Hum … C’est à voir, il y a tellement de beaux mecs que je pourrais rencontrer dans cette ville.
W : A si c’est comme sa, je prends une douche et je m’en vais. Au revoir très chère !!
Sur ce ton magistral, il sort de la pièce. Sa démarche de mannequin me tord le ventre tellement je rigole. Son air catastrophé en rajoute encore plus, et jackpot, me voilà parti dans un fou rire. C’est horrible, je n’arrive plus à m’arrêter, mes abdos me font mal et pourtant je n’en ai pas beaucoup. Went est revenu, je sens mes longs doigts me chatouillé le ventre. C’est malin il s’y met aussi. Je me mets à hurler de rire en lui suppliant d’arrêter. Mon corps se tord dans tous les sens. Mes supplications n’y font rien, ses doigts savent exactement où se poser pour faire réagir mon corps. Ce sont finalement les coups de balais tapés sur mon plafond par le voisin du dessus qui nous calme. Je me mets à pouffer la tête dans l’oreiller. Went se relève et se dirige pour de bon dans la salle de bain. J'entends l'eau qui coule et me décide moi aussi à me lever. Mon café est dégueulasse tellement il est froid, et hop direction l'évier. En attendant Went, je finis toutes les viennoiseries. L'eau s'est arrêtée de couler, j'hésite à aller lui faire peur. Mon âme d'enfant a tendance a ressurgir avec lui. Je me dirige donc vers la salle de bain. Face à la porte j'attend qu'il ouvre la porte. Je m'apprête à lui hurler bouhh quand je sens deux mains serrer mes poignets et me pousser contre le mur. Un juron s'échappe de ma bouche.
W: Tut, tut, tut, quel beau vocabulaire jeune fille. Je ne vous félicite pas.
M: Nan mais quel toupet. Vous osez parler de mon vocabulaire mais regardé vos manières jeune homme. Vous emprisonnez une pauvre femme sans défense dans votre grand corps musclé.
W : Effectivement vous ne pouvez plus bouger, mais nous sommes très bien comme cela nan, et puis cela vous apprendra à vouloir me faire peur.
M: Il est évident que je ne peux pas vous faire bouger par ma force, mais j'aurais quelque idées qui pourraient vous dégagé de mon chemin.
W: Je t'attend.
Je lui lance mon plus beau sourire et rapproche mon visage du sien. Lui ne bouge pas d'un centimètre, il se contente de me fixer avec un petit sourire en coin. Je m'amuse avec son nez, le bougeant légèrement avec le mien. Je voudrais embrasser ces lèvres qui m'appellent tant mais je ne veux pas donner ce plaisir à Went. Je continue donc à souffler légèrement sur ces lèvres, me reculant dès qu'il s'approche. J'adore ce jeu mais il n'a pas l'air de plaire à Went. Ma tête rebomdit contre le mur lorsqu'il se plaque entièrement contre moi. Nos lèvres se heurtent violemment. Ses mains lâchent mon poignet pour emprisonner mon cou. Ses doigts froids me provoquent des frissons jusque dans mes doigts de pied. Je m'accroche désespérement à sa chemise pour ne pas flancher. Nos langues se cherchent, se trouvent, jouent. Je finis par mettre fin au baiser par manque de souffle. J'appose mon front contre le sien. Lui aussi tente de reprendre son souffle, ses yeux sont toujours fermés. Mes doigs parcourent son visage, allant du front jusqu'à son cou. Il emprisonne ma main dans la sienne et l'embrasse.
W: Pour un premier baiser, j'en avais imaginé un plus ... doux
Je rigole doucement et pose mes lèvres délicatement sur les siennes. Cette fois-ci, notre baiser est plus doux, plus langoureux. Il me torture mais quelle torture. Sa langue carressa la mienne délicatement. J'ai eu plusieurs petits amis dans ma vie mais aucun n'embrassait aussi bien. Une larme coule le long de ma joue. Il se détache de moi et me regarde dans les yeux. il vient cueillir ma larme avec ses lèvres. Je souris doucement et me calle dans ses bras.
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
oh oui réessaye
c'est toujours aussi bien... mais je ne sais pas pourquoi je sens que cela va partir en sucette à un moment
c'est toujours aussi bien... mais je ne sais pas pourquoi je sens que cela va partir en sucette à un moment
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: je veux juste une nouvelle vie, chap 29
j'adore le petit jeu entre eux...même si ça doit être dure de résister face à lui
vite une suite
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lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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